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Travaux d'élèves - exposé en SVT Classe de 3ebenjamin.peron.pagesperso-orange.fr/dos…  · Web view · 2005-01-04- VIH/SIDA 2,3 millions Il reste encore des progrès à faire

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Benjamin PERON

La vaccinationI.Histoire et apparition de la vaccination

Au cours des grandes épidémies qui touchèrent l’Europe dans le passé, les médecins constatèrent que les personnes contaminées qui avaient survécu pouvaient s’occuper des autres personnes atteintes sans retomber malades : elles étaient devenues, définitivement, résistantes à la maladie en question (et à celle-là seulement).

Ces observations avaient conduit, bien avant que l’on ne découvre les mécanismes de l’immunité, à induire une maladie pour s’en protéger. La pratique de la variolisation, qui consistait à inoculer1 une variole bénigne (par contact avec les pustules d’un malade) pour éviter une forme plus grave, fit tout de même beaucoup de dégâts !

La première méthode efficace de lutte contre la variole fut la pratique mise au point, en 1796, par le médecin anglais Edward Jenner2. Il observa que cette maladie ne touchait pas les paysans exposés à la traite des vaches. Ils avaient préalablement contracté la vaccine, maladie transmise par les pis des femelles atteintes, semblable à la variole mais sans conséquences mortelles pour l’homme. Il eut donc l’idée d’inoculer à un enfant la substance contenue dans les pustules3 d’une forme de vaccine, puis au bout de quelques jours, il lui inocula la variole mortelle des hommes. Le petit ne fut pas touché, et il fut définitivement protégé de la variole. Cette pratique se répandit en Angleterre puis en France où elle prend le nom de vaccination.

En 1879, Louis Pasteur 4découvre que des cultures microbiennes qui ont vieilli ont perdu leur virulence5. Sur le principe de Jenner, il comprend qu’en inoculant ces microbes à virulence atténuée, non seulement la maladie ne se manifeste pas, mais si on injecte, quelques temps après, ces microbes (virulents cette fois), seuls les sujets ayant été inoculés par les vieilles cultures ne sont pas touchés.

Des microbes à virulence atténuée permettent donc à l’organisme de résister à la maladie

Sur ces théories, de nombreux vaccins sont découverts :

En 1885, Pasteur découvre un vaccin contre la rage,

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Benjamin PERON

En 1921, Calmette6 et Guérin7 découvrent un vaccin contre la tuberculose,

En 1923, Ramon découvre un vaccin contre la diphtérie,

En 1981, l’Institut Pasteur découvre un vaccin contre l’Hépatite B.

II.Principe du vaccinLors d’une toute première infection par un agent pathogène8, le système

immunitaire élabore une défense. Cette réponse produit, d’une part, des anticorps et des cellules (lymphocytes B et T) destinés à lutter immédiatement contre l’agresseur, et d’autre part, des cellules « mémoire ». Ces dernières peuvent circuler dans l’organisme pendant des années, voire toute la vie. Lorsqu’elles rencontrent à nouveau l’agent pathogène dont elles sont spécifiques, ces cellules sont prêtes à le neutraliser car elles le reconnaissent.

La vaccination met à profit ce principe même : elle fait produire à l’organisme des cellules mémoires spécifiques d’un agent pathogène. La différence avec le cas ci-dessus est dans le fait que le produit injecté est inoffensif et ne provoque donc pas la maladie. Après vaccination, lors d’une rencontre avec l’agent pathogène, l’organisme développera une défense immunitaire, comme s’il avait déjà été malade.

Il existe cinq sortes de vaccins communément utilisés :

-les vaccins fabriqués à partir de micro-organismes tués (exposition à la chaleur, produits chimiques)

exemple : vaccin conte la poliomyélite, contre la fièvre typhoïde

-la forme activée d’une toxine9 produite habituellement par le microbe pathogène.

exemple : vaccin contre le tétanos, contre la diphtérie

-les vaccins fabriqués à partir de bactéries ou de virus atténués (affaiblis)

exemple : vaccin contre la rougeole, la fièvre jaune

-les vaccins qui consistent à purifier, à partir d’un grand nombre de microbes, une protéine capable de déclencher une réponse immunitaire.

