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1 Titou Un vol Paris-Bangkok inoubliable... *** Bangkok, aéroport international Suvarnabhumi, il est minuit passé, l’atmosphère est lourde et la salle d’embarquement est pleine à craquer. L’annonce arrive enfin : « Les passagers du vol Thaï Airways TG930 à destination de Paris-Charles-de-Gaulle, sont priés de se présenter à la porte C12 pour embarquement immédiat. » Dans la file d’attente qui progresse péniblement vers la passerelle d’embarquement, je revis mes quinze jours de vacances au « pays du sourire » avec — déjà — la nostalgie d’abandonner ce paradis tropical où la mer est si chaude, la bière est si fraîche, et les filles qui ont la peau douce comme de la soie sont si jeunes et si faciles. Pendant les six prochains mois, je vais devoir m’immerger dans la froidure et l’indifférence parisienne pour accumuler suffisamment d’argent pour pouvoir m’offrir un nouveau séjour inoubliable en Thaïlande. Cela fait des années que je vis à ce rythme ; six mois d’enfer pour deux semaines de paradis, et ainsi de suite. Vivement la retraite ! Mais je n’ai que trente-deux ans. J’arrive enfin à pénétrer dans le 777. Il est plein à craquer ! Je piétine en attendant que les passagers parviennent à faire rentrer leurs bagages à main trop nombreux et trop volumineux dans les nacelles au-dessus des sièges. C’est d’autant plus long que je réserve toujours mon siège dans la queue de l’appareil, si possible dans la dernière rangée. C’est une sorte de superstition ; en cas d’accident il y aurait statistiquement davantage de survivants parmi les passagers assis à l’arrière de l’avion... L’autre avantage est qu’il n’y a que deux sièges adjacents dans la dernière rangée côté hublots et, pour un vol de douze heures sans escale, cela fait moins de passagers à enjamber lorsqu’on veut se dégourdir les jambes ou aller aux toilettes. Une fois confortablement installé dans mon siège côté hublot, j’attendis anxieusement de découvrir qui prendrait place à côté de moi en espérant que ce ne serait pas un de ces monstres pathologiquement obèses qui envahissent votre espace en débordant des sièges trop étroits de la classe économique. En fait, la personne qui vint s’asseoir à côté de moi était une très jolie thaïlandaise qui ne devait pas avoir beaucoup plus de vingt ans, seulement voilà, elle n’était pas seule ! Elle tenait dans ses bras un bébé de quelques mois et était accompagnée d’une fillette qui ne devait pas avoir plus de six ans et qui, n’ayant pas de place pour s’asseoir, restait debout entre ses jambes. D’un air anxieux la jeune femme me demanda en français : – Vous croyez que l’avion est plein ? – J’en ai bien peur. – Comment je vais faire ? J’ai un bébé et ma fille aînée aura six ans le mois prochain. Pour les enfants de moins de six ans on paye un billet à tarif très réduit mais il n’y a pas de siège réservé. Ça n’a pas d’importance si on a un seul enfant, on le met sur ses genoux, et puis il y a presque toujours des sièges vides dans les avions mais là, c’est complet ! Et j’ai deux enfants ! Comment je vais faire ? Ils vont me débarquer ! Elle éclata en sanglots. Une hôtesse qui avait remarqué la situation se dirigeait vers nous. Guidé par mon grand cœur et aveuglé par la grande beauté de ma jeune voisine et de sa petite fille, je pris une décision stupide — ce qui était une de mes spécialités récurrentes — et déclarai à ma voisine : – Si vous en êtes d’accord, je peux prendre votre fille aînée sur mes genoux et nous serons comme un couple avec deux enfants et il n’y aura plus aucun problème. Le visage de la jeune femme s’illumina, elle essuya ses larmes et demanda :

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Un homme fait connaissance d'une merveilleuse petite fille et de sa mère lors d'un vol Bangkok-Paris.

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Titou

Un vol Paris-Bangkok inoubliable...

