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de la qualité de vie
à Paris
Arthur HIBERT & Delphine MONTAGNEProjet transversal d’analyse spatiale 2011-2012
Quel est le prix de la qualité de vie à Paris ?Création d’un indicateur de qualité de vie
et comparaison avec les prix immobiliers
Cet atlas a été réalisé dans le cadre des enseignements « d’analyse spatiale et système d’information » du master Carthagéo. Son contenu est de la responsabilité des auteurs et est confidentiel. Il ne doit être ni diffusé en dehors du master et de l’auteur lui-même, et encore moins reproduit. Une partie des données sur lesquelles portent les analyses sont confidentielles. Elles ont été fournies par Hélène Mathian (Géographie-cités) dans le cadre de projets de recherche de l'UMR Géographie-cités. Il s’agit d’extractions des bases de données initiales, utilisées en strictes conditions de confidentialité et détruites à la fin du projet
1
Cet atlas tente de mettre en avant, à partir de quelques critères parmi les nombreux existants, des éléments
permettant de former un indicateur synthétique de la qualité de vie à Paris. C’est alors qu’il sera intéressant de montrer
une influence entre prix de l’immobilier et qualité de vie : quel est le prix de la qualité de vie à Paris ? Pour représenter les différents critères, trois échelles ont été choisies : l’arrondissement, le quartier et le décou-
page infra-communal de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE), les Ilots Regroupés
pour l’Information Statistique (IRIS). Le choix des parisiens devant être étudié à une échelle fine, c’est l’échelle du
quartier ou de l’IRIS qui est privilégiée dans cette étude en fonction de la précision des données récoltées.
Dans son livre «La qualité de vie dans
les villes françaises», Christine TOBE-
LEM-ZANIN met en avant
l’émergence de la qualité de vie à la suite
des cités dortoirs. Un « mal-vivre »
urbain dont Villes et environnement cite
plusieurs causes : cadre de vie, santé,
patrimoine naturel et culturel. Ces
éléments ne relèvent plus uniquement
de la psychologie puisque des données
sont disponibles pour l’évaluer.
Le profil socio-professionel
des ménages offert par
l’INSEE permet de dresser ici
une classification Ascendante
Hiérarchique.
On remarque sans surprise la
localisation des cadres et
artisans au coeur de la capitale,
dans l’ouest et dans les quar-
tiers suds proches de la Seine.
Les ouvriers et employés se
situent, eux, dans le Nord de
Paris. Une classe aux profils
sociaux très proches sépare ces
deux profils. Elle reste cepen-
dant plus proche de la classe
d’artisans et cadres.
Sources: INSEE 2008. Fait avec Philcarto http://philcarto.free.fr
Profils professionels des Parisiens
Absence de données
Quartier
Majorité d’ouvriers, employés
Majorité d’artisans et de cadres
Forte surreprésentation
de professions intermédiaires
Quartier homogène avec
surreprésentation de professions
intermédiaires
2km
Les échelles d’étude
IRIS
Quartier
Arrondissement
Présentation de l’espace étudiéUne étude multi-scalaire
Lieux présentés
dans l’étude
2 km
Ier
IIème
IIIème
IVème
VèmeVIème
VIIème
VIIIème
IXème Xème
XIème
XIIème
XIIIèmeXIVème
XVème
XVIème
XVIIème
XVIIIème
XIXème
XXème
3 RÉALISATION : ARTHUR HIBERT & DELPHINE MONTAGNE
IntroductionLa qualité de vie à Paris, quels espaces ?
de l’espace ét dié
La qualité de vie, très utilisée comme axe politique ou comme argument publicitaire, est
un terme apparu récemment et qui reste, malgré ses nombreuses références, subjectif et
très mal défini.
1er1er1er
2ème
3ème
4ème
5ème5ème5ème5ème5ème
6ème
7ème
8ème
9ème 10ème
11ème
12ème
13ème14ème
15ème
16ème
17ème
18ème
19ème
20ème
8ème
Réseau Hydrographique
Arrondissements
Prix au m² moyen (en €)Médiane : 8800
5900 - 6580
6580 - 7670
7670 - 8520
8520 - 9620
9620 - 10900
10900 - 11960
11960 - 13750
Absence de données
Prix moyen au m² par quartierau troisième trimestre 2011
2 kmSource: Chambre des Notaires, base BIEN
4RÉALISATION : ARTHUR HIBERT & DELPHINE MONTAGNE
+75%Le prix a presque doublé en
5 ans dans le quartier
«Mail» dans le 2nd
arrondissement
Les prix du foncier à Paris constitue un
thème à enjeux . En effet, on a vu le prix au
m² des appartements à Paris augmenter de
près de 150% en 10 ans.
