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TwinyB.
PruneAgain
Épisode1
NishaEditions
Nisha’sSecret
Copyrightcouverture:AndreyKiselevISBN978-2-37413-249-5
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@NishaEditions
NishaÉditions&TwinyB.
www.nishaeditions.com&www.nishassecret.com
Épisode1
JesuisenfinderetouràLondres.Celafaitquelquesannéesquejen’yaipasremislespiedsetjeneveuxpasquecelas’ébruite.Jen’aipasenviequel’onviennemefairechier.HeureusementqueLillym’asuivie.
Un an, c’est tout ce dont j’ai besoin. C’est le temps nécessaire pour passerma licence en languesétrangères.Jen’aipaslechoixsijeveuxmonmasterparlasuite.Jesuisdéjàbilingueenanglaisetenfrançais,alorsautantmeperfectionnerenespagnoletenallemand.
–Çayestmamoute,tuasfinidet’installer?
Jemetourneversmameilleureamie,monâmesœur:Lilly.Unedéessedusexeetdelanight,commemoi. Notre principal passe-temps, c’est la baise intense et innovante. Nous sommes jeunes,mais paséternelles.Etcommenousn’avonspasenviedemouriridiotes,nousdécidonsd’enprofiter.
–Prune?Tudécèdessurplaceouquoi?–Ouais,c’estbonmagrosse,toutestrangé!Ettoi?
Jelaregardebrandirfièrementunebouteilledevodkaetdeuxverres.
–Onvafêternotrelibertélondonienne.–J’aimequandtonpetitculadebonnesidées,lancé-jeamusée.
Nousnousaffalonstouteslesdeuxsurlecanapé.Notreappartementestunlogementmeubléd’étudiant.Riendejouissif,maisaumoins,jen’aipasmoninsupportablesœurcolléeaucul.Iris,monaînée,passesesdernièresépreuvesdemédecineet serabientôtune jeuneobstétriciennespécialiséeengrossesseàrisque. Elle est déjà en couple – limite mariée – et maman… Autrement dit, elle n’a pas peur del’engagement.Beurk…Laissez-moivomir,bordel.Qui,denotretemps,croitencoreàl’amour?
–Tuasvulevoisindepalier?Unvraicanon.J’aisentiqu’ilsepassaitquelquechose.
OK,Lillyestuneexception.Ellecroitrencontrersonprincecharmantenchaquemecbeaucommeundieuousimplementbaisable.
L’espoirfaitvivre!
–Tuveuxdirecommeceluiquiamissaqueuedanstabouchehiersoir?
–Salope!lâche-t-elleensouriant.–Pétasse!rétorqué-jeenlevantmonverre.
Nouséclatonsderireettrinquonsànotreannéedédiéeàladépravation.J’adorefairelafêteetvivreàfond. Aucune règle, aucune limite. Seulement, j’ai besoin de mes diplômes afin d’être complètementindépendante.Jeneveuxriendevoiràpersonne.
Celafaitquelquesjoursquenousavonsemménagéetlescartonssontenfinvidés.Quelmerdieràtoutranger…Cen'estpasquelaCôted’Azurvamemanquer,seulementj’yavaismeshabitudesetlesoleilsefaitdiscretenAngleterre.JevivaisàSaint-Tropezdepuisquelquesannées,suiteauputaindegestedemonpaternel : son suicide…Et la loi exigeaitquema sœuretmoi,nous suivions lapersonnequi estcenséenousservirdemère.L'uniquechosepositivequem’aapportéelaFrance,c’estmameilleureamie,Lilly.
Les heures défilent et le niveau de la bouteille descend vite. Je peux sentir le feu dansmes veinesatteindremessynapsesetlesbaiserdélicieusement.Monétatsecondapparaît:lemeilleur.
–Etsionsortaitrencontrerlesvoisins?bafouillemadinde.–Qu’est-cequ’onenaàfoutre,sérieux?–Allezmapatcholeadorée,j’aienviedemefairelimermoi…déclare-t-elled'unemoueboudeuse.
Jenepeuxpasm’empêcherde riredevantcette tête.Quellechaudassemaparole.Celadit,unpetitorgasmeneseraitpasde refus.Çanecoûte riend’allervoir lachair fraîcheque l’immeublepropose,aprèstout.
T’ascruquet’allaisfairetescoursesausupermarchéouquoi?
Jedonneuncoupdetêteetunebalayetteàmaconnassedeconscience.Fauttoujoursqu’ellecommentemapetiteviedèsqu’untrucneluiconvientpas.
Lillytentedebondirtelleunefélineducanapé,seulementelleressembleplusàBambiquiessaiedemarchersurunlacgeléqu’àunelionneenchasse.
–Tucroisquetuvasleverlaqueueduvoisinavectadémarchesexy?memoqué-je.
Ellesetourneetseredresseenadoptantlaposed’unefemmefatale.Sesmainssoulignentlesformesdesoncorpstantaduléesparlagentemasculine.