***

Bangkok, aéroport international Suvarnabhumi, il est minuit passé, l’atmosphère est lourde et la salle d’embarquement est pleine à craquer. L’annonce arrive enfin :

« Les passagers du vol Thaï Airways TG930 à destination de Paris-Charles-de-Gaulle, sont priés de se présenter à la porte C12 pour embarquement immédiat. »

Dans la file d’attente qui progresse péniblement vers la passerelle d’embarquement, je revis mes quinze jours de vacances au « pays du sourire » avec — déjà — la nostalgie d’abandonner ce paradis tropical où la mer est si chaude, la bière est si fraîche, et les filles qui ont la peau douce comme de la soie sont si jeunes et si faciles. Pendant les six prochains mois, je vais devoir m’immerger dans la froidure et l’indifférence parisienne pour accumuler suffisamment d’argent pour pouvoir m’offrir un nouveau séjour inoubliable en Thaïlande. Cela fait des années que je vis à ce rythme ; six mois d’enfer pour deux semaines de paradis, et ainsi de suite. Vivement la retraite ! Mais je n’ai que trente-deux ans.

J’arrive enfin à pénétrer dans le 777. Il est plein à craquer ! Je piétine en attendant que les passagers parviennent à faire rentrer leurs bagages à main trop nombreux et trop volumineux dans les nacelles au-dessus des sièges. C’est d’autant plus long que je réserve toujours mon siège dans la queue de l’appareil, si possible dans la dernière rangée. C’est une sorte de superstition ; en cas d’accident il y aurait statistiquement davantage de survivants parmi les passagers assis à l’arrière de l’avion... L’autre avantage est qu’il n’y a que deux sièges adjacents dans la dernière rangée côté hublots et, pour un vol de douze heures sans escale, cela fait moins de passagers à enjamber lorsqu’on veut se dégourdir les jambes ou aller aux toilettes.

Une fois confortablement installé dans mon siège côté hublot, j’attendis anxieusement de découvrir qui prendrait place à côté de moi en espérant que ce ne serait pas un de ces monstres pathologiquement obèses qui envahissent votre espace en débordant des sièges trop étroits de la classe économique. En fait, la personne qui vint s’asseoir à côté de moi était une très jolie thaïlandaise qui ne devait pas avoir beaucoup plus de vingt ans, seulement voilà, elle n’était pas seule ! Elle tenait dans ses bras un bébé de quelques mois et était accompagnée d’une fillette qui ne devait pas avoir plus de six ans et qui, n’ayant pas de place pour s’asseoir, restait debout entre ses jambes. D’un air anxieux la jeune femme me demanda en français :

– Vous croyez que l’avion est plein ?

– J’en ai bien peur.

– Comment je vais faire ? J’ai un bébé et ma fille aînée aura six ans le mois prochain. Pour les enfants de moins de six ans on paye un billet à tarif très réduit mais il n’y a pas de siège réservé. Ça n’a pas d’importance si on a un seul enfant, on le met sur ses genoux, et puis il y a presque toujours des sièges vides dans les avions mais là, c’est complet ! Et j’ai deux enfants ! Comment je vais faire ? Ils vont me débarquer !

Elle éclata en sanglots. Une hôtesse qui avait remarqué la situation se dirigeait vers nous. Guidé par mon grand cœur et aveuglé par la grande beauté de ma jeune voisine et de sa petite fille, je pris une décision stupide — ce qui était une de mes spécialités récurrentes — et déclarai à ma voisine :

– Si vous en êtes d’accord, je peux prendre votre fille aînée sur mes genoux et nous serons comme un couple avec deux enfants et il n’y aura plus aucun problème.

Le visage de la jeune femme s’illumina, elle essuya ses larmes et demanda :

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– Vous feriez cela ?

– Pourquoi pas ? Si avec un petit geste comme ça, je peux rendre service à trois personnes dont deux enfants, c’est vraiment une bonne action comme on disait lorsque j’étais boy-scout.