La situation au 3ème trimestre 2011 montre
une distribution concentrique des prix, les
prix au m² les plus élevés se retrouvant au
centre de la ville (13 750€ dans le quartier
d’Odéon) et les prix au m² les moins élevés
en périphérie (5 900€ dans le quartier du
Pont de Flandre).
L’évolution des prix du foncier au cours de la dernière
année montre quelques disparités dans sa distribution
spatiale. En effet, malgré une augmentation générale
de grande ampleur (évolution médiane à 19%),
l’évolution des prix immobiliers semble plus marquée
dans l’Ouest parisien. Ce sont ces mêmes quartiers qui
présentent des prix au m² parmi les plus élevés en
2011.
L’évolution des prix à plus grande échéance (5 ans)
montre une relative homogénéité avec une évolution
médiane de l’ordre de 50%.
Ces évolution différenciées peuvent nous amener,
dans le cadre de cet atlas, à faire la comparaison avec
les critères de qualité de vie mis en avant. On cher-
chera à expliquer s’il y a une relation
9 - 14
15 - 18
19 - 22
23 - 26
27 - 32
Absence de données
Arrondissements
Réseau hydrographique
Evolution du prix (en %)Médiane: 19 %
Evolution du prix au m² par quartier sur 1 an (2010-2011)
2 km
Sources: Chambre des Notaires, base BIEN / Réalisation: D.Montagne & A.Hibert
35 - 40
41 - 47
48 - 54
55 - 62
63 - 75
Absence de données
Arrondissements
Réseau hydrographique
Evolution du prix (en %)Médiane: 49 %
Evolution du prix au m² par quartier sur 5 ans (2005-2011)
2 km
Sources: Chambre des Notaires, base BIEN / Réalisation: D.Montagne & A.Hibert
Zone moyenne de forte concentration de sites
Quartier
Intersection des ellipses
Sites potentiellement pollués par des déchets
Sites potentiellement pollués selon BASIAS et BASOL
Sites potentiellement pollués par des activités industrielles
On remarque que leur répartition moyenne est homo-
gène dans l’espace, notamment pour la carte sur les
déchets. La circularité des activités pétrolières s’explique
notamment par le grand nombre de stations services dans
la capitale. On notera également le caractère ponctuel des
sites ayant accueilli des déchets radioactifs. Leur caractère
sensible mérite leur représentation dans cet atlas mais leur
nombre réduit et localisé explique le choix de ne pas faire
figurer d’ellipse quand le point moyen suffit à
l’explication.
Le croisement des six ellipses fait apparaître une zone de
forte concentration de sites pollués au centre de Paris.
2 km
Point moyen
Aire moyenne
de répartition
Déchets
radioactifs
Matières
polluantes
Autres
déchets
Activités
pétrôlières
Activités
électroniques
Activités
chimiques
Activités
métallurgiquesDéc
rad
ps
forte concentration de sites p
Les ellipses de déviation standardPour décrire la tendance d’un semis de point, on utilise ici un outil d’ analyse
spatiale d’Arc GIS (Standard eviatonal Ellipse). Dans un premier temps, le
point moyen du semis est calculé. Puis, à partir des écarts-type de ce point
moyen en X et en Y, l’ellipse est dessinée. Sa forme permet de déterminer ou
non une répartition spécifique dans l’espace.
Sources: BASIAS, BASOL 2011
5 RÉALISATION : ARTHUR HIBERT & DELPHINE MONTAGNE
EnvironnementLe choix d’un environnement: l’occupation du sol
ntiellement pollués selon BASIAS et BASOL
Vivre dans un environnement sain peut aussi être un élément important dans le choix d’un logement. Il peut donc prendre en compte l’histoire du site, et notamment des pollutions pas immédiatement visibles. L’étude des bases des sites pollués (BASOL) et potentiellement pollués (BASIAS) apporte un éclairage sur la situation parisienne.
