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Travail social Freins et leviers à la participation et au développement du pouvoir d’agir des personnes Restitution d’une journée d’étude régionale sur Midi-Pyrénées sur « la participation et le développement du pouvoir d’agir » du 12 janvier 2016

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Travail social Freins et leviers à la participation et au développement du pouvoir d’agir des personnes

Restitution d’une journée d’étude régionale sur Midi-Pyrénées

sur « la participation et le développement du pouvoir d’agir » du 12 janvier 2016

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Depuis plus de 10 ans, des textes législatifs affirment le droit à la participation des personnes

accueillies, accompagnées ou hébergées dans des services sociaux, médico-sociaux ou sanitaires.

Force est de constater, que ces impulsions législatives peinent à se mettre en œuvre.

Le 10 Juillet 2014, à Melbourne en Australie, l'association internationale des écoles de travail

social (IASSW), le conseil international de l’action sociale (ICSW) et la fédération internationale des

travailleurs sociaux (IFSW) ont approuvé la définition suivante du travail social :

Plus récemment, le 21 octobre 2015, le conseil des ministres a validé un plan d’action

national en faveur du travail social. Ce plan d’action est l’aboutissement de la démarche

des Etats Généraux du Travail Social. Il fait de la participation l’une de ces quatre grandes

priorités et il précise que : « La participation des personnes doit être recherchée à toutes

les étapes des politiques publique : depuis leur élaboration, jusqu’à leur mise en œuvre et à

leur évaluation. »

Le 12 janvier 2016 était organisée près de Toulouse une journée d’étude régionale sur la

participation et le développement du pouvoir d’agir.

Cette journée a été préparée par un collectif composé

d’étudiantes en dernière année de formation

d’éducateur spécialisé, de professionnel.le.s de

l’intervention sociale et sanitaire, de personnes

usagères de services sociaux ou sanitaires et de

personnels pédagogiques du Centre Régional de

Formation aux Métiers du Social de l’association

ERASME (voir liste en fin de document).

Les expériences de participation présentées lors de cette journée ont été autant portées par des

professionnel.le.s que des personnes ou collectifs d’usager.e.s de services sociaux ou sanitaires.

La préparation en amont de cette journée d’étude a permis de mettre en valeur le point de vue

des personnes accueillies ou accompagnées par des travailleurs sociaux. En particulier, de

nombreux freins et leviers à leur participation ont pu être identifiés dont beaucoup sont encore

trop peu pris en compte par les professionnel.le.s et les institutions .

Lors de cette journée, les témoins des expériences présentées ont aussi donné leurs définitions de

la participation. Ce sont celles-ci qui vous sont, en premier lieu, présentées ci-dessous.

« Il promeut le changement et le développement social, la cohésion sociale, le développement du pouvoir d’agir et la libération des personnes. Les principes de justice sociale, de droit de la personne, de responsabilité sociale collective et de respect des diversités sont au cœur du travail social. Etayé par les théories du travail social, les sciences sociales, les sciences humaines et des connaissances

autochtones, le travail social encourage les personnes et les structures à relever les défis de la vie et agit pour améliorer le bien-être de tous. »

DEFINITION

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Favoriser la défense des droits des personnes en partant de leur point de vue

Aller vers les gens pour leur dire qu’ils ont droit à la parole. Pouvoir agir sur ce qui est important à nos yeux.

Bénéficier d’une vraie écoute

Être écouté, écouter et accepter ce que les autres vont dire.

C’est une écoute, à égalité, de tous les points de vue qui peuvent former ensemble un autre point de vue.

Il faut que celui qui invite à participer s’implique, qu’il soit prêt à travailler avec la personne, qu’il soit prêt à évoluer lui-même et à ne pas rester sur ses positions.

Oser dire ce que l’on ressent

Pouvoir dire ce que l'on pense.

Oser exprimer et partager son point de vue à un groupe.

Coopérer et être solidaire

N’ignorer personne. Porter les idées de tous et toutes et les prendre en compte.