L’hôtesse s’enquit de la situation en thaï avec ma voisine et, après quelques explications, nous fit un grand sourire en nous souhaitant un excellent voyage. Tout était arrangé sauf que j’avais maintenant — pour les douze prochaines heures — une gamine de presque six ans sur les genoux. Certes elle était menue et ne devait pas peser beaucoup plus d’une vingtaine de kilos mais elle était bien vivante et il allait falloir s’en occuper. Je proposai avec un grand sourire en tendant la main à sa mère :

– Bon, et si nous faisions connaissance ? Je m’appelle Hugo, 32 ans, célibataire, informaticien, et amoureux de la Thaïlande où je passe toutes mes vacances.

Elle me serra la main et répondit avec un sourire resplendissant :

– Moi, c’est Santaya, vingt ans, mariée, deux enfants, sans profession. La petite qui est sur vos genoux s’appelle Alice, elle aura six ans dans deux semaines. La petite qui dort dans mes bras s’appelle Jasmine et elle vient tout juste d’avoir trois mois.

– Euh, vous paraissez bien jeune pour avoir déjà deux enfants.

– Aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années...

– Vous parlez remarquablement bien le français.

– J’ai fait la plupart de mes études en France.

– Je suis très flatté d’avoir fait la connaissance d’une thaïlandaise aussi jolie et aussi cultivée.

Santaya sourit de mon compliment. L’avion roulait et, après les consignes de sécurité données en vidéo, décolla et entama sa montée. Alice, assise sur ma jambe gauche, avait le front collé sur le hublot pour essayer de voir à l’extérieur mais la nuit était bien noire et les lumières au sol s’estompèrent rapidement. Elle se retourna vers moi en faisant une moue dépitée. Qu’est-ce qu’elle était belle ! Eurasienne aux grands yeux en amandes avec un petit nez un peu retroussé et une jolie bouche aux lèvres presque pulpeuses, son visage était encadré par deux longues couettes tressées agrémentées de rubans roses assortis à la couleur de son t-shirt. Elle portait une minijupe en jean à volants un peu trop courte qui laissait entrevoir sa petite culotte « Hello Kitty » à chaque fois qu’elle remuait et ses pieds étaient chaussés de tennis roses et de socquettes blanches.

L’hôtesse proposait les boissons et apéritifs, je choisis une bière et demandai à Alice :

– Tu veux boire quoi, ma chérie ?

– Un coca. Tu t’appelles comment, Monsieur ?

– Hugo, mais les enfants m’appellent Titou, et tu peux me tutoyer.

– Hihihi ! Titou, c’est drôle.

Voilà nous étions devenus amis ! Bien que n’ayant jamais élevé d’enfants — et peut-être justement parce que je n’en avais jamais élevé — j’adorais être avec eux et jouer avec eux. Il n’y avait rien là de sexuel, tout du moins jusqu’à ce vol où tout a basculé.

Après un dîner joyeux où j’ai aidé Alice assise sur mes genoux à manger sa viande hachée, sa purée de légumes et sa salade de fruits pendant que j’ingurgitais mon entrée de saumon fumé suivi d’un poisson cuit à la vapeur à la sauce soja et d’un dessert, le tout copieusement arrosé de vin blanc, les hôtesses débarrassèrent les plateaux et l’éclairage de la cabine de l’avion fut mis en veilleuse pour la nuit car il était maintenant plus de deux heures du matin. Nous basculâmes le dossier des sièges vers l’arrière, Alice, assise à cheval sur ma cuisse gauche, s’allongea sur moi et se mit à sucer son pouce. Je la recouvris d’une couverture pour qu’elle ne prenne pas froid. Jasmine commença à pleurnicher et Santaya ouvrit son chemisier et dégrafa son soutien-gorge pour lui donner le sein.

