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TRANSITOIRES DANS LES SERVOM]~CANISMES NON LINI~AIRES FILTRI~S par dulien LOEB Ing6nieur en Chef des T616communications *. SOMMAIRE. - - Pour calculer les r@imes transitoires des ser~om~canismes non lin~aires comportant un dl~ment filtrant, dans le cas des amortissements [aibles, on indique (en partant de l'dquation [ondamentale des sgstdmes bouclds) rgquation dif/&entielle du ier ordre dormant l'amplitude x et l'gquation dif[&entielle du 2e ordre donnant l'glon- gation y. On indique une nouvelle construction qui permet de tracer par points la courbe x(t) et qui donne ainsi un nour crit&ium de stabilitJ des r@imes oscillants stationnaires. I. ~ INTRODUCTION. Un pr6c6dent article [1] a d6crit les r6gimes sta- tionnaires (oscillations autoentretenues ou condi- tions de repos), des servom6canismes non lin6aires comportant un 616ment de filtrage. Ces syst6mes sont caract6ris6s, on l'a vu, par une fonction de transfert A(x, to) d6finissant la r6ponse, pratiquement sinu- soidale, de la chalne ouverte h une excitation sinu- soidale d'amplitude x et de pulsation to. L'objet du pr6sent travail est de calculer, toujours dans l'hypoth6se du filtrage, le mouvement transi- toire d'un tel syst~me entre deux oscillations de r6gime stationnaire, ou entre une oscillation de r6gime instable et le repos. Nous aurons ainsi une id6e de la rdponse transitoire d'un servom6canisme non lin6aire. 2. -- INTRODUCTION D'UN AMORTISSEMENT ~ FINI (*). Nous pouvons, 6tendant ]e r6sultat trouv6 en [il, d6finir le r6gime transitoire par une pulsation co et un amortissement ~ qui, ici, contrairement h ce qui se passe au voisinage imm6diat d'un r6gime stationnaire, n'est pas infiniment petit. Les quanti- t6s x, to et ~ sont toujours reli6es par l'6quation fondamentale des syst6mes boucl6s : (I) 1 + A (;c, ~ + j to) = 0. Le mouvement peut ne pas 4tre p6riodique :dans ce cas l'6quation (1) n'admet que des racines r6elles. 2.t.- Diagramme de Poincar4 g4n4ralis4. On connalt, grace h H. PoINcAR G une repr6sen- tation tr6s intuitive de l'6volution d'un syst6me r6gi par une 6quation diff6rentielle non lin6aire du 2eordre. (Voir notamment M~NOnSKI [2].) Si f (y, y', y~', t) ---- 0 est une telle 6quation, on porte y(t) en abscisse et ~(t) en ordonn6e sur un diagramme com- mun6ment appel6 (( diagramme des phases )). Lorsqu'il s'agit d'un servom6canisme filtr G on peut 6tendre cette repr6sentation aux cas off l'ordre de l'6quation diff6rentielle, ou, ce qui revient au m4me, le degr6 de l'6quation alg6brique, l + A(x,P) =0 est sup6rieur h deux. La limitation de notre th6orie aux syst6mes filtr6s nous permet ainsi l'exploration de syst6mes r6gis par des 6quations de degr6 quel- conque. On a vu, dans le pr6c6dent article Ill, que les sys- t6mes filtr6s se caract6risent par l'existence, en des points d6termin6s de la chaine, d'une grandeur physique (courant 61ectrique, angle rep6rant la rota- tion d'un arbre, etc...) dont l'61ongation y varie pratiquement comme une fonction du temps cis- soidale amortie. C'est cette grandeur dont l'amplitude est d6sign6e par x dans l'6quation (i) (2) y = xe(r162~ que l'on peut 6crire : (3) y = x e~v (cos tot + j sin tot) = ~ + j ~. Le point M d'afl]xe y se d6place ainsi sur une spi- rale logarithmique d'autant plus serr6e que ~ est I rl petit devant to (fig. i). FIG. 1. -- Diagramme de phases d'un syst6me oscillant avec une amplitude variable. Les abscisses des points rnl, m 2... sont aux instants tx, t~... 6gales h xe ~t,, xeat~... Un r6gime oscillant stationnai~e (sans que l'on pr6juge de sa stabilit6) sera caract6ris6, on l'a vu, par a = 0 et sera repr6sent6 par un cercle de rayon x. Les r6sultats de [1] peuvent se sch6matiser sur la figure 2. I, courbe ferm6e, repr6sente toujours le r6gime stationnaire. II et III sont les trajectoires voisines, convergentes dans le cas de la stabilit6, divergentes dans le cas contraire. L'objet du pr6sent travail est de chercher h corn- * Au C. N. E. T., Chef du D6partement TELI~COMMANDE et CONTRE-MEsURES. [ ] Pour tout renvoi entre crochets se reporter in fine a la bibliographie. (*) M. CAHEN, Ing6nieur eu Chef du G6nie Maritime, me fait remarquer que l'6quation (1) suppose que l'intro- duction de :r laisse subsister l'analyticit6 de A. C'est laune hypoth6se qu'il faut formuler explicitement, en attendant que la question soit approfondie. -- 408 --

