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1 UE ÉVALUATIO DE LA OUVELLE VERSIO ITERATIOALE (A EVALUATIO OF THE EW ITERATIOAL VERSIO) Le livre du défunt prédicateur : M. Foy E. Wallace, fils Traduit par : M. Denis Tarko « Examinez ou éprouvez toutes choses… » ‒ 1 Thessaloniciens 5, 21 ‒ Une nouvelle génération qui vienne juste de grandir en devenant homme et femme a besoin de la compréhension érudite biblique de Foy E. Wallace, fils. ‒ Dr. George Benson I. LE PROLOGUE (1) Dans la Version de la Nouvelle Internationale le changement de la Bible est poursuivi. Cette dernière pseudo-version a émergé de la presse et a entré en circulation trop tard pour une critique de ses erreurs très nombreuses et les maux pour être incluses dans la publication précédente de ce compte rendu des versions. Antérieurement à son inclusion dans cette troisième impression les commentaires critiques subséquents de l’auteur ont été sortis dans L’Avocat de l’Évangile (Gospel Advocate), de Nashville Tennessee; la maison d’édition la Firm Foundation, d’Austin Texas; et la Revue Chrétienne (Christian Journal), de Fort Worth, Texas. Cette insertion ici de ces blâmes va servir comme une introduction à ce surcroît. CERTAINES CORRECTIONS IMPORTANTES Cela est peu probable de ne pas faire des erreurs typographiques dans un livre de plusieurs centaines de pages et ne sont que rarement réalisés, au moins dans une première ou deuxième édition. L’attention des acheteurs de “Un Compte Rendu des Nouvelles Versions” (A Review of the New Versions) et “Apocalypse” (The Book Of Revelation) sont cités pour les corrections suivantes : 1. À la page 167 du Compte Rendu Des ouvelles Versions dans la reproduction du traité de Monsieur R.C. Foster de l’Immaculée Conception d’Ésaïe 7, 14, sous le sous- titre “L’enfant qui n’est pas Ésaïe” (The Child Not Isaiah’s) il y a une faute d’impression de deux lignes après le nom Mahershalalhashbaz qui détruit la déclaration à propos du nom de l’enfant d’Ésaïe. La déclaration exacte est ceci : “Le nom de l’enfant d’Ésaïe né peu de temps après ceci fut Mahershalalhashbaz (‛le butin à toute vitesse, la proie précipite’) (‛the spoil speedeth, the prey hasteth’). Ceci est complètement différent d’Emmanuel (‛le Seigneur avec nous’) qui est l’équivalent de Jésus. Il n’y a pas la moindre suggestion dans le texte que l’enfant né à Ésaïe fut l’accomplissement de la prophétie.”

UE ÉVALUATIO DE LA O UVELLE VERSIO IT ERA TIOA L E (A … · 2015. 8. 26. · ‒ Dr. George Benson I. LE PROLOGUE (1) Dans la Version de la Nouvelle Internationale le changement

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U�E ÉVALUATIO� DE LA �OUVELLE VERSIO� I�TER�ATIO�ALE (A� EVALUATIO� OF THE �EW I�TER�ATIO�AL VERSIO�)

Le livre du défunt prédicateur : M. Foy E. Wallace, fils

Traduit par : M. Denis Tarko

« Examinez ou éprouvez toutes choses… » ‒ 1 Thessaloniciens 5, 21 ‒

Une nouvelle génération qui vienne juste de grandir en devenant homme et femme a

besoin de la compréhension érudite biblique de Foy E. Wallace, fils. ‒ Dr. George Benson

I. LE PROLOGUE

(1) Dans la Version de la Nouvelle Internationale le changement de la Bible est

poursuivi. Cette dernière pseudo-version a émergé de la presse et a entré en circulation trop tard pour une critique de ses erreurs très nombreuses et les maux pour être incluses dans la publication précédente de ce compte rendu des versions. Antérieurement à son inclusion dans cette troisième impression les commentaires critiques subséquents de l’auteur ont été sortis dans L’Avocat de l’Évangile (Gospel Advocate), de Nashville Tennessee; la maison d’édition la Firm Foundation, d’Austin Texas; et la Revue Chrétienne (Christian Journal), de Fort Worth, Texas. Cette insertion ici de ces blâmes va servir comme une introduction à ce surcroît.

CERTAINES CORRECTIONS IMPORTANTES

Cela est peu probable de ne pas faire des erreurs typographiques dans un livre de plusieurs centaines de pages et ne sont que rarement réalisés, au moins dans une première ou deuxième édition. L’attention des acheteurs de “Un Compte Rendu des Nouvelles Versions” (A Review of the New Versions) et “Apocalypse” (The Book Of Revelation) sont cités pour les corrections suivantes :

1. À la page 167 du Compte Rendu Des !ouvelles Versions dans la reproduction

du traité de Monsieur R.C. Foster de l’Immaculée Conception d’Ésaïe 7, 14, sous le sous-titre “L’enfant qui n’est pas Ésaïe” (The Child Not Isaiah’s) il y a une faute d’impression de deux lignes après le nom Mahershalalhashbaz qui détruit la déclaration à propos du nom de l’enfant d’Ésaïe. La déclaration exacte est ceci :

“Le nom de l’enfant d’Ésaïe né peu de temps après ceci fut Mahershalalhashbaz

(‛le butin à toute vitesse, la proie précipite’) (‛the spoil speedeth, the prey hasteth’). Ceci est complètement différent d’Emmanuel (‛le Seigneur avec nous’) qui est l’équivalent de Jésus. Il n’y a pas la moindre suggestion dans le texte que l’enfant né à Ésaïe fut l’accomplissement de la prophétie.”

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Ceci est une importante correction qui entraîne une vérité indispensable et tous ceux qui ont le livre, ou qui l’ont procuré, devraient noter cette correction dans la marge.

2. Également, à la page 305 du livre (en anglais), la première ligne du deuxième

paragraphe dans une mention générale à l’époque de la traduction de la Bible de John Wycliffe au roi Jacques (14-16) le mot fin dans la phrase “à la fin du seizième siècle” devrait être époque ‒ “dans l’époque du seizième siècle.” Nous espérons d’achever la correction de toutes ces erreurs typographiques et fautes d’impression en une édition ultérieure de ce livre de sept cent pages.

3. À la page 302 (en anglais) de L’Apocalypse, quant au numéro mystique de 666,

la somme des chiffres dans le titre officiel de César Néron compose ce symbole – mais le dernier chiffre dans la ligne dressant la liste de ce nombre par erreur est imprimé 20 au lieu de 200, comme publié correctement à la page 19. Les acheteurs de ce livre devraient entrer cette correction à la marge de la page 302.

4. C’est maintenant vanté avec un degré d’exultation cette grande gloire a rejailli

sur “l’Église du Christ” par la présence de Monsieur H. Leo Boles, jadis le proviseur du Collège David Lipscomb, faisant partie d’un comité de la Traduction Américaine de la Bible (Revised Standard Version) de 1946, comme si même si cela est vrai aurait attesté cette version. La vérité c’est que H. Leo Boles ne fut pas sur la commission de traduction de cette pseudo-version. Il a été assigné à une adhésion sur le comité consultatif, et il l’a retirée après d’assister une séance, déclarant à son retour à Nashville que le conseil théologique de la Revised Standard Version (la Traduction Américaine de la Bible) fut rempli jusqu’au bout du modernisme mis à jour de la Critique Destructive. Avec plus d’enthousiasme que de renseignements certains frères sont en train maintenant de se délecter de la gloire de la position d’un professeur “d’une église du Christ” sur la commission multiple de la Nouvelle Version Internationale, un conglomérat des prétendus révisionnistes allant dans ses extrémités du nouveau libéralisme jusqu’aux fanatismes pas nouveaux – car présentent sur les comités multiformes de la Nouvelle Version Internationale sont représentées de tel acabit religieux comme le fakir guérisseur miraculeux Oral Roberts de son université (si elle est vraiment) et l’imposteur et charlatan holy-roller qui prétende faire des miracles Rex Humbard de la Californie – et diverses autres sortes de croyances religieuses subversives, ayant le dessein de rendre la Nouvelle Version Internationale boursouflée agréable plus œcuménique. Ce n’est pas un honneur à un de nos professeurs d’être sur la liste sur un tel comité et cela n’est nul mérite à l’Église du Christ d’être liée avec une pareille version. Quant à ses mérites pour être une traduction exacte elle n’a aucune. Elle est bourrée de la déformation théologique. Comme un début dans la mise à nu de cela j’ai indiqué pas moins d’une centaine de citations. Cela est teinté partout avec les doctrines inexactes du péché originel, la dépravation héréditaire, la restauration d’Israël nationale, le pré-millénium et la prédestination. La vérité de la remarque rebattue que cela n’est pas nécessaire de manger un jambon entier pour savoir que cela est abîmé est stéréotypé sur les pages de la Nouvelle Version Internationale – cela a la pourriture à son centre et est taché partout. Ceci je peux prouver et que je vais le faire.

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Cette version maléfique n’a pas apparu à temps pour être compris dans “Le Compte Rendu Des Nouvelles Versions.” Je propose de préparer un supplément avec un contenu avec assez d’évidence pour confirmer que la Nouvelle Version Internationale est de même nature avec ses contemporaines, un Addendum pour une troisième édition à paraître disponible en opuscule pour les acheteurs déjà qui se peuvent souhaiter d’ajouter cela à leur livre.

L’énigme la plus émotionnelle pour moi en soixante ans de proclamer l’évangile

et défendant la Bible est que nos frères, connu dans le monde entier pour être un peuple de la Bible, devraient en ce moment laissent tomber la Bible qui nous avait fait un peuple que nous sommes pour les non-traductions des pseudo-versions. Elles sont en train de faire de nous un peuple différent car elles (les mauvaises traductions) sont des livres différents. Dans les mots de la Lamentation de Jérémie : « 12 N’êtes-vous pas touchés, vous tous qui passez par le chemin? » (Lamentations de Jérémie 1, 12)

(2) En accomplissement de la déclaration précédente qui contient une promesse :

Ceci je peux prouver et je vais le faire – ce complément est par la présente soumise en tant qu’un document annexe à Un Compte Rendu Des !ouvelles Versions. Les citations et les annotations doivent être nécessairement accommodées à l’espace limité d’un supplément, et par conséquent de servir seulement en qualité des exemples d’évidences les contresens très variées, les traductions inexactes, les déformations, et les mutilations de cette version internationale mal nommée et œcuménique.

(3) La prolifération des traductions constituées par l’initiative de ses propres

membres est à l’intérieur de soi la manifestation de la mutilation du texte des Saintes Écritures inspirées verbalement – une compétition des faiseurs de texte théologiques circonscrites par l’action d’éviter de la violation sur les nouvelles traductions antérieures des droits d’auteurs en langage et la phraséologie, évidemment a eu pour résultat dans la corruption du texte biblique, une suite perceptible à tout le monde qui peut voir à travers une échelle. Cette dernière chose de traduction est composée dans une forme inférieure d’un roman de deuxième ordre avec les erreurs énormes en supplément, les soustractions, les omissions, les insertions, et l’interpolation, les fausses doctrines théologiques principales.

(4) L’esprit du caprice des nouvelles versions est une obsession de tourner en

ridicule (de renverser de son piédestal) – les fabrications rusées et les manigances astucieuses pour enlever l’histoire les nobles noms de la renommée posthume nationale. Les gens qui déboulonnent affirment que la chevauchée à minuit de Paul Rivière fut un fiasco qui n’a jamais atteint Concord; que le discours solennel de Patrick Henry “donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort,” et le regret Nathan Hale qu’il avait “juste une vie pour donner à son pays,” sont fictifs et que George Washington fut inepte militairement, et a perdu plus de batailles qui ont été gagnées, et aurait perdu la guerre si Cornwallis n’avait pas capitulé prématurément! Maintenant avec le patriotisme prétentieux ces patriotes capricieux donnent une sérénade au bicentenaire de l’Amérique avec les croyances patriotiques d’engueulade. Et aujourd’hui – les romanciers théologiques des

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nouvelles versions sont en train d’exécuter la vile fonction de reléguer la Bible en discréditant la version anglaise de la Bible de 1611, autorisée par le roi Jacques 1 d’Angleterre, et une clique de nos professeurs du titulaire d’un doctorat de 3 ème cycle (Ph.D) et docteur de théologie (Th.D) semblent à vouloir tourner en ridicule les arguments par lesquels les doctrines des confessions ont été réfutées et dans la même manière par ce moyen en obviant les arguments saillants contre le modernisme par le fait de discréditer du passage prophétique qui prédit l’Immaculée Conception et qui atteste l’affirmation biblique de l’inspiration verbale de l’Écriture sainte, l’un et l’autre l’Ancien Testament et le Nouveau Testament. Cette parodie de tourner en ridicule a été concentrée et centrée ses épithètes au vitriol sur la Bible vénérée de 1611 qui ont avec l’irrévérence accentuée est déguisée “cette vieille Bible du roi Jacques.”

(5) En attribuant une raison spécieuse pour sa provenance, dans leur avant-propos

les faiseurs de cela ont déclaré qu’ils se sont “entendus sur le sujet pour une nouvelle traduction” ‒ toutefois la traduction américaine de la Bible (RSV)” et nombreuses autres “Nouvelles traductions” ont tous eu le pas sur la Nouvelle Version Internationale, elles font toute la pareille prétention pour le besoin d’une Nouvelle traduction – alors cette affirmation de la Nouvelle Version Internationale est de fait un refus de la traduction Américaine RSV et toutes les nouvelles versions qu’elles l’ont précédée, nonobstant elles sont toutes fondées sur les mêmes prétentions et poursuivent les pareilles lignes d’action mais qui produisent les diverses versions. Sa signification de leur assentiment “au besoin pour une nouvelle traduction” à l’intérieur du temps et l’occupation de nouvelles traductions contemporaines est équivalente à un désaveu de tous les prédécesseurs de traduction qui ont fait la même prétention.

(6) Dans l’Introduction la commission a consigné par écrit un aveu que “le texte

Grec employé dans l’œuvre de la traduction fut l’un qui est éclectique” une concession que leur traduction ne fut pas faite du texte Grec original du Nouveau Testament. Le terme éclectique est défini : “choisissant qu’est-ce qui semble être le meilleur dans les différentes doctrines, méthodes ou style, composés des éléments tirés des sources diverses.” Voici l’aveu que la Nouvelle Version Internationale n’est pas une traduction du texte Grec original du Nouveau Testament en revanche une sorte de symposium composé d’éléments tirés de plusieurs sources : pour cette raison ce n’est pas une traduction.

Il est affirmé davantage dans l’Avant-propos que “le sens précis du texte original

ne pouvait pas être dans chaque cas être déterminé” – c’est pourquoi les mots précis devraient être traduits plutôt que d’interpoler dans le texte qu’un comité regardant à travers les lunettes théologiques pensent que cela veut dire – cela n’est pas la traduction; c’est l’interprétation.

C’est d’ailleurs admis dans l’Introduction que la commission s’est “acharnée pour

plus qu’une traduction mot-à-mot,” mais avait suivi “les modèles de pensée” et “les significations contextuelles.” Voilà de nouveau est la concession que la règle de cette nouvelle version est ce concept commun d’eux tous : c’est que, de traduire les pensées, non pas les mots, et cela veut dire leur propres pensées, non pas les mots inspirés des

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auteurs. Ces traducteurs ne peuvent pas se qualifier en tant que les gens qui lisent dans les pensées des autres – l’unique moyen d’établir les pensées des écrivains inspirés est par l’entremise de leurs mots inspirés et cela est une traduction littérale : « 11 Car quel homme connaît les choses de l’homme, sinon l’esprit de l’homme qui est en lui? De même aussi, personne ne connaît les choses de Dieu, sinon l’Esprit de Dieu … 16 Car qui a connu l’intelligence du Seigneur pour pouvoir l’instruire? »

En outre l’Avant-propos disserte que le comité “s’efforçait d’éviter une similitude

de style afin de refléter les divers styles et les humeurs et écrivains du Nouveau Testament” le changement des mots du Nouveau Testament pour “éviter la ressemblance” et dans l’effort de “les humeurs” des auteurs inspirés – qui vraisemblablement serait la “tentative” dans la psychanalyse de décider le tempérament, l’humeur, le caractère, la disposition ou d’état d’esprit, des saints auteurs du Nouveau Testament! Des voyants, eh bien! Les Psychanalystes par l’interprétation à distance! Jusqu’où va aller cette audacité! Quelle impudence, ces révisionnistes des livres sacrés de la Bible, sont-ils devenus?

La concession la plus conséquente de l’Avant-propos est que la Nouvelle Version

Internationale est “transconfessionnelle en caractère” – qui “donne le projet de son étendue Internationale” ‒ avec l’hypothèse que cela ainsi “sauvegarde cela de la tendance confessionnelle.” Cependant la prémisse et la conclusion sont l’inverse – car réciproquement c’est en fait teinté avec un mélange d’eux tous. Le préfixe trans signifie en travers de ou à travers de, et le croisement produit un hybride. Cela n’est pas flatteur pour soi pour le comité d’étiqueter leur “projet” transconfessionnelle. Pourtant, les faiseurs de la Nouvelle Version Internationale sont la personnification du rassemblement – une commission des cultes radicaux et libéraux de chaque nuance dans toutes les phases des croyances théologiques, du fanatisme du Néo-Pentecôtiste jusqu’à la Néo-Orthodoxie contraire, et superposée avec la Nouvelle scolastique de toutes les dernières formes de la théologie modernes. Pour “l’Église du Christ” d’être liée avec une telle compagnie hétéroclite de l’infidélité religieuse par le truchement de l’affiliation d’un titulaire d’un doctorat de 3ème cycle (Ph.D) – un professeur de Docteur en divinité (Th.D) d’une école où l’on poursuit ses études après la licence associée avec notre fraternité est réprobateur à l’Église du Christ et est scandaleux à la cause du Christ. Une pareille liste classe “l’Église du Christ” comme seulement “une autre confession” entre les autres, contrairement à tous les principes par lesquels l’Église est identifiée en étant l’Église non confessionnelle et anti-confessionnelle du Nouveau Testament et est complètement inconciliable avec cet appel distinctif. L’échec de conserver cette distinction perd le titre à ce nom caractéristique et nous devrons en accord avec une telle renonciation “descendre notre enseigne,” l’inscription ciselée “l’Église du Christ” des édifices sur lesquels les pierres angulaires et pierres tombales elle est gravée, nous devrons l’enlever de l’exposition autorisée et acceptent la connexion avec les insignes généraux des systèmes de la religion.

(7) En son style discursif l’Introduction disserte sur le bourdon des pronoms

solennels “toi (thee)” et “tu (thou)” [L’avis du traducteur : On devrait employer Vous quand on s’adresse à Dieu et Christ, pas une familiarité comme notre égale, mais en tant que notre supérieur, une question de respect] en ce qui concerne Dieu et Christ, soutenant

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que “le texte Grec n’utilise aucun pronom particulier pour énoncer la vénération pour Dieu et Christ” et que telles formes “du temps de la Bible du roi Jacques furent simplement les pronoms réguliers et verbes dans la façon de parler de tous les jours, soit en faisant référence à Dieu ou à l’homme” – néanmoins le texte Grec n’emploi pas l’utilisation des lettres en majuscules pour distinguer les majuscules et le bas de casse (les minuscules), pourtant dans cet Avant-propos ces “traducteurs” ont mis un D majuscule sur la divinité et ont spécialisé le “Verbe Incarné” avec les lettres majuscules! Ils solennisent la divinité avec les lettres majuscules, mais rejettent les pronoms solennels à l’égard de Dieu et de Christ. Et dans cette Version Internationale il y a multiples d’autres cas de cette même inconsistance.

Notre professeur Ph.D et Th.D qui s’est inscrit sur la liste de ce comité a approuvé

l’omission des pronoms solennels par rapport à Dieu et Christ, mais dans son usage du pronom commun quant à Dieu cela a été imprimé avec la lettre majuscule Y – You (Tu) – manifestement pour donner le pronom commun une forme solennelle. Donc, pourquoi ne fait pas l’emploi du pronom solennel et ainsi éliminée un pareil illogisme. En outre, si le pronom commun est fait solennel en l’imprimant avec la lettre majuscule Y (pour You; [T pour Tu ou Toi] – comment peut ceci est fait en parlant ‒ si la lettre majuscule Y solennise le pronom You en écrivant comment devrait-il être faite oralement – en hurlant YOU? (TOI? ou VOUS?) – Non, il n’y a qu’une façon, cela est l’usage on l’emploi l’utilisation des pronoms solennels thee et thou.

L’affirmation que du temps de la Version Autorisée (“la Bible du roi Jacques”)

les pronoms solennels thee et thou furent les pronoms réguliers employés à l’égard de soit Dieu soit l’homme n’est pas tout à fait correcte pour tous ceux qui ont observé ces usages connaissent que partout dans le texte de l’Écriture sainte l’utilisation du solennel et le commun varient quant à l’homme, toutefois jamais en ce qui concerne Dieu. Encore que, l’explication pour l’emploi générale des pronoms solennels est en fait que le vieux texte des Saintes Écritures a été concordé partout dans la forme solennelle. D’omettre le pronom solennel par rapport à l’homme n’est pas répréhensible, par contre cela ne légitime point le rejet de la forme sacrée en s’adressant à Dieu.

Par l’usage du pronom commun on s’adresse à Dieu comme une personne du

peuple. Les gens crées prient au Créateur – nous sommes remplis du plus grand respect pour et devant Dieu en prière et en louange. Nous ne parlons pas à Dieu comme un enfant, nous prions vers Dieu. D’abandonner le solennel et d’adopter le commun rétrograde Dieu à l’égalité de l’homme – cela est pour cette raison une déchéance qui détruit la vénération pour Dieu. Un professeur m’a dit : Nos jeunes ne savent pas comment prier thee et thou. (Vous) Ma réponse fut : ils savent comment chanter “thee” et “thou”‒ ils l’avaient juste exécuté! La réalité c’est que tous ceux qui ont choisi le Tu-Dieu (Tutoyer) manière de prier ont besoin d’apprendre comment la faire car ils mélangent invariablement en priant “nous te remercions pour thy (votre) parole! Ils tutoient Dieu, mais vouvoient (thy) la parole. Cela est une nouvelle chose dans la prière – et la prière n’est pas la place pour les innovations.

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Dans l’Avant-propos à la RSV les traducteurs déclarent que le pronom solennel thee et thou ont été retenus à l’égard de Dieu, en prière et en éloge, néanmoins ont été laissé tombés quant au simple homme – et ils ont omis le pronom solennel par rapport à Jésus. Ceci a été leur méthode de rendre Jésus un pur homme, et cela est connu de tous qui sont capables de savoir qu’est-ce qu’ils lisent dans cette traduction anglaise de la Bible RSV, que leurs traducteurs nient l’immaculée conception de Jésus, par conséquent sa divinité, et ceci est leur méthode subtile de teinter le texte avec leurs infidélité théiste. Dans le traité intitulé La Bataille Des Version (The Battle Of The Versions), le lettré reconnu internationalement, Monsieur R.C. Foster, a signalé ce point vital, et a écrit l’observation que qui que ce soit qui utilise la RSV insuffle en son système spirituel le poison virus que Jésus ne fut qu’un homme. Il devint donc une question de la doctrine. Cependant la Nouvelle Version Internationale omet thee et thou en ce qui concerne tous les deux Dieu et Christ – alors aussi mauvaise est la traduction anglaise de la RSV, la Nouvelle Version Internationale (NIV) est pire!

(8) L’innovation dans la composition des livres prophétiques, et d’autres parties

du texte de la Bible, de la prose jusqu’à la poésie, où la forme biblique n’est pas la poésie, est entièrement un réarrangement arbitraire du texte scriptural, et accompagnée comme elle est avec les citations inexactes des citations est plus mauvais qu’arbitraire – c’est l’arrogance théologique qui change le texte de la Bible dans tous de ses divers aspects, les phrases et les facettes, avec la fin dans ce cas de classer des sections entières des Saintes Écritures en tant que pure littérature poétique. Cela est un concept connu des théologiens Néo-orthodoxes modernes des nouvelles versions et est la preuve de leur but précis de donner au texte de la Bible la teneur d’un niveau littéraire d’autres compilations poétiques.

(9) Le non-usage des italiques par les traducteurs de la Nouvelle Version

Internationale brouille les pistes de l’interjection linguistique et dissimule les traces du verbalisme interposé dans toutes de ses pages. L’emploi des italiques par la version anglaise de la Bible de 1611, autorisée par le roi Jacques 1 d’Angleterre et la version Standard d’Américaine (American Standard Version) pour indiquer les mots pas dans le texte original, mais fournis pour terminer la structure de la phrase est la preuve de l’exactitude de la traduction de mot, alors le non-usage des italiques par les nouvelles traducteurs est la preuve tout à fait d’un texte réécrit, dans lequel il n’y a nulle sorte d’indication des mots, des phrases et des locutions qui ne sont pas dans ou qui ne font pas partis du texte des Écritures saintes originales. Cette supposition arbitraire d’une prérogative de la rédaction ajoutée à la légion des soustractions, les exclusions, et les modifications (falsifications quoi!) englobent une version altérée et constituent une fausse traduction.

(10) Les victimes innocentes de cette Nouvelle Version Internationale,

particulièrement les membres des églises du Christ, devraient être conscients que cela est imprimé et promu par les éditeurs de l’orientation Néo-Pentecôtiste, et il y a divers versets dans le Nouveau Testament qui ont été réécrits en complaisance à ce milieu.

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La spécification de grande portée est remarquée en la modification dans la phrase apostolique « 6 le témoignage du Christ » en 1 Corinthiens 1, 6, et plusieurs autres citations des chapitres et versets, à « notre témoignage touchant Christ. » N’importe qui qui connaît assez pour enseigner une classe biblique peut discerner que le témoignage du Christ est ce témoignage qui vient du Christ, mais l’interpolation notre témoignage à propos du Christ serait leur propre “acte de rendre témoignage” qui n’est ni qu’est-ce que l’apôtre a écrit ni que le texte formule ou même insinue. La référence supplémentaire va être faite et “attention requise donné à ceci et d’autres passages qui ont été réécrits par ces nouveaux faiseurs du texte de la Nouvelle Version Internationale pour enseigner le témoignage fondé sur l’expérience du Néo-Pentecôtisme. De fait nous n’avons aucun besoin de procéder de plus pour un exemple du préjugé doctrinal et la mutilation textuelle pour avoir raison de désavouer la mutilation du texte de la Nouvelle Version Internationale, pourtant il y a des contresens multiformes dans le texte de cette version pour illustrer en l’occurrence.

(11) Pour un manque absolu de fiabilité les deux traductions différentes de

Philippiens 2, 13, à l’intérieur de la même impression est un cas convaincant. Cela est commun dans la manière moderne décousue de traduire pour ces pseudologistes textuels de modifier leurs traductions d’une édition à l’autre – par revanche de rendre les pareilles parties du texte différemment dans les copies de la même édition couronne le paroxysme pour la traduction déraisonnable des Saintes Écritures inspirées. À portée de mes mains sont deux copies de la troisième impression de la Nouvelle Version Internationale dans laquelle Philippiens 2, 13 ont des traductions différentes. Dans le Nouveau Testament ce verset se lit : « 13 Car c’est Dieu qui agit en vous et le vouloir et le faire selon son bon plaisir. » Dans une copie de la troisième impression de la Nouvelle Version Internationale voici comment cela est rédigé : « Car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et faire ce qui lui plaît » [« For it is God who works in you to will and do what pleases him »] – mais une autre copie de la pareille impression lit comme suit : « à la volonté et d’agir selon son bon but » [« to will and to act accordingly to his good purpose »] À présent, comme les deux copies de l’identique édition lisent différemment comment et par qui fut le changement inséré, et quelle copie est exacte, si ni l’une ni l’autre, qui veut réellement dire ni l’une ni l’autre. Et combien d’autres versets dans la pareille édition lit différemment – il n’y a aucune façon de savoir hormis par la découverte accidentelle par la chance d’avoir deux telles copies en main au même temps ou par l’incidence de deux personnes ou plus au même moment tenant à la main faisant une séance de comparaison! Une telle inexactitude insouciante représente l’ultime dans l’irresponsabilité et est tout à fait indigne d’être sur la liste dans une catégorie de la traduction.

(12) Pour un cas d’un préjugé “transconfessionnel” dénié dans l’Avant-propos de

la Nouvelle Version Internationale la traduction répétée du mot « chair » au chapitre 8, (les versets 1.3.4.5.6.7.8.9.12) de Romains en tant que “notre nature de péché” est une citation pertinente. Cette mauvaise traduction parsème le concept de credo du péché originel par intermittence à travers le chapitre. C’est une relique de Rome – un dogmatisme du Catholicisme Romain altérant les croyances de la Chrétienté et sa contagion s’implante la Nouvelle Version Internationale en diverses parties et différentes manières. L’homme n’hérite pas une nature de péché – sa nature provient de Dieu, son

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esprit vient de Dieu, son âme est l’émanation de Dieu qui est le Père de l’esprit de l’homme – l’homme devient un pécheur. Par l’interpolation du dogme de credo du péché originel, de la dépravation totale héréditaire, des Catholiques, des Luthériens, des membres de l’Église Épiscopale, des Presbytériens, des Méthodistes, et des Baptistes la Nouvelle Version Internationale est à dire vrai trans-confessionnelle comme affirmée dans l’Introduction par contre transgressive des préceptes et des principes des Saintes Écritures inspirées. Un examen complémentaire de cette croyance confessionnelle va être trouvé dans les commentaires sur le travestissement de la Nouvelle Version Internationale au chapitre 8 de Romains.

(13) En plus de la mise à nu précédente de la doctrine Calviniste du dogme du

péché originel – divers versets ont été réécrits pour insinuer tous les cinq points du Calvinisme : Le péché originel – la dépravation totale héréditaire; l’influence miraculeuse de l’Esprit-Saint – l’opération immédiate de l’Esprit-Saint indépendant de et sans la parole de Dieu, la dernière persévérance et préservation des saints – l’impossibilité de l’apostasie; l’expiation limitée – état d’être élu sans condition ou la réprobation du genre humain; la prédestination – l’ordination antérieure de tout destin humain matériellement et spirituellement, faisant en sorte que les deux le salut et la damnation une affaire de l’omnipotence pure sans le libre arbitre de l’homme. Toutes ces erreurs des credo confessionnels sont les fruits du Calvinisme qui teintent les pages de la Nouvelle Version Internationale – et son affirmation transconfessionnelle n’attribue à cela aucune accréditation dans la vérité de l’évangile. La comparaison de cela avec la Bible de 1611 (du roi Jacques) et la Version Révisée Américaine (American Standard Version) donne la preuve qu’en ce qui concerne la traduction fidèle la Nouvelle Version Internationale est une farce œcuménique. Le travestissement et l’altération sont ses caractéristiques descriptives. Les comparaisons textuelles augmentent la gratitude pour la version anglaise de la Bible de 1611, autorisée par le roi Jacques 1 d’Angleterre et raffermie l’authenticité, l’exactitude, et l’intégrité de “la vieille grande version.”

II. LES DÉFORMATIONS

Cela est une remarque courante en ce moment parmi les sympathisants avec les

nouvelles traductions que même si d’autres nouvelles versions sont tellement mauvaises maintenant nous avons une nouvelle version qui est bonne – La Nouvelle Version Internationale. Il y a un adage commun “qu’il y a du bon dans eux tous.” Auquel boniment nous rétorquons : “Si quelqu’un sait qu’il y a une mixtion d’arsenic dans une miche de pain devrait-il la recommander pour ses bons ingrédients?”

La “version” du Nouveau Testament de la Nouvelle Version Internationale

commence mal et continue mal et finie mal. Au moment de cet écrit l’Ancien Testament de la Nouvelle Version Internationale n’a pas été édité, mais si ses traducteurs sont aussi négligents dans le traitement du texte (que dans les circonstances naturellement prévues) cela est bien mieux de ne pas l’imprimer. Car elle va être seulement le pendant en travestissement avec le Nouveau Testament de la Nouvelle Version Internationale.

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Un livre par livre, chapitre et verset, une catégorie de citations cède une collection de preuves de la manière dans laquelle la Nouvelle Version Internationale début mal et reste erronée.

(1) Matthieu 1, 1 : Dans notre Nouveau Testament voici comment cela est rédigé

« 1 Le livre des générations de Jésus-Christ le fils de David, le fils d’Abraham » ‒ La Nouvelle Version Internationale change « le livre » à “un récit (a record)” ‒ mais il pourrait avoir, et il y a, une différence significative entre le livre et “ un rapport” ‒ et cela est particulièrement ainsi, tenant compte de l’usage vague du mot “récit” à l’égard constant des diverses nouvelles versions supposant d’être les “rapports des écrits des auteurs de la littérature biblique.” La Nouvelle Version Internationale commence avec le même type de phraséologie voilée dans l’obscurité et l’ambiguïté, caractéristique de les tous. Il n’y a nulle raison de rendre différent le livre à “un récit” excepté d’enlever le poids de la déclaration préliminaire de l’inspiration.

(2) Matthieu 1, 25 : Dans le Nouveau Testament la déclaration de précision et

d’exactitude est faite touchant Joseph et Marie qu’ « 25 il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté son fils premier-né. » La version réécrite de la Nouvelle Version Internationale lit comme suit “jusqu'à ce qu’elle a donné naissance à un fils” ‒ cela altère son fils premier-né à “un fils.” Cependant l’annonciation de l’apôtre Matthieu est l’affirmation méticuleuse de l’immaculée conception – son fils premier-né, sans concourir d’un homme quelconque. Cela remonte à la première promesse du Sauveur de l’homme né d’une vierge, à sa semence en Genèse 3, 15, que la première prophétie à tour de rôle s’étendre en avant à son fils premier-né en Matthieu 1, 25. Entre Genèse 3, 15 et Matthieu 1, 25 il y a nombreux oracles prophétiques et qui contiennent une promesse concernant l’immaculée conception d’un Sauveur, tel que « 5 ou 6 Car un enfant nous est né, un fils nous est donné » (Ésaïe 9, 5 ou 6) – un chaînon dans la chaîne de l’immaculée conception qui s’étendre de Genèse 3, 15 vers Matthieu 1, 25, qui va recevoir un commentaire supplémentaire après de faire une pause ici pour insérer un article qui fut imprimé sous ma signature dans l’Avocat de l’Évangile (Gospel Advocate) et la Maison d’Édition Firm Foundation :

GENÈSE 3, 15 ET L’IMMACULÉE CONCEPTION

Maintenant vient un professeur de la Bible qui pose comme principe que « 15 sa semence » ‒ la semence de la femme – en Genèse 3, 15 n’est ni une promesse ni une prophétie de l’immaculée conception de Jésus. Tout cette argumentation spécieuse est une tentative manifeste de contourner la prophétie de l’immaculée conception d’Ésaïe 7, 14 – car si le fragment du texte d’Ésaïe n’est pas une prophétie de l’immaculée conception, il n’y a aucune prophétie de l’immaculée conception de Jésus ni un renvoi quelconque de l’Ancien Testament à cela. Pourquoi les prophéties sur chaque détail de la venue du Christ dans le monde à partir du berceau de Bethlehem jusqu’à la croix de Calvaire à l’exception de la preuve de base de sa Divinité – l’immaculée conception.

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Le consensus de l’érudition biblique conservatrice associe sa semence en Genèse 3, 15 à la vierge d’Ésaïe 7, 14 et son fils premier-né de Matthieu 1, 25. Cela est extrêmement étrange que dans cette période critique du scepticisme récent et la foi ébranlée du modernisme les professeurs dans les départements de la Bible de nos collèges devraient prendre l’aspect moderniste des critiques Destructifs – le fruit des pseudo-versions avec le modernisme à ses origines.

Quelques citations des lettrés conservateurs représentatifs, reliant Genèse 3, 15

avec Ésaïe 7, 14 en qualité des prophéties de l’immaculée conception de Jésus, sont seulement les échantillons d’un ensemble qui s’accumule de pareille preuve des noms célèbres de qui le savoir admis ne fut jamais mise en doute jusqu’aux efforts nouveaux de les reléguer et de rejeter leur témoignage en faveur du modernisme sortant des Facultés de Théologie des universités de Harvard, Yale et Chigaco, ayant été répétés comme un perroquet par quelques-uns de nos professeurs dans les Départements de la Bible de nos collèges.

ADAM CLARKE : “La semence de la femme; la personne est de venir par la femme, et par elle

uniquement, sans l’acte de concourir d’un homme. Pour cette raison l’adresse n’est pas à Adam et Ève, néanmoins à Ève seulement, et ce fut par suite à ce but de Dieu que Jésus-Christ fut né d’une vierge; ceci, et ceci uniquement, est qu’est-ce qui est impliqué dans la promesse de la semence de la femme écrasant la tête du serpent. Jésus-Christ est mort pour ôter le péché par le sacrifice de lui-même, et de détruire celui qui avait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable. De cette manière, il a brisé sa tête – détruit son pouvoir et son autorité sur les hommes, les détournant de la puissance de Satan à Dieu; Actes xxvi, 18. Et Satan a blessé son talon – Dieu l’a ordonné ainsi, que le salut de l’homme devrait être seulement amené par la mort de Christ; et même la semence spirituelle de notre Seigneur béni a eu le talon souvent blessé, alors qu’elle (la semence) souffre la persécution, la tentation, etc., qui pourraient être tout ce qui est prévus par cette partie de la prophétie.”

WORDSWORTH : “ ‒ et elle (semence) te brisera la tête. Elle i.e. la Semence de la femme, qui est

Christ, comme les prophéties d’Ésaïe (7, 14; ep. Matthieu 1, 23), et ainsi David (ps. xci. 13) … Dieu a vaincu Satan avec sa propre arme. Satan a employé la femme contre l’Homme; Dieu a triomphé de Satan, et a rétabli l’Homme par la Semence de la femme. Les Pères ont contrasté l’incrédulité et la désobéissance d’Ève avec la foi, l’humilité, et l’obéissance de la Sainte Vierge. Voir les réflexions d’Irenaeus, V. 19, ed. Grabe. Tertullien de Carne Christi, 17; S. Cyril, Catech. 12; Épiphan, Haer. 79; et voyez plus bas sur 1 Timothée ii. 15.”

