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ABONNE/1E1TM a mou 8 mals en. France et Colonies S fr. t 10 fr. I 20 te. Etranger. 90. I 400. I 54e. PETITES ANNONCES EN e PAGE Minimum, 9115000 t Chaque antre ligne 1kM HUSCHIPI1011 PERMAKEE En faveur du MIDI SOCIALISTE TREIZIEME LISTE Berne Jones Deux franee-meçons somalgte Jean Lonpiac Un franc-maçon socialiste M'Exit jeune Va 13.01905'Plis 'Wien: Gaspin Un frare-maçon sorialist Ordia V. ucholou Un franc-ma/eu ecianste Un franc-maçon socialiste Un franc-maçon socialiste Venant fiera St. D, Name-maçon Para Un balladeur f... Ln irréductde ' Un guignard 11 Vas guiguarde Un joyeux to blond d'Egypte Un billets lin franc-maçon ol franc-maçon Un Américain P. Pierrot ......... . ... n mine-maous sel:ente n franc-maçon En franeenalos .. .. .. . Us maçon oIs lx sumcauas ... .. frnemaçoe 0 Ln aanaechleta Un frmo-maçou des Trow-Coous -1 500115 P'e 5 Ossa Os Mirepoix (Ariège) E. Guide, à Mirepoix Caill, Mirepoix Leulacou.isPie Pole, à Mirepoix 0 50 0 Brame.. arnannaariste V 5 . 2?, 'Roussel, à Mirepoix leau SOrialide, à Hem. ;MON 2 tri eorreiller municipal qui se présen- tera av. le programme aacaeste aux proehalaes élections raunieliales- Co.gaga, Surto/ / Mill de Rabasteus (Tare) André Sure ) Sus h la magistrature I 050 Ma 00m, Indigne de- la ...malien difesie 050 Beuele, ........... Jules Roux, négociant Un ami du Midi SeekdoW 0 50 Royale, eabotiee Labouysse. cordonnier Loun Duesee ébéniste Bonnet, ébéniste 0 50 Décela., seepteug 0 25 Mariol éb..es,,, 0 20 Combree Ms, jeune g Maesie, ebaniste Boehme, coiffeur 0 50 naze., ébéniste 050 Fargue., tailleur 0 50 Gyp et Popinette, à Tou/ouse 1 Total ,ffie la 13e 87 75 Total des listes précédentes 1.558 85 Total d ce jour Mie 40 Dea listes de souscription sont déposées dam nos bureaux et ch. 0001 00e corres- pondants de la région. XXXXXLGCSOCXXXXXXXSOCXX UI POLITIQUE la 11 parait quit la Chambre, avant-hier, au cours du discours de Briand et pen- dant une suspension de séance, quel-, qu'un fit ramis le bruit que la gare du' Nord venait d'être occupée par la trou- pe pour empêcher la fuite des députés compromis. Ce n'était, évidemment, qu'un fans bruit, mais, â cette minute, dans cette Chambre démontée, lancé parmi les groupes des radicamoratterrês et honteux, il produisit soudain un pro- digieux mouvement de panique. Jaurès venait de prononer, au nom du parti socialiste, le noble et vengeur discours que 1-on a lu hier. La plus grande partie de la Chambre l'avait acclamai t les ra- dicaux eux-mêmes, faisant front à rage, et d'autant plus soucieux de zèle admiratj qu'ils voyaient leur parti plus compromis, nMvaiont pas marchandé leurs applaudissements. Briand avait donne la première partie de ses explica- tions t il avait laissé voir à la majorité par la netteté de ses déclarations que devant le pays, suivi de l'affaire, soute- nu lui-mime par la conscience du de- voir accompli, il ne redoutait rien des radicales colères et il se disposait â continuer son discours à qui la silen- cieuse rancune de la gauche n'aban- donnait, do temps en temps, que quel- ques maigres approbations. Dans les couloirs, ce n'était qu'intri- gues et que conciliabules. On signalait In présence aux Pas-Perdus, des mem- bres directeurs du parti radical, venus pour discuter, le cas échéant. avec les cries parlementaires radicaux' sur le sort qu'il fallait faire, en ras de vote, LE MIDI SOCIALISTE 1000 cabinet trop indépendant. L. avis étaient partagés. Les uns voulaient que' le cas échéanL on votât pour le cabinet, afin d'avoir loir, devant le pays, d'ap prouver hautement l'arrestation du pi:- lard des congrégations. D'autres dicta- raient que pareille tactique allait for- titler le cabinet Briand, que c'était abdi- quer la dign16 du parti radical, faire un aveu d'impuissance, porter au pin - Me le maître de l'heure et, indirecte- ment, faire le jeu du parti socialiste. Ma Md ces derniers, de fliis routier' p"- /ementaires répondaient deux choses- d'abord, que voter contre celui qui avait décidé l'arrestation du voleur des moi- nes, c'était se donner l'air, sinon d'P prouver celui-ci, du moins de l'excua". s et presque de le couvrir; qu'ensuite rie' n n'était moins sûr que la chute du cm hin-et et que la majorité radicale ris- quait, devant un ministère triomphant de rester souffletée, compromise et bal- tue, avec le double dra ur do honne solidarité et de l'échec. C'est natte incertitude, c'est ce dé- sarroi, c'est cette épouvante qui ont dé- cidé les radicaux à voter le renvoi à 50 demain lundi de la suite de l'interpel - Dom On peut être certain que ce terni% d'arrêt ne sera pas perdu pour tout le monde. Le radicalisme aux abois va 50 tenter l'impossible, au cours de ces deux re journées, pour se ressaisir et préparer jusqu'en ses moindresd tells la ratunce de lundi. Les machiavédrra intrigants î de la majorité vont se d haines à tra- vers les groupes La foire aux marchan- ,0 ,dages va. rester ouverte pendent deux jours parmi les arrondissementiers, tout-donne à penser que le radicalisme utilisera ce qui lui reste de chancelant pouvoir pour faire payer encore aeut congrégations Volées et gt la nation tra- hie les pots-desvins si malencontreuse- ment casses ! Mais après l'affaire financière et san- glrate,Ge..6proc, après 14 seaàille per- 'aba tàmf sIgI D, le ritranpolo dus transports, au sur- lendemain des fusillades hie Narbonne, vivantes encore dans le Souvenir des hommes, cette lamentable affaire porte le dernier coup, et, cette fois, le coup mortel au prestige tant ébréché du parti radical. Avec nantieléricalisme d'affai- res et de vo/ qui apparaît aujouedlmi comme ayant été la earacter)eique s- sentiele do la politique radicale depuis LE SCANDALE DES LIQUIDATIONS L'Arrestation d'un Comparse Martin Gauthier est arrête.- ' e juge interroge Dues, entend Imbert et les confronta.- M. Combes fait des damer- ches; l'avocat proteste. - Propositions de M. Marin. - On perquisitionne. L'arrestation de M. Martin lion ri do Prmnecar0dn2 ..p.bukr j eaux LA nen ana6"cred"emeetters' Nom evean 1,1 qua de, pe'reaHe'le40%,m1,',' e CE QU'ETA1T 555E HIES alee un mystérieux agent d'affaires avaient M. Marte gautlener teuchell, dit-on,je ge%peize: M.-Duez, que eee est sur les 05105m 01000 avait d s'erenlex Lea derMeree opérai...Il a fait. sont Les pige., saisies ohm co.isteat en pla- des vent. de terrai. situes h Nice ot ayant ce, comptables rencernant les liquiderions et efemee. I d. erngregena.. 000 correapondeace très compromettante de Delage deux a., Martin Gauthier ne venait M. Dues. Me, d. Intervalles très .pares à la villa C'eee après les avoirsdepouelées que )11- Ade..., 10, avenue d'Orléans ; est corme/- bang, les juge. d'une gravité exceptiomiele Meade id ne disait riea de se,s affaires et la a dosse6 sa manse esem eestra M. Scella, correspond.. qu'il recevait là 00011 portée à L'ARRESTATION au4re appartement au pe de la rue Den- fert-Beebereau. Rosera' A /a villa Adrienne, Martia Gauther avait M. Marrai Cauthier, l'ancien comme de Et ente,?..).e.z reasr àleg' iVÎ:rdn', oe; allnieeerg. Vieelen'ef fe.i.telenlb:'n'terC dennis six meg quand i)i-nt, G Y e hult leurs, a ete effeetuée, dans la ne. sa domicile de ..s; .e,aurte mère, chez Laquelle il habitait. Lengageneut de location (la valeur en etmt , asdo 850 francs) était faite à son nem et edui earnet de chèques et mi (leque de 15.000 de. Mme Ceignault, sa semr, gui banite Ver: sur un gabiissement de crédit de Parle, sagles. et J a.*, e 21 décembre dermer donne Dès Sali eut rafale mandat d'amener lame eosge 290). le1.10050),d,15'n en même tome, cogne l'au.. employé de Si. Dues, le parquet 'N., Pvur 'na Ad))).)).)).Os Ses 90 Lee femme nom de 5111 errer la rapgde exécution, sisal du mandat, le Mn,. - atoll Venwt eherche les lettres ad .. r, SA NL,Far. Dauber ; elle M. Martin Luthier était sorti et ne deva ')*.yan PM,/ delmis tern quo tai; la eoirre it rea- 100e et les faim as. notamment 'n 5,5les organes qu'a recevait 5051111 se. Le meg/enta posta deux agents en bourgrn i s ),)1: l=,ent 0,9, eo.n.;.nee 1.T..7 d., la 00-wrge. -ruhald de meubles. La, il Mi rote 6poe 0,'étee Par pina eonaele-5011015 5 51 01.01 quo M. MoWin Gauthier était en ville avec des a.s, mate Mill Pawerce fa, rebeble.", misri4taire de mesoM de r nrrt /)u1I rue Sain nt t-Martin avant de rerer rue de PM,- ne eil 1e1) rie; Vew onze heurm et demie, en effet, l'ancien employé de M. Dueu arriva, ra compagnie aao 00m O 0500" ':arl"Z meg-- 'am 11111ener11111an 50 0055 , m Très lune, M. Elartin feu/hier se borne à proteder de son in/mie/tee et sui. 5% agents 000 01 l'Oratoire 005f, Suret, juge d'instruc- tion, et Le enurniasMre central, preédarent une longue perquisition et saisirent de nom- breux documente Vers trois heures du matin, les magiereis et Fineulpé quittèrent la rue de l'Oratoire se dirigèrent rem la plate da 15000n11. Ce matin, vers dix heures, des inekteurs de le efirete soet venus prendre l'inculpé pour le renduire au .chateau Patsy. fili11111118 Carchizo, à dame Cloregtres do Nevers foui / ancien employé du liquidateur Dueo a fait recenunent Une nouvelle perquisition a Mn faite eu eha- teee de Paray,-ms prase:ses-du -juse-dinstrue- Rédaction et Administration : 38, Rue Roquelaine, Toulouse EIDITION" IZMG-I01TALMS icnret -ea-aaaft pyrénées.-Ortemeales - Ixowaire - Aveyron CorrEwe - Cantal - L.00 - gaer-qa-G-nronne - Lame/es - Eretweees-pprénees - EtaregesgEryssla Aude -Tarn - Gers -Tar.et-Glaronne ggeuresOurenne - Toulouse dix ans, la sensée libre et l'esprit laïque m'et aractO d.s 'a servie:6.1m risum' &cale d emanomation mite e n'apparaît plus, depuis cinq jours, que comme un voile de pourpre destiné à dissimuler la corruption Organisée et le vol systématique. 11 suffit pour l'éta- blir des z garanties d'ordre politique e qui, nul ne le nie, avaient olé exigées des liquidateurs déSigner. Garanties pelitques, garanties radicales avaient garanti, jusqu'à présent l'immmité aux coupables t elles ne garantissent plus aujourd'hui le parti responsable contre l'universelle réprobation des honnêtes gens. A. honnêtes gens ale tous les partis Ce coup de fouet-, cet aveuglant ralat de soudaines révélations, étaient néces- saires. James a dit que ce pays est un pays de probité. C'est mais il est aussi, et en même temps, -et tout autant, un pays de scepticisme désabuse et de lâche indifférence. Il fallait ca scandale ignominieux pour l'aller réveiller jus- qu'au fond de sa torpeur. S'il s'est tout d'un ore comptee Do. te4 melte remettent de exa- n'ont rien e Conimun. L'entreprise ra- tutu Le liquidateur a déclare ensuite qu'il cc.- tel d'esses nombreuses irrégularités date I. liquidations notarnment dans celles dee Ora- toriens et des Marianistes. C'ed ainsi qu'a prepea du collage Stanislas, il ne trouva pas r emploi de deux ; kgaleroant dans le cnmpte fraie généraux, M. rai en trouva de nombreuses Irrepdarlt.. Alib.el den:tao-da témoin 1. détails M. mégis que celni-e4 lui fournit M. Pèlegrin a racola. gemment il net au courant de ces décougertes Beamils, le sebeitut de la 70 Lice depositioa fut fougue car Mbaned ne sertit de son cabinet pur déjemier go,à. eoissquarts. 1005E DST INTERROGE Beira temps, Du, que IL Albanet 0509 0010- roger apres-midi, gag amené au Palais vers onze heures et demie ert nous I,VODS eee- contre deus 1. onuloirs eorenne il allait déjeu- se r daes rune des ehambree erece de .1a Sûreté. L'imelpil, en jaquette rom, .e e nud imma daas tes pordees, graviese*I. marches ISeceller la figure ,rezosie -et nullement soucieuse. A d re istance spectueuse, deux inspeomms o snreti suivaient g, sur le Palier qui mào aux couloirs du cabinet M. Barnard, erg- sent des visages connus. M. Rats'arrêta, sou- rit e. tendant la main se, amis, leur g Tiens I Bonjour I Ccennient cela va-t-il ce matin ? Parmi 1. eens qui epooe cm us au- peN au Palais pour ...a affaires, mem ne re douta quo ce momieur à l'air cadme, aux allures eorrectes, était NI) Duea trurent pluet que «let un heu/ foretionuaire d'ad- traten regagnant son oeillet de travail. au o heure et denale EL Imbert, dateur dont M. Dues rriva fut redan,mployégalerie avant Mdé- ). gon suocesseur, ait la . Mande 5L Imbert est un homme d'une soixantaine d'années, assez grand de tallellipses e une forte barbe blanche partagée en deux. Peu d'instants après, EL Albanal regaII sou cabinet ; prévenu de la I. la du te- M dire d'attendre et Panci. pa- rouie M. Dues s'assit sur les ba.s plaes Sa ns la galerie réservée aux préVenue et in- terdite eu public. A une meure trea-suarO, M. Duce faiget son lem son apparition. I.Mdiatement entoure de reportersanno- loereate areerailrluietLe1.6:,l..1-ae Ormeau, fele son amen petron san, le ve. 31. Albanie et entrer M. Dia dan son arrière- cabinet, où il put s'entretenir quelques ins- tanG aven en deferemr, Me 5faurire Bernard. Le magistrat interrogea creuite l'inculpé d'u- ne façon très sommaire, so bernant à lui an- noncor le de...verte de doggers, 16, rue Vie- coMl. Dez pare assez surprIe et quelque peu ennuyé do cette nmegle aom emex s'au, bien vite et c'est d'une vols assurée sq?il ma de nouveau -S répète eue je ne m'explique pae cem- ment mi a pu trouver chez eL Martin, 93, rue Denfert.Rochereem d. doggers de congeg. tiens confiés à mon étude ! Ce ceint interrogatoire fernilné..4L Albane fail entrer EL Imbert dans son esonos. DEPOSITION I/E IMBERT D'une façon geeeeo, l'anelen liquidateur e duel ri que tom ses «met. étaient apure ns s depuis dix a et avalent .P.té homoleguée par le tribunal MW/. - Puez ohms hg Gen Mff Migtee, tienne pae plus que je n'a, rien à lui chez moi ei se. deMes Merde, dix vo. -51 ais, demande El. Albanie, EL Do. a dé- elarê /90t. au moment de la cool. do I 'étude, voue avait déjà vidé 500.000 francs est-ce exact - P. du tout, repend 51, Imbeit, il peut ben dêsteres m'a vobi ; referme Mie c'est inexact. )1L A/haael confronte alors Tes deux are.. liquidateurs. interview de EL nnbert On eie que, dam mn premier interroga- toire er le foed, liquidateur Dues a pré- tendu avoir été entrarai vers des détourne- mente de plus en pl. eonsidérables par le désir de couvrir la perte d'une somme de 500.000 fr qu'il avM1 votée liquidateur Imbert, a umoment où nedernier lui passa son cabinet - 'C'est grotewpae. déclare M. Imbee. ; et puis c'est matérigMment impossible. En ef- fet, quand yai pose mon cabinet M. Dues, qui était mon employé, je sue reeté encore à paria pendant pi. d'un an pour terminer mes affaire, cour, et faire les plus aeoe torunritfe'l P'-'1,run'es- mu 'Il 0500 ), queues e Cntae dee queues sans grande importance ; elles portaient sur d. sommes dont teal n'était Pas suffigarlt pour qu'un moment. de plusieurs centaines de mil- le freoes Passe ieaPernu. Je répète, j'avais nues êtes de caisse, mes Mats de banque et mes états personnels bien en main et il n'était pas possibleboa employé qui, eue ma direction n'a été en emme que chargé de besogn. seeondair. de me voler un demi-million. A .que1m ob. obéit Du.. s'accusant des méfaits qu'à mon avis il ira Pes ? Je l'ignore En tout ce, I ne risque-Pas graed chose, puisque ees fait sont antérieurs l'année 1900 e, Per eeeséqUeat, senvents Dar la preicription. Les Perquisitione AL Berthelot, eommi seMre de police a. délégations judiciaires, s'est rendu ee ma- tin rue Viseonti 18. oû en ver-escrime mini- mise. rogatoire de 41. Albau Joe truction, i/ a peequeition. dans cinq petits e, mes situés premier, au deuxième et aux oinquièm. Rages Ces Mgernents servaient d'arehiVee Ruez ; étaient bondés de dossiers. L. Mises dont EL Berthelot a pris rapidement connaissance, se portaied par moitié à des affaires de droit commun aux liquidions de e Dongr6gationi. tact donné nombre o on,idérable dooiere devant lesquels il trouvait, M. Berthelot a del l'enoncer n faire emporter °es documrma en cabinet ; il s'est eon ose ten- te app les gcel'ke, remettant a Phis tard l'opération qu'il nt pu eccomplir autour. seocilsZ gej geant la lumière, et un socialiste d'hier, Briand, contribuant, pour sa part, l'apporter; devant eux, sous la Iribune le bord radicalisme, affermé et muet; la socialisme vem les hauteurs de pro- bité et d'idéal; le radicalise., dans les bas-fonds de l'imprévoyance ou de la honte. Matante leçon pour le suitrage univemC ! Gabriel-Ellen PREVOT. hes Appels Miliaires que nuite convocation militaire noue ET LES ÉLECTIONS Quelques électeurs se sont émus de Lrieugrraue jrarreie enereoez redoutant à juste titre d'être gênés dans l'exercice de telles droits éleCteraux. 13edouee, prévenu par eux, a fait, en arrivant à Paris, une démarche auprès In Président du Conseil et a obtenu l'assurance que tous ces ordres d'appel seraient immédiatement repportés et Sel. ne serait lancée, eauenae Pé- riode d'instruction militaire n'aurait lieu avant le 20 mai. e%lr.,Teere.Ise mil abioae o Au Palais II. PELEGRIN CHEZ LE JUGE A 0 houreg et Amalie, le juge d'inerme. A/- bang est crevé â ran cabinet et a &miellé el ?,11,a,s:2 rPeorts redigtpar mar Le- fer. ode/ails-hire, P?r,"- ppasdix 6eures 55 dsode ii u soin u, rober grin. te liquidateur judiciaire nid fut charge, le 17 mas 1909. arec DiedrumOrtierg, , fiée, terminer les Itmniations des rengregations con- a Duce. Le liquidateur explique de. quelles condi- tions fut chargé de succéder à. Dern et quelles liquidations de congségatio. lui fu- rent connes. Pelegrie qui eut an homme l'ove 0101111001011110Mine d'années, de grende taille, le Rash reitSee,- enelnagee- de quelques aoile meest du reste auseût après lorsque M. A/- rb,ee lui a0500la 5g, Merlin aeaa uld or. d'hui mjrce. Ces elossiere seront au fur st mesure .ungs à l'expertise. M. Dues était depug Mus de cinq ans cataire ; il venait esse rarement, une fois par semaine en moyenne. Au Luxembourg Une démarche 05M, Combes Pa.rie, 12 mare. On a dit hier qUe M. Emide. eYent reett d. garde des ernux eassuranee que tous les do- euments intéressant da eommission d'en- quête du Sénat géraient ...niques, était venu dams t'après-midi s'entretenir dams l'a- près-midi axes M. Albanel. On ajoutait que Me Mauri. Bernard, dé- fenseur de Dues, prévenu de la presence de 51. Combes chm le juge d'instruction, s'Y était rendu augeinet et avait, déclare que si xeul doeument était .mmunique a la commission il Man résolu à goulever un in- cident et k réclamer l'application de la loi. La démarehe de 50. Combm était, insolite et incorrecte ; ni avait des reigei- guements à sonieiter au nom de la commis- sion qu'il présid, sue l'irstrUotion en cours, il devait s'adresser non I M. Alleuel male I son chef, le garee des ecce., qui est seul respo.able devale lo Parlement. La de.ereho de 51. Combes provoquera sans doutel.di un incident Ils tribune de la Chambee. D'autre par4 une note officieuse déclare que le d.mer dont 111. Barthou a peomie la communioation b la commission d'enquête, n'est pas celui de ni.truction judiciaire ou- verte montre M. Dues et conduite par M. :C- hanel ; ana termes de la loi de 1897, cette inetruction serait nulle de plein droit si une pige° quelconque était communiquée porte qui en dehors MeParquet et de la dé- fense. Les documents remis à la eommission d'en- quête et eeux qui pourasieet lui etre maolquèr eac la 00110 lest er,,ttaecz d'urllca gindeal quo la régulièrement sur 51. Dues comme sur tous les autres liquidateurs au sujet desquels une correspondance a pu Ore éehangée en- tre 10 .roinistere de le Justice et le parquet généra/. 51 Briand a doenend1'egiliaer'e 'enePret'i'g'h?età:Id Chambre. UNE PROPONTION DE M. LOUIS PdARTIN Paris, 12 00000- M, Loule Martin, sénateur radical du Var, vient de déposer sur le bureau du Sénat aine peoposition de loi ayant pOur objet d'assd - miler les liquidataura aux °Mei= ministe- 2).11e.1101,,,e,.._eteeeeet reconnue soupa ot os &anus de rnollanee, alose que les inculpe, erdinaires ne sont, Pou' les mêmes délits, passibles que de la seine de Peniprisormement. Les tonférencee de M. Briand Paris, 12 mars. 0eS"eq'g') ilda'adte'rer)dr 0001501 Bartbou, garde des seeaux,meirel.r5lonfuer, procureur -de la République. LE DOSSIER DUES Paris, 12 mars. Le dossier concernant Duez, tel qu',la été trammis I la coMmission sénatoriale par le ministre de la jus.tioe, 000000005 25 piWes nous avons reusm à nous le procurer dans son entier; 11 020 édinant; il moMre que le liquidateur a été constamment ci:elven et gPreetrasP"aeter . g'agr,Iter.e ,,urreîul,,," P ,aieei," d'ailleurs, les parties. importantes du 'dos- sier LES MAGISTRATS PROTEGENT RUEZ La pièce numéro 17 est particulièrement intéressante; c'est une lettre du prooureur bol croantnealteatgeueelÎeOpurodelfe.'de'le8a 1:ierZ Mique résiste à la mesure proposée centre 41. Dues; Il n'est pas.d'avie de retirer I ce liquidateur l'affaire des Frères; le procureur général appuie la manière de voir du prrnu- cour de la République et il la recommande auprès du garde des sceaux. Dans la pièce numéro 15 on voit que le procureur général. transmet, I la date du 23 décembr,. un rapport de El. Lemarquis rela- tif au dessaisissement éventuel de M. Duez cuva qui concerne la liquidation des Frères des écoles Miretiennes; ce/uisi estime que le remplacement do Dues serait bes préju- diciable aao intérêts de la liquidation et propose /a nomination d'une oo-liquidation. Lespièces 19 01 11 101 ,05110 I des rapports de l'expert Verecquo. LES AVEIISC DE SUEZ La pille manaéro 21 est capitale dans ce dossier; elle donne le texte dame lettre du eit'eerl'0.1,5,"Colabidean'0227dP.'- site t0ei tjalarg',' de nase Si 105 sots ale 51, \'oeesqlr, De cette note, il tésiEte que Dues est dans ee15.1'10:nt''Z'a.211;,1s F e,:perr=in il oommIul il s'en ,s,i;alretisour; qu'ilsII es 50' sont 'ou.s".Ititte:ntr...T1 :1,%r Mies inseMau ler j.vier 190e sont f.taisis.s et sans va- leur; sa eomptabilité est à reconstituer en. tièrement; M. Vereeque estime eie pour re- faire la comptabilité -de Duez II ne faudra pas moins de neuf radis. l'oCnmein''Jg:4'nepurraseeers'd'U'iie0MeeéquVi,%(e7u2, ?.; tp%ritiT'e,Z, =ndi: graves fautes de g.tion qu'il avait commi- ees, n'a pas craint de tromper le parquet et la chancellerie. Et e.t après de tenes eonstatations qu'on ne révoque pas Da., et on attend quatorze e"t J.keioreeg ,f7 ,a garde des sceaux en vue dsesnpl055msstde t Dues. Lla pige. 22, 23, 24 01 15 produisent des lougre du garde dee sceaux et du procureur général oui figurent au rapport de M. Régis- manset et que nous avons déjà publiées. La dernière tettre émane do garde ci. Î)exl'eMaerle nui dalle gg'e u e.amei' esItnt ei donner sa démission pour raisons de santé; c'est le 17 mars que le tribunal civil berne sou adtion I prendre acte de mette démieien, aidaidas ramera.. PLI BLICITé Deuritse page, le ligne,sso, . . PreMlère page. la 110. 51 010x0 as IV Ir, as tr. g tr. .10 Peary, les Esquimaux et la Civilisatian Peary, le découvreur du-Eldls Nord, a, -depuis ses premierm explora/Wu, uretiquee, toujours rende hommage a. vertus 051v" quedies des EsquXoeux. A son axant dernier voyage 11 00. 01501 avec ke une famille mo,tnluaoe 10000 lu, faire jouir les bienfaits de notre civil*. furent emportée dam quelques mole par 1000- 00155550e, Seul. le Me, M.a, que Peaof teit=i1!grePraig; r.,..flusiezs années de .résidence aux Etats-elvou froide.s7n.': e' auesi pi. lespit erea pour loi, peur retrouvea, comme il dit, le bonheus que notre civilisation n'avait pu lui donner, et la santé qu'Il avait Pruine. Comme I/ fallait s'y attendre. Pearv vient de nouveau de parler deg Esquimau/C. nem fels-cl eepemlant il est d'avis tont contraire, p.uisquel affirme que notre eivinsation ne vaut '7)02e'll'e5iriZser notre cWiliaation 0111.0,eee elétruire tom leur organisme sogad qui esi besé sur le communisme. Cette forme agas., gant données les régie15 que les Esquiteras rataient, edraemsoire I leur 0., 51. eo la mn- primant, lita éteindrions une race, 81 nous leur inculquion, ms idées sur 1a Propreté personnelle, in deviendrai. aussi égoïstes que eoe gens eivilisks. Avm leur système, tout est la propriété contamine do la lieu. Ibbs0 11. poisson dépase ln grosseur d'un pinequei1 peut rester la paoprige accolai me Fa paehé. 00 ,901 fait que ehe eux on ho volt p.asse ItenterZonisp, elUtn't que u' 4geor'-' gent. En outre, si un bognmed'a'd7ux'sertee einetrumenls de eh.° il eu donov une à Mai.is oui n'en a pas. C'est l'esprit de ca- maraderie qui or .êieDVO leur race. le leur .al gres' don p0055050,d'hg/0CW. je leur ai ommunt certaines maladies se trai- tent et colani.t se pansent les blessures, mais là je crois, devrait se borner notre rille de civilisateure Les missionnaires ue sembl nt pas titre ile cet avie. ?loi j'ai la convieli le créateur plaça ce peuple heureux et 2:'slang pue dans mas reglons désertes avee un but wi pour men les Lesse en paix. Edmond POLOS). Mea Drame passimmei an mari trompt.tiulu:n1,enime et Messe Ceey.11..us. A 500501" Petit vidage de /28 habitants, h huit kilomètres de Cluny, 0051 déroulé hier, à. midi, un Mame passionnel. Un euvrier. nommé Conty, secrétaire du symileat dee nuvriere stu.toure de Partes ne sa femme do deux coupa de revu/ver et à Messe/Satana de cette dernière, avec qui li l'a surprise. Voici lot détails quo l'on .pu resueillsl sur ce drame ) ,Au moment où il faisait .n service mi- litaire b Mosan, Antoine Couty Ill. la connais- sse d'une demoiselle Jeanne, (Menuet, -née Masey, épo.ait 10 55 novembre I.C. Lee époux alldrent habiter Paria ou, il y a lourant, encore, ils imment un petit reg. Lasee'ner' vlolent:stigoduisaient sou- rat dose Ménege COuty, qui seeoupait ir;O'iÎluari't dernier:nit t. se: ooepuratiao, Os ménage Mine une certaine gênc leautee Part, la femme Couty qui. avant do tenir le nes- Murant de la rue de Wattrignies avait lits ouvreuse au théâtre Antoine avait noué die relanif2's:pvemlen=e Tr, Zgleg emaetà èrent, da. lo Midi en, le 2 j.vier, He vin- rent à Massy rendes vgite 0 la mère de la f emm e Couty, la veuve Ch aaueL Après avoir do nouveau voyagé, iM revi. colt I Masay, il y a hua jours et, eette fois, ils s'y installèrent. Or, hier à midi. tous I, mernbes eda famille déjeunaient, bilame Couty pre-) sent. La. femme t outy demanda à son mari ce qu'il voulait. - Je aaia ce qui sa passe, eiWondit. Conté': furieux, 15m 050v....un petit fumier., Pour toute réponse, la femme gifla son mari qui, tirant un revolver de sa 11, 10 feu p. deux rot eue elle. AIS al n côté gauebe, M femme emba foudroyée. Diri--- geant ensuite son -arme ucTlaO,iltuea te Ms eoups de revolver. Deux balles se Joe- ent dang le g meubles. la troisième blesaa, leegg.%irr ut Tronm, qui roula terre et flt Couty aorte .enguile tranquillemeni, ant que la veuve Chanuet appelait e au L'aseasen cs1 allé se coratituer prionerà la gendemerie de Satornay-sur-Guye. Quand la nem de la victime rentra eliez elle1155m trouve plue Tromp.qui, I anger ,oh, 111e11 levé et avait rais du fuite, sa valise a la main. Après avoir fait trois kilomètres I pied. Es est embarqué par le dernier train du seir en gare de Culs à d.tination de Mas On croit que de Id il s'est eliidge eue Arlee. L'Unau. Le parquet est tomobile. .arriVé à Musy, à deux heures, en au couty, qui a passé /a us, 10000emay, a été amené co matin 9 la première heure., les lieux du -drame. Pendant 110 I eme eastrugg. Pmeede à son interrogatoire, /e doc.. J.quelot, médecin-légiste, pratique rame.. du pue... aIs 00 Ospetit hangur atten.t ,r/m-, bitatiou de 11 veuve. Chammt. Do cette opération. d re.ulte que la vietis me a reçu une enfle bal. au Nate sralehm Lee intestin, ont éle perfores en ohm ea- droits et. la mort est survenue pae surta «ana hémorragie interne. L'assassin a expliqué ainsi la seerie du meurtre. /I était venu à Masey Pou vendre un coin designe qui lui restait, ne ,penend pas y trouver sa femme et son amant, Ils 9555 par sa femme et menacé par Tromp, Ceuty va rouge et, ayant. sa revole ver sous la main, il sen est servi. A Massy, la réputation de Couty .t bone ne. Lo, maire donne d'excellent, renseigne- ment, sur lui. n'en est pas de même de Irt victime. ,C.t ainsi que nous avens appas À tereczeût dernieraraors awowe StaitJese.J.0 TrOiSièMeAnnée. - 440', r,111Q CUITIP1e3 «blmanche 13 -Kars 1910 113TITMA.17 A. PAISES JOURNAL QUOTIDIEN DU PROLETARIAT Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