6RÉALISATION : ARTHUR HIBERT & DELPHINE MONTAGNE
5580C’est la richesse
de la base BASIAS en sites
potentiellement pollués à Paris
Le choix a été fait de présenter la part d’une population (avec les
personnes âgées) parmi les plus sensibles aux polluants. La méthode
employée correspond à un buffer du potentiel de pollution du Code de
l’environnement. On remarque que les personnes de plus de 17 ans sont
nombreuses au nord de la Seine et dans le nord-est de Paris. Au
contraire, peu d’IRIS sont concernés dans le sud de la capitale, là où la
part de jeunes est parmi la plus faible.
Cette étude est basée sur l’utilisation de données BASOL et BASIAS, dont une majorité de sites pour ce dernier.
Cependant, dans la base BASIAS ne sont recensé uniquement que des risques de pollution qui ne sont peut-être pas
réels sur le terrain. De plus, la classification de cette base attribue à certains sites plusieurs types de pollutions poten-
tielles. Un choix a été fait parmi celles-ci pour les réunir sous une thématique en fonction de l’ordre d’apparition ou
du critère majoritaire. Toutefois, par leur nombre important, ces sites potentiellement pollués se veulent représenta-
tifs de la réalité parisienne.
Les sites potentiellement pollués offrent un aperçu d’un environnement invisible et pouvant être un critère de
choix pour les nouveaux acquéreurs. Que ce choix s’applique pour eux ou pour leurs enfants.
Proportion des moins de 17 ans par IRIS potentiellement pollués
Des espaces à proximité des plus fragiles
2 km
0
13, 1
15,2
17, 3
20,8
95,1
Part des moins de 17 ansproches d’une zone BASIAS
Non-concerné
par l’étude
Sources : BASIAS, BASOL 2011; INSEE 2008
Sites extraits de la base BASIAS/BASOL
Zones autour des ponctuels-35 mètres-200 mètres pour les sites traitant des déchets radioactifs
Fusion dans une même table
Part des moins de 17 ans proche d’un site BASIASPart des moins de
17 ans selon l’INSEE
Diagramme de la méthode employée pour la réalisation de la carte
Buffer
Intersection
Les jardins et autres espaces verts ont plusieurs rôles tant
récréatifs (promenades, sport), paysagers que de biodiversité.
On retrouve ces thématiques dans cette photo prise au jardin
du Muséum de Paris. Lieu de passage entre des lieux urbani-
sés, ils atténuent le bruit, apportent des aménités en terme de
santé, de pollution et un confort visuel.
Cette carte propose l surface d’espaces verts par personne, selon les quartiers parisiens. On note une grande superficie
dans les quartiers Sud-ouest de la Seine ainsi que dans toute la couronne bordant le périphérique. Au contraire, les
jardins sont moins nombreux dans le Nord et Nord-est de la capitale. Les bois de Vincennes et de Boulogne, peu
habités, offrent également un fort taux.
15C’est le prix en euros estimé par une étude
aux Etats-Unis par mile carré
de forêt par an
Absence de données
Surface d’espace vert par habitant(en m²/habitant)
Les espaces verts des ParisiensInégalités d’espaces verts par quartier à Paris
0,02
2,10
5,20
9,90
19,10
30,10
2 kmSources : INSEE 2008, opendata 2010
Le choix d’un environnement: les espaces verts
Les espaces erts des Parisie
Jardins et espaces verts sont des éléments classiques d’un meilleur environnement. Appréciés par les Parisiens, ils ont une influence sur la qualité de vie qu’il peut être inté-ressant d’étudier afin de comprendre le consentement à payer pour avoir une résidence proche d’un espace vert, en intégrant les nouveaux espaces verts comme les jardins parta-gés.
7 RÉALISATION : ARTHUR HIBERT & DELPHINE MONTAGNE
Environnement
8RÉALISATION : ARTHUR HIBERT & DELPHINE MONTAGNE
64C’est le nombre de concessions
pour des jardins partagés à Paris
A une échelle fine, les jardins publics, en accord avec la
législation, proposent aux populations d’un quartier
d’aménager une partie de l’espace. C’est par exemple le
cas au jardin partagé du square René Le Gall. Espace de
rencontre entre générations, de découverte de la nature
(expositions de photos entomologistes, travaux avec
l’école), le jardin apporte un dynamisme et une convivia-
lité à une grande échelle. Cet aspect peut être un élément
d’une certaine qualité de vie, même si cette probléma-
tique n’apparait pas en premier dans les réponses à cette
question.
