Le (( - )) Mois

Nous connaissons le nouveau BDE !!

La Gazette de MyRMS

Le journal qui paraît quand il en a envie et surtout quand Pete s’emmerde en électif.Tous droits réservés à MyRMS, association au capital insuffisant pour se payer des putes.Publié avec l’accord de personne. De toute façon on vous emmerde, c’est la fin de l’année.

Semaine du lundi 8 juin 2009

ALEA JACTA EST

SOMMAIRE

L’EDITO

La fin de l’année est là ! Certains regrette-ront les soirées au Vogue, les Open Tur,

le Gin Pamp ou le défunt Alain, mais tous au-ront la larme à l’œil en étant à nouveau obligé de s’acheter de quoi se faire un petit déjeuner le matin. He oui, les listes sont finies ! Passons sur une élection JE sans saveur ni surprise pour s’attarder sur la branlée BDS, la discutable vic-toire Tupperwart et la stressante élection BDE qui a fini sur une vraie fausse surprise. Tout ceci va composer notre deuxième dossier du jour, le premier étant dévolu au Trophée Ecri-come…si, vous savez, ce rassemblement censé être festif où finalement l’alcool est proscrit et où 75% des effectifs du contingent Rémois n’ont pas fait une seule soirée de l’année –à part les très courues soirées révisions entre potes-

Quant à MyRMS, une année touche à sa fin, avec son activité qui a fonctionné à coups de manivelles et qui, nous l’espérons, vous aura arraché un sourire devant la Ga-zette, une larme devant le classement live du M.I.S. ou un grognement devant une photo-dossier. J’espère que des p’tits cons reprendront le concept l’an prochain car ni Pach ni moi ne pourront le faire. Et il ne faudrait pas lais-ser ces enculés de polards, de TEMA, de CE-SEM, de Sup’TG et d’XITeam vivre en paix…

Pete

SOMMAIRE

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Les Brèves

Trophée à la zonzon

La fin des listes

Aussi brèves que la bite de Pach, voici les brèves

Récit d’un foirage masculin.

Ou comment les campagnes finissent en pâté.

3

4-6

7-11

LES BREVES

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Cesem je t’aime

Cette semaine a vu les admissibles CESEM débarquer au Campus.

L’occasion de réviser tous nos chants d’amours :

Cesem, ton salaire c’est mon loyer.Cesem, ton diplome c’est mon brevetCesem, ma villa c’est dans tes rêves.Cesem, ta p’tite chatte je la connais.Cesem, ton hymen c’est mon trophée

Promesses de campagne

D’ordinaire, c’est la personne élue qui ne tient pas ses engage-

ments de campagne. Là, ce sont les perdants. Merci pour votre magni-fique Lipdub les enfants ;)

Tête d’affiche

Ceux qui ont eu la flemme de se retirer du groupe FB des Mo-

narchie auront eu le loisir de lire l’ap-pel aux dons du Roi. La course est lancée entre Sovietiz et Monarchie pour l’Oscar du Suicide de Liste par mail.

Pôle art

Les enquêtes auprès des admis-sibles accusent l’accueil que

leurs font les admisseurs. Normal, puisque seul un polard peut bien vouloir prendre le temps de remplir ce questionnaire, or le polard en cos-tard, personne n’a envie de lui par-ler pour entendre la retrospective de tous ses diplomes pendant 20 min. Heureusement, grâce aux X.I.T., une

nouvelle ère s’ouvre, où les nobods et les polards sont rois. Le service com sera content.

Mannequins de paille

Certains regrettent le peu de prestance des X.I.T. pour les

admissibles. Heureusement que les Sovietiz sont plus présents à l’école que jamais pendant leur campagne, comme ça on a le beurre et l’argent du beurre.

Classements

RMS n’a toujours pas le sigle AACSB apposé en bas des pa-

piers officiels. C’est donc non sans fierté que Hervé Colas nous a appris avec véhémence la grande nouvelle : nous sommes réaccrédités EQUIS. Hourra. Encore heureux. On évitera de rappeler que l’ESCEM a eu les deux simultanément et du premier coup...