TrOiSièMeAnnée. - LE MIDI SOCIALISTEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101_MIDSOC_1910... · qu'un fit ramis le bruit que la gare du' Nord venait d'être occupée

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ABONNE/1E1TMa mou 8 mals en.

France et Colonies S fr. t 10 fr. I 20 te.Etranger. 90. I 400. I 54e.

PETITES ANNONCES EN e PAGEMinimum, 9115000 tChaque antre ligne 1kM

HUSCHIPI1011 PERMAKEEEn faveur du MIDI SOCIALISTE

TREIZIEME LISTE

Berne JonesDeux franee-meçons somalgteJean LonpiacUn franc-maçon socialiste

M'Exit jeuneVa

13.01905'Plis'Wien:GaspinUn frare-maçon sorialist

Ordia

V. ucholouUn franc-ma/eu eciansteUn franc-maçon socialisteUn franc-maçon socialisteVenantfieraSt. D,

Name-maçonParaUn balladeur f...Ln irréductde 'Un guignard 11

Vas guiguardeUn joyeuxto blond d'EgypteUn billetslin franc-maçon

ol franc-maçonUn Américain

P. Pierrot ......... . ...n mine-maous sel:ente

n franc-maçon

En franeenalos

.. .. ...Us maçon oIs lx sumcauas ... ..frnemaçoe 0Ln aanaechletaUn frmo-maçou des Trow-Coous -1500115 P'e

5Ossa Os Mirepoix (Ariège)

E. Guide, à MirepoixCaill, Mirepoix

Leulacou.isPiePole, à Mirepoix 0 50

0Brame.. arnannaariste

V 5. 2?,'Roussel, à Mirepoixleau

SOrialide, àHem. ;MON 2

tri eorreiller municipal qui se présen-tera av. le programme aacaeste auxproehalaes élections raunieliales-Co.gaga, Surto/ /

Mill de Rabasteus (Tare)André Sure ) Sus h la magistrature I 050Ma 00m, Indigne de- la ...malien

difesie 050Beuele, ...........Jules Roux, négociantUn ami du Midi SeekdoW 0 50Royale, eabotieeLabouysse. cordonnierLoun Duesee ébénisteBonnet, ébéniste 0 50Décela., seepteug 0 25Mariol éb..es,,, 0 20Combree Ms, jeune

gMaesie, ebanisteBoehme, coiffeur 0 50naze., ébéniste 050Fargue., tailleur 0 50Gyp et Popinette, à Tou/ouse 1

Total ,ffie la 13e 87 75Total des listes précédentes 1.558 85

Total d ce jour Mie 40

Dea listes de souscription sont déposéesdam nos bureaux et ch. 0001 00e corres-pondants de la région.

XXXXXLGCSOCXXXXXXXSOCXX

UI POLITIQUEla

11 parait quit la Chambre, avant-hier,au cours du discours de Briand et pen-dant une suspension de séance, quel-,qu'un fit ramis le bruit que la gare du'Nord venait d'être occupée par la trou-pe pour empêcher la fuite des députéscompromis. Ce n'était, évidemment,qu'un fans bruit, mais, â cette minute,dans cette Chambre démontée, lancéparmi les groupes des radicamoratterrêset honteux, il produisit soudain un pro-digieux mouvement de panique. Jaurèsvenait de prononer, au nom du partisocialiste, le noble et vengeur discoursque 1-on a lu hier. La plus grande partiede la Chambre l'avait acclamai t les ra-dicaux eux-mêmes, faisant front àrage, et d'autant plus soucieux de zèleadmiratj qu'ils voyaient leur parti pluscompromis, nMvaiont pas marchandéleurs applaudissements. Briand avaitdonne la première partie de ses explica-tions t il avait laissé voir à la majoritépar la netteté de ses déclarations quedevant le pays, suivi de l'affaire, soute-nu lui-mime par la conscience du de-voir accompli, il ne redoutait rien desradicales colères et il se disposait âcontinuer son discours à qui la silen-cieuse rancune de la gauche n'aban-donnait, do temps en temps, que quel-ques maigres approbations.

Dans les couloirs, ce n'était qu'intri-gues et que conciliabules. On signalaitIn présence aux Pas-Perdus, des mem-bres directeurs du parti radical, venuspour discuter, le cas échéant. avec lescries parlementaires

radicaux'sur le

sort qu'il fallait faire, en ras de vote,

LE MIDI SOCIALISTE

1000 cabinet trop indépendant. L. avisétaient partagés. Les uns voulaient

que'le cas échéanL on votât pour le cabinet,afin d'avoir loir, devant le pays, d'approuver hautement l'arrestation du pi:-lard des congrégations. D'autres dicta-raient que pareille tactique allait for-titler le cabinet Briand, que c'était abdi-quer la dign16 du parti radical, faireun aveu d'impuissance, porter au pin -Me le maître de l'heure et, indirecte-

ment,faire le jeu du parti socialiste.Ma Md ces derniers, de fliis

routier' p"-/ementaires répondaient deux choses-d'abord, que voter contre celui qui avaitdécidé l'arrestation du voleur des moi-nes, c'était se donner l'air, sinon

d'Pprouver celui-ci, du moins de l'excua".set presque de le couvrir; qu'ensuite rie'nn'était moins sûr que la chute du cmhin-et et que la majorité radicale ris-quait, devant un ministère triomphantde rester souffletée, compromise et bal-tue, avec le double dra

ur dohonne

solidarité et de l'échec.

C'est natte incertitude, c'est ce dé-sarroi, c'est cette épouvante qui ont dé-cidé les radicaux à voter le renvoi à

50 demain lundi de la suite de l'interpel -Dom On peut être certain que ce terni%d'arrêt ne sera pas perdu pour tout lemonde. Le radicalisme aux abois va

50 tenter l'impossible, au cours de ces deuxre journées, pour se ressaisir et préparer

jusqu'en ses moindresd tells la ratuncede lundi. Les machiavédrra intrigantsî de la majorité vont se d haines à tra-vers les groupes La foire aux marchan-

,0 ,dages va. rester ouverte pendent deuxjours parmi les arrondissementiers,tout-donne à penser que le radicalismeutilisera ce qui lui reste de chancelantpouvoir pour faire payer encore aeutcongrégations Volées et gt la nation tra-hie les pots-desvins si malencontreuse-ment casses !

Mais après l'affaire financière et san-glrate,Ge..6proc, après 14 seaàille per-

'aba tàmfsIgID, le ritranpolo dus transports, au sur-lendemain des fusillades hie Narbonne,vivantes encore dans le Souvenir deshommes, cette lamentable affaire portele dernier coup, et, cette fois, le coupmortel au prestige tant ébréché du partiradical. Avec nantieléricalisme d'affai-res et de vo/ qui apparaît aujouedlmicomme ayant été la earacter)eique s-sentiele do la politique radicale depuis

LE SCANDALE DES LIQUIDATIONS

L'Arrestation d'un ComparseMartin Gauthier est arrête.- ' e juge interroge Dues, entendImbert et les confronta.- M. Combes fait des damer-

ches; l'avocat proteste. - Propositions deM. Marin. - On perquisitionne.

