5
TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE COMMENTAIRES ROMANS Sauf les fleurs Nicolas Clément Marthe vit à la ferme avec ses parents et son frère Léonce. Le père est mutique et violent, mais l'amour de la mère, l'enfance de Léonce et la chaleur des bêtes font tout le bonheur de vivre. À seize ans, elle rencontre Florent et découvre que les corps peuvent aussi être doux. Deux ans plus tard, le drame survient. Les fleurs sont piétinées, mais la catastrophe laisse intacts l'amour du petit frère et celui des mots. Une histoire bouleversante et charnelle, une langue d'une puissance étincelante : la voix de Marthe, musicale et nue, accompagnera le lecteur pour longtemps. Un texte fulgurant. « c'est un livre inclassable et qui doit plaire à tous ceux qui aiment la fantaisie ... et le pouvoir des mots. » « Une très belle lecture avec des réserves. L'écriture peut en dérouter certains, mais les pages de ce livre sont d'une grande force. » « Difficile de noter ce premier livre qui concentre aphorismes, métaphores, hyperboles, paraboles et autres spécificité de la langue française. Heureusement qu'il est court et se lit vite, car j'ai saturé dès la 4e page. » « voici une musique et un chant que l’on n’est pas prêt d’oublier! quelle belle écriture riche et entrainante. à lire très vite. » Le baiser dans la nuque Hugo Boris Un premier roman servi par une écriture extrêmement évocatrice. La rencontre improbable d'une femme guettée par la surdité et d'un professeur de piano. Louis et Fanny. Un homme et une femme qui se retrouvent chaque jeudi. Elle devient sourde. Il est professeur de piano. Elle veut prendre de court le handicap, faire le deuil de la musique avant de sombrer dans le silence. Les autres jours de la semaine, elle est sage- femme. Leçon après leçon, elle raconte. Leçon après leçon, il écoute. Une monnaie d'échange. Un baiser dans la nuque. Qui permettra peut-être de panser une blessure dont elle ignore encore la profondeur. « En tant qu'homme (et père) j'ai été très ému par la sensibilité et la poésie avec laquelle l'auteur traite de l’accouchement et du monde hospitalier. L'histoire d'amour et de solitude très bien vue. J’encourage tout lecteur à l'ouvrir car il se lit vite. » « Je suis du genre bon public en lecture... et bien je n'ai pas pleuré. C'est mon seul regret par rapport à ce livre. Pourtant il y a tous les ingrédients de l'émotion, l'histoire est belle, l'écriture est fluide. Mais on n'entre pas assez dans l'intime des personnages, ils restent très lointains et ne nous touchent pas. » « Ce livre m'a simplement attiré par le titre qui est magnifique. J'ai commencé à lire cette histoire qui est superbe pour un jeune auteur de 25 ans félicitations. Il vous transporte dans une histoire de rêve, douce, agréable, romantique et la fin est très surprenante on ne s'y attend pas du tout. Un livre à lire absolument. Il est vraiment très très bien. Bravo à Boris Hugo. » La vie en mieux Anna Gavalda Mathilde a 24 ans. Elle a abandonné ses études pour un boulot sans intérêt et vit en colocation avec deux autres filles. Elle dit qu'elle est heureuse, mais est toujours obligée de boire pour s'en souvenir. Un jour, elle oublie son sac à main dans un café. Un homme le lui rend la semaine suivante. Quelques mois plus tard, et à cause de cet homme justement, elle décide de changer de vie. Yann a 26 ans. Il est aussi diplômé qu'on puisse l'être, mais n'a pas trouvé de travail. En attendant des jours meilleurs, il est vendeur. Il ne dit pas qu'il est malheureux, mais souvent, quand il traverse la Seine, il s'imagine qu'il saute et se voit en noyé. Un soir, alors qu'il est seul, il rend service à son voisin du dessus. Pour le remercier ce dernier l'invite à dîner. Quelques heures plus tard, et à cause de cet homme justement, il décide de changer de vie. « Il y a très longtemps que je lis les livres d’Anna Galvada ; la première partie je n’ai pas trop aimé mais la deuxième j’ai adorée un petit moment de bonheur » « Quand Anna Gavalda se lâche... Dans la ligne de son précédent opus "Billie"... On aime ou on n’aime pas. Moi je préfère une Anna Gavalda dans le style de "Tous ensemble ! " Mais c'est l'auteur qui décide... » « L'écriture d'Anna Gavalda est absolument magnifique et ce livre est un coup de gueule. Les thèmes abordés et souvent récurrents sont "grossis" pour mieux nous démontrer les vraies valeurs de la vie qui lui donnent un sens : l’amour, l’amitié, la solidarité, la pugnacité... les préjugés à abattre. Bien sûr il y a certains clichés mais tellement bien décrits, regarder derrière l’apparence et découvrir le beau à l’intérieur mais tout cela n’est-il pas vrai ? Chaque livre est une pépite d’humanité et ça fait du bien, oh combien ! » Muchachas 2 Katherine Pancol Ces filles-là sont intrépides. Elles ne demandent rien aux autres. Tout à elles-mêmes. Cachent leur peur sous un sourire. C’est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s’inventer. Elles se sentent pousser des ailes, s’envolent, tombent et repartent de plus belle. Il y a des secrets, des mystères, des trahisons. Des obstacles à surmonter. Des mots d’amour lancés à la volée. La vie, quoi ! « Si j'ai détesté Muchachas 1 j'ai beaucoup aimé Muchachas 2 Enfin on retrouve Katherine PANCOL les personnages que l'on aime, ses histoires, on ne lit pas un livre sur les femmes battues...Je n'ai pas voulu lire Muchachas 1 pour lire un plaidoyer sur les femmes battues... je lis les livres de K PANCOL pour rêver, partir dans un autre monde pas pour tomber dans une réalité sordide Bon j'attends Muchachas 3 mais j'espère que ce sera la suite du 2 et pas du 1!!! » « On retrouve les personnages de la trilogie précédente évoluant dans leurs vies, les scènes de violence ont disparu et tant mieux, comme quoi il ne fallait faire de jugement trop hâtif sur Mme Pancol ! Je pense que nous retrouverons les personnages de muchachas 1 dans le tome 3 et la boucle sera bouclée. Il me tarde de savoir si je me trompe ou pas... »

TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE ROMANS€¦ · Guillaume Musso New York, huit heures du matin. Alice, ... dîner l'appellera demain à 10h et il le sait, ce coup de fil pourrait

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE ROMANS€¦ · Guillaume Musso New York, huit heures du matin. Alice, ... dîner l'appellera demain à 10h et il le sait, ce coup de fil pourrait

TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE COMMENTAIRES

ROMANS

Sauf les fleurs

Nicolas Clément

Marthe vit à la ferme avec ses parents et son frère Léonce. Le père est mutique et violent, mais l'amour de la mère, l'enfance de Léonce et la chaleur des bêtes font tout le bonheur de vivre. À seize ans, elle rencontre Florent et découvre que les corps peuvent aussi être doux. Deux ans plus tard, le drame survient. Les fleurs sont piétinées, mais la catastrophe laisse intacts l'amour du petit frère et celui des mots. Une histoire bouleversante et charnelle, une langue d'une puissance étincelante : la voix de Marthe, musicale et nue, accompagnera le lecteur pour longtemps. Un texte fulgurant.

« c'est un livre inclassable et qui doit plaire à tous ceux qui aiment la fantaisie ... et le pouvoir des mots. » « Une très belle lecture avec des réserves. L'écriture peut en dérouter certains, mais les pages de ce livre sont d'une grande force. » « Difficile de noter ce premier livre qui concentre aphorismes, métaphores, hyperboles, paraboles et autres spécificité de la langue française. Heureusement qu'il est court et se lit vite, car j'ai saturé dès la 4e page. »

« voici une musique et un chant que l’on n’est pas prêt d’oublier! quelle belle écriture riche et entrainante. à lire très vite. »

Le baiser dans la

nuque Hugo Boris

Un premier roman servi par une écriture extrêmement évocatrice. La rencontre improbable d'une femme guettée par la surdité et d'un professeur de piano. Louis et Fanny. Un homme et une femme qui se retrouvent chaque jeudi. Elle devient sourde. Il est professeur de piano. Elle veut prendre de court le handicap, faire le deuil de la musique avant de sombrer dans le silence. Les autres jours de la semaine, elle est sage-femme. Leçon après leçon, elle raconte. Leçon après leçon, il écoute. Une monnaie d'échange. Un baiser dans la nuque. Qui permettra peut-être de panser une blessure dont elle ignore encore la profondeur.

« En tant qu'homme (et père) j'ai été très ému par la sensibilité et la poésie avec laquelle l'auteur traite de l’accouchement et du monde hospitalier. L'histoire d'amour et de solitude très bien vue. J’encourage tout lecteur à l'ouvrir car il se lit vite. » « Je suis du genre bon public en lecture... et bien je n'ai pas pleuré. C'est mon seul regret par rapport à ce livre. Pourtant il y a tous les ingrédients de l'émotion, l'histoire est belle, l'écriture est fluide. Mais on n'entre pas assez dans l'intime des personnages, ils restent très lointains et ne nous touchent pas. » « Ce livre m'a simplement attiré par le titre qui est magnifique. J'ai commencé à lire cette histoire qui est superbe pour un jeune auteur de 25 ans félicitations. Il vous transporte dans une histoire de rêve, douce, agréable, romantique et la fin est très surprenante on ne s'y attend pas du tout. Un livre à lire absolument. Il est vraiment très très bien. Bravo à Boris Hugo. »

La vie en mieux

Anna Gavalda

Mathilde a 24 ans. Elle a abandonné ses études pour un boulot sans intérêt et vit en colocation avec deux autres filles. Elle dit qu'elle est heureuse, mais est toujours obligée de boire pour s'en souvenir. Un jour, elle oublie son sac à main dans un café. Un homme le lui rend la semaine suivante. Quelques mois plus tard, et à cause de cet homme justement, elle décide de changer de vie. Yann a 26 ans. Il est aussi diplômé qu'on puisse l'être, mais n'a pas trouvé de travail. En attendant des jours meilleurs, il est vendeur. Il ne dit pas qu'il est malheureux, mais souvent, quand il traverse la Seine, il s'imagine qu'il saute et se voit en noyé. Un soir, alors qu'il est seul, il rend service à son voisin du dessus. Pour le remercier ce dernier l'invite à dîner. Quelques heures plus tard, et à cause de cet homme justement, il décide de changer de vie.