“Satan a séduit les Juifs de crier ‘Qu’Il soit crucifié,’ et Dieu a vaincu Satan par la

croix, et a sauvé le monde (Hébreu ii. 14). Une merveilleuse unité de projet se propage à

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travers toutes les dispensations de Dieu, particulièrement dans les relations avec l’homme, et dans ses rapports au Malin. …

“La vérité de Genèse est corroborée par sa manière de s’emboîter à l’Évangile, e.g.

ici nous lisons qu’Adam a usé l’immortalité, devenu malade et est décédé, et a causé la mort au monde; mais dans l’évangile, Christ a employé bien la mort que nous puissions vivre par elle. La mort s’est introduite par la corruption de l’esprit de la Femme s’opposant à Dieu; la Vie est arrivée par la sanctification du corps de la Femme en Lui obéissant (Iren. v. 19). Cp. S. Aug. De Doctr. Christ. i. 13….

“La semence de la Femme est Christ; et en Lui tous Ses membres participent dans

cette Promesse.” Voir Romains xvi. 20; Luc x. 19; Marc xvi. 13, l’Essai de Mede, le livre i. Disc. Xlii. P. 236; et Glass., Phil. Sacr. P. 655; Calovius, Crit. S. p. 547; Rivetus, Exerc. Xxxvii.; et les collections précieuses en Pfeiffer, Dubia Scripturae, p. 15.

“ ‒ tu lui blesseras le talon. Il t’écrasera la tête, la partie la plus haute; tu

blesseras son talon, la partie la plus basse, la nature humaine de Christ; ep. Genèse xlix. 17; et avec ce talon – blessé dans la mort – Il va écraser ta tête, et te foulé sous Ses pieds, et de permettre Son membre de t’écraser (Luc x. 19; Romains xvi. 20).”

ELLICOTT : “Sa Semence … va écraser ta tête. Nous avons ici le résumé de toute l’affaire, et

le reste de la Bible n’explique que la nature de cette lutte, les personnes qui l’ont fait cette lutte, et la manière et les suites de la victoire … Dans cette lutte l’homme est enfin de prévaloir, toutefois sans égratignure. Et son triomphe est d’être non pas par la pure force humaine, mais par la venue de Celui qui est ‘la Semence de la Femme’; et autour de ce Libérateur promis le reste des Saintes Écritures se groupe lui-même. D’omettre ces mots, et tout l’enseignement inspiré qui suit serait une rivière qui élargisse toujours sans une source. Cependant forcément avec la chute est arrivée la promesse du rétablissement. La Grâce n’est point une pensée après coup, mais entre dans le monde côte à côte avec le péché. Sur ce fondement le reste de l’Écriture Sainte est bâti, jusqu’à ce que la révélation à la fin arrive à sa pierre angulaire en Christ.”

LE COMMENTAIRE (ORIGINAL) DE LA BIBLE DE SPEAKERS “On dit dans la première proposition, qu’il devrait y avoir « inimitié entre ta

semence et sa semence; » néanmoins on dit en le second membre de phrase, « Il (ou Lui) brisera ta tête. » Ce fut la tête d’un serpent particulier (non pas de la semence du serpent seulement) que la semence de la femme écrasera. Et encore que nous ne devrons pas mettre l’accent sur le pronom masculin ‘il,’ parce que le mot est masculin en hébreu, tout de même il y a l’apparence ici d’un combat personnel, et d’une victoire personnelle. Cette inférence est renforcée par la promesse étant faite à la semence de la femme. Il n’y a eu qu’un descendant d’Ève, qui n’a pas eu un père terrestre; et Il fut ‘manifester qu’Il devrait détruire les œuvres du diable!’ …. En outre le LXX a eu la semence au neutre, mais le pronom qui faisait mention à cela, ‘il,’ en le masculin, qui serait naturellement de

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le faire référence à un certain fils de la femme. La Version Syriaque aussi a eu un pronom masculin.”

Le jeu de mots “descendants” et “progéniture” que la Traduction (Anglaise) de la

Bible (RSV), la Nouvelle Bible Anglaise (New English Bible), la Nouvelle Version Internationale et cætera toutes substituent pour la semence est sans rapport au point controversé et ne tient aucun compte de la distinction essentielle de la Bible. Ismaël fut un descendant d’Abraham – ainsi furent les Ismaélites et la race Hébreu – par revanche la semence d’Abraham dans son usage distinctif de la Bible est Christ et tous ceux qui sont en Christ : « 16 Or c’est à Abraham et à sa semence que les promesses ont été faites. Il ne dit pas : Et aux semences, comme [parlant] de beaucoup; mais comme d’une [seule]. Et à ta semence, qui est Christ ….. 29 Et si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, et les héritiers selon la promesse. » (Galates 3, 16.29) Dans l’emploi général du mot David a eu une multitude de descendants, par contre dans le sens distinctif de la Bible la semence de David, d’après toutes les Écritures saintes prophétiques, est Christ; (Actes 2, 30; Romains 1, 2-3; 2 Timothée 2, 8). Sur le même principe, tout le genre humain est dans le sens général les descendants de la femme, mais uniquement le Seul homme est sa semence – et la prophétie primordiale de Christ est Genèse 3, 15.

Les quarante-sept traducteurs de la version anglaise de la Bible de 1611, autorisée

par la roi Jacques 1 d’Angleterre et les cent un réviseurs Américains de cela (la Version Standard Américain [ASV]) – connu et faisant allusion en tant que le cent quarante-huit – ont su qu’est-ce que les nouveaux traducteurs du néo-modernisme ou bien se savent pas ou bien ne croient pas. Cela est décevant et extrêmement décourageant que nos professeurs sont en train de suivre leurs pas et sont en train de cheminer sur leurs voies.

C’est un concept cardinal de la Christologie dans l’Ancien Testament et du

Christianisme dans le Nouveau Testament que la première prophétie sur le Christ de Genèse 3, 15 par Ésaïe 7, 14 – 9, 5 ou 6-7 jusqu’à Matthieu 1, 25 sa semence, la semence de la femme, est l’immaculée conception de Jésus. Cela est tragique que nos jeunes prédicateurs doivent être soumis au virus poison du modernisme à ses origines, une situation déplorable que nous ne pouvons pas se fier nos jeunes gens à certains professeurs réfugiés dans les départements de la Bible de nos propres Collèges Chrétiens. Nous sommes onctueusement assurés que ces professeurs croient vraiment dans l’immaculée conception de Jésus. Peut-être que oui, mais de quel effet est-il quand ils nient les passages de base qui prédisent cela et qui l’enseignent. Ils sont en train de céder à la théologie de l’École de Théologie de l’Université de Yale de M. Dean Weigle et Président du comité de la RSV, comme soutenu dans sa propre Introduction, qu’il n’y a nul élément prophétique dans l’Ancien Testament – ceci est la Critique Destructrice à son pire dans l’effort de rompre la relation entre l’Ancien Testament et le Nouveau Testament, pour les perturber l’un avec l’autre de cette façon détruire l’argument fondamental pour l’inspiration de la Bible – l’accomplissement de la prophétie de l’Ancien Testament dans le Nouveau Testament.

Si Genèse 3, 15 et Ésaïe 7, 14 ne sont pas les prophéties de l’immaculée

conception de Jésus, il n’y a aucune autre part dans l’Ancien Testament car toutes les

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parties du texte prophétiques sont les anneaux dans la chaîne de l’immaculée conception – et avec le refus de la semence de Genèse 3, 15 et la vierge d’Ésaïe 7, 14 la chaîne est rompue et les maillons tombent. Cependant si seulement les prophéties de l’immaculée conception sont rejetées, et d’autres prophéties à propos de Christ admises, nous sommes confrontés avec une anomalie inexplicable que toutes les phases de l’avènement du Christ dans le monde et sa vie sur la terre furent prédites hormis la preuve fondamentale de sa Divinité – l’immaculée conception du Fils unique engendrer par Dieu (le Père) ! Cela est patent que nos ennuis doctrinaux proviennent de nos professeurs. Une fois de plus, nous répétons la lamentation de Jérémie : « 12 !’est-ce rien pour vous tous qui passez par là ? » (Les Lamentations de Jérémie 1, 12)

Les fragments du texte prophétiques à travers l’Ancien Testament dès Genèse 3,

15 forme une jonction avec le Nouveau Testament à Matthieu 1, 18-25, par le verset 25 reliant à Genèse 3, 15 dans la continuité des allusions prophétiques à l’immaculée conception de notre Seigneur et Sauveur, Jésus-Christ – d’enlever une, détruit toute. Commençant à Genèse 3, 15 sa semence fut quant à Ève singulièrement – non pas Adam et Ève – la semence de la femme sans concourir à un homme. L’adjonction à cette promesse primordiale est le passage inobservé de Jérémie 31, 22 « 22 Car le Seigneur a créé une chose nouvelle sur la terre : Une femme environnera un homme (l’enfant mâle ; Héb.) » Jérémie 31 est le chapitre Nouvelle Alliance de la prophétie de Jérémie. Ci-dessus le verset 22 est la prophétie de « 15 Une voix a été ouïe à Rama, des lamentations et des pleurs amers, Rachel pleurant ses enfants ; refusant d’être consolée touchant ses enfants, parce qu’ils ne sont plus » (Jérémie 31, 15), citée en accomplissement en Matthieu 2, 17.18 ; et ci-dessous du verset 22 de Jérémie 31 est la prophétie de l’inauguration de la nouvelle alliance (les versets 31-34) ; entre ces deux versets prophétiques, et associés avec eux, est le verset 22 – une nouvelle chose créée sur la terre, jamais entendu auparavant ou connu – une femme sans concourir de l’homme pour entourer un enfant mâle. La partie du texte de Jérémie est trop reliée directement avec les prophéties de la Nouvelle Alliance pour être sans rapport, et elles ont trop un rapport étroit aux prophéties d’Ésaïe 7, 14 : « 14 Une vierge concevra et elle enfantera un fils, » et Ésaïe 9, 6-7 « 6 Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, » dans la prédication de la naissance de Christ, d’admettre de n’importe quelle dénégation qu’ils montrent tous à l’immaculée conception de Jésus le Christ, et ils sont tous ensemble associés à Matthieu 1, 18-25, avec les termes significatifs particulièrement du verset 25 en ce qui concerne Marie – son fils premier-né.

Matthieu qui fut inspiré a dit qu’Ésaïe 7, 14 fut « dit du Seigneur » et que cela fut

pour être réalisé dans l’immaculée conception de Jésus ; et Luc qui fut inspiré tous ne que littéralement citent Ésaïe 9, 6-7 en Luc 1, 31-33 ; 68-80 parmi les promesses au sujet du Sauveur Jésus. De l’Enfant né, et le Fils donné, le prophète a exprimé : « 7 À l’accroissement de son empire et à la paix, il n’y aura pas de fin, sur le trône de David et sur son royaume, pour le diriger et l’établir avec jugement et avec justice, dès maintenant et à toujours. Le zèle du Seigneur des armées fera cela. » Le passage en Luc est en pratique analogue avec la prophétie d’Ésaïe : « 31 Et voici, tu concevras dans ton utérus, et tu enfanteras un fils, et tu appelleras son nom JÉSUS 32 Il sera grand, et sera appelé

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Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de son père David. 33 Et il régnera sur la maison de Jacob pour toujours ; et son royaume sera sans fin » ‒ ces versets 31-33 de Luc 1 sont élargis à la pleine application aux versets 68-80 de Luc 1 : La relation aux prophéties sur la naissance de Jésus de ces fragments du texte de Matthieu et Luc sont manifestent, niés seulement par celui qui cède à la nouvelle théologie d’un élément prophétique dans l’Ancien Testament.

Il est intéressant de remarquer que la seconde mention touchant Marie et de son

fils premier-né se trouve en Luc 2, 7. En ceci est un dilemme : que la pareille expression autos prototokos – son fils premier-né est dans tous les deux Matthieu 1, 25 et Luc 2, 7 – pourtant les nouveaux traducteurs l’enlève de Matthieu et la laisse en Luc ! Dans les deux mentions de son fils premier-né, la Bible de 1611 est constante en conservant cette phrase dans les deux références, mais l’ASV avec les versions plus récentes, est inconsistante d’une manière décevante en l’omettant dans Matthieu 1, 25 néanmoins la garde en Luc 2, 7. La seule solution à un dilemme théologique évident semble être que Luc 2, 7 est détachée d’Ésaïe 7, 14 la prophétie de l’immaculée conception tandis que Matthieu 1, 25 s’est associé à l’accomplissement précise d’Ésaïe 7, 14 – « 22 Or tout ceci est arrivé, afin que soit accompli ce dont le Seigneur avait parlé par le prophète, disant : 23 Voici, une vierge sera enceinte, et enfantera un fils, et on appellera son nom Emmanuel ce qui signifie Dieu avec nous. 24 Alors Joseph étant réveillé de son sommeil, fit comme l’ange du Seigneur lui avait demandé, et prit sa femme avec lui. 25 Mais il ne la connut pas jusqu’à ce qu’elle ait enfanté son fils premier-né, et il appela son nom : Jésus. » (Matthieu 1, 22-25) Nous n’avons pas ignoré que l’American Standard Version utilise la locution « 25 elle enfanta un fils » en Matthieu 1, 25. Avec concession que cela ne soit pas considéré comme une version altérée avec la prolifération des traductions malfaisantes il est malgré tout parmi quelques cas où les variations sont plutôt les déviations du texte, un concret acte d’obvier d’autos prototokos – son fils premier-né – dans le textus receptus de la Bible de 1611, appuyés par le Texte Révisé de Whitneys, le Commentaire Grecque du Nouveau Testament, l’Interlinéaire Grecque/Anglais de Berry, et autres experts.

Cela est un autre exemple de la traduction erronée de l’ASV est Actes 2, 47, en

remplaçant le pronom eux pour l’Église, quoique TE EKLESIA (l’Église) – « 47 Et le Seigneur ajoutait de jour en jour à l’Église ceux qui devaient être sauvés » ‒ est soutenu par toutes les autorités susmentionnées, ensemble avec la mention d’EKLESIA un cent quinze fois – l’Église. Par ailleurs, en éliminant l’Église, le pronom de substitution eux est rendu en italiques, qui indique qu’eux est un mot fourni, pas dans l’original. Donc le terme-pronom l’Église (TE EKLESIA) qui est dans le texte Autorisée de la Bible 1611 a été retranché, et le pronom remplaçant eux qui par les italiques est à l’aveu de tous pas dans un texte quelconque est inséré !

Un autre exemple à l’appui est l’omission de la confession du noble d’Actes 8, 37,

en réponse à la question de Philippe : « 37 Si tu crois de tout ton cœur, tu le peux. Et il [l’eunuque] répondit, et dit : Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, » que l’ASV, RSV, NIV et cætera toutes l’éliminent. Cependant cela est perceptible que quand les prédicateurs qui décrient “la vieille Bible roi Jacques” faisant des sermons sur les

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rachetés ajoutés à l’Église et ils ont des pécheurs qui répondent à “faire une bonne confession” devant l’audience, ils vont tous à la version roi Jacques – alors pourquoi pas resté avec cela et éviter la nécessité de passer les vitesses !

Concernant les transformations limitées entre la Version anglaise de la Bible de

1611, autorisée par le roi Jacques 1 d’Angleterre et la Version Américaine Standard, concédant à la dernière quelle que soit la valeur qui pourrait être attribuée à cela, ma propre observation des variations seulement crée un plus grand respect et suscite un plus grand estime pour la Version Autorisée du roi Jacques. Cela a été défendu abondamment à travers des siècles d’attaques sur elle, et elle a résisté à l’épreuve. La Nouvelle Version Internationale est une autre vogue parmi les versions de nouveauté, et elles vont toutes tombées et s’effacées – la Version Révisée Standard (RSV) a été en baisse de 26% des ventes de Bibles à son début à 10% les statistiques actuelles, et même la Version Américaine Standard (ASV) est en lutte pour sa survie – par revanche “la grande vieille version” comme le Ruisseau de Tennyson, continue de couler sans cesse ! Nous sommes d’avis que les toquades du penchant moderne vont ni la reléguée ni la remplacée. Nous ne nous imaginons pas.

(3) À l’égard d’almah, parthenos et vierge – l’effort dévié des théologiens Néo-

orthodoxes d’effacer Ésaïe 7, 14 de la vierge maintenant converti dans une tentative de trouver une exception à la pureté du mot Grec parthenos, la traduction Grecque du mot Hébreu almah dans le mot le plus pur pour vierge – parthenos de l’Ancien Testament en Grec qui est vierge uniquement, jamais employé autrement. En dépit de la déclaration de la Syriaque (la plus ancienne version existante), la Version des Septante (l’Ancien Testament en Grecque), la Version Autorisée du roi Jacques, la Version Américaine Standard (l’ASV), et Matthieu l’apôtre inspiré, qu’almah en Ésaïe 7, 14 est vierge, la minorité hétéroclite de Néo-orthodoxe, les nouveaux traducteurs, qui ont produit les nouvelles versions affirment que ce n’est pas. Omettant le nombre des traducteurs de la Syriaque, ils furent 72 traducteurs de la Version des Septante (l’Ancien Testament en langue Grecque), 47 traducteurs de l’Angleterre (la Version Autorisée du roi Jacques), 101 traducteurs Américains (l’American Standard Version), plus 1 apôtre inspiré qui s’appelait Matthieu – en tout 221, l’un étant un apôtre inspiré de Jésus-Christ – tous sont niés et désavoués par les modernistes des nouvelles versions.

Maintenant, se joignant à ces modernistes un professeur éminent “parmi nous”

saute sur Genèse 34, 1-4 dans un essai de prouver à vrai dire une exception à la pureté du mot Grec parthenos par le cas de la séduction de Dina. Voici comment le passage est rédigé : « 1 Et Dina, la fille de Léa, qu’elle avait enfantée à Jacob, sortit pour voir les filles du pays. 2 Et lorsque Sichem, fils de Hamor, le Hévien, prince du pays, la vit, il la prit, et coucha avec elle, et la viola. 3 Et son âme s’attacha à Dina, fille de Jacob, et il aima la damoiselle, et parla avec gentillesse à la damoiselle. 4 Et Sichem parla à Hamor, son père, disant : Obtenez-moi cette damoiselle pour femme. » Ce dernier effort de trouver une exception à l’unique virginité de parthenos est dans la prétention que la damoiselle du texte est parthenos, soutenant que le terme Grec fut ainsi appliqué à Dina après sa souillure par Sichem. Cependant cela est patent que la mention de Dina en qualité de vierge appartient au verset précédent avant sa séduction – une référence à sa

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virginité avant le viol par Sichem. Ceci est forcément vrai du texte lui-même, car l’affirmation même en sens contraire ferait cet exemple le seul tel usage du mot parthenos, dans aucun n’autre endroit, nul autre texte, point d’autre exemple pourrait-il avoir une pareille prétention faite.

Les circonstances de l’histoire corroborent la signification de parthenos ‒ que

Dina ne pourrait pas avoir été parthenos après sa séduction par Sichem. Selon la coutume se rapportant à une vierge de l’âge de Dina, elle a été en garde sous surveillance à la maison, toutefois pour la satisfaction d’une curiosité naturelle elle a risqué à sortir parmi les filles du pays – à savoir, de voir ses contemporaines féminines. En faisant ainsi elle se faisait l’objet de la séduction de Sichem. La traduction de Thomson de la LXX (le texte Grec de la Version des Septante) expose que Sichem « l’a vu et l’a pris et a couché avec elle et l’a humilié » ‒ il l’a humilié, et il l’a déshonoré. Le texte déclare de plus qu’il « l’a vu » et « qu’il l’a pris » ‒ qui ajoute le rapt à la séduction. Elle fut parthenos – la vierge – avant son enlèvement, sa séduction et sa souillure. Les professeurs éprouvent les plus grandes difficultés, vraiment, pour la preuve de débarrasser de la virginité dans parthenos de faire un tel emploi d’un cas de l’aveu général exceptionnel plongé dans la situation de la violence – et pour une seule intention : de débarrasser l’immaculée conception de Jésus d’Ésaïe 7, 14 !

Due à son importance cela est en ordre ici de citer quelques commentaires sur

cette partie du texte des sources honorables et par les experts de bonne réputation. Adam Clarke affirme qu’il n’y a aucune preuve du consentement de la part de Dina, mais bien plutôt la violence par Sichem avec les promesses de gagner son affection. Lange parle de l’incident en tant que l’enlèvement. Schroder fait mention de cela comme “le viol.” Starke fait usage de l’expression descriptive “une vierge tombée.” L’Encyclopédie Biblique explique que Dina fut séduit par Sichem qui “a essayé de gagner son cœur en promettant le mariage.” F.B. Meyer fait référence à “la chute de Dina” avec compassion pour “la pauvre fille,” qui fut parthenos, vierge, avant sa chute. L’Internationale Encyclopédie Standard, par James Orr, fait des observations que la virginité de Dina fut violée par Sichem. Le Commentaire de la Chaire (Pulpit Commentary) décrit Dina comme une victime pris par le prince de force, au sens propre : il l’a opprimé, il l’a abaissé. McClintock et Strong relatent en tant qu’une tâche sur l’honneur de la sœur des fils de Jacob, qui furent tenus de venger son mal. Le chapitre entier est d’un outrage pendant que Jacob fut campé chez Sichem, et toutes les conditions prouvent que parthenos fut l’état de Dina avant l’outrage – elle fut la vierge avant cet acte du prince.

Ce parthenos veut dire une chose uniquement – une vierge pure, non touchée par

l’homme – n’est pas la seule définition du mot lui-même – pourtant est évident de la liste des passages dans lesquels le mot se rencontre, tels que les suivants : Apocalypse 14, 4, dans quels hommes on disait qu’ils étaient vierges – parthenos – « 4 Ce sont ceux qui ne se sont point souillés avec les femmes, car ils sont vierges » ‒ ils furent les hommes vierges. Alors Dina ne pourrait pas avoir été parthenos après la souillure pour la pareille raison formuée en Apocalypse 14, 4. Qui plus est, Paul l’apôtre affirme en 2 Corinthiens 11, 2 que l’Église ou l’église fut par elle-même présentée à Christ « 2 comme une vierge chaste » ‒ parthenos. Ce mot Grec pour vierge n’a jamais été, n’est pas, et ne peut pas

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vouloir dire n’importe quoi d’autre – si ceci n’est pas ainsi alors quel mot soit dans le Grec ou Anglais (Français) peut être utilisé pour déterminer quand une vierge est une vierge ou quand une vierge n’est plus une vierge ?! Qu’est-ce que les professeurs essaient de prouver – qu’une vierge, après tout, il se pourrait que ce n’est pas une vierge – par quel mot ?

Ceci est un autre exemple de qu’est-ce que nos professeurs sont en train de faire –

ils ne défendent pas le précepte primordial de l’immaculée conception – un couronnement du Christianisme – la conséquence de leur conduite et leur cours est d’enlever du poids à la défense de cette forteresse de vérité contre l’assaut des pseudo-versions d’expurger l’immaculée conception de Jésus-Christ d’Ésaïe 7, 14. Lorsque cette citadelle de la Divinité de Christ est forcée de céder à l’attaque le bastion a été percé.

(4) Matthieu 5, 17 : Poursuivant les déformations dans les Quatre Évangiles la

Nouvelle Version Internationale répète comme un perroquet la Revised Standard Version et la Nouvelle Bible Anglaise (NEB) en supprimant le mot « 17 détruire » [le mot détruire dans le texte, est le mot kataluõ καταλύω] et en interpolant “abolir” [qui est le mot Grec katargeõ καταργέω qui n’est absolument pas dans le texte] ainsi introduisant un faux enseignement que la loi ne fut pas abolie. Jésus a dit qu’il ne fut pas arrivé pour détruire la loi mais pour l’accomplir – s’Il l’avait détruit il n’aurait pas pu l’accomplir, de l’avoir détruire aurait empêché son accomplissement, néanmoins en l’accomplissant il l’a aboli – et l’abrogation de la loi est enseignée par Christ et ses apôtres partout dans les Évangiles et les Épîtres, la Nouvelle Version Internationale est contre ici et ailleurs dans son texte dénaturé. Cela devrait être remarqué que les mots détruire et abolir ne sont pas synonymes soit en Grec soit en Anglais [ou en Français] et les nouvelles versions ont corrompu l’enseignement du Christ.

(5) Matthieu 5, 32 : Un autre cas est le verset 32 du même chapitre où “l’infidélité

conjugale” est mis au lieu d’« adultère » comme la cause pour divorce – mais encore “l’infidélité” n’est pas synonyme avec l’adultère – l’infidélité peut exister en formes différentes et diverses actions, par contre l’acte d’adultère est précis – un acte, une chose, une cause. Tout de même cette version substitue l’infidélité conjugale pour l’adultère et la fornication partout dans son texte, ainsi modérant la terminologie des Évangiles et les Épîtres dans leur sévère condamnation de ce péché abominable dans la sévérité du langage inspiré.

(6) Matthieu 19, 28 : La locution “à la reprise de toute chose” est mis pour en la

régénération, qui est la dispensation de l’évangile, comme de cette façon employé dans un autre fragment du texte du Nouveau Testament (Tite 3, 5 – paligenesia) en ce qui concerne le baptême (vient du mot Grec : baptizo, qui signifie uniquement : l’immersion) étant « le baptême [d’autres traductions ont : le lavement, le lavage, le bain] de la régénération » ‒ le baptême (washing) qui relève de la dispensation de l’évangile par opposition à les divers lavages de la loi Mosaïque. L’enseignement de Matthieu 19, 28 est que dans cette dispensation de l’évangile Christ est maintenant sur son trône, et les apôtres maintenant occupent les trônes de l’autorité apostolique, jugeant grâce à l’enseignement apostolique les douze tribus (les tribus spirituelles d’Israël spirituelle qui

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est la représentation de la totalité, l’Église complète (voir Actes 26, 6-7 ; Galates 6, 16 – et les commentaires dans La Parole Prophétique De Dieu). Cependant l’action de rédiger de nouveau pour donner une nouvelle version de ces parties du texte à la caractéristique optique d’avant le millénium de nombreux d’autres passages dans cette fausse version.

(7) Matthieu 26, 64 : Une erreur de traduction semblable est en Matthieu 26, 64

où Jésus a exprimé à Caïphe « Dorénavant vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance, et venant sur les nuées du ciel » ‒ une caractérisation figurée des événements « de la puissance » dans le siège et la destruction de Jérusalem, se rattachant aux descriptions du Seigneur en Matthieu 24, 30 et Marc 13, 26. Ces événements, comme mentionnés au grand prêtre Caïphe ont eut lieu dans son vivant – et il l’a vu, car l’événement ne fut pas lointain. Jésus s’est adressé ces paroles au grand prêtre Caïphe en réponse à son adjuration, toutefois cette version a changé le vous, adressé à Caïphe à “vous tous” et interpole la phrase “à l’avenir,” en donnant une manière de voir le passage vers le second avènement du Christ et l’implication d’avant le millénium. Et l’évangile de Matthieu est ponctué page après page avec la déviation travestie, de la première ligne du chapitre 1 jusqu’aux dernières lignes du chapitre 28, l’action de rédiger de nouveau de la grande commission du Seigneur aux douze apôtres.

(8) Marc 1, 1 : La première phrase de Marc – « 1 le commencement de l’évangile

de Jésus-Christ, le Fils de Dieu » est changé à “au sujet de” Jésus-Christ. Les deux phrases ne sont pas concomitant – elles n’évoquent pas la même attribution. Cette politique au hasard de traduction imprègne cette version irréfléchie. D’autres exemples sont 1 Corinthiens 1, 6 où « 6 le témoignage de Christ » est altéré à “notre témoignage concernant Christ,” et Hébreux 6, 1 où « 1 la doctrine de Christ » [le mot ici pour doctrine dans le Grec est Logos : Thayer dit à la page 381 Du Lexique du Nouveau Testament que : κοισιου λόγος la première instruction concernant Christ (cf. B. 155 (136) ; W. 188 (177) Hébreux vi. 1. D’où 4. Est un sens objectif, qu’est-ce qui est communiquer par l’instruction, la doctrine : … etc. ; Dictionnaire Expositoire des mots du Nouveau et l’Ancien Testament par Vine, mentionne Logos 1. Doctrine, la page 683] est modifiée à “les enseignements touchant Christ,” ‒ à l’infini – le manque d’harmonie qui n’en finit plus partout dans cette version erronée – dans d’autres citations i.e. Romains 1, 16 ; Philippiens 1, 27 « de Christ, » dans l’expression « l’évangile de Christ, » est omise.

(9) Marc 16, 9-20 : En ce qui concerne la fin de Marc – qui englobe la

commission de l’évangile : « 15 Allez par tout le monde, et prêchez l’évangile à toute créature. 16 Celui qui croit et est immergé (baptisé), sera sauvé » ‒ fidèle à la forme, comme dans d’autres nouvelles versions, cette Nouvelle Version Internationale jette le doute qui équivaut au reniement et le rejet de ces derniers douze versets de Marc. Une ligne pour couper est ajoutée ci-dessous le verset 8, pour indiquer la fin de Marc. Ensuite ci-dessus le verset 9, est inséré entre crochets est la déclaration “les plus sérieux des premiers manuscrits omettent Marc 16, 9-20.” Cette déclaration porte l’aveu fatal que quelques manuscrits sûrs ne l’omettre pas – et même si un manuscrit qui est sérieux l’inclut cela constituerait l’authenticité. Cependant le fait historique textuel est qu’il y a cinq cent manuscrits et deux mille copies de cette catégorie de manuscrits qui ont produit

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la Bible – et la fin de Marc n’est manquante que pour deux des cinq cent manuscrits, et par une seule copie des deux mille copies ! La fin de Jean est manquante des pareils manuscrits et les fins Hébreux au chapitre neuf – malgré tout aucun doute que cela n’est indiqué dans les remarques marginales ou les assertions dans les crochets pour jeter le soupçon ou les réflexions sur l’authenticité de ces parties – pourquoi ? La raison est théologique et trop manifeste de gaspiller l’encre et exercer l’effort pour expliquer – les théologiens modernes veulent (que) Marc 16, 9-20 (soit) expurgé, et les faiseurs de la Nouvelle Version Internationale se sont associés avec la coalition hétéroclite résolus à la mutilation du Nouveau Testament dans toute son intégrité doctrinale.

À propos de Marc 16, 9-20 l’érudit d’Angleterre, John W. Burgon a confondu les

attaques des nouvelles versions en son traité intitulé : “Les Douze Derniers Versets de Marc” et une récapitulation de son important exposé est compris dans la section a pour sujet Marc 16, 9-20 dans le livre Un Compte Rendu Des !ouvelle Versions (A Review Of The !ew Versions). Recommandé également est les “Notes Critiques sur Marc 16, 9-20” (“Critical Notes on Mark 16:9-20” par J.W. McGarvey en son commentaire sur Matthieu et Marc. Ces deux traités sont indispensables aux prédicateurs et enseignants qui devraient être armés à l’encontre de ces travestissements – ils sont recommandés en qualité de la bonne lecture pour les utilisateurs des nouvelles versions y compris les professeurs dans les départements de la Bible de nos Collèges.

(10) Luc 1, 1-4 : La préface inspirée à Luc est brouillée par les termes substitués

et les phrases inférieures au langage de Luc, tenant la place de telles significative phraséologie biblique comme « 1 ces choses qui sont les plus sûrement cru parmi nous » et « 3 ayant eu une parfaite compréhension de toutes choses dès le début, » avec le parler dépourvu de la même signification, manquante dans l’excellence littéraire, contrariant de l’enseignement inspiré, invalidant en fait l’inspiration de Luc, faisant de lui pas plus qu’un auteur investigateur, ainsi rendant sa « parfaite compréhension, » ‒ son propre affirmation de connaissance inspirée témoin oculaire « 3 de toutes choses depuis le commencement » ‒ nul et non avenu.

(11) Luc 24 : Le texte entier de Luc est encombré par l’infériorité et

l’interpolation, la contradiction et l’éjection du désordre du premier paragraphe du chapitre un jusqu’au dérangement du dernier paragraphe du chapitre vingt-quatre, excluant l’allusion du Seigneur à l’Écriture prophétique les phrases significatives et conséquentes « 46 ainsi il incombait à Christ de souffrir » (Luc 24, 46) et « 49 voici, j’envoie sur vous la promesse de mon Père » (Luc 24, 49) – faisant la conclusion des grandes délinéations de Luc avec le verbiage avilissant de traducteurs incompétents falsifiant avec le texte des Saintes Écritures inspirées.

(12) Jean 3, 16 : Le remaniement de Jean 3, 16 et l’autre « Fils unique » en Jean 1,

14.18 sont l’ultime irresponsabilité de traduction et l’insouciance, typique des intrusions indélicates dans le texte de l’évangile de Jean à travers ses vingt-quatre chapitres. Car « son l’unique Fils engendré » ces traducteurs novices ont intercalé “son seul et Fils unique » ‒ ainsi introduisant une traduction double du premier syllabe de monogenẽs et une non traduction du second syllabe. Le premier syllabe mono est seul (unique [only])

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ou un (seul [one]) – le second syllabe genẽs est engendré [begotten]. Étant donné que « un [one] » est « seul [unique, only] » et « seul [unique, only] » est « one, seul, » pourquoi traduire mono “le seul et unique” à moins que dans la palliation pour la violence à ce texte précieux dans le retranchement de « son Fils unique. »

Au chapitre 1, le verset 14 « le seul et unique [one and only] » est mis au lien de

« fils unique [only begotten], » omettant unique [begotten, engendré] [la Bible du roi Jacques en français a : son seul Fils engendré] ; mais en Jean 1, 18 « le Fils unique » est modifié à Dieu le Fils unique et « qui est dans le sein du Père » est changé pour qui est à côté du Père ! Une pareille manière odieuse de se mêler superficiellement avec les mots de la Bible est intolérable.

Au chapitre Le Fils Unique (The Only Begotten Son) dans le Compte Rendu Des

!ouvelles Versions il est incontestablement établi en l’Anglais que monogenẽs ne peut pas être traduit sans les deux mots only begotten – « mono » est seul ou unique [only], et « genẽs » est [begotten] engendré. Cependant « genẽs » a tous les deux le genre masculin et féminin. Le masculin est engendré [begotten] (actif), le genre féminin est né (passif) – alors, comme le premier syllabe mono est donné la traduction double “le seul et unique” la cohérence demanderait la traduction double du second syllabe, et cela serait ainsi fabriqué à vouloir dire : Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son seul et unique Fils né (engendré) ! Cependant ils ont supprimé le dernier syllabe genẽs - engendré (begotten) – et de pallier le mot effacé ils ont rendu le premier syllabe mono le seul et unique (the one and only) ! Cela est ridicule, la stupidité pure et simple, et en plus d’être si erronée selon la doctrine c’est la preuve de l’incapacité totale du comité congloméré de ce prétendu et soi-disant version œcuménique. Jusqu’à quel point les néo-traducteurs peuvent-ils aller ?

(13) Jean 3, 8 : Un autre exemple est dans la première partie du discours du

Seigneur avec Nicodème au chapitre 3. En concluant son explication de la nouvelle naissance Jésus a dit « 8 ainsi en est-il de tout le monde qui est né de l’Esprit » (Jean 3, 8) – par l’insertion de deux mots, le pronom il et la préposition avec la signification du passage est changée. Le Seigneur se modifiait à la mention de la nouvelle naissance de la naissance de l’un – chacun – qui est né, en faisant référence par l’illustration de l’élément invisible du vent à la partie invisible de l’individu – l’homme intérieur – en tant que le sujet de la nouvelle naissance. Cependant les interpolations dans le fragment du texte suggèrent de l’opération mystérieuse directe de la part du Saint-Esprit dans la nouvelle naissance, de laquelle le faux concept de ce verset a été une canne à sucre pour ses défenseurs – et ce n’est pas étonnant que la Nouvelle Version Internationale ait ajouté plus de sucre à leur canne, vu que les Nazaréens, et les Néo-Pentecôtistes sont bien représentés sur son comité.

(14) Jean 14, 1-2 : Un autre exemple avilissant de se mêler superficiellement avec

une partie du texte de valeur est Jean 14, 1-2 : « 2 Dans la maison de mon Père il y a beaucoup de demeures. » À ce grand passage ce comité a suivi la conduite de la RSV en changeant de grand nombre de demeures à beaucoup de chambres – donc nous aurons tous une chambre au ciel – quelle espérance rabaissée !

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On dit qu’il pourrait ne pas avoir des demeures dans une maison – alors pourquoi pas enlevée la maison et réservées les demeures, puisque un autre fragment du texte lit qu’il y a un tel patrimoine « 4 réservé dans le ciel pour vous. » (1 Pierre 1, 4) Ces gens gauches qui se mêlent superficiellement avec la Bible avili le ciel à un immeuble avec chambres à louer. Ils paraissent de considérer la maison en tant qu’une résidence avec un numéro de rue. Ils semblent que cela n’a pas venu à leur esprit que la maison Européenne de Brunswick, d’Este, de Hanover, de Hohenzollern, ont dénoté un domaine, une dynastie – alors ils sont « 5 ignorant volontairement » (2 Pierre 3, 5), de la « 16 maison de David, » (1 Samuel 20, 16 etc.) la « 12 maison d’Israël, » (2 Samuel 1, 12) la « 3 maison de Jacob, » (Exode 19, 3) la « 7 maison de Judée, » (2 Samuel 2, 7) toutes de la référence Biblique, et qui donne la connotation du domaine entier d’une telle mention. Alors, « dans la maison de mon Père » comporte l’idée de l’habitation entière de Dieu – et les demeures dénotent sa magnificence. Délivrez-nous d’abaisser, de renverser de son piédestal, de rétrograder, et pour cette raison le caractère dégradant de cette traduction altérée. Ils privent la maison du Père de sa splendeur, et de même les nombreuses et diverses béatitudes épistolaires ont été chipées de leur beauté immaculée par ces rédacteurs théologiques inaptes et autoproclamés de l’Écriture sainte.

