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Annales PACES - UE7 SH et SP - Lundi 30 mai 2016 UE7 - QCM Extrait de : Gustave Le Bon, Recherches sur la fièvre intermittente. Le dessèchement et la mise en culture des terres marécageuses (Paris, 1862, p. 16) « Les maladies résultant de l’action des marais sur la santé de l’homme reconnaissent deux causes : l’une, l’humidité produite par l’évaporation d’une surface liquide considérable ; l’autre, les émanations putrides qui sont l’effet de décomposition des substances végétales et animales que renferment les marais. L’humidité favorise le développement des affections catarrhales et scorbutiques ; les émanations putrides paraissent engendrer les fièvres intermittentes, qui sont les principales affections qu’on rencontre dans les pays couverts d’eau stagnantes. (...) [Q]uoi qu’on pense faire dans la fièvre intermittente, comme dans toutes les affections épidémiques, le meilleur moyen est d’anéantir la cause qui la produit. La cause de la fièvre intermittente réside dans la présence des terrains couverts d’eau stagnante, nous allons actuellement nous occuper de leur dessèchement. » Les questions numérotées de 1 à 4 se rapportent au texte ci-dessus. 1) Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? Selon les conceptions hippocratiques de la maladie (IV e siècle av. J.-C.) : A. « L’action des marais sur la santé de l’homme » peut être cause de maladie. B. Une bonne hygiène de vie peut porter remède aux fièvres engendrées par des « émanations putrides ». C. Les épidémies peuvent avoir pour cause les éléments morbides véhiculés par l’air. D. Les bactéries qui se développent dans les eaux stagnantes causent des malades locales. E. Autre réponse. 2) Le dessèchement des marais évoqué par Gustave Le Bon dans son texte correspond, dans le schéma de la représentation fondamentale des sphères d’aide et de soins : 1. À un geste qui relève de la sphère publique. 2. À une inversion du schéma d’aide et de soins. 3. À une intervention qui a recours aux professionnels de la santé. 4. À une intervention sans pertinence sur la sphère privée. Quelle est la réponse exacte ? A : 1+3 B : 2+4 C : 1+2+3 D : 4 E : Autre réponse 3) Quelles sont les deux réponses exactes ? La spécificité de la lutte anti-larvaire par rapport à la prophylaxie médicamenteuse collective : A. Permet de faire l’économie de la participation des populations. B. Comporte des contraintes en termes de ressources économiques, humaines et organisationnelles. C. Implique une forme de sanitarisation des comportements individuels. D. S’adapte parfaitement à l’environnement socioculturel et aux traditions des populations. E. Autre réponse. 4) À propos de l’évolution des méthodes de lutte anti-vectorielle entre le début du XX e siècle et aujourd’hui, quelle est la proposition exacte ? A. La lutte anti-vectorielle est passée d’une approche centrée sur la gestion et la responsabilité collectives et le contrôle environnemental à une approche centrée sur la gestion et la responsabilité individuelles. B. La lutte anti-vectorielle est passée d’une approche centrée sur la gestion et la responsabilité individuelles à une approche centrée sur la gestion et la responsabilité collectives et le contrôle environnemental.

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Annales PACES - UE7 SH et SP - Lundi 30 mai 2016

UE7 - QCM

Extrait de : Gustave Le Bon, Recherches sur la fièvre intermittente. Le dessèchement et la mise en culture des terres marécageuses (Paris, 1862, p. 16)

« Les maladies résultant de l’action des marais sur la santé de l’homme reconnaissent deux causes : l’une, l’humidité produite par l’évaporation d’une surface liquide considérable ; l’autre, les émanations putrides qui sont l’effet de décomposition des substances végétales et animales que renferment les marais. L’humidité favorise le développement des affections catarrhales et scorbutiques ; les émanations putrides paraissent engendrer les fièvres intermittentes, qui sont les principales affections qu’on rencontre dans les pays couverts d’eau stagnantes. (...)

[Q]uoi qu’on pense faire dans la fièvre intermittente, comme dans toutes les affections épidémiques, le meilleur moyen est d’anéantir la cause qui la produit. La cause de la fièvre intermittente réside dans la présence des terrains couverts d’eau stagnante, nous allons actuellement nous occuper de leur dessèchement. »

Les questions numérotées de 1 à 4 se rapportent au texte ci-dessus.

1) Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ?