Terres cultivées
Accès handicapé
Passages
Cabane à outils
Square
Extensions
possibles
Arbres
Habitations
10 m
(protection géotextile) :
fleurs, légumes
(dont mellifères)
Les
gobelins
Rue E
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ND
RE
S
Importation de
terre de
Seine et Marne
Réhabilitation d’un terrain pollué en lieu de socialibilité
L’exemple du jardin partagé du square René Le Gall (13ème)
A une petite échelle, les trames
permettent de garder une certaine conti-
nuité entre des espaces fragmentés et
fragilisés. Garantir une circulation de la
biodiversité permet d’éviter une autarcie
entre la ville et les espaces moins urbani-
sés. On remarque ici une bonne cohé-
rence entre les bois et un axe Nord-Sud.
Au contraire, l’axe Est-Ouest est moins
évident et reste à mettre en valeur.
Trame boisée
Arbres d’alignements
Quartier
Département
2 km
Les espaces des continuités écologiquesSeine-Saint-Denis
Haut-de-Seine
Val-de-Marne
Sources : IAU 2008
Une continuité arborée relativeLiaison entre trame arborée et arbres d’aligenements à Paris
Présentée parfois comme une «ville musée», Paris possède une très riche histoire cultu-
relle par ses musées. Il a été choisi de présenter deux loisirs culturels permettant de mieux
comprendre l’attractivité d’un quartier par rapport à un autre : les musées et les biblio-
thèques, éléments accessibles au plus grand nombre et parfois cités comme critère expli-
catif d’une meilleure qualité de vie.
Cette carte présente l’accessibilité des grands musées parisiens dans un périmètre de 5 minutes (400 mètres) et 10
minutes (800 mètres). Le choix a été fait de les expliquer par des buffers qui présentent plus facilement les choix de
piétons.
Du fait du poids historique de la ville, les musées se répartissent en majorité dans le coeur de Paris, et notamment dans
le quartier dit «Latin» du 5ème arrondissement où se trouve une majorité de musées très facilement accessibles à
moins de 5 minutes. On trouve également de nombreux musées à 10 minutes de marche ou moins dans l’Ouest de
Paris. Au contraire, les quartiers Nord, Nord-ouest et périphériques souffrent d’une quasi absence de musées
(Charonne) que l’on peut rejoindre directement à pied.
2 km
5 mn
10 mn
Sources : Ministère de la culture 2012
La culture accessible à tous ?Inégalités de répartition des musées à Paris
Quartier
Charonne
Amerique
Saint-Fargeau
Epinettes
Musée du Louvre
Distance à un musée
17 RÉALISATION : ARTHUR HIBERT & DELPHINE MONTAGNE
CultureLe dynamisme culturel à Paris
lité de vie.
18RÉALISATION : ARTHUR HIBERT & DELPHINE MONTAGNE
11,5millions, c’est le nombre total de documents
empruntés par les lecteurs dans les
bibliothèques municipales
parisiennes en 2010
Les bibliothèques offrent une accessibilité à la culture en rédui-
sant le budget qui pourrait y être consacré pour ses études ou
pour un usage privé. Elles offrent un lieu de lecture, d’expositions
et peut dynamiser la vie d’un quartier par ses offres autour d’une
thématique tirée du livre. C’est le cas notamment de la biblio-
thèque Marguerite Yourcenar (photo) qui enregistre le plus grand
nombre d’emprunts à Paris.
La capitale possède de nombreuses bibliothèques adaptées à un large public. On peut voir ici la localisation dans Paris
de quelques bibliothèques selon leur statut. On remarque la concentration au centre des bibliothèques universitaires
(Vème arrondissement), des bibliothèques généralistes et spécialisées. Les bibliothèques étrangères se localisent dans
l’Ouest de Paris. Les bibliothèques municipales sont réparties de manière plus homogène dans l’espace.