(15) Actes 1, 3 : Le livre des Actes regorge avec les bourdes de ce comité heureux

d’altérer. Ils débutent avec le chapitre 1, le verset 3 où « 3 parlant des choses ayant rapport au [pertaining, qui appartiennent, regardent le] royaume de Dieu » à “parler concernant [spoke about]” le royaume et au chapitre 28, le verset 31, à la fin du livre, « 31 enseignant ces choses qui concernent le Seigneur Jésus-Christ » est modifiées à “enseigner à propos de [taught about]” le Seigneur Jésus-Christ – c’est tout un bourdon dans l’un et l’autre le commencement et la fin d’Actes. Le mot “au sujet de [about]” manque bien beaucoup de sens de « parlant des choses se rattachant au royaume » et « enseignant ces choses qui concerne le Seigneur Jésus-Christ. » En Actes 1, 4 « 4 la promesse du Père est modifiée à “le don que mon Père a promis” – le terme “don” n’est pas dans le texte et le pronom personnel “mon” est mis pour l’article « le, » comme le comité peu soigneux inclus dans et sort conformément à leur caprice.

(16) Actes 2, 39 : Au chapitre 2, le verset 39 la conjonction « car » est enlevé qui

se rapporte au don du Saint-Esprit dans le verset 38 avec les bénédictions de l’évangile aux Juifs et Gentils au verset 39 – et est ainsi définitive du don du Saint-Esprit.

(17) Actes 3, 21 : En chapitre 3, le verset 21 « 21 les temps de restitution » est

changé à “jusqu’au temps venu pour Dieu de restaurer tout” – qui accommode la partie du texte au prémillénarisme. Le passage dit les temps non pas “le temps” – et la phrase les temps de restitution ont fait allusion à la dispensation de l’évangile dans le pareil sens que les derniers jours au chapitre 2, le verset 17, commençant le jour de Pentecôte, embrassant la période de l’évangile de Pentecôte jusqu’à la fin. Par conséquent les traducteurs préjugés théologiquement ont les temps de restitution commençant où le passage montre qu’ils ont fini – à la descente du Christ du ciel, et cela est vraiment le prémillénarisme.

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(18) Actes 8, 37 : Au chapitre 8, le verset 37 les deux la déclaration de Philippe sur la condition du baptême et la réponse de l’eunuque sont omises. Si tu crois de tout ton cœur, il est permis et Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu – l’une et l’autre de ces déclarations sont corrélatives, sans qu’il y a une interruption dans la narration qui rende cela incomplet, sont omises.

(19) Actes 9, 5-6 : En le chapitre 9, les versets 5-6, la dernière partie du verset 5

« 5 … il t’est dur de regimber contre les aiguillons » et la question de Saul dans le verset 6, « 6 Seigneur, que voulez-vous que je fasse ? » sont omises.

(20) Actes 10, 6 : Au chapitre 10, le verset 6 les paroles de l’ange à Corneille

parlant à Pierre, « 6 il te dira ce qu’il faut que tu fasses » sont omises. (21) Actes 11, 14 : Dans le chapitre 11, le verset 14 le compte rendu des paroles

de l’ange « 14 qui te dira des paroles par lesquelles toi et toute ta maison serez sauvés » est omis.

(22) Actes 11, 17 : En le verset 17 (11, 17) les mots de Pierre que « Dieu leur a

donné le don semblable comme il nous a fait, qui avons cru au Seigneur Jésus-Christ » est altéré à “Dieu leur a donné le pareil don comme il nous a donné quand nous avons cru.” La dernière déclaration n’est pas vraie – Dieu n’a pas accordé ce don du Saint-Esprit sur les apôtres quand ils ont cru, et ce ne fut pas le même don à Corneille et sa maison, mais le don semblable – qui le ressemble seulement dans la manière dans laquelle cela est descendu du ciel, étant la première circonstance depuis Pentecôte, néanmoins pas le même en degré, mesure, étendue ou objet comme aux apôtres. Plus ces traducteurs arbitraires falsifient avec le texte plus ils altèrent son enseignement. [N.B. Un extrait du livre : La Mission et le Médium du Saint-Esprit, les pages 82-83 :

LE DON SEMBLABLE

La formulation du texte c’est que Dieu a attribué à la maisonnée de Corneille le don semblable qui a descendu sur les apôtres « comme au commencement. » – Actes 11, 15. Pierre aurait pu aussi bien stipuler le même don – pourtant ce n’était pas pareil. Par comparaison, la foi du même genre de l’ordre miraculeux n’était pas identique en rang car Paul a exprimé en Romains 12, 3 qu’il y avait diverses mesures de sa possession et exercice. Nonobstant le baptême du Saint-Esprit n’a pas été promis en degré, et n’était pas possédé en différentes mesures. C’était ce revêtement avec puissance – le Consolateur, l’Esprit de vérité et l’inspiration, qui a été promis aux apôtres – « Vous serez (soyez) revêtus (doué) de la puissance d’en haut » – Luc 24, 49 – et Corneille n’était pas revêtu avec cette puissance. S’il avait été revêtu, doué ou imprégné, il aurait eu l’inspiration lui-même, sur le même pied d’égalité que les apôtres, et non inférieur de quelconque entre eux, et donc n’aurait pas eu le besoin d’être instruit de Pierre avec « des paroles (rhema) {qui dénote ce qui a été dit, qui est prononcé soit verbalement ou par écrit} par lesquelles tu seras sauvé » – Actes 11, 14 – ou n’importe quelle autre chose.

Par ailleurs, si le miracle à la maison de Corneille était le baptême du Saint-Esprit, vu que c’est exposé que l’Esprit « tomba sur eux » – Actes 11, 15 – tout le ménage de Corneille,

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et sur tous ceux qui étaient dans la maison à l’occasion du discours de Pierre – il s’ensuit qu’ils étaient tous des bénéficiaires de qu’est-ce que les apôtres ont reçu le jour de Pentecôte. Tout de même ce miracle est survenu avant que quelques-uns d’entre eux aient entendu et cru l’évangile, car au verset 15 Pierre lui-même a déclaré que l’Esprit est tombé sur eux au moment où il a commencé à parler; malgré cela en Actes 15, 7 Pierre a raconté qu’ils avaient cru après l’avoir entendu la parole par sa bouche. Alors si qu’est-ce qui est arrivé au domicile de Corneille était le baptême du Saint-Esprit, donc cette maison remplie de non-croyants étaient tous baptisés en le Saint-Esprit. C’est ce que tout de ces cultes des « baptêmes du Saint-Esprit » prétendent, et ils ont concouru pour cela en discussion sur le sujet du Saint-Esprit, néanmoins nous ne leur avons pas souffrit de s’en tirer avec leur fausse doctrine; c’est hors de l’harmonie avec l’enseignement du Nouveau Testament sur les façons de faire du Saint-Esprit et le seul but du baptême du Saint-Esprit. Ce cas de l’effusion de l’Esprit a été nettement une manifestation miraculeuse vers l’extérieur pour démontrer, en une méthode similaire à Pentecôte, que les Gentils étaient accueillis par Dieu tel que des sujets de l’évangile et devraient ainsi être admis par tous les Juifs dans l’Église en tous lieux, car ce n’était nulle part ailleurs renouvelée.

Si, alors, ça devait être demandé dans quelle manière cet épanchement de l’Esprit à la maison de Corneille se distinguent des autres cadeaux spéciaux de l’Esprit, fait mention dans le Nouveau Testament comme « dons spirituels, » c’était en fait que ce n’était pas transmis par l’imposition des mains des apôtres; que ce n’était pas une source de connaissance pour donner l’instruction, l’enseignement ou l’édification et ça n’a pas poursuivi avec Corneille et les auditeurs qui étaient-là. Quant à l’aspect dans lequel c’était dissemblable les présents de l’Esprit reçus par les enseignants spirituellement dotés est l’égard précis dans lequel c’était semblable de qu’est-ce qui s'est produit le jour de Pentecôte – dans la manière de sa réception seulement, en ce sens que ce n’était pas transmis mais est venu directement du ciel tel que le jour de Pentecôte. (Pour avoir plus de renseignements sur la doctrine du Saint-Esprit, voici le lien direct : www.egliseduChristquebec.com/pdf/mission_et_le_medium_du_st_esprit.pdf )]

(23) Actes 16, 14 : Au chapitre 16, le verset 14 en rapportant la conversion de

Lydie, Luc a raconté : « 14 Et une certaine femme, nommée Lydie …. !ous écoutait ; et le Seigneur lui ouvrit le cœur, pour qu’elle soit attentive aux choses dont Paul parlait » ‒ cette version défavorable se lit : “Le Seigneur a ouvert son cœur pour répondre au message de Paul,” omettant les mots « nous écouta » dans le texte avant « et le Seigneur lui ouvrit le cœur. » Les termes importants nous écoutait définis comment le Seigneur a ouvert le cœur de Lydie – en écoutant la parole prêchée par Paul. Dans l’omission de « nous écouta » ces traducteurs de faux enseignement ont insinué le dogme de la puissance directe qui convertisse – le processus de l’opération directe – dans la conversion. Donc, la !ouvelle Version Internationale est la pourvoyeuse de la fausse doctrine.

(24) Actes 19, 4 : Dans le chapitre 19, le verset 4 Paul a dit aux douze à Éphèse :

« 4 Il est vrai que Jean a baptisé (a immergé) du baptême de la repentance » ‒ voici comment cette version erronée est rédigée : “le baptême de Jean fut un baptême de repentance,” eu ainsi égard à la doctrine que la repentance fut elle-même l’élément du baptême ‒ en revanche Paul a expliqué que Jean a baptisé avec le baptême de la

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repentance, et Jean a baptisé dans la rivière Jourdain ! L’apôtre Paul a employé l’un et l’autre le verbe baptiser (a baptisé) et le nom le baptême – Jean a baptisé avec le baptême de la repentance – c’est-à-dire, le baptême a découlé de ou par ou du repentir. (N.B. Le repentir est avant d’être immergé) Cependant la version aberrante a remplacé le verbe a baptisé et a ajouté le baptême deux fois – et ils appellent cela une version, c’est une déformation grossière.

(25) Actes 26, 28 : En le chapitre 26, le verset 28 Agrippa a exprimé à Paul : « 28

Il s’en faut peu que tu me persuades de me faire Chrétien ! » ou « Tu me persuades presque d’être un Chrétien ! » La version qui dévie se lit comme suit : “Est-ce que vous pensez que dans une telle courte durée de temps vous pouvez me persuader de devenir Chrétien ?” Quelle définition de presque ! Cela traduit une déclaration affirmative dans une question plaintive – les traducteurs peu scrupuleux n’observent pas la divergence entre un point et un point d’interrogation ! (Une discussion complète d’Actes 26, 28 est à la page 403-404 [en anglais de ce livre] dans Le Compte Rendu Des !ouvelles Versions [A Review Of The !ew Versions.])

(26) Actes 28, 26 : Au chapitre 28, le verset 26 la citation de la prophétie d’Ésaïe

est citée à faux ; comme en Matthieu 13, 13-15 et Actes 13, 41 ; de changer une citation n’est pas même éthique dans la œuvres littéraires.

(27) Actes 28, 31 : Le dernier verset d’Actes – 28, 31 – clore avec « 31 prêchant

le royaume de Dieu, et enseignant ces choses qui concernent le Seigneur Jésus-Christ avec hardiesse et sans aucun empêchement [en anglais KJV : avec toute confiance, nul homme qui l’interdisait.] » (Qui est impliqué ici, cela va de soi) Voici les termes exacts de la version qui dévie : “ Audacieusement et sans obstacle il a prêché le royaume de Dieu et enseigné à propos de Jésus-Christ” – tout à fait une omission des mots de Luc, l’auteur inspiré, et une substitution officieuse de « au sujet de » Christ pour « ces choses qui concernent » Christ. Comme dans Actes 1, 3 avec le remplacement de « concernant » pour « parlant les choses se rapportant au royaume de Dieu, » cette version importune débute le livre d’Actes avec “concernant,” le fini avec “concernant” et écrit “concernant” à travers tout le livre, omettant qu’est-ce que l’auteur inspiré avait dit. Ainsi cela expose le modèle qui tergiverse des additions et les soustractions, des inclusions et les omissions, en altérant le texte du Nouveau Testament en accord avec leur propre volonté saugrenue.

Le caractère révélé de Romains par l’inspiration de Paul a été traduit par le comité

de la Nouvelle Version Internationale dans leurs propres concepts théologiques. Les variations trompeuses sont si variées et nombreuses – tellement émaillées partout dans le texte – que cela exigerait un volume aussi grand que la version elle-même pour cataloguer « car le temps me manquerait pour parler » (tiré du langage d’Hébreux 11, 32) de toutes les citations anormales de cette version. Les quelques renvois vont servir comme les échantillons de la corruption intrinsèque. Les premiers empiètements sur l’essence fondamentale de Romains sont patents, à son commencement.

(28) Romains 1, 3 : Au verset 3 l’apôtre fait l’affirmation vitale que le Fils de

Dieu Jésus-Christ notre Seigneur a été fait la semence de David suivant la chair – mais la

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version récente omet le mot essentiel « fait » et le mot semence, et fait en sorte que Paul dit : “qui quant à sa nature humaine fut un descendant de David” – et Paul n’a pas dit cela. Paul a expliqué que Jésus-Christ « a été fait de la semence de David. » Il y a un grand nombre de descendants, par contre Une Semence : « 16 Il ne dit pas : Et aux semences, comme [parlant] de beaucoup ; mais comme d’une [seule]. Et à ta semence qui est Christ » (Galates 3, 16). Il y a une substance divine dans la semence qui n’est pas inhérente dans “descendant.” En outre, le mot fait en Romains 1, 3 est ginomai et veut dire crée. C’est le même mot de Galates 4, 4 : « 4 Mais lorsque la plénitude du temps est venue. Dieu envoya son Fils fait (ginomai) de femme » ‒ créée de la femme. Cela est le mot de Romains 1, 3 : Jésus-Christ notre Seigneur a été fait – créée – de la semence de David – et cela relie tous les deux Romains 1, 3 et Galates 4, 4 avec le seul Fils engendré (the only begotten Son) de Jean 3, 16, et pour cette raison avec l’immaculée conception. Ces vérités intrinsèques ne sont totalement pas tenues en aucun compte par ces traducteurs trop nouveaux genres qui ajoutent à et qui retranchent du texte de leur propre volonté et fantaisie.

(29) Romains 1, 9 : Une autre révision inexcusable de la syntaxe de Paul au verset

9 est la substitution de leur phrase “tout mon cœur” pour « 9 mon esprit » de l’apôtre. La déclaration de l’apôtre est : « 9 lequel je sers avec mon esprit dans l’évangile de son Fils. » Le fragment du texte enseigne que le système de l’évangile se rapporte à l’esprit de l’homme – l’homme intérieur par opposition à la nature extérieure de l’ancienne loi – en tant que « 23 la loi de mon esprit » ‒ ou la loi de Dieu (l’évangile) adressée à, ayant rapport à l’esprit, du chapitre 7, le verset 23. Continuant dans le verset 25, l’apôtre a annoncé : « 25 Ainsi donc par l’esprit, moi-même, je sers la loi de Dieu » ‒ et ce sont les passages pendants avec et les extensions de « lequel je sers avec mon esprit dans l’évangile de son Fils » du chapitre 1, le verset 9. Les trois parties du texte sont définitives de la nature de Dieu de l’esprit – et le service de “tout le cœur” n’est pas la connotation ici. Ce que Paul a exprimé très simplement fut qu’il a servi Dieu avec l’homme intérieur selon l’évangile du verset 1 et le verset 16. Ces derniers traducteurs ont touché ces fragments du texte et certains d’autres, afin que la signification ne soit plus là, en suivant un système de pensée – leur propre pensée – au lieu de la traduction du mot du texte du Nouveau Testament.

(30) Romains 1, 16 : L’insouciance peu soignée pour le texte est manifeste dans

l’omission de l’Auteur de l’évangile en Romain 1, 16. Le texte de l’évangile, connu de tous, lit comme suit : « 16 Car je n’ai pas honte de l’évangile de Christ. » Les rédacteurs de la nouvelle version ont omis de Christ. Ils ont gardé « 1 l’évangile de Dieu » au verset 1, toutefois ils ont enlevé “16 l’évangile de Christ ” au verset 16 ! Quel maniement au petit bonheur de la parole de Dieu !

(31) Romains 1, 17 : Voici comment Romains 1, 17 est rédigé dans la Nouvelle

Version Internationale : “17 Une vertu qui est par la foi du début jusqu’à la fin.” L’association du verset 17 avec le verset 16 précédant fut pour enseigner les uns et les autres les Juifs et les Gentils que la droiture (la justification) vient de l’évangile du verset 16, non pas de la loi – et le membre de phrase « de la foi à [ou] pour la foi » fait allusion à l’évangile en tant que le système de la foi. La préposition à ou pour est eis (εις) – D’où

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de (ek [εκ]) la foi à ou pour (eis) la foi » ‒ mais eis est afin de ou pour, alors le verset 17 se lit : « 17 Car à cet égard [ou] en cela est la vertu de Dieu révélée de la foi pour la foi. » Enfin, Paul n’a pas eu honte de prêcher aux Juifs que la justification est de la foi (le système de la foi, l’évangile) pour la foi – i.e. pour que (eis) produit la foi dans ces auditeurs. La vertu ou droiture veut dire la justification, c’est l’état de la justification dans laquelle le pécheur entre par l’obéissance à la foi de l’évangile – l’évangile révèle (en cela) comment Dieu justifie le pécheur. Cette « droiture de Dieu » n’est pas un attribut de Dieu car en Romains 10, 3 l’apôtre affirme que les Juifs furent « 3 ignorants de la droiture de Dieu, et cherchant à établir leur propre vertu, ils ne se sont pas soumis à la droiture de Dieu. » Cependant les Juifs ne furent pas ignorants que Dieu est vertueux – mais ils furent ignorants de la droiture de Dieu, la chose à laquelle ils ne furent pas soumis, mais bien plutôt ont recherché d’instaurer leur propre – à savoir, leur propre système de la justification. Nul ne peut être vertueux – personne ne peut être juste – sans le pardon. Alors l’évangile que Paul a prêché à révéler à tous les deux le Juif et le Gentil comment Dieu rend l’homme droit – comment Dieu pardonne les pécheurs, et ce n’est pas “par la foi seule du début jusqu’à la fin” de la Version Anglaise d’Aujourd’hui (Today’s English Version) – Les Bonnes Nouvelles Pour l’Homme Moderne (Good News For Modern Man) – ni “de la première jusqu’à la dernière” (from first to last) de la Nouvelle Version Internationale. Il paraît que la dernière version est en concurrence avec la version précédente de complètement rend cela moderne ! Les unes et les autres de ces fausses traductions bouillonnent avec le concept de credo de la justification par la foi uniquement et les traducteurs infusent ce principe dans le texte par chaque moyen subtil ou exécution possible.

(32) Romains 3, 27 : Conformément à l’intrusion du texte de la foi seule de

Romains 1, 17 est le “principe de la foi” la substitution pour « la loi de la foi » en Romains 3, 27 : « 27 Où est donc la vantardise ? Elle a été exclue. Par quelle loi ? [Celle] des œuvres ? Non, mais par la loi de la foi. » Cependant le système de pensée des traducteurs de la Nouvelle Version Internationale afin de contourner la loi de la foi de Paul ont altéré Romains 3, 27 à “par quel principe ? Sur celui d’observer la loi ? Non, mais sur celui de la foi” – de là, le principe de la foi. L’acte de réécrire du verset entier pour servir l’idée de la foi uniquement est bien trop évident de laisser échapper. Cela va être perceptible à tous ceux qui vérifient d’autres passages pour une comparaison qu’ils ne changent pas la loi de l’esprit de Romains 7, 23 au principe de l’esprit ni la loi de l’Esprit de Romains 8, 2 au principe de l’Esprit – ni la loi de Dieu et la loi de Christ au principe de Dieu et le principe de Christ – pourtant c’est le même mot Grec nomos dans toutes ces références, plus des douzaines d’autres, où il n’y a pas une de telles modifications. La foi est une action mentale, une fonction de l’esprit, un processus de la réflexion, un exercice du cœur – par conséquent le principe de l’idée, de la pensée, ou le principe du plaisir, ou de la jouissance, seraient tous dénués de sens. En faisant des remarques sur ce verset, Whiteside a raconté : “La foi est un acte de l’esprit, ou cœur ; et une personne devrait aussi bien parler à propos du principe de la réflexion, ou le principe de la joie, que de parler concernant le principe de la croyance. Une pareille expression comme ‘le principe de la foi’ ne communique aucune idée à l’esprit.” (Romains, la page 92 [son livre en anglais])

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Le terme principe provient de stoicheion qui signifie les éléments, comme en Galates 4, 3, les éléments du système Mosaïque (le Judaïsme) les amenant à la nouvelle alliance – et cela n’est pas le mot de Paul en Romains 3, 27 ; ou archẽ, qui veut dire le commencement, comme en Hébreux 5, 12 et Hébreux 6, 1, les principes du système Mosaïque, précédents à la nouvelle alliance, avec les quelques exceptions des mentions aux principautés et autorités (Éphésiens 1, 21 et Colossiens 2, 10) – et ce n’est pas le terme de Paul en Romains 3, 27. Cependant nomos – la loi est le terme de Paul, et ni les traducteurs ni le comité des traducteurs ne possèdent la prérogative de le faire un contresens en traduisant. Et plus que cette définition d’un principe est ceci : une règle de tenue et comportement basés sur le sens des valeurs morales admises. Cependant la loi est légale, et la loi de la foi en Romains 3, 27 enseigne le légalisme de l’évangile dans le plan du salut, qui est contraire à leur credo et donc répulsif à leur système de pensée de la foi seule.

(33) Romains 3, 31 : N’ayant pas le désir de réviser Romains et améliorer Paul

assouvi par l’oblitération la loi de la foi au verset 27 ces traducteurs de pensée incitent à éviter invalidant la loi dans le verset 31 en faisant en sorte que Paul dit : “Nous faisons respecter la loi” – par contre Paul n’a pas exprimé cela. Il a répondu : « 31 Nous établissons la loi. » L’élément prophétique et le système typique de la loi ont eu l’accomplissement dans la loi de la foi de la dispensation de l’évangile, et par cette réalisation la validité de la loi a été vérifiée, pour cette raison instaurée – mais Paul n’a pas maintenu la loi (l’Ancienne) car cela fut abrogée, abolie et fut supprimée en Christ – remplacée par la loi de la foi, l’évangile. (2 Corinthiens 3, 13-14 ; Colossiens, 2, 14 ; Hébreux 10, 9-10). Les révisionnistes du système de pensée n’ont pas assez réfléchi pour distinguer la différence entre faire observer et établir, ou bien ils n’ont pas tenu compte de la distinction. Dans les deux cas cela est vilain d’échanger les paroles de l’apôtre inspiré pour les sophismes de leur rationalité humaine, prétendant de corriger cela mieux que Paul pouvait l’énoncer – comme quand Paul a dit, « 31 Annulons-nous donc la loi par la foi ? À Dieu ne plaise, oui, nous établissons la loi, » ou « Anéantissons-nous donc la loi par la foi ? Ainsi n’advienne : mais nous établissons la loi, » les rédacteurs irrévérencieux, heureux d’altérer, ont réduit À Dieu ne plaise de Paul à leur propre “Pas du tout” auquel transfert nous répliquons : À Dieu ne plaise !

(34) Romains 4 est le point commun de tous les rédacteurs modernes de

traduction de la foi uniquement et les fantoches de la Nouvelle Version Internationale de la déformation sont liés dans la relation cohésive pour ce mélange divers de réviseurs.

Voici ce que dit Romains 4, 3 : « 3 Or que dit l’Écriture ? Abraham crut Dieu, et

cela lui fut imputé pour la droiture. » La Nouvelle Version Internationale a modifié « cela lui fut compté à la vertu » à “ajouter cela à lui comme la vertu,” et de ce troisième verset cela accommode tout le chapitre à la doctrine de la justification par la foi seule, sur la théorie que Romains 4, 3 étant une citation de Genèse 15, 6, insinue qu’Abraham fut accrédité la droiture « 11 étant encore incirconcis » (Romains 4, 11) – donc, la vertu par la foi sans les œuvres, par conséquent la justification par la foi uniquement. Cependant la foi d’Abraham avant la circoncision ne fut pas par la foi uniquement – il a déjà travaillé, ayant obéi (Hébreux 11, 8) ; ayant bâtit (dressa ou éleva) des autels pour adorer Dieu

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Genèse 12, 7 ; 13, 4-18) ‒ tout avant sa circoncision. Romains 4, 3 défini cela dans une locution tout incluse : Abraham crut Dieu, et exemplifiant cette foi d’Abraham en Hébreux 11, 8 faisant allusion à Genèse 12, 1-4, l’apôtre relie ces versets dans la déclaration « 8 par la foi, Abraham, lorsqu’il a été appelé, pour aller au lieu qu’il devait ensuite recevoir en héritage, obéit » ‒ et cela fut avant sa circoncision. Donc la foi d’Abraham est la foi qui obéi.

Ajouté à cette définition précise est la déclaration complémentaire de Romains 4,

12, dans son application à nous : « 12 et le père de la circoncision, à savoir de ceux qui ne sont point de la circoncision seulement, mais qui aussi marchent sur les traces de la foi de notre père Abraham, laquelle il a eue étant encore incirconcis » ‒ a marché dans les traces ou pas de cette foi, savoir, la foi qui obéi Dieu. Et curieusement, tout de même alors qu’on ne s’y attendait pas, les gens qui suppriment de la Nouvelle Version Internationale ont coupé le mot cette qui est le mot clé du verset 12. Et ils diminuent davantage la partie du texte en insérant leur propre jargon “a marché dans les empreintes de pieds” à la place de la phrase de l’apôtre « marché dans les pas [ou] marché sur les traces » de cette foi d’Abraham. Le terme pas (traces ; steps) est dans le Nouveau Testament seulement trois fois : Romains 4, 12, « les pas de cette foi » ; 2 Corinthiens 12, 18, « 18 n’avons-nous pas marché sur les mêmes traces ? » ; 1 Pierre 2, 21, « 21 afin que vous suiviez ces pas » ‒ mais le mot footsteps (empreintes de pied [ou] le sens littéral de trace) n’a pas eu lieu du tout, et nonobstant la connexion apparente de steps (pas) avec le pied (foot), inchnos (steps, pas) n’est pas traduit “les empreintes de pieds (footsteps)” dans n’importe quel fragment du texte où cela se rencontre, et de faire ainsi donne l’infériorité à la diction textuelle. Il y a une signification supérieure et de l’importance dans les pas de la foi [suivre sur les traces d’Abraham], communiquant les conditions de l’obéissance. Sous l’apparence des traducteurs ces personnes qui prennent des libertés avec le texte sont les faiseurs des expressions.

(35) Voici comment le texte de Romains 4, 4 est rédigé : « 4 Or à celui qui œuvre,

la récompense n’est pas imputée comme la grâce, mais comme une dette » ‒ et ce verset est fabriqué à vouloir dire que dans notre acte de faire n’importe quoi pour être sauvé le Seigneur serait dans l’obligation au pécheur, c’est-à-dire que le salut serait une affaire de dette, qui ferait en sorte que Dieu soit un débiteur à l’homme, et comme cette interprétation des œuvres, en tant qu’une conclusion, est rendue à signifier le baptême, la conclusion nécessaire serait : si le baptême est l’œuvre, mais est un commandement de Dieu, alors comme les œuvres de Romains 4, 4 est comptées de dette, alors Dieu doit l’homme le salut, et la soumission au commandement d’être immergé (baptisé, vient du mot Grec : Baptizo, veut seulement dire : immersion) serait exclu de la grâce de Dieu.

L’illustration de la foi d’Abraham a servi de montrer que la foi pour être un type

de la foi de l’évangile, et sa justification en qualité d’un type de la justification de l’évangile. Cependant la foi d’Abraham et la justification ne sont pas plus identiques avec la foi de l’évangile que le rocher [ou] le roc d’Exode 17, 6 et 1 Corinthiens 10, 4 duquel Israël a bu fut identique avec Christ. La déclaration de Paul en Romains 4, 3 est que la foi d’Abraham fut « 3 imputé à lui pour la vertu » ‒ pour est eis, et est pour ou afin de. Cependant la Nouvelle Version Internationale change la phrase à “a été crédité à lui

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comme la vertu.” Les déclarations ne sont pas pareilles – d’être crédité comme n’est pas la chose elle-même (Galates 3, 6 ; Jacques 2, 21). La droiture est la justification. La foi d’Abraham ne fut pas la justification toutefois a été comptée [ou] imputée pour cela – eis – pour cela. Comparez 1 Jean 3, 7 : 7 Celui qui pratique la droiture est droit, comme lui-même est droit. » Mettez en comparaison également Jacques 2, 21 : « 21 Abraham notre père, ne fut-il pas justifié par [les] œuvres, lorsqu’il offrit Isaac, son fils sur l’autel ? » À cette époque Abraham a crut en Dieu (Romains 4, 3 ; Jacques 2, 23) il n’a rien fait – mais sa foi fut imputée (ou) comptée pour la vertu, ou la justification – la distinction est entre comptée (ou) imputée et réelle. La foi d’Abraham fut considérée, imputée, comptée (pour) la droiture jusqu’à l’occasion pour obéir Dieu fut offert et admit. La foi d’Abraham ne fut pas identique avec la foi de l’évangile, car Galates 3, 23 contraste « 23 Or avant que la foi vînt » avec après ‒ « 23 la foi qui devait être révélée plus tard » ‒ l’évangile. Une personne ne pouvait pas être justifié durant la loi par la foi qui ne fut pas arrivée jusqu’à après la loi. Le Nouveau Testament maintient en puissant contraste deux choses : 1. la loi et les œuvres de la loi 2. la foi et les œuvres de la foi.

L’usage de la même illustration de la foi d’Abraham par l’apôtre Jacques

invariablement adoptée pour se heurter avec Paul l’apôtre (à première vue, en apparence) : enfin, que Jacques dit une chose – « par les œuvres » (Jacques 2, 21-24) – et Paul exprime une autre chose – « non par les œuvres. » Il n’y a nul conflit. À qui la justification que Paul a fait référence ? La justification d’Abraham. La justification à qui est-ce que Jacques a fait mention ? La justification d’Abraham. Il n’y a aucune différence entre Paul et Jacques quant à Abraham. À quelle justification est-ce que Paul a parlé ? Celle de Genèse 15, 6. De quelle justification est-ce que Jacques a fait référence ? À Genèse 15, 6. Alors il n’y a point de différence dans la justification. Cependant cela est prétendu que la différence existe dans les objets – que pas des œuvres de Paul voulait dire le pécheur étranger, et Jacques par les œuvres signifie le Chrétien. L’illustration additionnelle de Jacques 2, 25 de Rahab vaporise cette distinction : « 25 Pareillement aussi Rahab la courtisane, n’a-t-elle pas été justifiée par les œuvres » ‒ également Rahab la courtisane – c o u r t i s a n e n’est pas la façon j’orthographe Chrétien. En outre, étant donné que l’argument “pas par les œuvres” est fondé sur la déduction que les œuvres élimineraient la grâce, cela s’ensuit irrésistiblement que si les œuvres dans le passage de Jacques font allusion à un Chrétien cela dépossèdent le Chrétien de la grâce – si les œuvres de la foi annulent la grâce, alors la grâce est écartée de la vie d’un Chrétien. Si l’argumentum pour la justification par la foi seule fut la glaise cela serait bien trop piètre pour faire les briques.

Romains 4 intégralement a été révisé pour enseigner le faux dogme confessionnel

de la justification par la foi uniquement. L’importance principale de Romains 4, 1-6 légitime l’action de copier dans le traité des commentaires détaillés de R.L. Whiteside cet érudit inégalable les Saintes Écritures. L’explication pénétrante de Whiteside de ces versets traitent le cas de la foi d’Abraham complètement, et son insertion ici, avec l’autorisation de sa fille l’éditrice, Inys Whiteside, serve le présent but d’une exposition des interprétations erronées dans les traductions inexactes des versions réécrites – et les méprises d’un domaine plein de commentateurs incompétents en qu’est-ce qui semble être une envie générale de novus homas de composer un commentaire sur Romains. Le

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mémoire du Commentaire de Whiteside intitulé La Lettre De Paul Aux Saints De Rome (Paul’s Letter To The Saints At Rome) est soumise avec la recommandation de cela en qualité d’un guide aux Romains qui devrait être sur le bureau de chaque prédicateur et enseignant, ou étudiant de l’enseignement du Nouveau Testament, et la lecture requise dans les cours de la Bible de tous les collèges.

Le verset 3 : Or que dit l’Écriture ? Abraham crut Dieu, et cela lui fut imputé pour la vertu. Ceci est une citation de la Genèse 15, 6. Jéhovah a juste promis à Abraham un fils et une postérité aussi innombrable que les étoiles, malgré le fait qu’il soit vieux, et Sara fut passée l’âge d’enfanter. « Et Abraham eut foi en l’Éternel, et cela lui fut imputé pour la droiture. » Une des choses les plus insolites dans tout le domaine de l’exégèse de la Bible est l’affirmation si généralement faite que ce langage fait mention à la justification d’Abraham en tant qu’un pécheur étranger. Cela a l’air d’être considéré que ça va de soi que jusqu’au temps qu’on parle en ce verset il fut un pécheur non pardonné, condamné. Cela a été argumenté que Paul ici a parlé de la justification d’Abraham comme un pécheur et que Jacques (2, 21-24) a parlé de sa justification en qualité d’un homme vertueux. C’est surprenant que n’importe quelle personne qui est tout à fait au fait de l’histoire d’Abraham serait afin de soutenir, pour les faits sont tous contre une telle supposition. Cependant quels sont les faits ? Pour un certain nombre d’années antérieurement à la promesse à Abraham d’un fils et une postérité nombreuse Abraham fut un serviteur fidèle de Dieu. Prend en considération de façon approfondie les faits suivants :

1. Dieu apparut à Abraham en Ur des Chaldéens et lui commanda d’aller dans un

pays qui lui serait montré, et promit de lui bénir, et de faire de lui une grande nation, et de bénir toutes les familles à travers sa semence (Genèse 12, 1-3 ; Actes 7, 2.3).

2. « 8 Par la foi, Abraham, lorsqu’il a été appelé, obéit, pour aller au lieu qu’il

devait ensuite recevoir en héritage, et il parti, ne sachant où il allait. » (Hébreux 11, 8) Par la foi il obéit, et avec confiance a fait comme ordonné, sans savoir où il allait. Un comportement bizarre pour un pécheur non pardonné, condamné !

3. Lorsqu’il gagna l’endroit de Sichem, dans le pays de Canaan, « 7 Yahweh

apparut à Abram, et dit : Je donnerai ce pays à ta semence ; et là il éleva un autel à Yahweh, qui lui était apparu. » (Genèse 12, 6.7.). Pourquoi cette promesse, et pourquoi cette vénération, si Abraham fut un pécheur non pardonné ?

4. Abraham se déplaça sur une montagne entre Bethel et Aï ; « 8 et là, il dressa un

autel au Jéhovah, et invoqua le nom de Jéhovah » (Genèse 12, 8). 5. Après son fâcheux séjour en Égypte, il est retourné à l’autel entre Bethel et Aï ;

« 4 et là, Abram invoqua le nom de Jéhovah » (Genèse 13, 3.4). Est-ce que quelqu’un peut croire qu’un pécheur non pardonné fut adorant ainsi Jéhovah et en train d’invoquer son nom ?

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6. Quand il est revenu du massacre des rois qui ont pris Lot captif, Melchisédec, le prêtre du Dieu Très-Haut, « 19 l’a béni, et dit, Béni soit Abram du Dieu Très-Haut. » Comme Abraham fut béni, ou heureux, et aussi il fut décrit qu’ « Abraham du Dieu Très-Haut, » cela est indiscutable qu’il ne fut pas un pécheur étranger condamné. (Genèse 14, 14-20)

7. Après ces choses et avant la promesse d’un fils, le Seigneur lui a exprimé : « 1

Ne crains point, Abram, je suis ton bouclier, et ton extrêmement grande récompense » (Genèse 15, 1). Cela est réglé. Dieu ne dirait pas à un pécheur non pardonné de ne pas craindre ; ni est-Il le bouclier et la récompense extrêmement grande d’un tel pécheur.

Pourquoi toutes ces choses n’ont-elles pas été tenues en compte par nos super-

exégètes ? Il est sûr donc que le langage en Genèse 15, 6 et Romains 4, 3 ne font pas la référence à la justification d’un pécheur étranger, et ils se trompent lourdement ceux qui l’appliquent ainsi. C’est vrai que Paul essayait de convaincre les Juifs que cette justification s’est produite avant le don de la loi, mais il utilisait ce fait bien connu pour contrebalancer leur prétention qu’une personne avait besoin d’être circoncise après la manière de Moïse, autrement il ne pouvait pas être sauvée. Leur propre père Abraham, de qui ils se vantaient, serait isolé par leurs arguments pour la loi.

Un écrivain lequel j’ai lu cite les versets 3-6 et fait cette réflexion : “Au moment

où Abraham fut imputé comme droit, non à cause de ses œuvres, néanmoins en raison de sa foi en Dieu, alors le pécheur est imputé vertueux en raison de sa foi en Christ.” (Tiré de Romains 4, 9-10) Si l’auteur aura regardé un peu plus de près, il verra que Paul n’affirme pas qu’Abraham fut imputé comme vertueux en raison de sa foi en Dieu. Dieu impute à l’homme uniquement ce qu’il a ou devrait avoir ou verser à son compte, ou considérer. Le récit ne dit pas non plus que la foi fut compté ou supposé (reckoned), comme si cela était la droiture, ni fut-il compté en tant qu’une chose de remplacement pour la vertu. Cependant le récit raconte que la foi d’Abraham fut imputé, ou compté à lui pour (eis, dans, ou afin de, ou à) la droiture. À cause de sa foi Dieu lui a pardonné des péchés quels que soient qu’il aurait pu être coupable, et lui a déclaré ainsi d’être droit. Si aucune culpabilité n’est attribuée à un homme, s’il n’y a nulle accusation de péché contre lui, il est un homme vertueux. Si l’homme n’a jamais péché, il serait droit par les œuvres ; s’il pèche et Dieu lui pardonne, lui ôte entièrement le péché, il est alors vertueux par la grâce ou la faveur. Cependant l’homme qui atteint la droiture par l’entremise du pardon n’a pas le motif pour fanfaronner. Pour cette raison Abraham n’eût aucun motif pour se targuer ; pour la même raison nul à présent a le motif pour se vanter.