Bêtes de somme

Il paraît que nous bossons 30% plus que dans les autres écoles de com-

merce. Lol.

Ambiance

Mais bordel, pourquoi vous ne laissez pas la déco «admis-

sibles» du foyer toute l’année ? Vous avez peur qu’on donne notre argent à une asso plutôt qu’à la Sodexo ?

Alcoolisme

Un X.I.T. a trouvé la solution par-faite pour ne pas boire excessive-ment en soirée. Il suffit d’aller du bus à la Croix Rouge sans passer par la case Calèche.

Fin de cycle

Après un mandat satisfaisant, les Matiz ont laissé leur place pen-

dant la soirée de désintégration. Les Sovietiz ont fêté l’arrivée au pouvoir des XIT en faisant plus de bruit que pendant leur amphi de campagne. Beaux joueurs.

Un trou est un trou, et la bite...

Vu l’état pathétique de certains à la Calèche et leur propension à

chercher un trou à tout prix, je pense que beaucoup d’oies ont sombré dans la dépression.

Kamasutronc

De bonnes âmes ont décidé de se faire prendre par un arbre contre

un sup de co. A moins que ce soit l’inverse.

Geek Shot

Il était dégueu le cocktail à base de violette de MyRMS hein ? Ne nous

remerciez pas, ça nous a fait plaisir.

LE DOSSIER

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Le trophée

Cette année n’aura pas dérogé à une certaine tendance dans

l’Histoire du Trophée, l’équipe a domicile a volé gagné la Coupe. Au terme de 3 jours de compétition, Eu-romed Marseille a surpassé RMS de 4 petits points (de mémoire, 69 à 65) grâce à une bonne tranche de moule et a des procédés quelques peu dou-teux. Comme par exemple lors d’un match Marseille-Reims en basket où le deuxième arbitre, absent, fut rem-placé par un étudiant…de Marseille. Oui, oui, ça s’appelle l’I-M-P-A-R-T-I-A-L-I-T-E. Enfin…il parait.

Heureusement pour nous, l’intérêt de ce rassemblement ne fut pas que sportif car nous avons eu l’occasion d’assister à une ambiance de folie grâce à des Rémois survoltés qui ont impressionné l’ensemble des autres écoles, au point que la victoire de Rouen pour le Trophée de l’Am-biance est totalement usurpée une reconstitution de la Prohibition. Le speech d’Hervé Colas n’était pas un gros fake moralisateur, il y avait bel et bien un dispositif surprenant à l’en-trée des infrastructures sportives pour nous empêcher de faire sa fête à la bi-bine marseillaise. Bon, cette sécurité s’est certes étiolée au fil des allées et venues au point que je me maudis-sais de ne pas avoir 5 ou 6 fioles de vodka sur moi, mais il est vrai que les fouilles systématiques des sacs au

portail d’accès le premier jour refroi-dissaient nos ardeurs.

Las de faire bronzette sur l’herbe synthétique à voir nos foot-balleurs rendre une copie minable sans pouvoir noyer nos soucis dans notre Evian à nous, les plus témé-raires ont choisi de prendre le maquis et d’introduire illégalement, dans la peur de chaque instant, de la vodka frelatée Canadienne bravant ainsi les patrouilles SS et les chiens de garde (bon, ça c’est la version romancée…en fait ils ont pris de la vieille vodka premier prix qu’ils ont fait passer par-dessus un mur d’enceinte. Dur de choper en racontant cette version de l’histoire, pas vrai ? C’est un peu ce qu’ont fait les Sovietiz avec leurs

affiches, mais je m’égare). D’autres (enfin les mêmes, mais c’est plus élégant de dire « d’autres ») ont fait dans la facilité et se sont envoyés une murge express dans la rue, toujours avec de la vodka bas de gamme ache-tée dans la superette du coin –il faut faire travailler les p’tits roumains-

afin de se donner une énergie supplé-mentaire pour supporter une équipe de foot féminine cette fois dans sa victoire finale.