Oser transformer ses besoins individuels en projet collectif.

S’engager les uns envers les autres.

Travailler souvent pour les autres : on ne va pas forcément en bénéficier nous-mêmes, ce sera pour ceux et celles qui viendront après.

Co-construire avec les autres des solutions aux problèmes

Chercher des pistes d’amélioration ensemble. On est plus intelligents à plusieurs, surtout quand on a des expériences de vie différentes.

Ne pas travailler seul dans son coin mais travailler ensemble, avec les travailleurs sociaux, les directions et les politiques.

Oser se regarder et se parler, sans se cacher les choses et même quand on n’est pas d’accord, on trouve toujours une solution.

Dire les choses. Si les choses ne sont pas dites, elles ne sont pas entendues, donc on ne peut pas trouver de solution, ni d’amélioration.

Amener du changement pour un monde meilleur

Améliorer la situation. Faire avancer les choses et récolter à long terme les fruits que l’on a semés.

Agir sur ce qui est important pour soi, ses proches ou le collectif auquel on s’identifie.

Une participation qui n’est pas « bidon », c’est quand ça change quelque chose dans la durée.

Mais participer ce n’est pas le plus difficile. Le plus difficile, c’est comment faire en sorte que des gens qui ne prennent jamais la parole participent.

Participer c’est..

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Les freins : ce qui peut empêcher les personnes accompagnées de participer

Des peurs des personnes accompagnées elles-mêmes

Peur du jugement des autres et peur de choquer.

Peur des représailles : peur de contrarier le professionnel en disant franchement ce qu'on pense et que cela ait des conséquences négative pour son dossier.

Peur du placement de ses enfants.

Peur de ne pas comprendre ou ne pas se faire comprendre. Peur de se ridiculiser.

Peur de ne pas trouver le lieu où se passe la réunion.

Peur de certains lieux (ex : la mairie, l’école, …) quand on y a eu des expériences négatives.

Peur de l’inconnu. Peur qu’on rentre dans notre vie privée.

Peur de ne pas bien représenter les autres.

Ces peurs sont souvent sous-estimées par les professionnel.le.s et les institutions.

Des relations déséquilibrées entre les professionnels-experts et les personnes accompagnées

Attention à comment on crée le contact avec les personnes accompagnées, à ne pas être intrusif c’est-à-dire ne pas être indiscret ou s’imposer dans leur vie privée sans leur accord.

La personne a besoin d’un regard bienveillant, non jugeant, qui n’enfonce pas.

Si la personne vit un moment de grande précarité, elle n’en reste pas moins une personne humaine et pas un dossier.

C'est très important, lors d’un accueil, d'écouter la personne avant de lui expliquer le règlement intérieur et le fonctionnement.

La personne peut aussi comprendre, être à l'écoute, même avec sa fragilité, si elle se sent en sécurité. Le langage des professionnels (ex : les sigles) est un frein à la compréhension.

Le professionnel prend parfois trop de place. Il doit être au service des personnes accueillies, repérer leurs ressources pour les développer. Encourager, donner des outils pour l’expression des personnes.

Le professionnel ne doit pas prendre la parole à la place des personnes accompagnées ou synthétiser ou analyser leurs réponses pour faire sa « propre sauce » après.

Les paroles ne sont pas sur un pied d’égalité. « On nous fait passer pour des ignorants, on s’en remet aux experts ». Les professionnel.le.s autant que les personnes accompagnées doivent être convaincu.e.s que la parole de chacun a autant de valeur.

Des obstacles liés au fonctionnement des institutions

L’inaccessibilité de certains lieux empêche la participation des personnes à mobilité réduite.

Le manque d’endroits dans les structures où les personnes peuvent se réunir entre–elles.

Des difficultés d’accès à des outils de communication comme l’accès à Internet et à un ordinateur pour consulter ses mails.