–Avecça,darling,personnenemerésiste!
J’éclatederireet fonceaux toilettesavantde traînermacarcassedehors.Jesuisassezcraintivedel’étatdesWCchezlesautres,surtoutlespersonneschargéesentestostéronequinesaventpasviseravecleurrobinet.Petitpassageégalementdanslasalledebainpourmelaverlesmainsetarrangermagueule.Jesuiscanon.Jenesuispasdugenreàm’encacherpour réconforter lesautres.Certainsn’ontque lecerveau,d’autreslecorps.Ehbienmoi,j’ailesdeux.
Mescheveuxblondscaressentl’arrièredemesépaules.J’admiremesquelquestatouages,maissurtoutmonpetitdernier:deuxailesornentàprésentl'ensembledemondosetexprimentmonbesoindeliberté.Jerêveraisdepouvoirm’envoleretfuircetteviepathétiquequej’aidepuisgamine.Simoncondepèreavaiteuplusdecouilles…Maisnon,luiétaitfaibleetégoïste…Nonseulementilnousaoffertuneimagedes plus sanglantes à la découverte de son corps,mais il nous a abandonné dans les griffes de notresorcièredemère.Elles’esttoujourspluspréoccupéedesonculetducomptebancairedesesvictimesquedesa famille.Masœurm’apratiquementélevéeet je luiensuis reconnaissante,mêmesiellemesaoulesouvent…AvecLilly,ellesreprésententcequenouspourrionsnommer«mafamille».
–Jesuisentraindememomifier!Tutesecouesleclito?pesteLilly.
Jelarejoinsenrécupérantmesclopesaupassagelorsquemontéléphonesonne.Irisn’apasarrêtédemetéléphonercesdernierstemps,maisjen’aipasenvied’entendre:«Faispasci,faispasça…»Jemepenche tout de même sur l’écran et vois le nom qui me fait remonter la bile dans la seconde :« Génitrice ». Elle peut se gratter l’oignon, avant que je daigne lui donner demes nouvelles. Elle asûrementbesoindepasserpourunemèreexemplaireafind’amenerdanssesfiletssanouvelleproie.
JepassedevantLillyquiarrangesalonguechevelureauburn.Ellen’arrêtepasdechangerdecouleurdecheveux,dubleuauviolet.Unjour,ellefinirarouge…
–Onvaapprocherlemillièmehommedetavie!lancé-jeenriant.– On verra ta tronche lorsque tu vas l’examiner. Surtout son jeans qui laisse peu de place à
l’imagination!–Jedemandequ’àvoir…
Jeclaquelaported’entréeetglisselaclefdanslapochearrièredemonpantalon.Lebruitquiprovientdetouslesappartementsrésonnedanslescouloirsetnousapprendquel’immeubleestremplidefêtards.Tantmieux.Avecnotrechance,nousaurionsputomberdansuneconfrériedegeeks…Quoique,ceseraitsympadebaiserunpuceau.Toutluiapprendreetenfaireunebêtedesexe.Hum…
–C’estlà!Enfin,jecrois…–Tutefousdemagueule?Bordel,Lilly!T’asunsacrécerveaudepiaf.
Jelapousseetcognefortsurlepanneaudebois.Aupire,mêmesicen’estpaslàquesecachesonblond,ildoitbienyavoirdelaviandefraîchederrièrecetteporte.Tantquec’estcomestibleetquejeprendsmonpied, jemefousdu reste.Lorsque laportes’ouvre, je tombenezànezavecungrandaux
cheveuxchâtainetyeuxbruns.Jesuissiprèsquejepeuxdistinguerdeséclatsdorésaucœurdesesiris.Sonhaleinecaressemapeauetsonairhébétém’amuse.J’aimedéstabiliserlesmecs.Laplupartnepensequ’avec l’extrémitéde leurqueue.Certainesnanas sedamnentà leurspieds,maismoi, c'est l'inverse.J'aimeavoirlepouvoiretquepersonnenemedictequoifaire.Jeleurdemandejustedemefairejouir.Jemefousroyalementduresteetenparticulierdesdétailssurleurvie.
Notre voisin passe samain dans sa tignasse. Je l’observe, car tout lemonde sait ce que l’on dit àproposdesmains…
–Salut,nouslance-t-ilenhaussantmalgrétoutunsourcil.
Hum,rienquesavoixréveillemapatchole.Ilnel’entendpas,maisellemiauledéjà.
–Euh…Jecroisquejemesuisplantée,Prune.–Putain,Lilly!T’essérieuse?–Benmoi,c’étaitunblond…grimace-t-elle.
Je lui lanceunregard luisignifiantque je luidonneraisbienunefesséemonumentale,mais jene luiferaipasceplaisir.Jesaisqu’elleyprendraitduplaisir,cettepetitedépravée.
Jemetourneverslaviandefraîche.J’aisoudainementenviedevoirsatêteentremescuisses.
–Iln’yapasunblondquivitavectoi?–Euh…Si!André!