Tenir la journée sans bibine, A LA LIMITE, on peut faire MAIS faut pas abuser non plus. PAR CONTRE, nous contraindre à un open bar soft en soirée tient de l’insulte exquise. Que les sportifs ne boivent pas car ils doivent être performants, je peux comprendre (bien que les footbal-leurs auraient pu se mettre une caisse, ça n’aurait altéré en rien à leur jeu flamboyant qui leur permis d’at-teindre la tant convoitée 5è place sur 6, traditionnellement dévolue à Rouen ou Nancy. Mais la comparai-son avec ces deux écoles de joyeux lurons s’arrête là, les footix n’ayant pas daigné mettre la moindre am-biance si ce n’est en hâlant de ma-nière peu cavalière les footballeuses adverses qui, si elles ont tout pris au mot, ont dû exploser leur budget slim fast). Mais que nous autres supporters aux cordes vocales échaudées par les chants d’amour et de fraternité (En-fonce moi ta bite dans le cul, et qu’on en finisse…) n’ayons pas le droit au moindre miellat enivrant pour se hui-ler la mécanique (non, pas question de lubrifiant Durex ici), c’est honteux et ça me fait regretter de payer 8000€ l’année. Comment on fait pour bour-rer (la gueule) des pom-pom bordel ?

Un peu de trophée, afin de vous donner un cours d’histoire sur le féminisme et la pro-hibition.

LE DOSSIER

5

Le trophée

Revenons-en un peu au sport, pour vous livrer un semblant de compte rendu des performances de nos ath-lètes. En général, on peut dire que le chant « RMS, ça c’est de la gonzesse » ne relève pas de l’ineptie, puisque nos footballeuses, handballeuses et volleyeuses ont décroché la première place, les basketteuses et rugbeuses échouant à la dernière place du po-dium, ce qui n’est pas mal. Spéciale kassdédi aux handballeuses qui ont explosé avec la manière la plupart de leurs adversaires, nous offrant même un comique 35-5 (20-1 à la mi-temps) en demi-finales. Concernant les queuetards (faudrait demander à l’Académie comment ils l’écrivent celui-là), 0 médaille d’or même si les handeux et les volleyeurs ont parti-cipé à la finale. D’ailleurs, la défaite des handeux face aux Marseillais avec un petit écart laissera un goût

amer à l’ensemble des spectateurs car en cas de résultat inverse, RMS remportait le Trophée. Malheureu-sement, ils sont passés au travers de leur match alors qu’ils étaient supé-

rieurs…tant pis. Bon, di-sons le clairement, c’est à cause d’eux qu’on a perdu...quand on n’est pas foutu de gagner une finale, on s’efface dès les poules, comme les footix ! Les Basketteurs ont fini 3è, les rugbeux 4è et nos cham-pions les footballeurs, 5è grâce à leur seule victoire de la compétition, en pe-tite-petite finale face à des Nancéens qui jouaient en déguisement de pirates. Bon, cela aurait pu se passer autrement, car nos footeux ont réelle-ment manqué de chance…Pour leur premier match (soldé par un 0-0) ils auraient pu (et dû ?) mener 3 ou 4-0 à la mi-temps. Mais ils sont tombés dans le piège habile tendu par les Marseillais…Affamé par le maigre petit dej’ offert par Euromed, com-posé d’un verre de jus de fruits et de deux pitchs écrasés, notre attaquant vedette a décidé de manger la feuille de match pour calmer son estomac…Mais à sa décharge, il faut louer son altruisme et son esprit d’équipe car non content de se mettre individuelle-ment en valeur, il a placé l’ensemble de ses coéquipiers sous les feux de la rampe en permettant après un deu-xième nul synonyme d’élimination d’être la seule formation d’RMS à ne

pas passer les poules. Chapeau bas l’artiste (en espérant que la prochaine fois tu fasses le coup du chapeau plu-tôt). Petite parenthèse pour ap-plaudir un rugbeux qui, vexé de ne pas être allé en finale, a essayé de mettre violemment fin à ses jours. Malheureusement, le geste n’était pas à la hauteur de l’intention et il s’est contenté de se fêler une côte, nous occasionnant un retard d’une bonne heure sur le retour. Enculé.