Les versets 1-3 relient en arrière avec le vingt-septième verset du troisième

chapitre, qui énonce : « 27 Où est donc la vanterie ? Elle est exclue. Par quelle [manière] de loi ? [Celle] des œuvres ? Non, mais par la loi de la foi. » (Romains 3, 27) La traduction de Moffatt de ce verset, comme cité par K.C. Moser, dans “La Voie du Salut,” (“The Way of Salvation,”) ne peut pas à bon droit être considérée une traduction du tout : “Alors qu’est-ce qui devient de notre fanfaronnade ? Cela est écarté absolument. Sur quel principe ? Sur le principe de faire des actions ? Non, sur le principe de la foi.” On parle beaucoup au sujet du “principe de la foi.” Maintenant, la foi est un acte de l’esprit, ou du

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cœur ; et une personne devrait aussi bien parler à propos du principe de la croyance. Une pareille expression comme “le principe de la foi” ne communique aucune idée à l’esprit. Si une vie d’un homme était aussi parfait que le Pharisien s’est imaginait sa vie de l’être (pas vraie en réalité), il pourrait se vanter ; mais si (plutôt quand) un homme pèche et il est pardonné ; il y a un motif pour l’humilité, non pas pour la vantardise.

Le verset 4 : Or à celui qui œuvre, le salaire n’est pas imputée selon [κατα ;

conformément à, selon, etc.] la grâce, mais aux termes de [κατα] la dette. Le mot imputé (reckon) se trouve tant de fois en ce quatrième chapitre que c’est bien pour nous de prêter attention de façon approfondie sa signification. La récompense est imputée à un individu qui agit, parce que c’est sa due. Paul ne condamne pas le salut par les œuvres dans ce verset ; il affirme tout simplement une vérité. Nous pouvons, soyons assurés qui si nous pouvons ainsi travailler comme de nous amener Dieu en dette à l’importance de notre salut, il paierait cette dette. Cependant pour que cela soit vrai, faudrait-elle que l’œuvre d’une personne soit parfaite – il devrait vivre ainsi comme pour jamais péché, jamais s’exposée à une culpabilité quelconque. Cependant si un homme pèche une fois, le salut ne peut jamais venir à lui en tant qu’une dette. Un tel homme ne peut jamais être justifié par les œuvres de la loi. Il a besoin le pardon, et la loi ne peut pas pardonner ; elle condamne. Aucune perfection des œuvres ne peut effacer, ou pardonner un péché déjà commis, ni annuler la grâce dans le pardon de ce péché.

Beaucoup de discussion faite au hasard s’est adonnée à ce verset (le verset 4), et

un grand nombre de cela est très offensant. Cela a été fait pour rendre service dans un effort pour prouver qu’un pécheur ne pouvait rien faire afin d’être sauvé. Paul n’a eu rien de tel point en perspective. Si nous gardons en esprit son argument, nous n’aurons nulle difficulté en voyant son point ; mais si nous rendons différent son langage de cette ligne d’argument et fait en sorte que son langage fait mention des conditions sur lesquelles le pardon est proposé à un pécheur étranger, nous lui présentons sous un faux jour et nous perdons nous-mêmes dans la confusion de nos propres notions. Pour moi cela paraît inexcusable qu’une personne devrait ainsi se méprendre sur Paul comme de tirer la conclusion suivante : “À vrai dire, cela semble d’être difficile même à l’heure qu’il est pour bien des gens de saisir l’idée de la vertu que ça ne dépend pas sur l’effort humain.” Sûrement l’écrivain n’a pas correctement examiné le sens et la portée de ses mots. Si un Universaliste ou un Ultra-Calviniste avaient rédigé pareils mots, nous ne serions pas étonnés. Non seulement que je ne suis pas capable de comprendre l’idée d’une droiture que cela ne dépend pas sur l’effort humain, toutefois je ne crois pas qu’il y a une telle vertu dans n’importe quel être humain. Si un être humain est rendu droit sans le moindre effort humain, alors pourquoi ils ne sont pas tous vertueux ? C’est indiscutable que la majorité d’eux ne sont pas en train de faire un effort quelconque pour parvenir à la droiture.

Le verset 5 : Mais à celui qui n’œuvre point, mais qui croit en celui qui justifie

l’impie, sa foi lui est imputée pour droiture. Le lecteur va observer que Paul n’énonce rien concernant “celui qui ne dépend pas des œuvres,” ni “celui qui ne dépends pas sur les œuvres.” Il parle de celui qui œuvre et celui qui n’œuvre point. Les œuvres doivent avoir l’identique signification dans les deux cas (les versets 4 et 5), car Paul n’a pas

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changé son sujet. Uniquement les œuvres parfaites, les œuvres sans la moindre culpabilité de péché, peut apporter le salut comme une dette. Celui « qui œuvre [ou] travaille » est, donc, celui dont les œuvres sont tellement parfaites qu’il n’a nulle culpabilité du péché. Toutefois personne n’a si vécu. De là, à celui dont le travail n’est pas parfait, mais qui croit en Jésus-Christ, Dieu impute, on compte sa foi pour (eis, afin de [ou] pour) sa vertu – c’est-à-dire, afin que, par suite de sa foi, il peut pardonner ses péchés et ainsi le constitue une personne droite. Ne nous laissons pas être si injustes avec Paul que de changer son langage de son raisonnement et fait en sorte que cela s’applique aux actes d’obéissance exigés dans l’évangile. Certes Paul ne voulait dire que Dieu rend la personne vertueuse qui va ne pas lui obéir, la personne qui ne fait simplement rien. Si non, il met l’accent sur la chose même de laquelle l’évangile est destiné à nous sauver, et contredit les autres choses dites par lui.

Paul n’a pas eu une mention spéciale du salut des pécheurs étrangers, comme on

verra en remarquant sa citation de David. La connexion en Psaume 32 de laquelle Paul cite, montre que David a eu une allusion particulière à son propre pardon. Il n’a pas eu en esprit le pardon des pécheurs étrangers, pourtant le pardon d’un serviteur de Dieu. Dieu compte l’homme droit, les péchées desquels sont pardonnés. À un tel homme le Seigneur n’impute pas le péché, parce que ses péchés ont été pardonnés, et il n’est plus coupable. Un tel est vertueux.

Paul et Jacques. Paul a exprimé : « 5 mais à celui qui n’œuvre point, mais qui

croit en celui qui justifie l’impie, sa foi lui est imputée pour la droiture » (Romains 4, 5). Jacques dit : « 24 Vous voyez donc comment par les œuvres, l’homme est justifié et non par la foi seulement » (Jacques 2, 24) Paul a fait savoir : « 2 Certes si Abraham a été justifié par les œuvres, il a de quoi se vanter, mais non envers [ou] devant Dieu » (Romains 4, 2). Jacques a dit : « 21 Abraham notre père, ne fut-il pas justifié par les œuvres, lorsqu’il offrit Isaac, son fils, sur l’autel ? » (Jacques 2, 21). Plusieurs personnes ont pensé qu’il y a un conflit entre Paul et Jacques, par revanche bien réfléchi il n’y a pas même un désaccord en apparence entre eux. Du reste, Jacques a démenti catégoriquement l’éclaircissement de temps en temps donné au langage de Paul. Le problème vient de mal interpréter Paul ou de mal employer Jacques, ou tous les deux. Paul a parlé à l’égard des œuvres de la loi (A.T.) ; Jacques a parlé touchant les œuvres de la foi. Paul fut en train de montrer aux Chrétiens qui Judaïsaient que nul ne pouvait être vertueux, ou justifié, par les œuvres de la loi (l’Ancien Testament), car personne n’a respecté la loi parfaitement, et que pour être justifiée, ou rendue droite, une personne doit croire en Christ. À celui qui ne réalise pas les œuvres de la loi, mais qui croit en Dieu, la foi est imputée pour la droiture. Paul a argumenté que les œuvres sans la foi ne pourraient pas justifier, et Jacques a raisonné que la foi sans les œuvres ne pourraient pas justifier. D’exclure l’un ou l’autre est d’échouer de la justification. Tous les deux ont fait mention d’Abraham pour mettre en lumière leurs points. Abraham fut justifié sans les œuvres de la loi (la loi Mosaïque de l’Ancien Testament, bien qu’il fut dans l’ère Patriarcale), néanmoins il fut justifié par les œuvres de la foi. Jacques a posé la base du principe que la foi sans les œuvres est morte, et ne va pas justifier. Il a fait usage d’Abraham en qualité d’une illustration, et puis a tiré la large conclusion qu’un homme – n’importe quel homme – est justifié par les œuvres, et non pas par la foi uniquement.

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Un effort est parfois fait pour expliquer Paul et Jacques en disant que Paul parlait de la justification d’un pécheur étranger, et Jacques, à propos de la justification d’un Chrétien. Cela est argumenté qu’un pécheur étranger doit être justifié par la foi seulement, afin que cela puisse être par la grâce, et que si le pécheur est obligé de remplir les conditions quelconques, son salut est des œuvres et non de la grâce. Cependant qu’est-ce qui en est des Chrétiens ? C’est surprenant que ces super-exégètes ne voient pas que si les œuvres de la foi détruisent la grâce, alors les œuvres qu’ils proposent qu’un Chrétien doit accomplir pour être justifié détruisent toute grâce de la vie d’un Chrétien. Dites-nous, vous les super-exégètes, comment conformément à votre jugement, il pourrait y avoir quelque grâce qu’elle soit dans la justification d’un Chrétien par les œuvres.

Cependant la théorie que l’argument de Paul élimine toutes les conditions du salut

d’un pécheur non seulement contredit Jacques, mais Paul aussi. Si toutes les œuvres sont éliminées, la foi elle-même est éliminée, car elle est une œuvre. « 28 Puis ils lui dirent : Que ferons-nous, pour que nous puissions travailler aux œuvres de Dieu ? 29 Jésus répondit et leur dit : C’est ici l’œuvre de Dieu, que vous croyiez en celui qu’il a envoyé » (Jean 6, 28.29). Et Paul nous explique énergiquement que la vie éternelle est accordée à ceux qui « 7 continuent patiemment à bien faire cherchent la gloire, l’honneur et l’immortalité, la vie éternelle » (KJV) ou « 7 à ceux qui par la persévérance à bien faire cherchent la gloire et l’honneur et l’incorruptibilité, la vie éternelle » (Romains 2, 6.7). De chercher par la patience en faisant le bien nécessite l’effort humain. De nouveau : « 17 Or grâces [soient rendues] à Dieu, que vous avez été les esclaves du péché, mais vous avez obéi de cœur à cette forme de doctrine qui vous a été confiée. 18 Or, ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus les esclaves de la vertu » (Romains 6, 17.18). Ils ont obéi du cœur. Cela signifie que leur foi a été exprimée elle-même en soumission à Dieu. Par cette obéissance ils furent rendus libres du péché. Ici encore une fois est l’effort humain.

La grâce à pourvu le projet par lequel les pécheurs sont délivrés, ou rendus droits, et la grâce nous dit comment entrer en possession de ce salut. Si les gens arrêteraient de disposer les commandements de Dieu en opposition à la grâce de Dieu, ils auraient une vision un peu plus claire du plan de la rédemption. La grâce de Dieu est dans chaque commandement qu’il donne. Le pécheur fut perdu ; Dieu a préparé la voie par laquelle il (le pécheur) pourrait se dérober à cet état perdu. Cela a été la grâce. Néanmoins ça n’a pas été assez. Il avait besoin de savoir comment trouver cette voie, et comment y marcher là-dedans. C’est autant une question de la grâce de lui dire comment trouver cette voie, et comment marcher là-dedans que c’est de fournir la voie. Cependant quand la voie est entièrement préparée, et toutes les conditions données quant à comment trouver la voie, et comment y marcher là-dedans, la prochaine démarche est à l’homme. L’affaire entière est illustrée d’une manière frappante par les événements de la Pentecôte. La voie a été préparée et révélée au peuple ; et ensuite, en réponse à leur question, Pierre leur a répondu comment réussir à entrer dans cette voie. Ce fut toute une affaire de la grâce. Puis Pierre leur a exhorté de sauver eux-mêmes. Un grand nombre on fait qu’est-ce qui a été ordonné et furent délivrés. D’après la position de Dieu leur salut a été tout à fait une question de grâce. Et le peuple fut aussi prompt dans leur obédience que si leur salut fut complètement une affaire des œuvres. Et autant que quoi que ce soit ils pourraient faire à

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propos de cela fut concerné, leur salut fut entièrement une question des œuvres. (Whiteside, sur Romains 4).

Les traducteurs Néo-orthodoxes sont tellement passionnés avec la persuasion du

salut par la foi seule que quelqu’un qui s’oppose à leur postulat est considéré spirituellement de travers. L’attitude affectée ressemble à l’ivrogne qui a été demandé de marcher sur le rondin d’un côté à l’autre côté du ruisseau en tant qu’une épreuve de sobriété – avançant dans l’eau à travers le ruisseau il braille que le rondin fut crochu ! Confrontés avec la comparaison de Romains 4, 1-6 et Jacques 2, 20-26 ils allèguent que les parties du texte sont contradictoires et que Jacques ne se conforme pas à Paul ! Cependant la foi uniquement ne peut pas comporter l’idée pas plus que la foi par elle-même, et Jacques, au chapitre 2, le verset 26, a avoué que « 26 ainsi aussi la foi sans les œuvres est morte, » et Paul, en Galates 5, 6, a soutenu le salut par « 6 la foi qui œuvre par l’amour. » Pour cette raison la conclusion des personnes qui affirment de la foi sans les œuvres manque un mot pour déduire leur doctrine – le terme seule. La particule destiné à prouver le salut par la foi seule n’est pas dans le texte pour prouver ce point, non pas dans la prémisse, et n’est pas inférée.

(36) Romains 8 : Le huitième chapitre de Romains est l’épitomé de la fausse

doctrine du péché originel insinué confusément dans les épîtres de Paul de la Nouvelle Version Internationale. Cela est bien calé sournoisement à l’intérieure de la sinistre phrase “notre nature pécheresse,” qui se rencontre nulle part dans le Nouveau Testament mais ajoutée neuf fois en Romains 8, dans la Nouvelle Version Internationale. Cela est le dogme confessionnel de la dépravation totale héréditaire. Cela est puisé du péché d’Adam, et est en outre étiqueté le péché d’Adam, indiqué dans la Nouvelle Version Internationale par l’obscurité de la locution de notre nature pécheresse. Par revanche l’homme ne possède pas une nature pécheresse – sa nature est de Dieu, et il devient un pécheur.

La généalogie de Luc 3, les versets 23-38, débutent hardiment avec Jésus et fini

en manière rétrograde avec « 38 Adam, qui fut le fils de Dieu. » Cela est maintenant concédé, et est axiomatique que l’enfant n’hérite pas les caractéristiques acquis des parents, toutefois c’est théorisé théologiquement que tous héritent le péché originel, le péché d’Adam. La question qui en résulte est : Comment Adam est devenu un pécheur ? Si Adam a hérité le péché vu qu’il fut « 38 le fils de Dieu » il aurait tiré sa source du péché de Dieu ; mais si Adam a acquis le péché, ça s’ensuit séquentiellement que nul ne pourrait hériter le péché d’Adam. La vérité intrinsèque c’est qu’Adam a acquis la propension du péché, en conséquence personne n’hérite “le péché d’Adam” et la doctrine du péché originel est dispersé à travers les pages de la Nouvelle Version Internationale est la fausse doctrine.

La nature odieuse de la Nouvelle Version Internationale “notre nature

pécheresse” intermittente l’interpolation se retourne avec impact infâme sur la lignée naturelle de Jésus. La généalogie de Jésus dans la liste de Luc 3 descend à Adam – alors

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si la version de la Nouvelle Internationale de “notre nature pécheresse” est vrai Jésus a hérité le péché d’Adam et fut donc par nature humaine un pécheur ! Voilà les suites inéluctables de la doctrine ignominieuse du péché originel – la théologie de la Nouvelle Version Internationale de la nature inavouable contraire aux Saintes Écritures.

Citant avec l’assentiment certains poètes Athéniens : Car nous sommes aussi sa

progéniture, (Actes 17, 28) Paul a dit : Étant donc la progéniture de Dieu (Actes 17, 29) – le mot est genos, comme en Apocalypse 22, 16 touchant Jésus la progéniture (genos,) de David. Ceci élimine le péché de la nature. Si la doctrine du péché originel est vrai, depuis le péché d’Adam, Dieu a seulement préservé la postérité du diable et a perpétré la totale dépravation héréditaire.

L’usage du mot chair en Romains 8, et/ou autre part dans les épîtres de Paul, ne

dénote pas la nature pécheresse. Le membre de phrase des versets 1 et 4 « lesquels ne cheminent point selon la chair, mais selon l’Esprit » est un contraste entre chair et esprit, et pour cette raison n’est pas à l’égard du Saint Esprit mais bien plutôt à l’esprit propre de quelqu’un – l’esprit humain, l’esprit de l’homme. De marcher après la chair est de pratiquer les actions des envies corporellement – fléchissant aux voix des passions néfastes, en vivant la vie de ce monde. De marcher après l’esprit est de mener la vie spirituelle, se laissant l’esprit de dompter l’appétence charnelle. De vivre « dans la chair » est de vivre une vie terrestre ; de vivre « dans l’esprit » est de vivre la vie spirituelle.

(37) Romains 9 : L’a priori transmis de la nature perdue de l’homme et notre nature pécheresse est la nomenclature théologique et est la racine des autres dérogations doctrinales tels que le pouvoir direct dans la conversion et les habitations immédiates dans l’âme du Saint-Esprit indépendant de la parole de Dieu, l’expiation restreinte et l’élection inconditionnelle, auxquelles tous les éditeurs de la Nouvelle Version Internationale ont fourni les parties des chapitres 9 jusqu’au chapitre 11. Le chapitre 9, le verset 16 est recomposé, se lit que la grâce et la miséricorde de Dieu ne dépend pas sur le désir de l’homme ou l’effort, et cela est la doctrine de l’élection sans condition.

(38) Romains 11, 26 : Une citation comparable est le verset 26 : « 26 Et ainsi tout

Israël sera sauvé » ‒ l’altération de sera (shall) à va (will) être sauvé peut paraître insignifiant néanmoins c’est vital. Le mot ainsi (so) est un adverbe de manière, et sera est un verbe de l’avenir conditionnel, mais va (will) implique une détermination inconditionnelle. Au chapitre 10, et jusqu’à ce point au chapitre 11, l’apôtre a entré dans les détails en long et en large sur l’élection (comme par exemple : Romains 11, 5) « 5 un résidu [ou] un reste » d’Israël par leur acceptation de l’évangile, et tout Israël il a déclaré, dans la conclusion du chapitre 11, le verset 26, devrait être sauvé en conséquence – enfin, ainsi (dans cette manière) sera (conditionnellement) sauvé (en acceptant l’évangile). Par la substitution du verbe [aller] va (will) pour [être] sera (shall) les éditeurs de la Nouvelle Version ont apporté Romains 11, 26 à la future restauration de l’Israël nationale [N.B. Notes de Denis : Dans sa splendeur d’autrefois, à l’avenir dans le pré-millénium, et non pas l’État d’Israël à l’heure actuelle, par exemple : avoir le temple reconstruit, pour qu’ils puissent offrir des sacrifices. Cependant depuis des siècles, il y a une mosquée construite sur les lieux, donc la restauration n’a pas eu lieux, et n’aura pas lieux

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exactement comme jadis] – une partie constituante intégrante du prémillénarisme. Tous ceux qui ne savent pas la différence dans les verbes (être) sera [shall] et (aller) va [will] ont besoin un cours en la grammaire élémentaire.

(39) Romains 14 : Le remplacement du mot nourriture pour viande en Romains

14 (les versets 15.17.20) vicie l’argument même de Paul sur les caractéristiques distinctives du Judaïsme et le Christianisme. L’apôtre n’a pas écrit une thèse sur la nourriture aux Chrétiens Romains – il a prononcé et remis un oracle apostolique sur un constituant de “la religion des Juifs” dans sa relation à l’Église du Christ. Le mot viande fut un terme de distinction en observation de la loi (A.T.) et l’observance de ses ordonnances. Le mot nourriture ne communique rien de telle distinction et n’a point de sens. La discussion concernant la viande dans l’épître aux 1 Corinthiens, les chapitres 8 et 10, se référa à la viande qui a été offertes aux idoles ce qui a impliqué une attache du Christianisme et le paganisme ; pourtant l’argument de Romains 14 a eu un rapport avec l’observation de la loi de Moïse dans l’observance des jours et de manger de la viande. Le mot viande est un terme essentiel, de substituer par le mot nourriture est déraisonnable.

(40) Romains 15-16 : Dans l’épître aux Romains il y a des bourdons et la

paraphrase inférieure trop nombreux à dresser un tableau synoptique d’entre les limites de ce supplément. Au chapitre 15, le verset 29 « de l’évangile, » une locution clé de l’épître Romain, est supprimée ; en le verset 30 l’expression de bénédiction « 30 pour l’amour du Seigneur Jésus-Christ » est touchée ; dans le chapitre 16, le verset 18 « 18 et par de bonnes paroles et des discours flatteurs ils séduisent [ou trompent] le cœur des naïfs (ou simples ou ingénus) » est changés à “les paroles doucereuse et la flatterie trompent les gens ingénus” ‒ qui, en plus ayant une nuance différente de sens, est inférieure et est moins simple ; et au verset 25, dans le médiocre touche-à-tout de la bénédiction de Paul, la vraie phrase « 25 depuis le commencement du monde » (Romains 16, 25) est modifié à “pour les longs siècles passés” ‒ tout à fait une différence dans l’espace du temps ! Au verset 26 « 26 l’obéissance de la foi » est retranchée.

Comme une dernière mention des exemples multiples de l’action inutile de

réécrire du texte des Saintes Écritures est l’usage répété des “frères (brothers, les mâles)” à la place de « frères (brethen, sens religieux). » Un débutant dans l’emploi des termes Anglais sait que “brothers (frères)” est précis et limité aux hommes (les mâles) mais « brethen (frères) » est générique et qui incluent des femmes. Les éditeurs de la Nouvelle Version Internationale communiqueraient l’impression que « les saints à Rome » furent tous les hommes et n’avait aucune femme, les frères (brothers) mais point de sœurs ! Si cela n’était pas si sérieux, une telle falsification du texte de l’Écriture Sainte serait amusante.

Partout dans l’épître Romain ces révisionnistes super-imposés ont été d’accord

dans une spécification – ils ont adhéré de façon décisive à leur ligne de conduite admise de traduire dans le texte leur propre pensées humaines au lieu d’adhésion à l’authenticité mot à mot des Saintes Écritures apostoliques.

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(41) 1 Corinthiens 1, 1-6 : Les épîtres Corinthiens débutent avec la déformation. « 6 C’est-à-dire comme (kathõs, even as) le témoignage de Christ a été confirmé en vous » est altéré à “notre témoignage au sujet du Christ.” Également en 1 Corinthiens 2, 1 : « 1 le témoignage de Dieu » est changé à “témoignage concernant Dieu.” Cependant « du Christ » et « de Dieu » sont indicatifs de la source, comme « l’évangile du Christ » et « l’évangile de Dieu. » L’évangile du Christ est Son évangile ; l’évangile de Dieu est l’évangile qui est à Dieu. Par conséquent le témoignage du Christ et le témoignage de Dieu dénotent le témoignage du Christ, le témoignage de Dieu, mis sur le même pied que l’évangile du Christ et l’évangile de Dieu. Pourtant le témoignage à l’égard de Dieu et à propos du Christ sont des locutions de la signification différente, communiquant l’idée des témoignages d’estime. Mettez dans la balance Apocalypse 12, 17 : « 17 qui gardent les commandements de Dieu, et [qui] ont le témoignage de Jésus-Christ » ‒ et le chapitre 19, le verset 10 : « 10 le témoignage de Jésus. »

(42) En 1 Corinthiens 1, 10 : L’admonition apostolique « 10 Or je vous prie,

frères (brethen) » est modifié à “Je vous en appelle frères (brothers)” – donc Paul n’a pas fait appel aux sœurs. Cela est une simple question de syntaxe que frères (brethen) est générique et qui embrassent les sœurs, mais frères (brothers) est déterminé et n’englobe pas les sœurs, et avec la violation de la simple grammaire par la manière d’agir peu soignée de moderniser le texte les traducteurs insouciants se paient la tête.

(43) 1 Corinthiens 2, 14 : Mais l’homme naturel ne reçoit pas les choses de

l’Esprit de Dieu est rendu différent à “l’homme sans l’Esprit ne peut pas accepter les choses qui viennent de l’Esprit de Dieu.” Le texte ne dit pas que “l’homme est sans l’esprit” ni “ne peut accepter,” voilà comment cela est rédigé ne reçoit pas les choses de l’Esprit de Dieu. Voici la théologie du péché originel est insinuée par le changement fait dans les mots de ce texte – que l’opération directe du Saint-Esprit est nécessaire pour permettre à l’homme non régénéré “d’accepter les choses qui proviennent de l’Esprit de Dieu” – par contre l’homme naturel de ce fragment du texte n’est pas l’homme non régénéré – il est l’homme de la connaissance naturelle, et par les voies du domaine naturel il ne peut pas recevoir la connaissance des choses qui sont au domaine de la révélation, les choses révélées par l’Esprit Saint. Pour un commentaire supplémentaire sur le passage, afin d’exposer que la Nouvelle Version Internationale est chargé de la pareille erreur théologique que ses prédécesseurs de la Version Standard Révisée (RSV) à travers l’état de jeter des gants des traductions à ses propres seuils de porte, et d’ainsi renverser de prendre les rêves pour la réalité étant exprimés que du champ des fausses traductions une bonne version a émergée – pour servir cet objet les pages 431-432 (livre en anglais) sont publiées à nouveau du Compte Rendu Des !ouvelles Versions (Review Of The !ew Versions) est ici introduit :

Au chapitre 2, le verset 14 est une des parties du texte des plus importantes de l’épître Corinthienne : « 14 Or l’homme naturel ne reçoit point les choses qui sont de l’Esprit de Dieu ; car elles sont [une] folie pour lui, il ne peut pas non plus les connaître, parce qu’elles se discernent spirituellement. » Le contexte de l’un et l’autre le chapitre 1 et le chapitre 2 rendent cela clair que l’homme naturel est l’homme de la connaissance

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naturelle et la sagesse qui sont comparées et misent en contrastent avec la révélation divine partout dans le premier et le second chapitres – et cet homme de la connaissance naturelle ne peut recevoir les choses de la révélation par le truchement des moyens naturels de la connaissance, ni il ne peut pas les connaître par l’entremise des canaux naturels. Le chimiste est un homme naturel qui peut établir les choses de cette classification par ses expériences de laboratoire, par contre il ne peut pas recevoir les choses de la révélation par l’intermédiaire de ses processus chimiques. Le géologue est un homme naturel qui peut s’assurer que certaines choses qui appartiennent à la géologie dans la terre et les roches, la strate posée sur la strate, mais in ne peut pas recevoir les choses de la révélation à cause de sa foreuse. L’astronome est un homme naturel qui peut regarder attentivement à travers sa lunette astronomique dans les cieux et vérifier les choses astronomiques et astrophysiques, mais il ne peut pas recevoir par son télescope les choses qui sont à la révélation. Tous les scientifiques sont les hommes naturels, néanmoins ils ne peuvent pas s’informer par la recherche scientifique « les choses de l’Esprit de Dieu … parce qu’elles se discernent spirituellement » ‒ elles ont été nécessairement révélées par l’Esprit Saint grâce aux apôtres inspirés, comme affirmés aux versets 10-13.

Maintenant, pour une mutilation complète d’un texte scriptural lit la Version

Révisée Standard sur le verset 14. L’homme naturel est modifié à “l’homme non spirituel” – l’homme non régénéré ; et ne peut les connaître est altéré à “n’est pas capable de comprendre.” Cependant Paul n’a pas énoncé que l’homme naturel ne peut pas saisir ces choses spirituelles – l’apôtre a fait savoir que l’homme naturel ne peut pas connaître parce qu’il faut que ces choses soient révélées ; mais ayant été révélées il peut et il s’en fait une idée claire de la révélation divine – les choses de Dieu ; révélées par le Saint-Esprit par le véhicule de la parole de Dieu, car Paul a dit dans la conclusion du verset 16, or nous, nous avons la pensée de Christ, c’est-à-dire, la connaissance de Christ par la voie de l’inspiration.

Dans le travestissement de ce passage prééminent les réviseurs sont revenus à

l’ancienne théologie rebattue que le pécheur étranger avec sa nature non régénérée du péché originel et la dépravation naturelle ne peut pas en saisir le sens des choses spirituelles – et cette théorie dénaturée fut le sol où a été planté la théologie principale des doctrines jumelles de l’opération immédiate de l’Esprit Saint pour régénérer l’homme naturel afin qu’il puisse comprendre les choses de l’Esprit ! Et la traduction RSV a mis en œuvre cette théologie erronée dans le texte réécrit de 1 Corinthiens 2, 14.

(44) En 1 Corinthiens 4, 15 : Paul a raconté, « 15 Car quand même que vous auriez dix mille pédagogues en Christ, néanmoins vous n’avez pas un grand nombre de pères ; car en Christ-Jésus je vous ai engendrés par l’évangile. » Les mots de Paul sont changés des pédagogues à “gardiens” et engendré à “est devenu votre père” – les traducteurs des nouvelles versions sont tous allergiques au terme engendré soit appliqué à l’immaculée conception de Jésus ou la semence qui germe qui convertisse les pécheurs et fait les Chrétiens. 1 Corinthiens 4, 15 est correspondant avec et égale à Jacques 1, 18. « 18 De sa propre volonté, il nous a engendrés par la parole de la vérité » ‒ ces parties du

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texte corrélatives soulignant sur la puissance d’engendrer de la semence de la parole de Dieu, indispensable au processus de la conversion, pour cette raison de grande portée doctrinairement. Ces altérations dans le caractère du mot du texte authentique de l’Écriture Sainte sont présomptueuses.

(45) 1 Corinthiens 7, 36 : L’apôtre conseille le père en ce qui concerne sa façon

de se comporter envers sa fille vierge en refusant sa permission dans « 26 la nécessité présente » pour elle à se marier, en revanche les réviseurs ont accommodé le fragment du texte à une conduite avant le mariage d’un homme envers sa fiancée vierge ; avec la nuance d’une relation indécente avant le mariage, tel que la RSV insinue explicitement. Cela est une fausse traduction palpable, altérée dans le caractère.

(46) En 1 Corinthiens 9, 27 : L’apôtre a rendu lui-même un exemple de la

possibilité de l’apostasie en disant : « 27 Mais je mortifie mon corps, et je le tiens assujetti, de peur qu’en quelque manière, qu’après avoir prêché aux autres, je ne sois moi-même réprouvé. » Les réviseurs ont écrit que Paul à prononcer : “Je ne verrai pas moi-même disqualifié pour le prix” – actuellement, ces mots sont à qui ? ‒ ils ne sont pas les mots de Paul. Le mot rejeté est adokimos, réprouvé. C’est le même terme de Tite 1, 16 : « 16 Ils professent de connaître Dieu, mais par leurs œuvres ils le renient, étant abominables, désobéissants, et à l’égard de toute bonne œuvre, réprouvés (adokimos). Cela est le pareil mot comme en Romains 1, 28 : « 28 Dieu les a livrés à un esprit réprouvé [ou] dépravé » ; et 2 Timothée 3, 8 : « 8 réprouvé quant à la foi [vérité]. » Quoique le même mot soit utilisé dans ces versets ces réviseurs arbitraires auraient Paul à exprimer qu’il se peut qu’il soit disqualifié. C’est un effort qui saute aux yeux pour obvier à la possibilité de l’apostasie, ou perdre de la grâce, comme enseigner par l’apôtre dans ce passage, et cela exemplifie notre assertion réitérée maintes fois qu’avec les nouvelles versions nous ne pouvons pas employer les parties du texte sur lesquelles nous en avons toujours eu confiance pour démontrer la fausse doctrine pour les fragments du texte qui ont été réécrits.

(47) En 1 Corinthiens 12, 13 : La déclaration « 13 … et nous avons tous été

abreuvés d’un seul Esprit » est remodelé à vouloir dire, “et nous avons tous été donné le seul Esprit pour boire.” La partie du texte est claire comme elle se lit. « Car par un [seul] Esprit (enseignement) nous avons tous été baptisés (immergés [adultes] dans l’eau) dans un [seul] corps (l’Église) … et nous avons tous été abreuvés dans (pris part aux bénédictions) un [seul] Esprit » ‒ mais résolus pour le changement, avec difficulté apparente pour la rédiger à nouveau, ces traducteurs imposteurs ont Paul de nous tous dire de boire l’Esprit – ainsi de réduire une admonition bienveillante à une expression ridicule. Est-il possible pour ces traducteurs d’être bêtes à ce point-là !

(48) Les chapitres 12.13.14 se sont adaptés à l’un et l’autre le Néo-Pentecôtisme

et le prémillénarisme. La plénitude des temps, (Éphésiens 1, 10) et quand ce qui est parfait viendra (1 Corinthiens 13, 8-10) et jusqu’à ce que nous parvenions tous à l’unité de la foi (Éphésiens 4, 13) ‒ sont tous à tort faits pour parler de l’avenir par les réviseurs de ces textes que le contexte de tous d’eux prouvent que la perfection a été atteinte dans cette dispensation de l’évangile, et l’ordre partiel provisoire des dotations (dons)

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miraculeuses ont cédé à l’ordre permanent de la révélation achevée. (Tournez à la page 607 [le livre en anglais] dans Un Compte Rendu Des !ouvelles Versions (A Review Of The !ew Versions) pour les commentaires complets sur ces fragments du texte).

(49) 1 Corinthiens 15, 29 : Le travestissement de 1 Corinthiens 15, 29 sur

baptisés pour les morts accommode le doctrinaire du baptême de substitution dans les credo du Catholicisme et le Mormonisme – que les gens vivants peuvent recevoir le baptême pour les personnes décédées. La question de l’apôtre est : « 29 Pourquoi sont-ils alors baptisés pour les morts ? » La déformation lit comme suit : “Pourquoi les gens sont-ils baptisés pour eux ?” Le contexte des versets 29-32 est manifeste que la comparaison de l’apôtre fut par rapport à leurs persécutions à l’époque – leur baptême dans les souffrances comme du Seigneur lui-même. (Matthieu 20, 22-23 ; Marc 10, 38-39 ; Luc 12, 50) – pourquoi être immergé dans la souffrance et la mort pour une chose qui n’existe pas – cela est la mort en vain si les morts ne ressuscitent point.

Pour un plus ample commentaire le morceau suivant est ajouté d’Un Compte

Rendu Des !ouvelles Versions, les pages 435-6 :

Au chapitre 15, le verset 29 les nouveaux traducteurs manquent la signification de « baptisés pour les morts » en le changeant pour “baptiser au nom des morts” et traduit ainsi le Mormonisme dans le texte, que les personnes vivantes furent baptisées pour les connaissances mortes ou ceux qu’ils aimaient. L’Église Catholique Romaine enseigne la doctrine du baptême pour les morts contrairement aux conditions du pardon formulées dans le Nouveau Testament, fondées sur la soumission à l’évangile. Prétendant que « baptisés pour les morts » est un précepte pour l’ordonnance Romaine, leur application de cela est une déformation pure et simple, et ce n’est pas moins un travestissement que la Version Standard Révisée devrait retraduire le passage pour transmettre ce sens. Le renvoi de l’apôtre fut aux martyrs qui ont été morts pour avoir la foi et d’attester la résurrection des morts. Ils furent immergés dans les souffrances pour leur croyance et leur témoignage. En outre, les Corinthiens et Paul furent dans le danger incessant de la mort pour la même cause. Le verset après explique : « 30 Et pourquoi sommes-nous en péril à toute heure ? » … « 31 Je meurs chaque jour » ‒ il a vécu quotidiennement dans la menace de la mort ; et « 32 quel avantage en ai-je, si les morts ne ressuscitent point ? » Le contexte montre à l’évidence que l’apôtre fait référence ici à l’élément de la souffrance en tant qu’un baptême de la souffrance, non pas à l’élément du baptême d’eau, pas du tout. Cela est le susdit baptême mentionné par Jésus en Luc 12, 50, où Jésus a dit, « 50 Mais j’ai à être baptisé d’un baptême ; et combien je suis angoissé jusqu’à ce qu’il soit accompli ! » faisant allusion à ses souffrances sur la croix. Dans le même sens Paul demande les Corinthiens, Que feront-ils ceux qui comme Jésus sont baptisés dans ces souffrances, s’il n’y a point de résurrection des morts ; qu’est-ce qui est l’avantage, et qu’est-ce que sont les incitations à un tel baptême de souffrance. Que la Version Standard Révisée devrait comme ceci retraduire ce texte pour accorder la sanction aux doctrines du Mormonisme et le Catholicisme pour “le baptême de la part des morts” place un sinistre accent sur l’importance de l’adhésion à la Bible contre la version moderne.

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La grammaire, le langage et la structure de phrase inférieurs du quinzième chapitre tout entier du premier Corinthiens supporte la preuve de plus en plus que les faiseurs de la Nouvelle Version Internationale sont un comité de révisionnistes incompétents.

(50) Apercevant avec ferveur l’ampleur de l’occasion pour le développement de

l’évangile en 1 Corinthiens 16, 8-9 l’apôtre exprime avec réflexion : « 8 Toutefois je demeurerai à Éphèse jusqu’à la Pentecôte ; 9 Car une grande porte et efficace m’est ouverte, et il y a grand nombre d’adversaires, » avec la piètre syllepse littéraire la nouvelle commission de la rédaction s’approprie de leur propre prédicats et phrases, comme : “Mais je vais rester à Éphèse jusqu’à Pentecôte parce qu’une grande porte pour une œuvre efficace a été ouverte à moi, et il y a beaucoup qui s’oppose à moi.” En plus de la verbosité superflue, la beauté de la diction de Paul, l’élégance du style et la concision de l’expression verbale ne sont pas sous réserve de la révision d’un comité de faiseurs du texte récents. La « grande porte et efficace » de l’apôtre fut grande en étendue et efficace en résultat, par contre une reformulation inférieure des nouvels éditeurs n’est ni grand ni efficace en clarté ou en qualité. Qu’est-ce que la plume inspirée explique dans un mot ou une phrase, les révisionnistes modernes de la verbosité développent dans les paraphrases complexes.