Ilpivoteethèlesonami.Lorsque l’adonisBritish apparaîtdansmonchampdevision, je sensdéjàLillyentraindemouillercommeunesalopederrièremoi.Sespetitsgémissementsmeconfirmentqu’ilestbiensaproie.
–Salut,jolievoisine.Tum’asenfintrouvé!lance-t-ilensouriantdetoutessesdents.
Certes,ilestbaisable,maissonassurancedébordantemedonneenviedelefrapper.Avantquejenepuissel’ouvrir,madindemepassedevantpoursefrotteràlui.Ellemetue…Pendantquenosamissedirigentversl’intérieur,monpossiblecoupdusoiretmoirestonsdansl'entrée.Ilseraclelagorgeetmetendlamain.
–Moi,c’estLogan!–Prune!Tum’invitesàentrerouons’occupesurlepaillasson?
Son petit ricanement me plaît bien. Il n’est pas farouche, mais il ne se la raconte pas comme son
copain.Toutcequej’aime.Jetentederécupérermamain,maisillaserrepourlagarderdanslasienne.Ilfermelaportedupiedetmetiredanslecouloirquimèneausalon.MaLillyadéjàsonpetitculsurlesgenouxde l’autreetelle ronronnecommeunechatteenchaleur.Je remarquequ’ilsontunappartementsimilaireaunôtre.Ladécorationest typiquementmasculine,mais j’aperçoisuncoinbibliothèquebienfournienvieuxouvrages.
–Unebière,çateva?–T’aspasuntrucplusfort?J’aibesoinderéchauffermongosier.–Whiskyouvodka?–Tumeplaisdéjà,situasmameilleureamieaucongélateur.
Il sourit et fonce dans la petite cuisine pourme servir un verre. Je le suis avant qu’il ne fasse uneboulettequigâcheraitlesbonspointsqu’ilvientdegagner.Genre:coupermaboisson!
–Tuveuxquoidedans?Sodaoujus?–Desglaçons!–Engénéral,lesfillesaimentbiencouperleuralcool.–Tuapprendrasquejen’airienàvoiraveclesnanas«engénéral»!souligné-je.
Sabouches’étireetdéclenchedesintempériesentremescuisseslorsquesalanguepassedélicatementsursa lèvre inférieure. Impossibledenepas loucherdessus.Nousparlonsunpeumais,commeàmonhabitude,jerépondsbrièvement.Sijeveuxparler,j’iraivoirunpsy.Lamusiqueenfond,danslesalon,estassezsupportable,mêmesicen’estpasmatassedethé.Nousrejoignonsnosamisetnousremarquonsqu’ilssontdéjàenexplorationdufonddeleurgorge.Dégueulasse.Cetéchangesalivairemedonneplusenviedevomirqu’autrechose.Laseuleboucheàavoirtouchélamienne,c’estcelledemaLilly.Cen’estpasmondada.Çademandetropdesentimentscebordel.Labaise,iln’yaqueçadevrai.
Logansouritensecouantlatêtefaceauspectaclequinousestdonné,puisils’assoitetmefixe.
–Quoi?–Tuveuxqu’onlesimite?–C’estpasdansmabouchequejeveuxtalangue,monmignon.
Je lui faisunclind’œil enportant le feude lavodkaàmes lèvres.Le liquidedévaste tout sur sonpassage,laissantuneempruntedélicieusedebrûlure.Divin.Sonairsurpris,maisenappétit,meprouvequejel’aiferré.
Prune1–Logan0.
–Tun’espasdugenreàyallerendouceur.
–J’aimequandc’esttoutsaufdoux.Ettuasplutôtunebellegueule,quinemelaissepasindifférente.
Ilseredressedufauteuiletprendmamain.Ilcaressedoucementmapaumeetjesaisque,cesoir,j’aideschancespourjouir.Jeplongemonregarddanslesientoutensavourantmonenivrantevodka.Plusjeboisetmoinsjepense.Parfaitpourmelaisservoguersurlesvaguesduplaisir.
–Tucomptesmefrôlerlamainlongtempsoutum’emmènesdanstachambrepourpasserauxchosessérieuses?leprovoqué-je.
Logansemetdeboutetseplacesiprèsdemoiquejepeuxsentirsonodeuràfairepalpitermaficelledestring.Jefroncelégèrementlessourcilslorsquesonpouceeffleuremajoue.
–Tusaisjenesuispaslegenredemecàrappelerlanana.Tudevraisteméfier.
Non,maisilestsérieux?Ilestpersuadéquejesuisunedecesgreluchesquiharcèlentlestypespourdétruiremavieetmonindépendanceparlamêmeoccasion.
Jesourisdetoutesmesdentsetledévoredesyeuxafindeluimontrerquelemenumeplaîtbien.Lesgémissements venant du canapé ne nous aident pas. Enfin, surtout moi. J’en peux plus, bordel. Si çacontinue, Lilly prendra son coup devant moi alors que je n’aurai que mes doigts. La main de Loganagrippemonpoignetetilmetireversuneporte.