Pour ce qui est de l’ambiance, RMS n’a pas démenti sa réputation d’école de polards hautains et mépri-sables. Là où les autres écoles chan-taient des refrains un peu taquins

Les footballeurs à la mise au vert

Le petit déjeuner Marseillais. Aussi délicieux que copieux

LE DOSSIER

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Le trophée

et rarement agressifs, nos grandes gueules et nos pom pom mitraillaient leurs victimes à base de « debout, on encule marseille, assis on encule marseille » ou « enfonce moi ta bite dans le cul » ou « chie moi dans la gueule » en passant par mon préféré, le « on est rouge, on est blanc, on encule même les enfants » destiné à nos copains de Rouen. Mais qu’on se rassure, si nous étions sans compa-raison possible avec Rouen et Nancy (so-do-mie), nous n’avions rien à en-vier à Bordeaux, Tours-Poitiers (heu-reusement d’ailleurs…) ou même des Marseillais décevants qui semble-t-il avaient mis tous leurs espoirs dans leur troupeau de cagolettes un peu salopes et dénuées de panache et de répartie. J’en profite pour applaudir chaudement nos propres pom-pom qui ont tenu à bout de bras l’honneur de notre école, bien appuyées il est

vrai par 3-4 grandes gueules, chan-tant contre vents et marées, même lorsque l’on se faisait poutrer par Rouen. Un montage vidéo made in MyRMS suivra pour vous faire goû-ter à l’ambiance de ce Trophée et vous rendre compte du travail qu’il reste à accomplir pour briguer un jour le trophée de l’ambiance et redorer le blason d’RMS. D’ailleurs, il serait appréciable qu’une asso se charge de la partie animations et déguisements des participants, que ce soit le BDS, BDA, BDE ou une asso dédiée. Car avec nos 3 costumes de Romains et nos t-shirts jaunes « Veni, Poutri, Vici », on n’allait pas très loin…Par exemple, les Rouennais étaient tous en pirate, à grand renfort de déguise-ments, accessoires etc. et ils étaient épaulés par 3 musiciens qui jouaient le thème de « Pirate des Caraïbes » avec des cuivres. Autant dire qu’ils envoyaient du lourd.

Je n’oserai bien sûr pas finir ce dossier sans cracher sur l’organisa-tion, Pete’s touch oblige ! En plus les HNS m’ont gâté en me mettant aux premières loges de leurs difficultés ! Si ça ce n’est pas tendre le bâton pour se faire battre ! Leur seul gros cafouillage fut pour l’attribution de chambres d’hôtel. Les 180 personnes (et des

poussières) du contingent Rémois devaient être répartis dans 2 établis-sements, où plus de chambres que nécessaires avaient été réservées. Les places avaient été préattribuées par les organisateurs, avec des retouches possibles si nécessaire. Il y avait donc un listing par hôtel, permettant une installation rapide…mais voila, dans les faits tout s’est embrouillé et un pe-tit groupe de moins de 10 personnes (dont je faisais partie, ainsi que les quelques personnes à qui j’avais in-diqué au départ de Reims que j’ai la poisse et qu’il m’arrive toujours des saloperies en voyage) a été trimballé d’hôtel en hôtel pour trouver un lit. A 3h du matin, sachant que tout le monde était arrivé à l’hôtel à 0h30~1h et que nous devions nous lever à 6h, nous avons enfin pu dormir…ceci en virant un couple d’une chambre où il n’avait apparemment rien à faire et en logeant trois personnes dans un lit prévu pour deux… A la décharge des HNS, ces déconvenues étaient à mettre sur le compte des quelques personnes qui ne signalaient pas les lits vides dans leur chambre alors qu’ils étaient cen-sés être occupés...Bon, je crois que tout le monde s’est aussi interrogé sur notre obligation de partir de l’hôtel à 7h du matin (6h le dimanche…) pour arriver au stade 30 ou 40 min avant la plus matinale des autres écoles…Que cela semble loin le temps des «I Will

Survive» entonnés sur les Champs...

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On se fait chier depuis la fin des campagnes, donc MyRMS prolonge le plaisir en vous rappelant les moments forts du duel X.I.T. - Sovietiz.