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J’ai déjà dit que Santaya était jolie mais elle était plus que ça ! À vingt ans c’était carrément un canon ! Et ses seins blancs, gonflés à craquer et d’une forme parfaite, étaient de fabuleux aphrodisiaques. Comme j’étais aux premières loges, je me mis à bander dès que Jasmine commença à téter. Alice étant partiellement assise sur ma bite, je glissai ma main sous la couverture pour la bouger. Ses cuisses étant grande ouvertes et sa minijupe retroussée, ma main, sans le faire exprès, se posa directement sur sa petite motte. Je restai figé un moment puis je me mis à explorer le sillon à travers sa culotte.

En ravalant ma honte et en essayant de ne pas me faire remarquer, je remontai ma main pour la glisser sous sa culotte, à même la peau. Je découvris qu’une petite fille était faite comme une femme en miniature. Tout y était ; les grandes et les petites lèvres, le petit bouton en haut sous son capuchon, le petit trou à pipi avec toutefois un plus : la petite peau qui témoignait de la non transgression de l’interdit.

Afin d’être le plus doux possible, je retirai ma main pour lubrifier abondamment mes doigts avec ma salive avant de reprendre mes explorations défendues. Lorsque je fis glisser mon doigt le long de la petite fente pour en écarter les lèvres, Alice se réveilla. Je me figeai mais elle posa sa petite main sur la mienne pour m’encourager et guider mes explorations défendues. Soulagé, je repris mes caresses et Alice ouvrit ses jambes en grand en soupirant d’aise. Santaya me tendit une petite serviette éponge avec un grand sourire :

– Merci de donner du plaisir à ma fille, mais prenez ceci car il arrive à Alice de lâcher un peu de pipi lorsqu’elle jouit.

Je pris la serviette en rougissant, incapable de dire quoi que ce soit dans cette situation embarrassante qui me dépassait. Je respirai un bon coup ! Bon, la fille s’offrait au plaisir en soupirant et sa maman me remerciait par avance, il ne me restait plus qu’à faire mes preuves. J’utilisai toute mon expérience, ma douceur et ma perversité pour arriver au résultat que tout le monde espérait. La petite chatte d’Alice s’est d’abord mise à mouiller abondamment pendant que je l’astiquais, puis les muscles de ses cuisses et de son ventre se sont contractés et détendus spasmodiquement de plus en plus vite jusqu’à ce que son petit corps s’arc-boute et qu’elle jouisse en poussant des petits cris de souris et en envoyant trois petits jets de pipi sur ma main déjà pleine de sa cyprine, Alice était une petite fille fontaine !

Lorsqu’elle eut repris son souffle, elle me regarda avec des yeux humides et murmura :

– Titou, tu es super gentil avec moi.

– C’est parce que je suis fou amoureux de toi, ma chérie.

– Moi aussi, je t’aime !

Elle me fit un gros poutou sur la bouche, et sa mère lui fit signe de s’approcher et lui murmura quelque chose à l’oreille. Alice opina et me dit :

– Titou, j’ai envie de faire pipi, tu m’emmènes aux toilettes ?

– OK !

Comme nous étions assis à l’arrière de l’appareil, les toilettes étaient juste derrière nous et je passais devant Santaya en essayant de cacher l’érection phénoménale qui déformait mon pantalon. Bien sûr, elle avait vu la bosse et m’adressa un clin d’œil appuyé.

Dès que j’eus verrouillé la porte des toilettes, Alice enleva sa petite culotte et me la donna, puis s’assit sur le siège et fit son pipi. Je ne pus m’empêcher de sniffer l’entrejambe de sa culotte et la flagrance suave et enivrante dont elle était imprégnée exacerba mon érection qui devint douloureuse. J’ouvris ma braguette pour me soulager et sortis ma bite qui, vu l’étroitesse des lieux, se retrouva pointée juste devant le minois d’Alice.

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La petite s’en saisit immédiatement, décalotta le gland comme une professionnelle, le mis en bouche et branla ma hampe en flattant mes couilles avec son autre main. Les yeux fermés et les poumons imprégnés des effluves intimes d’Alice qui me faisait une pipe fabuleuse, je mis moins de deux minutes pour capituler et me soulager en cinq ou six puissantes giclées si copieuses qu’elles débordèrent de sa petite bouche accueillante et coulèrent sur son menton. Je la regardai avec amour et lui demandai :

– Tu es super douée mais qui t’a appris tout ça ?