–Viens!Onseramieuxici,aveclepornoquisepréparesurlecanapé,déclare-t-iltoutsourire.–Jeconnaisleculdemacoloc’etlaqueuedetonpotenem’effraiepas.–Ouais,ehbienjen’aipaspeurnonplus,maisjepréfèreéviter.
Je remarqueque sa chambreest rangée,plutôt rarepourun typede sonâge.Çaendit long sur sonhygièneetçamedonned’autantplusenviequ’ilglissesalangueenmoi.
Commesic’étaitlalanguequetuvoulaisqu’iltemette.Dis-le,quetuveuxsaqueue!
J’ignoredameconscience,depeurdepasserpourune folle à lierqui luibotterait le cul à coupdebarredefer.
Jeviremespompesetgrimpesursonlitremarquablementbienfait.Jelefixeet,demonpetit indexmanucuré,jeluifaissignedevenir.Sonsouriredonneraitletournisàn’importequellegrelucheanglaise,maismoijeveuxsimplementqu’ilfassedanserlapolkaàmachatteenchaleur.
–Tuestrèssexyetj’aienviedetefairetoutuntasdetrucs,annonce-t-ilens'approchant.–DétailleleprogrammeTValors,sinonjerisquedem’endormirsitunet’agitespaslafrite.
Lematelass’affaisseetsonrireestunedoucemusiqueàmesoreilles,maismoijen’aipasqueçaàfoutre. Jeglissemesmains sous sonhaut, presséedevoir lamusculaturequi sedissimule là-dessous.Pourmonplusgrandplaisir,sontorseestparfaitementdessiné.Unefinelignedepoilssombresparcourtsonventreetentouresonnombrilpourm’indiquerlaforêtquicontientl’arbreàorgasme.Jeplantemesdeux incisives dans ma lèvre inférieure pour lui montrer mon appétit. Sa main puissante m’électriselorsqu’illaposesurmajoue.Puiselleglisseetsefaitplusfermesurmanuque.Lorsquesajolieboucheprometteuses’approchedangereusementdelamienne,jepenchelatêtedecôtéafindeluioffrirmoncou.Encoreunefois,s’ilcroitfourrersalangueailleursquedansmachatte,ilsemetledoigtdansl’œil.Jefermelesyeuxetmedélectedelasensationmerveilleusedesesbaiserssurmachair.C’estcommeunembrasementquiimpactedirectementmacraquinette.Jefondscommebeurreausoleiletsuissurlepointd’inondersonlitsijenepassepaslaseconde.Jem’écartedeluiletempsdevirermonhautetsafaçondelouchersurmesseinsmeplaît.Monsoutien-gorgesuitlemouvement,carjeneveuxaucunbarrageàmonplaisir.
–Tun’espasdugenrepudique,susurre-t-il.–Vumoncorps,ceseraitdelaconnerie,non?
Seslèvresesquissentunsourire.Quandilrevientàlacharge,jemetsleschosesauclairavantqu’ilnemechiedescoconutsàtoutboutdechamp.
–Jebaise,maisjen’embrassepas.Lesseuleslèvresquetugoûterassontcellesdubas.
Menantlegesteàlaparole,jetiresurlesboutonsdemonpantalon,maisilmetientlespoignets.
–Tun’esvraimentpascommelesautres,maisjenevaispasm’enplaindre.Pasdechichiromantique,justedusexe.–Jesavaisqu’onparlaitlemêmelangage,lâché-je,satisfaite.–Seulement,c’estencoremoiquiailaqueue,alorslaissemoifaire!
Prune1–Logan1
Je lève lesmains en l’air en signed’accordet l’observevirer ses chaussurespuisdéboutonner sonpantalon.Ungenouentremesjambes,ilm’obligeàm’allongercomplètement.Jesoulèvemonbassinafindevirertouttissucompromettantmapartiepréféréedujeu.Sesdoigtssoulignentchaquecourbedemoncorps, provoquant un délicieux frisson qui suit leur trajectoire. Je gémis en mordant ma lèvre et metortillesoussescaresses.Ilremonteetrôdeentremesseinsrondsetfermesd’excitation.Salanguetitillel’und’eux,lapointedresséepourlui.Illamalmèneetlalèchepourapaiserlamorsurequ’ilm’ainfligéeet quim’a faitmouiller comme une chaudasse. Il reproduit lamême torture divine au jumeau tout enpressantsaqueuecontremafente.Letissudesonjeanscompriméprovoqueunesensationagréable.Mesdoigtsseperdentdanssatignassedorée,doucecommeunepeluche.
–Tapeauestsucréeetenvoûtante,souffle-t-ilentredeuxcaresses.–Ettun’aspastoutgoûté,leprovoqué-je.
Ilseredressepourseplongerdansl’océandemesyeux.Lessienssontenflammésdedésiretj’aimeça.
–T’inquiètepas,j’aicomprislemessageettapetitechatteneseremettrapasdemavisite.–C’estunepromesse?–Justeuneinformation,mabelle.