« La victoire de ces chiens de capitalistes » et autres nou-velles

De notre agent du KGB, infiltré en Occident, Peterovski.

Rapport N°874.B destiné au petit père du peuple.

Camarade,

Selon vos instructions, j’ai gagné la confiance des X.I.T, leur faisant croire que j’étais un soutien, notam-ment en leur cuisinant des gâteaux (à l’orange, pour faire du lèche botte, technique très bien développée en Occi-dent). J’ai donné de mon corps en couchant avec chacune de leurs femelles, car il est bien connu que ces chiens for-niquent tous entre eux pour resserrer leurs liens. Malgré d’évidentes tentatives de sabotage (nous avons fait un film tout pourri sur leur semaine de campagne, destiné soi-disant à vendre leurs présumés talents d’organisation, alors qu’en réalité nous avons montré plein de séquences de gens discutant en petits groupes, la mine grise, tuant le temps comme ils pouvaient), ces ringards ont évincé notre belle liste, les Sovietiz.

J’ai conscience d’avoir échoué dans ma mission et accepte toute sanction prise à mon égard, même me prendre une faciale par un Matiz’, suprême sanction de notre glorieuse Nation. Toutefois, j’ose implorer votre clémence et vous demande de m’expédier dans le goulag de Sibérie, lieu de villégiature couramment utilisé pour les W.E.P, où je veux bien récurer les toilettes des bunga-lows avec une brosse à dent émoussée. En gage de ma bonne volonté, et en espérant que cela pèse dans la ba-

lance, je vous livre mon compte-rendu sur ces honteuses élections.

Je vais débuter par un portrait des vain-queurs, portrait que j’ai transmis au chef de la pro-pagande Sovietiz’ pour qu’il fasse son boulot, mais nous reviendrons sur ce point plus tard. Les X.I.T. sont la lie de l’Occident, un ramassis de tout ce que cette civili-sation dégénérée compte comme rin-gards, beaufs, poi-vrots et cageots. N’ayant aucun sens de l’honneur et de la classe, ils n’hésitent JAMAIS à aller voir les gens pour leur parler et faire leur connaissance…s’abaisser à discu-ter avec la roture au lieu d’attendre qu’elle vienne nous manger dans la main, tout ceci est bien loin de notre doc-trine soviétique. Obligés de s’endetter pour financer leur campagne, ces paysans n’ont aucun soutien de la part de leurs familles, qui, pour la plupart, ne sont pas issues de la haute bourgeoisie parisienne. Pour dire ! Peu d’entre eux habitent dans le XVIè arrondissement que diable ! De plus, ignorants de la voie d’excellence que représente la prépa HEC (qui ne mène pour vous qu’en ESC, hahahaha-hahahaha, note d’un Zob), ils comptent dans leurs rangs des gens issus d’IUT, DUT ou Faculté, formations guidées par la médiocrité (mais qui leur permet de vous niquer au MIS hahahahahahahahaha, note d’un Zob).

«Merci de suivre Samy et Edouard qui vous conduiront à vos bungalows»

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Peu au fait des arcanes de la réussite, ils mon-trent une fâcheuse tendance à ne pas coucher avec les personnes dont ils veulent gagner l’adhésion. Leurs mâles sont pour la plupart déjà solidement casés et leurs femelles ne sont que des garces, allumeuses et salopes (mais pas dans le bon sens du terme). Note de l’au-teur : non, je n’ai pris aucun vent, merci. Disposant de ressources plus limitées, ils sont forcés de faire montre d’une compétence très affinée en démarchage, apanage des mendiants. Mais on peut comprendre leur nécessité d’amasser des fonds importants, car étant dénués de toute intelligence stratégique, ils se sont contentés de tout donner en continu pendant les 5 mois de campagne, là où il suffit normalement de se réveiller 2 semaines avant les élections pour frapper un grand coup. Quand on n’a pas de cerveau, on a des bras, c’est bien connu. Ou on a de l’argent, variante applicable un peu trop souvent aux goûts de l’auteur en école de commerce. (Message pour les Sovietiz : Maintenant que vous avez viré votre chef de la propagande, vous pouvez me prendre ? Regar-dez, je sais insulter la moitié de la promo aussi bien que lui !)