-les nouvelles techniques comme le génie génétique : c’est la fabrication de micro-organismes non pathogènes grâce à la modification d’un gène, mais faisant réagir le système immunitaire.

exemple : vaccin contre l’hépatite B

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Dans la plupart des cas, les vaccins sont fabriqués à partir de cultures microbiennes. Voici un exemple de culture microbienne (document Pasteur / Mérieux):

Les rappels :

Le rappel vaccinal correspond à la réintroduction de l’antigène après un certain délai, c’est à dire quand tous les anticorps fabriqués après la première injection ont été éliminés ; effectué trop tôt, le rappel peut être inopérant, car l’antigène réintroduit est détruit par les anticorps non encore éliminés et non par ceux renouvellement produits.

III. Les vaccinsa)Les vaccins obligatoires

La diphtérie :

La diphtérie est une infection due à une bactérie qui se transmet essentiellement par l'intermédiaire de gouttelettes de salive ou de sécrétions nasales. L'infection peut entraîner une angine avec formation d'une fausse membrane10 susceptible de gêner la respiration. La bactérie produit une toxine (poison) qui peut gravement endommager le muscle cardiaque et le système nerveux. Suivant la gravité des cas, le degré d'immunité préexistant et la rapidité de la mise en place du traitement, le patient peut mourir soit d'insuffisance respiratoire ou cardiaque, soit d'une accumulation de la toxine dans le système nerveux.

Sont menacés les individus qui n'ont pas été vaccinés, surtout s'ils voyagent dans des pays où la diphtérie sévit. On a observé que l'adulte d'âge mûr qui n'a pas été vacciné dans l'enfance se montrait plus vulnérable.

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Benjamin PERON

Le tétanos :

Le tétanos est une maladie mortelle due à la pénétration dans l'organisme d'une bactérie appelée Clostridium tetani, le plus souvent par une plaie étroite et profonde. La bactérie se multiplie dans la plaie et produit un poison puissant (toxine) qui entraîne une rigidité et des contractions musculaires extrêmement douloureuses. Alors que la vaccination a considérablement diminué l'incidence du tétanos en Europe depuis son introduction dans les années 50 et 60, le tétanos n'a pas complètement disparu. Les personnes mal vaccinées risquent toujours d'attraper le tétanos en cas de plaie contaminée par de la terre. La période d'incubation11 est de 4 à 21 jours, 10 jours en général.

Les personnes âgées actives constituent le groupe à risque principal car ils sont souvent trop âgés pour avoir été vaccinés dans leur enfance.

La poliomyélite :

La poliomyélite, souvent appelée simplement "polio", est une infection virale de l'intestin qui peut atteindre la moelle épinière ou le cerveau et dans ce cas elle peut entraîner une paralysie. La polio est transmise principalement par contamination fécale 12des aliments ou de l'eau, bien qu'elle puisse également être transmise par les postillons émis lors de toux ou d'éternuements. Dans la plupart des cas, l'infection par le virus de la polio est asymptomatique13 (90 %). Lorsque les symptômes se présentent, le début de la polio est brutal avec fièvre, maux de tête et sentiment général de malaise. Une raideur du cou et des douleurs de dos sont courantes. Chez certains patients, la maladie peut ne pas progresser plus loin. Toutefois, certains patients peuvent développer une paralysie, le plus souvent des jambes, quoique n'importe quel muscle puisse être atteint. La douleur peut être sévère et la perte de masse musculaire est fréquente dans les zones paralysées. Le patient peut mourir si les muscles respiratoires ou ceux de la déglutition sont atteints. Chez les patients qui survivent, on peut observer une paralysie résiduelle. La guérison peut parfois prendre jusqu'à un an.

Les enfants et les jeunes adultes sont le plus souvent atteints mais la maladie varie d'une épidémie à une autre. Ces dernières années, des patients plus âgés ont été atteints, soit parce qu'ils n'avaient pas été correctement vaccinés, soit parce que leur immunité avait baissé avec le temps. Les voyageurs qui n'ont pas été correctement immunisés ou dont l'immunité a baissé courent un risque s'ils voyagent dans des pays où la polio sévit encore.

Ces trois maladies sont prévenues par trois vaccins qui peuvent être associés : le vaccin qui réunit les trois est alors appelé DTP (Diphtérie tétanos poliomyélite). Il est obligatoire avant les 18 premiers mois de la vie. En général, on l’effectue du deuxième au quatrième mois de l’enfant. Trois injections à un mois d’intervalle sont nécessaires. Les rappels s’effectuent un an après la dernière injection, puis tous les cinq ans.