Sa tête plonge et disparaît entre mes cuisses. Je me laisse aller, mais il se joue encore de monimpatience. Il laissedepetitsbaisersetmorsuressur lachairentourantmafente. Je ruisselle,ne tiensplusetgrognedefrustration.Sonsourirecontremapeaumedonneenviedeletuer,maisjetireassezsesmèchespourlemenerlàoùj’enaibesoin.LescrisdeLillynousfontcomprendrequ’àcôtéilssontdéjàpassésàl’essentieletjeraged’autantplusquenoussommestoujoursàprendrelethéaveclareinemère.Jem’apprêteàl’envoyerchierouluisecouerleprunier,maisjemereprendsdèsquejesenssalanguetantattendue.
–Hum…
Lachaleurquienglobelamoiteurdemeslèvresesttellementbonne.Iltourneautourdemonclitorisdansunlégereffleurementpourensuitel’aspirer.Ilréitèresongesteplusieursfoisetlefeuquiembraselesveinesdemonpointsensiblecirculedanslatotalitédemoncorps.
Lillymefaitchieràhurlercommeunetruie,bordel!
–Putain,ilsfontchier!craché-je.–Attends,j’aiuneidée.
Je le regarde allumer la chaîne Hi-Fi et monter le volume pour recouvrir tout bruit dérangeant. Àgenouxdevantmoi,lamoitiéduvisagebrillantdufruitdemonplaisir.
–Jeretournesavourertonpetitabricot.
Il écartemes lèvres de ses doigts et sa langue longe la fente de haut enbas.Depetitsmouvementslinguauxfontvibrerlesmusclesdemescuisses.Unemaindanssatignasse,l’autreagrippéeaudrap,jemeprépareàembarquersur«orgasme-airlines».
–Putain,Logan…–T’aimesquejetelamange,murmure-t-ilentredeuxcaressesdesalangue.
–Tagueule!Continue…
Lesgémissementsquim’échappentressemblentàdesfeulementsdesatisfaction.Ilaspire,mordilleetlapesimultanément.Unparfaitcombopourunboncunni.Lorsquemonclitorissegorgedesang,gonfleetseprépareàm’éparpillerunpeupartout,jesenssondoigts’immiscerenmoi.Jemecambresouscettedanseparfaite,surledéclencheurdemaperdition.Jefermelesyeuxsouslapuissancedesspasmesquiprennentlecontrôledemoncorps.Jesuisemportéeavecforceparlatornadeorgasmiquequisepropageàl'intérieur.Lebrasierfaitcrépiterl'ensembledemesmembrestantc'estdivin.
–Bordel,oui…
Totalementdans lesvapesentre lavodkaet lespalpitationsdemonsexe, je sensqueLoganbouge,maisjegardelesyeuxferméspourmedélecterdecetteexplosion.
–Putain,tuessibandantecommeça.
Àtraverslalignedemescils,j’observelabeautédemonvoisin.Jesaisdéjàque,s’ilestmalin,nouspourrons renouveler ces soirées,oumatinées,peu importe. Il adéjà retiré son jeanset fait suivre sonboxer,libérantuneérectiondesplusappétissantes.Laveinegonfléequilongesonsexemedonneenviedepassermalanguedessus.Jeluitendslamainpourqu’ilm’aideàmelever.
–Tucroisalleroùpoupée?–Ferme-la,Casanova,jeveuxjustefaireconnaissanceavecmanouvellecopine.
Je le pousse sur le lit, et le force à s’asseoir sur le bord. Jeme place à genoux entre ses jambesmusclées.Mesmainslespalpent:ellessontfermes.Jelaissecourirmesdoigtslelongdesahampe.Jepassemalanguesurmalèvrefaceàceglandrose.Jecommenceparunecaressed’avantenarrièresansserrer, justepour sentir ladouceurde sonérection,quim’estdestinée. Il caresse leboutd’undemesseinsainsiquemescheveux.J’approchemabouchedecettesucetteXXLetleboutdemalanguelongecetteveinequipulsededésir.Lerâlequigrondedanssagorgeaccentuelapressionentremescuisses.Jeleprendsentremes lèvreset l’amèneauplusprofondpossible, toutendouceur. Jesouhaiteseulementmesurercequejeparviensàavaler.Commejelepensais,jenepeuxpasallerjusqu'aubout.Tapantaufonddemagorge, jesenssesdoigtsseresserrerautourdemachevelure.Jele libèreet joueavecsonbout,laissantmasalivelubrifiercetteénormequeue.Jelemasturbeenmêmetempsquejeluipompeledard.Jenevaispasvite,carjeveuxqu’ilmebaiseaveccemembrecolossal.
–Tuneveuxpasembrasser,maistaboucheestdivine,soupire-t-il.
Prune2–Logan1
Jelèvelesyeuxverslui,essayantdesourire,maismaboucheestdéjàbienoccupée.L'accélérationdesa respiration, ainsi que ses muscles bandés sont l'indication du plaisir que je lui procure. Des
grondementss'échappentdesapoitrineetçam'excitetellementquejesensmonsexebaverlelongdemacuisse.