– C’est mon papa mais il ne fait pas autant de jus que toi. Regarde Titou, j’en ai partout !

– Ne bouge pas ! Je vais te nettoyer.

Comme un petit chien, je mis à lécher son minois pour y effacer toutes traces suspectes. Elle se mit à rire et dit :

– OK, je vais nettoyer ta bite et après tu nettoieras mon minou qui est plein de pipi, d’accord ?

– Bien sûr, ma chérie.

Alice lapa toute trace de sperme sur ma bite repue qui se dégonflait doucement puis elle se retourna, écarta les jambes et se pencha sur le siège des WC pour me donner accès à son intimité. Je m’agenouillai et goûtai pour la première fois au fruit défendu, à ce mélange d’urine et de cyprine de petite fille si jeune et déjà si sexualisée. Je récupérai et avalai consciencieusement toutes les traces goûteuses sans oublier les résidus bruns séchés parsemés autour de son petit anus plissé.

Nous nous relevâmes, je mis sa petite culotte dans ma poche — elle ne la réclama pas — et nous regagnâmes notre siège. Elle s’allongea sur moi et dit d’une voix somnolente :

– Titou ?

– Oui, ma puce.

– J’ai sommeil, tu peux mettre ton doigt dans mon culcul quand je dors, mais pas dans mon minou, d’accord ?

– C’est promis ma chérie !

Alice s’endormit en trois minutes en suçant son pouce. Je la recouvris d’une couverture et posai ma main sur ses petites fesses nues pour bien la maintenir contre moi et l’empêcher de glisser vers le sol. Je demandai à sa maman :

– Je suis très surpris par la maturité sexuelle d’Alice ! Bien sûr, j’en ai bien profité et j’ai adoré ça, mais je me pose pas mal de questions, pourriez-vous me dire comment une petite fille de six ans peut être aussi expérimentée ?

– C’est une longue histoire ! En fait, mon mari est très vieux et très riche alors que je suis issue d’une famille extrêmement pauvre. Lorsque j’avais huit ou neuf ans, je vivais avec mes parents dans un bidonville à Bangkok et je vendais des fleurs aux automobilistes qui s’arrêtaient aux feux rouges d’un carrefour. J’étais sale, en haillons et les pieds nus et, lorsque je rentrais à la maison avec quelques sous, mon père me les prenait pour aller boire. Il était tout le temps saoul et battait ma mère qui pleurait tout le temps. Un jour, un étranger dans une grosse voiture a fait signe à son chauffeur thaï de s’arrêter et il a acheté toutes mes fleurs et m’a donné en plus un pourboire très généreux. J’ai caché une partie de l’argent dans ma culotte pour le donner à ma mère. Le lendemain, la voiture est revenue et l’homme a de nouveau acheté toutes mes fleurs et son chauffeur m’a dit qu’il voulait rencontrer mes parents. Il a garé la voiture dans le parking d’un hôtel pas loin et je l’ai conduit à la maison. Il a expliqué à mes parents qu’un étranger très riche voulait m’adopter pour me faire suivre des études et plein d’autres histoires dont je ne me rappelle plus les détails. Mon père a refusé car j’étais la seule à rapporter un peu d’argent dans la famille, mais le chauffeur a sorti une liasse de billets tellement grosse que mon père et ma mère avaient les yeux qui sortaient de la tête. Le

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chauffeur a laissé l’argent sur la table, m’a prise par la main et m’a emmenée. Je me suis mise à pleurer mais ni mon père ni ma mère n’ont fait un geste pour me retenir. Je ne les ai jamais revus depuis. L’étranger venait de m’acheter à mes parents pour me dépuceler.