La tuberculose :

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C’est une maladie infectieuse chronique ou aiguë, due à une bactérie, Mycobacterium tuberculosis, ou bacille de Koch, qui peut affecter toutes les parties du corps, mais que l’on retrouve le plus souvent dans les poumons. Le bacille tuberculeux est présent dans les crachats. Il est transmis par des gouttelettes de salive ou par des particules de poussière, plus rarement par les sécrétions ou les produits alimentaires. 

De nos jours, la tuberculose continue à faire des ravages à l’échelle planétaire. La prévalence (nombre total de personnes atteintes à un moment donné) de la tuberculose est plus importante dans les régions pauvres et surpeuplées. Dans certains pays d’Asie, d’Afrique, d’Amérique du Sud ou d’Europe, la prévalence de la tuberculose s’élève à plusieurs centaines de cas pour 100 000 habitants, nombre dix fois supérieur à celui des États-Unis, par exemple.

Dans les pays développés, la tuberculose est en nette recrudescence, du fait de la paupérisation, et parce qu’un nombre croissant de patients souffrant du sida sont plus sensibles à cette maladie.

La vaccination antituberculeuse est obligatoire avant 6 ans et l’entrée en collectivité. Il porte le nom de BCG (Bacille Calmette-Guérin, d’après ses inventeurs). En général, on l’effectue après la naissance, ou vers 9-12 mois. Il ne nécessite qu’une seule inoculation, et aucun rappel. Seul un test tuberculinique est effectué trois mois après le vaccin, puis 1 fois par an.

Le BCG se fait par application multipuncture (avec une bague dont le chaton est muni de petites pointes imprégnées du vaccin), comme le montre la photo ci-dessus.

b) Les vaccins conseillés

La coqueluche :

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En association avec la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite : c’est le DTCP

La méningite à Hib :

Peut également être associé avec le DTCP. Cinq vaccins sont alors réunis, c’est le pentacoq ou DTCP Hib.

La rougeole, les oreillons, la rubéole – ou ROR –  :

Ces vaccins sont généralement associés. La première injection s’effectue vers 12-15 mois, et la deuxième entre 3 et 6 ans. Aucun rappel n’est nécessaire.

L’hépatite B :

Il s’effectue à partir de 2 mois. Plusieurs injections sont nécessaires : de 2 à 3 mois, puis de 3 à 4 mois, et de 4 à 16-18 mois. Un rappel est nécessaire entre 11 et 13 ans.

La grippe :

Il est conseillé à partir de 70 ans.

1 inoculer : Introduction dans l’organisme d’une bactérie ou d’un virus.2 Edward Jenner   : (1749-1823) Médecin britannique. Il réalisa la première vaccination en découvrant que l'inoculation de l'exsudat des lésions de la vaccine (maladie bénigne) conférait l'immunité contre la variole. 3 pustules : petite bulle de pus apparaissant sur la peau.4 Louis Pasteur   : (1822-1895) Chimiste et biologiste français. Il effectua des travaux sur la stéréochimie, puis se tourna vers l'étude des fermentations. Il montra que celles-ci étaient dues à l'action de micro-organismes, et que la « génération spontanée » des microbes n'existait pas. Il étudia la maladie des vers à soie (1865), puis, après une recherche sur les vins, réalisa une méthode de conservation des bières, la pasteurisation. De 1870 à 1886 s'élabora la partie la plus importante de son œuvre consacrée aux maladies infectieuses. Il montra la nature microbienne du charbon, découvrit le staphylocoque, le streptocoque, réalisa le vaccin contre le charbon et celui contre la rage, qui lui valut la célébrité (1885). [Académie française.] 5 virulence : doué d’un pouvoir provoquant la maladie. 6 Albert Calmette : (1863- 1933) Médecin et bactériologiste français.7 Camille Guérin   : (1872-1961) Vétérinaire et microbiologiste français.8 pathogène : qui provoque une maladie. 9 toxine : substance toxique élaboré par un organisme vivant (bactérie, champignon vénéneux) auquel elle confère son pouvoir pathogène.10 fausse membrane : enduit blanchâtre constitué de fibrine, se formant sur les muqueuses à la suite de certaines inflammations. 11 période d’incubation : temps qui s’écoule entre l’introduction d’un microbe ou d’un virus dans l’organisme et l’apparition des premiers symptômes de la maladie qu’il détermine.12 fécal : relatif aux fèces (excréments)13 asymptomatique   : se dit d’une maladie qui ne s’accompagne pas de symptômes caractéristiques.

