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1 4 3 2 5 court Tout COUPE ET COURT 05/07/2014 Une lune à son zénith ce soir. La 37ème édition du Festival du Film Court en Plein Air de Grenoble glisse doucement vers son point culminant, avec le palmarès des films en compétition à minuit ce soir. Auparavant, nous aurons swingué en début d’après-midi en compagnie de la Cinémathèque Robert Lynen et six courts à destination du jeune public, (re)découvert Christophe Loizillon et son regard singulier à travers trois de ses œuvres, rattrapé la séance Regard 3 au Cinéma Le Club de Grenoble à 18h, débattu avec les réalisateurs des deux derniers programmes en compétition, vibré à la projection de The Mass of Men, Grand Prix 2013…Et puis un dernier petit tour pour Tout Court. La gazette quotidienne du festival dont se sont emparés cette année quatre journalistes en herbe, quatre étudiants en info-com, management de projets événementiels, diffusion culturelle et sciences po. Quatre petites plumes qui ont joué de leurs battements d’ailes et de cœur pour rejoindre le bourdonnement de la ruche Cinémathèque tout au long de cette semaine de rush. À toi, lecteur festivalier fidèle ou impromptu, curieux, passionné ou voisin, critique acerbe ou indulgent, merci pour ta présence chaleureuse. Donnons-nous rendez-vous. Oui, pour ne pas se quitter, comme ça. Demain ? À 22h parc Paul Mistral, devant la rediffusion du palmarès. Lundi ? À 18h au Club ! À la rentrée ? Très bien, nous nous retrouverons dans les locaux accueillants de la Cinémathèque pour de nouveaux rendez-vous. À très vite. Laetitia Boulle Le Journal du Festival du Film Court en Plein Air de Grenoble EDITO

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5court T o u t

COUPE ET COURT05/07/2014

Une lune à son zénith ce soir. La 37ème édition du Festival du Film Court en Plein Air de Grenoble glisse doucement vers son point culminant, avec le palmarès des films en compétition à minuit ce soir. Auparavant, nous aurons swingué en début d’après-midi en compagnie de la Cinémathèque Robert Lynen et six courts à destination du jeune public, (re)découvert Christophe Loizillon et son regard singulier à travers trois de ses œuvres, rattrapé la séance Regard 3 au Cinéma Le Club de Grenoble à 18h, débattu avec les réalisateurs des deux derniers programmes en compétition, vibré à la projection de The Mass of Men, Grand Prix 2013…Et puis un dernier petit tour pour Tout Court. La gazette quotidienne du festival dont se sont emparés cette année quatre journalistes en herbe, quatre étudiants en info-com, management de projets événementiels, diffusion culturelle et sciences po. Quatre petites plumes qui ont joué de leurs battements d’ailes et de cœur pour rejoindre le bourdonnement de la ruche Cinémathèque tout au long de cette semaine de rush. À toi, lecteur festivalier fidèle ou impromptu, curieux, passionné ou voisin, critique acerbe ou indulgent, merci pour ta présence chaleureuse. Donnons-nous rendez-vous. Oui, pour ne pas se quitter, comme ça. Demain ? À 22h parc Paul Mistral, devant la rediffusion du palmarès. Lundi ? À 18h au Club ! À la rentrée ? Très bien, nous nous retrouverons dans les locaux accueillants de la Cinémathèque pour de nouveaux rendez-vous. À très vite. Laetitia Boulle