La non information sur les droits qui permettent de participer (ex : le Conseil de la Vie Sociale). Le manque de formation sur la participation à la fois pour les professionnel.le.s et pour les personnes

accompagnées.

Le manque de disponibilité des professionnel.le.s. lié aux contraintes des organisations du travail ou à l’organisation sociale (surcharges de travail, manque d’écoute …).

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Des conditions d’organisation et de déroulement des réunions non facilitantes

Des réunions où on ne comprend rien.

Des réunions où on ne nous met pas en confiance.

Le manque de préparation des réunions : quand les animateurs n'ont pas bien préparé l'animation et

que les participant.e.s n'ont pas pu réfléchir à l'avance, les réunions sont alors moins intéressantes,

produisent moins, et ça peut décourager.

Des difficultés pour s’exprimer quand on n’a pas l’habitude ou quand on nous prive de la parole .

Des doutes sur l’efficacité des réunions ou de la participation

Cela demande un effort de prendre la parole. Les personnes ne peuvent s’y essayer qu’à condition

qu’elles aient quelque chose à y gagner, qu’elles sachent que leur participation va réellement faire

bouger quelque chose à laquelle elles tiennent. Ceci implique de partir de ce qui est important pour les

personnes, de leur propre point de vue. Il faut bien comprendre pourquoi la personne dit ceci ou cela.

Parfois on ne comprend pas tout de suite, il faut chercher.

S’il n’y a pas de suites, cela

décourage. Attention à la

participation alibi. Pour que la

participation soit efficace, il

faut être entendu et montrer

que la participation améliore

les choses. Pour que les gens

aient envie de continuer à

participer, il faut qu'ils voient

ce qui change à partir de ce

qu'ils ont dit et, si des choses ne changent pas ou pas tout de suite, qu'ils comprennent bien le

pourquoi et qu'on continue à chercher comment faire aboutir la demande si c'est quelque chose

d'important.

Une manière d'évaluer l'efficacité de la participation est de vérifier si quelque chose a changé ou pas à

partir de ce qui a été dit ou fait par les personnes accompagnées.

Si personne ne prend des notes sur ce que disent des participant.e.s à une réunion, cela les décourage.

Toutes les paroles ont de l'importance.

Ce n’est pas de la participation quand dans une réunion l’ordre du jour est fixé par la direction de la

structure, qu’un usager de l’institution pose une question et qu’il n’a pas de réponse.

Dans les freins, il y a aussi les soucis de la vie, quand les gens sont dans des conditions de survie qui font que la participation à une réunion n’est pas la priorité.

Parfois l'urgence est de protéger les enfants, de trouver à manger.

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Le soutien des décideurs (élu.e.s, direction…)

Travailler ensemble, habitants, associations, institutions, entreprises

Quand les professionnel.le.s facilitent la participation des personnes accompagnées

S’adressent à égalité.

Prennent en compte la dimension humaine, les affinités interpersonnelles.

Prennent le temps d’écouter, même les silences, ne finissent pas les phrases à la place d’une personne,

lui laissent le temps de construire et d’exprimer sa pensée.

Prennent le temps d’accueillir la personne et partent de sa propre définition de ce qui lui pose

problème. (Contrairement à la posture du sauveur : vouloir le bien de l’autre jusqu’à savoir ce qui est

bien pour l’autre.)

Utilisent des mots simples. Sinon comment se comprendre et permettre à la personne accompagnée de

participer.

Relèvent les capacités de la personne plutôt que de lui renvoyer ses incapacités.

Reconnaissent l’expertise des personnes accompagnées : « Votre expérience peut être utile à

d’autres ». Importance du regard qu’on porte sur l’autre .

Laissent la personne argumenter sa situation car elle en est experte. Il y a beaucoup à apprendre des

personnes accompagnées car elles sont les mieux placées pour parler d’elles.

Laissent la personne actrice dans ses démarches (courriers, appels, etc.).

Reconnaissent le droit à l’erreur, de se tromper, de prendre des risques.

Partagent le pouvoir.