L'arrestation de M. Martin lion ri do Prmnecar0dn2 ..p.bukr jeauxLA nen ana6"cred"emeetters'Nom evean 1,1 qua de, pe'reaHe'le40%,m1,','e CE QU'ETA1T 555E HIES

alee un mystérieux agent d'affaires avaient M. Marte gautlener teuchell, dit-on,je

ge%peize: M.-Duez, que eee est sur les 05105m 01000 avait d s'erenlexLea derMeree opérai...Il a fait. sont

Les pige., saisies ohm co.isteat en pla- des vent. de terrai. situes h Nice ot ayantce, comptables rencernant les liquiderions et efemee. I d. erngregena..000 correapondeace très compromettante de Delage deux a., Martin Gauthier ne venaitM. Dues. Me, d. Intervalles très .pares à la villa

C'eee après les avoirsdepouelées que )11- Ade..., 10, avenue d'Orléans ; est corme/-bang, les juge. d'une gravité exceptiomiele Meade id ne disait riea de se,s affaires et laa dosse6 sa manse esem eestra M. Scella, correspond.. qu'il recevait là 00011 portée à

L'ARRESTATIONau4re appartement au pe de la rue Den-

fert-Beebereau.

Rosera'A /a villa Adrienne, Martia Gauther avait

M. Marrai Cauthier, l'ancien comme de Et ente,?..).e.z

reasr àleg' iVÎ:rdn', oe; allnieeerg.

Vieelen'ef fe.i.telenlb:'n'terC dennis six meg quand i)i-nt, G Y e hult leurs,a ete effeetuée, dans la ne. sa domicile de ..s; .e,aurtemère, chez Laquelle il habitait. Lengageneut de location (la valeur en etmt, asdo 850 francs) était faite à son nem et eduiearnet de chèques et mi (leque de 15.000 de. Mme Ceignault, sa semr, gui banite Ver:sur un gabiissement de crédit de Parle, sagles. et J a.*, e 21 décembre dermer donne

Dès Sali eut rafale mandat d'amener lame eosge 290). le1.10050),d,15'n en même tome,cogne l'au.. employé de Si. Dues, le parquet 'N., Pvur 'na Ad))).)).)).OsSes 90 Lee femme nom de 5111

errer la rapgde exécution, sisal du mandat, le Mn,. - atoll Venwt ehercheles lettres ad ..r, SA NL,Far. Dauber ; elleM. Martin Luthier était sorti et ne deva ')*.yan PM,/ delmistern quo tai; la eoirre it rea-

100e et les faim as. notamment 'n5,5les organesqu'a recevait 5051111 se.Le meg/enta posta deux agents en bourgrn is ),)1: l=,ent 0,9,eo.n.;.nee 1.T..7 d., la 00-wrge.-ruhald de meubles. La, il Mi rote 6poe 0,'étee Par pina

eonaele-50110155 51 01.01quo M. MoWin Gauthier était en ville avec desa.s, mate Mill Pawerce fa, rebeble.",

misri4taire de mesoM de r nrrt /)u1Irue Sain ntt-Martin avant de rerer rue de PM,- ne eil 1e1) rie;

Vew onze heurm et demie, en effet, l'ancienemployé de M. Dueu arriva, ra compagnieaao00m O 0500" ':arl"Z meg--'am 11111ener11111an 50 0055 , m

Très lune, M. Elartin feu/hier se borne àproteder de son in/mie/tee et sui. 5% agents000 01 l'Oratoire 005f, Suret, juge d'instruc-tion, et Le enurniasMre central, preédarentune longue perquisition et saisirent de nom-breux documente

Vers trois heures du matin, les magiereiset Fineulpé quittèrent la rue de l'Oratoirese dirigèrent rem la plate da 15000n11.

Ce matin, vers dix heures, des inekteursde le efirete soet venus prendre l'inculpé pourle renduire au .chateau Patsy. fili11111118Carchizo, à dame Cloregtres do Nevers foui/ ancien employé du liquidateur Dueo a faitrecenunent

Une nouvelle perquisition a Mn faite eu eha-teee de Paray,-ms prase:ses-du -juse-dinstrue-

Rédaction et Administration : 38, Rue Roquelaine, Toulouse

EIDITION" IZMG-I01TALMSicnret -ea-aaaft pyrénées.-Ortemeales - Ixowaire - Aveyron

CorrEwe - Cantal - L.00 - gaer-qa-G-nronne - Lame/es - Eretweees-pprénees - EtaregesgErysslaAude -Tarn - Gers -Tar.et-Glaronne ggeuresOurenne - Toulouse

dix ans, la sensée libre et l'esprit laïque m'et aractO d.s 'a servie:6.1m risum'

&cale d emanomation mite en'apparaît plus, depuis cinq jours, quecomme un voile de pourpre destiné àdissimuler la corruption Organisée etle vol systématique. 11 suffit pour l'éta-blir des z garanties d'ordre politique equi, nul ne le nie, avaient olé exigéesdes liquidateurs déSigner. Garantiespelitques, garanties radicales avaientgaranti, jusqu'à présent l'immmité auxcoupables t elles ne garantissent plusaujourd'hui le parti responsable contrel'universelle réprobation des honnêtesgens.

A. honnêtes gens ale tous les partisCe coup de fouet-, cet aveuglant ralatde soudaines révélations, étaient néces-saires. James a dit que ce pays est unpays de probité. C'est mais il estaussi, et en même temps, -et tout autant,un pays de scepticisme désabuse et delâche indifférence. Il fallait ca scandaleignominieux pour l'aller réveiller jus-qu'au fond de sa torpeur. S'il s'est toutd'un ore

comptee Do. te4 melte remettent de exa-n'ont rien e Conimun. L'entreprise ra-tutu

Le liquidateur a déclare ensuite qu'il cc.-tel d'esses nombreuses irrégularités date I.liquidations notarnment dans celles dee Ora-toriens et des Marianistes.

C'ed ainsi qu'a prepea du collage Stanislas,il ne trouva pas r emploi de deux ;kgaleroant dans le cnmpte fraie généraux, M.rai en trouva de nombreuses Irrepdarlt..

Alib.el den:tao-da témoin 1. détailsM. mégis que celni-e4 lui fournit M. Pèlegrina racola. gemment il net au courant de cesdécougertes Beamils, le sebeitut de la 70

Licedepositioa fut fougue car Mbaned nesertit de son cabinet pur déjemier go,à.

eoissquarts.

1005E DST INTERROGE

Beira temps, Du, que IL Albanet 0509 0010-roger apres-midi, gag amené au Palaisvers onze heures et demie ert nous I,VODS eee-contre deus 1. onuloirs eorenne il allait déjeu-se r daes rune des ehambree erece de .1aSûreté.

L'imelpil, en jaquette rom, .e e nudimma daas tes pordees, graviese*I. marches

ISeceller la figure ,rezosie -et nullementsoucieuse.

A d reistance spectueuse, deux inspeommso snreti suivaient g, sur le Palier qui màoaux couloirs du cabinet M. Barnard, erg-sent des visages connus. M. Rats'arrêta, sou-rit e. tendant la main se, amis, leurg Tiens I Bonjour I Ccennient cela va-t-il cematin ?

Parmi 1. eens qui epooe cm us au-peN au Palais pour ...a affaires, mem nere douta quo ce momieur à l'air cadme, auxallures eorrectes, était

NI)Duea trurent

pluet que «let un heu/ foretionuaire d'ad-traten regagnant son oeillet de travail.

au o heure et denale EL Imbert,dateur dont M. Dues

rrivafut

redan,mployégalerieavant

Mdé-). gon suocesseur, ait la .Mande

5L Imbert est un homme d'une soixantained'années, assez grand de tallellipses e uneforte barbe blanche partagée en deux.

Peu d'instants après, EL Albanal regaIIsou cabinet ; prévenu de la I.la du te-

M dire d'attendre et Panci. pa-rouie M. Dues s'assit sur les ba.s plaesSa ns la galerie réservée aux préVenue et in-terdite eu public.

A une meure trea-suarO, M. Duce faigetson lem son apparition.

I.Mdiatement entoure de reportersanno-loereate areerailrluietLe1.6:,l..1-ae

Ormeau, fele son amen petron san, le ve.31. Albanie et entrer M. Dia dan son arrière-

cabinet, où il put s'entretenir quelques ins-tanG aven en deferemr, Me 5faurire Bernard.

Le magistrat interrogea creuite l'inculpé d'u-ne façon très sommaire, so bernant à lui an-noncor le de...verte de doggers, 16, rue Vie-coMl.

Dez pare assez surprIe et quelque peuennuyé do cette nmegle aom emex s'au,

bien vite et c'est d'une vols assurée sq?ilma de nouveau

-S répète eue je ne m'explique pae cem-ment mi a pu trouver chez eL Martin, 93, rueDenfert.Rochereem d. doggers de congeg.tiens confiés à mon étude !

Ce ceint interrogatoire fernilné..4L Albanefail entrer EL Imbert dans son

esonos.DEPOSITION I/E IMBERTD'une façon geeeeo, l'anelen liquidateur e

duel ri que tom ses «met. étaient apurens

sdepuis dix a et avalent .P.té homoleguée parle tribunal MW/.- Puez ohms hgGen Mff Migtee,tienne pae plus que je n'a, rien à lui chezmoi ei se. deMes Merde, dix vo.-51 ais, demande El. Albanie, EL Do. a dé-elarê /90t. au moment de la cool. doI 'étude, voue avait déjà vidé 500.000 francsest-ce exact

- P. du tout, repend 51, Imbeit, il peutben dêsteres m'a vobi ; referme Miec'est inexact.

)1L A/haael confronte alors Tes deux are..liquidateurs.

interview de EL nnbertOn eie que, dam mn premier interroga-

toire er le foed, liquidateur Dues a pré-tendu avoir été entrarai vers des détourne-mente de plus en pl. eonsidérables par ledésir de couvrir la perte d'une somme de500.000 fr qu'il avM1 votée liquidateurImbert, a umoment où nedernier lui passason cabinet

- 'C'est grotewpae. déclare M. Imbee. ; etpuis c'est matérigMment impossible. En ef-fet, quand yai pose mon cabinet M. Dues,qui était mon employé, je sue reeté encoreà paria pendant pi. d'un an pour terminermes affaire, cour, et faire les plus aeoe

torunritfe'l P'-'1,run'es-mu 'Il 0500

), queues e Cntae dee queues sans grandeimportance ; elles portaient sur d. sommesdont teal n'était Pas suffigarlt pour qu'unmoment. de plusieurs centaines de mil-le freoes Passe ieaPernu.

Je répète, j'avais nues êtes de caisse,mes Mats de banque et mes états personnelsbien en main et il n'était pas possibleboaemployé qui, eue ma direction n'a été enemme que chargé de besogn. seeondair.de me voler un demi-million.

A .que1m ob. obéit Du.. s'accusant desméfaits qu'à mon avis il ira Pes ?Je l'ignore En tout ce, I ne risque-Pas graedchose, puisque ees fait sont antérieursl'année 1900 e, Per eeeséqUeat, senvents Darla preicription.

Les PerquisitioneAL Berthelot, eommi seMre de police a.

délégations judiciaires, s'est rendu ee ma-tin rue Viseonti 18. oû en ver-escrime mini-mise. rogatoire de 41. Albau Joetruction, i/ a peequeition. dans cinq petitse, mes situés premier, au deuxième et

aux oinquièm. RagesCes Mgernents servaient d'arehiVee

Ruez ; étaient bondés de dossiers. L.Mises dont EL Berthelot a pris rapidementconnaissance, se portaied par moitié à desaffaires de droit commun aux liquidionsde e Dongr6gationi.

tact donné nombre oon,idérabledooiere devant lesquels il trouvait, M.Berthelot a del l'enoncer n faire emporter°es documrma en cabinet ; il s'est eon

oseten-

te app les gcel'ke, remettant a Phis tardl'opération qu'il nt pu eccomplir autour.

seocilsZ gejgeant la lumière, et un socialiste d'hier,Briand, contribuant, pour sa part,l'apporter; devant eux, sous la Iribunele bord radicalisme, affermé et muet;la socialisme vem les hauteurs de pro-bité et d'idéal; le radicalise., dans lesbas-fonds de l'imprévoyance ou de lahonte. Matante leçon pour le suitrageunivemC !

Gabriel-Ellen PREVOT.

hes Appels Miliaires

que nuite convocation militaire noue

ET LES ÉLECTIONS

Quelques électeurs se sont émus deLrieugrraue jrarreie enereoezredoutant à juste titre d'être gênés dansl'exercice de telles droits éleCteraux.

13edouee, prévenu par eux, a fait, enarrivant à Paris, une démarche auprèsIn Président du Conseil et a obtenul'assurance que tous ces ordres d'appelseraient immédiatement repportés et

Sel. ne serait lancée, eauenae Pé-riode d'instruction militaire n'auraitlieu avant le 20 mai.

e%lr.,Teere.Ise mil abioae o

Au PalaisII. PELEGRIN CHEZ LE JUGE

A 0 houreg et Amalie, le juge d'inerme. A/-bang est crevé â ran cabinet et a &miellé el?,11,a,s:2 rPeorts redigtpar mar Le-fer. ode/ails-hire, P?r,"-ppasdix 6eures 55 dsode ii u soin u, robergrin. te liquidateur judiciaire nid fut charge,le 17 mas 1909. arec DiedrumOrtierg,

,

fiée,terminer les Itmniations des rengregations con-a Duce.

Le liquidateur explique de. quelles condi-tions fut chargé de succéder à. Dern etquelles liquidations de congségatio. lui fu-rent connes.

Pelegrie qui eut an homme l'ove 0101111001011110Mined'années, de grende taille, le Rash

reitSee,- enelnagee- de quelques aoile

meest du reste auseût après lorsque M. A/-rb,ee lui a0500la 5g, Merlin aeaa uld or.

d'hui mjrce. Ces elossiere seront au fur stmesure .ungs à l'expertise.M. Dues était depug Mus de cinq ans

cataire ; il venait esse rarement, une foispar semaine en moyenne.

Au LuxembourgUne démarche 05M, Combes

Pa.rie, 12 mare.On a dit hier qUe M. Emide. eYent reett d.

garde des ernux eassuranee que tous les do-euments intéressant da eommission d'en-quête du Sénat géraient ...niques, étaitvenu dams t'après-midi s'entretenir dams l'a-près-midi axes M. Albanel.

On ajoutait que Me Mauri. Bernard, dé-fenseur de Dues, prévenu de la presence de51. Combes chm le juge d'instruction, s'Yétait rendu augeinet et avait, déclare que si

xeul doeument était .mmunique a lacommission il Man résolu à goulever un in-cident et k réclamer l'application de la loi.

La démarehe de 50. Combm était,insolite et incorrecte ; ni avait des reigei-guements à sonieiter au nom de la commis-sion qu'il présid, sue l'irstrUotion en cours,il devait s'adresser non I M. Alleuel male Ison chef, le garee des ecce., qui est seulrespo.able devale lo Parlement.

La de.ereho de 51. Combes provoquerasans doutel.di un incident Ils tribune dela Chambee.

D'autre par4 une note officieuse déclareque le d.mer dont 111. Barthou a peomie lacommunioation b la commission d'enquête,n'est pas celui de ni.truction judiciaire ou-verte montre M. Dues et conduite par M. :C-hanel ; ana termes de la loi de 1897, cetteinetruction serait nulle de plein droit si unepige° quelconque était communiquéeporte qui en dehors MeParquet et de la dé-fense.

Les documents remis à la eommission d'en-quête et eeux qui pourasieet lui etremaolquèr eac la 00110 lest er,,ttaeczd'urllca gindeal quo larégulièrement sur 51. Dues comme sur tousles autres liquidateurs au sujet desquelsune correspondance a pu Ore éehangée en-tre 10 .roinistere de le Justice et le parquetgénéra/.

51 Briand adoenend1'egiliaer'e 'enePret'i'g'h?età:Id Chambre.

UNE PROPONTION DE M. LOUIS PdARTINParis, 12 00000-

M, Loule Martin, sénateur radical du Var,vient de déposer sur le bureau du Sénat ainepeoposition de loi ayant pOur objet d'assd -miler les liquidataura aux °Mei= ministe-

2).11e.1101,,,e,.._eteeeeetreconnue soupa ot os &anus de rnollanee, aloseque les inculpe, erdinaires ne sont, Pou' lesmêmes délits, passibles que de la seine dePeniprisormement.

Les tonférencee de M. BriandParis, 12 mars.

0eS"eq'g')ilda'adte'rer)dr0001501

Bartbou, garde des seeaux,meirel.r5lonfuer,procureur -de la République.

LE DOSSIER DUESParis, 12 mars.

Le dossier concernant Duez, tel qu',la ététrammis I la coMmission sénatoriale par leministre de la jus.tioe, 000000005 25 piWesnous avons reusm à nous le procurer dansson entier; 11 020 édinant; il moMre que leliquidateur a été constamment ci:elven et

gPreetrasP"aeter .g'agr,Iter.e ,,urreîul,,," P,aieei,"d'ailleurs, les parties. importantes du 'dos-sier

LES MAGISTRATS PROTEGENT RUEZLa pièce numéro 17 est particulièrement

intéressante; c'est une lettre du prooureur

bol croantnealteatgeueelÎeOpurodelfe.'de'le8a 1:ierZMique résiste à la mesure proposée centre41. Dues; Il n'est pas.d'avie de retirer I celiquidateur l'affaire des Frères; le procureurgénéral appuie la manière de voir du prrnu-cour de la République et il la recommandeauprès du garde des sceaux.

Dans la pièce numéro 15 on voit que leprocureur général. transmet, I la date du 23décembr,. un rapport de El. Lemarquis rela-tif au dessaisissement éventuel de M. Duezcuva qui concerne la liquidation des Frèresdes écoles Miretiennes; ce/uisi estime quele remplacement do Dues serait bes préju-diciable aao intérêts de la liquidation etpropose /a nomination d'une oo-liquidation.

Lespièces 19 01 11 101 ,05110 I des rapportsde l'expert Verecquo.

LES AVEIISC DE SUEZLa pille manaéro 21 est capitale dans ce

dossier; elle donne le texte dame lettre du

eit'eerl'0.1,5,"Colabidean'0227dP.'-site t0ei

tjalarg','de nase Si 105 sots ale 51, \'oeesqlr,De cette note, il tésiEte que Dues est dans

ee15.1'10:nt''Z'a.211;,1s Fe,:perr=iniloommIul il s'en ,s,i;alretisour;

qu'ilsIIes 50'

sont'ou.s".Ititte:ntr...T1:1,%r Mies inseMauler j.vier 190e sont f.taisis.s et sans va-

leur; sa eomptabilité est à reconstituer en.tièrement; M. Vereeque estime eie pour re-faire la comptabilité -de Duez II ne faudra pasmoins de neuf radis.

l'oCnmein''Jg:4'nepurraseeers'd'U'iie0MeeéquVi,%(e7u2,

?.; tp%ritiT'e,Z, =ndi:graves fautes de g.tion qu'il avait commi-ees, n'a pas craint de tromper le parquet etla chancellerie.

Et e.t après de tenes eonstatations qu'onne révoque pas Da., et on attend quatorze

e"tJ.keioreeg ,f7,agarde des sceaux en vue dsesnpl055msstdetDues.

Lla pige. 22, 23, 24 01 15 produisent deslougre du garde dee sceaux et du procureurgénéral oui figurent au rapport de M. Régis-manset et que nous avons déjà publiées.

La dernière tettre émane do garde ci.

Î)exl'eMaerlenui dalle

gg'e ue.amei' esItnteidonner sa démission pour raisons de santé;c'est le 17 mars que le tribunal civil bernesou adtion I prendre acte de mette démieien,

aidaidas ramera..

PLI BLICITé

Deuritse page, le ligne,sso, . .PreMlère page. la

110. 51010x0asIV Ir, as

tr.g tr.