Le Journal du Festival du Film Court en Plein Air de Grenoble

EDITO

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I m a g e du jour

F o r m at c o u r tUn nouveau jury

Qu’est-ce que Format Court ? Katia  Bayer : Format Court est un magazine en ligne qui existe depuis fin 2009 consacré au court-métrage. La signature du site est « Regards pluriels sur un cinéma singulier ». Camille vient de la programmation, elle est scénariste et réalisatrice ; On travaille avec des étudiants, des critiques, des gens qui ont un lien avec le court-métrage.On parle beaucoup du long-métrage et pas assez du court-métrage. Format Court suit à l’année l’actualité du court-métrage, beaucoup en festival puisque c’est là où on se retrouve une partie de la production mais pas seulement. On s’intéresse autant à quelqu’un qui fait de l’animation à Singapour qu’à un producteur de court-métrage français comme Ron Dyens.Nous avons mis en place sur notre site une vidéothèque. Nous avons envie de travailler avec des gens qui ne vont pas au festival, ou s’ils y vont, ne s’intéressent pas forcément aux courts-métrages tout le reste de l’année. Aujourd’hui, il est possible de trouver des vidéos en ligne mais il n’y a pas d’« éditorialisation », elles ne sont pas accompagnées. Sur le site c’est possible de trouver une interview, une critique… A l’heure actuelle nous avons environ 70 films en ligne. Dans l’absolu, nous avons peut-être le double ou le triple. Camille  Monin : Les festivals ont aussi envie que les gens puissent découvrir les films mais comme le court-métrage a normalement une durée de vie de deux ans, c’est dans l’intérêt du réalisateur et du producteur de le mettre en ligne une fois ce délai passé. Un film c’est fait pour être vu ! Le but n’est pas non plus d’oublier la salle mais de créer un relai en plus.

Katia, vous êtes la fondatrice de Format Court, pouvez-vous revenir sur la genèse du projet ? Katia : A la base je viens d’un magazine en ligne qui parlait uniquement de cinéma belge. J’allais souvent à des festivals de films internationaux, j’y voyais des films étrangers géniaux mais je ne pouvais pas en parler… Je sentais déjà que j’étais attirée par le court et que ce format se renouvelait, les cinéastes évoluaient… J’avais envie de raconter ce qui se passait ailleurs

et que le cinéma français ce n’est pas non plus que des bonnes choses… Camille : On retrouve souvent les mêmes thèmes. Tout ce qui touche à la migration et à la diversité. Katia : L’exclusion, la sexualité des jeunes, leur identité… Le but de Format Court est de s’ouvrir sur l’international. Nous sommes beaucoup lus aux Etats-Unis, en Espagne… J’adorerais qu’il y ait une version étrangère du site. Une version anglophone ce serait le top. J’en profite d’ailleurs pour faire un appel à toute personne motivée pour traduire 3000 archives (rires).

Quels sont vos critères de sélection en tant que jury Format Court ? Camille : Je pense que nous sommes un vrai jury presse dans le sens qu’un jury presse sélectionne des journalistes venant de plusieurs médias différents pour avoir des critères différents. Quelqu’un de Télérama ne votera pas la même chose qu’une personne de Première. Dans Format Court, les rédacteurs viennent de milieux différents avec des positions différentes par rapport au film. Se plier à l’exercice de la critique dans un festival est passionnant et nous permet aussi de voir les films sur grand écran et non pas via un lien internet. Je pense qu’aucun auteur ici ne peut dire à qui Format Court va remettre un prix car nous sommes tous différents. Katia : Oui en fait nos critères c’est qu’il n’y a pas de critères. L’idée est d’accompagner une programmation particulière et d’être en lien avec une programmation de qualité. Nous voulons jouer sur l’éclectisme des formes et des origines.L’idée c’est faire comme avec d’autres festivals avec lesquels on travaille : de remettre un prix Format Court. C’est symbolique mais on essaie d’aller un peu plus loin en consacrant un focus aux réalisateurs primés sur notre site et nous projetons le film en salle, si possible avec l’équipe, et on tente ensuite de programmer le film lors d’une carte blanche à l’étranger. L’idée c’est d’accompagner un film et de le faire tourner.

Site : http://www.formatcourt.com/Katia Bayer : Rédactrice en chef

Camille Monin : Rédactrice Propos recueillis par Lise Blein Renaudot

04/07/2014 - Séance en salle Juliet Berto. Crédit photo : Maxime Levert

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C h l o é m a z l oL es p e t i ts ca i l l o u x

S o u a d A m i d o uRendez-vous avec Ninette

Pouvez nous décrire votre film Les Petits Cailloux ? Il s’agit du cheminement d’une souffrance, du début à sa fin. Et cette souffrance c’est la mienne. Mon film est donc largement

a u t o b i o g r a p h i q u e puisque j’ai moi-même été malade.