Cette carte montre l’accessibilité des bibliothèques
municipales de la ville de Paris à dix minutes de
marche. Gratuites pour les Parisiens, sans condi-
tion d’accès restrictifs, elles peuvent être fréquen-
tées par une population très large ce qui n’est pas le
cas d’autres bibliothèques publiques. Les biblio-
thèques de la ville de Paris, qui se veulent de quar-
tier, se doivent donc d’être près de leur public. Elles
se localisent essentiellement dans le coeur de la
capitale et le Nord dont notamment ses quartiers
Est.
2 km
Une hétérogénéité de statut et de localisationsLocalisation des bibliothèques parisiennes
Sources : Bibliothèques Paris 2012
Types de bibliothèques
Quartier
Municipale
Généraliste
Spécialisée
Universitaire
Etrangère
2 km
Distance à une bibliothèque
10 mn
Sources : Bibliothèques ville de Paris 2012
Les «bibliothèques pour tous publics»Bibliothèques municiaples à dix minutes de marche
Quartier
- Planche 2 : photos personnelles, D.MONTAGNE, prises le 10/03/12 - Planche 3 : epa-orsa.fr, photos personnelles, D.MONTAGNE prise le 11/03/12- Planche 8 : http://www.ingerop.fr/realisations-metier-batiment-14.html
21
Bibliographie
OUVRAGES :
DOCUMENTS DE SYNTHESE :
- BRUNET R., FERRAS R., THÉRY H., RECLUS. Les mots de la géographie Dictionnaire critique - Troisième édition revue et augmentée. 3e édition revue et augmentée.[s.l.] : La Documentation française, 2009. 520 p- DORIER-APPRILL E., COLLECTIF. Ville et environnement. [s.l.] : Sedes, 2005. 511 p.- FLEURET S., COLLECTIF. Espaces, Bien-Etre et Qualité de vie. [s.l.] : Presses de l’Université d’Angers, 2006. 318 p- TOBELEM-ZANIN C. La qualité de la vie dans les villes françaises. [s.l.] : Presses Universitaires de Rouen / Publi-cations de l’Université de Rouen (PUR), 1997. 288 p.- VEYRET Y., GOIX R. L., BOISSIÈRE A. Atlas des villes durables. Ecologie, urbanisme, société: l’Europe est-elle un modèle. [s.l.] : Editions Autrement, 2011. 87 p.WACKERMANN G., COLLECTIF. Ville et environnement. [s.l.] : Ellipses Marketing, 2005. 400 p.
- SOLS n°5, chapitre 11 "Les sols et l'environnement terrestre", http://environnement.wallonie.be- Livre V du code de l'environnement, Décret n° 77-1133 du 21/09/77 pris pour l'application de la loi n° 76-663 relative aux ICPE, Article 3 du décret du 21 septembre 1977- Codifié aux articles R 512-6, R 512-7, R 512-8 et R 512-9 du code de l'environnement consultable sur http://www.ineris.fr/aida/?q=consult_doc/consultation/2.250.190.28.8.885- Rapport de synthèse 2009 de l'inventaire national des matières et déchets radioactifs (ANDRA)- Les indices synthétiques du PNUD : IDH, IPH, IPF en région Ile-de-France, IAURIF, 2008
ARTICLES SCIENTIFIQUES :
- APPERT M., "Évaluation de la congestion d'un réseau routier urbain, Application aux agglomérations de Montpel-lier et de Nîmes", consultable sur http://www.umrespace.org/EtAppertM.htm- CORMIER L, DE LAJARTRE AB. et CARCAUD N., « La planification des trames vertes, du global au local : réali-tés et limites », Cybergeo : European Journal of Geography [En ligne], Aménagement, Urbanisme, article 504- GUEROIS M. et LE GOIX R., « La dynamique spatio-temporelle des prix immobiliers à différentes échelles : le cas des appartements anciens à Paris (1990-2003) », Cybergeo : European Journal of Geography [En ligne], Systèmes, Modélisation, Géostatistiques, article 470- HAND S., THACHER J., MCCOLLUM D. et BERRENS R. Intra-Regional Amenities, Wages, and Home Prices: The role of Forests in the Southwest. Téléchargeable sur http://www.rosemonteis.us/file/references/hand-2008b.pdf
PHOTOS :
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