« Il y a très longtemps que je lis les livres d’Anna Galvada ; la première partie je n’ai pas trop aimé mais la deuxième j’ai adorée un petit moment de bonheur » « Quand Anna Gavalda se lâche... Dans la ligne de son précédent opus "Billie"... On aime ou on n’aime pas. Moi je préfère une Anna Gavalda dans le style de "Tous ensemble ! " Mais c'est l'auteur qui décide... »

« L'écriture d'Anna Gavalda est absolument magnifique et ce livre est un coup de gueule. Les thèmes abordés et souvent récurrents sont "grossis" pour mieux nous démontrer les vraies valeurs de la vie qui lui donnent un sens : l’amour, l’amitié, la solidarité, la pugnacité... les préjugés à abattre. Bien sûr il y a certains clichés mais tellement bien décrits, regarder derrière l’apparence et découvrir le beau à l’intérieur mais tout cela n’est-il pas vrai ? Chaque livre est une pépite d’humanité et ça fait du bien, oh combien ! »

Muchachas 2 Katherine Pancol

Ces filles-là sont intrépides. Elles ne demandent rien aux autres. Tout à elles-mêmes. Cachent leur peur sous un sourire. C’est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s’inventer. Elles se sentent pousser des ailes, s’envolent, tombent et repartent de plus belle. Il y a des secrets, des mystères, des trahisons. Des obstacles à surmonter. Des mots d’amour lancés à la volée. La vie, quoi !

« Si j'ai détesté Muchachas 1 j'ai beaucoup aimé Muchachas 2 Enfin on retrouve Katherine PANCOL les personnages que l'on aime, ses histoires, on ne lit pas un livre sur les femmes battues...Je n'ai pas voulu lire Muchachas 1 pour lire un plaidoyer sur les femmes battues... je lis les livres de K PANCOL pour rêver, partir dans un autre monde pas pour tomber dans une réalité sordide Bon j'attends Muchachas 3 mais j'espère que ce sera la suite du 2 et pas du 1!!! » « On retrouve les personnages de la trilogie précédente évoluant dans leurs vies, les scènes de violence ont disparu et tant mieux, comme quoi il ne fallait faire de jugement trop hâtif sur Mme Pancol ! Je pense que nous retrouverons les personnages de muchachas 1 dans le tome 3 et la boucle sera bouclée. Il me tarde de savoir si je me trompe ou pas... »

Page 2: TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE ROMANS€¦ · Guillaume Musso New York, huit heures du matin. Alice, ... dîner l'appellera demain à 10h et il le sait, ce coup de fil pourrait

TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE COMMENTAIRES

Central park Guillaume Musso

New York, huit heures du matin.

Alice, jeune flic parisienne, et Gabriel, pianiste de jazz américain, se réveillent menottés

l’un à l’autre sur un banc de Central Park.

Ils ne se connaissent pas et n’ont aucun souvenir de leur rencontre. La veille au soir, Alice faisait la fête avec ses copines sur les Champs-Élysées tandis que Gabriel jouait du

piano dans un club de Dublin.

Impossible ? Et pourtant...

« Un suspense magistral qui vous happe dès les premières pages pour ne plus vous lâcher. »

« Deux personnages inoubliables, emportés de surprise en surprise. »

« Une lecture intense, additive, irrésistible. »

Murmurer à l’oreille

des femmes Douglas Kennedy

Dans l'Amérique des années soixante, en pleine crise de Cuba, un petit garçon attend le bus scolaire et n'a d'yeux que pour la fillette à côté de lui. Un long échange de regards et le garçon comprend que cet instant vient de marquer sa vie sentimentale future... Un homme rentre chez lui, complètement saoul et paniqué. La femme avec qui il vient de dîner l'appellera demain à 10h et il le sait, ce coup de fil pourrait bien chambouler toute sa vie... Erica pensait avoir géré son divorce comme elle gère sa carrière : rapidement, efficacement et avec détachement. Mais quand son ex lui propose de lui racheter la bague de fiançailles qu'il lui avait offerte, Erica n'a plus qu'une idée en tête, trouver la meilleure vengeance possible... La cinquantaine plan-plan, un brave père de famille se retrouve coincé à Vegas pour deux jours, l'occasion de tenter un très gros coup de poker... Une femme regarde son mari et se remémore le commentaire de sa mère au moment de l'annonce de leur fiançailles : " Ouais, fera l'affaire ". Et c'était vrai. Alors pourquoi ce goût d'inachevé ?