.10

Peary, les Esquimaux et la Civilisatian

Peary, le découvreur du-Eldls Nord, a, -depuisses premierm explora/Wu, uretiquee, toujoursrende hommage a. vertus 051v" quedies desEsquXoeux. A son axant dernier voyage 11 00.01501 avec ke une famille mo,tnluaoe 10000 lu,faire jouir les bienfaits de notre civil*.

furent emportée dam quelques mole par 1000-00155550e, Seul. le Me, M.a, que Peaof

teit=i1!grePraig;r.,..flusiezs

années de .résidence auxEtats-elvou

froide.s7n.': e'auesi pi. lespit erea pourloi, peur retrouvea, comme il dit, le bonheusque notre civilisation n'avait pu lui donner, etla santé qu'Il avait Pruine.

Comme I/ fallait s'y attendre. Pearv vientde nouveau de parler deg Esquimau/C. nemfels-cl eepemlant il est d'avis tont contraire,p.uisquel affirme que notre eivinsation ne vaut

'7)02e'll'e5iriZser notre cWiliaation 0111.0,eeeelétruire tom leur organisme sogad qui esibesé sur le communisme. Cette forme agas.,gant données les régie15 que les Esquiterasrataient, edraemsoire I leur 0., 51. eo la mn-primant, lita éteindrions une race, 81 nousleur inculquion, ms idées sur 1a Propretépersonnelle, in deviendrai. aussi égoïstes queeoe gens eivilisks. Avm leur système, tout estla propriété contamine do la lieu.

Ibbs011.

poisson dépase ln grosseur d'un pinequei1peut rester la paoprige accolai me Fa paehé.00 ,901 fait que ehe eux on ho volt p.asse

ItenterZonisp, elUtn'tqueu' 4geor'-'

gent. En outre, si un bognmed'a'd7ux'serteeeinetrumenls de eh.° il eu donov une àMai.is oui n'en a pas. C'est l'esprit de ca-maraderie qui or .êieDVO leur race. le leur .al

gres' don p0055050,d'hg/0CW. je leur aiommunt certaines maladies se trai-

tent et colani.t se pansent les blessures,mais là je crois, devrait se borner notre rillede civilisateure Les missionnaires ue sembl ntpas titre ile cet avie. ?loi j'ai la convielile créateur plaça ce peuple heureux et 2:'slangpue dans mas reglons désertes avee un but wipour men les Lesse en paix.

Edmond POLOS).Mea

Drame passimmeian mari trompt.tiulu:n1,enime et Messe

Ceey.11..us.A 500501" Petit vidage de /28 habitants, h

huit kilomètres de Cluny, 0051 déroulé hier,à. midi, un Mame passionnel. Un euvrier.nommé Conty, secrétaire du symileat deenuvriere stu.toure de Partes ne sa femmedo deux coupa de revu/ver et à Messe/Satanade cette dernière, avec qui li l'a surprise.Voici lot détails quo l'on .pu resueillsl surce drame )

,Au moment où il faisait .n service mi-litaire b Mosan, Antoine Couty Ill. la connais-

sse d'une demoiselle Jeanne, (Menuet, -néeMasey, épo.ait 10 55 novembre I.C.

Lee époux alldrent habiter Paria ou, il y alourant, encore, ils imment un petit reg.

Lasee'ner'vlolent:stigoduisaient sou-rat dose Ménege COuty, qui seeoupait

ir;O'iÎluari't dernier:nit t. se: ooepuratiao, Osménage Mine une certaine gênc leautee Part,la femme Couty qui. avant do tenir le nes-Murant de la rue de Wattrignies avait litsouvreuse au théâtre Antoine avait noué die

relanif2's:pvemlen=e Tr, Zgleg emaetà

èrent, da. lo Midi en, le 2 j.vier, He vin-rent à Massy rendes vgite 0 la mère dela f emm e Couty, la veuve Ch aaueL

Après avoir do nouveau voyagé, iM revi.colt I Masay, il y a hua jours et, eettefois, ils s'y installèrent.Or, hier à midi. tous I, mernbes eda

famille déjeunaient, bilame Couty pre-)sent.La. femme t outy demanda à son mari cequ'il voulait.- Je aaia ce qui sa passe, eiWondit. Conté':

furieux, 15m 050v....un petit fumier.,Pour toute réponse, la femme gifla son

mari qui, tirant un revolver de sa 11, 10feu p. deux rot eue elle. AIS al n côtégauebe, M femme emba foudroyée. Diri---geant ensuite son -arme ucTlaO,iltueate Ms eoups de revolver. Deux balles se Joe-ent dang le g meubles. la troisième blesaa,

leegg.%irr ut Tronm, qui roula terre et fltCouty aorte .enguile tranquillemeni,

ant que la veuve Chanuet appelait e au

L'aseasen cs1 allé se coratituerprioneràla gendemerie de Satornay-sur-Guye.

Quand la nem de la victime rentra eliezelle1155m trouve plue Tromp.qui, I anger

,oh, 111e11 levé et avait rais du fuite, savalise a la main.

Après avoir fait trois kilomètres I pied.Es est embarqué par le dernier train du

seir en gare de Culs à d.tination de Mas

On croit que de Id il s'est eliidge eueArlee.

L'Unau.Le parquet est

tomobile..arriVé à Musy, à deuxheures, en au

couty, qui a passé /a us, 10000emay, aété amené co matin 9 la première heure.,les lieux du -drame.

Pendant 110 I eme eastrugg. Pmeedeà son interrogatoire, /e doc.. J.quelot,médecin-légiste, pratique rame.. du pue...aIs 00 Ospetit hangur atten.t ,r/m-,bitatiou de 11 veuve. Chammt.Do cette opération. d re.ulte que la vietisme a reçu une enfle bal. au Nate sralehmLee intestin, ont éle perfores en ohm ea-droits et. la mort est survenue pae surta«ana hémorragie interne.L'assassin a expliqué ainsi la seerie dumeurtre. /I était venu à Masey Pou vendreun coin designe qui lui restait, ne ,penendpas y trouver sa femme et son amant,Ils 9555 par sa femme et menacé parTromp, Ceuty va rouge et, ayant. sa revolever sous la main, il sen est servi.A Massy, la réputation de Couty .t bonene. Lo, maire donne d'excellent, renseigne-ment, sur lui. n'en est pas de même de Irtvictime. ,C.t ainsi que nous avens appas Àtereczeût dernieraraors awowe StaitJese.J.0

TrOiSièMeAnnée. - 440', r,111Q CUITIP1e3 «blmanche 13 -Kars 1910

113TITMA.17 A. PAISES JOURNAL QUOTIDIEN DU PROLETARIAT

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: TrOiSièMeAnnée. - LE MIDI SOCIALISTEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101_MIDSOC_1910... · qu'un fit ramis le bruit que la gare du' Nord venait d'être occupée

Dimanche 1 3 1ff erg 1 910 LA Mira àociraustr*no am num, vue. t;ocisIsèr quelques un reei j.e.sro,sen sassant remne lnenn +men loue deux

otetu «tus on tOli, maternelaver

amePrague qu'amers Dues; le nue, i

pible jeune «tatar >vete ndé des aub-ade, RH, Orsaabelta. sui roua in soignersa mère.

En pêne-irae , nia.« sSasss ntercle srarth, spa. deroug. Leray Ne pu rotulesas lameras JI aroili suriNedrossant à

billeuma,:- La faute de lem ce", Orat a Ioda, qui

avez mugira à tous tes devoirs,On recbeeche TiMibp qui, uns eue Se

l'ai dit, a pria la fuite auSsiddi agie: le dra-

te paietet est rentré' I Nacen dans rapre,

LA. MITRE DE CLASSE

Les Grèves dans le Midi

ismusesRDesraoreem faveur des

ØRV_pU MIDISu rue irAubla 1boo radier DM511 du ensilent d Ambin St

prio1derTO1:Z te UtiPtiot à ou ta, 1510 55

- GRAULtieTGrève des Megissiers

1:4 Meg pris

»un ou.% sou" jour sulLili,, ei la dru,

thddineme suris mus renée. dettes15011.0«.1Ot

. 'ni leu luernore Loueurstatoue,. eusle 155 l'intromigerame.

nein oui. quand Sono lea yes ,à1uvrbeet.Ho noue Meg soir ? Ortarra doua la bmdlirmissels tlia peet, proJuerears e delayzet.1-

etr pas soi Lesaurnesavius loguetables qui se lutoduisect etqui usent e.ist de se Produire dupes la Pr.raiera teintibto de grave ?

Viras casas dom pes rouerie encore u mar-de l'soiuril, lise salas 15.0 la 151511 da

lastrompes que «Out etta« à Pt meci des

sympbaracee communiera irai, tourmire MM-.:aime passive I eurs dérive. no vont pas tay.ilur s vou, écrase industriellement tom lalette dela puissance eitt ils ont arequise par foxsiennes do lcurs tele., ouvriers et parl'esploituton do serre naïveté.

Vous n'ose« itou pas étudie les intérits quieineeitient «On mondetes I vous étreindra eue15111 joug inquisiteur. C est resss01511115

Revu>. lux peu dans le nase retleolmesezsérieusement sur les ennemie:rus que peutproduireab

peur I avenir feigne sena Dee.-ment irroune.

Pser vom enbjeNuer, un eaative de convaincre votre raison au détreent Ils vue Uneerats, au &griment de votre est:Herm> /Mus-ts:elle, ean sachez-H tess. Petits ertrens, vesusdisperaltrez tous /a fuels de la e awin indu.triv et sem la férule captle

vste tin s'agssetsa

emore sur vos mitres C est son rêevo, rumeurs ô pardonne... mbo 11,105!

lagon" unis leur rendons. ont fait de sous.parIs Corea la tremplin de lcurs beugler,

Csg.rent que «nue 1551e bourre Par Horscouses. Itioluientelit liuvrier qui monte suero5ls,..;!...res0ir5oir5Pne,j=14;ijr

mer'- tandis ri. vores7im 'e,petithudge, vues «te,. courbés PMU ra gruecomme Les pauvres verbes vas camaradesque ve. oppresses par ordres a./eurent. Eteu somme, due fertevem après . Aremuusengage Ea luge ms voine mura à Soliterer-contre rem que voua aumue dualités 300, el,yeniont, vou, ue voua élira me rendao compte.al Armee la lune que voue mtieprendonu. Pas

ra're 'nastiil, 51.55 lrrretir: 'en;oiriitedustriello Prie.

Ponts-mol Mb on Sous reteuerms-vous Pa,vers ma qui vous sel alSis à être sa que vousHus ?

Vous ause fait vou-mémes. les beaux mer-v Dena reveiers de 1891 et de 1350, calai de1.,e 'a se Ma aussi par meNques.uns d'entresom pour aider voe eelleguee issableammuntcamants Non peur Never chez eux ce queheu, ambelbtes, mu 555incie.. parlant desmegine,,.In housse. d. PoUrtirr

Eh bleu! alors, sur qui devez-verra ramperdemeure si ce nne urr l'orrai-He duquel...smx bleui hm ré mal gra vous redent/3ra lescemerades dans un tunes dur au moins &-tannin,

Si eo serer: Hues encere ntalgré l'erreurcomme s tanisez-vous lotes, les prain Pa-trons. et dite-vomi grio g les capitmeles Merfeus Muent fout ralt pour Imre intére,, suasne voulu plies eue H tirs, Tartufe. sa Vonpour avoir ln droit a Ia si,, braustrione veitsvoulez travaincr peur: votre oxistere. poursella du vos enfan8. pour la paix sociale ltpour la prie:péri:g de notre GrairIben douta.ransemere arbre dans ce qui lui est de pl.Mer 110 trairait de la niescasseries

Geseedhétois éssetasi msis désineérebé.

MM Et PAIRES LIREeLE MODO SOCIALISTE,

returroN DU 13 MARS 1010 92

LES AVENTURESDE

Cyrano de Bergeracper Henry InAFISER

TRODLEME PARTIE

èU UPARAISSENT DES GEINS QU'ONF.RE,YAIT BIEN LOIN

Au sortir de table, Cyrano 'Poil dirigePers ten point du daman00 où il avait cou.turne de ou rentier aux heures Maude:

riaeau'es, 'Csilusre;!?e,it' (/%11.air Sir

c'eut ebt'l

In son fils adoptif,.Ce coin de sa Fifidileetien était un lac.

berceau dont l'armature de boisdisparaissait *us le5 glycineAt lév cléma-tite alla .gue vierge.

Lia fraiche retraite s'élevait a luire-ms. Mulla ternisse que longeait la routeda s..int-A.,nd..

..!.5ifo't qu'il eût pénétré dans le subi.net -de verdure, Cyrano se laissa tomberSur un banc.

Un ,.long moment Liait: immobile.

Rima qu'il ne se bal doute que Sei.,ang depuis les assumas où °eus avonssuivi le veiller! stade Or Gascogne, et

fût I peine dar/ -a trenta-cin-jurante année au marrmseSstir 0001 le re-

il.ESPERAZAGrève des Chapeliers

11.1CASSFal/13 curszsLus treoesseries *Minute; on me peur

pas sauver le bloc eivistee pàc Clett-midadien, chaque semaine no eertainbal Orde ettelsradee, do fennecs princalo-tee., smet armobis devant bd juge de pahaun i:, se voient infliger d. 0015515"samqu'or tienne craie!, de la d tersfito semeeittinen plue ou mu. PuértistISPR rte les,r.lies Dere les cumagegRai attgeleal

Ilaflelurs romm a sont grevé. devant Icjuge de paix as dUillan. pour tapage inia,rieux envers quelques jaunes. PHong %us/a plupart ne savent pas seulement quel estic Mn len arien aller diwans le jupesiu

On omises, ainsi fatiguer les rare:nuesgréviste, ab >les ots qui demi...culelidrea se agoni remue, ee West paseme et, privé es que l'on errera ou dunetr,e, l'Orrargre des grévistes dam leur soi.volte eentrq tout ce qui est inquisitorial et,bitragee.

tata eamaradm, méprisant toute sua regel.tra et ee5 tracasserie. s occupent une:mentde l'instar/arion dos ac,ssorre coneernant1' raleibittiou dira atepeaum dams la muselleusine de la Coopérative Prolétarienned'Espéra. de laquelle va sortir la tronc.,110 pour la populatere et H travail libéré.

_laran'les Iso'tier ituge'niteuôtï pouerou'ot es nelphiu 01 1,01410 Fabre, poursuive

par l'Union se edreale, ont été condamnes kpayer las °distiques de ;année syndic.,urante d'après l'artiele Ode la loi de 1501rplus le 10 pour mut- de Hers salaires duruais de féranr. En plus, l'ouvrier BombasDiu Julien *bras verger me some de 2sitesta datoeindré restant NUM amende do30 trame que tel avait infligée syndicat

ra sertie de raudigure, Leurs Fabre a ne'lace I" cauctradv Vshi0000l,asnrlla,ra 1,3II ndicar, lui « foulre one balle dans laPeau n. ber ganszta tont coutumiers'. rraanimera; il cul bien hien Dei que. semantpmeris iudivrd. an ne e'eU pas. geglueL

ft MAZAMETChez les Gela:heurs

di 510mO SADATiPH

puIuiid,asile tétédtét quo

alias ii au UPU'iàerftivt C=1.1Darnes secrételre Sis, yndicat de delainere..Celiakei a. Ms 51. Sabatier an ,urant de lin-siention de dm raniartple« de nleino de se Io,

norlirlelAjliPeunedier'erd:%1tu osoi0u55ts Furet ou s'il allsitose'cOn-tenter do lui infliger sue forte amen. Cetterés.., eur. II. irae,. à la Bourseîtelde5d C et g`' tt ei;,ZUM:d. contremaine ferret. Cano Moisera a étéceernàao,raormelssance do M. Sabatier par la

>fumeur Sahmer. Mercie:. C v..

asouseeepté sizeive

réunib' au Livareles ouvrera do votre usl

te seer... dansa OarosuooeVrT dl mye.arthedm ls ' était rame.sana- arase et Men Piolet tesdusombre Talents dem..

I ruminera sose secret tan par egetSuIt rarevararicarinels Mou« "t"fteeirrilet2M. a :mors de votrie ,

, rami. de Hem II rage.mies sincères salutatrom

'ndriecretirs toidert gansée

11 flLSICNELa Grève des Mineurs

.Dijourdlid, I. Masure de Saleigno et lesmariera métillursides do la Combe-du-gaulaont remis lem travail la pèse semble. peurle Herne. terminer:. Les mince. sont erèscontents de ce que La grava na les al Lrantlaantristes.

Eue seule mugies reste meg/touant a vider:Ors tocar nolsisodu Opalin ISa lemmes, ui

Préerve ne luxe.Not. mus pledsou à leur demmder complo

de Hies abbseeneada envers /durs compagnonede travail, pourquoi ? Pourquoi escompter sur.lé renvoi d'un tvilvr;eli gut etair votre .31 IEhm exhorte les espagnols tUtm. eux sera debau frarea.o nougatines. do num1455005 ou,gager la lutte. seuls an len,' dk.t ne ri.dee. qu'ou nom sel/selve. tandis mieux att-isent Silo travail.

C'est de la solide:De cela, niest-ce cou EDObien nem avons haro profiter, et la leur ren-dons.

Emin, De out tout' fait pour mus faire dumat A moins Rue. soyons impitgeblessonsdeur paye ont yu rtous ravir.jusqu'à ce qu'ils Here Reare losqu'ils eu, out faites. IL sont recépais doi-vent v radon jumeau moment Nt lis réson-neront leur tort et feront le nécessaire ponsto réparer.

Hier, les coiffeurs 011 fait ruffier eue de,/*avant Ils ne Diraient utou la barbe or OctaiL,e de, cheveux aux si /card,

AvP, ri jusqu'a nouvel ordre

aseas .ede

arneerlisue.

trouvons. il s élan fait 01500 151 une truns.formation SurPrEnaote.

Demeuré svelte, il n'aveR plus pour-tant Paliure Isole Ft tringante d'autresiois,alora que, semblait-. /a detente d'un in-fatigable reraort d'amer le peusait sansces* en avant.

De son sourire et de set Yeu flue dis'paru l'expressioa. joyau" et narquoisequMn y lisait toutouns naguère, à modusque la colère ru S'enthousiasme na yin,sent boulcve*ar nt illuminer ce visageSi mobile, si visant.

La moustache n'avait plus son retrous-sis vainqueur. Elle rebonabait sur dos lè-vres que contractait on ineffayable plid'amertume.

Li tong de ces joues restées melte,deux rides montaient, fais.t un tris*parallèle au nez - toujours monumoutal.

prématurément, -ses chue. grise.Valent a. tempe.

Ainsi, se- reflétait au dehors le oral in.,suéri,,sable dont Cyrano souffrait dansIl fond de sen cur.

Depuis deux ans, Diane -était morte,mais, peur le 'U.Vro survivant, le deuilétait missi prolond, la peine aussi cruelle.qu'au prune,

Deux grosses Urines glissèrent sous Sespaupières baissées.

Douloureusement, el marinera- Oh ! la rejoindre dans la mort... dapo

Mais soudain il se redressa.- Encore l'égoïsme !... st-il d'Une soja

grondante_ Toujours. cc sentiment ab-*et

Lb debout, les deux bras tendus enavant, P s'écria, dans une ardente invoscation à la chère diger. 1

VIE O1JVRÉRECongrès/ Piatiewai 11111gurs

Cotisai iaalansa-

liopj la s; '5101010' lOis dircr. ceux*Renies, Made st oumut modiffeatleas 11

la lot me 1,,'..ttlantt du traNend htmeseonatoriisu ,oraraloollulles 1 Stars , barbent

1,!relefus; ,,,,o,tatior. Pesant. Mlle,

Caisr movere, leseng suPPralefion do rave au mare muasse, suppresstendei prit., aseensotetim proportionnée desprix do eahrieglan, minimum de sa/aires :

Demy. viten> liestatnisie islp abus. groom,MN Bouchers/, WH«, Georgie,

S. Piaffer mineurs. modratanons aux MW05ericermant leedgiéusest turaertra prud'horibods.tonee bablemenlatm, corail/anon et arbitrassenoue. fourre/ Berme], >lm.. Coupa. >ferret.Sonate, brimes. Duran.. Estives RobinetPerré.

remtioipatiou Wei.« nattoultiratlendes m..5. travatt des enfonla dans les miue,varsuico tiss ouaIs. :1.4e.Meb

Bzubr..harlel. Hugon, Boue ard, Hue/.

satine, de la corporation via vie du nul-litarirma, menden:en à le loi de Ise: et/.