Transitoires dans les servomécanismes non linéaires filtrés

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T R A N S I T O I R E S D A N S L E S S E R V O M ] ~ C A N I S M E S N O N L I N I ~ A I R E S F I L T R I ~ S

par dulien LOEB Ing6nieur en Chef des T616communications *.

SOMMAIRE. - - Pour calculer les r@imes transitoires des ser~om~canismes non lin~aires comportant un dl~ment filtrant, dans le cas des amortissements [aibles, on indique (en partant de l'dquation [ondamentale des sgstdmes bouclds) rgquation dif/&entielle du ier ordre dormant l'amplitude x et l'gquation dif[&entielle du 2 e ordre donnant l'glon- gation y.

On indique une nouvelle construction qui permet de tracer par points la courbe x(t) et qui donne ainsi un nour crit&ium de stabilitJ des r@imes oscillants stationnaires.

I . ~ I N T R O D U C T I O N .

Un pr6c6dent article [1] a d6crit les r6gimes sta- tionnaires (oscillations autoentretenues ou condi- tions de repos), des servom6canismes non lin6aires comportant un 616ment de filtrage. Ces syst6mes sont caract6ris6s, on l 'a vu, par une fonction de transfert A(x, to) d6finissant la r6ponse, pra t iquement sinu- soidale, de la chalne ouverte h une excitat ion sinu- soidale d 'ampli tude x et de pulsation to.

L 'obje t du pr6sent t ravai l est de calculer, toujours dans l 'hypoth6se du filtrage, le mouvement transi- toire d 'un tel syst~me entre deux oscillations de r6gime stationnaire, ou entre une oscillation de r6gime instable et le repos. Nous aurons ainsi une id6e de la rdponse transitoire d 'un servom6canisme non lin6aire.

2. - - I N T R O D U C T I O N D ' U N A M O R T I S S E M E N T ~ FINI (*).

Nous pouvons, 6tendant ]e r6sultat t rouv6 en [il, d6finir le r6gime transitoire par une pulsation co et un amort issement ~ qui, ici, contrairement h ce qui se passe au voisinage imm6diat d 'un r6gime stationnaire, n 'est pas infiniment petit. Les quanti- t6s x, to et ~ sont toujours reli6es par l '6quation fondamentale des syst6mes boucl6s :

(I) 1 + A (;c, ~ + j to) = 0.

Le mouvement peut ne pas 4tre p6riodique :dans ce cas l '6quation (1) n ' admet que des racines r6elles.

2 . t . - Diagramme de Poincar4 g4n4ralis4.

On connalt, grace h H. PoINcAR G une repr6sen- ta t ion tr6s intuit ive de l '6volution d 'un syst6me r6gi par une 6quation diff6rentielle non lin6aire du 2eordre. (Voir no tamment M~NOnSKI [2].) Si f (y, y', y~', t) ---- 0 est une telle 6quation, on porte y(t) en abscisse et ~(t) en ordonn6e sur un diagramme com- mun6ment appel6 (( diagramme des phases )).