« J'ai bien aimé ces petites histoires de couples auxquelles on peut s'identifier, J'adore cet auteur et je n'ai jamais été déçue. Je le conseille vivement. » « Nouveau livre répétitif toutes les histoires sont mysogines à souhait: très décevant. » « Un peu déprimant... mise à part la dernière histoire, D. Kennedy affiche un pessimisme incroyable quant aux relations hommes/femmes. Et puis il nous a habitués à mieux, loin de ces lieux communs. Un livre que l’on lit rapidement et que l’on oublie tout aussi vite. A croire qu’il souffre du syndrome de la page blanche et qu’il a regroupé de vieux gribouillis retrouvés dans ses tiroirs, histoire de publier quelque chose en 2014. »

« L'impression que l'auteur n'avait pas d'inspiration et s'est contenté de reprendre des idées déjà explorées dans ses précédents romans. Évidemment bien écrit et agréable á lire mais insuffisant pour moi. »

Clandestines

Zoé Ferraris

À Djeddah, Arabie-Saoudite, de nos jours, la police découvre ce qui s’annonce comme le crime le plus terrible jamais recensé dans la région : dix-neuf cadavres de femmes dénudées, les mains tranchées, disposées dans des positions mystérieuses. Un point commun : elles sont toutes asiatiques. Dix-neuf cadavres, comme les dix-neuf Gardiens de l’Enfer : l’allusion coranique est évidente. Et quand un nouveau corps est retrouvé dans les rues de Djeddah, chacun s’interroge : ce serial-killer est-il seul à agir ? Quel message veut-il faire passer ? Puisque la loi interdit aux hommes de son service de regarder ces corps nus, l’inspecteur Ibrahim n’a pas le choix : s’il veut faire avancer l’enquête, il va devoir déléguer une partie de celle-ci à des femmes. Meurtres en série, trafic de clandestines, chantage et copycat… Derrières les façades silencieuses de Djeddah, les secrets sont bien gardés.

« Lire un roman de Zoë Ferraris, c'est partir dans un monde que nous ne pouvons qu'imaginer en tant que femmes occidentales. J'aime lire ces ouvrages de temps à autre parce que s'ils sont toujours intéressants à découvrir, il n'en demeure pas moins que le statut de la femme en Arabie Saoudite reste ce qu'il est... » « Je suis vraiment épatée par la façon dont Zoë Ferraris, encore une fois, a su m'attacher à son ouvrage, à son enquête et aux traditions religieuses de ce pays. » « Loin d'être écrasant et oppressant, ce livre nous délivre tout simplement le quotidien dans ce pays et les difficultés qui en découlent tant pour y vivre d'une façon plus libérée que pour résoudre une enquête. »

Elle marchait sur un

fil

Philippe Delerme

A cinquante ans, Marie se retrouve seule. Telle la marée montante, la vie a effacé la trace de ses pas. Un autre chemin reste à inventer. La rencontre d'un groupe de jeunes comédiens lui ouvre de nouveaux horizons : elle montera avec eux le spectacle qu'elle avait imaginé pour son fils. Mais le rêve peut tourner à la tragédie. Les parents doivent-ils influencer le devenir de leurs enfants ? Que reste-t-il à créer lorsqu'on entame la seconde partie de sa vie ? Dans ce roman poignant qui oscille entre la Bretagne et Paris, Philippe Delerm aborde ces sujets pour la première fois, traçant le portrait fragile d'une femme en équilibre sur le fil de sa vie.

« Après avoir peiné durant un chapitre (curieux, j'avais la sensation qu'il y avait trop de virgules, je m'essoufflais), la lecture a été aisée et rapide. Suivre Marie dans ses pensées tout en restant extérieure donne une impression étrange de flou cotonneux, de douceur... J'en suis ressortie avec l'impression que le sable coulait de mes doigts. Des remarques qui sonnent juste, d'autres moins, des passages pleins de grâce, mais finalement il me reste une sensation un peu brumeuse. » « Un livre rempli de petites anecdotes pleines d'humour et de réalisme. À lire pour nous rappeler que l'amitié est rare et qu'il faut en prendre soin pour qu'elle perdure. » « Une très belle histoire, un roman sensible et touchant. »

Page 3: TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE ROMANS€¦ · Guillaume Musso New York, huit heures du matin. Alice, ... dîner l'appellera demain à 10h et il le sait, ce coup de fil pourrait

Titre Description de l’ouvrage Commentaires

Qu’attendent les

singes

Yasmina Khadra

Une jeune étudiante est découverte assassinée dans la forêt de Baïnem, près d'Alger. Une femme, Nora Bilal, est chargée de mener l’enquête, loin de se douter que sa droiture est un danger mortel dans un pays livré aux requins en eaux troubles. Qu’attendent les singes est un voyage à travers l’Algérie d’aujourd’hui où le Mal et le Bien se sentent à l’étroit dans la diablerie naturelle des hommes.