Inri Zen° ra=eetii.i. Wrennes gens rentrant du :arak< rageai. 4birseemut nu

Met - tes Pest. eb H.. *111051tMtedlenlv avent leur elitpari à la seerne Bauaqua-. nénaml. Etorgue, Brau. Draiera., »,e-le,tte ,Be.tt.ltard. Monteisdr. Glande J,y,

.0100550 pou; rager ilesl'ourla 40.1 Praideauslise il da ta fere, eoecejsoral 500.0 gelleate de, Geber..se nase idreete,

Lro àdlégyZ du Xengrie; aitizegEdneurs es ardoisiers se sont rendue vendredisoir rturtMaes un BMslresfli, Rates.quIt les *Menues une Dra.. pu.bisque a mit Um: à la natte Yourte

Le carnarme Tourre au SOno 4,11, soeur,eageramAlbi serShatte bienslon

10.

zu onet'Ire tri rniini21r4,'

On désigne Robert Witt pour la Merdes-ce. Tao ovation lui a CM falle Cordier etCireur sont désignés lemme asteraeurn De,caret et Puer seerelarres.

Cordier rab Isteroum 4. 11055e au nom

nsssarad,n dm (uroul. Il 'ml drliefet de les ramerai. qe !HeN

ur qu'il, nhe

Ors ss005a000 do oosrn e'lu

gil félreite aussi !es camarades des Car,

s'1'.Iee"c".):t`,`m/e.thei,..i.....,Plu-tarin, Ouistiti apportent a« miraud de Cassne le salut Hatemo! des ana. ntinieri

qu'Ils représentent_ et. engagent Imre urna.rudes à se grouper tous au syoqicat, di3veulent sels' leur situation Namsliorm.

Mercherm deiégui do !a C. G. T. /Merlo

'isoesereeve t4eâpt=t.. CittésZer%

merle mme énergique déclaration de

"t-"rieWn'ettiveler ovation en laits au délégue

.oflotoollreanoUriillo,dreteefleameutdaro.,adeLyee.aintos

perseverer. dans Caution ;a Hale et. aeumare la 11 elératien oationak de :Radis.uominière la fédéras/ou intarrationale des 51-0051e alla C. Cà T.- La réunion art levée. au Nein de /inter-natetrale.

5uJI.

Le seer:rassi, pimenterai donne les.as duprera.verbail qui et adopte

Eta rapporteur da la mrimisaion dee r.traites donne lecture do sou rapports

Lee conclusions sont adoptera après

Ce« conclusions sent neliesci. Suppe.-sise du Sgsrame actuel 4c capitale...rompladement par les sysbéme do répartition,retraite 15 trilitre par ear. 730 Iranre.paran après Il am de service 05 00 3S. <netmec ddgression sur La !Mlle Nage,

selon los ressourres dispoeimes,traite properten.ede en ms d'Invalidité

prématurée à raison de 23 10. 10 anmitéOs serve° accompli ; roserstbrlité 0. 10 reo,tij de la revers dà ms de décès dill Utintat-ro sur la tete do sa femme 0111mo eu 11/tegitirne, ou are enfanta Us. 115e, de EUans

la calsn des retraites des eu-vriese des min., minièriu et carrière., desdeldtgutle minouro de France et dee coLearee.Remise do l'administratron Ms H ens. deretraites A la feddration natienale sous laeooleôle de rEtal.

>Lartet donne lecture 41e rapport aur tecumul.

Ijno discuseion eengage sur re rapport tilqaueltopreonent part *gant- Durat., Ba,tuel.

OaenOOest

d'nr rapoprt 50e In

broutent part OIS diseustion Qintin lemeldepose Un«, proteetatimb Cardot, Ment.Teusrel, Intestin, Hua.

Le rerPert et la prot.taion out et. adep-tes.

Suaitio donne lecture d'Il refillaort ma lu<Desnos du minimum de ,slere.,

Go rapport est adopte.Bre/Miloun lit ne rapport sur la leurcee

de 8 heure, t Dr...Se un meuveme.

- Diane- Ma Diane bienminsée Toi,l'unique saMte de mon calendrier de phi-losophe. que dirai.tu si tu peuvaisvoir Ma, 1.. Tu dirai, 0p10 10111°, on lu'che /... Tu me rappellera/a que fe charteou d 1101. quo jr nom pas le deoit de dé-serter mon poste do visent tant qu'il mereste un devoir à remplir.- Tu tu reps.citerais d'oublier cet enfant Vue talautant qut s'il 0111 10 Io etre

Cyrano essuya deux larm. nOuxellee;Eau revers de sa main.

Puis Da, 0110101 jusqu'à reetrile de laeharmille d'une voix forte il cria t

- Henri !- Henri !

Cast étrange .. tomentra Cyraim.D'ordineire, à cette heure, il accellraPreSde moi..

95511 301000 nature reprenne. Un in,tant le droulls, n nmsrbeaO d'un fon tint,rem.. ironique

_ itt col vrai que, 10 PlItt deuyeut,s'est Al 'o sise11001200ou il Milité Con-signe Pals agréable lorsqu'il 00111 d'es-crimàs.. Consigne 0055 oo.l51nolrim. Ternic'est de *jeu* ou de phileSephre quo jedais lui parler..

- hast I ieut.t.il syel un Sourireet indulgence-A FAU Ope: j'état,. tttttl 1500.rue lui.. La salle d'armes me *Malt plueque tee leçons de maitre Gassendi-Qu'importe !... Ou moment que le sol estbon, bien défrielle, bien Prépare, les se-menues de raie. saurent trouverfavorable pur germer et Meseeoui.,

EL se résignant à attendre qu'll plût asmn disciple de le venir trOuver,regagna son banc.

Mr s'empara d'un manuscrit qui portait

sembla peur reestme. liartuel présente umreiointisin qui est retelnde. Tourrel prêsenteune résolution au man des sdadmatsTee,' Le 'spinieda ta sotomission cet adnote.

Un rapport au la modification 11 11 loiC mus sur les de!egues mine. ME tuas50apr. une diseuslon à taquon. prend partBrio/tchen, turisol, Boulais& Bertha,5001 'sI, lira "I, 01101 . Ttaillu. lino bru*musa teins.,

Peurhard, >taret, Cabapon, Mous-let Mem/MU» ale, Iota 11111 part 111 dioi

rapport let asloPHiLO raupert est lu Par Beurrasoo zur isn cevmitesconeiliation et d'alMtrage. Il est117u"dbard présente tut rapport 5fir mr-

free Miserai& en 111aUre gommemss at.tearietti.selPatien 1113 learefims et a la. Ci-

r.:11ton. unu ieC ive du. on s ougage 511r

Tourre. Messiaen.. Drieuteneum prennentpart à cette diseussen.

Le report est adieu; moins treize lei&ont reste I Menteerns sandeos d, la

torr. AUDre, ormet, Hugues. neeareviceLa Foret RN Segiré. Miseagrin la Cer-bère Pgrannee-Orieedelet Ardessiera de

live. Fuma>: sest abstenu.Iirr,r.pireee:;I:tst,à,:sale lecture do doux lettres

agnmetbie venant da Grain/nt et de laLa Dense est !Dm à De.NOUvelle nianee A2 beurras

Nem. de EaPraserrai.La seine eut quvere 12 h. b3.Lo camarade Puel domo lecture d'un re-

port de H me nommissiou sur la nationalamhen dee mimes.

Il est vinera un, discussion.Cterleat Mme lecture d'un rapport de la

esoi,croHnigrott sur le tenVeil cbse eutasta

Lee ...siens met Moines./Mammy donne leutmie dam rapport do in

le commission sur /attitude de la cerpoearlion à l'égard do l'antimilitarisme.

Innieuhard ouvre 13 discussion.Brouletro. nos merbde.La discussion Manet men siulenlu.Dounbard Umm lecture dama deolaratron

deg il demande l'insertion au proebseverbaLuirite. Barn., >Huard. Gémine 200e'

boss, Calvignau. Mereet y prennent part.Le président met au/ vers leu resolution.

Ou Congre de Leu. bouctiord *Mande lad.emetion.

rokiUreMereno'rtareeeenos ta Lai, sere met, sne remembre, laFédération da la Loire s'abstient.

Meer.,ss dorme isbriodurns sur la!a Meurtheet-Mbeilri edpose Prede,

dos 5105010 et mé.ilureistes

duoseLro4rahperre'reler--dinti1griatron dos jeune.

Vis0 rsonrent rtr eIrecir elCetouu la

seisiesurrêle. Adepte. -

aunduciard do.a itcbere dus rapportsurtes misses de résistance dans tes env.

eicolu /cosi ota,trie.p arrionyd là, al orge eorot

1715 Mrapepe ett lu par Viiiettc sur lei culsse do .cours

Sur des eolloPtilOiltèLutiét,rultIou»a..

t0;:efus'ib2ralli:.:Derel.rtri,q3rIviEfuei'NeNs?rat

Il bureau de la Chen/bru par la commise.Made tienne lecture da raripo, deo.« eue

Lo515010

immola de la commission et divisées11

.1 «Ur Caen IViliaire dense Heure d'un /appert ourle*

evaidenta, Maladies Prelessrannalluina, Uns diseuse., munit Y prommt partsCeigne, 5teraeL Tours., Houseaux. Mara,Masara.

1.7i'.',:pi=7.1;0V:(1'el7,,,e'4'fp,..hlt".adenetim'est proposai par plusieurs

ri-...,m>ieessroge,siur la question des ab:Weill,

él.t17ieee:, ;;.'2%Trà7&;:ret,,sel. 1511 50005.

Cette adjonction est 14.1111 r,eaues. au Cetera les moyen,.

emPloyds par !a (dompagme nes inioça d'Albiui tait album are murierraeonnus at.-

teints do prédiepentions ben/sires une dé-claration sur papier timbré connue quoiementent à toute réclamation de permiendans le ma de ite euntreeterareet une ber.

nie.Celte mono de procédor cause tunt sive.

surprise aux membre, du Congsfis.lIn moyenOU rogeedior sen étudié et soumis au si-nistre mua/emelt,

lip rapport sit« le« .rances des mineurstffhlua jjait,,iésident.,//

bu 100 du 13 cst constitué. Sont no.

ae, président; Monduclard ottàettEetet.

bon 00000c000tm.0010srmr. 050 ils orS 'tdr'ti'etr0"« 'One

MICLAPATION DE wrzEittouo mos idiome. Lier plr proMer pour-

Pm. le le,e de linlet.unte déclaralleo ducitoyeu gobera Witt. secrétaire de la Fele.Sion riatioene des Meus allemands. Or,

oal.olor OCetteu bene involoniatre de la

effelaft a'ret la

comme onstetc à sou premier feuillet tLe Mort d'Agrippine, tragédie ».Il se mit à le parcourir de os I. no

torTonsImsa que pour OS fane. de loin enloin, une courte a.fistatiou d'ante.

T lofa coup, il &usa l'oreilleSou *Lenau venait d'etre attirée par

un bruit de vo10 qui mentait du chenu.hla/gre les preoctImvations dent il était

rempli, San esprit avait retraits/ soudain150 050sre dtaveti. 000smoioio

Une curimité plus imffinotivacabie attirait Cyrano.

Il dépose .son manuscrit et s'avança atlbord de la terras*.Eeartant dolmen/eut le feuilla*, il re»

garde.Deux étranges personnages étaient

pleist. au milieu dois mate.De Mine peu rassurante, sales et dOpe-

unifiés. mats armes d'énormes rapieres,c'étaient deux soldaio d'aventure, deuxde ese retins boas à MM, dont les ex-ploit, faisaient moins de victimes citezles

i ennemis'b..du royaume que parmi lesedlnte du ra

no eledit lm puissent ,t,itia,t, d'unecinquantaine d'ounces à la face écardetedOs gpoustaehe bure:hissante, quil1fi,susaatt fièrement, gardait dira refletsroux.

Damée d'un baudrier de Deir, sa largepanse faisait itc/ater de tomso los eontfiere, une casaque, Jildi5 bleu ciel, devenueconeul de grai$,e et de poussière.

Les bords d'un chapeau trop bossué etcabossé/ pour qu'on pût deviur saprimitive, lui tombaient sur les yeux etprOtégaaient

upuq. apoplectiquetre la brûlure d soleil.

L'autre, plue grand "'tore et sis.; se,

llus cor easate';.°i1SInISaS 01°. 100005e-IIIlil rses,tfillos amers mut Mea /Manges et qu'en pouMu de sala tem eo es. ne ...eau peu.

rtfli 5d" 155;15,100.5 r""' 5ar"der 55"'"';:e;L'd.'_:""'"' 05 "leAu mem de la menthe 100ainatioli«1«, pal

tsurvaus do vitro Congrès ri re evou'rp. Da Cu..ttte Iodera dares revend Perim 0. odeneum gaga. ente. Emprise:en crailblide

si Je lems auesd a vous dire que reulorvoio lapubaino réalisation de /apports plu- étroitsentre mineur5 al/amande et frança15, Cv sep-prochemeut, nous y itravaillon5 do otites ni,iteeet PMU Mi. Peur damna luitemmesueoestre le capitalieme Internattonal notre vic-toire soit pl00 sûre et surtout pl. effeotiveJ'estime qm eo jour ne Na,. me Icinom serer. Eatrialia.10à. OIS lua 1.5011000aealantande en:ripent oui eqfluibu,bure« dei écoles allemandes num vern, tuelillon1011I Ale poa010 045150lc'a4eful,foYeamie la division cilino les dm: Muses.

J'Emin, pour un nare. ear ro vous pm-

'Zieriebler'ree elsisiee fr"'''is sais 01000515551e reilematt ail als se bol-

Hut entre eux 0- >na. travailleurs allemandeet tramais. notre devoir eau animale durager aimis et unis pour «tendra la cape55lis., 01. de Mine fanant, tràte,commit seriebles Dere no. roules.. nous

souteuir eu cuminuu lu latto nette Iccapitalisme International Jugea no quo mouasana altelot lm bit que ne. ID. propres.libérer des chaires capitalistiru les mineurs deseu galipot 00101005 et do Mutes les nations

Avec le, rinnetirs allemande oreanilee. ifdésire ardemment que soit proche le emles camarades frauces rt Nternor 1, mitera,'rant la-lute centre leurs ornornis comma.

si En lernrinern, je lima pcuanuellementexprimer aux camarades resterais Ms,. rai.,elemenes 110 plus vifs pour Peetisil corde/qu'Us m'end f

is Io surs mandant en det Plein Peules tee,inviter la inderatim nationge des Mem.Eremfals à envoyer des deleires noire Con-gres! lutin./ qui aura lion ramée produiscar nos Congrès eut Heu tous les deux ansSOratiensê

Nouvelles EtrangèresEN ESPAGFE

La libinté dee sotte,seidrid.

Dus-.elr:marprécédent outa que a de

sans 050 100,1,0,1, Ou .1505e dia 105 00

Le Verceir a rame daelnieure no9lreobLes reheieux et H.01renne du Gare r.

Heure suus Mme direlos deEotiveracinpp.

EN RUltQUIEsLa Mu fordimed à cultumom

:oie de'efretileaegUileest eues: le roi t'emmure' viendra ki gantH rai de gerbé, probablemet elms. dra Joura

s:Vgl,stgra,,,,.!u ENNS nerunmes Ymin, tour

ES PRIIDELE

ta pressas/en riesteralyerie ,12.ruan-iief neer, nia, ,..co,t

>lessieu.

dersedée*"C' 'Cil reedroans

d'

ora erra ode isionitorobbisserjtoi Peur la

r'q tem 41Weeneree've'reeninat a5 0055 pez . lice

reste. lait somal. son ore de sue

OTe ':'4%,Tàqe1515'.5;.4,5inh'5,41e54sien Quaas am modifie... que,in reenreiraran

à:1'grZ,5e.lu,41,1Ae Wirà8,5,r1tirirfrVe.'1.reng5,e,;"5,per;e'dr,;ri.1.45âneVeglef<5'nâti::ei eue noue croyons it.toitux monnaiera impo

teiveàre1seg,l,ibe us n'et/qat mentit et telos eut,Os aluni s .0sur le marre eu pets. i

comproas jra ramera iese gestrastreseideli,ié'eferreetç'r's'elerrtere;

'ttioein'ter':.teur outficotiuipred 05 setmese ne ra vobr muret. eSaOoPos d.

ger'er's,Veri erinestreu9s'Ires.""'-OMO

UN PEU PARTOUTsas Crime de Pontivy

LE 711111IAND Estr ACQUITTEYannos, 12 efis.

Apres réquisitoire li plaidotrie Ii amas0o'lol aIl 1011101 don 1501051100 01110,su obI dn 1150e 101010001, 50m delsunllointervenir aux debals et sielarnoit /0oiasor Hersant a rée. d'etc-cusation, le mesident demande a laceuse

tout sec, osseux et deguMgandé. Pour dis_simuler 40 510001 poil puy51 l'absenced'an pOtIrpOint, il S'envole ipaji,lai eheseur dans une cape e ode do tripees festonnée d'effilochure,.

Blanc do moustaches et de cheveux, lafa. ridée, imite et parcbetninée, il pur-tait haut le tété sou lus énerroequ'une maigre. plume rasse, défrisée atpendante man /a. prétention &Orner.- grotide. Cyrano de laides etsinistres PMU* Dtéit nous mitent; meadurep.ts ?

Mats M plus dettne des deus mudard,avait ePpri5 le dialogue con/men..

- Je t'assure, easnaradR que je 0001.mance 'u me sentir fourbu- Métier defaiUstain 00 nuls lori guels b puutilborm-me:de ma tournure et de mon PMU-Faisons halle.. Hien que cinq minutes »

La GascouCris. N'IMM dit-il. Ce n'est

rartairrenient pas Ice première fois que jeUcctendt... Maià Uttétt.F Deusquelles zircons...es 1...

Ives deux bomenes 0110110m installés surun te., 1001e au-dessus de la charmille

Dl, dans une sorte de roulelffeat caler.neux. le plui vMus gouda- Le vrai repus, pour Mai, &est de me

rafraîchir les barres... Passe-moi 10 0000.

Cyrase eut nouvmu sursautCelte autm voix.. Cl 11.«toit Pa,"

plus la première fois qu'il 1101510001 110.

hlais il eut beau chercher dans ses sou-ventre- 11 eut hcau se dire que, pur Pim-pression 01110. ce double écho ci'00 p.*a coup sûr déjà lointain, devait se renne,ter à du .1 aocu arrime- 11 ne

c tout cesr eouvener

Se lem, répond

la e dune

Surtai de pl

«p«

Ifeee

SUINT.A.'1"o pré,

semer de nSeosee poco sosies- D

Id LQ1056 UTliatTaS

e;i4, de la lOI r,TsOilo,050sslbaul,'eeOariO.

;o:41er...42;u:1= eue 515510100 loipisI.

..,.,gen- DUN daeouter a rarticie ter Ica Mots tr.

mut siemens erra obreltoroys Je la IN

rtril'e'X'icallu'rearetritsigererret'eà'.1' ierniAn tersait-s

%reg&dstpsoaOI qui2

k i2irontf;:eréts'itii'erri!i-ilYer. rit'e:111:!1'S'e"..4.317irekee'c'e'elpt'-certc elernm D' retire sona'>ou.r,unaers. .1.de/egos un disposinm Mut am.