–Fautquejetetouche,poupée.Vienssurmoi.
Ils’allongeencoretouttremblant,tantl'envieestprésente,etm’indiquequ’unpetit«soixante-neuf»estderigueur.Mesgenouxdechaquecôtédesatête,jeparsèmedebaisersmouilléssestablettesetjouedemalanguejusqu’àsaqueue.Sesmainsempoignentmesfessesetlesécarteafinquemonsexeluisoitplusaccessible.
–Ohputain,poupée!T’estrempée!
Jegémis, labouchepleine,maispousseuncriétouffélorsqu’ilmeclaquelecul.Putain! Ilade lachancequemonenviedelebaisersoitaussiforte,sinonc’estsagueulequejevaisclaquer!Lorsquejesenssamains’éloignerdemachairendolorie,jerelèvelatête.
–Jenefrapperaispasmonculàtaplace,surtoutlorsquemesdentssontsiprèsdetaqueue.–Cool,latigresse.Ilsuffitdedirequetun’aimespas.
Biensûrquejen’aimepasça.Laviolencen’estpasunplaisirpourmoi.
Saufquandtuasenviedetuerunmecsexyetqueçafinitenbaisesauvage.
Pourunefois,jeneclaqueraipaslebeignetdecetteconnedeconscience,carellen’apastort.Maislui, ila interdictiondemedonnerdesfessées.Nousn’avonspasélevélescochonsensemble.Nousnenousconnaissonspas.
–Situcontinues,jenepourraipasdurerlongtemps,poupée.
Jem’écarteetilouvreuntiroiroùsetrouveuneboîtedepréservatifs.Ilportel’emballageàsaboucheetlibèrelelatexpourledéroulersurmanouvellecopine.Jelechevauche,dosàlui.Ilplacesonglandàl’entréedemonvaginetjemelaisseglissersurlui.Jepeuxsentirl’épaisseurdesahampeécartermeschairs.Unrâles’échappedesabouche.Jegémisetlaisseletempsàmapetitechattedes’habituer,carputain,ilestimposant.
–Tuestouteserrée.
Jecommenceàremuermonbassind’avantenarrière.Sesmainssurmeshanchesmedonnentlerythme.
–Hum,Logan…Taqueue,bordel.
–Tul’aimes,hein?–Tagueule…Baise-moifort.
Ilagrippemeshanches,mesoulèveetmelaisseretomberdansunclaquementquimecoupelesouffle,maisc’estbon,sibon.Toujoursàcalifourchonsurlecorpsdemonbellâtre,luioffrantunemagnifiquevuedemacroupe,jeplacemespiedsdefaçonàêtreaccroupieetmènelacadence.Machatterebonditsurses testicules.Ilgrommelledes jurons incompréhensibles,maisquiferaientvibrern'importequellenana.Jesenslavaguedechaleurm’envahiràchaquefoisquesonglandtapeaufond.Jebasculematêteenarrièreetprendsappuid’unemainsursacuisseetl’autresursontorsederrièremoi.
–Hum…Oui…gémis-je.–Jeveuxtevoir,Prune.
Accompagnantsesmots,ilmesoulèveparlatailleetmecouchesurlematelas.Sesyeuxsontbrillants,nosrespirationssaccadéesetnoscorpsfébriles.Ilmepénètrefort,mevolantuncri.
–T’aimesça,hein?–Oui,vas-y…Défonce-moi!
Il soulève l’une de mes jambes de façon à ce que mon bassin l’accueille plus en profondeur, nosvisagesproches.Jepeuxsentirsonsoufflecaressermapeau.Sesyeux,remplisd’éclatsd’or,ressemblentàunfeudontlesflammesdansent.Satêtedansmoncou,ilmepilonneavecferveur.Marespirationestirrégulière tant la puissance de ses coups de reins sont agressifs. J’enfoncemes ongles dans son dos,sentantchacundesesmusclesenaction.
–Putain,t’essibonne.–Vas-y…Çavient.
Eneffet, le volcanqu’il venait de réveiller au fonddemoi commence àbouillir.Le sangdansmesveinescrépitetellementquejepeuxentendrelesbattementsdemoncœuraucreuxdemestempes.Ilseredresseetglisseunemainentrenousafinde taquinermonclitoris, aumême rythmequesaqueuememartèle.Lorsquesonpouceetsonindexlepincefort,jememordslalèvre.
BORDEL!
–C’estça,Prune.Jouis!
Ilrecommenceetjesuispropulséedansunautremonde,remplid’étoiles.
–Oui…crié-je.
Logan2–Prune2
Je peux sentirmon corps entrer en lévitation etmon fourreau emprisonner sa queue.Mes lèvres serefermentautourdecelle-ci,l’aspireetluivoleungrognementviril.
–ARGH!