Santaya serrait Jasmine contre elle et avait les yeux humides en se remémorant ces évènements. Je n’osai pas l’interrompre et elle continua son récit :

– Le soir même, il m’a lavée de la tête aux pieds dans la salle de bains luxueuse de sa chambre d’hôtel, je n’avais jamais vu une baignoire avant et ne savais même pas que ça pouvait exister. Puis il m’a allongée sur le lit et il a poussé son gros machin tout dur dans mon ventre. J’ai crié et je me suis débattue mais il m’écrasait avec son gros vente et je n’ai jamais eu aussi mal de ma vie. Il m’a déchirée. Il y avait du sang plein les draps. Il était heureux. J’ai pleuré une partie de la nuit. Le lendemain, il m’a acheté plein de vêtements, des cadeaux et même une chaîne en or. Puis il a recommencé, tous les soirs ; dans mon ventre puis dans mes fesses et même dans ma bouche. Après une semaine, je n’avais plus mal. C’était devenu juste un mauvais moment à passer. Et il continuait à me faire des cadeaux. Puis il m’a dit qu’il m’aimait et qu’il voulait m’emmener en France. Je ne sais pas comment il a fait mais comme il avait beaucoup d’argent et que l’administration est assez corrompue dans mon pays, il a pu m’adopter et j’ai eu un passeport et un visa pour aller en France. Il m’a inscrite dans une école privée très renommée et, dans la journée, j’étais une élève modèle et le soir je redevenais son jouet sexuel. Au fil des années, j’ai appris à apprécier et à aimer ma situation au point d’être terrorisée à la pensée que je pourrais redevenir pauvre un jour. Comme il est authentiquement pédophile et que je vieillissais, j’avais peur qu’il ne me quitte un jour pour une gamine plus jeune. Lorsque mes règles sont apparues vers treize ans, je n’ai eu qu’un désir ; tomber enceinte et, si possible, avoir une fille pour qu’il n’aille pas voir ailleurs. Heureusement pour moi, il était de plus en plus vieux et je le dorlotais pour lui rendre la vie la plus confortable possible de manière à ce qu’il n’ait pas envie de me quitter, mais son sperme étant moins abondant j’ai mis un an avant de me retrouver enceinte. Lorsque l’échographie révéla que j’attendais une fille, je sus que la partie était gagnée. Après la naissance d’Alice, j’avais bien conscience qu’avec mes gros seins, et mon sexe poilu et distendu par la mise au monde d’un enfant, je n’étais plus l’objet d’aucun désir sexuel de sa part et qu’il allait très vite se focaliser sur la petite mais je décidais de lui vendre au prix fort l’accès à l’entrejambe de ma fille. J’ai négocié âprement chaque étape ; lorsqu’il a voulu voir sa chatte, puis la sentir, puis la goutter, boire son pipi, pénétrer ses fesses avec ses doigts, se faire sucer la bite, jouir dans sa bouche, juter à l’entrée de son vagin, lui prendre son pucelage de derrière... On en est là actuellement ! Seule la petite chatte d’Alice est encore vierge. Ces différents marchandages m’ont rapporté bien au-delà de mes espérances. J’ai pu m’acheter une maison en Thaïlande et deux appartements bien situés à Bangkok qui sont loués à des étrangers. Je compte bien retourner vivre dans mon pays lorsque cette histoire sera définitivement terminée.

La situation était irréaliste. Nous étions dans la pénombre bercés par le ronronnement de l’avion qui volait à neuf cents kilomètres/heure à onze mille mètres d’altitude en pleine nuit quelque part au-dessus des Indes ou du Pakistan. Les dossiers de nos sièges étaient inclinés. Jasmine dormait, la tête reposant sur les seins de sa maman. Alice dormait aussi, allongée sur le ventre, sur moi. La couverture cachant l’index de ma main gauche planté dans ses petites fesses pendant que je caressais doucement ma bite en écoutant les confidences que Santana récitait à voix basse avec une incroyable franchise. Un détail méritait quand même une précision :

– Comment est née Jasmine si votre « protecteur » ne s’intéresse plus à vous ?