' do la In

anisntsvasau.d Dunes da 4rsr'n'es5Os!cororannes.ds gris NI begrainsansyy,

ml iscumsrestsa nesessr e une

'reiUrpouréYeel07Knet

tecalianrcueo

I. iereleielfe tout, tes du ssee9

',Insneetnineb.%)&me'.: ","-Le'sgenat.p. agora. ventre le, aequo la lis

euee..?,1VV,,fie aine deneptern.?eee'tierrCum'een'reruliélle entendra 4,, an.

nées antérieure à Dix ta en ete1.171.iniete"Liorszernionersi:oetriiocori.

ues'emendes'olirinriCrIZV.grifre

'L7fee u;riegtul,oet meeedment, qui rat re-peâsseo.siztigzede.

m.,. à sa yersome rra scie 'eas ',retâteti Pense. ayeeeiere cempris parmi es se-:Ieeineritent oui rape.g par. rem Ne,

'rte ro rdei a la romanisai.. Partieleoon. ni mein, e 1/carder

Le eitàfito

ITIQUES0.0140.011 i015'5d.

eeenitas radeaux et-Dreier lotus de la plemie..ra greenaerirtion de earegareirne .et au

it'oSecteilürgl-ralinT21UrVetre'"rs'.' Pr'OSES 508IDDEPENDANT8

uuaa'rL 00 OiuOiu 15 te-0110 des Cosldnrnars,

Parie, 12 mers

rus euDam La seauao du malin en a Velidé lmn

üpos.'" "'iirtràail.tion 05015,0 Ou parti et M.P cee'ln". né-tarie:odeurs 'sature titt tunt rapport

Lo emport de, groupeeperlemestaire

1.00É,211Widieeeeet ron. menniseten clore, deredises lo tuuniluotn adressé peur les 5110.55155m eux aocrelestra de France.

-1000 FRIMDES DE TOULONTuai. 12 maris

Au isepn dee pruquisitions opérées biermir, chez divers outiller, du port. on a dé- .

couvert 4,, matières qui avaient Cie Serinesdandorlineement. notamment de, magasins etdos étirer iborment, de psi-geai.,

. bee saisies ont été opéré. I les ouvriersthe Immels elles ent eu hou ont été invitéeà se tenu- a la disponrion de M. le coneni50mire spécial.

Traie d'engin mu grées tout d'aberd. ontété mis en liberté proviseire.

Morne/ Quotidien SSrissItsee. -- Cinq Cenlimes101,1001 1 Jean JALIRES

U'ic..c havi te. kr kiosques et tees les dura

trouva rien,. Son firciPluisit plus de eaé-moue quo sen esprit..- .95vellt-Us eider-

D, il se rot. aux &coules.Après etre resté le nee eu l'air eu a.-

,. long moine9i, et, les yeux clos, avoirusPira du ta gourde aux flancs rebondispo. le IMM. Une borine demi-pinte d'al-cet, l'osseux renomme exhala eomeue

rale de satisfaction.Puis, claquant de la tsars,.- ! va mieux... PLU Docore

qii&que5 lampées de ce /ehnieb, 110e Musentirais, do taille, si PonimpleSnad, à en lever messire satan luitinèneda plus flontbanu donjon de sou royaumede lm.

- M'est avis, camarade, se Init à Sotletner l'antre souderai, iscn me fera Poe tét.i4non plus tete, ati pestr oit le Marquisnous a ménagé du *rvice

'' HL! j'y compte hien, per De mos.dieu !,.. rugit Sen minpagnon.. ou vadeois en decoudro 1.. 11 étad temps... Jescornmaucare à gle Muflier.-

-- Tai aussi, ine vieille- reprit-d ause-.Mt eu tirant du 110rmeau une raptèreformidable qu'il contemple rm.ques in.tants avec amour.

- C'est Veed comtales le gars reihre...Ion temps ont été dente,- moté Fou-trait'. est rentre d'exilé, lei beaux coupsde main vont reprendre...

Le. diable t'entende compagnon- Il m'entend - et U01.15 N'es-vonselous Pen 4,1,i5 Four mileUrd'I.i Unebonus afreiro 7

sieoo.

ju''ïcri à 2 hsetif. Fu con-esta dem. rigand a.

liaiiesaielne%35l'auditoire. Il est 2 heu-

eeinuittant I audience, Le Brigand 5e jetteoaus los brui de 5a mère, qui 1 ombrasse .sersaub dra Datenea era. Eles nombreuxamie iennent le filiCiter el lui serrer la

à meure

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: TrOiSièMeAnnée. - LE MIDI SOCIALISTEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101_MIDSOC_1910... · qu'un fit ramis le bruit que la gare du' Nord venait d'être occupée

LA LUTTE OUTIZIERE

Meute des If81I3111011fS 118à P.M.I. Faculté dos Lettres.- Affluence cumule. - Toute« ter corporations repré-sentées. - Discoure &Angle., Valette. Dedel, Crames, MartY-Rallen - PreMIN(Cusa le citoyen Bedeau. - Allooutions da Jany, Hackenberger, gaude,

Estaque, Reynaud. - liordre du jour. - Enthousiasme ouvrier.

lEur mir a eu liau, dans l'aruphiteageII vulliulac du Ide l'Ancienne Peul. des Lettres.. rand Peur Cuit uo flotta di-

IleallOF des trmailleure de l'EU. yui :nads'ai 71ne' Pue. orr'ert.jefre';JeLitemo.x«eIre r; al:raie/7.Orlaall. par I Colon des Syndicats. et erg ,gs doué,

Pneus avons seneueé. A te ber., la. miendeja pleine m.de. Beaucoup dies sc laieeeet vo séduire par len petits pro-

,rigres. Lar travailleurs te 18111 te qu'on leur tend comme der appflia Queles travailleur« pensent à Pur ...me de so-

fiait du c.' que toutou les d/refait.00 cutI lidarité Qu'uit eg méaent de certains Perle.topieertgé.. Lu foule ne me in. d'arguée.A rameurs repriseo, il faudra loterie/plu

neum Per trouver quelques places p .1rle5 nombreux madame qui s'erre/ au%portes et dane les escaliers d'aeela

Ln eitoyen (laure, do l'Arsenal. présede,cone, Com. ameutent e, loi Ciloyoas Uerdat«nager spresde4ud des poudriers, et Bore,eallandelégue lit emmenée.

Après une allocution cuira.. ci applaudieeu priaient Muret la papaa rat dace euritmeu Auger.

4NLADIAmpado. délégu, oellior, d0 let.

Mime.Aulre.foia.elit-il. le temporaleau der eel

rtmeiletteti'AcIrsonal.çie:,,yerbepiijOiozleugrit,reeiFArsenal. Pou à peu, en eut Palu à leMei. an. U3142, soue faurams, let conunaild.inclinent, More, il n'y mai/ presque pas donyudieets. On rcep oie ouyner,lue autres te. rotaiteot grlat'o, ..1 la fin deFM-toue las effile. tout lautuutde. mes«dit qu'el a demande aux nienistenas sucer-Sife rdtrgallMilitiett de 1 atelier. Des prm.messes ont été rades. [mie rien de

on a SIte dcnuuctunualliierrd artillerie, els omit réalamme notre p.

>eus espérons que bue tee élue mue aide-rait à obMuir aut.. Clpplaudiesneente.,

VALATIENLaparobe eel. à Valette délégué de l'Aise.

Il btjgmajtist jdio, jà,d Pet=pi,lblicr Cl

qu'il a leu Pieropressi 'in eue! lm é ut. JI dit qu'il est allé.mec Mea. et Gervais, erre de M. Qui'.rait et qu'ils lui oun &manda le travail nettenant pour amui,. I uni [semer.. lie-d...d inter,. à le trente. Lematira n'aetl. eratelld011t rue. aujourd'huimem, le colonel a déclaré qu'il avait em-bOUrbé, pour PAIR. quel:, rnenuinicm. Autautres demande, on na pax répond. IL at-tend deu ordre: dl général Abou. Il fautdone nomma ce mir une délégalion.upte

sitdter iUZénsereiheeClIn'f'ireeetseisinment nenstuetter. lettone la mais. endemeure As faire remonti en edam desellerie MM.:nem. qui loubleran o cr-ampe de l'Amena. On dit queIt meut Lephue est dans la salle.

(Ulddlie.M1 crie a euvoye un reelple-») .

Ln général inspecteur. cantione Valette,est défavemble. bseito Mi sprat L'a ne sa-voir au sour-setrêteire dleat. Et e il fauthire une nuingetation, nom M itemfLem. applaudimeseunlai Fera-bon dudouille., à Guatelsarmsib g On m. peul, plus,Il Mut quheilo mn ici. .t. :tlaeldi.entenl«.1

edsgrateem des t'Ida Plus Rsépublique avec der fo:rades.

'esetflRiqi.n.«ndeetr'"'eyveniee-:etreueerti"o=rsyru, dinvodarat de, )17..re't»EDEN

Ljddi Mhste. lt trige sietiatime Toulouse). Amerdld" ted,bau :Mei je zeutle.

rnoOl300t ai laItIer tue duper commefrausuup col taie pour l'a P. T. t'. ttu'1tedecro qu'ils net fait et emged à la porte de voirelcmcollrn qui, escale sous permettra devaitiore.

Le temat diesourn de Ltistm est leneeeldapPlaudi.

vagie. t ce moment, carme Sinelemley, Inndi«posé.

.temeic

il4e7104OLLANMarly. applaudi. minium. en dicaut yen

eue toua us aura..ves sen mec fins le. umleur.

out fan 10108e de Forgeningen syraicabelie jetons d'aboni un rmaul sur Louloustilts a été merveilleuse:mut promére. De refitprorperitei II ne reste que pou de ultra. Or necleumberai pas /ex 041.03 pigera, underomanise que Na représentants unualripauxsent tdelet preeceilpet de te reput:dieu artis-tique que de la engem tudnungee datemMuse. en MM si mi 1,1.1,0pour .14 J!raidrerie,ou no badge pas peur donner 00101 fr. auMeer° du Carat.. !Applaudi:manne'

afau ait flammé man les parues tom

qu'atm.° sillo,

1110011,0Or.tuer a tait une ville do plaisir. 00, do

éruolepIniuu' Sic routooc, 1011 oeB 0,-080 ut

meside cille, inats pas ente., Pascontinuer. Des !Mamers avaient reenermscette eituatiou. Us. moula:mol installer.

tiebepolle-rit. carrosse/ie. imprimerie, me inmides orUs et demande den 101003 engem Or labaillée& napel/rave n'a pae répons& pour

pade faire de Tottlo.e mem m'Utah..me. ouvrier. bous, nolla PMU,. :Id, 1.1avant ted .1, fredeml.

Cutlotu'ltle Lea. travailleurs de l_0101,lespremiers, ont jeté lu rd d'alarme. Ils ne

Soie.Isepat rame. es free d'autrui lei au-Ires 01110f. !les Ils enflent male /amorale!,mont, tans faim des courbes, h la mairieneur avoir quareute cIta, ,eat, demander: 11edais. 4e, boa. poer able. lut l'enfant,une teille de HM.. fAcilaudiamentseCet subie au syndicat que Iee oueriere pri-me parler. Tronson donc en s'el» la Muer (leprotester. Imite« leu poins rano:lm/pallestal Diteenua quemou. nie peos d'ime pidesenne el tple eeelp po.ep deo Co0HdeeMne enoma quel &MM que,. thetaus enal, l'Etat Yteri srteernee, pas sesesslives, /: 0001 qu'un pe.r que nous devenerebattre. Pie. de Mme., irdeginee entretravatIleum ! 050,Mune pat hg uns Ireanime. male rdreo!tenttetle

Protest. t'entre mua qui repoussent 'le-inmeatleceuent la violence. Li sue tout pas. 4eissexese. lime« en bée -pete montrer que'rasait/ers ta 'Etol al treefieure do I lu-therie privée s'e ncouragent les uns les sem

-f.00 00f ne la stdriHt6 da re. Chevauchée des Efudlantsflay.un appuie Pou decerabone

berger s: cd applaudi.Le président 11 elom l'ordre du Mur

ORDRE DU JOURLes travail/eues tou/ourains (homme« et

fumante! appartenant aux diverse oriciemeut Ouvr.er il 'Ent si à l'Industriearmée, tous adberentg à la BOurea du Tra-vail -de Toulouse, rettr. VOut l'initblive del'Union des endicalr, te lte du SéoCeleal, ruede Rémusat, lo eunecte td.. ers MM Id becree et demie du soir, apr. avoir gatendulm ci/Oyons Anglete, Valette, CeteStes, 004e1

Mariy-RollanGoossiderbut Tat d'important travaux, de

neneUm Fabricationt Manama du mesterede la Guerre yota etre attribués à certaines

Gomiderant que la dem.. sur M bud-ifet deS Etablimernenti de :a guerre a deitreamer la pitoyable situation de Pirs`ena/et eartoucheree de Toulouse qui est ace.rendu au rang de elmpla cépée, de matérield'artillerie et e fuit os-morte égalmnont lasituaitar médiocre de Mu meure d'indus-tries butome.oa telle, quo la sellerie quiemaituait, il y a quelques unit spé-cialite industrielle rennetune Toulote['lConsidérant que dans toue Ire métier>, lechantage amuse un développement consiekrabbi et qu'el y a lieu de porter rautidetans retard à une eituatiOn mei hulula.,

OUI de g est Mcostaire depedrreie

l'assurer te dti's!of011'oerntsen'l.'doMerbrnr:rie.quesii. en mires depuis fort longPMPs

Delerue/ quavee l'appui de Ica Ic pro-uvent urgoOlei engame l'Union des sp.

dicen n'enroua de cesse. usaut dee aulx,-rite« emmena., &mgce, pour engerr legouvernement 4 tendre mn travailleurs Ion.

la part de travail qui leur est dueen qua peraument Met. Joue Meung.leur uni. sel:stade Jans lo syndicalismeOuatent représenté Par la Genfédératioueuérale. du Petah Fls dleierout Ira ne-

UZsi /%.;14.;ressources inestrie. Mené. Mi sué-num,. ea misère en dimenuant forlentontsou cernant

L'assemblée nroclame la nounineion d'une

'tS/t!'raV.,1z.orrr,7,'"oes,Ine.g.et/a Bourse du Travail. la 011000 1e faim au-près de, pouvoirs nutdies le, démarches né-emseusiree peser gur due prorneeses en maronlin clac

Ca ordet 41, imir art sate par aeolcueHem. Parmone ne demandaut la parole, teprésident Saura lise la ,huer, el tandir quela foule énorme quitte leutenent la scie,en commente dem Me groupes l'admirableallure de cette manifestaiva qui démontréune foit de otus 14 force gandisaante deumgmintiou a de l'aeran euteratives

data rétro grand, toc.

Vie Socialistem'ou. OSNMARD'EaMATARIAllenitEet UR,

Ordre ded damI. cycni. demies', la

liniérenfeenj Leude ee retends..

reeiode.t.'ea ,Fee.e%.11C» :C. Hans Ito quelf.e.

sle-+'n1Vet.'er"Otgre."411tatitfe,uMteamm ut se:relire. DR.,. du L.0.

reeauen te OBCNILuE CMCONXCEUPgre.

etie0UPEueeneez,e.,;

5'etede.îeJ:e7-wk..e,;uehà'itz'

01 rateemyegutt.-eere,dm camarades-MM/el V.UM").este Illouqué, rue de Le Guam>. lusq.Me, Ir...

*MM

Vie Syndicaleevnatcar ULS denViugns MAÇON,

Lee ouvriers alarma ryal/mem/ut Pdésseer 4 rama.. utI,uo,clitslccqui aur, ! ulas du 1,,

1111011/-

Une étrange affaire

'tus taIlla botta 01m' I lIcitaI du 15 p1000au Capitole. Nous avens appris de nouveauxdétails, qe modifient mensublement cette as

ire. N. Dubreelh avait d'abord affirme queut la femme Canut, mi lui jean M con-

tinu dotera au aime. s'était. ennarée ducorde Min menant II &mer et. One ananouvelle déposition, M. Duhreuilh apporteLn déls.il gut 71.15 oblige 9 voir les faite surun Mut autre aspect. fI Malaxa que. revenuCet /ui per raari. een ament. H 3 &nem,

dbparition du me de toile. Mule alors iina po, 10 comme 11 l'affirmait. !out d'abord

Me. Gime le lui &rober g Ei Pou Obioudroit de se demander si, dans l'affolement.t.j en eurvertu, Talciaun na pas pu vacrle coneament

Haie Ceaut nie inersulmmumm...êtru rm-

r.aIfrddu sac.

aillaure. outre les bons remessametsMme am na cote., nous apracnous quec^tte, dace a era. suie. à dee dérange..eetehreux et à dee en. mrveuece,

elo fut eeignee, il y a quelque tep, àl'heepice

Peut.. astallo agi 61,11S lie/mulsion du-orise nerveuse et tua Mi, dés lors, de-

ndraiteuteet duolice.

médecin alente de duIl y a d0,0.tpoute coite eliaire quelque

rhum d'Urane:elquei..

la poli.. epéromple, netardera pas 4 ca

Heir o011, al heures et denem, avec le 000-.11. de Je musique militaire de la garnisona eu heu la traditionnelle chevauchée desétudiants dom les rues do 11 ,111,

Toue.. présentat un empect inaccoutu-mé et avait revenu nu air de Mie la placedu Capitole et toin le perceurs étaient brie-Idenment illuminés.

heureux prélude aux rejouiestreces qui s'annonce. et nous nous empressonse ailleurs .de souhaite, et, d'espérer que cesiéteS soiont dm plus ré....

OfLes para hie ()suaires toelausaies

du Sine de ii40e

Engrange de soldats perrnmsion.eres de1/me de ligne, on garnison à Cahors, ot origi-flairer de Toulenne, sont ve.s néus appel:-Ler la Mitre euivaute,

Den

no0 priant dedéférerYin.Créé Nour menmer. eum. de à

leur désir,h/fumes/kr le Directs.).

U y a un amis,. nouveau tmlonel du it

reigion toulousaine reuloritatiou de devait«cor. l'heure ordinaire du départ en permis-Mure et de prendre, au depart de Canars, lesamedi ma. -ressema dot b. til rente Tousloue. Or. M gara e opposa à

mmandaitnotre départ,

et lo lieutenant qui co notre Mieamusent n'amui pee cru devoir prtleseer,Mus ne pûmes partir que par l'omnibus de7 h. /0, et au !Mu d'arriver à Toulouse à

h. db du Matie, noue n'y errivàmne quamidi 15, ayant ainsi perdu pommes toute unematinée sur la doute durge de notre per-eusion.

Notre mena:nota le citoyen Prevel, pro-11cv eu. uu !jeme Calme:, avait. éte M-me. de notre, déconvesce et ft peu, peee.ttd'intervenir pour emp«eleor te remue de Fe-re& mieveleme Num avens mira..elfe qu à sen retour de Touen... d egt unentretien aveo I« .lonel 1..11 à qui ilsignala. ligue 'lue Id ^Mortel 00001l.Co-Ilai.ei se ree ant :0,1)111010 mauve. ci-tent,/ de la ra se proie de nive b. dee.Mme refeessairee eé i/ a 44 lac etre, puis-qee. 10cr matin, tilla atmune deffimeltd onnoue u laissé monter ats uembre d« MO dan,F.Prees <ty leu-Ieuee et Ptles1 00004, vu latom dr! sumer a hoir, du matin. mec

ragréer/18hg pompai-live rd e jouir inteirdleMent

fto

de nos eurts deermission.Id0t43 bletM Mau vous faire part de ne.

eatiefacimn et à temeleatre ni publi-quement Is noire sympathique ot &voué&mania. le Gnose Peva. les rer.,-crements de, jeuom soldats toulousainsmquiont été attestes ou si grand norobre Cl rage-vaut de Cahors.

Veuillez agreer,:ele...Un aveline CF pormissieneiren

Mulousains du 7e de ligne.