« J'ai littéralement dévoré "Qu'attendent les singes" et je dois dire que j'ai été bluffée par le talent de Y. Khadra ! Dès les premières pages on est happé par l'intrigue, le personnage principal est une femme à poigne (fait si rare dans la littérature policière et plus courageux encore quand on sait la difficulté des femmes à affirmer leurs droits dans le monde arabe), on y découvre aussi la face sombre de l'Algérie, son degré de corruption quasi diabolique, et puis, surtout, on ne le lâche pas du début à la fin, et ça, c'est ce qu'on peut attendre de mieux d'un roman, non ? » « Le roman laisse une impression mitigée: vrai polar ? Plaidoyer passionné pour un assainissement de la société algérienne? On penche plutôt pour cette 2° hypothèse lorsqu'à la fin du roman, un policier est "purifié" en assassinant le pire des salauds d'Alger. Quoiqu'il en soit on est loin du souffle des grands romans de l'auteur parmi lesquels je compte "les sirènes de Bagdad" et "les hirondelles de Kaboul". »

Les invasions

quotidiennes

Mazarine Pingeot

Depuis quelque temps, rien ne tourne plus rond dans la vie de Joséphine Fayolle. D’abord, c’est son ex-mari qui ne semble pas vraiment d’accord sur le sens du mot « séparation », et continue à inventer ce qui pourrait l’enquiquiner pour rester dans sa vie. Ensuite, c’est l’inspiration qui lui fait faux bond, au moment même où Joséphine doit faire ses preuves son éditrice, prend sa retraite, et l’inconnu qui la remplace s’impatiente de lire les premières pages de son prochain livre. Et puis, ce matin-là, choisissant l’instant où son banquier l’appelle pour lui parler de son découvert, c’est son lave-vaisselle qui la lâche. Le début de la fin. Ou alors... le début d’une nouvelle vie ? S’inventant un double gaffeur et borderline, Mazarine Pingeot raconte avec Joséphine Fayolle cette génération de femmes encore jeunes, mères d’enfants en bas âge, fraichement séparées, qui rêvent un impossible retour à l’insouciance et la liberté de leurs vingt ans.

« Un roman qui se laisse lire facilement avec une héroïne attachante. Je recommande ce livre avec lequel j'ai passé un bon moment. » « Livre très drôle qui raconte la vie d'une femme de 40 ans aujourd'hui. Joséphine est une Bridget Jones parisienne, maman, romancière pour enfant, séparée puis bientôt maîtresse... »

Une autre idée du

bonheur Marc Levy

Quand une vie ordinaire devient extraordinaire. Philadelphie. Au premier jour du printemps 2010, Agatha sort de prison, mais pas par la grande porte. Après trente ans derrière les barreaux, il ne lui restait que quelques années à faire. Alors pourquoi cette évasion ? Dans une station-service proche du campus, elle s’invite à bord de la voiture de Milly et l’entraîne dans sa cavale sans rien lui révéler de sa situation. Dotée d’un irrésistible appétit de vivre, Agatha fait voler en éclats la routine confortable de Milly. Vingt ans les séparent, mais au fil du voyage les deux femmes partagent ces rêves qu’il n’est jamais trop tard pour réaliser et évoquent ces amours qui ne s’éteignent pas. Cinq jours en voiture à travers les États-Unis... À chaque étape, une rencontre avec un personnage surgi du passé les rapprochera du secret d’Agatha.

« Excellent roman ! Ce long voyage est captivant mais passe trop vite pour le lecteur ! J'ai eu l'impression de faire partie de ce périple ! » « Très beau roman !!! Marc Levy sait se renouveler et nous embarque dans une histoire originale, prenante et touchante. A lire sans hésiter. » « Une autre histoire où sont merveilleusement mêlés la passion, l'histoire, l'aventure, l'amour, le suspense,... pour nous emporter dans une quête à rebondissements. » « Ce dernier Lévy est une histoire passionnante dont les 2 héroïnes sont tellement vivantes et attachantes que le livre se dévore. »

La blancheur qu’on

croyait éternelle

Virginie Carton

Mathilde aimerait bien devenir chocolatière mais elle est trop diplômée pour ça. Elle ne sort pas beaucoup et n’aime pas se déguiser. Ce qu’elle préfère, c’est regarder le concours de Miss France à la télé en mangeant des palets bretons trempés dans du lait. Quand elle avait sept ans, Mathilde a été traumatisée par la mort de Romy Schneider. À trente-quatre ans, elle pense encore à Julien, et Éléonore, sa meilleure amie, est décidée à lui trouver un bon parti. Lucien est pédiatre, il aime les films avec Jean-Louis Trintignant, et Deauville. Il n’aime pas tellement danser. Ça remonte à son enfance, à l’époque des premières boums ratées. Chaque année, au Nouvel An, il envoie une carte de vœux à ses parents. À trente-cinq ans, il est célibataire. Il aimerait bien que ça change. Mais il n’est pas très à l’aise avec les SMS, alors ce n’est pas gagné. Mathilde et Lucien habitent le même immeuble mais ne le savent pas. Un jour, le nouveau voisin les invite à sa soirée déguisée. La Blancheur qu’on croyait éternelle est l’histoire de deux solitudes, deux sentimentaux perdus dans un monde plus vraiment sentimental.