Parlons-en de leurs évènements d’ailleurs ! Pen-sant que le travail est une valeur fondamentale en ESC, ils ont mis un soin tout particulier à parfaitement planifier leurs évènements et à se lever tôt pour que tout soit en place en temps et en heures. Billevesées ! Tout le monde sait au Kremlin qu’il suffit de vendre du rêve sur des af-fiches et de fournir des prestations limitées pour pou-voir tout préparer à l’arrache et que cela paraisse quand même correct. Et pourquoi tous les membres de l’équipe devraient être actifs alors qu’il suffit de 5-6 personnes ? Puisqu’on en arrive aux prestations, qu’ont-ils fait, les X.I.T ? Proposer un show de strip teaseuse à leur soirée budgétée ? Vulgaire et inutile ! Il suffit d’avoir une CESEM en boîte, elle se mettra à poils toute seule et ça coûtera

moins cher ! De plus, tout le monde sait à quoi ressemble une fille nue…(à part les Sup’TG) alors qu’un couple de

danseurs tangos (ou salsa ou tecktonik, j’y connais rien en danse), ça court moins les rues ! D’ailleurs nos beaux Sovietiz n’ont-ils pas remporté le match de la soirée bud-gétée ? Bon, les X.I.T ont probablement fait mieux sur les trois soirs au Allin, mais cela ne compte pas, ce n’est pas suffisamment noble. Par ailleurs, ils n’ont su attirer du monde qu’en titillant la fibre salace de leurs congénères, proposant léchage de chantilly sur des corps féminins (une vraie soviétique préfère la chantilly sur le visage d’ailleurs), corps que nous avons pu voir se trémousser sur le bar, pistolets à vodka à la main. Ne pouvaient-ils rester corrects et s’en tenir à leur tequila paf contest ? Et leur soirée de campagne ? Tant d’efforts pour créer une ambiance, à base de fumée, de fourches métalliques au plafond et de diverses décorations recouvrant les murs et enfermant les étudiants dans un grand cocon, là où des gens intelligents auraient compris qu’il suffit d’un mur en

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Soutiens X.I.Team qui célèbrent la victoire

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carton avec des tags différents des deux côtés –gage de deux ambiances différentes- pour créer un buzz. Et puis qu’importe la supercherie ? puisqu’en ESC il suffit de pa-raître et non d’être. Sans parler du fait que les XIT ont cru qu’il était utile de servir à boire après 1h du matin…

Au final, la victoire X.I.T. est imputable à un vote massif des nobods et des polards de l’école, qui ne de-vraient d’ailleurs pas avoir le droit de vote puisqu’ils ne sont pas investis dans la vie d’RMS. Ils ne sortent même pas, comment peuvent-ils avoir vent de la qualité des événements organisés ? Il faudrait instaurer cette règle en France également : si on ne participe pas à la vie poli-tique du pays, on n’a pas le droit de voter pour un prési-

dent ou autre, puisque nous ne sommes forcé-ment pas en mesure de juger de sa pertinence. D’ailleurs, si le vote avait eu lieu samedi matin, le résultat aurait été probablement dif-férent, puisque les po-lards sont connus pour rentrer chez eux chaque weekend, tandis que les petits Parisiens bran-chouilles et classes sont TOUJOURS là et parti-cipent ACTIVEMENT à la vie Rémoise le wee-kend. Mais excusez moi Camarade d’écrire ces

lignes, il est 10h30 du matin, j’ai trop bu et donc laissé mes émotions me submerger. (Note de Pete : *tousse*)