ASIUMIMMISPEU

A L'IDÉAL - ToulouseBu. eget st epingies pour la mamelleunflurc, image. a ohapmum home

ji!,,e/PLF[4'' YieleYen peur ettce

Eau de Cologne - A L'IDÉALla maille.° do tontes

tlittitah.taenia

En Villeoie (balite des Étudiantt

momme.ta vieaté¢de do ee soli s'amiante omnium

démet Cire né" un effort Ireslouable s'est lad, .14 plu, quo jemais la cavalcade aura ut mractire arta-ter. =au" impute Inetuain tiendra

verfirleclial;ZGe«.7.% b,e1MVIZ.Y.verte au pele Nord, te Pres. et !es Pael.11-tee. Lus blancbm.s. de Tcaloce Ott vou-e. mont50 un, et mn doute 00000 le, bettaillent te goir un gr. Mette, Lb cher 40 111Renée0, rallWa du néinbreux suffrages eteon originalité ne manquom pas d'eu'. eu-

r3o nombreux groupée prendront p.t à lacavalcade b groupa& 1110411.1 anach

peaux-muge, hubserds 110 lia adv.,.tiOd, 010. 011.. groupaa a bicyclette, voitureet automnale amui., air,

Par une innovation que 1e publie appleurspra, p/.iems musique, se partageront lafaine d'égayée /a tavelure. Ces Musiquesreparties dam tout Il dg& eues. I.âtre eu vogue a l'entrain le plus fou necm.ut du regel' d'ibn net a l'autre do Mcavalcade.

ans inPourer- Loo poisonnesMM mine la meleado et gave.. que!es voitures nen démordes ou non fleuriesne seront pas admises dans Ie corps, du dit-b! 1 elles no Pourraient prendre plu. /Mad!!!!!.f. 10 Piquet d'artilbarie fine!,

LI eoncoure de voiturée fleuries aura I00à, roide ou.t prases ; los venues quiNedeità Y Prendre pbrt devine er. P.-..14. au embat, 4 eate berce, Lee prixseron1 trainembenrant distribue,.

La Cavalcade partira de la Grarelecleeune heure, etle suivra l'itinéraire cuvant(itinéraire off.. tGrande Ale, Mailiscrin, plue Unetelle.

$gi'efi..eltf:ii.,)(.1;112113o1Irour,'e'",Per;HW, rus etMease, rua du Posde-deIMuile.Capitole mana', fnafeyùite. rue d'Albe-on, Ti'.11grepouro(ban. bellaard dr Strad.

oc. rue Itoquaxino, Expresse (Melte). rne

yaret16._p'ee" ?dieubeulevard Berme, allées Lafayette, avéténue Lafayette, square Lafayette OMM durestaurant). rue Lat:ermite, ruc d'Alsace,boulevard de Strasbou. boulevard Canota/14. 6t-Etionno. Bagne. Orant& Anie.Dislocation.

&g réa de gala xa rosier hafeeteLe belle,: de. gale organisée per la Comité

dee Etudiante s'amen, mus [mi atoll/oursaempiees. Un, grande mune d'ombrée a Pé-ta Nord For D'et fere &Cor sur la «Cè-ne du Lafayette lee sillomottee de, plus con-nus ej. Toulousains autorités, personnelités efilique. littéraires, c tiaiques, opol,tivas. there.- Tout le monde met*. e Yrecourait.

Les TribunauxTRIBUNAL CORRECTIONNEL

Préoldegi, M. 11.0s; 311..0re pull.', MeliostaxéGreltier, M. bonbon/MY.

Audience eu souiedi I:" mure

efEbilid/TEPaHl Gabriel C., sr ensan moducieur typo-

graPhe., se preaugalt dans la mirée Ms ven-dredi dant une Seul elle et dans une char-cuterie de /a rue des Fitagees pour demanderFaucigny. Non ement de ce qu'ou lui douar14g année I. permutes tle lu ruauet*amie.

'a C. .e,jjiire,,,'!...te.;;e::!':j.:11'.,;;giLr Trienal la inflige il Cure de prima.

RELANELM propriétaire da la rue Saint-Helairo était

Poursuivi pour avoir fait construire Une habi-tation à Touions-es e.s srmr obtenu l'aurarinboa umincipale, preurito par la loi du lb le-vrier tOnd.

Ay.t traité à forfait ber, nauelu01010aea,.le.Tramal déclare qm t. nroprittaire ne peulpas cire déchiré empotes/Mo dû cette illrrat.Hoa, 0, eu eoasequence, b rebat, des Uns dela PonMuite, 4,11 &sem.

Vase,

FAITS OIVERS

VialbENT INCENDIEHier soir, on violent incendie s'ont déclare

vers d h. 15, dans un dépôt dr chiffon, situé73, avenue de: Minimes, a appartenant.M. Mercedes, demapie ru, dl Printernp«.bfa Iiimmenne mn la preeleiber/. demeurant rue: Alsace, maison Can drel.Le tag alilltelé par des vieux. chattes PleP em ou fourrage a eu elle pris des propor-tions eonsidérables Un hangar d'une !én-gelé.' de 7 mares, dent, 8 de-large. qui con-tenait en nuire de, marchandises, dot outilrsome j Feeloitation, a été la pecie desflamme. Le fel c'est Celte communiqueà une salle de conférencet appartenant à lasalle. Cale ,elle située sur la 1,10:1 11 Mer.ehé a el elle anse Candide

las perte, subies par M. Montredor sonlévaluées k am«, francs, il est couvert pernec aseuriump de equipagnie » Solida-reter. M. Ga libert eat eg. gement usure L en-semble des dent, est Malin à 100.000 Hata.Les pompiers de /a t'eut /toc dut Minimesbt do la eaeeine muneds sone les ordres,doleur capitaine, M. Limu net mut [bon pont.pro en 'batterie et on1 été aides par un de-tauhement de soixante hommes do Pie l'a,'.11,11e,.. ege let mares lIa eapitai.eu. Le service d'ordre était ...YI par M.Caban, taiaadiar-abui qui

d'avaléagent.

som or-dre. um forte escouade s. Riaientprments mer lm Ceux M. PePs.esemim5aite CetItaYl. M Cablaing, constnieeaireon. du ge arrondissemonl.A 2 heures du matin. I Mme mi nutup!Ole-

ruent cerranseril. mais Ma Immpiem sonttonleUrs sur les lien pour onyer les .-..ombrer. Ou ieon dam quellescet incendie s'est déclare.

ENFANT D/SPARUleu jeu. Louis fie,,nov, derneur.t. mec

ses purent.. rue dm Jardins-V.0os, 2, quiétait venu voir la retraite aux flambeaux n'apas reparu à son

Segaidement tain° / m. 90 env.. Me-s./ et mune, bleds. Tem reatlems nesEng, visage ovale, i! perle un panealen noirmime, un tablier noir. souliers montantslacets. il est oaiffe duc béret latios eu cule.

UN IVROGNE PEUCOMMODEIlmu Pur. 01 u on dObIl, roc dl Copal r,

Nic.d.seit n' 'husin Cinq » (ft irruption dansle magasin ; ou déntarcbe Otubante ut satoit éraillée, annomaient qu'il s'était rd.-néj de loup copieuses /Mations.

Soudain, esses cm n'en ne M. prévoir nonatter s itultu Cinq se juta sur M. Gaulant ette frappa coupe de poing en rrlein vieage.fie dernier que mi erece Frat . défendre. Puis, loin d'avoir calmé sa fureur,-Ni-col se précipita dans !a cuisine de Mine Pic,el la, il se livra à un véritable maremmedo verreat, d'amie., de tait ce qu'il luitonna sous la mai.

Fin beau travail accore. beim Gen aroUt no pic ! don mup de poing cassa unserre. Goût t ..)(1 irae, de dé... Béera-lui t Moins Cinq est au s'el..

------- 00500

SpectaclesTHEATRE PU CAPITULA.

I'iI'belii'0'34',1'41%ee,ten7ét,'.'étri:coucous do M. Alfred Galenelet 10

,00 11101moue,moere Manne, aère.Le mu, a 8 heures un. quart. le rmeente

Mn do rinceuse suce. t, Quo-Vadis 1tt,Fouine a peignante et si forte dant Je bril-lante et fekrique mie en mène Mure Manu°ope, au Cepfitole, une fouie considérable.

(Communie/é)

THEATRE LAFAYETTEaniourdliui dimanobe. matinée à g heu-

re. de l'immense ',mem y la Tee000418 heures cl de., « le Flibustier ets Occupe-toi d'Amaiss es. qui Setallt atitet5pour la dernière boa de le

Dean 1.di, t.olree de geda donnes,par latournée Bara, avec Io 001100/les de Mlle Sumo-. Després, do la ,gorselle-Erancaise, dans Vau00110 e. de Einem

Ocenatu s ouvrira la Imalioa FOUI la Me ma-tinée Mamieee du jeudi I?, donnée aven. con-cours de NE Braunceig, cortes.. au Ire,qui Ferlera Les P000000bcoeqlco

(Emmenant)LIS8 NOUVEAUTÉS

Aulauirdibui, à 2 heurut 01 00 soir à 8 brome

Raie' A-re,°.fet.met.netntroupe ainsi que e Mantuvu fait des beimum ».vends/ville, avec SiddE et Chuverisd

(Communiqué).

LES SPORTSUNivendsanz .S CONTItE

STADU TOLLOL:RONEmst demi, ut heures su demie lu'aum /leu

nue le terrain des Ponts-Juomeux. le match en-Me lm équipes Immergea du 8.C.I.S.P, et du Ma-

' .F,treiseemo es .0teatemeat eue te

n'ite"lee'd'oeMarierôe's'.ZIlencg'Ut":12.: ra"vrer'agite mememe 0e01 pommais efetat

Takeet.'eleettlert 'ple:,..tt tee:7J=

500 vus

leur. Gimone et ensure i4e, soudeeile«.41flurdeels*. ettirl'ilnarirem'eaCt

tbtie4 raidadttlil, rases ..-.raie dans na buse joe

aie gemmera a es nec s, oce,

as tsos ta Zries;e'l' Ce. Lberts:

TOULOUXAINmann se Illraue0Il

reienct deet êI3 heures et essuie. Le,'Liai.)uo'o du ve.dar tee sly lupowl0 Ou eue,

leou:0 de Paris prêsentenont la formation ant-

:,uenraM srois-quaris

ejef.j'fir,:uI:gra'Ses)1e ,

moues.ouelpiumeee.,L

aine est la même oul loi.

ecupoulpe de.uolOolo joui. e0.

»mate. cal Es dee: stratt'uneleu-t, renicquable.

Etat den Eaux!autel:dieia, heiterenhiquen des rivières et

mers d'eau de la regien du le meg 1910 tLa Salve est elair

1 thlrleme net «laieTarn eet pénale t l'Agout sst clair le Toudeat eh& le Cmal clam du Lhe est P..-Die e b Glrou u, I Mettable t la Garounc caderu ta Louée est

eetnee

CONVOCATIONSSociété a diverse*

MICAll bu 01 11ranuabseer.l à ce qu'Il a éte ameuta, 1500'

alla no demaera pas de In/ audeUrdbe Poecames purement matériel..

8010E1E MUNILIPULAujourd'hui dimanche 13 rriam, à 9 beurra

du [nen, tir Pealraluemeet an Stara mira-cloal du Basocic.eur lee candidate au 0e sotO Meade Militaire.

las membres actifs sont Informés qua l'Isebille/motet s'effectuera au te:tigre de ht Soda.I partir de f hemres rI Amené du ms..

SCORE DANSANTELes membre. du Velebport de telmde, a

l'aceion de la mi-caréne. e/ de l'emerturede leur mima sportive, effeetie gmriamornentà la

lemmelade Lalande une Frage Ler.

H...dansmle à mite liee.Leverture siu ha sa rut-ta Plions. pre-

ees. Orchestre de 01141. Entrée gratte'.

GELIE TAI:1114 T0LIAT2971Lie m'eue du Club Taule Laulmeadet

sent convoque« le dimanehe 13 mare, 1100.rra du soir, m ange aoue. pair euhteel.0depouellemed du ..erunn.

Corricide PeyrardLe Platon 1 frau. P

PHARMACIE PEYRAROenteeseeeemeseeemeeeemeeese

Chronique llegionale

Élections Législeivesl'00.10.0.. Nor,/

CANDIDATURE dWICENT AURIOL,

LONGAGES.Grande conférence publique ci Centedienere

Gate arteneii à 3 heures, Ce Garni11électoral de ditteet su cloutes., 3 boum.

eiteyen Vent Mariai assielera à lareniera

Ge soir. à 8 Umarer st demies pagaie., lecandidat Ven.. Am. Muera uue réu-uion publique et eentradinteic à langages.

-su ,a,,alaiiioa,;ae

eat. Ça.adents. mn sa eur qu'atmaoutiaua saleintencent a peser lourder.lt eurje« braves populations ouvriere, aepET.:;

10000 du 1,1,110 rI d'iluirdpendlore.

MONTJOIES.31. BRIAND CONTBE M. GRUPPT

parmi ma se. ventée dont le Tiemplin t, Mme. M. Cruppi, II suai glissé taneerreur surprenante.

Au dito du Tremplin «. si; par &mugi-e. par mirsole. AL Frupi ébat relui onrécompenserait M préfet en lu ne.nant, àNice.

hi. Cruppi .sernit-d /mune ,a ,siomainfar00 pr et

181011 00000VtIeelI"l it lu nt, te uni, t Ber,je le« crues. Pua eu l'autres incapable, d'unepareille indignité. Mais ce n'est passue que jû clucanerai le n Tromp:eu s.,Co que jo voie établir, etset que hl. Creppi

na, pae le pouvoir de a faire marcha leeinem des pente. G. !es prame tMle.,den de 41. Briand, eu u. briand ahhorre M."Cruppà

Hep.a ce que dimet neauère IL T. d, ré-publicain de gauche b a Eu ocaut la pre-mière pierre, de la gare de Frontera M. Peup-la reriain e SI gJe Mal nes aima. le perm

feuilla que m'erait Jami Detand... Ah Isi voues amen vu de quel air 3l. rama apouffé de rirr en apprenant eu trait, vou'eseriez (Maire. Vims marie« que ces douxhommes mot tout. à lait incompatiblm. hf.Ume04 ta voulu de 1L Crin& à 00000 prixColuisci. vomi M siovea. deoluss qu'il relit; .

serait de reg.sa au mimera' b mais g aedéclara point sieil refluerait de oMmedodtautre porlofeuilie. II aurait dote volontiersamuit& un autre marnsluin.nfineincent ce-lui de le &aie. SI M. Gra/apprenait ligned'abandonner cotte elmiÉn, o est qu'il jugeai'mgco no pouvait manquer de lui egrir esfauteuil. Or. non seulement Io fatitenil rider-attribue à . salIr, mai. 44. Grume cimesmime 014 110110 amer t'Inceste tapa«du Commerce!

Tenu, ajoutait Mt rou ai l'assura,ce, da toutes Me candidatures posées dam laeirmemeriptIon. efem celle de M. G...1 etmrala plue Leal de Pouveir.

A suivre.

PeRTET

0000010 `" " te rie ligzeierr.,, m., radiasna 10&min de lamarchandise vendue.

«u"ey'reneèrLe eree r-1"4conformer à repart!.

Hee .00.03...aux tennt pas encore eu. sage)"n7e:errartgune

m. scanloi osppotine.

mge druocOItas!» sit: a h st da mn cen

une gip,rbjds,,do eha000, eu sait mmnuea. adrue

cor ro pao 01 4500 tao a000 01151

r'amb-".e'rra13111.s 'aen=a0de,

Lee la suie un %Mate& pape

, . ../AlsaverelEIJEE miette! -vante rorgenimetIon «onde) syndMat «las

poudriers et trace un wu.« trea alePiaMP o m montai'. le citoyen Preelt dorantlo hau remage flan, 00150 m., do nide, te présidentLn telt el y avait in ouvriers la Poudra. bd lemme Ise pcem.u. Aennemelet où g serie et, llpret. anuontalt Hy, o1p, m. h, quoliecnoiement. Noue avons rail du l'agita- qu d alla à le tribune.1,00,meus aspire eirstet nus délaine,. 04 « Citoyennes on, m'omets, 01.11. jo 'te vettemuaient, de la guerre. Ales gal: y a 3001 em parler coq que/mem seemdes, el, hieu que dusMa encula, aller. &berna avise l'air de mite remdon de lrevailieurr de ITdat, je mn.naerelbuloust s. Vindex 100 bue nual m'a-avec eraoye et aeuie &Etat. ro eutnous Cane W. Noue aven, recru/munie t c. pan er, MOU .111 don le, vitae le fan. de nepdaalerol tout -tomelco 1001115 05 dt LII l'a tan 10011cc, 0.11010,11 um'rt col nage-a 10

4 la 'uudetmlu lot robriGatiOne. en respect h /a rassus mascara qe Thune,Id terrains vacante auprès de mi. per ci détours un rEebet natt 041. /te-le Foudre.. NOU5 linteo Me &came. au.s. que lemme. l'allure. du. réunion edu-a..prea de la munielpable, 5.0 meire dit Ou Il Du ms/. lu, occasions g,.uolquatuclgsne eederseet pas le terrainr ot que la Peu- Mega!, do nou3 expliquer Applaudleseenisdrerie était tru danger publie et qu'elle 111e' rénales-. 10 nen, tu 0011 1111,, 'I mnageait /es promeueurs du Parc. Tl parla du daim qui auge dderes g r.,rug rggoejs.déplareMeen de la Poudra., gnou mettrait corporative a gui, vu l'inninmce d'au diluerPr. &Brera/Mille. Mall M.. voulait le eue teüenp, nu il dait iettervenir, 01 dut p0u-oliplanenlOnt, graiis. La Guerres rdotamnit vait eurair iimprovide. n'a pas cru nomvoir.DItts ale truie nulliom d'indemnité. Fie. quille! Parie. Par téleinine. g Per lem:nmed, au décida que Ie. vile ferait centrai. Ca prie. est main do vous dire cid davalt.la. muselle Poudrerie a ses trais. molli.- Am. la lbultdm, IMr. des Jeumumlus la Ir,tin Barbeaux vint et. il &rait ensuite une carier doc t. T, T, II ,iueaot'oa'mo n 001leen en it faiaait de bele promesse. toujmna Fendu et tendront Majeurs 00 déve-

QUM ers nin meure !d. ferros et, asc loppement. 0,11 en/limace d'ailleurs, de l'uselup, Ir capa de déplacement. Le syndicat fit 'tel et de le migre.. g à l'amélioration de

auge elémartnes. Lee négociations &nom tom le. irolemb lIts traveleaoe la ree, vau,tirent me plic Mme, avou la nouvelle munis menais.0 toue, ettoyemes li Gee., reeti.siipatite prePatene, vita el le dévouement de Beigne nal-. syndicat envoya One nouvelle démet,. loues de ale amis. dont je >ait sainmel, jetion. M. Oléron fut mis au courant. On lui veto Paglesele déployer, quand il 10 faudra,demande ue décision rapide. (Applaudie- mirer eireetesui et cItai 4.000 110 ego'mente.; Quelques rame apr. Ceetere 1.7! ottéde unientre aeide que la Poudrerie fuel. satle entière applaudit lenquerneut notremimait la poudre 13. Il aurait fallu qu'anus ang Priva,I a municipal. aeL avec vigueur a DL.

1140XEMIERGERramona putmoir bientôt 700 eue. ouvriers.Oth PiNleit Fut auge lianeulesace end la auge et dit que lemetabon moindre. quoique oonsidérabie. Ade phdsll,dd.,, jjd,(Appraudiseeneented Dans deux ou trois ms, inite ousiejet ries infixe de la nutpuratien.constructions seront terminées. Nom fa- .od daa. d, ,,,do h.d. d dbriquericus user 500 ouvrIere. et ers terrains dgent donnas gi la municipalité décidait de do

.socessld_

Sanlee terrains conditions, accepta. 00d,,,efjd

lion,eau limiter te nombre dos ouvriaja, ird ddedd.d,,dd ciai i.;à!,e;Mert.'tag pourrait bien aller. Le niai. o I, lu'' fehen. tottle Faxen. caceire. Et d'abord,allait 000 occuper et. voir 41. hanta. eu. toue a la lote., du Travail où nous fe-Croyonsmhe fsourirase tilate m. de. ellsmv-re 'sacs. iataleurtite anisa-Mons paru O. v pose des cgtten} ete--sea,blite 1 Nous alloue noter uu erde do Naalv pour M laenace le cma e docile&loi. el soubsitone que M nets:airs rait Mit la da, ildad!.',ppm. (Vile app/audiene nted lima du Meg' am gals, Ildealei;ir

nées et fait appel à iota let haire.. ',MI.....e6YES eleaudiennints..