Lorsqu'il s'agit d 'un servom6canisme filtr G on peut 6tendre cette repr6sentat ion aux cas off l 'ordre de l '6quation diff6rentielle, ou, ce qui revient au m4me, le degr6 de l '6quation alg6brique,

l + A (x ,P ) = 0

est sup6rieur h deux. La l imitat ion de notre th6orie aux syst6mes filtr6s nous permet ainsi l 'exploration de syst6mes r6gis par des 6quations de degr6 quel- conque.

On a vu, dans le pr6c6dent article Ill, que les sys- t6mes filtr6s se caract6risent par l 'existence, en des points d6termin6s de la chaine, d 'une grandeur physique (courant 61ectrique, angle rep6rant la rota- tion d 'un arbre, etc...) dont l'61ongation y varie pra t iquement comme une fonction du temps cis- soidale amortie.

C'est cette grandeur dont l 'ampli tude est d6sign6e par x dans l '6quation (i)

(2) y = xe(r162 ~

que l 'on peut 6crire :

(3) y = x e~v (cos tot + j sin tot) = ~ + j ~.

Le point M d'afl]xe y se d6place ainsi sur une spi- rale logarithmique d 'au tan t plus serr6e que ~ est

I rl

peti t devant to (fig. i).

FIG. 1. -- Diagramme de phases d'un syst6me oscillant avec une amplitude variable.

Les abscisses des points rnl, m 2... sont aux instants tx, t~... 6gales h xe ~t,, xeat~...

Un r6gime oscillant stationnai~e (sans que l 'on pr6juge de sa stabilit6) sera caract6ris6, on l 'a vu, par a = 0 et sera repr6sent6 par un cercle de rayon x.

Les r6sultats de [1] peuvent se sch6matiser sur la figure 2. I, courbe ferm6e, repr6sente toujours le r6gime stationnaire. II et I I I sont les trajectoires voisines, convergentes dans le cas de la stabilit6, divergentes dans le cas contraire.

L 'obje t du pr6sent travail est de chercher h corn-

* Au C. N. E. T., Chef du D6partement TELI~COMMANDE et CONTRE-MEsURES.

[ ] Pour tout renvoi entre crochets se reporter in fine a la bibliographie.

(*) M. CAHEN, Ing6nieur eu Chef du G6nie Maritime,

me fait remarquer que l'6quation (1) suppose que l'intro- duction de :r laisse subsister l'analyticit6 de A. C'est laune hypoth6se qu'il faut formuler explicitement, en attendant que la question soit approfondie.

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t. 7, n o 10, 1952]

pl6ter la figure 2 en d6terminant les trac6s qui peuvent joindre les eourbes ferm6es entre elles ou h l'origine.

Fro. 2. - - t l6gimes Sta t ionnai re I

~ en a u g m e n t a n t I I Convergent

cn d i m i n u a n t I I I .

Par exemple, sur la figure 3, on a repr6sent6 un syst~me ~nstable ~ l'origine, qui, en raison des satu-

Fin. 3. - - /~volution d ' u n sys t6me ins table h l 'origine, vers tree oscillation s table .

rations, a t te lnt un r6gime oscillant statlonnaire stable. L '6quat ion implicite (1) permet, pour chaque valeur de x, de calculer to et ~.

2.2. ~ Cas des a m o r t i s s e m e n t s faibles.

Pour pouvoir aller plus loin, nous sommes oblig6s d ' introduire une l imitation de plus au domaine des syst~mes 6tudi6s : nous n'allons examiner, dans ce qui suit, que les syst~mes suffisamment peu amortis pour que l 'on puisse parler d 'une pulsation 6) variant lentement avec le temps, mais pouvant ~tre consi- d6r6e comme constante pendant le temps 2n/~o0, off (% est la valeur initiale de co. L'6volution dans le temps du syst~me sera ainsi repr6sent6e comme une succession de r6gimes (( permanents ), dont les para- m~tres var ient lentement.

2 .2 i . - - L'~quat ion en x.

L'6quation fondamentale (1) v a n o u s permettre

TRANSITOIRES DANS LE$ SERVOMI~CANISMES 2/3

d'6crire l '6quation diff6rentielle qui r6git les varia- tions de x avec le temps (toujours en supposant (~/~) << 1).