(51) 1 Corinthiens 16, 22 : L’omission de la péroraison impressionnante qu’il soit

Anathème Maranatha est une réflexion sur l’intelligence des lecteurs d’apprendre le sens d’une pareille déclaration judiciaire – et le remplacement dans leur syntagme imaginé d’eux-mêmes, atténue la déclaration d’avertissement de l’apôtre.

(52) Tournant au second Corinthiens, au chapitre 1, les versets 21-22 et le

chapitre 5, le verset 5 les mots « 21 oints » et « 22 scellé » et « 22 et 5, 5 engagement ou promesse, ou arrhes (fig.) » [arrabõn, earnest = la promesse, pledge = le serment] sont fabriqués pour vouloir dire l’habitation directe de l’Esprit Saint en qualité “d’une garantie des choses à venir,” tandis que d’être oint fut appliqué aux apôtres par le Saint-Esprit comme le sceau de l’inspiration et les arrhes, une garantie – non pas des “choses à venir,” comme intercalée dans le texte par les nouvels éditeurs – mais a oint et a scellé et donné pour confirmer l’enseignement des apôtres dans la garantie de son inspiration « comme ils ont été guidés par l’Esprit Saint » (2 Pierre 1, 21) L’interpolation de “qu’est-ce qui est à venir” dans les deux fragments du texte de 2 Corinthiens (1, 22 et 5, 5) est la sorte de fausses insertions qui saturent la Nouvelle Version Internationale.

(53) Dans 2 Corinthiens 2, 6 « par beaucoup » fait allusion à l’église entière

pourtant est modifié à “la majorité” de ses membres. (54) Aux versets 14 à 16 de 2 Corinthiens 2, l’essai de dépasser l’éloquence de

l’apôtre la verbosité tire la question : de qui est ce verbiage ? – ce n’est pas le langage de Paul.

(55) En 2 Corinthiens 3, 3-6 quant au contraste de l’ancienne alliance et la

nouvelle alliance – la lettre et l’esprit – le terme esprit est fabriqué à vouloir dire l’Esprit

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(le Saint-Esprit) alors que cela fait nettement mention de la nature spirituelle de la nouvelle alliance par opposition au code légal de l’ancienne alliance.

(56) 2 Corinthiens 3, 7.11.13 : Dans l’effort de contourner l’abolition de

l’ancienne alliance les locutions « ce qui est aboli, » (that which is done away,) « qui est supprimée, » (which is abolished,) sont éliminées et la phraséologie substituée est revêtue avec l’ambiguïté et l’obscurité.

Les chapitres suivants jusqu’à la fin de l’épître consistent dans une périphrase

réécrite qui n’est pas meilleure que ces concurrents contemporains dans la course pour supplanter la syntaxe des Saintes Écritures. Parsemé à travers ces guillemets des chapitres sont introduits autour les mots de teneur et les expressions de Paul lui-même quand ses paroles ne furent pas du tout les citations, car il ne cita qui que ce soit ou quoi que ce soit.

(57) 2 Corinthiens 11, 5 : L’affirmation de la part de Paul qu’il « 5 n’a (que je

n’ai) été en rien moindre que les plus excellents apôtres » est réduite à la raillerie comme il est fait pour faire référence vraisemblablement à Pierre, Jacques et Jean dans les guillemets en tant que “super-apôtres,” ainsi ayant Paul de parler d’un air dédaigneux de ses pairs apôtres.

(58) 2 Corinthiens 11, 23 : Le verset se lit comme suivant : « 23 Sont-ils ministres

de Christ ? (je parle comme un insensé [ou] un imprudent [ou] qui extravague) » Ce verset dans la NIV à Paul qui dit “Je n’ai plus ma raison de parler comme ceci” – Paul n’a plus eu toute sa tête ! Pshaw ! Umph ! Cela est plus mauvais que le travestissement dans la traduction, c’est scandaleux. L’emploi du terme « fou [ou] insensé » dans ce passage, et d’autres similaires à cela, n’a pas de connotation pareille, comme aux versets 6.11 de 2 Corinthiens 11 et par comparaison 1 Corinthiens 3, 11 et 1 Corinthiens 4, 10. Aux yeux de quelques-uns Paul fut insensé par revanche il n’a pas perdu la tête et il n’a jamais raconté ainsi.

(59) En 2 Corinthiens 13, 5-6 : les phrases « 5 à moins que vous ne soyez des

réprouvés ? » et « 6 nous ne sommes pas des réprouvés » sont édulcorées à “vous avez échoué le test” et “nous n’avons pas échoué le test” – plutôt une douce définition pour réprouver, avec le motif manifeste d’éviter n’importe quelle signification qui implique la possibilité de l’apostasie.

(60) 2 Corinthiens 13, 11 : À la fin de l’épître les paroles d’adieux de l’apôtre

furent : « 11 Finalement, frères, adieu. » Cependant comme si le mot classique adieu n’est plus pertinent, les traducteurs-novices ont Paul qui dit : “Finalement, frères (brothers ; et non pas frères (brethen), au revoir” ‒ mais il n’a même pas dit au revoir ou adieu aux sœurs !

Les chapitres des épîtres Corinthiennes sont dégradants à l’apôtre Paul, une

déformation de ses expressions, y compris un contresens vulgaire des mentions à lui-même l’un et l’autre en qualité d’un apôtre et en tant qu’une personne. L’apôtre n’avait pas besoin de ces faiseurs de texte de la manie égocentrique de reprendre sa terminologie.

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Leurs altérations font tort au caractère, à l’intelligence, à l’inspiration, et à la personne de Paul. Leur mot “se vanter” est l’opposé de l’usage de l’apôtre du mot la gloire. Leur interprétation erronée de fou et de bêtise est l’exégèse de dilettante – et fausse. Leur affront dans la référence aux “super-apôtres” est pire que leur argot, c’est le sacrilège. Leurs émendations (corrections) périphrastiques et les éliminations qui tendent à retrancher ne sont pas seulement une démonstration de l’infériorité littéraire mais sont répulsives aux lecteurs respectueux des Saintes Écritures inspirées.

(61) Galates 1, 6 : Le premier chapitre rend compte du cours des changements

dans le contexte de cet épître, certains sont sérieux à l’égard de la suppression de la solide doctrine, quelques-uns les pures hypothèses d’un comité égocentrique des censeurs de révision, néanmoins tout inutile et de qualité secondaire. Aux versets 1-6 « 6 Je m’étonne que vous vous détourniez si vite de Celui qui vous a appelés en la grâce de Christ » est modifié par “vous désertez si promptement celui qui vous a appelé par la grâce du Christ” ‒ manifestement, se détournés et désertés ne sont pas synonymes, et la rhétorique de Paul est assurément plus classique.

(62) Galates 1, 11 : L’évangile certifié du verset 11, « 11 Or je vous certifie

(atteste, je vous fais savoir), frères, que l’évangile qui a été prêché par moi n’est point d’après l’homme » voici comment le changement de cela a été rédigé : “Je veux que vous sachiez, frères, que l’évangile que j’ai prêché n’est pas quelque chose que l’homme a inventé” dans aucun sens peut “Je veux que vous sachiez” peut être rendu équivalent à certifier, et “pas quelque chose que l’homme à fabriqué” comme une “révision” de non d’après (ou) selon l’homme est juvénile – la puérilité de cela est piteuse.

(63) Galates 1, 15 : L’insertion de “mettre à part (ou) destiné à (ou) choisi” en le

verset 15 à la place de séparer insufflent la fausse doctrine de la prédestination. Paul a exprimé : « 15 Mais quand il plut à Dieu qui m’a séparé dès le sein de ma mère et m’a appelé par sa grâce, 16 pour révéler son Fils en moi, afin que je puisse le prêcher parmi les païens, aussitôt, je ne consultai ni la chair ni le sang. » Cependant les gens qui altèrent le texte ont changé de place séparés à “mise à part” qui enseignerait que Paul fut personnellement prédestiné à partir de sa naissance à sa vocation – et cela est le Calvinisme. L’enseignement de la partie du texte comme Paul l’a écrite, est claire : Le même Dieu qui a séparé Paul du sein de sa mère dans la naissance naturelle l’a appelé par la naissance spirituelle et l’a fait un apôtre. En révisant Paul ces soi-disant traducteurs internationaux œcuméniques ont rendu Galates 1, 15 un foyer pour le Calvinisme.

(64) Galates 2, 16.20 : Les trois endroits (deux fois dans le verset 16) au

deuxième chapitre de Galates où « par la foi de Christ » surviennent (Galates 2, 16 et Galates 2, 20) sont modifiés à “la foi en Christ” – toutefois la foi de Christ et la foi en Christ n’ont pas le même sens. Au verset 16 Paul a dit : « 16 Sachant que l’homme n’est pas justifié par les œuvres de la loi, mais par la foi de Jésus-Christ » ‒ ici la foi de Christ arrive deux fois dans un verset. Au verset 20 Paul a expliqué : « 20 La vie que je vis maintenant dans la chair, je la vis par la foi du Fils de Dieu. » En Philippiens 3, 9 Paul fait savoir : « 9 N’ayant pas ma propre droiture, qui est de la loi, mais celle qui est par la foi de Christ, la vertu qui est de Dieu par la foi. » Dans deux autres passages (Romains 3,

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22 et Galates 3, 22) la phrase « la foi de Jésus-Christ » se produisent, et la justification est conditionnée sur ayant la foi, acceptant la foi, obéissant la foi. Il est patent hors de doute incontestable que la foi de Christ est le système de l’évangile de la foi que nous croyons et que nous obéissons. Cependant dans toutes ces citations les réviseurs de la Nouvelle Version Internationale éliminent la foi de Christ et la remplace par “la foi en Christ” pour enseigner ainsi la doctrine de la justification par la foi seule.

C’est clair et évident que la locution substantive la foi de Christ est l’objet du

verbe justifié(r) en Galates 2, 16 et une phrase modifiant du verbe vivre (vis, vit) au verset 20. Cela n’est point surprenant que les nouvelles traductions peu fiables devraient pratiquer une telle suppression, mais pour la Version Standard Américaine (ASV) habituellement bien fondée d’éliminer la foi de Christ deux fois de Galates 2, 16, par contre la garde dans le verset 20 en italiques, ou (bien) que ça devrait enlever cette partie essentielle de la proposition du tout, et sans éclaircissement acceptable, et la franchise nécessite que cette observation dans ce contexte soit enregistrée.

(65) Galates 3, 26-27 : Dans tels fragments du texte clairs sur le baptême comme

Galates 3, 27 – Romains 6, 3-4 – Colossiens 2, 12, où les paroles de Paul sont claires et simples, les éditeurs de révision assurent de dire cela mieux que Paul et démolissent les déclarations autrement simples de l’apôtre avec l’ambiguïté de leur verbosité. Aucune amélioration, nulle clarification ne peuvent être faites par une révision quelconque des renvois du “chapitre et verset” sur le baptême et la construction mal faite mise sur ces parties du texte importantes indiquent la tentative ténue pour dissimuler leur portée pure et simple.

(66) Les sections exhortatoires de cinquième et sixième chapitres sont tellement

plein de répétitions avec le syntagme du péché originel “notre nature pécheresse,” (on parle d’ici de Galates) comme en Romains 8, que la version laisse l’impression qu’en soi nous sommes tous les fils de Satan plutôt que les enfants de Dieu.

(67) Éphésiens 1, 9-11 : En réécrivant Éphésiens les réviseurs loquaces

deviennent si volubiles que la forêt ne peut être vue à cause des arbres – une accumulation des explétifs non pas dans les limites de l’inspiration textuelle, les additifs qui incorporent les dérogations doctrinales. Aux versets 9.10.11, l’achèvement du projet divin, conformément au but de Dieu, réalisé par l’inauguration de la dispensation de l’évangile est affirmée largement : « 9 Nous ayant fait connaître le mystère de sa volonté, selon son bon plaisir, qu’il s’est proposé en lui-même, 10 Que dans la dispensation ( oikonomia l’administration) de l’accomplissement des temps (quand les temps furent révolus), il puisse réunir en un toutes choses en Christ, et l’un et l’autre [qui] sont au ciel, et sur la terre, c’est-à-dire en lui. 11 En qui aussi nous avons obtenu un héritage, étant prédestinés, selon le dessein de celui qui accomplit toutes choses selon le conseil de sa propre volonté. » [N.B. Explication sur : étant prédestinés, du verset 11 ; proorizõ Dieu décrétant dès l’éternité (car il voit et sait le passé, le présent et l’avenir, car nous sommes limités par le temps, alors que Dieu est hors de tous ça) qu’est-ce qui va arriver, et non pas de supporter la fausse doctrine de la prédestination que quelques gens sont condamnés à partir de leurs naissances à l’enfer et d’autres sont bénis dès leurs

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naissances d’aller au ciel, qui est la doctrine du Calvinisme. Un autre mot qui pourrait remplacé prédestinés serait résolus.] La déclaration de ce passage initial d’Éphésiens est évidente que toutes les choses du plan de Dieu ont été réunies en un (le verset 10), un tout accompli, en Christ (le verset 10) en ce moment – dans la dispensation de l’évangile – qui est la dispensation à l’accomplissement des temps. [Quand les temps furent révolus] (Voir Galates 4, 4) Après de remanier diffus des versets impliqués les réviseurs erratiques ont assigné la dispensation de l’accomplissement des temps et toutes choses en Christ à une période à l’avenir : “mise à exécution quand les temps vont atteindre à leur accomplissement – d’amener toutes choses au ciel et sur la terre sous un chef, même Christ.” À part du fait que les phrases ne sont pas les mots de Paul du tout, ils concrétisent le prémillénarisme concentré, malgré tout les membres de l’Église sont en train d’être assurés par les professeurs influents que cette version est toute conforme à la vérité ! À Dieu ne plaise.

Dans son style changeant habituel d’ajouter à et de retrancher de, la locution

conditionnelle « 11 avons obtenu un héritage » est coupée du verset 11, et la phrase suprême pourtant simple de « l’extrême grandeur (ou) l’infinie grandeur » (grandeur qui surpasse en Grec) au verset 19 est remplacée par “incomparablement grand” une locution moins énoncée et mineure dans la phrase significative, malgré tout ils se vantent de la simplification et de l’amélioration.

(68) En 2, 2 l’expression figurative « le prince de la puissance de l’air » est

changée au “chef du royaume de l’air” – mais le prince de la puissance de l’air est métaphorique et fait allusion à l’influence néfaste, non pas à un dirigeant d’un royaume. Ceci est un autre des cas multipliés de l’interprétation au lieu de la traduction.

(69) 2, 22 : Par l’acte de recomposer du chapitre 2 avec les mots, les mots, les

mots de la volubilité humaine l’enseignement touchant l’Église n’est que tout perdu de vue, avec la conclusion du verset 22 se soldant en un raisonnement déductif erroné. La phraséologie révisée dépeint l’Église en tant que l’habitat du Saint-Esprit plutôt que Dieu – que Dieu est dans l’Église, son habitation, d’une manière représentative, c’est-à-dire, il est représenté dans l’Église pour l’habitation à l’intérieure de soi de l’Esprit Saint. Là-dedans est la déduction détournée.

La représentation métaphorique est fondée sur le temple païen de Diane à Éphèse

qui fut l’habitat de leurs dieux et déesses – leurs idoles – dans lequel les idolâtres païens ont entré pour rendre un culte à leurs déités. Cependant par l’entremise du Saint-Esprit l’Église a été bâtie pour l’habitation de Dieu. 1. L’Église est l’habitation de Dieu ; 2. Le Juif et le Gentil (les versets 14-16 d’Éphésiens 2) furent « 22 édifiés ensemble » comme des matériaux desquels l’Église fut construite ; 3. L’Esprit Saint – « 22 par l’intermédiaire (dia, par, en (ou) dans, à cause de, au moyens de, à travers, avec) l’Esprit » fut l’agent de construction par lequel l’Église fut bâtie : ‒ Alors, des matériaux du Juif et le Gentil le Saint-Esprit a construisit l’Église pour l’habitation de Dieu.

L’emploi de ce passage d’Éphésiens pour enseigner l’habitation personnelle à

l’intérieure de l’âme de l’Esprit Saint est une idée fausse dans l’analyse du contexte entier

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et est selon la bonne doctrine contraire à la vérité. La Divinité est une trinité – trois membres, Dieu, Christ, le Saint-Esprit. La même phrase de l’habitation à l’intérieure de soi est utilisée par rapport aux trois pareillement ; Dieu réside en vous ; Christ demeure en nous ; l’Esprit Saint habite en nous. Ce n’est pas sensé de séparer le troisième membre de la Divinité des deux autres membres et affirmé que la même phrase insinue un autre sens – que cela signifie quelque chose d’autres en ce qui concerne le Saint-Esprit que quant à Dieu et Christ. Dieu habite en nous spirituellement – la présence de Dieu, Christ et le Saint-Esprit dans l’Église et dans ses membres est une habitation spirituelle, non pas une habitation personnelle à l’intérieure de l’âme. Les nouveaux réviseurs ne tiennent pas la croyance fondamentale de la vérité et ils sont dépourvus de la perspicacité exégétique pour traduire l’enseignement.

(70) 4, 11-16 : Les réviseurs ineptes ont été peu soucieux de l’un et l’autre

l’action de remplir la charge et l’intention de l’ordre provisoire des « dons spirituels » ‒ les dotations miraculeuses – comme cela paraît dans leur redistribution des rôles des versets 11-16. Paul a instruit les Éphésiens que les dons extraordinaires et les dotations miraculeuses pour leur administration auraient cours pour seulement un temps limité : « 13 jusqu’à ce que nous arrivions tous dans l’unité de la foi, et de la connaissance du Fils de Dieu, à [l’état] d’un homme parfait, à la mesure de la stature de la plénitude de Christ. 14 Afin que désormais nous ne soyons plus des enfants, ballotés et emportés ça et là par tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, et par leur habilité séductrice avec laquelle ils se tiennent en embuscade pour décevoir … » L’apôtre déclara les deux l’acte d’une charge et le but des dotations particulières : 1. l’action d’être en fonction – jusqu’à ce que l’unité de la foi et la connaissance du Fils de Dieu par la plénitude de la révélation qui fut arrivée dans son accomplissement ; 2. le dessein – pour protéger les membres du corps, en l’absence de la révélation complétée de la vérité, des différentes doctrines des hommes trompeurs.

À la condition d’être ignorant des limitations de la période provisoire, les

nouveaux réviseurs ont changé l’unité de la foi à nous soyons tous parvenus à l’unité dans la foi – ainsi d’enseigner la continuation des dotations miraculeuses – et ici est un sens sous-jacente et un sens sous-entendu du Néo-Pentecôtisme s’insinuant déjà dans les groupements confessionnels orthodoxes sérieux. Ça devrait être clair à un élève désinvolte des épîtres apostoliques que la période des dons miraculeux fut provisoire – non pas permanente – et « 10 quand ce qui est parfait » (la révélation complétée de la parole de Dieu) sera venue, « 10 alors ce qui est en partie » (la révélation partielle accompagnée par les dons spécifiés fut « abolie » (1 Corinthiens 13, 10) – l’époque provisoire des dons miraculeux a donné lieu à l’ordre permanent de la révélation complétée.

Le mot que en Éphésiens 4, 14 exprime le dessein des offices (rôle joué par une

chose) spirituellement doués (les dons miraculeux) ‒ pas ballottés çà et là (instable) – pas emportés à tout vent de doctrine (protégé par la direction des instructeurs doués en esprit de la duperie et la dérogation doctrinale), qui se rattachèrent à leur condition actuelle – mais les réviseurs imprudents ont enlevé que (that) et ont mis alors (then), ainsi altérant de l’événement imprévu présent à une continuation future.

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Dans cette période provisoire les offices miraculeux furent requis pour discerner « 14 la tromperie des hommes, et par leur habileté séductrice avec laquelle ils se tiennent en embuscade pour décevoir, » néanmoins dans cette dispensation permanente de la révélation complétée de la connaissance de la vérité est suffisante pour l’exposer – et il n’y a point de meilleures caractérisations des touche-à-tout modernes avec les oracles de Dieu que les descriptions de l’habilité séductrice (cunning craftiness) des hommes de cette partie de ce texte Éphésien.

(71) 5, 18-21 : Le fait étendu de ne pas s’occuper de la syntaxe scripturale est

observable dans le changeant des participes aux versets 18-21. « 18 Et ne soyez pas enivrés par le vin, dans lequel est l’excès ; mais soyez remplis de l’Esprit ; 19 parlant à vous-même par des psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels, chantant et faisant la mélodie en (avec) votre cœur au Seigneur. » Le fragment du texte du chapitre 5, les versets 18-21 est une phrase continue avec cinq verbes respectifs. Les réviseurs insouciants interrompent la continuité de la seule phrase dans des phrases séparées, faisant des déclarations indépendantes séparées, éliminant tous les cinq des participes – parlant, chantant, faisant la mélodie, donnant et soumettant. Un participe est un mot dérivé d’un verbe ayant les qualités des deux le verbe et l’adjectif et peut être actif ou passif, présent ou passé. Au verset 19 entretenez-vous ou parlant à vous-mêmes, chantant, et faisant la mélodie ou psalmodiant sont des participes présents actifs des verbes au mode impératif, qui porte le commandement et sont pour cette raison unis dans un ordre. Le verbe Grec psallo ne se rencontre que cinq fois, dans trois formes, et est traduit chanter à l’exception d’Éphésiens 5, 19 où cela est faisant mélodie. Les autres passages sont 1 Corinthiens 14, 15 (deux fois) ; Romains 15, 9, et Jacques 5, 13. La locution participiale faisant mélodie dans le renvoi Éphésien est psallontes dérivé du verbe Grec psallo et par conséquent a à cet égard a un rapport définitif sur la signification appliquée du verbe controversé psallo – « chantant et psalmodiant avec (en – dans ou par) le cœur. » L’argument pour la musique instrumentale mécanique, basé sur le verbe Grec, est que l’instrument est intrinsèque à psallo – étant ainsi, l’instrument est nommé, car il précise psallo avec le cœur. La proposition est adontes (chantant) kai (et) psallontes (faisant mélodie) en (dans ou avec) humon (votre ou te, le) cardia (cœur) – adontes kai psallontes en humon kardia ; chantant et psalmodiant avec votre cœur au Seigneur ; avec le cœur est dans le cas datif – cela est le datif du moyen, le datif de l’instrument, le datif instrumental du moyen, et le cœur est l’instrument.

Pour une comparaison : baptise avec ou dans l’eau, l’élément de l’acte de baptiser

est nommé, psallo avec ou dans le cœur, l’instrument de psalmodiant est nommé. Dans certains textes la préposition en ou avec n’est pas présent, alors cela se lit psalmodiant le cœur. En 1 Corinthiens 14, 15 cela est : Je chanterai par l’esprit : » Psallo en te pneuma – psallo par ou avec l’esprit, une fois de plus le datif de l’instrument, l’esprit – et « Je chanterai avec l’intelligence : Psallo avec le nous (noi) ‒ avec l’intelligence, avec l’esprit – le psalmodiant est fait avec ces trois : le cœur, l’esprit, l’intelligence, excluant tout instrument extérieur. La partie du texte de Romains 15, 9 voici les termes exacts « Je chanterai à la gloire de votre nom » ‒ psallo à votre nom – toutefois la préposition à n’est pas dans l’original, sans laquelle cela se lit comme suit : psallo votre nom – l’objet de psalmodiant est le nom, psalmodiant le nom, ou comme le sens a été énoncé, psallo avec

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ou par le nom du Seigneur, qui encore une fois est le datif du moyen, ou l’instrument de psalmodiant.

L’autre fragment du texte est Jacques 5, 13 : « Qu’il chante des psaumes » ‒ le

voici psaumes psalein – qui maintient le sens du Nouveau Testament de Psallo. Dans le Grec de l’Ancien Testament David a dit : psallo avec le psaltérion (la harpe) – kithara (Psaumes 71, 22 ; 98, 5). Dans le Grec du Nouveau Testament Paul a affirmé : psallo avec le kardia (Éphésiens 5, 19 ; 1 Corinthiens 14, 15). Voilà le contraste : psallo avec le kithara ‒ la harpe ; psallo avec le kardia – le cœur ; un est mécanique, l’autre est spirituel, et cela est la différence. Dans le livre La Critique Biblique (Biblical critism) J. W. McGarvey a expliqué que qui que ce soit qui dit qu’un instrument mécanique est inhérent dans le verbe Grec psallo est quelqu’un qui a des connaissances vagues en Grec qui peut croire n’importe quoi qu’il veuille croire.

En dépit de ces faits incontestables les traducteurs péremptoires soient qu’ils

évitent soient qu’ils éludent la clarté dans la transmission de leurs propres systèmes de pensées fanfaronnées. Dans l’action d’interrompre la continuité des phrases l’enseignement du passage est perdu.

(72) Philippiens 2, 13 : L’accès aux deux copies de la même édition – la troisième

impression – de ce verset révèle une démonstration stupéfiante de la traduction irréfléchie et capricieuse. Le chapitre 2, le verset 13 comme dans le Nouveau Testament, voici les termes exacts : « Car c’est Dieu qui est à l’œuvre (agit, se montrant agissant) en vous l’un et l’autre le vouloir et le faire selon son bon plaisir. » Une copie de la troisième édition de la Nouvelle Version Internationale, inscrite sur la page des droits d’auteur en tant que la troisième impression, février 1974, lit comme suit : “Car c’est Dieu qui œuvre en vous de vouloir et de faire qu’est-ce qui lui plaît” – pourtant une autre copie de la même édition, aussi inscrite sur la page des droits d’auteur en tant que la troisième impression, février 1974, voilà comment cela est rédigé : “de vouloir et d’agir selon son bon but.” Voici deux copies de la même édition, la même impression, se lisant deux manières ! Il y a nombreux exemples des changements d’une édition à une autre – mais ici est un exemple de changer leur propre traduction dans le processus d’impression de la même édition. Il n’y a point de dates ou mentions pour indiquer le changement et il n’y a pas de moyen par lequel de déterminer combien de pareilles variations existent dans les copies de la même édition, car ce n’est pas que par hasard que deux personnes seraient ensemble lisant les versets variant en même temps – et cela a été seulement par hasard que ce critique de la Nouvelle Version Internationale l’a découvert. Ce seul aspect rend inapte tous les deux la traduction et ses traducteurs. Une telle inconstance au nom de la traduction est effroyable ; une pareille insouciance pour l’uniformité du texte de l’Écriture Sainte et le contexte est épouvantable. Cela est une cause pour faire réfléchir qu’est-ce que le professeur sur la commission, inscrit comme représentant « l’Église du Christ, » va penser ou faire, ou qu’est-ce que certains frères influents parmi nous qui l’ont sanctionné et sont ainsi responsable pour son imposition sur un grand nombre de membres de l’Église vont dire et faire pour rectifier le tort qu’ils ont occasionné. Concernant n’importe quelle assertion d’être une vraie traduction du Nouveau Testament, c’est plutôt un agglomérat de

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doctrinaires incompatibles et avec les multiples autres pseudo-traductions modernes, cela devrait être renoncée promptement.

(73) 4, 8 : Un autre échantillonnage, entre plusieurs, en Philippiens va servir

l’intention de ce supplément. La bonne apothéose, si particulière à Paul, consiste des sept attributions de 4, 8 : « Finalement, frères, que toutes les choses qui sont vraies, toutes les choses qui sont honnêtes, toutes les choses qui sont justes, toutes les choses qui sont pures, toutes les choses qui sont aimables, toutes les choses qui sont de bonne réputation, et s’il y a quelque vertu, et s’il y a quelque louange ; pensez à ces choses. » Dans l’accent de Paul sur ces vertus fondamentales des qualités méritoires sont accompagnées par les bons mots choses sept fois. Dans l’infériorité coutumière de leurs révisions du mot substantif est omis six fois et le tribut de l’apôtre au caractère est privé de son excellence.

(74) Colossiens 1, 2 : Le changement dans la salutation viole la grammaire et fait

en sorte que Paul a l’air idiot. La salutation apostolique lit comme suit : « Aux saints et fidèles frères en Christ qui sont à Colosses. » Cela est modifié pour lire : “Aux saints et fidèles frères (brothers).” Le nom saints qui désigne les membres de l’Église est changé à “holy” qui est un adjectif qui est fait pour modifier « frères, » un mot masculin spécifique, à la place de frères (brethen), le terme générique qui dénote la fraternité – pourquoi le changé à “les frères saints (the holy brothers)” ‒ semble comme un ordre Catholique, et exclues les “sœurs” !

(75) 2, 11-13 : Un autre cas de la traduction embrouillée est 2, 11-13, où en

dépouillant le corps des péchés de la chair au verset 11 est altéré à ôter de notre nature pécheresse. Ceci est associé au ensevelissement dans le baptême (l’immersion) du verset 12 – ainsi, comme la nature pécheresse veut dire le péché originel, ces traducteurs obtus ont fait un faux pas dans un démenti catégorique de leur théologie de la régénération à savoir quelqu’un doit être baptisé pour se défaire du péché originel, la dépravation totale héréditaire, qui est entièrement défavorable à leur propre doctrine confessionnelle de la régénération pré-baptême.

La confusion continue est observée au verset 12 où par la foi de l’opération de

Dieu est altéré à “votre foi en la puissance de Dieu” – mais “votre foi” et la foi sont tout à fait deux choses différentes avec la différence distincte en signification : ce n’est pas “votre” foi néanmoins la foi – et par la foi de l’opération de Dieu signifie manifestement le système de la foi, le système de l’évangile – par lequel Dieu opère dans la rémission des péchés – et le mandat pour l’ensevelissement dans le baptême dans la conclusion vous ayant pardonné toutes vos offenses repose carrément entre le pécheur et la rémission des péchés. Dans la tâche inélégante de remodeler le langage biblique ces réviseurs inconstants errent dans le labyrinthe de la confusion et la contradiction.

(76) 2, 14-16 : En ce passage l’annulation du décalogue, en tant que représentatif

de la loi Mosaïque, est affirmée officiellement : « 14 Effaçant l’acte écrit des ordonnances qui était contre nous, [et] qui nous était contraire, et il l’a ôté en le clouant à la croix … 16 Que personne donc ne vous juge [en ce qui concerne] manger ou boire, ou à l’égard d’un jour de fête, ou de nouvelle lune, ou des jours de sabbats. » La mention ici

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au sabbat a été changée à un jour de sabbat : Cependant dans la Version Autorisée, dans la locution « les jours de sabbats, » le mot jours est en italiques pour indiquer que ce n’était pas dans le texte original – alors l’interprétation réelle est ou du sabbat, qui a une référence spécifique au sabbat du décalogue, le sabbat du septième jour. La tentative est faite par toutes les personnes qui observent le sabbat de limiter cette abrogation aux jours du sabbat de la loi “cérémoniale,” n’étant pas applicable au septième jour du décalogue. Toutefois le texte original ne le permet pas. La partie du texte classifie les observances saisonnières par le calendrier – annuelles, mensuelles et hebdomadaires : « un jour saint, » annuelle, telle que la Pentecôte ; « la nouvelle lune, » tous les mois ; et « le sabbat, » tous les huit jours – une mention explicite au sabbat du décalogue. Les diverses versions qui modifient le sabbat à “un jour de sabbat” donnent un coup de main aux personnes qui observent le sabbat, et quand reçu d’une manière générale la Version Standard Américaine (ASV) le fait de temps à autre, comme elle le fait exceptionnellement dans qu’est-ce qui semble être dans quelque inadvertance particulière, ce n’est pas moins dans l’erreur et « il n’y a point d’acception de personnes » dans la fausse traduction.

(77) 2, 20-23 : Dans leur travail hétéroclite ce comité difficile à manier manquait

la prudence de percevoir le contraste entre le Christianisme et le paganisme dans ce fragment du texte de Colossiens. Les « 20 rudiments du monde » (le monde païen) furent l’intégration des mystères du paganisme, les éléments de la philosophie païenne – et la “sagesse dans l’adoration-volonté” consistaient dans la vénération des mystères de la pensée païenne, l’influence de laquelle entourait les Chrétiens Gentils de Colosse au sein de la société païenne. L’apôtre les admoneste de « 21 ne touche pas, ne goûte pas, ne prend pas » ces philosophies qui ne furent pas de Dieu. Pas sensé au cadre le prétexte des réviseurs de remanier ces versets se solde par un fiasco de traduction.

(78) 1 Thessaloniciens 1, 1-3 : L’épître aux Thessaloniciens commence par la

ruine du verset favori de 1, 3 « Nous rappelant sans cesse votre œuvre de foi, et [votre] labeur d’amour et la patience d’espérance en notre Seigneur Jésus-Christ, devant Dieu et notre Père » ‒ une précision dans l’expression des qualités spirituelles supérieures de l’église Thessalonique qui est au-dessus l’amélioration, mais les gens modernes qui rectifient ont déprécié le parfait passage en remplaçant ses phrases parfaites par leur propre invention verbale de signification moindre que l’excellent style de Paul.

(79) 1, 1-5 : La théologie sectaire des réviseurs sur l’influence directe du Saint-

Esprit et la puissance de convertir et l’habitation à l’intérieure de soi teintent leurs traductions de toutes les parties du texte de l’Esprit Saint, et particulièrement dans le cas présent du verset 5 de cet épître de Paul et le chapitre 1, le verset 12 de la première épître de Pierre. Le premier, les mots de Paul : « 5 Car notre évangile n’est pas venu à vous en parole seulement, mais aussi en puissance, et en l’Esprit Saint, et en grande certitude. » Le second, « 12 À eux il a été révélé que ce n’était pas pour eux-mêmes, mais pour nous qu’ils administraient ces choses, qui vous sont maintenant rapportées par ceux qui vous ont prêché l’évangile, avec l’Esprit Saint envoyé du ciel. » Dieu a fait descendre l’Esprit Saint sur les apôtres par le moyen des signes miraculeux pour les certifier en qualité des apôtres du Christ, et de vérifier leur enseignement inspiré. La comparaison de la version

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de ces prétendus rédacteurs avec la narration de Paul de comment l’évangile est venu aux Thessaloniciens révèle avec accent digne d’être remarqué le parti pris théologique du comité de la Nouvelle Internationale. Leur révision remplace pas en parole seulement de l’apôtre avec “pas simplement en mots,” et en beaucoup d’assurance avec “profonde conviction” ‒ qui ne furent pas les termes de Paul du tout. Le sens manifeste de non pas en parole seulement, mais aussi en puissance, est que la manifestation du Saint-Esprit dans les signes miraculeux qui accompagnaient la prédication de Paul à Thessalonique ont démontré la puissance de l’inspiration dans sa prédication, et la grande assurance a consisté dans la preuve de la source de son enseignement, vérifiée par les signes miraculeux comme étant de Dieu, de ce fait le défendant avec succès à titre d’un apôtre du Christ – voilà comment l’évangile est venu de Paul aux Thessaloniciens pas en paroles seulement, mais aussi en puissance, et en le Saint-Esprit, et en grande assurance. L’implication des réviseurs qu’une “puissance” et “une profonde conviction” séparées de “simplement avec les mots” furent accordées aux Thessaloniciens, et est transmis à nous en plus de et indépendant de la parole, est la conséquence du sectarisme qui administre la commission et dirige la traduction dans leur minable version.

Il est prétendu que l’Esprit Saint opère sur la parole pour la rendre efficace, ou

pour éclairer la parole pour nous permettre à la comprendre. Si cela fut vrai, sans l’opération du Saint-Esprit la parole est inefficace. Cette théorie a l’Esprit Saint opérant sur la parole – un faux raisonnement qui a le Saint-Esprit opérant sur la Parole du Saint-Esprit au lieu de par la parole dans laquelle l’inspiration de l’Esprit existe déjà. Ce fut l’affirmation de Mme Ellen White, le pape féminin des adventistes du septième jour, dans son œuvre intitulée “La Grande Controverse,” que l’Esprit Saint en elle a fait la lumière sur la parole, la donnant le moyen de piger le sens pour l’interprétation à ses disciples dupes – cela est absurde, mais tel a été l’allégation des chefs de chaque culte religieux radical de l’imposteur M. Joseph du mormonisme, aux idées confuses de Mme Ellen du mouvement d’Adventiste, capricieuse Mme Marie de Scientisme-Mental, Messieurs Russell & Rutherford du Millénarisme de la Tour de Garde, jusqu’au Néo-Pentecôtisme récent. Que les Églises du Christ devraient être embarrassées par les éléments internes de pareille apostasie doctrinale est funeste dans tous ses effets sur la cause nous avons tellement soutenu avec succès depuis l’existence de l’Église sur ce continent. Et les personnes de renom dans notre fraternité qui prétendent l’influence immédiate et l’habitation directe dans l’âme du Saint-Esprit, en revanche dénient la solidarité avec les cultes Néo-Pentecôtistes, et nient la ressemblance dans le sens de leurs sentiments spirituels, malgré tout, à cause de la similarité, donnent l’élan à ces groupes à l’intérieur des églises.

L’évangile est déclaré par Paul d’être la puissance de Dieu pour le salut. Si ça

prend l’opération directe de l’Esprit Saint sur la parole pour la rendre efficace, en ce cas sans cette opération directe la parole n’est pas efficace, alors si cela est vrai le Saint-Esprit doit opérer sur l’évangile comme une aide pour le rendre efficace, mais Romains 1, 16 ne se lit pas de cette façon – Paul n’a pas dit : L’évangile lorsqu’aidé est la puissance de Dieu pour sauver. Paul déclare que l’évangile est la puissance – pas que cela va être si assistée.