« C’est tendre, nostalgique et semé d’humour. Et il faut vraiment saluer cette performance d’insérer des phrases de chansons. L’épilogue montre la maîtrise de l’auteur dans la construction de son scénario. Et, comme à la fin du générique d’un film que l’on ne veut pas quitter, j’ai savouré les petites phrases bien senties des connaissances de Mathilde et Julien. » « Ce qu’on préfère justement dans ce deuxième opus de Virginie Carton, c’est de savoir où on va, et d’y aller sereinement, pleinement, avec délicatesse et sensualité, en prenant le temps de savourer chaque minute de cette lente progression d’un être vers un autre. "La blancheur qu’on croyait éternelle" ne lave pas plus blanc que blanc, il n’y a pas une once de mièvrerie dans tout ça. C’est juste un beau roman, une belle histoire. »

Page 4: TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE ROMANS€¦ · Guillaume Musso New York, huit heures du matin. Alice, ... dîner l'appellera demain à 10h et il le sait, ce coup de fil pourrait

Titre Description de l’ouvrage Commentaires

ROMANS POLICIERS

La mort, simplement

Andrea H. Japp

À Quantico, la profileuse star du FBI Diane Silver est saisie d'une nouvelle enquête. Quatre doubles meurtres commis à Boston requièrent toute sa fuse et sa dextérité. Des couples de seniors ont été assassinés, et dans chaque cas la femme a été massacrée avec une rare sauvagerie. Se mêlent à cette première enquête des disparitions de très jeunes enfants, toujours à Boston. Les deux affaires seraient-elles liées ? À la forme d'apaisement que Diane ressent après la mort de cette Susan Brooks - la " rabatteuse " qui a poussé quinze enfants au-devant de l'un des pires bourreaux, dont sa fille Leonor - se mêle le doute. Qui est au juste Rupert Teelaney, alias Nathan Hunter ? Un justicier ou un redoutable psychopathe, charmant, intelligent, impitoyable, et qui se cherche des excuses pour se livrer à son plus grand plaisir : tuer ? Lorsque Diane apprend le meurtre de son ami Yves Guéguen à Paris, ses soupçons au sujet de Nathan empirent. Serait-il impliqué ?

« Après "Dans la tête, le venin" et "Une ombre plus pâle", La très talentueuse Andréa Japp conclut sa trilogie mettant en scène la "profileuse" américaine Diane Silver et sa "collaboration" avec le richissime Nathan/Ruppert...Je ne peux rien dévoiler de l'intrigue et il faut lire ces 3 thrillers dans l'ordre chronologique cité ci-dessus. Mme Japp s'avère une romancière intelligente et douée : vous pouvez commencer "Dans la tête, le venin", vous n'aurez de cesse que de poursuivre avec les deux autres, je peux presque vous le garantir... Cette trilogie s’écarte des quatre thrillers plus ou moins liés entre eux et où l'héroïne, la mathématicienne Gloria Parker-Simmons, nous enchaîne avec "La parabole du tueur", "Le sacrifice du papillon", "Dans l'œil de l'ange" et "La raison des femmes". Je vous souhaite beaucoup de plaisir et de nombreuses heures de lecture intensive avec ces œuvres dignes de figurer en bonne place dans votre bibliothèque ! »

« J'adore la psy est vraiment imbuvable et elle donne beaucoup de relief au livre. Très efficace cette coopération ave Nathan.... Tous les travers de la société sont étalés ...je suis devenu accro et j'ai déjà commandé les autres livres de cet auteur. »

Trainée de poudre

Patricia Cornwell

À la suite d’une enquête sur une tuerie de masse, Kay Scarpetta reçoit un appel des plus troublants. Le corps d’une jeune femme a été découvert sur le campus du Massachusetts Institute of Technology, à Boston. La victime, jeune et riche diplômée du MIT, est morte moins de deux semaines avant son procès contre la très confidentielle société fiduciaire Double S. Son corps est positionné de manière particulière et recouvert d’un résidu fluorescent de couleur rouge sang, vert émeraude et bleu saphir. Ces deux indices semblent lier l’affaire à une série d’homicides sur lesquels travaille Benton, agent du FBI et mari de Kay. Le docteur Scarpetta découvre un univers sordide de corruption et de meurtre. Avec comme seul fil conducteur pour traquer le meurtrier, quelques traînées de poudre.