Onnebougepresqueplus.Totalement en transe, nous savourons cemomentdémentquenous avonsvécu. Il embrasse ma clavicule en remontant dans mon cou pour finir derrière mon oreille. Sa maincaressemacuisseet jesensquejemedétendsentresesjambes, luipermettantdeseretirer.Unemainappuyéeàcôtédematête,ilm’observe.Jeluisourissatisfaitedecettebaised’anthologie.Ilfaudraquejeremerciemadindedetomberamoureusedetouslesvoisinsqu’ellecroise.
–T’esincroyable,mabelle.–Onmeleditsouvent.
Jeluiclaqueleculpourqu’ilsepousseetjemeredresse.
–Jerêveoutuviensdemefilerlafessée?demande-t-ilamusé.–Jet’endevaisune,monmignon,m’amusé-jeenmelevant.
Jeparcourslapièceàlarecherchedechacundemesvêtementséparpilléssurlesol.
–Qu’est-cequetufais?–C’esttoutcon.Tuprendsleshabitsettulespasses.Ças’appelle«s’habiller»etc’estplutôtsympa
commejeumêmesise«déshabiller»estplusintéressant,memoqué-je.
Ilattrapeundesesvêtementsets’essuielaqueueavantderemettresonboxeretdejeterlacapote.Samainattrapemonpoignetetmevoilàpresséecontre son torse recouvertd’une finepelliculede sueur.Plutôtsexyletype,mêmetouttranspirant.Sondoigtsousmonmenton,ilmeforceàletoiser.
–Jenet’aipasditdepartir.–Écoute,c’étaitsympa,maisblablateraprès lecul,cen’estpaspourmoi.Onabaiséc’étaitsuper,
maisçanevapasplusloin.
Jeluilanceunbeausourire,sincèremême,carjeneveuxpasperdreunbonplanculprèsdechezmoi.Jecontinuedem’habillerenvitesseetenfilemespompes.
–Jevaisterevoirquandmême?
–Logan,jesuistavoisine.Unpeucontaquestion,non?
Ilmeplaquecontre lemuret s’approchedangereusement. Jeplacemongenoude façonàm’assurerqu’ilnefassepasdeconnerie.Sonsouffleagréablecaressemeslèvresetsesdoigtssoulignentlecontourdemamâchoire.
–Tusaistrèsbiendequoijeparle…
Cettevoixvirilemedonneenviederemettrelecouvert,maismachatteadéjàbienmorflépourcesoir,alorsjevaisêtreraisonnable.
–Biensûrqu’unjouronbaiseraànouveau.C’étaitplutôtcool.–«Cool»?
Jelerepousseetfinisdem’arrangerdevantlemiroirdesonarmoire.J’aiunecoupedecheveuxquemêmeTinaTurner jalouserait. Putain, il a foutuquoi avec ?Paie ta galère à tout démêler.Sonbassincontremesreins,ilpassesesbrasautourdematailleetembrassemoncouenmurmurant.
–Tuessûrequetuveuxpartir?–Vouslesmecs,vousêtestouspareils.Jeseraisrestéeàmelovercontretoi, tuauraistoutdesuite
flippéetlà,alorsquejeveuxmebarrer,çat’excite.
Samainplongedansmonpantalonetcaressemonclitorisencorechamboulé.Malgrémoi,jepousseunsoupirenappuyantmatêtecontresontorse.
–Regarde-toi,poupée.Tuenasenvie.
Sesdoigtspianotentmerveilleusement.J’écarteunpeulesjambespourluioffrirunmeilleuraccèsetm’accrocheàsescuisses.Ilmordillemonoreille, jouedesalangueenmêmetempsquesesdoigtsmetorturent.Seulesnosrespirationsetmesgémissementsaccompagnentlamusiquedelachaîne.
–Bordel,poupée.Tuessiréceptive.
Ilaraison…Jesensdéjàlescontractionsdemeslèvres.Jesensquejevaisjouirautourdesesdoigts.Latorturequ’ilexécuteaussisousmonoreilleestjusteincroyable,bonsang!Mesjambesdeviennentcotonneusesetjem’appuiepluscontrelui.Saqueuedanslaraiedemesfessesgonfleégalement.J’ouvrelesyeuxetdécouvremonreflet.Jesuistotalementexcitée:mesjouessontroses,mesyeuxbrillantsetmabouchesetordsousleplaisir.
–Ohputain,oui…
Jejouisunenouvellefoisendouceurcontresesdoigtsmagiques.Jemelècheleslèvresetmeressaisispetitàpetit.Jemetourneetbaisesontorseenguisederemerciement.Jemehissesurlapointedespiedsetluiembrasselajoueduboutdeslèvres.
–C’étaitsympa.Ons’appelle.–T’essérieuse,tuvasmelaissercommeça?–Jen’airienfaitmoi.Cen’estpasdemafautesit’esdanscetétat.
Je vérifie que j’ai bien tout lorsqu’on tape à la porte. Je tourne le verrou et ouvre sur Lilly, quim’annoncequ’ellerentre.