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(80) 1 Thessaloniciens 2, 2-13 : La même déclaration apostolique s’applique à la parole dans tout son exécution : « 13 Pour cela (cette cause) aussi, nous remercions Dieu sans cesse, parce que, lorsque vous avez reçu la parole de Dieu que vous avez entendue de nous, vous l’avez reçue, non comme la parole des hommes, mais ainsi qu’elle est véritablement, la parole de Dieu, qui agit efficacement aussi en vous qui croyez. » Dans l’acte de recomposer de ce verset la Nouvelle Version Internationale omet le mot indispensable efficace – le but est claire, cela obvie à la théologie de leur version faisant faveur l’opération directe de l’Esprit Saint en plus de la parole. La même puissance qui opère efficacement pour délivrer le pécheur « 13 agit efficacement aussi en vous » ‒ le Chrétien – Paul a fait savoir. S’il y a une puissance qui habite dans les croyants (les Chrétiens) à part de la parole, donc il y a deux puissances, que si vrai trouve la puissance de Dieu est insuffisante, non pas efficace, car efficace veut dire adéquat, suffisant ‒ “produisant l’effet souhaité ou voulu ; ayant la force ou la puissance adéquate pour produire l’effet, comme un remède efficace” ‒ (Webster) ; et, « la parole de Dieu qui agit efficacement aussi en vous … » ‒(Paul) Ça règle quelque chose – un argument !

Cela est présumé qu’il y a une plus grande puissance dans l’entremise directe du

Saint-Esprit que réside dans la parole – mais comment ils savent cela ? – la Parole ne le révèle pas ça.

En Hébreux 11, 3 l’apôtre Paul a déclaré que « les mondes ont été formés par la

parole de Dieu » et en 2 Pierre 3, 5, que l’apôtre a ajouté la déclaration « par la parole de Dieu les cieux existaient d’ancienneté, et la terre se tenant hors de l’eau et [est] dans l’eau. » Un de nos premiers grands hommes, en réponse à M. Jarrell, le Baptiste, a dit : “Si les mondes furent formés par la parole de Dieu ; si la terre et la mer existaient par la parole de sa puissance ; si les montagnes se sont levées et la mer est devenue des flots houleux ; si les innombrables planètes passent à travers l’espace infini et les soleils au-dessus des nombres éclairent les mondes innombrables, et tout ce sont maintenus par la parole de sa puissance (Hébreux 11, 3), voici la puissance miraculeuse attribuée à la parole bien au-delà de la conception.” La Bible enseigne que Dieu a accompli les miracles par la puissance de sa parole, et n’importe quelle puissance surnaturelle dans le pardon des pécheurs serait l’acte de Dieu dans la complaisance de l’homme avec sa parole – par conséquent dans les mots d’un autre grand homme parmi les grands, M. Alexander Campbell : Dans la persuasion (la conviction) et la conversion, dans la sanctification et l’édification, l’Esprit Saint opère uniquement par le truchement de la parole.

D’après la doctrine de l’opération directe, non seulement un homme doit être régénéré par le processus de l’opération directe, mais le Saint-Esprit doit également exécuter une autre opération directe sur la parole morte pour la régénérée, l’éclairer, de la rendre efficace. Cette vieille fausse théologie fut une fois mise en musique dans un vieux cantique : “Revenez, Ô Sainte Colombe, revenez, à cette parole morte la tienne, de la rendre qu’est-ce que ce fut une fois de plus, de faire l’œuvre divine.” [“Return, O Holy Dove, return to that dead word of thine, to make it what it was again, to do the work divine.”] L’idée que l’Esprit a une habitation personnelle directe en nous pour éclairer la parole afin que nous puissions la comprendre a le Saint-Esprit régénérant la parole afin

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que la parole puisse nous régénérée! Cependant ce fut l’Esprit Saint qui a transmis l’inspiration aux apôtres quand cela leur fut donnée, et la parole inspirée donner aux. apôtres est la puissance qui agit efficacement en nous.

La théologie de la parole morte est insinuée dans les passages du Saint-Esprit par ces éditeurs œcuméniques – néanmoins en Hébreux 4, 12, l’apôtre a prononcé que « la parole de Dieu est vivante, et efficace (agissante, energẽs [powerful]), et plus pénétrante qu’une épée à deux tranchants, perçant même jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit, des jointures et des moelles, et [elle] discerne les pensées et les intentions du cœur. » La parole de Dieu est vivante (zao) – ça vive, ce n’est pas une parole morte, cela est vivant; la parole de Dieu est puissante (energẽs) – c’est l’énergie spirituelle qui agit efficacement en nous. Il n’y a point d’émotion que l’Esprit Saint ne peut générer à l’intérieur de nous que la parole de Dieu n’engendre pas, les nouvelles notions sauf contrordre malgré tout.

(81) Les réviseurs extasiés à (ré)-écrire bousillent la beauté des bénédictions

Thessaloniciennes de 1 Thessaloniciens 3, 13 et 2 Thessaloniciens 2, 16 – remplaçant 3, 13, les absolument magnifiques et véridiquement déclarées « 13 affermir vos cœurs, » avec l’expression verbale de moindre signification variable “la force intérieure,” qui peut être manipulée à vouloir dire n’importe quoi qu’un bigot visionnaire quelconque qui la voudrait que cela communique – d’ailleurs, ce n’est pas qu’est-ce que Paul a exprimé. Et en 2 Thessaloniciens 2, 16-17 les mots de la bénédiction apostolique de « 16 la consolation éternelle, » et « 17 console (réconforte KJV) vos cœurs, » et « vous affermisse, » et « 17 en toute bonne parole et [en toute bonne] œuvre, » ils sont tous remaniés pour faire l’affaire capricieuse des réviseurs.

(82) 2 Thessaloniciens 1, 3-10 : Un manque total d’appréciation de l’excellence

suprême de la longue phrase de Paul, qui a été la merveille littéraire des générations, est manifesté en mettant en morceaux dans les phrases légèrement reconstituées, regroupées, réarrangées, avec les omissions et les modifications ajoutées, fondamentales aux vérités intrinsèques de l’exposé merveilleux du juste jugement de Dieu, (2 Thessaloniciens 1, 5), et les événements terrifiants qui se rapportent à cela lorsqu’il viendra (2 Thessaloniciens 1, 10) pour recevoir l’admiration de tous les croyants en ce jour-là (2 Thessaloniciens 1, 10). Le verbe récompenser (2 Thessaloniciens 1, 6) (Infliger la peine méritée; rendre l’affliction dans plusieurs traduction, rendre la tribulation KJV) dans ce dernier fragment du texte a deux compléments d’objet : la tribulation (v. 6) et le repos (v.7) (le mot repos n’est pas un verbe ici, mais un nom, l’objet du verbe récompenser [ou rendre]) – le Seigneur va récompenser la tribulation aux persécuteurs et le repos aux persécutés quand il sera révélé (apokaluptõ; apokalupsis révélation) viendra. Cependant dans l’exercice de leur zèle officieux habituel les nouveaux traducteurs insèrent deux verbes pour l’un de Paul, changeant le seul mot récompense à quatre mots, “faire payer (pay back)” et “donne soulagement (give relief).” Ces gens qui aiment altérer de la nouvelle version mendient la description superlative des décisions du jugement à l’avènement du Seigneur.

Les traducteurs de la Version Standard Américaine (ASV) de 1901 ont reconnu et

ont eu égard pour la singularité dans la qualité de cette longue phrase sans précédent et

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l’ont retenue dans la forme inchangée avec la Version Autorisée du roi Jacques. Par contre les faiseurs qui touchent à tout de la nouvelle version exposent leur mesquinerie et exposent leur inaptitude.

(83) 1 Timothée : L’action de remodeler le mandat apostolique à Timothée en 1 Timothée 1, 1-3 à ordonner à certains qu’ils n’enseignent pas une autre doctrine (v. 3) est changé avec indifférence à “de ne plus enseigner la fausse doctrine” ‒ qui met les locutions sur le tire-ligne de la plume de Paul qu’il n’a pas écrit, et les phrases sur sa langue qu’il n’a pas dit. La vague généralisation de “ne plus enseigner la fausse doctrine” ne s’accorde pas avec la spécification : Pas d’autre doctrine; ‒ et cela saute aux yeux que ces réviseurs verbeux sont inconscient de l’ordre divin : Vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. (Deutéronome 12, 32 [d’autres exemples sur le même principe sont : Deutéronome 4, 2; !ombres 15, 39; Proverbes 30, 6; Apocalypse 22, 18])

(84) L’exemplification davantage de l’indifférence analogue à l’essence

scripturale est la légèreté de leur acte de rédiger à nouveau de 1 Timothée 1, 7 Paul a écrit : « ne comprenant ni ce qu’ils disent, ni ce qu’ils affirment » qui en brièveté ne peut pas être révisé et en exactitude ne peut pas être clarifié – mais avec l’expression familière impertinente qui frise l’argot, la locution précise de l’apôtre a été cavalièrement modifiée à “ils ne savent pas qu’est-ce qu’ils disent,” qui est tout à fait manquant dans l’excellence de l’expression commune au langage de l’Écriture Sainte.

(85) En 1 Timothée 2, 6 La déclaration de Paul en ce qui concerne Christ, qui s’est donné lui-même en (une) rançon pour tous, est altérée à “comme une rançon” – pourtant Christ fut lui-même une rançon, pas purement quelque chose comme, qui ne serait pas la chose elle-même.

(86) En 1 Timothée 2, 8 le commandement de l’apôtre : « J’ordonne (I will) donc que les hommes prient en tout lieux, levant les mains saintes » est changé à “Je veux (I want)” – toutefois j’ordonne (I will) exprime un ordre, transmis, un commandement, la charge, une chose Paul a prescrit, pas tout simplement quelque chose qu’il “voulait.” Derechef, cela présente l’interrogation inéluctable se reproduisant sans cesse : Pourquoi toutes ces variations inférieures et non valides de la véridique exactitude qui a résisté au passage du temps du langage de la Bible – toutes pour satisfaire la grande envie d’une fausse pertinence qui s’est soldée par la corruption conglomérée « du livre divin. »

(87) La bénédiction de la série des charges de l’apôtre à Timothée est 1 Timothée

6, 15-16 : « 15 Laquelle il montrera en son temps qui est le béni et seul Potentat, le Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs. 16 Qui seul possède l’immortalité, demeurant dans la lumière que nul homme ne peut approcher, et que nul homme n’a vu, ni ne peut voir; à qui soient l’honneur et la puissance éternelle. Amen. » En plus de la morgue de changer la syntaxe de cette partie d’écriture sainte sublime, la vraie déclaration qui seul a l’immortalité est remplacée par la déclaration inexacte “qui seul est immortel.” La déclaration que Dieu seul possède l’immortalité, signifie, comme n’importe quel élève perspicace peut voir, que Dieu a seulement l’immortalité, il n’a pas de la mortalité – il a seulement l’immortalité, qui est une déclaration véridique. Cependant la nouvelle version

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lit comme suit : “qui seul est immortel,” qui est une déclaration erronée. Les anges du ciel sont immortels, l’âme de l’homme est immortelle, « 23 les esprits des hommes justes parvenus à la perfection » dans le domaine paradisiaque et tous “dont les noms sont inscrits au ciel” (tirés d’exemples comme les passages : Philippiens 4, 3; Apocalypse 21, 27) – ces rachetés sont tous immortels. Ceci n’est qu’un exemple de la mutilation littéraire, c’est la preuve formelle de l’émission de faux enseignement des pages de la Nouvelle Version Internationale.

(88) La disposition des variations du texte forme un courant continuel à travers premier et second Timothée. II Timothée 1, 8 : « N’aie donc pas honte du témoignage de notre Seigneur » ‒ ce témoignage du Seigneur a été altéré, avec l’objet apparent Néo-Pentecôtiste, à “n’aie pas honte de témoigner concernant notre Seigneur” – quelle différence! Le témoignage du Seigneur à nous est l’enseignement du Seigneur par son apôtre, et la déclaration de Paul ici est la même en signification comme « 16 Car je n’aie point honte de l’évangile du Christ » en Romains 1, 16 – et de changer le témoignage du Seigneur à “témoigner concernant” lui exécute la doctrine, le système, la pratique fondé(es) sur l’expérience répandue parmi les éléments Néo-Pentecôtisme qui en ce moment noyautent presque la totalité les affiliations religieuses, qui sont fortement représentés sur les comités de la Nouvelle Version Internationale.

(89) L’avertissement émouvant de l’apôtre de 2 Timothée 4, 5 : « mais toi, veille (nẽphõ, soyez vigilant, moral, sobre métaphoriquement) en toutes choses » est modifié à l’explétif cru ‒ “ ne perdez pas la tête dans toutes les situations” ‒ et au verset 6 les mots de Paul avant de quitter, je suis maintenant prêt à être offert est altéré à “étant versé en tant qu’une libation”! Telle écriture! Et l’insolence hardie de pareils auteurs! Ainsi c’est que c’est la lettre de Paul à son « propre fils dans l’évangile (la foi) » [tiré d’exemple de 1 Timothée 1, 2] est tronquée bien trop pour l’identification, censurée et expurgée rendue méconnaissable de sa forme originale, et les éléments caractéristiques. L’impudence des gens qui changent le texte est grotesque. La version de la Nouvelle Internationale de premier et second Timothée commence mal, reste mal et fini mal.

(90) Tite 1, 1-3 : Les premiers versets posent la question initiale : Pourquoi ne pas laissé le préambule de Paul comme il l’a écrit? Ensuite, il n’y a aucun motif pour justifier de changer la foi commune de Tite 1, 4 à “notre” foi – la foi est la foi révélée (l’évangile); “notre” foi peut être n’importe quoi qu’une personne croit. C’est une différence doctrinale. Dans l’indifférence semblable à l’Écriture sacrée en Tite 1, 9 : la fidèle parole est modifiée au “message fiable”; et en Tite 2, 10 l’analogie ornementale de l’apôtre afin qu’ils puissent orner (embellir Kjv) la doctrine de Dieu notre Sauveur en toutes choses est dépossédée des deux la vérité et l’ornement dans le changement pour faire “l’enseignement au sujet de Dieu attrayant.” En premier lieu, l’enseignement “au sujet de” Dieu n’est pas la doctrine de Dieu – qui est la doctrine qui vient de Dieu, qui provient de Dieu (Matthieu 4, 4; Jean 15, 26); attendu que, l’enseignement “au sujet de” Dieu comporte l’idée de qu’est-ce que qui que ce soit peut enseigner à propos de Dieu. En second lieu, d’orner (ou embellir) la doctrine de Dieu en toutes choses n’est pas une similitude de la rendre attrayante. Il y a beaucoup “d’enseignement au sujet de Dieu” à l’époque et plus de tel enseignement à l’heure actuelle qui n’orne pas la doctrine de Dieu.

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(91) Un autre échantillon de la piètre traduction est Tite 2, 11-12, un passage de l’évangile de l’usage depuis longtemps sur la grâce de Dieu qui nous enseigne, ainsi assimilant la grâce avec l’évangile. Voici ce que dit le fragment du texte : « 11 Car la grâce de Dieu qui apporte le salut est apparue à tous les hommes. 12 Nous enseignant que, reniant l’impiété et les convoitises mondaines, nous devons vivre sobrement, droitement et pieusement, dans ce monde présent. » Après avoir mis en morceaux la phrase, enlevant la forme participiale du verbe, enseignant, qui dénote comment la grâce de Dieu est apparue à tous les hommes, la version enlève reniant (ou renonçant) à l’impiété et les convoitises mondaines et la change à “dire ‘Non’ à l’impiété,” ainsi réduisant l’instruction de Paul à Tite au niveau de jardin d’enfant, comme le père ou la mère dirait “non, non” à un gamin. Une personne quelconque assez vieille pour lire le Nouveau Testament sait qu’est-ce que le mot renoncer signifie, et cela est la puérilité claire et une réflexion sur l’intelligence adulte de simplifier à l’excès le texte du Nouveau Testament dans un tel parler simple enfantin comme on parle à un enfant – et ce n’est pas un compliment à soit Paul soit Tite d’insinuer que la lettre de Paul à Tite fut composée originellement dans un style d’enfant.

(92) L’exposé sensible d’une phrase de Paul sur le comment de la régénération en Tite 3, 4-5, est mis en morceaux dans deux phrases répétant la phrase principale il nous a sauvé deux fois à la place d’une fois comme cela a lieu dans le passage. Voici les termes exactes : « 4 Mais après que la bonté et l’amour de Dieu notre Sauveur pour (envers) les hommes sont apparus. 5 Non point par les œuvres de droiture que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde il nous a sauvé, par le lavage de la régénération, et le renouvellement de l’Esprit Saint. » Dans la manipulation trompeuse de cette partie du texte « le lavage de la régénération » est fabriqué à vouloir dire “la renaissance,” néanmoins même les érudits appartenant à des confessions et les commentateurs sur qui on peut compter sont en accord que le lavage de la régénération est le baptême, le lavage qui appartient à la période de la régénération – la dispensation de l’évangile – par opposition aux lavages de la loi de Moïse. Cela est comparable à Éphésiens 5, 26 sur la sanctification et la purification « avec (ou par) le lavage (le baptême) d’eau par la parole. » Dans un diagramme la phrase principale doit être arrangée, puis les locutions modifiées. La phrase principale dans ce verset est : Il nous a sauvé, les locutions subordonnées, non par les œuvres – mais par le lavage de la régénération; qui est le baptême. Voici le schéma.

IL NOUS A SAUVÉS

Non Par Mais Par

Les Œuvres Le Baptême

SELON SA MISÉRICORDE

Cela est généralement soutenu que la raison le baptême n’a rien à faire avec le salut est parce que le salut n’est pas des œuvres – toutefois c’est pourquoi le baptême a quelque chose à faire avec le salut, parce que cela n’est pas des œuvres : Il nous a sauvé,

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non par les œuvres, mais par le baptême, pour cette raison le baptême n’est pas classifié avec les œuvres – cela est l’obédience au commandement de Dieu, et quand Dieu délivre un pécheur par le baptême c’est selon sa miséricorde, a dit Paul, la théologie des nouveaux traducteurs avis contraire malgré tout.

Si Paul fut évoqué de sa demeure du séjour des morts, et devrait lire cette lettre à Tite dans la nouvelle version, il ne pourrait pas reconnaître sa phraséologie en étant de son propre langage, ou figure de rhétorique, ou les formes d’expression. C’est de la nouvelle traduction, vraiment, d’écrire les épîtres des apôtres dans un dialecte des éditeurs de révision de leur propre choix comme ils pensent Paul l’aurait écrit ou l’aurait composé à présent – par conséquent dans telle insouciance pourquoi avoir les manuscrits des Saintes Écritures du tout!

(93) Philémon : La lettre d’un chapitre de Paul à Philémon fut personnelle, écrite dans le lien de la foi, l’amitié et la communion (fraterniser l’un avec l’autre), et ses mots de dévotion profonde ne sont pas soumis à l’émendation et la révision. Car pour n’importe qui de changer une lettre d’une personne à une autre est mesurée par tous les critères d’éthique comme une offense abjecte. Cependant la lettre personnelle de Paul à Philémon est transcrite dans une lettre de ces traducteurs eux-mêmes, comme s’ils l’avaient écrite, qu’ils ont apparemment pensé qu’ils pourraient composer mieux que Paul. Leurs omissions et leurs émendations peuvent ne pas être considérées importantes mais pour moi elles sont infâmes.

Cette lettre sur les relations humaines enseigne que tous les Chrétiens sont sur un niveau spirituel; que le Christianisme ne modifie pas l’état social ou politique de quelqu’un; que nous ne devons pas dédaigner les personnes d’humble condition mais devons faire du bien à tous les hommes; que lorsque les offenses existent, néanmoins l’acte de restituer est fait, le pardon et la réconciliation sont requis; que nous devons faire autant qu’en notre pouvoir de ramener tous qui sont dans l’erreur. L’enseignement de Paul en Philémon est clair, et comme il l’a écrit, non pas comme les correcteurs modernes l’ont remanié.

(94) Hébreux 1, 1 : Les omissions dans cet épître débute avec 1, 1 par la suppression du temps d’autrefois ou au temps jadis, qui est par contraste avec les derniers jours (v. 2) pour désigner les dispensations l’ancienne et la nouvelle – cette distinction est embrouillée si ce n’est pas perdu dans l’action de recomposer.

La substitution de “devenir” pour engendrer en Hébreux 1, 5 : Tu es mon Fils,

aujourd’hui je t’ai engendré est altéré à “Je suis devenu ton Père.” Le mot pour engendrer dans ce texte est gennaõ, par contre le mot pour “devenir” est ginomai, deux mots avec des nuances différentes de sens. La déclaration « Aujourd’hui je vous ai engendré » n’est pas par rapport à la conception par la vierge et la naissance de Jésus mais à l’ascension et le sacre – le Fils engendré du Père en qualité du Prêtre et Roi d’un seul coup sur son trône au ciel : « 8 Mais au Fils il dit : Ton trône, Ô Dieu, est pour toujours et toujours, un sceptre de vertu est le sceptre de ton royaume. »

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Le mot pour le seul Fils engendré est monogenẽs en ce qui concerne la naissance de Jésus; le mot pour premier-né ou premier-engendré est prõtotokos; le mot pour devenir est ginomai; et le mot pour engendrer, comme en Hébreux 1, 5 est gennaõ, et cela ne devrait pas être changé à “devenir” – à vrai dire une personne peut “devenir” sans étant engendrer. Ces mots originaux ont des nuances différentes de sens avec les connotations qui en résultent – le Grec fait les distinctions, l’Anglais maintient la distinction – cela ne devrait pas être ignorée, et ça ne permet aucune altération, toutefois les réviseurs libéraux violent les distinctions et les différences à leur volonté.

(96) D’Hébreux 1, 5 à Hébreux 1, 13, les passages de l’Ancien Testament en

prose par la citation dans la forme de la poésie encombrent le chapitre entier – les fragments du texte cités ne furent pas en forme poétique, et en sus de cette infraction des mots et locutions des formes littéraires dans les parties du texte sont modifiées, alors les transcripteurs sont coupables d’une plus grande offense – citant à faux les citations! Cependant en Hébreux 10, 8 – 12, 26, et autres citations, la prose est retenue dans un groupe de citations, démontrant l’asymétrie maladroite partout dans leur version.

(97) L’action de réécrire d’Hébreux 6, 1-2 est un cas bien visible de l’altération et le travestissement d’un passage fondamental. Voici les termes exacts : « 1 C’est pourquoi, laissant les principes [de base] de la doctrine de Christ, allons vers la perfection; ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance des œuvres mortes, et de la foi envers Dieu, 2 de la doctrine des baptêmes, et de l’imposition des mains, et de la résurrection des morts, et du jugement éternel. » La nouvelle version transforme laissant les principes de la doctrine de Christ à “laissant les enseignements élémentaires concernant Christ,” et la repentance des œuvres mortes à “les actes qui mènent à la mort,” et de la foi envers Dieu à “de foi en Dieu” ; et de la doctrine des baptêmes à “l’instruction touchant des baptêmes” – qui est la preuve que les traducteurs ne savent pas la signification de la partie du texte et leur interprétation a foiré complètement. Laissant les principes de la doctrine de Christ fait allusion aux éléments de la loi Mosaïque et du Judaïsme qui les a amené à Christ comme en Galates 3, 23-25 – « 24 le pédagogue pour nous amener à Christ, » et Galates 4, 1-4, les rudiments de la loi en tant qu’un tuteur pour les préparer pour Christ : « 25 Mais la foi étant venue, nous ne sommes plus sous un pédagogue. » Les principes en Hébreux 6, 1-2, lesquels les Chrétiens Hébreux furent admonestés de laisser furent les éléments du Judaïsme, et les rudiments du système Mosaïque, qui furent élémentaires et rudimentaires au système de l’évangile. Paul n’a pas exhorté les Hébreux de laisser “la foi en Dieu” il a exprimé la foi envers Dieu, parce que sous le système Juif Christ n’était pas venu. Paul ne leur a pas persuadé à laisser “les enseignements concernant Christ” qui voudrait dire d’abandonner l’évangile du Christ – ils furent encouragés de laisser les rudiments – les principes du préceptorat – qui les a préparé pour Christ. (Galates 3, 23-25) Et Paul ne leur a pas importuné de laisser “les instructions à l’égard des baptêmes” (si les réviseurs signifient le baptême de la nouvelle alliance) – il y a seulement un baptême (Éphésiens 4, 5), pour cette raison « les baptêmes » faisaient mention aux « diverses ablutions » (Hébreux 9, 10) du système de Moïse, qu’ils furent à ce moment recommandé vivement de laisser. Paul lui-même n’a point laissé l’instruction à propos du baptême, pour tout ce qu’il a dit sur le sujet imprimé il a écrit aux églises. !ous ne laissons jamais rien qui appartient à ou est une partie de

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l’évangile – donc, « laissant les principes de la doctrine du Christ » parlent des rudiments du Judaïsme, et « tendons à la perfection » (Hébreux 6, 1) veut dire dans la perfection de la nouvelle alliance. Les rudiments du Judaïsme sont détaillés comme suit : 1. posant de nouveau le fondement de la repentance des œuvres mortes – les sacrifices des animaux morts; 2. la foi envers Dieu – car Christ n’était pas venu; 3. de la doctrine des baptêmes – les multiples ablutions de la loi Mosaïque; 4. de l’imposition des mains – les cérémonies prophétiques et sacerdotales du système de Moïse; 5 de la résurrection des morts – ressuscitant les ordonnances mortes du système Mosaïque; 6. du jugement éternel – le jugement de dispensation d’aucune rémission, le mot éternel (aionicus) traitant toute la période à laquelle cela fait mention, de la dispensation entière, tel que l’encens à perpétuité (Exode 30, 8), les holocaustes perpétuels (Nombres 28, 3), le jugement éternel (Hébreux 6, 2) : toute la période à laquelle cela fait référence.

Après cet énumération des rudiments du Judaïsme, les versets 3-6 suivants qui servirent d’avertissement – « 6 s’ils retombent, » c’est-à-dire, de la nouvelle alliance qui a pourvu leur édification et divers dons spirituels et bénédictions – les sacrifices auxquels ils retournaient ne pouvaient plus « les renouvelés encore à la repentance » comme jadis ils faisaient, car les autels Mosaïques furent invalides, ils n’ont pas d’efficacité, ils ne peuvent pas renouvelés « 1 … je peut jamais, par ces sacrifices qu’on offre continuellement chaque année, rendre parfaits ceux qui y assistent, » (Hébreux 10, 1) ils sont des autels morts du Judaïsme et appartiennent à une loi abrogée.

Au chapitre 5, le verset 12 d’Hébreux le contexte est clair que les premiers principes des oracles de Dieu est une référence aux rudiments de la loi de Moïse, comme en Galates 3, 24.25 et 4, 1-4. Les premiers principes de la loi Mosaïque furent comme le lait, et la nouvelle alliance fut comme la nourriture solide – cette comparaison fut associée au chapitre 6, les versets 1-6, une comparaison entre la loi de Moïse et la nouvelle alliance, mettant en contraste le Judaïsme et le Christianisme. Sur ce point Adam Clarke commente “Vous avez besoin que quelqu’un vous enseigne une deuxième fois certains éléments des doctrines du Christ, ou oracles de Dieu; i.e. les avis que les prophètes ont donné de la prêtrise de Jésus-Christ, tels qui se trouvent en Psaumes 110 et Ésaïe 53. Par les oracles de Dieu les écrits de l’Ancien Testament sont signifiés indubitablement.”

Dans la Nouvelle Version Internationale le texte d’Hébreux 6, 1-6 est rempli de déformation – et ça prête un accent implacable à la nécessité de laisser le texte de la Bible intact et inchangé.

(98) En ce qui concerne l’Ancienne Alliance et la Nouvelle Alliance en Hébreux 8, 7-8, l’apôtre a expliqué : « 7 Car si la première alliance avait été sans défaut, il n’y aurait pas eu lieu d’en chercher une seconde. 8 Car en leur trouvant des défauts, il dit : Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, que (quand) je ferai une alliance nouvelle avec la maison d’Israël et avec la maison de Juda. » Voici comment la nouvelle version est rédigée : “Car s’il n’y avait eu rien erroné avec la première alliance” – mais il n’y a pas eu rien erroné avec la première alliance, cela fut fait par Dieu et donné par Dieu. La mention, si cette première alliance avait été sans défaut n’insinue pas que ce fut erroné,

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ou quelque chose erronée avec cela, plutôt ce ne fut pas complète pour la rédemption. Le mot défaut ne veut pas dire erroné – ce fut juste pour son but, néanmoins pas sans défaut en ce que ce ne fut pas définitif, pas l’achèvement de l’objet de Dieu – pas parfait pour la rédemption, pour la sanctification (Hébreux 10, 9-10) et la vertu ou la justification – Galates 3, 21 : « Car s’il avait été donné une loi qui puisse donner la vie, la droiture viendrait véritablement par la loi » ‒ pourtant cela ne signifie pas que la loi fut erronée. La traduction de la Nouvelle Internationale jette une réflexion désobligeante sur Dieu.

(99) Quant au processus de passer de l’ancienne alliance, en Hébreux 8, 13 l’apôtre révèle : « Puisqu’il dit : Une nouvelle alliance, il fait vieillir la première. Or ce qui est devenu ancien et qui vieillit, est près de disparaître. » Le temps présent est près de disparaître est modifié au temps futur “va disparaître bientôt” – dans combien de temps? – est près de disparaître voulait dire à cette époque-là, et le changement est ambigu, et inutile, Paul n’a pas dit : va disparaître bientôt.

(100) Un changement similaire dans les temps des verbes est en Hébreux 10, 1 : « Car la loi ayant l’ombre des bonnes choses à venir » fut la condition passée quand la loi fut en application et opérative, et les bonnes choses à venir ont indiqué la nouvelle alliance avant qu’elle soit venue. Cependant la déclaration de Paul est modifiée d’ayant à “est l’ombre” et des “bonnes choses qui vont arrivées” ‒ qui peut être fabriqué à vouloir dire n’importe quelle théorie à l’avenir que n’importe quelle personne veut que cela signifie. Les bonnes choses à venir furent les choses qui furent présagées dans la loi – elles sont arrivées, non pas “vont venir” ‒ et une fois de plus les nouveaux éditeurs exhibent l’inaptitude.

(101) Revenant sur l’ordre du chapitre, pour une plus ample illustration de manier gauchement, en Hébreux 9, 15-17 les traducteurs présument de remanier le langage de Paul dans leur propre parler. La mention au verset 15 à la mort du Christ comme le moyen pour la rédemption des transgressions qui étaient sous la première alliance est altéré à “il est mort comme une rançon” ‒ qui est erronées deux manières : d’abord, Christ n’est pas mort comme une rançon, il fut lui-même une rançon; second, la locution ici est pour la rédemption des transgressions ‒ “la rançon” n’est pas le mot de Paul et n’est pas le terme pour cette dénotation. Pour une cause quelconque, apparemment pour accommoder les traductions à une phase de leur théologie moderne, le mot d’expier la rédemption est en train d’être renvoyée comme n’ayant pas rapport à leurs versions et est en train d’être enlevé. Nous nous demandons si ce mot qui rachète ne va pas en fin de compte d’être exclut par toutes les nouvelles versions. La version sous examen semble s’avancée vers cette direction. Toutefois, cela est interrogateur que malgré le fait que le mot la rédemption se rencontre onze fois dans le Nouveau Testament, seulement une fois sur onze cela est ici changé à comme une rançon – dix fois la rédemption, ensuite une fois le même mot est transformé à quelque chose d’autre sans raison ou explication.

Au verset 16 l’apôtre a formulé une condition connue pour la validité légale d’un testament : « 16 Car où il y a un testament, il est nécessaire également qu’il y ait la mort du testateur. » Pour combler le paroxysme de la traduction insensée ce verset est fabriqué

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à vouloir dire : “Parce qu’un testament est en vigueur seulement lorsque quelqu’un est décédé” ‒ de mettre “quelqu’un” à la place du testateur et “quelqu’un est décédé” au lieu de la mort du testateur est pire qu’absurde – c’est stupide.

(102) Le passage d’Hébreux 10, 25-26 relie à l’assemblée – l’assemblée du premier jour de la semaine – à la nouvelle alliance des versets précédents, pour la Sainte Cène est l’intégration de la nouvelle alliance : « Cette coupe est le nouveau testament en mon sang » (Luc 22, 20); « Car ceci est mon sang du nouveau testament » (Matthieu 26, 28) Le commandement de ne pas délaisser l’assemblée a parlé d’abandonner la nouvelle alliance sous la pression des Gens qui judaïsaient et la menace de la persécution imminente; d’exhorter l’un l’autre d’autant plus qu’ils ont vu (que vous voyez) approcher le jour (Hébreux 10, 25) ne voulait pas dire “entre les Dimanches” mais bien plutôt le jour de mauvais augure des persécutions qui menaçaient, lequel nécessitait l’exhortation accentuée de ne pas abandonner l’assemblée; de pécher délibérément (volontairement ou de plein gré) après avoir reçu la connaissance de la vérité faisait allusion au rejet de la nouvelle alliance; et il ne reste plus de sacrifice pour les péchés signifie que les sacrifices des autels du système Mosaïque, auxquels les Gens qui judaïsaient les persuadèrent de retourner, ne restèrent plus – ils furent abrogés, ne furent plus efficace, ils retourneraient à eux en vain.

Cette analyse du texte et son contexte est insérée parce que les réviseurs de la Nouvelle Internationale sont visiblement inconscients de son sens textuel. Au lieu de ne délaisser (abandonner) pas ils ont mis “ne laissons-nous pas abandonner de rencontrer ensemble,” en tant qu’appliqué à la négligence. Cependant délaisser veut dire d’abandonner, d’egkataleipõ ou enkataleipõ de laisser tomber dans; d’abandonner, et c’est le même mot employé en Hébreux 13, 5 : « Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point. » Une chose n’est pas abandonnée jusqu’à ce qu’elle soit abjurée, cesser d’y prendre part. Alors, les réviseurs de nouveau échappent à l’idée principale en changeant si nous péchons volontairement à “continuer exprès à pécher” ‒ ce péché délibéré est l’abandon de la nouvelle alliance. Après, le changement de il ne reste plus de sacrifice pour les péchés à “pas de sacrifice pour péchés est laissé” appliquant cela à un sacrifice du Christ pour nous; mais le sacrifice du Christ reste – tragique vraiment si cela n’accompli pas! Cette mention est aux autels Mosaïques les sacrifices desquels ne restent point, et de retourner à eux n’amèneraient aucun avantage. Néanmoins en Christ nous avons un sacrifice continuel pour le péché – Hébreux 13, 10 : « Nous avons un autel, dont ceux qui servent le tabernacle n’ont pas le droit de manger. » Le tabernacle fut symbolique du système de Moïse, ceux qui servaient le tabernacle furent les Gens qui judaïsaient – en revanche nous (les Chrétiens) avons un autel en Christ duquel ils n’ont pas droit de prendre part à dans l’abandon de la nouvelle alliance. Ça nécessite plus de temps et discussion de réfuter l’erreur que de le soutenir – donc cet excursus est prévu de contrebalancer la fausse traduction du contexte entier d’Hébreux 10, 25-39, qui indique clairement le danger d’abjurer la nouvelle alliance et la menace de la persécution.

(103) En Hébreux 10, 34 la mention de Paul à son propre emprisonnement est supprimée. Il dit : « Car vous avez eu de la compassion pour moi en mes liens. »

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Omettant cette mention à Paul les réviseurs ont exprimé “Tu sympathises avec ceux en prison,” supprimant la mention de Paul à lui-même parmi les persécutés qui avaient subi l’emprisonnement. Quelle espèce de traduction est cela?

(104) Le chapitre 11 d’Hébreux : L’impudence avec laquelle le onzième chapitre tout entier d’Hébreux est paraphrasé est rebutant – leurs altérations outrepassent la pure paraphrase. Leurs expressions sont en effet para – enfin, au-dessus de et phrasis, au-delà de la locution, et plus – elles sont des interpolations inventées des éditeurs égotistes qui ont assumé le rôle d’une rédaction des Saintes Écritures inspirées, comme s’ils étaient en train d’écrire le livre à la place de traduire ses mots. Cela est répulsif.

(105) Hébreux 12, 28 : Dans une dernière citation de l’épître d’Hébreux, l’effet d’une portée considérable de la fausse révision est le chapitre 12, le verset 28 : « C’est pourquoi, recevant un royaume qui ne peut être ébranlé, ayons la grâce par laquelle nous puissions servir Dieu agréablement, avec révérence et une pieuse crainte. » Le terme c’est pourquoi revient aux versets 22-23 : « 22 Vous êtes venus à la montagne de Sion … 23 l’Église des premiers nés … 28 C’est pourquoi recevant un royaume qui ne peut être ébranlé » ‒ l’Église et le royaume sont en ceci assimilés comme étant un seul et même, et la venue d’un certain homme est de recevoir l’autre. Par contre l’insertion d’un mot de trois lettres, le verbe are (be = être), la grammaire du verset est altérée et son enseignement est modifié. Les réviseurs ont inséré être (are) au verset 28 pour fabriquer à vouloir dire “nous sommes (en train de) recevoir un royaume” qui accommode la théorie d’un royaume à l’avenir que le royaume est seulement en processus à l’heure actuelle et va atteindre son apogée dans un accomplissement à l’avenir. Ceci est la réalisation ingénieuse du prémillénarisme que nous avons réfuté dans les polémiques écrites et orales, et maintenant par les moyens insidieux est disséminé dans les soi-disant traductions de la parole de Dieu. À l’heure qu’il est il faut sonner partout le mot d’ordre : Sentinelle, qu’en est-il de la nuit? (tiré d’Ésaïe 21, 11)

(106) L’épître de Jacques est composée avec telle paraphrasis approximative que cela n’est pas plus qu’un traité théologique de cette commission internationale des éditeurs. La simplification excessive de la syntaxe est déclassant au texte entier. La beauté du style et l’élégance du style particulier à l’Écriture Sainte sont détruits. La grammaire par endroits ne pourrait pas être reçue dans une interrogation de note élémentaire. Par exemple : “fait qu’est-ce ça dit” en Jacques 1, 22; “ne se fait pas” en Jacques 1, 23; “qu’est-ce qu’il a l’air” en Jacques 1, 24; “vous voulez quelque chose mais vous ne recevez pas” en Jacques 4, 2; “ne fait pas l’affaire” en Jacques 4, 7;(?) “maintenant écoutez, vous les riches” en Jacques 5, 1 – ces quelques-uns sont non seulement les cas de la piètre forme grammaticale néanmoins ils servent en tant qu’un échantillonnage de la médiocrité littéraire qui se trouvent dans les pages de la Nouvelle Version Internationale.