« Comparé aux premières aventures de Kay Scarpetta, ce nouveau volet ne tient pas ses promesses. Mais un effort par rapport aux trois derniers est indéniable. Malheureusement l'intrigue se perd dans les méandres d'un récit où les descriptions techniques plombent le style. L'ambiguïté des rapports entre Kay et Marino plongent le lecteur dans un ennui abyssal. Espérons que Patricia Cornwall retrouve vite son entrain. » « Décidément Patricia Cornwell est de plus en plus décevante !! Nous sommes bien loin des histoires passionnantes dans lesquelles elle nous entrainait. Cela dure depuis au moins trois livres et là c'est le tome de trop. A quand la résurrection ? »

« Elle ne se renouvelle pas et nous fais ne plus aimer Kay, madame Patricia Cornwell se prend trop au sérieux. un peu d’humour ferait du bien. » « En matière de sciences légales, nul n’égale Cornwell ! --The New York Times »

Deux veuves pour un

testament

Donna Leon

Après avoir quitté son petit ami durant des vacances ratées, Anna Maria Giusti rentre chez elle. Lorsqu’elle passe récupérer son courrier chez sa voisine Constanza Altavilla, elle trouve celle-ci étendue sur le sol, sa tête baignant dans une flaque de sang. Pour le légiste, cela ne fait aucun doute, la vieille dame a été terrassée par une crise cardiaque. Dépêché sur les lieux, le commissaire Brunetti ne trouve aucune preuve flagrante infirmant cette hypothèse. Pourtant, il ne peut s’y résoudre. Quelque chose d’autre est arrivé, il le pressent, mais quoi ?

« Inconditionnelle de Venise et par extension de D Leon, je retrouve l'ambiance vénitienne des crépuscules, des ruelles que je connais bien. Et ce Brunetti : quel charme! » « L'écriture est là, l'amour de Venise aussi. L'enquête n'est qu'un prétexte. De la bonne littérature, qui prend son temps, et le nôtre. À conseiller à tous ceux qui préfèrent la flânerie à la course à pied. » « En compagnie du commissaire Brunetti, on déambule toujours avec plaisir dans Venise. Toutefois, le rythme aurait gagné à être plus soutenu. »

Page 5: TITRE DESCRIPTION DE L’OUVRAGE ROMANS€¦ · Guillaume Musso New York, huit heures du matin. Alice, ... dîner l'appellera demain à 10h et il le sait, ce coup de fil pourrait

Titre Description de l’ouvrage Commentaires

THRILLERS

Police Jo Nesbo

Quand un policier d'Oslo est assassiné à la date anniversaire et sur les lieux d'un crime non élucidé, cela n'est certainement pas un hasard. Et lorsque deux autres policiers qui ont participé à des enquêtes infructueuses sont tués à leur tour, c'est une évidence : un meurtrier brutal aux méthodes bestiales rôde dans les rues de la capitale norvégienne. La police ne dispose d'aucun indice et, pire encore, elle déplore l'absence de son meilleur limier. Mais aujourd'hui, l'inspecteur Harry Hole n'est plus en mesure d'aider ni de protéger quiconque. Pendant ce temps, à l'hôpital d'Oslo, un homme gravement blessé est dans le coma. Personne ne connaît son nom. Même les policiers chargés de le protéger n'ont pas le droit d'approcher le patient. S'il reprenait conscience, cet inconnu aurait pourtant bien des secrets à révéler.

« Après "fantômes», avec une fin décevante, Jo nesbo met la barre très haute avec police, suspens, faux semblant, thriller, il joue avec nos nerfs, on retrouve notre flic préféré, Harry Hole avec joie. » « Encore une fois Jo NESBO nous balade, nous donne le tournis: les suspects prolifèrent, le mal est protéiforme, insidieux, le panel des émotions est riche, nuancé... Et Harry est toujours là. Toujours le même, mais un peu différent chaque fois, un peu plus grand, plus tourmenté, plus profond. Moins d'action "grand spectacle" que dans ses deux derniers romans, mais magistral tout de même. On n'arrive pas à lâcher pas ces quelques 594 pages... à lire pratiquement d'un trait. » « Du suspens à chaque page, de l'action, de l'émotion, des rebondissements.... Un excellent moment à passer en compagnie de ce gros livre qui se lit très rapidement et on en redemande. »

Des enfants trop

parfaits Peter James

John et Naomi n’arrivent pas à se remettre de la mort de leur fils, emporté par une maladie génétique rare à l’âge de quatre ans. Lorsqu’ils rencontrent le mystérieux docteur Leo Dettore, ils voient en lui l’homme providentiel. Le généticien connaît en effet une méthode infaillible pour que leur prochain enfant ne soit pas atteint de la même pathologie. Comment résister à la promesse d’un bébé en bonne santé ? John et Naomi décident de tenter l’expérience. Ils auraient pourtant dû comprendre que quelque chose clochait quand ils ont vu la liste : choix de la couleur des yeux, des cheveux, des traits de caractère, des aptitudes sportives… Leo Dettore crée des enfants sur mesure ! Trop tard pour faire marche arrière. Naomi est enceinte, et déjà quelque chose ne tourne pas rond…