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c)Les vaccins conseillés aux voyageurs

-Fièvre thyphoïde

-Hépatite A

-Méningite à méningocoques A et C

-Fièvre jaune

Remarques :  

A l’échelle mondiale, la vaccination a pour objectif l’éradication des maladies infectieuses. La disparition de la variole depuis plus de dix ans rend inutile la vaccination. Ce succès de la lutte contre la variole souligne la responsabilité de chaque individu qui, en se faisant vacciner, ne se protège pas seulement lui-même, mais participe activement à la protection de l’ensemble de la population.

Comme le montre ces documents, nous sommes sur le point d’éradiquer la poliomyélite :  

1959 1964 1965 1970 1972 1980 1990

Cas déclarés 2566 523 290 82 37 10 0

Décès par la poliomyélite 235 71 36 14 8 2 0

 

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1956: Découverte du vaccin

1958: 1ères vaccinations

1965: La vaccination est rendue obligatoire

 

Le vaccin reste cependant obligatoire car l’affection peut être contractée par un sujet mal vacciné (oubli des rappels) au cours d’un voyage dans un pays à risques (Afrique, Asie).

Se faire vacciner, c’est donc se protéger soi, mais aussi protéger ceux qui n’ont pas reçu de vaccins. Chaque individu vacciné devient en effet un obstacle à la « chaîne de transmission de la maladie ». C’est la raison pour laquelle la société rend obligatoire certaines vaccinations.

IV.L’acte de vaccinationa) Lieu de vaccination

Les vaccinations jouent un rôle essentiel dans la protection sanitaire de l’individu. Elles sont toujours pratiquées par un médecin.

Le vaccin peut être effectué dans un centre de PMI (Protection Maternelle Infantile), chez le médecin traitant, et parfois dans certaines crèches ou écoles.

b) Le carnet de santé

Le carnet de santé est très important pour le suivi des vaccins effectués. Il répertorie les actions médicales de l’individu. Il est bon de le consulter régulièrement pour les mises à jour, les rappels de vaccination à ne pas oublier.

V.Résultats mondiaux

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Au niveau mondial, plus de 4 millions de vies humaines pourraient être épargnées grâce à l'utilisation appropriée de vaccins à l'heure actuelle sous utilisés. 

Des résultats publiés par l'Organisation Mondiale de la Santé en 1998 ont indiqué que les principales maladies infectieuses étaient chaque année à l'origine du nombre suivant de décès dans le monde:

- Coqueluche : 350 000 

- Rougeole : 1,1 million 

- Hépatite B : 800 000

- Rubéole : 300 000 

- Tétanos : 500 000

- Fièvre jaune : 30 000...

Dans le monde, plus de 6,5 millions d'enfants et d'adultes décèdent de maladies qui pourraient être prévenues par des vaccins qui restent à améliorer. Actuellement dans le monde, les maladies infectieuses tuent dans les proportions suivantes:

- Pneumonie infantile : 1,2 million

- Rota virus : 600 000

- Infections respiratoires aiguës 400 000

- Malaria 2 millions 

- VIH/SIDA 2,3 millions

Il reste encore des progrès à faire en matière de médecine pour sauver de nombreuses vies humaines ! 

Néanmoins, l’O.M.S (Organisation mondiale de la Santé) a lancé, en 1974, le programme élargi de vaccination. Il vise à vacciner les enfants du monde entier contre 6 maladies : la rougeole, le coqueluche, le tétanos, la diphtérie, le poliomyélite et la tuberculose. En 1974, 5 % seulement des enfants étaient vaccinés, 80 % sont vaccinés en 1990.

VI.   Conclusion

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Benjamin PERON

Cet exposé permet d’en savoir plus sur les vaccins auxquels nous avons été soumis dans notre enfance. Nous savons maintenant à quoi ils correspondent, et surtout qu’ils nous ont permis d’éviter de nombreuses maladies que nous aurions développé si on avait vécu seulement deux siècles auparavant. Cependant, la mise au point de vaccins reste encore un défi difficile à relever face à l’apparition de nouvelles maladies infectieuses.