Santaya éclata de rire :

– Bravo, vous êtes perspicace ! Il y a un an je me suis rendue en Thaïlande pour faire mes achats immobiliers avec l’argent qu’il m’avait donné. J’ai aussi rencontré un australien de vingt-sept ans, un surfeur musclé et bronzé, avec une bite infatigable et toujours raide. Il faut que vous sachiez deux choses ; mon vieux mari a soixante-sept ans et je n’avais jamais connu d’autres hommes que lui. Je me suis laissée facilement séduire par Kevin (l’australien) et j’ai connu le premier orgasme de ma vie.

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J’étais comme folle, comme une droguée en manque, et nous avons passé un week-end entier au lit à baiser comme des fous. Comme je n’avais jamais pris de contraceptif et que mon jeune amant a dû me baiser au moins cent fois pendant les trois semaines de mon séjour, ma chatte était en permanence gorgée de sperme et j’étais sûre d’être enceinte à mon retour. J’ai monté un stratagème émouvant à mon vieux mari en lui expliquant qu’il m’avait horriblement manqué et je l’ai supplié de me baiser au moins une fois. Avec l’aide d’Alice, qui pourléchait son anus en caressant ses couilles pendant qu’il était sur moi, on a réussi à lui faire cracher un peu de jus au fond de ma chatte et c’est comme ça que Jasmine est née...

– Il l’a cru ?

– Pas sûr ! Mais il n’en a jamais rien dit et il la considère comme sa fille ; il lui a ouvert un compte épargne comme à Alice et il y met de l’argent tous les mois. Il continue à m’en donner aussi et, au cours de ce voyage en Thaïlande, j’ai acheté un autre appartement.

– Vous avez revu Kevin ?

– Non, l’année dernière il était en vacances et je ne connais ni son adresse ni son nom de famille. Il ne sait pas non plus qu’il est papa d’une petite fille.

– Comment voyez-vous l’avenir ?

– Sereinement ! Je suis maintenant à l’abri du besoin. J’ai des enfants magnifiques, même si ils sont quelque peu « dévergondés ». Mon mari est vieux et malade mais je ne l’abandonnerai pas, je serai à ces côtés jusqu’au bout... Mes parents m’ont vendue pour de l’argent, puis j’ai vendu ma fille pour la même raison. Mon mari fait partie d’un autre monde ; les riches qui peuvent faire ce qu’ils veulent justement parce que beaucoup d’autres, comme moi, sont cupides. Il va peut-être mourir demain, où dans dix ans, mais je serai là ! C’est ma façon à moi de me respecter.

– Vous êtes sincèrement remarquable.

– C’est la première fois que je raconte ma vie à quelqu’un et je dois dire que ça fait rudement du bien. Vous aimez vraiment Alice ?

– C’est une poupée de rêve, et elle a l’air si heureuse malgré son décalage sexuel et affectif par rapport aux autres enfants de son âge.

– C’est justement ce qui me tracasse ! Elle n’est pas à mettre au contact de n’importe qui. J’ai été frappée par votre générosité lors de mon problème d’embarquement, vous n’avez pas hésité une seconde pour nous aider. J’aimerais que nous restions en contact et même plus, j’aimerais pouvoir vous la confier de temps en temps pour qu’elle évolue dans un autre environnement, plus généreux et plus ouvert.

– Euh, je n’avais jamais eu de relations sexuelles avec un enfant, mais j’ai honte d’avouer que j’ai adoré ça.

– Oui, et elle adore ça aussi ! Vous avez vu comment elle aime jouir ? Lorsqu’un enfant a perdu son innocence, c’est irrémédiable ! Il n’y a pas de retour en arrière possible. C’est parce que vous aimez ça tous les deux qu’elle sera sexuellement heureuse, et c’est parce que vous êtes disponible et généreux qu’elle pourra s’épanouir en grandissant.

– J’espère être à la hauteur de vos espérances.

– Je n’ai aucun doute à ce sujet... Titou !

FIN