« Intrigue très bien ficelée, texte bien écrit, suspense bien mené... Je ne connaissais pas cet auteur mais ce livre m'a donné envie de découvrir d'autres de ses titres. » « Tous les livres de Peter JAMES sont un régal et celui-ci ne fait pas exception à la règle. Dès le début, l'on est pris dans la quête de John et Naomi pour avoir un nouveau bébé, après le décès de leur fils de maladie. Et ensuite, les choses ne se déroulent pas comme prévu. Difficile de raconter la suite sans en dévoiler de trop. En tout cas, difficile d'arrêter ce livre, une fois commencé. Une pure merveille. »

« J'ai adoré ce livre ! qui relate peut-être quelque part la réalité. En tout cas Peter James sait nous tenir en haleine, on est accro à ce livre ! »

Extorsion

James Ellroy

Fred Otash était un flic véreux de Los Angeles devenu détective privé, maître chanteur et proxénète. Il était surtout connu pour avoir colporté des ragots sur le tout Hollywood pour le compte du magazine Confidential. Avec son goût pour les seconds couteaux à la personnalité trouble, Ellroy s'est emparé d'Otash et en a fait un personnage de fiction. Il lui donne le premier rôle dans Extorsion en l'imaginant au purgatoire, torturé par ses anciennes victimes, de Marilyn Monroe à Montgomery Clift en passant par Ava Gardner. Freddy O ne pourra obtenir une remise de peine et "accéder au nuage supérieur" que s'il confesse ses péchés. Pour cela il va solliciter l'aide d'"un plumitif nommé Ellroy".

« Une histoire sans intérêt, surtout pas faite pour les amateurs d'Ellroy. On vous livre après ces maigres 135 pages deux chapitres en bonus du prochain roman, un vrai celui-là j'espère, "Perfidia", premier épisode du "Quator de Los Angeles", dont la sortie aux Etats-Unis est prévue en 2014, et en France en 2015. » « Pour James Ellroy, l’histoire de l’Amérique se confond avec celle du crime. Et Hollywood en est son plus odorant marigot. Au travers d’une novella violente et secouée, Extorsion, qui met en scène un triste héros de la presse à scandale (Fred Otash) durant les années 50-60, l’auteur du Black Dahlia signe ici un » texte aussi halluciné qu’hallucinant sur le voyeurisme et ses démons dans la Cité des Anges. »

Glacé

Bernard Minier

Décembre 2008, dans une vallée encaissée des Pyrénées. Au petit matin, les ouvriers d'une centrale hydroélectrique découvrent le cadavre d'un cheval sans tête, accroché à la falaise glacée. Le même jour, une jeune psychologue prend son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée. Le commandant Servaz, 40 ans, flic hypocondriaque et intuitif, se voit confier cette enquête, la plus étrange de toute sa carrière. Pourquoi avoir tué ce cheval à 2 000 mètres d'altitude ? Serait-ce, pour Servaz, le début du cauchemar ?

« une intrigue policière bien menée avec un résultat inattendu. » « Ne pas s'arrêter sur les atrocités des premières pages et à lire jusqu'au bout. A conseiller aux personnes qui aiment le suspens. » « Histoire originale et bien amenée. Livre bien écrit. Du suspens et du suspens ; difficile de lâcher le bouquin. Belle réussite pour un premier livre. »

« Il y a le caviar et il y a les œufs de Lump. Ce roman fait partie de la première catégorie. Réputation non usurpée. »

Le cercle

Bernard Minier

Un coup de fil surgi du passé, un e-mail énigmatique, qui signe peut-être le retour du plus retors des serial-killers, précipitent le commandant Martin Servaz dans une enquête dangereuse, la plus personnelle de sa vie. Un professeur de civilisation antique assassiné, un éleveur de chiens dévoré par ses animaux... Pourquoi la mort s'acharne-t-elle sur Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest, et son cercle d'étudiants réunissant l'élite de la région ? Confronté à un univers terrifiant de perversité, Servaz va rouvrir d'anciennes et terribles blessures et faire l'apprentissage de la peur, pour lui-même comme pour les siens.

« Après un polar taillé dans la glace, un second roman dans l'élément Eau. Bernard Minier est un auteur exceptionnel dans ce genre littéraire polar-thriller, on sent une très grande intelligence et une énorme culture mais il n'en fait pas l'étalage et ne l'utilise que pour enrichir habilement le récit. L'écriture est bien affutée, on sent un travail très soigné et peaufiné à chaque page. » « Après son très réussi Glacé, Bernard Minier continue d'explorer les univers autarciques qui lui servent de décor pour décrire un excellent thriller. Ce type de lieu permet à l'auteur de faire peser une atmosphère lourde et oppressante sur les secrets qui se cachent entre les habitants. » « Comme on s'y attend, l'intrigue est parfaitement mené avec de nombreuses fausses pistes de faux semblants et évidemment une conclusion assez inattendue quoique relativement logique. »