Mais venons-en au point qui nous intéresse ? Comment se peut-il que notre dream team, issue des jeunesses staliniennes, ait pu perdre ? Peut-être parce qu’individuellement ils sont un peu trop sympas, ce qui tranche avec leur image de groupe froid et hautain ? Les Matiztador avaient pourtant été élus comme ça ! Est-ce que c’est à imputer à leur activité, qui n’a réellement démarré qu’à la fin des campagnes ? Les Matiztador avaient pourtant été élus comme ça ! Est-ce que c’est dû à l’absence de zob dans la liste ? Les Matiztador avaient pourtant été élus comme ça ! Est-ce que c’est dû à la pré-sence d’une liste adverse au capital sympathie bien supé-rieur ? Les Matiztador avaient pourtant été élus comme ça ! Est-ce que c’est dû au fait que certaines Sovietiz ont cru que c’est pendant les admissibles qu’il faut donner de son corps ? (oups, elle était gratuite celle là) Est-ce parce que certaines Sovietiz ont une réputation de sa-lope alors qu’en fait elles sont rangées ? Est-ce parce que les affiches vendaient des événements qui étaient au fi-nal décevants ?

Ou est-ce simplement dû à la supériorité générale des X.I.T, que ce soit en terme d’investissement, de créa-tivité ou de capacité à séduire tout un chacun à l’école, et pas seulement une certaine « classe ». Les Sovietiz avaient pourtant très bien commencé, portant haut le concept de notre grande nation, première liste depuis un certain temps à arborer un thème et à le suivre, forçant ainsi les X.I.T à créer un thème en réponse. Mais là où les X.I.T. ont su « surprendre » en variant leur thème, les So-vietiz ont été prisonniers de l’imaginaire qu’ils ont créé, rendant tous leurs évènements ou idées « classiques ». L’arrivée en camions militaires (de l’US Army, signe pré-monitoire de la victoire capitaliste ?) aurait été impres-sionnante pour une liste lambda, mais pour eux, c’était le strict minimum qu’on était en droit d’attendre. Dom-mage, mais à mettre la barre trop haute au tout début,

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Nos Sovietiz avaient pourtant notre dernier cri en matière de technologies de communication...

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on risque de « décevoir » tout du long par la suite. Les Sovietiz ont semblé s’apercevoir de leurs erreurs et ont commencé à faire du « X.I.T. » notamment à la journée de campagne mais le mal était déjà fait. Il aurait fallu mettre de l’eau dans sa vodka un peu plus tôt. Pour résumer, on pourrait dire que les X.I.T ont mieux compris l’idéolo-gie communiste, tournée vers le peuple, que les Sovietiz eux-même. Cocasse.

Heureusement, nos Camarades ne vont pas bais-ser les bras après leur défaite et ils ont commencé à mener un travail de sape sur les ennemis occidentaux. Deux opérations commando ont ainsi été menées à bien, frappant les X.I.T. à la tête puisque deux officiers ont été bombardés, l’un dans la rue où il était probablement en train de fomenter un complot et l’autre à son apparte-ment que dix de nos vaillants spetnaz se sont attelés à assiéger avant de devoir battre en retraite, non sans oc-casionner des dégâts en lançant les SCUDs à leur disposi-tion.

En conclusion, Camarade, je considère ma faillite comme étant complète, incapable comme je suis d’in-fluer un tant soit peu sur la difficilement contestable victoire des oranges. Cependant, j’espère qu’avec le présent rapport, les futurs soviétiques à venir sauront éviter les écueils les plus évidents.

« Du conventionnel »

Les élections BDA et BDS pourraient être résu-mées à un duel : celui du classique face à celui du dé-calé. Résultat des courses ? 2-0. Bienvenue en école de commerce, où l’originalité semble effrayer.

Les Sport Jarretelles et les Monarchie ont connu le même sort, mais à des degrés très différents. Si les SPJ ont pris une branlée surprenante et injustifiée dans le sens où leur programme et leurs qualités présumées à organiser des événements sportifs l’an prochain ne sont pas tellement éloignés des Sport Wizz us, archis favoris de la campagne depuis le départ, les Monarchie pourront avoir un goût amer dans la bouche, celui de la démocra-tie détournée. Les cuvettes de chiottes ont récolté 46% des voix, après attribution des coefficients. En effet, dans les élections BDA, le Bureau actuel s’arroge un pouvoir de décision très important et offre à ses cotisants un vote compte double ; si les Artys ont été favorables aux Mo-narchie (alors qu’ils sont très souvent comparés aux Tup-per…un désaveu ?), on ne peut pas en dire de même des cotisants qui ont donné leur préférence aux Tupper. Car la réalité des chiffres bruts, c’est qu’il semble que les Mo-narchie ont récolté plus de voix, toutes origines confon-dues, que leurs adversaires. Mais la vie étant un scrabble, pourquoi écrire « constitutionnel » sur des cases sans bo-nus alors qu’on peut écrire « zoo » sur un mot compte triple ? Voila une logique qui doit faire dresser le zizi du

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La soirée Murge de Berlin bat son plein !