(107) Les mots de divers versets mémorisés qui sont connu de tous sont de fait les aphorismes doctrinaux ont été expurgés : tels que, « recevez avec humilité la parole greffée (entée, implantée [métaphore : d’une graine ayant une racine dans le cœur, Vine’s], qui est capable de sauver vos âmes » en Jacques 1, 21; « soyez les gens qui

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mettent en pratique la parole, et ne soyez pas les auditeurs seulement » en Jacques 1,22; « la loi parfaite de la liberté » en Jacques 1, 25; « la religion pure et sans tache » en Jacques 1, 27; « de même aussi la foi, si elle n’a pas les œuvres, elle est morte, étant seule » en Jacques 2, 17; « vous voyez donc comment par les œuvres l’homme est justifié, et non par la foi seulement » en Jacques 2, 24; « car comme le corps sans l’esprit est mort, ainsi la foi sans les œuvres est morte aussi » en Jacques 2, 26; « l’efficace fervente prière d’un homme droit profite beaucoup » en Jacques 5, 16. En les changements faits dans ces excellents fragments du texte ils n’ont pas seulement été privés de la doctrine qu’ils contiennent mais ont été également réduits à une infériorité linguistique inexcusable.

(108) Les traducteurs sont allergiques aux œuvres, alors ils introduisent “les

actions” dans son endroit, mais les œuvres comme employées en Jacques 2, 26 signifie l’obédience aux commandements de Dieu, et “les actions” peuvent vouloir dire n’importe quoi que quelqu’un peut faire – par conséquent Jacques a déclaré qu’un homme n’est pas justifié par la foi seule en revanche par la soumission à l’évangile.

(109) Le passage de prière de Jacques 5, 16 est aussi bousillé. Jacques dit

l’efficace fervente prière d’un homme vertueux profite énormément. Les nouveaux éditeurs ont exprimé “la prière d’un homme juste est puissante et qui a de l’effet” ‒ pourtant efficace (effectual) est un mot plus complet que “qui a de l’effet” (effective) comme n’importe qui peut apprendre en consultant un bon dictionnaire. Une chose peut porter de l’effet en degré néanmoins pas efficace en mesure – et “puissante” n’est pas une traduction véridique de profite beaucoup ni s’accorde avec son usage en tant que l’influence de la prière sur la providence de Dieu. Cela est énigmatique d’imaginer la magnificence du langage des Saintes Écritures à la pauvreté de leur propre phraséologie. L’abandon absolu avec lequel ceci est fait dans l’épître de Jacques est la preuve irréfutable de l’indifférence pour la conservation de l’importance verbale de la Parole de Dieu, et si à l’avenir qu’une telle version et en réalité internationale et acceptée dans le monde entier pour remplacer la Bible cela entraînerait la destruction totale de l’Écriture Sainte originale à une génération malencontreuse jusqu’à sa remontée pourrait encore une fois être accomplie. Nous n’avons pas oublié ni nous ne doutons la déclaration que « la parole du Seigneur demeure à jamais » ‒ mais ça peut être perdu à une génération – et maintenant, la Bible est en jeu pour cette génération.

(110) 1 Pierre 1, 1-2 : Les premiers versets de l’introduction de l’apôtre sont

misent en désordre. Ajouté au commencement de la phrase liminaire aux étrangers dispersés partout dans (v.1) est la tournure mal placée “les élus de Dieu” qui n’est pas seulement déplacée mais pas dans le texte du tout – en revanche le mot élus qui est au verset 2 est altéré à “qui ont été choisi de Dieu”; et par la sanctification de l’Esprit (v.2) est modifié à “l’œuvre sanctifiante de l’Esprit”; et l’aspersion du sang de Jésus-Christ (v.2) est changée à “l’aspersion par son sang” – les changements qui entraînent les détails techniques de certaines doctrines des confessions, mais de toute façon est trop de changement dans les lignes en désordre pour quelqu’un qui a si peu que ce soit de respect pour les mots originaux des apôtres inspirés.

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(111) En 1 Pierre 2, 2 le lait sans mélange de la parole est une locution familière aux lecteurs et les prédicateurs de la parole – pourtant de la parole est omise et “désire le lait spirituel” est inséré sans la mention de qu’est-ce que c’est le lait spirituel – cela est la parole de Dieu, et de la parole définie les propriétés du lait. L’expression “le lait spirituel” pourrait être interprétée de différentes façons comme autres sources “spirituelles” que la parole de Dieu comme certains cultes d’empirismes spirituels sont même en train de faire actuellement, malheureusement y compris un minimal élément charismatique à l’intérieur de notre fraternité. L’apôtre Pierre défini le lait d’être la parole de Dieu – le lait pur de la parole – et si pur ou sans mélange devrait être traduit spirituel, comme aussi dans la Version Standard Américaine, cela lirait quand même le lait spirituel de la parole, ce qui ne serait pas inadmissible, mais d’omettre de la parole est inacceptable. De le faire ainsi laisse l’admonition de l’apôtre inachevée et vicie le passage. Cette phrase de la parole n’est pas en italiques dans la Version Autorisée du roi Jacques (King James) qui est la preuve que cela est dans les multiples manuscrits qui l’ont produite, et son omission est sans éclaircissement acceptable. Le plus que je lis dans les versions les plus récentes, plus que j’ai du respect pour la Version Autorisée du roi Jacques.

(112) En 1 Pierre 3, 18-21 cette version suit la façon de penser de la deuxième

chance des Mormons, et les Témoins de Jéhovah, et le concept Catholique du purgatoire – que dans les régions du séjour des morts le Christ a prêché aux “esprits” antédiluviens “en prison” ‒ avec l’inférence davantage que le chapitre 4, le verset 6, « car c’est pour cela que l’évangile a été prêché à ceux aussi qui sont morts » est une allusion aux « esprits en prison » de 1 Pierre 3, 19 – quand même, ils ne furent pas mort lorsque la prédication a été faite. Le prédicateur fut Noé, et c’était l’Esprit en lui (Genèse 6, 3) [pour plus amples renseignements sur l’habitation de l’Esprit, voici mon lien direct : www.egliseduChristquebec.com/pdf/mission_et_le_medium_du_st_esprit.pdf] prêchant aux antédiluviens condamnés à mort et pour cette raison au sens figuré « les esprits en prison, » mais dans la période de Noé de la condamnation avec sursis il y a eu une ordonnance à surseoir de la condamnation, à la fin de laquelle la période de probation le déluge est venu et la délivrance de huit âmes de la famille de Noé de la destruction de l’ancien monde dans le nouveau monde de la restauration par l’inondation du déluge fut la figure, le type, de notre salut du péché par le baptême ‒ « même le baptême nous sauve aussi maintenant. » (1 Pierre 3, 21) Cependant cette nouvelle version a changé le pronom nous de la première personne plurielle au pronom vous de la seconde personne plurielle, “le baptême qui maintenant vous sauve.” L’apôtre Pierre n’a pas dit “vous,” il a exprimé nous, lequel incluait lui-même avec tous ceux auxquels il fut en train d’écrire – ils furent tous sauvés par le baptême. Cette partie du texte a été rendue complexe par les credo et les commentaires toutefois comme écrit par Pierre ça ne peut pas être compris de travers sans l’aide. (Pour plus amples commentaires sur 1 Pierre 3, 18-21, voir Un Compte Rendu Des !ouvelles Versions la page 463 [en anglais] A Review Of The !ew Versions).

(113) Un autre fragment du texte d’une suprême importance qui est à maintes fois

cité est 1 Pierre 4, 11 : Si quelqu’un parle, que ce soit comme les oracles de Dieu. Le mot oracles est un terme spécial, étant classé plus haut qu’un mot ordinaire – pourtant les réviseurs de la Nouvelle Internationale l’ont éliminé et l’ont remplacé avec “les mots

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mêmes,” une expression de leur propre préférence. Le terme oracle est employé dix-sept fois dans l’Ancien Testament et quatre fois dans le Nouveau Testament. L’Encyclopédie Internationale des Étudiants de la Bible (Internationale Students Bible Encyclopedia) dépeint la signification d’être une articulation d’oracle – une élocution divine prononcée à l’homme dérivée du mot spécial Hébreux debir, pas du mot d’habitude dabar. Et dans le Nouveau Testament il est le mot Grec logion, pas le mot d’habitude logos. Dans les études des mots, M. Marvin R. Vincent (un traducteur sur la Commission Américaine Standard et l’auteur des Études des Mots dans le Nouveau Testament) fait des remarques que le mot oracle fut un mot tout spécial pour l’accent sur l’articulation divine de la part de Dieu lui-même. M. Adam Clarke fait des observations que dans l’Ancien Testament le mot a signifié l’emplacement le lieu dans le Saint des Saints (Le Lieu Très-Saint dans le Tabernacle et du Temple) où Dieu a donné les réponses d’oracle au Grand Prêtre – de là, l’oracle dans l’usage de l’Ancien Testament a fait référence à cette structure sacrée à l’intérieur du Lieu Très-Saint. Ce fut également le lieu de l’Arche d’Alliance. En 1 Rois 6, 5-31 le décor de l’oracle est décrit dans les délinéations de la gloire divine presque au-delà de l’imagination. Son cadre fut entre les chérubins; les closions et les installations furent recouvert de l’or pur avec les ornements de splendeur – le lieu sacré qui fut désigné l’oracle. Ceci est pourquoi David en Psaumes 28, 2 avec toute révérence a annoncé : « Exaucez la voix de mes supplications, quand je crie à vous, quand j’élève mes mains vers votre saint oracle » ‒ David a prié et a chanté avec les mains élevées vers l’oracle.

Cette vénération pour les oracles est communiquée de l’Ancien Testament au

Nouveau Testament dans les quatre citations. Dan son tribut à Moïse, Étienne a énoncé en Actes 7, 38, « C’est lui qui fut dans l’assemblée (l’église) au désert, avec l’ange qui lui parlait sur le mont de Sinaï, et avec nos pères, qui reçut des oracles vivants pour nous les donner. » En informant les Juifs sur l’avantage d’avoir eu la révélation originale de Dieu, en Romains 3, 2, Paul a dit : « Grande en toute manière, principalement parce que les oracles de Dieu leur ont été confiés. » Réprimandant l’inaptitude pour percevoir l’illustration de Melchisédec en qualité de typique de la prêtrise du Christ, en Hébreux 5, 12, l’apôtre a expliqué : « Car lorsque vous devriez être des maîtres, vous avez encore besoin qu’on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu » ‒ c’est-à-dire, les instruisant de nouveau dans les oracles de l’Ancien Testament, les écrits de Moïse dans la loi lesquels furent les premiers principes, les rudiments élémentaires, qui les ont apporté l’évangile, à cause dont ils furent comme les petits enfants sur le lait de la loi Mosaïque, quand-t-ils auraient dû devenir prêt pour la nourriture solide qui appartient à la doctrine du Christ – l’évangile. Donc Pierre, vu que quelques-uns furent enclin par la possession des dons spirituels d’aller au-delà de leur autorité en enseignant, en 1 Pierre 4, 11 il a ordonné : « Si quelqu’un parle, qu’il parle comme les oracles de Dieu. » Le commandement se propage à chaque homme sur la terre – si quelqu’un parle – d’enseigner seulement qu’est-ce que les oracles de Dieu authentiquent.

Le terme mot est utilisé à maintes reprises dans toute l’Écriture Sainte, et si

l’apôtre Pierre avait été inspiré de dire mots ici il l’aurait fait – mais il a dit oracles, un mot spécial pour un accent précis sur la révélation divine autorisée, et seulement les lubies d’un comité de réviseurs modernes pourraient les imprégner avec égotisme pour le

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supprimer. Une bande inconséquente qu’ils sont, en effet, qui rendent différent les oracles à “les mots mêmes” quand eux-mêmes ils ont changé les mots du début à la fin de leur traduction qui est à faux.

(114) 2 Pierre 1, 1-5 : Les premiers versets de la seconde épître de Pierre

innovent les énormes erreurs dans le fond du texte. Le verset 1 : À ceux qui ont obtenu avec nous du même genre de foi précieuse est inexcusablement modifiée à “ont reçu une foi aussi précieuse que la nôtre.” Cependant obtenu et reçu ne sont pas synonyme – un est actif et l’autre passif, une distinction vitale entre un agent actif et une personne passive qui reçoive. Ensuite – la foi précieuse semblable avec nous (les apôtres) est altérée à “une foi aussi précieuse que la nôtre” ‒ deux sortes de foi, une aussi précieuse qu’avec nous (les apôtres) est changée à “une foi aussi précieuse que la nôtre” ‒ deux genres de foi, une aussi précieuse que l’autre! Quelle verbosité maladroite! La foi obtenue fut la seule foi précieuse avec nous – les apôtres – pas une foi aussi précieuse que la nôtre. Une telle absurdité de rédacteur doit sûrement être évidente à « même ceux qui par l’habitude, ont leurs sens exercés à discerner le bien et le mal » (Hébreux 5, 14) – tous ceux qui sont capable de voir la différence entre la vérité et l’erreur.

(115) 2 Pierre 1, 5 : La première nommée des sept grâces qui vient de la foi, des

versets 5 à 7, est ajoutez à votre foi la vertu (v. 5) – ici la vertu est changée à “la bonté.” Néanmoins la vertu ici est d’aretẽ, qui veut dire la fermeté de l’esprit, la force (Young) – cela est appliquée au courage dans la lutte de la foi et la bravoure (ou la vaillance) dans sa défense (MacKnight). Ce mot fut employé pour dénoter le courage militaire et fut ainsi employé par Pierre à l’église disséminée de Jérusalem (à qui ses épîtres furent adressées – 1 Pierre 1, 1; 2 Pierre 3, 1) dans l’application à la force d’âme en processus de défendre la foi dans leur état de dispersion et de persécution. Le mot la vertu dans ce passage signifie la vaillance. Le mot la bonté est plus étroitement lié à la qualité d’être pieux de la piété, la cinquième grâce, qu’à la vertu, la première, d’après MacKnight : “En nous désirant de s’associer l’état d’être pieux à la patience, l’apôtre nous enseigne, que la piété, ou la foi solide que la sagesse et la bonté des divines dispenses, n’est que la base par laquelle la patience peut être efficacement soutenue.” Cela est à tort traduit dans cette nouvelle version – ça n’aurait pas du être changé.

(116) 2 Pierre 2, 14-22 : Ces versets sont une dénonciation apostolique de

l’apostasie des enfants maudits (ou enfants de malédiction) (v. 14) qui avaient abandonné le droit chemin (v. 15), qui se sont égarés (v. 15) … après qu’ils ont fui les souillures du monde par la connaissance du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ (v. 20), mais étant dans leur manière d’être ils s’y empêtrent de nouveau et sont vaincus (v. 20), leur condition apostate fut pire qu’avant qu’il ont eu la connaissance de la vérité, car il leur aurait mieux valu ne pas avoir connu la voie de la droiture (v. 21) qu’après l’avoir connu de se détourner du saint commandement qui leur avait été donné. (v. 21) L’omission des enfants de malédiction (ou enfants maudits) et ajoutant “la nichée (l’engeance, progéniture) maudite” avec la mention de “leur nature pécheresse,” aux versets 10 et 18 est la tentative apparente de classifier ces apostates en tant qu’une engeance ou progéniture totalement dépravée de l’humanité plutôt que les enfants de Dieu qui se sont « déchus de la grâce » et se sont devenus dégénérés. De tourner l’enseignement clair de

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ce texte sur la possibilité de l’apostasie le mot enfants est changé à progéniture (nichée). Cependant les enfants maudits (enfants de malédiction) ici en 2 Pierre 2, 14 est le même mot teknon pour les enfants comme les enfants obéissants en 1 Pierre 1, 14, et les enfants de Dieu en 1 Jean 3, 10 – et l’identique mot teknon est employé pour les enfants dans soixante versets du Nouveau Testament. Par contre la nichée (progéniture, couvée) est de nossia, est utilisé seulement une fois, en Luc 13, 34, « comme une poule rassemble sa couvée (nossia, nichée) sous ses ailes, » et parle des poules (poussins), et non pas des enfants! Alors en conséquence les traducteurs de cette version qui virent auraient pu aussi bien changer les enfants de malédiction en poussins maudits!

Ces deux locutions comme employées par l’apôtre Pierre – les enfants obéissants

en 1 Pierre 1, 14 et les enfants de malédiction en 2 Pierre 2, 14 – sont clairement en opposition de l’état d’assentiment de jouir des bonnes grâces de Dieu et l’apostasie aux yeux de Dieu. L’effort d’éluder une locution fut trop complexe et les nouveaux auteurs se sont enlisés dans la fange de leur propre rescription de radotage.

(117) 2 Pierre 3, 1-18 : Le chapitre trois tout entier de second Pierre est émaillé

d’insertions et d’omissions. La seule phrase originelle des versets 1-4 est décousue dans quatre phrases séparées éliminant modifiant les locutions et les propositions subordonnées. L’apôtre a affirmé que l’intention des deux la première et la seconde épître furent de réveiller la mémoire de l’enseignement antérieure prophétique et apostolique, mais la déclaration de l’apôtre de réveiller votre pure intelligence en forme de souvenir (v.1) est modifiée à “vous aiguiser à une réflexion saine”; et afin que vous soyez soucieux [minnẽskõ, étant attentif à; la voix moyenne en Grec, Vine’s] est changé à “Je veux que vous vous souvenez.” La particule que dans cette phrase (de l’apôtre) est une conjonction introduisant un membre de phrase énonçant le but (l’objet de l’épître), pourtant dans son omission le nominatif “Je” est inséré à la place de la conjonction que, et “Je veux que vous vous rappelez” change toute la structure de la phrase de l’apôtre. Pierre n’a pas dit “Je veux que vous vous rappelez” – il a dit qu’est-ce que le texte révèle, pas qu’est-ce que les touche-à-tout lui fait dire. Dans le même verset le commandement [reçu] de nous, les apôtres du Seigneur et Sauveur [Jésus-Christ] est modifié à “par vos apôtres” – mais “vos apôtres” et les apôtres de notre Seigneur [Jésus-Christ] ne peut pas par un gros effort de la grammaire soit équivalent ou fabriqué à vouloir dire l’identique chose.

(118) De 2 Pierre le chapitre 3, au verset 4 : où est la promesse de son avènement

(sa venue; présence) tout à fait procéder par l’ordre inverse dans le changement à “où est cet ‘avènement’ il a promis” avec les citations autour “avènement.” Cependant la question des railleurs fut où est la promesse – les apôtres avaient prêché la promesse de l’avènement du Seigneur et les sceptiques persifleurs parlèrent en dérision de la promesse. De nouveau, par tout ce méli-mélo des omissions et les insertions, qu’est-ce que c’est le motif pour toucher à tout?

(119) De 2 Pierre le chapitre 3, au verset 10 : La terre aussi, et les œuvres qui sont

en elle brûleront entièrement est altérées à “la terre et tout ce qui est là-dedans vont être dé(nu)dé [barren].” Le mot pour brûler entièrement (c’est-à-dire : consumer) dans ce verset 10 est katakaiõ et n’est qu’utilisé dans deux autres fragments du texte du Nouveau

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Testament. Matthieu 3, 12 « mais il brûlera la paille au feu qui ne s’éteint point »; et Apocalypse 8, 7 qui fait mention des arbres et l’herbe en étant « brûlés. » Toutefois le mot ‘nu’ (gumnos) est en usage seulement une seule fois dans le Nouveau Testament, en 1 Corinthiens 15, 37 à l’égard du « grain nu » ‒ lesquelles citations démontrent que le changement de brûler complètement à “nu ou dénudé” est inexacte. Si la terre en 2 Pierre 3, 10 va être consommée comme la paille brûlée au feu de Matthieu 3, 12 il n’y restera plus rien de “nu.” La nouvelle révision tien compte d’une remise à neuf d’une terre nue pour la théorie des événements du millénaire, et ont coutume de relier le verset 10 au verset 13 Or nous, selon sa promesse, attendons de nouveau cieux et une nouvelle terre, où demeure la vertu, qui est modifié au “chez-soi de la justice,” ainsi remplaçant une locution tout à fait variante. Les changements faits par les nouveaux réviseurs ici, et en divers autres versets, sont prémillénaristes par implication et ont une perspective du côté de cet interprétation avec une conclusion conséquente que l’expression les nouveau cieux et une nouvelle terre veut dire le millénium. Cependant la terre brûlée entièrement comme la paille brûlée au feu qui ne s’éteint point (complètement consumée), signifie annihilée : réduire à rien, non-existant – ainsi un millénium mondain nécessiterait une autre création matérielle, de laquelle ne serait pas la terre, cette terre, mais une autre planète terrestre, pour laquelle il n’y a pas une insinuation biblique de laquelle de tirer une conclusion, beaucoup moins une prémisse de laquelle de parvenir à une conclusion.

Dans la suite contextuelle, les nouveaux cieux et la nouvelle terre, du verset 13,

est révélateur de l’état éternel – le ciel lui-même. En qualité d’un excursus, vital à cet examen pour plus ample éclaircissement des nouveaux cieux et une nouvelle terre, un morceau de La Parole Prophétique de Dieu par l’auteur est ici introduit :

Ce n’est pas un nouveau tour. Cela se trouve dans l’Ancien Testament et ailleurs dans le Nouveau Testament. Tournez s’il vous plaît à Ésaïe 66, 22-23 la tournure est appliquée au peuple de Dieu Israël après leur retour de la Babylone. Après avoir été libérés de la captivité, ramenés à leur propre pays, dans leur « nouveau ciel et nouvelle terre, » ils viendraient une fois de plus « 23 que d’une nouvelle lune à l’autre, et d’un sabbat à l’autre » ils viendraient « 23 devant moi pour m’adorer, dit le Seigneur. » (Ésaïe 66, 23) Alors en Apocalypse 21, 1, la délivrance de l’Église persécutée de ces persécuteurs est décrite comme leur « nouveau ciel et nouvelle terre. » Si la délivrance de la captivité dans l’ancienne dispensation pourrait être appelé un nouveau ciel et une nouvelle terre à Israël, certainement la victoire sur les persécuteurs de l’Église dans la nouvelle dispensation pourrait être avec à-propos fait allusion dans une figure analogue, et cela est la force de l’expression en Apocalypse 21, 1. En revanche quand cette vieille terre va être détruite par le feu, selon 2 Pierre 3, 13, il va y avoir « un (des) nouveau(x) ciel (cieux) et une nouvelle terre » pour toute l’éternité. Voilà le contraste est entre cette sphère mondaine transitoire et ce monde éternel appelé le ciel. Par contre le nouveau ciel et la nouvelle terre, que ce soit dans l’Ancien Testament ou dans le Nouveau Testament, n’a jamais fait référence à la période d’un millénium sur la terre. (La Parole Prophétique de Dieu, les pages 297-8 [livre en anglais]).

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Les cas de divergence du textus recptus – le texte reçu – sont tellement inculqués dans cette version qui dévie que « car le temps me manquerait pour parler » (la locution tirée de la partie du texte d’Hébreux 11, 32) d’eux tous – une dernière citation des épîtres de Pierre est jouxtant du dernier verset :

(120) 2 Pierre 3, 17 : Vous donc, bien-aimés, sachant ces choses à l’avance,

soyez sur vos gardes, de peur que vous soyez aussi entrainés par l’erreur des impies (des sans loi), [et que] vous ne veniez à déchoir de votre propre fermeté. Il n’y a pas une syllabe dans ce verset qui pourrait être critiqué correctement, mais sous le maléfice de la rédaction les éditeurs ont altéré vous ne veniez à déchoir de votre fermeté à “de tomber de votre position en sûreté” – ainsi leur rédaction est ridicule, car tomber d’une position sûre est une contradiction dans les termes. Cela est un effort de fournir la prétention Calviniste de “la sécurité des croyants” ou la persévérance finale des saints. La théologie du Calvinisme est la doctrine que tous ceux qui sont élus ne peuvent point “perdre la grâce” néanmoins vont être préservés inconditionnellement au salut. En tant qu’une doctrine c’est intitulée de différentes façons “la ténacité des saints” ‒ “l’impossibilité de l’apostasie” ‒ “la sécurité des croyants.”

Il y a avait une arme de guerre en usage par les anciens aborigènes connue sous le

non d’un boomerang, un engin également utilisé dans la chasse, que lorsque lancé ça courbe et vrille jusqu’à ce que cela revient à son point de départ où ce fut jeté. Dans le changement du verset 17 de “tomber de votre position en sécurité” les réviseurs ont lancé un boomerang qui retombe pour démolir leur propre théologie. Dans quelque manière que ce soit, la traduction étant qu’elle est devrait être maintenue : « Tenez-vous sur vos gardes, de crainte que vous soyez également entraînés par l’erreur des impies, [et que] vous ne veniez à déchoir de votre propre fermeté » ‒ il n’y a nul verbiage des éditeurs de révision qui peuvent améliorer sur ce précepte impératif. Cela est en correspondance avec la mention de Pierre à Paul, au verset 15, « comme notre frère bien-aimé Paul aussi vous a écrit, selon la sagesse qui lui a été donnée, » (2 Pierre 3, 15) comme en 1 Corinthiens 15, 58. « 58 C’est pourquoi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, toujours abondant dans l’œuvre du Seigneur, d’autant que vous savez que votre labeur n’est pas vain dans le Seigneur » ‒ desquels ni l’un, ni aucun autre, devrait être bâclé par les mains maladroites par les changeurs de texte extasiés à écrire.

Le but de cette enquête préliminaire de la version internationale réputée n’est pas

une critique verset par verset ou chapitre par chapitre mais bien plutôt les spécimens saillants de travestissement partout dans le Nouveau Testament, et avec quelques-unes les citations des épîtres qui restent de Jean et Jude cette cause auront été servies.

(121) 1 Jean 2, 1-2 : 1 Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du

Père, Jésus-Christ le juste. 2 Et il est la propitiation pour nos péchés. Il y a deux mots ici qui ne devraient pas être supprimés par une version quelle que ce soit : Avocat et propitiation ‒ mais la version de la critique actuelle élimine l’un et l’autre mot, insérant “notre défense” pour avocat et “un sacrifice qui expie” pour propitiation, et toutes les deux insertions sont les traductions inexactes.

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1. L’Avocat : De remplacer avocat par “notre défense” représente Christ purement en qualité d’un avoué de la défense, alors que le terme avocat (intercesseur) a une connotation bien plus supérieure et bien plus profonde. Que cela (le mot avocat; et non pas le mot paraklẽtos) se rencontre seulement une fois dans le Nouveau Testament – ici en 1 Jean 2, 1 – est une indication de signification particulière. Le sens inhérent dans avocat ici n’est pas un avoué de la défense dans une cours de procès pour acquitter quelqu’un de la culpabilité, mais plutôt au temps présent progressif de nous purifier en 1 Jean 1, 7. Christ est un représentant toujours présent de notre cause devant le trône au ciel. Le texte dévoile que nous avons un avocat, une grâce limitée aux enfants de Dieu, à l’intérieure de sa famille. D’autres bénédictions générales dans le monde sont disponibles à tous de la même manière « car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il envoie (fait pleuvoir) sa pluie sur les justes et sur les injustes, » (Matthieu 5, 45) toutefois ce plaidoyer est à l’intérieur de la famille de Dieu, pour ses enfants – nous avons un avocat auprès du Père pour octroyer la faveur de la purification continuelle des péchés desquels nous sommes tous responsables par revanche pas invétérés – et notre cause est toujours dans ses mains pour la dispense de cette grâce. Le mot “défense” ne communique pas la profondeur de cette signification, et ne peut pas tenir la place du mot avocat – Christ est notre Avocat. L’une et l’autre la version Autorisée du roi Jacques et la version Américaine Révisée le traduit de cette façon, et même la version Standard Révisée (RSV) avec toutes ces intrusions textuelles déviantes, l’a retenu. Cependant la Nouvelle Internationale se classe elle-même dans la compagnie de pareilles parodies comme La Bonne Nouvelle pour l’Homme Moderne et La Bible Vivante Paraphrasée en supprimant le mot spécial Avocat de son seul endroit dans le Nouveau Testament.

2. La Propitiation : Ce mot, rare en usage, et singulier en sens, ne se trouve que

trois fois dans le Nouveau Testament : Romains 3, 25 – « lequel Dieu a destiné pour être une propitiation par la foi en son sang, afin de déclarer (pour montrer) sa droiture pour la rémission des péchés, commis auparavant, pendant la patience de Dieu; » et 1 Jean 2, 2 – « et il est la propitiation pour nos péchés; et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour les péchés du monde entier; » et 1 Jean 4, 10 – « en ceci est l’amour, non point que nous ayons aimé Dieu, mais parce que lui nous a aimez, et a envoyé son Fils pour être la propitiation pour nos péchés. » Le mot pour la propitiation en Jean est hilasmos et en Romain 3, 25 cela est hilasterion, une forme du même mot, et a destiné Christ comme lui-même comme la propitiation! Et le seul autre endroit où hilasterion se rencontre est en Hébreux 9, 5, où cela est traduit le propitiatoire : « Et au-dessus d’elle les chérubins de gloire, ombrageant le propitiatoire (le siège de miséricorde) » ‒ par conséquent la propitiation (hilasterion) en Romains 3, 25 est assimilée au propitiatoire (hilasterion) en Hébreux 9, 5, et ce sont les seuls versets dans le Nouveau Testament où le mot est employé.

Laissons-nous voir à l’Ancien Testament pour sa signification. Les descriptions

du propitiatoire sont en Exode 25, 10-22; 37, 1-9; 40, 1-3 : Ce fut posé sur l’Arche de l’Alliance dans le Lieu Très-Saint, recouvert de l’or, entre deux chérubins avec les ailes se répandant sur, et Dieu a dit : « Et là je te rencontrerai, et je m’entretiendrai avec toi, de dessus le propitiatoire, d’entre les deux chérubins qui sont sur l’Arche du témoignage, de toutes choses que je te commanderait pour les enfants d’Israël. » (Exode 25, 22) Les

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renvois du Nouveau Testament à la propitiation reposent sur le type de l’Ancien Testament qui est réalisé en Christ id est. Christ et notre propitiatoire, et là seule, en lui seul, que Dieu nous rejoindre. Là, le propitiatoire fut le lieu de retrouver Dieu. Ici, la propitiation est le propitiatoire (hilasterion) de Romains 3, 25 et Hébreux 9, 5 – l’endroit où nous rejoignons Dieu, et c’est en Christ – c’est ici que Dieu retrouve l’homme pécheur. Donc 1 Jean 2, 2, il est la propitiation pour nos péchés, atteint au-delà du sacrifice au propitiatoire. Voilà qu’est ce qui le rend un mot spécial. De l’éliminer est une acte effronté d’un comité égocentrique des traducteurs arbitraires, et Dieu ne va pas les considérer innocents.

(122) 1 Jean 2, 29 : « Si vous savez qu’il est droit, vous savez que tout le monde

qui pratique la droiture, et né de lui. » Cette déclaration doctrinale est altérée à “chacun qui fait ce qui est conforme à la morale a été né de lui,” une locution générale qui dénote rien en particulier. Le mot droiture ou vertu n’est pas un terme pour les généralités morales ou éthiques – cela est profondément doctrinal. Le changement à “chacun fait ce qui est conforme au devoir” pose la question, d’abord, qui a fait qu’est-ce qui est conforme à propos de quoi; et, deuxième, qu’est-ce c’est de faire qu’est-ce qui est conforme à la morale. Il n’y a rien précis dans proposition interpolée. Cependant pratiquer la vertu est l’action de soumission aux commandements de l’évangile (Actes 10, 34-35; Romains 1, 16-17) qui installe celui qui obéi dans l’état désigné né de Dieu. D’être né de Dieu est la même chose que d’être engendré de Dieu et les deux termes sont employés alternativement, en 1 Corinthiens 4, 15, « car en Christ Jésus je vous ai engendrés par l’évangile, » et 1 Pierre 1, 23, « Étant nés de nouveau [renaître, faire renaître; engendrer à nouveau, anagennaõ], non d’une semence corruptible, mais d’une incorruptible, par la parole de Dieu; » et né de Dieu en 1 Jean 2, 29 est l’identique mot gennaõ comme dans les versets cités – pour cette raison de pratiquer la vertu ou droiture, en tant que la condition d’être né de Dieu, est assimilé à par l’évangile en 1 Corinthiens 4, 15 et par la parole de Dieu en 1 Pierre 1, 23; et, de produire (apokueõ) en Jacques 1, 18, « de sa propre volonté, il nous a engendrés par la parole de vérité » En conséquence, pratiquer la droiture en 1 Jean 2, 29 est l’obéissance aux commandements de l’évangile laquelle est la condition essentielle pour être né de Dieu.

Un autre changement arbitraire à l’encontre de la vérité dans ce passage est dans

les temps des verbes. Le temps présent est né de lui a été changé à a été né de lui. Le verbe du temps présent dans « tout le monde qui pratique la vertu est né de lui, » associe à un autre verbe du temps présent « pratique la droiture » et place étant né au temps et dans l’acte d’obédience à la parole de vérité, comme en 1 Pierre 1, 23. Pourtant en changeant est né à “a été né” met dans l’état d’être né une expérience passée avant la pratique de la vertu, ou qu’est-ce qu’il met avec imprécision “fait qu’est-ce qui est conforme au devoir.” C’est ça que les réviseurs croient – qu’étant né a lieu avant le fait de pratiquer, et c’est pourquoi les temps de ces verbes ont été modifiés. En 1 Jean 5, 1 : « Quiconque croit que Jésus est le Christ, est né de Dieu » est rendu “ tout le monde qui croit que Jésus est le Christ est né de Dieu,” et ces réviseurs retiennent le temps présent est né avec croit dans ce verset, mais ils ont changé est né en 1 Jean 2, 29 à “a été né” – pourquoi? La réponse est : cela est leur théologie que quelqu’un est né de Dieu lorsqu’il

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croit, à l’instant précis de la foi, avant un acte quelconque d’obéissance, et les temps des mêmes verbes sont manipulés pour accommoder leur théologie.

(123) 1 Jean, au chapitre 3, le verset 7 Jean a exprimé : « celui qui pratique la

vertu est vertueux »; en Romains 1, 16-17 Paul a dit que l’évangile révèle la droiture de Dieu; et en Romains 10, 3 il a expliqué que les Juifs furent ignorant de la vertu de Dieu et ne se sont pas soumis à cela. Donc la droiture de Dieu dans ces versets n’est pas un attribut de Dieu, car les Juifs ne furent pas ignorant que Dieu lui-même est vertueux – pourtant ils furent ignorant de la droiture de Dieu; par conséquent, ce fut cette vertu que l’évangile révèle, à laquelle les Juifs ne se sont pas soumis. Ce fut le système de l’évangile de la justification, comment Dieu rend l’homme droit par son obédience à l’évangile – et cela est le plein sens de 1 Jean 2, 29 : Vous savez que tout le monde qui pratique la droiture est né de lui.

L’axiome mathématique que les choses égales à la même chose sont égales les

unes les autres peut être correctement appliqué ici : Toutes ces parties du texte étant égales à la même chose sont égales à l’une l’autre – et la conclusion est que de faire ou pratiquer la vertu est la soumission à l’évangile, par le moyen duquel nous sommes fait entrer dans l’état de la justification, dont est la droiture que Dieu transmettre à l’homme, dans laquelle toutes les qualités prônées par l’apôtre Jean existent.

(124) Le fragment du texte de 1 Jean 5, 1, quiconque croit que Jésus est le Christ

est né de Dieu est utilisé pour mettre en œuvre la théologie du salut, ou la justification, par la foi seule – qu’un individu est né de Dieu quand il croit. Cependant dans la même épître, le chapitre 4, le verset 7, l’apôtre a dit tout le monde qui aime est né de Dieu – qu’est-ce qui vient le premier, la foi ou l’amour? Si l’amour vient le premier, alors une personne est née de Dieu avant qu’il croit – mais ici une fois de plus les réviseurs ont changé est né en 1 Jean 4, 7 à “a été né.” Où cela est croit les réviseurs retiennent le temps présent est né, par contre où cela est pratique, ou n’importe quoi à être faite, l’identique verbe est modifié du temps présent est né au temps passé “a été né.” Un tel pastiche est la mauvaise foi. Son improbité approche la criminalité en “maniant la parole de Dieu par duplicité.”

(125) 1 Jean 5, 16-17 : « 16 Si quelqu’un voit son frère pécher d’un péché qui ne

mène pas à la mort, il demandera [à Dieu] et il lui donnera la vie [à savoir] à ceux qui ne pèchent pas à [la] mort. Il y a un péché [qui mène] à [la] mort; je ne dis pas qu’il va prier pour cela. 17 Toute iniquité est péché ; et il y a un péché [qui ne mène] pas à [la] mort. » Cette nouvelle version met Dieu à la place du pronom il, et « mène à la mort » ou « ne mène point à la mort » ‒ ni le nom de Dieu, ni les locutions sont employés dans le texte.

D’abord, cela devrait être remarqué que le pronom il est dans ce passage trois

fois : « il demandera; et il lui accordera la vie; je ne dis pas qu’il prie pour cela. » C’est le pareil il dans tous les trois endroits, et son antécédent est le demandeur qui prie pour le frère qui pèche – et « il lui accordera la vie » indique que par les moyens de sa prière et la pénitence de celui qui pèche non à la mort, celui pour qui il a prié devrait recevoir la vie,

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la vie spirituelle, le pardon. Cependant de prier pour le pardon de l’obstiné, l’homme qui pèche habituellement ne vient pas à l’intérieur des prérogatives et les fonctions spirituelles de celui qui prie. Cette partie du texte est manifestement relié aux dotations (des dons) particulières des hommes doués des dons reçus spirituellement dans les églises apostoliques dans le renvoi comparable à Jacques 5, 14.

En second lieu, le contraste est dans les deux mots – la vie et la mort, toutes les

deux spirituelles. Ce contraste se propage aux deux classifications : un péché qui ne mène point à la mort et un péché qui mène à la mort – ce n’est pas une référence à un acte de péché, qui mène à ou qui ne mène pas à la mort, mais la classe : ne péchant pas à la mort – nous sommes tous responsables de pécher, toutefois ce n’est pas le cours de la vie et par la prière ne détruit pas la vie spirituelle, péchant à la mort est persistant, un péché décidé, une vie de péché, la condition du péché laquelle est la destruction totale de la vie spirituelle, et en conséquence la mort, la mort spirituelle. Le dicton de l’apôtre, Je ne dis pas qu’il va prier pour cela n’indique que de prier pour le pardon d’une personne dans un tel état de péché résolu ne fut pas à l’intérieure des offices et fonction des dotations spéciales de l’individu qui a prié – « Je ne dis pas qu’il (le demandeur doué des dons spirituellement) va prier pour cela. »

Avec cette analyse nous closons avec les commentaires que le profuse processus

de réécrire et l’action de rédiger à nouveau tel que “Je parle de ceux dont le péché n’amène pas à la mort” ou “un péché qui mène à la mort” n’est pas uniquement la traduction fautive, cela incline vers le concept Catholique des péchés vénaux et mortels – le faux dogme du Catholicisme Romain.