Sont humbles, à l’écoute, proposent

des outils, se mettent en position

d'égalité et transmettent ce qu'ils

savent et savent faire pour permettre

aux autres d'évoluer.

Ne « récupèrent » pas la parole des

personnes.

Sont présent.es dans la durée.

Les modalités de préparation et de fonctionnement des instances des groupes de

participation et des réunions La formation des professionnel.le.s et des personnes accompagnées aux conditions de coopération et

de dialogue. Tout le monde a besoin de se former, certaines formations pourraient se faire ensemble et

d'autres séparément. Il s’agit d’être en capacité de travailler ensemble, de penser ensemble, de

coopérer sur un projet.

Créer les conditions dans les réunions pour que les personnes accompagnées puissent réfléchir à partir

de leur situation et exprimer des constats ou des propositions au lieu de devoir raconter leur vie privée.

La formation des personnes accueillies permet de prendre du recul sur les situations et de prendre

conscience de son pouvoir d’agir.

Un animateur qui ne fasse pas partie de l'institution pour animer le groupe de personnes accueillies

afin de favoriser leur prise de parole.

Les leviers : ce qui peut permettre de participer et d’agir pour soi-même et pour les autres

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Utiliser des méthodes et des outils qui favorisent la prise la parole.

Mettre en place des groupes d’échanges libres entre pairs (personnes accompagnées, habitant.e.s,

usager.e.s de services sociaux ou sanitaires…) :

o Cela met en confiance et favorise la prise de parole. o Cela prépare pour prendre la parole devant des professionnel.les. car cela permet la construction

d’une pensée collective à partir de l’expérience vécue. o Cela permet la confidentialité des points de vue individuels : ils restent dans le groupe et ce que

veut dire le groupe remonte par un porte-parole. o Le fait que ce puisse être les usager.e.s qui invitent et fixent les règles change la donne, favorise

l’égalité et le respect de la parole de chacun.e.

Avoir l’accès à l’information, en particulier sur l’instance à laquelle on est invité.

Faire attention au contenu et aux

modalités d’invitation :

o Formulation de l’invitation : « On a besoin de vous, de votre expérience pour avancer sur cette question… » plutôt que « je vous invite à ».

o Faire une invitation personnelle orale (plutôt qu’un mail, un

courrier, ou en plus). o Etre invité.e par quelqu’un de confiance, qui connait le déroulement, pour que les personnes

puissent poser des questions et qu’elles soient informées avant d’accepter. Cela donne confiance. o Importance d’une préparation en amont, si possible avec des gens qu’elles connaissent.

Une co-construction professionnel.le.s/personnes accompagnées :

o Le travail ne peut avancer que lorsqu’il est collectif de part et d’autres (personnes accueillies, travailleurs sociaux, administrations).

o La concertation n’est pas suffisante pour permettre l’émancipation. Il faut une réelle coopération à partir de la pensée exprimée par chacun.e. Ecouter les autres jusqu'au bout peut amener chacun.e à se remettre en question, voir les choses autrement, c'est ce qui permet de construi re ensemble.

o Une capacité d’action collective.

o Une co-animation des réunions et des groupes de participation (notamment dans les moments de préparation et de bilan).

Des réunions régulières.

Des comptes rendus de réunion

conjoints entre professionnel.le.s

et personnes accompagnées (ou au moins relus et validés).

Avoir des supports pour faire valoir ses droits (comptes rendus des réunions, enregistrement des

débats….).

Que l’on confie des responsabilités aux personnes accompagnées tout en ayant le droit de se tromper.

Que des moyens soient affectés pour aider la participation : financements, temps, locaux, accès à un

ordinateur et à internet...

Importance d’outils et d’instances de participation

Collectifs de soutien entre personnes accompagnées.

Le Conseil de Vie Sociale ou autre dispositif inscrit dans la loi :

o L’installer là où il ne l’est pas. o Là où il existe : le travailler tel qu’il est légalement défini (comme un espace participatif). o Des outils de médiation et d’expression comme le théâtre forum.