Notre camarade Gruges des P. 'I'. T. dli 'ule0r ab.e quelques mots 00 sujet du laqu'il est -sûr Métre l'inforierete des travail- giseggman ePlOo db 0,5100, 51001 0011140 O5'isum des p. g. em apportant. iei 'epress aonieeut mm" mai. il faut au moiredi. d, goesseargé. eAppletediseentonLe.sx mettrern. doenneuse le naira mie ra c'estIl d, d rat, cru,tes. beaucoup de l'enterrement: et P000 verrons bien :dl ne fanl,691e4r, N0115 dernandnIeS pour eltr un peu rien. kj. fg, que

de biencen. L'Union fédérative et 'Linon laideeveleate . cent réunies. pour y travail. sa.., ipd.dior ddd

ler. do 0501111e dee dépéche de Paturon, secrétaireMais faut mieux- p00000 palliatifs et dm généra/ du synclime, l'informant rtm meure,

redue., pa.q..êror. Regardes en lave M cet muge-midi. s'eg abouche àvm minet,UMM/ente radie] e vous mecs dam la bonm pour lea demambee qu'on ansil demandé devoie Depuis nal, le syndicalisme a obangé. faire pour le. ouvriers dee lie.. tiens OsLa conscience e'esi aorandie et élargto Fele- meermer pur Il les renoue do 'absence de /3,--Clin englober Ion revendications de tous les 00010 et ore Prévert de transmettre à Dedems«ugesmje,,,,. mg, jes gode fonctionnaires Sremerriements du anneau.qui travaillent ne suai qu'ile devaient in- Bodel et Aise& disent qu'ils sana partis.tervenir ot*réagir contre des) reglernents eu- dos dtenarehM, qui leur paraleemt ommeeires.050100 ddi 0a.aves de Mails...Pollen ven bien edes ddotarob, niais

côté des BOO fralas et des Ide muaad. que I en efrlatue et mea min I 0HPanu3 par an. Il y avait dee situai010 de dee.o, Il ao. faut .pas quo la ....pale8 ggig,gog par gn, Cela no pouvait du- ou certains...lien st ,Matiens, démens, elas.mr. Au cornent où reat. devient Pblu omet rases camus el a fani.et« Meer. désola,bissmt, at neer s'il y aura reeti&e, Pegu en unereesréclamm bellement eth P necmmt de l'autteritease d'eut au ai lm tren toutes les sin/mince. I aelyx.dm tees moto-vailleure émue appelés cellabore, 4i.le Pa.f.r,,riée

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Page 4: TrOiSièMeAnnée. - LE MIDI SOCIALISTEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101_MIDSOC_1910... · qu'un fit ramis le bruit que la gare du' Nord venait d'être occupée

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LES MISERESdes

ENFANTS TROUVESPar Eugène SUE

C'était quelque cirose de cuit, de triste,de tendre, d'ineffable_ d'ailé, si cela sepeut dire, qu'un poète mit comparé pest-

ra au chant d'En polit mirait/nu ample.rant de sa voix enfantine le pardon deauMque pécheur.Cette comparaison menant à la pensée,

payée que Basquine avait commencé parabariter assise, ; mais à mesure qu'ellepartit céder à je ne sais quelle mysté-

, rieuse inspiration, d'un mouvement pres-que imperceptible, elle se mit à genoux,et continua de chauler, ks mains jointes,non adorable visage tourné vers le fielLitai rayonnant d'étoiles.

Bamboche et moi nous écoutions Bas-qUine dans une sorte d'extase recueilliejamais elle .n'avait jusqu'alors ainsi chan-té ; nousl.bous étiuns rapprochés l'un del'antre, et machinalement nous noupai., agenouillés comme elle.

Bienbit je sentis /0 front de Bamboches'appuyer sur mon épaule.... et .ses larmesLomberenbeur ma main....

. Jamais je n'avais vu Bambuck pleureressi, je no puis (lire mon émotion enentant A. larmes tomber sur Ma mon...sa _ntiliqu, .do l'obscurité, jetai mes-deux bras autoao du dbu de. mon dono

ent ia eas cariait de d unm c

den.rteign'léOrteneléée er:,;rrr..,=euaË,

0e dugche

Ayant trop de aloses a de ,y, gett,equestmre'e

ARIEGELe groupe L'UNION Mei ALISTE DES AL-

LEMABS, désireux de fêler à la fois la fonda-tion de la Section et Vannierrsaire dela Com-mune de Paris. ignare:en pour le dimanche20 mare courant mi baume, frateryyel ouvert dtete ter ramerait, da l'asti et aux deinamitessympathiques tics idées.

Ce banquet sera précédé dure réunion lieimportante du Comité exécutif de la Fédéra-le. soeialiste de r.5eo0, et saki dune conte-,rente miLltque sur « Le Commune r.

Les citoyens qui itésireed y participer sontpriés d'adresser Imer adhésion soit au serré-tenu f5ftJ, le camarade Etienne Cagot, liem-parts de Lame', J Pamiers soit mi reervavirede la Sectime, le eamarade Baptiste Deradh,menuisier 00enums

Une note' ultérieure fere commit, le pro-gramme de fir Iole el le prix du banquet.' -

Adresser les adhésions e avant le 18 marscourant

Le secrétaire fédéral o E. CaroLPAMIERS.

POUR-LE.E ORDURES. Le groupe so-cialiste de Pamiers vent de mettre h l'ordredu, jour de sa réunion hebdomadaire l'or-ganisation financière et matérielle de lacampagne électorale. Il rot urgent que tous

gnon ; j'allais lui parler, lorsqu'il me ditd une socs bask et entre-coupee

Laisse._ laisse-la chanter__ cela mefait tant de bien. Il me semble qu'elleennemie pardon peur moi. Paltvre petite,elle 0 pensait pas b mal. ni moi non plusautrefois, je n'y pensais pas à mal !Mais on me perdu et je l'ai perdue am-

elle.

Si extraordinaires que dussent me pa-rait00 ces tarte/ifs remords de Bamboche,lace m'étonnaient pas; le chant de Bas-

quine Me plongralt ansni dans une Mao-hou navrante. .

Bien des années après ente scène, etalors que, de toute la hauteur de son gé-nie, Basquine dominait les plus illustresartiste., elle m'a avoué quo de ce lour où,le creur Renne d'une tristesse infinie ensongeant a son père, mère, aux pre-mières croyances de son enfance_ et en-fin au sombre avenir que lui préparait saflétrissure si horriblemnt precoce elle'avait, pour ainsi dire O son insu, impro-visé cotte plaMte désolée au milieu denotre ile solitaire; de ce jour, Part, dansce qu'il a de plus naïf, de plus idéal, etpourtant do plus humain, s'était vague-ment révélé à sa jeune intelligence.

paroles eussent été impuissan-tes A .exprinaer coque j'éprouvais, ce soir-In, de tendre et de déchirant à /a fois,me disait alors Basquine. Il m'a sembléentendre une voix plaintive qui chantaitr moi; et j'ai répété ce Orant presquesans rn'en apercevoir et tout naturelle-ment, tant il :rendait fidèlement mesprions. Ce elianbe je me Ic suis toujoursrende avec attendrissement, et, a cettebene miette, MOUtefteelle: Mt& 'fifibfé

fa Fel0t0f... .

ne rent déjà fait de .

La mmpage prochaine réd'ampleur et partont pis dee t, person-nel, 01 pfeumers que l'élertion Je novem-bre 1900 En outre. te grand nombre de can-didatures oblige la conseil national un partia supprimer les anode.ns et de réduiredam de grandes proportiom 103 <H40110E19permanentee

Il faut dono compter. sur nous. D'autrepart notre teehe nous sera facilitée non seu-lement d'u nnotere 'mportant de groupes,mais encore paons puissant courant desympathie. qui entoure par avance la can-didature socialiste.

Les suffrages goeialistes de novembre seoompteront b plus du double en mai Pro-chain. Consécutivement, nous pouvons Pré-voir d'ores et 0010 o clamement de In Fade.male de l'Ariège, dans la première di.gaine d. 82 fédératiom de da section fran-çaise de l'Internationale ouvrière.

TaMant-Dages.GROUPE 0001 1LISTE. Le groupe soc./R-

te de Pamiers, e0mu à la pensée que le vaillantorgane du prolétariat 10 00001 Secialiste, per-rait sombrer, consequence du verdict Iniqueprononcé par /a Cour d'assises de la nate-Garonue,

f/ppreve la vigoureuse cempagué menéepar sorvrédaeteur en eliefcontre la miligetpa.lité prétendue radicale de bourgeois reartIon-naires aux abois

s'engage à lire. une énergie° Monetgande. en faveur Ou seul journal de la eusseouvriere et de la:République sociale.

VARILHES.fREUNION PURLIQUE ET CONTRADICTOIRE

Les eamarades lIa grePo de V1trificaencollé, aujourd'hui, a um ben., sous les es-

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sourire, je ne peux le répéter Aans fon-dre en larmes...

Au bout de quelques minutes, la voixvibrante de Basquitte,,que noue écoutionsdans un silence recumli, sc 10010.. baissapeu n peu, et son .chant expira progrestd-vement sur ses lèvres, comme une plainteharmonieuse qui se .serait évanouie auloin...

Puis l'enfant courba sa tète vur sa poi-trine, et resta quelques instants silen-cieuse...

Mai, ne nous entendant pas parler.elle se retourna bientilt vers nom clouaivit. Bamboche et moi, fraternellement

embrassés...QU'avez-000s e s'écria-t-elle en ene

tendant nos sanglots, car- l'attendrisse-ment de Bamboche m'avait gaga& Qu'a-

ois? reprit Bmquine agenouilléedevant nous en presmnt ma main etcelle de Bamboche, voua pleurez ?

Oui... nous pleurons... comme tupleurais tout à l'heure, répondit Bambo-che, et es /armes-là font du .

Puis nous étreignant tous deux sur salarge ,paiteine, il s'écria avec un accentque je n'oublierai jamais

Nous ne sommes pm méchantspourtant !

Non... oh !. man, jamais je n'oublieraiavec quelle expression Bamboche pro-nonça ces mets, empreints à la fois de re-pentir do mal qu'il avait fait, y doulou-reuse récrimination contre la fatalité doin qemyriée qui Cavait rfoussé au mal, etd'Iine tendance sincère à rentrer dans lavoie du bien... .

Noua nous- étions- fait 'deux lits de

E rti Di âoc I ta t. iSrt

plreg do g _nt,' a de PYet errata, ta'

Cam/ cl Gal!: y prend/.le/ gainant/. :. Y

LEZATLINO REUNION. Mardi soir à mit hemiesi et demie, grande conférence publique et

contradictoire, donnée par le camarade Er-

ne;','L9EXeLeaLiet.,'Apr.l est fait poue. la contradiction, à

tous les partisans de la laïque et de l'église.Comme ils sont très nombreux dans notre

vinage, nous espérons qu'ils ne craindrontP. dedre leursidé

venies.r

publiquem.t, discuter et dé-fenMIREPOIX.

":,,IérletétPrh"--a mile 10. mairie%Mures.de la dam d/ rassem-

eet annuel.veaux adhérents.

tegeginfar LormuAnniversaame e co mune. Atin de célé-

brer rmniversaire de la Commune et afin d'ex-

rgv.171;:nedi prochain 16 mars une .ntérenee,edu.

611téneeeLsNes prions tous les lecteursdujoenat et toue

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bruyere et de P1011530, Fun pour moi dansla première pièce de la masure, l'autrepour Bmquine et pour Bamboche dans laseconde piece...

Cette nuit-là, Bamboche partagea maconehe après avdir baisé Basmtine aufront, en lui disant

Bonsoir, ma sur.-

Bambouhe dormit peu, je le sentis s'a-giter pendant toute la nuit; plusieurs foisd soupira profondément; à la premièrelueur du crépuscule il m'éveilla. Sa phy-sionomie élut pensive, douce et grave.

Nous entrâmes dans la pièce oit dor-mait encore Basquine; elle avait le som-meil leger comme celui d'un oison. -Ennous entendant, elle ouvrit ses M'andsyeux, et nous regarda, souriante :et éton-née.

Nous sortîmes tous trois.Quelques étoiles scintillaient eneore; le

levant commençait à e'empourprer; l'airétait d'une fraicheur délicieuse; millesenteurs aromatiques s'exhalaient - desherbes baienées de rosée... La matinées'annonçaiedigne de la soirée de la veille.

Enoute, Banquine... écoute, Martin,nous dit Bamboche en nous faisant as-seoir à ses côtés sur mou des blocs de ro-chers qui bordaient la pelouse, il faut quenets parlions franchement, que chacundise son idée sans honte_ nous ne som-mes que nous Bois...

Bmquine ct moi, surpris de l'accent té.rieux de Bamboche, nous le regard:1133PSen silence; il cantine :

POM vous nrcitre b l'a se,,. je vaiscommencer... vous vous moquerez de moiaprès si vous 'roules mais je serai franc.

ai. r-r, rave OlnslrI000. 0000.00mo aIrera tua SC' dv 005,00 au Ça.

TARN-ET-GARON NEiloNTAtisAN.

ARRESTATION. Le nominé F..., âge de31 ans. trouvé dans un état completdfivres-

melleAtPeurembrLddneegués directeur du bureau d'hygiène, avertit

leétrân'gbeir'f'bIl%'febnagraviiiéériett dci 001,10.menses par un docteur de l'Institut (?) dansdes termes qui Missent eroire b une récla-me commerciale Mus qu'à une .vulgarieationutile. Il prot.te contre l'usage fait de son

;à7à.e,"erà....eie,ieep,-,erzs19%eheuse Li /agnelle cette liberté peut donnerlieu.

DOTATION DE LA JEUNESSE DE FRAN-CE. Dimanche 13 ^curant, de 9 heures 910 h. 15, dans la sage des mariages, ancien-ne mairie : Versements, adhésion, remise.de part, dotées.

CASTELEARRAZIN.

.reeogeleregl,-12ae w,g4r.rceJouisse a mouteet, ne' ta sympathie nen/.

rale, et ne none. encore dam aorte popul Mnque des amis; Je tne trompe it compte un enne.tftrlà La Po ité de ce brave homme devait

-sesament p'ou're:7ve:'1rdténeeee-/e dégoût de ctt ar.equ. vous Pren.,..,,.

En VenteAU

" Midi Socialiste ne

POLITIQUEet

SOMMAS e/1Burinas rysecnce Ciembsi

dii Délmiés so la citoyen le0ria, let 26 ieidcsrssesIttel

Réplique de Jaunesà

CLEMENCEAUts Besidi 15 juillet

auaaneareunus000hoCihibbbet

' PETIT MANUEL

Propagandiste Socialiste

il n'est pas d'instrul.ntspropagande qui rendeM de Mué

qn10 la 1000000e.Aie. services au smialLuit

peur le It

otsobilaOhivlOo, é PC ai

..mrnef'éte=gé"_,"ir.r"rdielle'mumeui eu aerna reçut

im arguments et lex indienne.tec,:itjris J.es au gombal de cl.

ce but de perreelDonner la propagande par la

Cfest dans

1,,r,./trefe,etudem:t,111:ntre

a été éérit .%lem, e,clair, de plus préMs, qua la Lifbrande du Partis réuni eu vo-lume les meilleures broelauros

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moquer de toi_ et pourquoi ?. . .

Parce que je caponne... parce que jerenie le cul-de-jatte dont je vous ai tantparlé parce que je me renie moi-même...Mais, c'est élam... faut Parler franee.

Pu. s'adresset à moiFrère, Iota rappelles comment notre

amitié est venue I d'abord leloi roué docoups, tu me les as rendue; je t'ai reprisen traître, lu t'es laissé faire; ça m'a tou-ché_ je t'ai parlé de mon père.

C'est vrai...A/ors ça m'a attendri... tu t'es fourré

dans l'attendrissement.., et dopais, neSavons été frères...

-Oui... et nous le serons toujours...Plus que jamais car je me sens

meilleur que je n'étais... et c'est encore...en me souvenant de mon pauvre père...que ce qui mfarrive... m'est arrivé-

- Qu'est-ce qui l'arrive? demandaBasquine.

Une fois mon parti pris sur le sacde plomb que remplacerait le sac d'or,réponjfit Bamboche, nous avons commen-cé à courir les bois.

ça Va rappMe... ton père... et letenaps 05, 1001 petit, tu bReheronnals aveclui dis-je à.Bambocbe, tu me l'as avoué.

C'est vrai... et depuis ces des joursque nous sommes ici, muls tranquillesdans.ce bel endroil.....travaillant fila terre,ramassant du bois, cueillant des fruits,vivant en paysans. je ne me reconnaisplus_ Pourquoi suis-je oharrpoé?... je n'ensais rien.., niais ça est... Je u ai pas dormide 0501E.. je me suis bien talé, bien fn-terogé, et je m'ai toujours répondu à moi-m'Ame I aRrpulClumfleldomaé pauvrepére;fj'ai Mené une- Cie de guelfx... pane

=e,m1ro80,q0cminuu 0000000

é'n'énéoaté.i:qu'il voudrait itbas rems. seut.

Un gioupg <uni:ohms.

CANTALMAURa.

EXEMPLE A SUIVRE. -- un camarade devin:o. nies in s Prer,

Mésée.l.aUmmrne 'nsnor'tele%

"Céenn'ediére'hitità'énég's'.'

iel7a ïereéeélua'r'eeseettlred:leP.er'meaa'nelendall:,

0 Ce SocistgAr.

vaur'ent « Midi Rectal.: 0.do, ouf an 05maI. menai.50mo 00f, rus rotas. - Note edtler:

'0`,,aporeel:g,laitd'ofiao." 'a" -

revez,,nney. Ir. la 00i,vaches mitées. de a mo fr. amibien.

gais

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la paire: Murveaux de .0

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Adalèièt.ixes, -vont. trompe. va,/ d'realreucue

moi et pour les autres_ fi faut quo çafinis... j'en ai mem.. je n'en veux plus.

Et comme nous le regardions, de plusen plus surpris

vous étonne ?... Moi aussi. Je vousdis ..que jr n'y comprends rien ;,.. mais ce

11 y a de pins stlr, oest que depuisque je n'ai plus sur le dos la Levrasse, lanitre Major, le paillasse et toute la s...6équelle, jc respire à, mon aise, quoiquej'aie, par-ci par-là, le cmur bien gros...parce que.., parce que...

Et, regardant Basquine avec une ex-pressie indéfinissable, 1/ n'actieVa pas.

Puis il reprit, en étouffant un soupirMais, sauf ces moments où j'ai /a

cur gros, je l'ai plein de pat,que je .mmence me dire que cette ca-naille de cul-de-jatte pourrait bien m'a-voir enfoncé ; car cette mut, je me di-sais r o Voyena, Mon pauvre père estmort en travaillant ; toute sa vie, il a euOr la misère, quoiqu'i/ ait été honnête etlaborieux.... Bon, c'est vrai, mais çan'empêche pas que tom les brave,s gensdiraient de lui, avec estime : Pauvre b...,je sais bien que les brigands comme lecul-de-jatte diraient s,.. dupe ! mais per-sonne, ni bons, ni méchants, ne diraitde mon père. Mauvais gueux I

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Itomposé SUr milahltle9 linotypss 31,loir gérant : BRUMES

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ee n'est .un secret pour prisa... cesunne filtre des breettes st se

Mites aux dernières crues:vé, Peau la 31113113e m leLapral craqueta Orea,rartae_

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