(126) Jude 3 : Bien-aimés, quand je faisais toute diligence pour vous écrire du

salut commun, il m’a été nécessaire de vous écrire, de vous exhorter à combattre sérieusement pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Il n’y a pas une syllabe pour être ajoutée ni un mot pour être supprimé dans ce passage spécial et précieux. Toutefois refusant de n’y pas toucher, et de permettre Jude de formuler son message du salut, cette commission insouciante à modifié Bien-aimés à “Chers amis”; et le salut commun à “concernant le salut nous partageons”; et transmise à “confiée” – quoique, pas un seul mot de ce fragment du texte est (devrait être) exposé à l’omission et l’altération. Le changement “concernant le salut nous partageons” est trop indéfini pour le salut commun, et “confiée” ne s’accorde pas avec transmise – le mot transmise a dans cela l’autorité apostolique de révéler et de lier, attendu que “confiée” ne laisse supposer que la loyauté des personnes qui reçoivent. C’est une traduction inexacte. Jude 3 est le merveilleux message que la foi existe dans un corps organisé de la vérité; qu’étant transmise par les apôtres, cela est un corps de vérité revêtu d’autorité; et une fois transmise veut dire que c’est un corps complet de la vérité, ne tolérant ni les amendements présents ni à l’avenir.

(127) Apocalypse 1, 1-3 : Dans cette version vagabonde le livre de l’Apocalypse

débute incorrectement, continue d’être incorrect et termine incorrectement, les délinéations et les descriptions de son apocalypse et si reformulée, son symbolisme tellement remanié, et ses images si gauchies, qu’apparemment ces faiseurs de textes

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furent les voyants (prophètes) recevant la vision de Pathmos au lieu de Jean. Au début il l’a envoyée et l’a signifiée par son ange à son serviteur Jean, est altérée à “qui témoigne de tout ce qu’il a vu” – et les sujets et les prédicats du premier et second verset sont si décousus que la syntaxe de sa forme textuelle est tellement obscurcie quant à entraver sa signification. Les phrases simples de Jean sont remaniées dans un réarrangement maladroit. Jean a dit que l’ange fut envoyé pour signifier les choses qui doivent arriver bientôt – mais le mot signifié a été changé à “témoigné” lequel a entièrement un autre sens. De signifier veut dire de faire connaître ou exposer en signes – comment Dieu par l’ange montrait à Jean « ces choses qui y sont écrites. » Le mot “témoigné” ne traduit pas signifié et les changements des premiers trois versets détruisent l’Introduction à l’apocalypse que Dieu a donnée à Jean.

(128) Apocalypse 20, 4 : « Et je vis des trônes, et ceux qui étaient assis dessus, et

[le] jugement leur fut donné, » Ceci est changé à “J’ai vu les trônes sur lesquels furent assis ceux qui ont été donnés l’autorité de juger.” Tout lecteur avec une intelligence normale et d’un intérêt désinvolte pour comparer la partie du texte ne peut que voir que la lecture de la nouvelle version n’est pas le texte d’Apocalypse 20, 4. La scène revient au chapitre 6, les versets 9-10 où la vision de la persécution et le martyr ont commencé : « 9 Je vis sous l’autel les âmes de ceux qui avaient été tués pour la parole de Dieu et pour le témoignage qu’ils avaient maintenu. 10 Et elles criaient d’une voix forte, disant : Jusqu’à quand, Ô Seigneur, saint et vrai, ne jugez-vous pas, et ne vengez-vous [pas] notre sang sur ceux qui demeurent sur la terre? » Le verset 11 déclare que Dieu vengerait mais qu’ils devraient reposer (attendre) pour l’accomplissement des choses dans la vision. L’autel du chapitre 6, les versets 9-10 fut la scène du martyr, les trônes d’Apocalypse 20, 4 le symbole de victoire sur les persécuteurs. Au chapitre 6, le verset 10 Jean a entendu les âmes des morts exigeant le jugement contre leurs persécuteurs. En 20, 4 Jean a vu ces âmes (les mêmes âmes) – « les âmes qui avaient été décapitées » ‒ recevant ce jugement contre leurs persécuteurs pour lesquels ils avaient crié en Apocalypse 6, 9-10. Dans la vision, prenant les âmes de dessous l’autel et les élevant aux trônes a symbolisé la victoire pour leur cause – « et il leur fut donné le jugement » fait référence au jugement pour lequel ils avaient plaidé sous l’autel – Jean les a entendu demander pour cela en Apocalypse 6, 10, il les a vue le recevoir en Apocalypse 20, 4. Ils avaient attendu comme Jean a décrété, en victoire ils furent vengés.

Jean le Prophète (Voyant), n’a pas annoncé qu’ils “avaient été donné l’autorité

pour juger” – cela est le millénarisme consumé. C’est la déformation perfide et ça justifie la déclaration de l’Apocalypse 22, 18-19 : « Car j’atteste à chacun qui entend les paroles de la prophétie de ce livre, si quelqu’un y ajoute à ces choses, Dieu lui ajoutera les plaies qui sont écrites dans ce livre : 19 et si qui que ce soit retranchera des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part du livre de vie, et de la sainte cité, et des choses écrites dans ce livre. »

Un commentaire est une chose par revanche altérant le texte est une autre, le

premier est acceptable, le deuxième est répréhensible. Les auteurs des divers tâches du comité abandonnent les formes scripturales et la nomenclature et substituent arbitrairement leur propre arrangement des phrases et le réarrangement, la construction et

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la construction à répétition, ensemble avec les multiples additions, omissions et interpolations, se soldant par la destruction du texte biblique, la pureté de laquelle demande la traduction mot-à-mot – les mots transportés. Si jamais une cause existait pour exécuter le jugement des fléaux et l’exclusion du livre de vie les versets 18-19 du chapitre 22 de l’Apocalypse, ceci est sûrement un cas où tel serait appliqué immanquablement. Et pour les professeurs dans l’Église du Christ, ou les collèges associés avec cela, d’être reliés avec la production et la promotion d’une pareille œuvre de travestissement et ça donne trop de frissons pour discuter. La clémence de la miséricorde se propage aux hommes qui pèchent, par revanche l’ire de Dieu descend sans la grâce sur les hommes qui altèrent Sa Parole.

III LA PÉRORAISON

L’appel de clairon du Nouveau Testament est pour la fidélité à la parole de Dieu

associée aux avertissements à l’opposition de sa corruption par les hommes malveillants – « De peur que Satan n’ait pas le dessus sur nous : car nous n’ignorons pas ses machinations » (2 Corinthiens 2, 11) dans l’utilisation des hommes qui sont en train de « se comporter avec ruse » (2 Corinthiens 4, 2) ‒ maniant la parole de Dieu en altérant. [falsifiant, par supercherie] » (2 Corinthiens 4, 2) Quel moyen plus efficace Satan pourrait employer pour son avantage que la manière d’agir trompeuse de la Parole, car « 2 un grand nombre suivront leurs manières d’être (ou d’agir) pernicieuses, à cause d’elles la voie de la vérité sera blasphémée (injuriée); 3 Et par cupidité avec les paroles truquées (fabriquées, déguisées, feintes, trompeuses) ils trafiqueront de vous. » (2 Pierre 2, 2-3) Il n’y point de description plus juste de la prolifération compétitive des versions dans les techniques marchandes des Saintes Écritures par chaque méthode de commercialisation par le moyen de toutes les facilités publiques.

Le diable n’est pas une illusion et ses stratagèmes ne sont pas des illusions. Tous les deux existent. Depuis le jardin d’Éden il a contredit la parole de Dieu et cela a été sa tactique depuis lors, comme cela est en ce moment effectué par le véhicule de ses agents qui ont « changé la vérité de Dieu en mensonge. » (Romains 1, 25) Le diable adapte ses activités aux conditions. À Pergame, le centre du commerce, Satan a fondé un centre; « Je connais tes œuvres, et où tu demeures, même où Satan a son trône (siège) » ‒ cela fut sa sphère de l’influence par l’entremise de la richesse et la vilenie. Cependant à Smyrne, la cité des synagogues, un centre de la religion, Satan a établi sa synagogue : « Je connais tes œuvres et ta tribulation et ta pauvreté, (pourtant tu es riche,) et je connais les blasphèmes (les calomnies) de ceux qui disent qu’ils sont Juifs, et ne sont point, mais sont la synagogue de Satan » (Apocalypse 2, 9) – sa sphère de l’influence en fonctionnant par l’intermédiaire de la religion pour opposer la religion. Dans ses faux-semblants religieux Satan a ses doctrines : « Or l’Esprit dit expressément que dans les derniers temps, quelques-uns se détourneront de la foi, s’attachant à des esprits séducteurs, et à des doctrines de démons » (1 Timothée 4, 1) – et il a des ministres pour la promotion de ses doctrines : 14 Et rien d’étonnant; car Satan lui-même se transforme (moy. se déguise) en un ange de lumière. 15 Donc ce n’est pas grande chose si ses ministres se transforment (moy. se déguisent) aussi en ministres de droiture » (2 Corinthiens 11, 14-15) – il est à l’origine et instaure et manœuvre les doctrines (plurielles) en partant du principe

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commercial de l’offre et la demande. Ces ministres de Satan sont les ecclésiastiques qui inventent les fausses doctrines et par ce moyen font obstacle à la vérité de l’évangile : « Car la colère de Dieu est révélée du ciel contre toute l’impiété et l’injustice des hommes, qui retiennent la vérité captive dans l’injustice. » (Romains 1, 18) Le mot retiennent est katecho, qui veut dire de retenir, de restreindre, de gêner, et cela est descriptif des ministres de Satan qui retiennent et restreignent la vérité sous le prétexte de la vertu alors que de fait rendre un service à Satan par la propagation des fausses doctrines.

Ces choses en ce qui concerne les tactiques de Satan ne sont pas illusoires – les créations (créativité) de l’imagination – elles sont authentiques, et ont évoqué les avertissements de Paul à son protégé : « En toutes choses te montrant un modèle de bonnes œuvres : en doctrine montrant l’incorruptibilité (exempte de toute altération), en gravité, et en sincérité. » (Tite 2, 7) Conscient du stratagème sinistre de Satan, et le besoin d’un uniforme armé de pied en cap pour refouler ses assauts, dans le ton du commandement militaire aux Éphésiens, l’apôtre a assuré : « 10 Finalement, mes frères, soyez forts dans le Seigneur, et dans la puissance de sa force. 11 Revêtez-vous de toute l’armure de Dieu, afin que vous puissiez tenir ferme contre les artifices (les fourvoiements) du diable. » (Éphésiens 6, 10-11)

Après un examen approfondi des erreurs et des maux de cette Nouvelle version Internationale, et de ses prédécesseurs dans la pseudo-traduction, après mure réflexion me mène à la conclusion inéluctable qu’ils sont toutes les inventions diaboliques du diable pour détruire la Bible en qualité de la parole infaillible de Dieu. La comparaison de la Nouvelle Version Internationale avec le Nouveau Testament produit la preuve que cela est une farce œcuménique méprisable qui n’a d’aucune valeur. Premièrement, comme une traduction, ça ignore le texte Grec, et est pour cette raison pas une version. Deuxièmement, en tant qu’un classique cela manque totalement en qualité littéraire et se lit comme un roman de deuxième ordre, un roman de second choix, médiocrement écrit. Troisièmement, en doctrine c’est un mélange confus du Calvinisme, Néo-Pentecôtisme, et prémillénarisme. Quatrièmement, fidèle à son titre, c’est un produit œcuménique d’un groupement international des doctrines des religions – ce n’est pas « Le Nouveau Testament de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. »

Tout de même – insouciant des erreurs et les maux de ce livre-version, qui ont été exposés, un homme en haute position parmi nous a récemment soutenu dans une lettre à un investigateur que cette Nouvelle Version Internationale intitulée à son avis peut bien devenir la seule version reconnue pour remplacer la Bible laquelle dans le passé a été universellement reconnue dans tout le monde Anglophone. Après la lecture attentive de ses pages à partir de Matthieu jusqu’à l’Apocalypse notre seule façon verbale de forger des mots est : Dieu m’en garde!

On dit davantage en certains lieux haut placés que l’adoption de ses nouvelles versions multiples est une affaire de jugement qui tient compte de désaccord. Cependant la déformation de la parole de Dieu n’est pas une question de jugement – cela comporte l’intégrité, l’authenticité, et l’authenticité de la vérité de l’Écriture Sainte inspirée. Derechef, à Dieu ne plaise que nous devrions capituler devant les mercaticiens du Néo-

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Modernisme qui ont fabriqué la traduction RSV plut tôt, et la Nouvelle Bible Anglaise, et aux vendeurs des croyances des religions radicales, qui ont composé la Version Anglaise d’Aujourd’hui plus récente, la Bible Vivante Paraphrasée, et la Nouvelle Version Internationale, et tout de cet acabit – du tohu-bohu des pseudo-versions. Pourquoi les professeurs dans les collèges, les prédicateurs de l’évangile, les anciens des églises, et les membres des Églises du Christ, devraient abandonner la Bible pour ses versions très variées est la plus grande énigme de cette génération. Quand aux collèges, ils sont devenus des centres de l’influence puissante à l’intérieure de la fraternité, et les sources de domination, et ils possèdent la potentialité de nous enlever la Bible et l’Église, comme nous les avons eues et nous les avons connues. Et dans cette crise qui est la plus grande qui affronte les Églises du Christ dans cette génération – la réception favorable des pseudo-versions, par leur adoption dans les collèges le dernier bastion universitaire pour la défense de la Bible a été violée.

En dernier lieu – qu’est-ce que quelqu’un fait en privé est sa propre affaire personnelle, mais qu’est-ce que est fait dans les chaires et dans les classes d’une église du Christ est la responsabilité des anciens, et qui est-ce qui se fait dans les classes d’un C o l l è g e C h r é t i e n e s t l a r e s p o n s a b i l i t é d e s e s a d m i n i s t r a t e u r s – e t Dieu ne va pas nous estimer innocents.

Cela a été mon engagement au début de cette revue de la Nouvelle Version Internationale de prouver que cela a la pourriture au centre (pourrie jusqu’à l’os) et est contaminée partout, et de fournir des preuves à l’appui de l’assertion que c’est une version malfaisante – J’ai fait la promesse, et je l’ai fait ainsi. « À Dieu seul sage, soit [la] gloire à tout jamais. Amen. » (Romains 16, 27)

LES COMMENTAIRES FINALS

(1) Touchant « l’Unique engendré [(ou) le Seul Fils engendré] » (exemple : Jean 3,

16) C’est maintenant prétendu que le seul mot unique tout seul traduit le mot deux-syllabe monogenẽs (mono-genẽs). Si c’est le cas, tout d’abord, le cent-quarante-huit [traducteurs] ne l’ont pas su, car les quarante-sept traducteurs de la Version Autorisée de l’Angleterre et le cent un de la Version Révisée de l’Amérique l’ont traduit avec deux mots : l’unique engendré; et en seconde lieu, quel mot est nécessaire ou demanderait d’être traduit l’unique engendré, ou pourrait communiquer cette locution complète, si ou quand cela serait employé. Si rien, alors l’expression est sans signification et non-existante, dans quel cas monogenẽs laisserait supposer la conception sans engendrer. Le fait indéniable est : le mot monogenẽs – mono-genẽs – ne peut pas être entièrement traduit en anglais [ou en français] sans les deux mots : mono (unique) et genẽs (engendré), et cela représente simplement : l’unique engendré. Il n’y a que les libéraux modernes des versions plus récentes qui l’ont négligé de le faire. (Lisez le chapitre six sous le titre « Le Fils Unique Engendré » dans le livre Le Compte Rendu Des Nouvelles Versions).

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Dans le but de contrebalancer « le Fils unique engendré » on dit que tous les Chrétiens sont engendrés de Dieu. Néanmoins dans le même sens nous sommes tous les fils de Dieu – donc le pareil sophisme employé pour se débarrasser de « l’unique engendré » éliminerait aussi « le Fils unique. » Pour se débarrasser de l’un ils suppriment l’un et l’autre! Le mot monogenẽs (l’unique engendré) est en usage cinq fois à l’égard de Jésus et une fois par rapport à l’intervention miraculeuse dans la naissance d’Isaac – mais jamais, pas une fois, employé en ce qui concerne nous en tant engendrés spirituellement de Dieu. Ça devrait être patent à qui que ce soit ayant la compétence d’enseigner ou de prêcher que le renvoi à ceux qui sont engendrés spirituellement de Dieu est une métaphore – et l’effort de le mettre en balance avec Jean 3, 16 est un moyen détourné indigne de l’exégèse loyale.

Ces professeurs maintiennent qu’ils ne sont pas des modernistes, mais ils font usage de schibboleth des modernistes et jasent la ligne moderniste à la lettre. Les paroles du Professeur O.T. Allis, l’érudit conservateur de Princeton, dans sa mention de la version RSV, sont justes ici : La version a été préparée par les libéraux; cela est possédée par les libéraux et ils veilleront à ce qu’il n’y aura aucun changement qui va l’a rendre acceptable. Cela est attristant jusqu’à être tragique que nous ne pouvons pas se fier à nos propres professeurs pour exposer au grand jour le modernisme de ces versions.

(2) Cela est à présent suggéré que nous devrons “acquiescer” à un certain

professeur d’Hébreux et interrompre l’argumentation sur les nouvelles versions remplaçant “jeune femme” pour vierge dans ce passage prophétique, par déférence pour lui en tant “qu’un érudit d’Hébreux.” Pourquoi pas plutôt déféré au “cent quarante-huit” érudits Hébreux, Grecs et Anglais d’Angleterre et d’Amérique renommés du monde qui ont produit notre Bible Anglaise – qui à l’unanimité ont traduit le mot Hébreux almah en le mot Anglais vierge. Prenez en considération ceux qui assurent qu’almah veut dire vierge et ceux qui ne l’affirment pas. Les traducteurs de la Version Syriaque (la version la plus vieille existante) l’ont dit que c’était le cas; les traducteurs de l’Ancien Testament en Grec (la version du Christ et ses apôtres) l’ont dit que c’était le cas; les traducteurs de la Version Autorisée (du roi Jacques [KJV]) l’ont dit que c’était le cas; les traducteurs de la Révisée Américaine (la Standard Américaine de Nelson) l’ont dit que c’était le cas – excluant le nombre des traducteurs Syriaques, 72 de l’Ancien Testament en Grec, 47 de l’Autorisée de l’Angleterre, 101 de la Révisée d’Amérique, plus 1 (l’apôtre de Jésus-Christ, Matthieu 1, 18-23 – un total de 221, celui un apôtre inspirée de Jésus-Christ, qui l’a dit (almah) d’Ésaïe 7, 14 a bien dit que ça signifie vierge. Maintenant qui dit que cela n’est pas le cas? Cette poignée hétéroclite de théologiens néo-orthodoxe du “Nouveau Mouvement du Christianisme” qui ne croient pas l’Immaculée Conception de Jésus ni l’inspiration verbale des Saintes Écritures. L’incroyant Juif Harry M. Orlinsky, de l’Institut Théologique Juif de New York a été mis sur le Comité de l’Ancien Testament de la traduction RSV et a été assigné le rôle d’écrire l’Avant-propos à l’Ancien Testament, et cette commission lui a “acquiescé” et lui a ”déféré“ de retrancher la vierge de la prophétie d’Ésaïe 7, 14 – maintenant ils nous demandent de déférer aux professeurs qui obtiennent un diplôme universitaire en Hébreux et de classer une érudition parti pris sous la tutelle de l’infidèle Juif rabbin qui a refusé d’admettre l’unique engendré de l’Immaculée Conception par Dieu de la divinité de Jésus-Christ, et rejetant l’inspiration

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du Nouveau Testament. Excusez-moi, s’il vous plaît – Je vais rester avec Matthieu l’apôtre inspiré qui a révélé qu’Ésaïe a dit vierge, et que ce fut « dont le Seigneur avait parlé par le prophète, » (Matthieu 1, 22) sans égards à un professeur quelconque qui contredit cela.

(3) De combler le paroxysme de l’effort sans frein pour discréditer « la Version Autorisée du roi Jacques » un professeur affirme qu’Actes 2, 47 – « le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Église ceux qui devaient être sauvés » ‒ indique l’inclusion de seulement les élus et l’exclusion des non-élus et est pour cette raison Calviniste. Néanmoins le verset 47 est associé au verset 41 qui donne que les gens baptisés furent les ajoutés, et le verset 47 formule que les ajoutés furent les délivrés. Le Seigneur a ajouté tous et uniquement les baptisés, mais le Seigneur a ajouté tous et seulement les sauvés – donc, il n’y avait que les baptisés qui furent délivrés (on comprend ici l’immersion pour les adultes). Les versets d’Actes 2 sont en association avec Marc 16, 16 – « celui qui croit et est immergé sera sauvé. » Dans la grammaire sera [shall] est un (verbe) auxiliaire verbal la fonction de laquelle est d’exprimer l’avenir conditionnel, et devaient [should] est le passé de sera [shall], et est un (verbe) auxiliaire verbal la fonction de laquelle est d’exprimer la conditionnalité du point de vue affirmé. Si « ceux qui devaient être sauvés » en Actes 2, 47 est Calviniste ainsi est « sera sauvé » en Marc 16, 16 – et cela est une nouvelle définition pour le Calvinisme. Sauf qu’un professeur a de cette façon déclaré, une pareille chose tirée par les cheveux ne mériterait pas que nous prêterions une attention encore moins une réponse. Cependant cela pose une question : Est-il le type d’enseignement les jeunes prédicateurs sont en train de recevoir à l’heure qu’il est dans les collèges qui ont fait l’affirmation du meilleur classement pour la solidité? Il ne démontre que les professeurs et ne reculeraient devant rien pour discréditer notre Bible. Une autre question se pose : Les personnes qui accordent leur patronage, les lanceurs d’affaires, les membres d’un conseil d’administration, les administrateurs d’un collège, ou les donateurs à celui, devraient acquiescer à l’imposition d’un tel mensonge illusoire sur une fraternité qui par empressement leur faire confiance? Il est convenable de réitérer l’alerte de l’apôtre, « Réveille-toi,-toi qui dors » (Éphésiens 5, 14) – car c’est ceci qui est en train d’être enseigné aux jeunes prédicateurs et aux étudiants inscrits par les professeurs qui sont résolus à tourner en ridicule notre Bible. Les infidèles peuvent avoir une jubilation sur le ridicule à l’intérieur de nos rangs en ce moment, en à peu près leur propre langage, de la Bible que nous avons défendu contre leurs attaques durant toutes les générations que nous l’avons possédée.

(4) Il y a eu une exagération de l’insertion du mot « Pâques [Easter] » en Actes 12, 4 par les traducteurs du Roi Jacques par rapport à l’emprisonnement de Pierre et la détermination d’Hérode « voulant après [la fête de] Pâques l’amener devant le peuple. » Ce n’est pas contesté que le mot Easter fût mis pour la pâque des Juifs et que le mot Grec soit la pâque. Concernant ce remplacement il y a deux observations en ordre : (1) Pierre ne fut pas en train d’être relâché pour ou bien l’observance de la pâque ou bien une fête connue en tant qu’Easter, car les apôtres et les Chrétiens Juifs ne se conformaient à ni l’une ni l’autre, et si la pâque a été retenue cela n’aurait pas vouloir dire que Pierre l’aurait respecté – pourquoi alors inféré que la partie du texte enseigne l’observance d’Easter n’est nullement plus que cela enseignerait l’observance de Pâque? (2) La saison

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nommée Easter fut dérivée de l’équinoxe point vernal, et les deux la pâque et Easter venaient la première lune après l’équinoxe du printemps – l’identique saison. L’équinoxe est dérivé du Latin aequinoctium, ou aequus – égale; et nox – la nuit : le temps précis lorsque le soleil traverse l’équateur faisant jour et nuit en tout lieux la durée égale; l’équinoxe point vernal (printemps) survenant près de la fin du mois mars [pour être précis le 21 mars], et l’équinoxe d’automne près de la fin du mois septembre [le 22 septembre]. Dans son Texte Grec des Réviseurs (Revisers Greek Text), Whitney signale que les traducteurs avaient exclut Easter en plusieurs autres endroits où le mot se trouvait dans les documents, donc l’objet manifeste pour son fait d’arriver en Actes 12, 4 fut l’allusion à la saison d’équinoxe point vernal qui fut également la saison de la pâque; et quoique la pâque est le mot dans le texte Grec l’usité d’Easter n’est pas une contre-vérité : car ce fut Easter – ce fut la saison de l’équinoxe du printemps comme ce fut aussi la pâque. Nous ne défendons pas la substitution du mot, mais cela est de faire un embarras sur un terme technique d’aucune signification doctrinale, et n’étant pas apte à répondre les citations spécifiant l’altération doctrinale et le travestissement des pseudo-versions, c’est un effort de présenter des arguments en faveur de l’apparence de quelque chose qui ne va pas avec la Version Autorisée du Roi Jacques. Ils éprouvent les plus grandes difficultés à faire, à vrai dire, qu’ils sont dans leurs tentatives de le trouver.

Cela est remarquablement net que bien qu’ils s’exagèrent le cas d’Easter en Actes 12, 4 les critiques sont aussi silencieux qu’une mort sur le remplacement par la Nouvelle Bible Anglaise du mot les fêtes de la Pentecôte (Whitsuntide) [Whit-Sunday] pour Pentecôte en 1 Corinthiens 16, 8. En vérité, ils ont deux poids, deux mesures!

(5) Dans cette humeur irrévérencieuse un professeur a vociféré que la version RSV est probablement de devenir acceptée d’une manière générale dans un proche avenir et que notre adhérence à la Bible Roi Jacques va se payer la tête de nous devant le monde. Passant sous silence de l’impiété de sa déclaration, il a cela en inverse – les faits sont tout à fait le contraire. Avec un million de dollars fourni par le Conseil National des Églises pour la mettre en vente, et avec un vacarme de publicité en la faisant de la réclame, la traduction RSV a eu un bon voyage de 26 pourcent de toutes les ventes des Bibles, mais dès la première édition ça a commencé à être en baisse – cela a chuté de 20, de 15, de 12, et les statiques actuelles sont moins que 10 pourcent, et encore sur son déclin. La fâcheuse tragique situation est que les jeunes prédicateurs dans les Départements de la Bible de nos collèges, qui dans le cours entier de l’étude apprennent seulement la version RSV, sont sur une branche d’une version qui est sur son déclin laquelle est en train d’être débitée à la scie entre eux et l’arbre. Alors même que la Version Standard Américaine (ASV) ne serait pas â être déclassée en comparaison avec la traduction RSV, cela est malgré tout en lutte pour la survie – mais « la sublime vieille version, » la Bible Autorisée du Roi Jacques, tient encore la préséance dans les ventes des Bibles partout dans le monde qui parle anglais.

Des abêtis? Du caractère classique du génie littéraire de la Bible Roi Jacques, Thomas Carlyle, a écrit : “Quand notre Shakespeare fut en train de faire ses bagages pour Stratford il y a paru une autre chose inappréciable – une traduction fidèle de la Bible, d’une importance inexprimable.” Auparavant et depuis, les noms littéraires de prose et la

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poésie de célébrité ont acclamé la traduction Autorisée du Roi Jacques en qualité du chef-d’œuvre de toute la littérature Anglaise – produite comme cela fut à l’époque de sa plus haute perfection en excellence d’expression, élégance du style, la beauté du langage, et ajouté à ces superbes attributs, l’exactitude de transcription. La langue vernaculaire vulgaire et la crudité commune des nouvelles versions singulières au lieu de reléguer « la sublime vieille version, » ont plutôt rehaussé ça par excellence en distinction littéraire.

Des sots? Cette publication professionnelle est pire que stupide, cela frise le sacrilège. Quoi qu’il en soit, si les apôtres du Christ pouvaient porter le stigmate des « fous [ou] insensés par égard pour Christ, » pour nous d’être collé une étiquette de fous pour la cause de la Bible n’est pas un déshonneur. “À l’intérieur de cet ample volume se trouve, le mystère des mystères; ils sont les plus heureux de la race humaine, à qui Dieu a donné la grâce; de lire, de craindre, d’espérer, de prier; de lever le loquet et de s’ouvrir le chemin; et mieux qu’ils n’ont jamais été nés, ceux qui lisent pour douter ou lisent pour dédaigner.”

(6) Une autre récente publication éditoriale captieuse d’un professeur sortant en texte imprimé est que l’Église a eu son existence avant « la Version du Roi Jacques » a existé et par conséquent ne se repose pas sur cela. Cependant l’Église fut établie avant les Quatre Évangiles et les Épîtres Apostoliques du Nouveau Testament – tous furent écrits après l’Église a déjà existé, donc d’après ce sophisme du professeur l’Église ne se repose pas sur le Nouveau Testament. Voilà on débarrasse notre argument séculaire de la toute-suffisance de la Bible – mais cette cause fondamentale à présent est rendu purement traditionnelle. Un tel exposé viole et rendre perplexe et est un palabre irresponsable. L’Église a existé avant n’importe quelle version Grecque, Latine ou Anglaise de l’Écriture Sainte – néanmoins cela est un fait authentique que la Version Autorisée (du Roi Jacques) a apporté l’Église à ce continent Anglo-américaine et l’Église n’a pas existé avant cela sur ce continent – et ça dépend sur qu’est-ce que c’est. Cela est déclaré d’un air un peu narquois “qu’après tout, la vieille Version du Roi Jacques n’est pas inspirée, c’est tout simplement une traduction” ‒ par contre qu’est-ce que cela traduit est inspiré – et quant à être “juste une traduction,” ainsi fut l’Ancien Testament en Grec. Ce fut une traduction de l’Ancien Testament de l’Hébreux, mais cela fut la version du Christ et les Apôtres, et quand ce fut cité dans le Nouveau Testament, accompagnant la citation fut la locution « comme dit le Saint-Esprit. » (Exemple : Hébreux 3, 7) Un certain nombre de nos professeurs modernes auraient dû être là pour rappeler à Jésus et Paul que ce fut juste une traduction!

(7) Les professeurs sont en train en ce moment essayant de mettre sur le même pied la Version Autorisée et l’ASV avec les versions RSV et la Nouvelle Internationale, et d’autres. En faisant ainsi l’altération des nouvelles versions est ingénument ignorée – la diffusion de l’énorme erreur doctrinale partout dans les textes des nouvelles versions. Un pareil projet d’appréciatif ne tient aucun compte du fait indubitable qu’il n’y a nul point doctrinal impliqué dans les critiques invectivées de la Version Autorisée (du Roi Jacques) – pas une seule erreur en doctrine ou pratique – cela est la traduction fidèle du Textus Receptus (le Texte Reçu) l’authenticité vérifiée par cinq cent manuscrits et deux mille copies. La Version Autorisée (du Roi Jacques) et la révision Américaine de cela (la

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Version Standard Américaine [ASM]) ne sont pas les versions altérées – en revanche la Standard Révisée (RSV), la Nouvelle Internationale, la Nouvelle Bible Anglaise (NEB), et cætera, sont les traductions altérées : ceci a été prouvé, et il n’y peut avoir aucune base pour l’égalisation tentée avec la Bible que nous avons eue et connue, et laquelle nous avons toujours et connaît.

Cependant maintenant ils parlent et écrivent avec condescendance de “l’influence de la Version du Roi Jacques” tout à fait un compromis traitant avec condescendance en effet : la sublime vieille version réduite à une influence! Les nuances des foules innombrables des vaillants défendeurs de l’infaillible parole de Dieu!

Dans le cas du dernier collège entre nous de succomber aux pseudo-versions, la politique de compromis pour l’emploi comparatif de ces nouvelles traductions a été l’approbation apparente. Un tel cours à première vue est une farce. Cela fourni l’occasion pour les professeurs de montrer une préférence pour et d’enseigner les nouvelles versions dans leurs classes – ça veut réellement dire les cours comparatifs dans les nouvelles versions dans lesquelles les professeurs ont l’avantage et les étudiants sont pris pour victimes en soumission à être enseigné les nouvelles versions, et dans les cas connus dans lesquels « la Version du Roi Jacques » est fait la cible pour la raillerie et le rejet. C’est une politique fallacieuse qui donne l’impression générale que le collège est orthodoxe sur la question des versions.

À cet égard cela est déclaré qu’il n’y a aucune version qui est fondamentale, que le Grec est le texte de base et toutes les versions sont comparées avec cela, qui se ramènent aux enseignants dans les écoles professant de savoir plus que le cent quarante-huit traducteurs Anglais et Américains qui ont donné le monde Anglophone une fidèle traduction de la Bible bien avant que ces pédantesques modernes de collèges ont su une syllabe de Grec ou d’Anglais, et tout qu’ils connaissent de l’un et l’autre est dérivé d’eux. Quant au texte Grec – quel texte Grec? Les nouvelles commissions ont attesté par écrit que leurs versions sont les résultats des textes Grecs modernes et diverses autres sources éclectiques – enfin, un symposium des sources, de l’aveu de tous, pas originaux, mais théologiques. Les parents envoient les étudiants à nos collèges pour étudier la Bible, pas pour être déconcertés et abasourdis par les professeurs pédants leurs donnant un discours sur l’infériorité de notre Bible au profit des nouvelles traductions théologiques, l’effet duquel est l’affaiblissement de la confiance dans la Bible, se soldant par une foi ébranlée de la jeunesse dans la Bible, de laquelle il y a nombreux exemples connus parmi les ex-étudiants de nos collèges. Cela est un triste commentaire, toutefois voilà à quoi on en est arrivé, que les parents qui envoient leur fils et filles à nos propres collèges à l’heure actuelle devraient connaître qui va être leur enseignant de la Bible et s’il va enseigner la Bible ou les nouvelles versions modernes.

(8) Un recteur du collège déplore la menace de la division sur les versions. Combien est-ce qu’il le regrette vivement? Suffisamment pour retirer la cause? Les innovations provoquent la division, telles que la musique mécanique instrumentale et les sociétés de missionnaires. Les nouvelles versions sont les innovations et elles vont diviser les églises. Alors c’est le devoir des anciens d’interdire leur usage dans les classes et dans

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la chaire. Qu’est-ce que les gens font en privé sont leur propre affaire, par contre qu’est-ce qui est enseigné dans les classes d’un collège Chrétien est la responsabilité de l’administration, et qu’est-ce qui est fait dans les classes et la chaire d’une église du Christ est la responsabilité des anciens : Et Dieu ne va pas nous considérer innocents. Dans son traité intitulé La Bataille Des Versions (The Battle Of The Versions), l’auteur R.C. Foster a osé d’écrire que celui qui accepte la traduction RSV introduit dans son système spirituel un virus envenimé. L’administration des collèges va-t-elle tolérer une pareille injection dans les étudiants inscrits? Les anciens de l’Église (pluralité d’anciens dans chaque assemblée) qui sont les pasteurs (bergers) du troupeau (Éphésiens 4, 11), vont-ils autorisés cette injection de poison dans le corps spirituel du Christ? « Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel l’Esprit Saint vous a établis évêques (episkomos, surveillants, gardiens; anciens) pour nourrir (poimainõ, faire paître [de la nourriture spirituelle]; prendre soin de) l’église de Dieu, qu’il a acquise par son propre sang, » (Actes 20, 28) a dit Paul aux anciens d’Éphèse; et à l’église de Jérusalem dispersée Pierre a dit : « 1 J’exhorte les anciens qui sont parmi vous, moi qui suis aussi un ancien … 2 Paissez le troupeau de Dieu qui est au milieu de vous, veillant sur lui. » (1 Pierre 5, 1-2)

Quant aux collèges : Maintenant que le dernier des collèges permettant ces pseudo-versions d’être enseignées dans les Départements de la Bible succombe à leur envahissement, le dernier bastion collégial pour la défense de la Bible a été percée.

Quant à moi : Que la plume tombe de ma main droite, mon bras droit tombe à mon côté, ma langue collée à la voûte de mon palais, et que la terre reçoit ma carrure mortelle plutôt que se laisser fléchir en un cas ou battre en retraite par un pas dans la dénonciation des fausses versions et dans la défense de la Bible en tant que la Parole de Dieu infaillible. Que le manteau du courage et de la vigilance tombent sur nous comme nous nous faisons l’écho de la mise en garde biblique : Sentinelle, qu’en est-il de la nuit? (Ésaïe 21, 11)

LA FI�

[Commentaire du traducteur : À l’Éternel soit toute la gloire dans le nom de Jésus-Christ son unique Fils engendré, pour l’œuvre présentée ici. Mille merci à M. Harold “Buster” Dobbs de la maison d’édition “La Firm Foundation” de qui j’ai octroyé la permission de diffuser ces livres traduits. Pour vos commentaires, vous pouvez me rejoindre aux c o u r r i e l s s u i v a n t s : e g l i s e d u C h r i s t q u e b e c @ g m a i l . c o m [email protected] [email protected] 1 l e m o i n e d e n i s l e p e t i t e s p i e g l e @ g m a i l . c o m 1 d e n i s t a r k o @ g m a i l . c o m 1 d e n i s t a r k o @ h o t m a i l . c a S i t e I n t e r n e t p o u r l e s t é l é c h a r g e m e n t s g r a t u i t s : www.egliseuduChristquebec.com

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Actes 17, 10-11. 10 Et immédiatement les frères envoyèrent Paul et Silas, de

nuit, à Bérée, qui y arrivant, entrèrent dans la synagogue des Juifs.

11 Ceux-ci étaient [de sentiments] plus nobles que ceux de Thessalonique, en ce qu’ils reçurent la parole avec une prompte pensée, et examinèrent les écritures quotidiennement, [pour voir] si ces choses étaient ainsi.

Que Dieu vous bénisse en étudiant sa parole.]

PREMIÈRE TRADUCTION FRANÇAISE LE 1 DÉCEMBRE 2011-12-01

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