Pendant une p6riode 2n/to, l 'ampli tude a pass6 de sa valeur initiale Xo h la valeur xl :

Xl = X0 {~27~/~.

La d6riv6e ~ est approximat ivement : (r (x,--Xo) , soit x~.

L '6quation diff6rentielle r6gissant x est done l '6quation implicite :

(4) I + d (x, .~/x + j e o) = 0.

(6) repr6sente en fait 2 6quations obtenues en 6galant h z6ro les parties r6elle et imaginaire du Ier membre. L'61imination de 6) entre ces deux 6qua- tions donne l '6~uation eli x et permet donc de cal- culer les r6gimes transitoires.

2.22. - - L'dquation en y .

La connaissance de x 0 du temps t o ne suffit pas h d6finir exactement la configuration du syst~me rep6r6e par l'61ongation y. I1 faut encore connaltre la phase initiale.

Sur la figure 6, on a trac6 les courbes I et II qui repr6sentent toutes deux, h l'6chelle des approxi- mations admises, l '6volution d 'un syst~me carac- t6ris6 h l ' instant t o par une ampli tude x0. La solu-

jx/;•/-%/ I

I I

Fro. 4 . - Deux cas d'6votution d'un syst4me pour deux phases diff6rentes.

t ion g6n6rale d6pend alnsi de deux constantes arbi- traires x 0 et T0.

C'est lh une autre fa~on d ' introduire la position et la vitesse initiales.

Deux constantes arbitraires, c 'est peu pour un syst~me ob~issant h une ~quation diff6rentielle d 'un ordre 61ev6

Nous avons ainsi 4t6 amen6, en in t roduisant l 'hypoth~se du filtrage, h supprimer de nos calculs un grand nombre de renseignements qui corres- pondent aux harmoniques n6glig6s.

Ce qu'il y a de nouveau et, pensons-nous, d ' int& ressant dans ce domaine de recherches, c 'est que, malgr6 l '6norme simplification ainsi apport6e aux 6quations, il semble que l'essentiel subsiste, h savoir la loi de croissance ou de d6croissance de x en fonc- tion du temps. I1 est d'aillehrs facile d'$crire l '6qua- tion du second ordre qui repr6sente ce qui subsiste

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d ' information apr~s l' (( 61agage ~) des harmoniques. L'6quation (2) peut s'6crire en supposant x constant pendant un cycle 2z~/o~.

(5) ~- - 2 ~ ~) + (~ + to~) y = 0.

Dans cette 6quation ~r et to ne sont pas des fonc- tions explicites du temps. Elles ne sont pas non plus des fonctions explicites de y, mais de la grandeur x qui repr6sente, pourrai t -on dire, la moyenne du module de y au cours d 'un cycle, et qu 'on peut cal- culer en par tant de (6).

C'est toujours, bien entendu, notre relation fonda- mentale (1) qui donne m et to en fonction de x. Nous voyons ainsi par quel m@anisme la complication des 6quations du probl~me, due h des r6seaux h mailles nombreuses ou h leur 6quivalent m6canique, subsiste dans nos r6sultats.

A(x, p) est une fonction analytique en P. Cette fonction est souvent une fraction rationnelle, les exponentielles n '6 tant introduites que dans les cas off il y a un retard ind6pendant de la fr6quence.

Bien entendu, l '6quation (1) a en g6n6ral pour une valeur de x, plusieurs solutions en ~ et en to.

Chacune de ces solutions correspond h un domaine de fonct lonnement de l 'appareif et le probl~me topo- logique du raccordement de ces domaines se posera dans chaque cas. En partlculier les r6seaux de courbes doivent ~tre trac6s sur des surfaces de Pt lEMANN.

3 . - R~SOLUTION DE L ' l k Q U A T I O N F O N D A M E N T A L E [ I ] .

Trop difficile en g6n6ral, le probl~me se simplifie dans le cas (6tudi6 par Kocn~.~nURGra [3]) off la chalne se d6compose en deux 616ments mis bout bout, dont l 'un a un coefficient de t ransfer t A(P) ind6pendant de x, et l 'autre un coefficient (pouvant ~tre complexe) f(x) ind6pendant de P,

jV /

J. LOEB [ANNALES DES TI~L1~COMMUNICATIONG

Cette figure se prate h la construction point par point de la eourbe x(t).