S’agit-il alors d’un film-cure pour vous ? Oui c’est évident. Lorsque j’ai été touché par ce mal de ventre inexplicable, les médecins ont accusé le stress. J’ai donc tout fait pour lutter contre mon anxiété mais rien ne fonctionnait. Au bout d’un certain temps, j’étais tellement détendue que je ne pouvais rien faire de plus : il a donc du fallu se rendre à l’évidence que le stress n’était pas l’origine de mon mal. A ce moment, un nouveau médecin est entré en jeu et m’a rapidement guérie. C’était la fin de mon calvaire.

…Mais pas la fin de votre histoire ? Non, bien au contraire. Après avoir été guérie j’étais malheureuse : la souffrance me manquait. J’avais fini par trouver une forme d’équilibre avec ce mal de ventre, je m’étais construite avec lui. Et là d’un coup, il s’éclipsait.

Pourquoi avoir choisi un thème aussi personnel ? Je crois que chacun a son mal et tente de le communiquer comme il peut. Dans notre société il est souvent difficile de parler de la souffrance, il s’agit d’un sujet tabou. J’ai donc voulu profiter de mon film pour en parler. Quant au choix du sujet [elle-même], j’ai simplement pris ce que j’avais sous la main : moi ! De manière générale, je préfère l’autodérision à la moquerie.

Pouvez-vous présenter votre film en quelques mots ?

Le film se situe dans le 20ème arrondissement de Paris, il raconte la journée d’une personne qui vit plus

ou moins dans la rue car on ne sait pas si elle est SDF. Des petits événements la touchent avant que l’on découvre à la fin qu’elle possède un « jardin secret ».

Qu’est-ce qui vous a inspiré ce scénario ?

C’est Jenny Bel’Air, la femme qui joue Ninette, qui m’a inspiré ce scénario car elle vit comme ça. Dans les années 1980, elle était physionomiste au Palace, une boite de nuit parisienne. Jenny est une transgenre, une chose sur laquelle je n’ai pas insisté, je l’ai filmée comme une femme car elle vit comme une femme. Ce film traite de l’exclusion car à elle toute seule, elle représente toutes les différences. Quand le Palace a fermé et que les nuits parisiennes se sont transformées en cauchemar, Jenny est restée sur le bord du chemin. Je l’ai croisée à une période étrange de sa vie, elle était souvent au bar et j’avais remarqué que tout le monde venait vers elle pour lui offrir un café, un repas. J’ai trouvé que c’était intéressant d’avoir un personnage d’exclu qui rend les gens redevables, car dans le film, ce sont les gens qui lui offrent des choses qui lui disent « merci ».

Votre but était-il qu’on s’attache à elle ?

Il y a une préoccupation chez moi qui ressort dans ce film : c’est le regard que je porte sur les SDF que je croise. J’ai toujours une pensée vraiment concernée, ils ont forcément été des enfants, ils ont eu une famille. Je me demande ce qu’il s’est passé, où s’est produite la fissure. J’avais envie qu’on s’attache à elle et qu’on sache ce qu’elle était avant de se trouver dans cette situation.

Quel message vouliez-vous faire passer ?

Je me suis imaginée que si chacun d’entre nous avait un petit geste ou un simple regard sur ces personnes qui sont en marge de la société, leur journée serait moins difficile. Ce film est une réflexion sur ce sujet: « Et si tout le monde faisait un petit geste ? »

Pouvez-vous nous parler de la musique ?

C’est François Couturier, un grand musicien de jazz contemporain qui a eu la gentillesse de donner sa musique pour le film. Cette musique apporte beaucoup au film car quand la musique émane de ses mains on ne s’attend pas du tout à ça mais plutôt à du swing comme elle est black. Cette composition musicale donne beaucoup de valeur au film.