LA MINUTE CULTURELLE

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chef de la propagande Sovietiz, un monde où les gens « impliqués » sont supposés être mieux à même de juger.

Les Monarchie se sont fait descendre pour leur aspect bordélique et plus intéressé par le trash pour le trash plutôt que par l’animation d’activités. Je ne porterai pas de jugement sur leur qualité d’organisation car je n’ai pas eu d’échos concrets ni sur celle des Tupper, car je ne les ai pas vu de la campagne. Mais je suppose que les nombreux détracteurs des Monarchie ont voté pour une bonne raison même si je regrette un peu la pertinence de l’argument « avec eux, on aura aucun atelier l’an pro-chain ». Au-delà du fait que vous semblez avoir fait ex-ploser le CA des voyants en France, je pense que gérer un atelier cuisine, un atelier danse et quelques séances de cinéma/théâtre, même un TEMA peut le faire, sans vouloir manquer de respect aux BDA. Peut-être suis-je mauvaise langue.

PS : Dans ce journal, vous aurez sûrement vu pleins d’informations erronées (concernant les classe-ments des équipes au Trophée, ou des choses concer-nant les listes, notamment BDA). Mais je vous emmerde, c’est mon journal, j’y mets ce que je veux, même de la désinformation. Et désolé pour tous ceux qui auront sai-gné des yeux à cause de ma fâcheuse tendance à faire des phrases avec des virgules tous les deux mots. Promis, la prochaine fois, peut-être, si un jour je deviens, proba-blement, bien que ça ne soit pas sûr, l’escroc, c’est à dire dans 2 ans, et bien j’essaierai de faire des efforts. Ou pas. Et j’emmerde aussi tous les gens qui ont été choqués ou vexés par d’éventuels propos tenus dans une gazette, je déteste les saintes nitouches qui montent sur leurs grands chevaux à la première provocation, arrêtez de calquer votre comportement sur celui des personnages

de Plus Belle La Vie. Sur ce, je vais aller picoler, comme d’habiterude.

MyRMS a imaginé ce qu’aurait donné le président Mo-narchie s’il avait fait une liste BDE

NEXT YEAR

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A DANS 2 ANS POUR L’ESCROC !Car non, malgré une rumeur qui est souvent parvenue à mes oreilles sensibles, ni Pach, ni moi n’avons quoi que ce soit à voir avec l’Escroc 2009, dont nous ignorons totalement l’identité.

Pete, pôle journaliste qui ne va pas chercher l’information et qui ne vérifie jamais ses sources. Pôle Langue de Pute. Pôle Vodka. Pôle Branleur. Pôle Photo. Trésorier qui n’a jamais vu le budget

Pach, pôle blasé, pôle flemmard qui écrit les brèves parceque les vrais articles, c’est trop long. Pôle Photo. Pôle Président useless. Pôle Cen-sure de Pete. Pôle Webmaster. (pôle gros geek quoi)

Lucille, pôle Vidéos qui n’ont jamais été montées. Pôle Chope féminin.

Q, Pôle Inutile, Pôle Communication (soi-disant). Pôle Touriste. Pôle Chope masculin. Pôle -j’ai-plein-d’idées-mais-je-fais-rien

Merci à Zhealy (Présidente de MyRMS 09/10) pour ses articles, merci aux 7 autres membres de MyRMS que vous n’avez jamais vu et qui n’ont jamais rien fait ou presque mais on leur en veut pas. Merci à tous les tocards de l’école pour avoir alimenté la Gazette. Spéciale kassdédi aux listeux qui souffrent pendant 5 mois et sur qui on tape plus que les autres.