En partant , pour x = x0, des vaIeurs % et too correspondantes ]ues sur le r6seau de courbes ~ et to, on en d6duit la nouvelle valeur xl at teinte au bout du temps t 1 = t o + 2x/too. A cette valeur x 1 corres- pondent de nouve]les ~r cq et r qui permet- tent de d6terminer los 6poques t~, t2, .... t**, aux- quelles sont atteints les points x 1 x 2 ....

II y aura des points remarquables correspondant l ' intersection de la courbe - - ]/f(x> avec la ou les

courbes ~ = 0. Ce sont lh les points de KOCHEN" BURGER (a la diff6rence pr6s du choix des courbes qui se coupent).

Mais ici nous obtenons imm6diatement un rensei- gnement suppl6mentaire que ne donne pas KOCUEN- BURGER : en s'61oignant de la quanti t6 ~x sur la courbe - - 1/f(x), on t rouve des valeurs de 0r ment petites dont le signe permet de d6terminer, comme dans []], la stabilit6 ou l 'instabilit6.

Nous avons en somme proc6d6 h la fusion de deux conceptions li6es l 'une, h l 'analyse lin6aire, l 'autre, h l 'anaIyse non ]in6aire. La premi6re de ces concep- tions est due h M. LEONItARDT. Cet auteur a montr6 [4] que la t ransformation conforme qui fair correspondre, par la fonction de transfert , le plan des A ~ U + jV au plan des P = ~ + jto peut donner des renseignements sur le degr6 de stabilit6 des servom6canismes lin6aires. La seconde est celle de KOCH~NBURGnn [3] qui a montr6, dans le cas des servom6canismes h relais, comment on pouvai t calculer les r6gimes oscillants stationnaires. La figure 5 porte h la fois le r6seau de courbes

= ~n trac6 selon les id6es de LEO~UABDT et la courbe de - - ~/f(x) trac6e selon celles de KOCn~N- BUHGEE.

Remarquons cependant que cet te construction n'est qu 'approximat ive et qu'elle est d ' au tan t plus exaete que le syst~me est moins amorti (~<< co). II restera h 6tudier les llmites de cette approximation.

Manuscrh re~u le 25 avril ~952.

%

Fla. 5 . - l~6solution graphique de l '6quation ,,.

On trace (fig. 5) le r6seau des courbes dans le plan des A = U ( ~ + ] c 0 ) + j V ( ~ + jo~) obtenu en rempla~ant j o dans les formules habituelles par

-]- jto et sur la mgme figure la courbe - - 1/f(x) marqu6e des valeurs de x. A chaque valeur de x, on pourra lire les valeurs de ~ et de to correspondantes. (Les familles to ----- Const. et ~ = Const. sont ortho- gonales.)

BIBLIOGRAPHIE

[1] LOEB (J.), Ph6nom~nes cc h6r6ditaires )~ dans les servom~canismes, un crit6rium de stabilits Ann. T~Igcommunic., Ft. ~ (d6e. i951), 6, n ~ i2, pp. 346- 352, l0 fig., 7 %f. bibl.

[2] MINORSKI (N.), Introduction d~ la'm~canique non lingaire (Introduction to non linear mechanics.) J. W. Edwards, Ann Arbor, Michigan (1947), 464 pp., nombreuses fig., nombreuses r6f. bibl. Prix : 7,50 $

[3] KOCHENBURGER (R. J.), Analyse du fonctionnement des servom6canismes du type pas ~ pas, h l'aide d'une m6thode fournissant la r6ponse en fonction de la fr6quence (Analyzing contactor servome- chanisms by frequency-response methods.) Electr. Engng., U. S. A. (aofit J950), 59, n ~ 8, pp. 687- 692, 8 fig., 6 %f. bibl.

[4] LEONI~ARDT (A.), La rdgulation automatique en ~lectrotechnique. (Die selbsttatige Regelung, in der Elektrotechnik.) u "con Julius Springer Berlin (1940), 192 p., 186 fig., 31%f. bibl.

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