Propos recueillis parNolwenn Lagadec

(et Marie Lemoine)

Propos recueillis par Timothé Poulain

(Lise Blein Renaudot et Marie Lemoine)

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H e n r i l a n g l o i sou l'amour du cinéma

Henri Langlois fût l’un des inventeurs de la cinéphilie et le sauveur d’une large collection cinématographique, un homme dénué de sérieux, passionné et passionnant par sa connaissance du

cinéma  : «  Langlois donna la lumière  » disait Godard. Né le 13 novembre 1914 à Smyrne (Turquie), la principale mission de sa vie fût la conservation, la restauration de films et la réalisation de son œuvre : la Cinémathèque française.Dès son plus jeune âge, Langlois est passionné de cinéma : « Écrire, je ne pouvais y songer, je n’ai aucune imagination quand il s’agit d’écrire des romans, mon style lui-même ne vaut rien. Le cinéma, il me restait le cinéma. Or, je peux le certifier, je pense cinéma, je vois cinéma, mon imagination est cinéma et je peux au cinéma faire ce que le pinceau ne me permettait pas de peindre ».Dans les années 30, il prend conscience que le cinéma muet va disparaître. En 1936, il fonde alors, avec Georges Franju, Jean Mitry et Paul-Auguste Harlé, la Cinémathèque française comme une salle et un musée du cinéma. Pour

les sauver de l’oubli, Langlois reconstitue et montre beaucoup de films en celluloïd et en danger de désintégration. Poète d’un art qui n’en finissait pas de douter qu’il en soit un, son but est de montrer que le film est une œuvre d’art à part entière.Malgré les critiques reçues quant à la gestion de la Cinémathèque, Langlois sauve un nombre conséquent de films allant du navet au chef d’œuvre « à l’image de notre mémoire qui ne retient pas seulement le meilleur de la vie »2. En plus des films, Langlois préserve des caméras, machines de projection, costumes et programmes de salles. Cette institution impulsa la création de cinémathèques dans le monde entier.En 1974, Langlois reçoit un oscar d’honneur pour son travail dédié à la création de la Cinémathèque française. Il meurt trois ans plus tard en laissant derrière lui un immense patrimoine cinématographique.A l’occasion de son centenaire, une exposition lui est dédiée jusqu’au 3 août 2014 à la Cinémathèque française : « Le Musée imaginaire d’Henri Langlois ». Pour davantage d’informations rendez-vous sur www.cinematheque.fr

Celluloïd : matériau fragile qui exige un environnement de conservation fortement contrôlé pour une survie dans le temps.

Ciné-club : club d’amateurs de cinéma réunissant des membres ayant des intérêts communs desquels dépendront la programmation du ciné-club et les sujets de discussion qui y auront lieu.

Prix Henri Langlois : prix décerné depuis 2006 tenant compte des travaux récents des organismes qui œuvrent à la conservation et à la restauration des films, de l’actualité des comédiens et réalisateurs distingués dans la catégorie Coups de cœur sur le cinéma actuel et de la carrière des personnalités du cinéma relevant du cinéma d’auteurs et des œuvres de patrimoine.

Le burlesque  :  genre cinématographique comique composé d’une suite rapide de gags indépendants les uns des autres. Le burlesque est fondé sur l’absurde, la provocation et la caricature des valeurs morales.

Le film noir : à l’intersection du film d’horreur, du film policier et du genre réaliste poétique, il se caractérise par des films particulièrement pessimistes.

Le mélo-drame  : à l’inverse du drame, il ne cherche pas la vraisemblance et utilise les situations pathétiques (sacrifice, trahison) et les effets sensationnels (miracles, catastrophes).

a,b,c...

Citation du jour

Préserver le patrimoine, c’est faire une thérapie collective.

Entendu aujourd’hui

Lexique

« " N'accuse pas le puits d'être trop profond. C'est ta corde qui est trop courte. "«

Proverbe indien

Nolwenn Lagadec

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l e s c o u l i s s e sProduction et logistique

JEU

C’est quoi un court ? « Une photo... Qui bouge un peu. »Sonia Larue, réalisatrice de Du grain à moudre

Le gagnant tiré au sort se verra offrir un tee-shirt rouge de la Cinémathèque.

Tentez votre, chance en récupérant un coupon à déposer dans l’urne à côté de celle dédiée aux bulletins de vote du public.

?

Hier, nous avons mis en lumière un métier du cinéma indispensable, celui de projectionniste. Aujourd’hui, nous revenons sur un autre métier de l’ombre, celui de la production, de l’administration et de la logistique.Retour sur plusieurs mois d’organisation du festival.