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Il faut avoir conscience que c’est un processus qui demande du temps et qui s’appuie sur de

l'engagement à la fois personnel et collectif.

Personnes associées dans l’organisation de cette journée d’étude sur la

participation et le développement du pouvoir d’agir et l’écriture de ce document : BAEZ Rosette, militante ATD Quart Monde – BARBAU Régis, chargé de mission de la FNARS Midi Pyrénées –

BARRY Mamadou Billo délégué du CCRPA-Midi-Pyrénées - BERNARD Florence, alliée ATD Quart Monde –

BOURLIER Emmanuelle, présidente association Toutes voiles dehors – BRAMI Carole, psychologue Hôpital

Marchant et représente l’association Bon effet - CABAL Marie-Jo, administratrice du GIHP et du GISH Midi

Pyrénées – CAFFIN Véréna, militante ATD Quart Monde – CARNET Chloé, étudiante éducatrice spécialisée

du CRFMS ERASME – CATORZE Thérésa, déléguée du CCRPA-Midi-Pyrénées – COMETTI Edwige, formatrice

du CRFMS ERASME – COUZERGUE Catherine, présidente du GIHP et du GISH Midi Pyrénées –CUTULI Marie

Hélène, alliée ATD Quart Monde – DARRAS Pascale, assistante sociale Hôpital Marchant – DELRIEU

Françoise, chargée de mission Ressources & Territoires - JEBLI ALAMI Younes, délégué suppléant CCRPA-

Midi-Pyrénées – JOUFFRAY Claire, coordinatrice pôle recherche ANDA-DPA - KERAVAL Soline, étudiante

éducatrice spécialisée du CRFMS ERASME – LEBAILLY Philippe, directeur pédagogique du CRFMS ERASME –

LEGUEN Dominique, délégué du CCRPA-Midi-Pyrénées - MAGGIORE Aldo, délégué du CCPA et du CCRPA-

Midi-Pyrénées – RODER Kyra, étudiante allemande en formation de travail social et en mobilité au CRFMS

ERASME – SERRIS Audrey, étudiante éducatrice spécialisée du CRFMS ERASME – SHMITT Paulette, militante

ATD Quart Monde – SOLIGON Marion, étudiante éducatrice spécialisée du CRFMS ERASME - VAISSET

LOUVARD Zoé, étudiante éducatrice spécialisée du CRFMS ERASME - ZERMANI Ouacila, déléguée

suppléante CCRPA-Midi-Pyrénées

ANDA-DPA : association nationale pour le développement de l’approche centrée sur le développement du pouvoir d’agir

ATD Quart Monde : association luttant contre la misère et composée de personnes militantes vivant ou ayant vécu dans la grande pauvreté, d’allié.e.s bénévoles et de volontaires permanents

Bon effet : association d’usager.e.s et soignant.e.s de l’hôpital Marchant de Toulouse

CCPA et CCRPA : Conseil Consultatif (Régional) des Personnes Accueillies et Accompagnées. Son but est de promouvoir la participation des personnes à l’élaboration, au suivi et à l’évaluation des politiques publiques, notamment dans le domaine de l’hébergement et du logement

CRFMS ERASME : Centre Régional de Formation aux Métiers du Social – association ERASME

FNARS : Fédération Nationale des Associations d’accueil et de Réinsertion Sociale

GIHP : Groupement pour l’Insertion des personnes Handicapées Physiques

GISH : Groupement Inter-associatif Scolarisation et Handicap – Son objectif est de permettre l’inclusion des enfants et jeunes en situation de handicap dans le cadre de vie ordinaire et d’accompagner les familles

Ressources & Territoires : centre de ressources midi-pyrénéen pour les acteurs de la cohésion sociale

Toutes voiles dehors : association d’usager.e.s de la psychiatrie

Merci à Patrick Mignard pour nous avoir mis en dessins les deux saynètes jouées lors de la journée d’étude.