Selon les conceptions hippocratiques de la maladie (IVe siècle av. J.-C.) :

A. « L’action des marais sur la santé de l’homme » peut être cause de maladie.

B. Une bonne hygiène de vie peut porter remède aux fièvres engendrées par des « émanations putrides ».

C. Les épidémies peuvent avoir pour cause les éléments morbides véhiculés par l’air.

D. Les bactéries qui se développent dans les eaux stagnantes causent des malades locales.

E. Autre réponse.

2) Le dessèchement des marais évoqué par Gustave Le Bon dans son texte

correspond, dans le schéma de la représentation fondamentale des sphères d’aide et de soins :

1. À un geste qui relève de la sphère publique. 2. À une inversion du schéma d’aide et de soins. 3. À une intervention qui a recours aux professionnels de la santé. 4. À une intervention sans pertinence sur la sphère privée.

Quelle est la réponse exacte ?

A : 1+3 B : 2+4 C : 1+2+3 D : 4 E : Autre réponse

3) Quelles sont les deux réponses exactes ?

La spécificité de la lutte anti-larvaire par rapport à la prophylaxie médicamenteuse collective :

A. Permet de faire l’économie de la participation des populations. B. Comporte des contraintes en termes de ressources

économiques, humaines et organisationnelles. C. Implique une forme de sanitarisation des comportements

individuels. D. S’adapte parfaitement à l’environnement socioculturel et aux

traditions des populations. E. Autre réponse.

4) À propos de l’évolution des méthodes de lutte anti-vectorielle entre le

début du XXe siècle et aujourd’hui, quelle est la proposition exacte ?

A. La lutte anti-vectorielle est passée d’une approche centrée sur la gestion et la responsabilité collectives et le contrôle environnemental à une approche centrée sur la gestion et la responsabilité individuelles.

B. La lutte anti-vectorielle est passée d’une approche centrée sur la gestion et la responsabilité individuelles à une approche centrée sur la gestion et la responsabilité collectives et le contrôle environnemental.

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C. Toutes les méthodes de lutte anti-vectorielle sont autant collectives qu’individuelles.

D. L’ensemble des méthodes de lutte anti-vectorielle sont d’ordre individuel.

E. Autre réponse.

5) Par quelle tâche la mémoire à court terme est-elle classiquement

explorée ?

A. La tour de Hanoï. B. Le rappel différé de listes de mots. C. L’accès lexical. D. L’empan. E. Autre réponse.

6) Parmi les propositions suivantes, quelles sont les deux propositions

exactes ?

A. Vésale affirme qu’il faut disséquer des corps et accorder plus de crédit aux sens qu’à l’autorité des livres des Anciens.

B. Vésale conforte la toute puissante du magister qui, du haut de sa chaire, donne des ordres à l’ostensor et au prosector pour mener la dissection.

C. Vésale condamne l’utilisation de cadavres féminins pour des raisons de décence morale.

D. L’ouvrage La Fabrique du corps humain a été publié la même année que celui de Copernic, Des révolutions des sphères célestes.

E. Autre réponse.

7) Quelle est la proposition exacte ?

La notion d’ « ordre négocié » à l’hôpital veut dire :

A. Que les employés négocient leurs salaires avec la direction. B. Que les négociations entre soignants débouchent sur un

commun accord. C. Qu’il est nécessaire que direction et médecins maintiennent

l’ordre.

D. Que différents traitements sont négociés avec le malade. E. Autre réponse.

8) Quelles propositions figurent dans le code de la santé publique, le code

de déontologie médicale et/ou la loi Hôpital, Patient, Santé, Territoire ?

1. Le médecin doit écouter, examiner, conseiller ou soigner avec la même conscience toutes les personnes quels que soient leur origine, leurs mœurs et leur situation de famille, leur appartenance ou leur non-appartenance à une ethnie, une nation ou une religion déterminée.

2. L’établissement de santé, ou toute personne chargée d’une ou plusieurs des missions de service public définies à l’article L. 6112-1, doit garantir à tout patient accueilli dans le cadre de ces missions l’égal accès à des soins de qualité.

3. Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne.

4. Les praticiens et les établissements de santé en Europe sont obligés de prodiguer des soins gratuits aux personnes sans ressources.

Répondre :

A : 1+2+3 B : 1+3 C : 2+4 D : 1+2+3+5 E : Autre réponse

9) Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? Un enfant de 18 mois est capable de :

A. Désigner ce qu’il veut en pointant avec le doigt. B. Avoir une attention conjointe. C. Faire des phrases complètes. D. Dire « non ». E. Autre réponse.

10) Concernant la douleur, quelles sont les deux propositions exactes ?

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A. Les vécus de l’enfance et de la toute petite enfance n’ont aucune influence sur les modalités de la douleur et/ou de la souffrance chez l’adulte.

B. Certaines douleurs auto-infligées peuvent être interprétées comme contributives à un soulagement, voire un épanouissement personnel.

C. Le seuil de sensation de la douleur est très variable selon l’origine géographique du sujet.

D. L’emprise sur le corps (par la douleur infligée et arbitraire) du torturé a comme finalité l’emprise sur l’homme.

E. Autre réponse.

11) Quelle est l’assertion exacte concernant les souvenirs

autobiographiques ?