Pour Véronique Mondet, le Festival du Film Court a commencé en décembre 2013, avec l’ouverture des inscriptions sur la plateforme de l’Agence du court-métrage. Véronique s’est alors chargée de valider et de centraliser les inscriptions des plus de 1000 courts-métrages (!) envoyés à la Cinémathèque de Grenoble cette année, puis s’est occupée du concours de scénario. Par la suite, elle a organisé les week-ends de visionnage desquels ont émergé deux sélections : la compétition et les «Regards», choisies par le comité de sélection. En amont, Véronique Mondet s’est aussi occupée d’un autre aspect administratif du festival : entre les locations, demandes d’autorisation d’occupation de la place publique et commandes de matériels, les

partenariats avec les institutions qui dotent les prix, entre autres, le rôle de Véronique est central.

Par ailleurs, pour le confort de l’équipe du festival, Mychèle Monteiller s’est occupée des partenariats en restauration.

Et puis, il y a Carole Bertrand. Elle vient d’obtenir son Master en management des activités culturelles et audiovisuelles et est stagiaire à la Cinémathèque depuis le mois de mars. Elle s’est chargée des partenariats en lien avec l’animation et du côté pratique du festival comme par exemple tous les trajets de tous les réalisateurs, jury et autres invités. En parallèle, Carole a aussi été la personne référente pour les nombreux bénévoles, en charge de leur planning durant toute la durée du festival. Pendant plusieurs mois, Carole a jonglé avec les centaines de mails quotidiens, les réservations d’hôtels, les contrats de partenariats et bien d’autres activités nécessitant une organisation minutieuse et la plus grande sérénité.

Marie Lemoine

A quel film court appartient cette image ?

Réponse du «Tout Court» n°4 : Sortie de Route

Chaque jour un plan est capturé d’un film en compétition projeté le soir-même. Chers lecteurs, l’équipe du «Tout Court» met à l’épreuve votre mémoire de spectateurs.

Crédit photo : Sophie Mazenot Chappuy

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Samedi 5 Juillet

4 rue Hector Berlioz38000 Grenoble

0476544351

Mail : [email protected] internet : www.cinemathequedegrenoble.fr

AUJOURD’HUI

Directeur de la publication : Guillaume Poulet / Rédactrice en chef : Laetitia Boulle / Rédaction : Lise Blein, Nolwenn Lagadec, Marie Lemoine, Timothé Poulain / Mise en page : Marie Lemoine

La Cinémathèque de Grenoble organise le Festival du Film Court en Plein Air depuis 1977.

Retrouvez toute l’actualité du festival surfestival.cinemathequedegrenoble.fr

Impr

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yclé

Programme

Couverture : L’Être venu d’ailleurs de Guy Bordin et Renaud De Putter

Mardi : ShadowMercredi : Du Grain à MoudreJeudi : Un grand bol d’air purVendredi : Baby Phone

Vote du Public

Reprise Regards 318h00 - cinema le club (Grenoble)

Débat avec les réalisateurs (4)18h30 - place saint andré

Compétition Programme 520h30 - Salle juliet berto22h00 - Place saint andré

Débat avec les réalisateurs (5)22h30 - Salle juliet berto

« The Mass of Men » - Grand Prix 201323h30 - place saint andré

Palmarès00h00 - place saint andré

Rediffusion des films primés00h30 - salle juliet berto

Où je mets ma pudeur de Sébastien Bailly

L’Être venu d’ailleurs de Guy Bordin et Renaud De Putter

La Virée à Paname de Carine May et Hakim Zouhani

The Rising de Nick Jordan

La Bête de Vladimir Mavounia-Kouka

Solo Rex de François Bierry

C o m p é t i t i o n P r o g r a m m e 5

Reprise du Palmarès

Dimanche 6 Juillet22h00 - parc paul mistral (grenoble)

Lundi 7 Juillet18h00 - Cinéma le club (grenoble)

RemerciementsGuillaume Poulet et Laetitia Boulle pour leur accompagnement et leur bienveillance.

Véronique Mondet, Sylvain Crobu, Carole Bertrand et Alizée Goovaerts pour leur soutien et leur convivialité.

L’ensemble des bénévoles pour leur aide et leur accompagnement.

Tous les réalisateurs pour leur disponibilité et leur temps.