–Jeparsavectoi.
Loganmetireparlamainetdemandedeuxsecondesàmagrosseenrefermantlaporte.
–Donne-moiaumoinstonnuméro.
Jemedirigevers sonbureauetgriffonnesurunpetitboutdepapiermescoordonnées. Je luiglissedanslamainetluicaressesesjoliespetitesfessesaupassage.
–C’étaitplutôtcool.Mercipourlebonus,ajouté-je.
Prune3–Logan2
Jesorsenrigolantlorsquejelevoisgrogneraumot«cool».Lesmecsetleurego…Ilsnevalentpasmieuxlesunsquelesautres.Loganfaitpartiedelacatégorie«dieudupieu»putain,maisjeneluidiraijamais.Çalepousseraàsesurpasserlaprochainefoispourmonbonplaisir.
***
Lillyetmoirentronscheznousetjemelaissetombersurlecanapé,totalementvidée.
–Putain,mamoute, jecroisque jesuisamoureuse.Jesuissûrequec’est lebon.Onestenparfaiteosmose.
Jepouffederirefaceàmadindeetluilanceunoreillerenpleinetête.
–Bordel,Lilly!T’asbaiséunefoisavec.Tuneleconnaismêmepas.–Onaparléunpeu,boude-t-elle.
–Ahbon?Carvousvousêtesviteléchéslapoireetjet’aiplusentenducrierqueparler.
Ellemeregardeencoinetnouséclatonsderire.Lillysecollecontremoietonsecâlinesurledivantouteslesdeux.
–Ettoi,aveclecoloc’?–Loganestunboncoup.Jelegardesouslecoude.–Ilestmimitoutplein,lance-t-elleavecunsourire.–C’estducul,Lilly.C’esttout.
Elleselèveenpoussantunlongsoupir.Jesaisquenousnesommespasenphaseàcesujet.
–T’esunefrustréedelalife.Faudraitquetuouvresautrechosequetamoule,Ginette!
Jeme lève àmon tour etme dirige versma chambre pourme coucher tout en prenant soin de luirépondre.
–J’ouvredéjàlesportesdemachatteetc’estsuffisant.Bonnenuit,magrosse.–Bonnenuit,la«pasrigolote».
Jeluijetteundernierregardetaperçoislemajeurqu’ellebranditdansmadirection.Jeluirépondsdelamêmefaçon,toutenluienvoyantunbaiser.Tropépuisée,jemedébarrassejustedemespompesetmelaissetombermollementsurmonlit.Jesuisvidée.CepetitLoganvamefaireaimerl’Angleterres’ilmefaitgrimperde lasorteentredeuxrévisions.Vive lepaysdesBritish.Monsmartphonesonneetvibrecontremafesse.Ilmerestesuffisammentdeforcepourl’extirperdemapochearrièreetleplacerdevantmabougie.C’estunnuméroquejeneconnaispas.Jefaisglissermonindexsurl’écran.
Numéroinconnu:[Appelle-moiàn’importequelleheuresurcenuméroetjem’occuperaidetapetitechattedélicieuse.Logan.]
Pruneremportelematch!
Je souris et pousse mon téléphone pour mieux m’allonger. Un rosbif dans mes filets. Qui sera leprochain?
Enattendant,jemelaissesombrerversunenuitréparatrice.
Collection«Nisha’sSecret»
Obsessionsinsoumises,Mael–AngelArekin
Obsessionsinsoumises,Rory&Max–AngelArekin
Obsessionsinsoumises,Yano–AngelArekin
Àpleinesmains,Elsa–EvadeKerlan
Dévorerduregard,Milia–EvadeKerlan
Irrésistible,Natalia–EvadeKerlan
Semettreauparfum,Josh–EvadeKerlan
Frissonsdenuit–CindyLucas
Joueaveclefeu–CindyLucas
Pactesensuel–CindyLucas
Ungoûtd’interdit–CindyLucas
Déclencheurdeplaisir–TwinyB.
L’artiste–TwinyB.
Orgasmesnocturnes–TwinyB.
Plaisirsmasqués–TwinyB.
Collection«DiamantNoir»
Lachute,saisons1et2–TwinyB.
Nerougispas–Lanabellia
Collection«Glamouretsuspens»
MisterWilde–EmmaLoiseau
EmmaWilde,saison1et2–LouDuval&EmmaLoiseau
RugbyBoy,saison1et2–LouDuval,
Phoenix–EmmaLoiseau
Alia,lesvoleursdel’ombre–SophieAuger
CollectionCrushStory
Shine&Disgrace-ZoéLenoir
LoveonProcess–Rachel
Legoûtduthé,celuiduvent–EveBorelli
HollywoodenIrlande–ElisiaBlade
Séduire&Conquérir–ElisiaBlade
Journald’ungentleman–EvadeKerlan
Collection«l’héroïne,c’estvous!»
LaLunedemieldeSarahTrace–DynaAvril
Backtoschool–DynaAvril