A. Ils sont une reproduction exacte des évènements vécus personnellement.

B. Ils contiennent à la fois des informations épisodiques et sémantiques.

C. Ils impliquent toujours un effort volontaire pour être récupérés. D. Les évènements généraux sont souvent plus détaillés que les

souvenirs spécifiques. E. Autre réponse.

12) Parmi les propositions suivantes, quels sont les trois repères principaux e

la nouvelle loi sur la fin de vie ?

A. Le droit de ne pas subir d’acharnement thérapeutique (obstination déraisonnable).

B. L’obligation juridique de poursuivre l’alimentation et l’hydratation dans toutes les situations.

C. Le droit que les volontés soient respectées, même si elles mettent la vie en danger.

D. Le droit à être soulagé dans toutes les circonstances, même si le traitement risque d’accélérer le décès.

E. Autre réponse.

13) Quelles sont les deux propositions exactes ?

A. Le secret médical peut être partagé entre : B. Le médecin traitant et le médecin du travail du patient. C. Le médecin traitant et le médecin radiologue du patient. D. Le médecin traitant et l’infirmière du patient. E. Le médecin traitant et le conjoint du patient. F. Autre réponse.

14) Parmi les commentaires suivants sur l’assistance médicale à la

procréation (AMP), quel(s) est(sont) celui(ceux) qui est(sont) exact(s) ?

A. L’AMP consiste en différentes techniques substitutives de l’acte sexuel qui permettent uniquement de pallier l’infécondité.

B. L’augmentation de l’âge des femmes pour leur première maternité est largement responsable de la baisse de la fécondité en France.

C. L’identité d’un donneur de gamètes peut être levée dans certains cas médicaux de transmission génétique de maladie héréditaire.

D. Le diagnostic pré-implantatoire permet de sélectionner les embryons à implanter dans le cas de parents ayant un risque de transmettre une maladie génétique grave.

E. Autre réponse.

15) À partir du film Croisade pour la santé (1951) et de l’analyse faite en TD, quelles sont les deux réponses inexactes ?

A. La santé est présentée comme un enjeu global qui doit être traité à l’échelle internationale.

B. Les problèmes sanitaires relèvent uniquement de la responsabilité des États.

C. Les enjeux sanitaires sont abordés à partir de métaphores guerrières.

D. Les politiques sanitaires promues par l’Organisation Mondiale de la Santé cherchent à faire basculer les pays dans le camp communiste.

16) En épidémiologie, le biais lié aux travailleurs en bonne santé (healthy

worker effect)

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Quelles sont les deux propositions exactes ?

A. Est un biais d’information rencontré en milieu professionnel. B. Est un biais de sélection rencontré en milieu professionnel. C. Correspond habituellement à la constatation d’une meilleure

santé chez les sujets exposés aux conditions de travail les plus favorables.

D. Correspond habituellement à la constatation d’une meilleure santé chez les sujets exposés aux conditions de travail les moins favorables.

E. Autre réponse.

17) L’exposition à un produit chimique C augmente de 200% le risque de survenue d’une maladie M. Dans une population P, 10% des sujets sont exposés à ce produit. La fraction de risque attribuable à ce produit chimique dans la population P. Quelle est la proposition exacte ?

A. Représente la proportion de sujets dont le décès est imputable à l’exposition à C parmi l’ensemble des sujets décédés de la maladie M.

B. Représente la proportion de sujets dont la maladie est due à l’exposition à C parmi l’ensemble des sujets atteints de M.

C. Représente la proportion de sujets de P dont la maladie est imputable à l’exposition à C.

D. Représente la proportion de sujets de P dont le décès est imputable à l’exposition à C.

E. Autre réponse.

18) L’exposition à un produit chimique C augmente de 200% le risque de survenue d’une maladie M. Dans une population P, 10% des sujets sont exposés à ce produit. La fraction de risque attribuable à ce produit chimique dans la population P : Quelle est la proposition exacte ?

A. Est inférieure à 2%. B. Est comprise entre 2% et 5%. C. Est comprise entre 6% et 10%. D. Est supérieure à 10%.

E. Autre réponse.

19) Dans les études épidémiologiques, parmi les critères suivants (critères de Hill), lesquels sont en faveur d’une relation causale ? Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ?

A. Force de l’association entre l’exposition et la maladie étudiées. B. Reproductibilité dans l’espace et dans le temps. C. Sensibilité de l’association entre l’exposition et la maladie

étudiées. D. Plausibilité statistique. E. Autre réponse.

20) En épidémiologie, un biais :

Quelles sont les deux propositions exactes ?

A. Est une erreur systématique. B. Est une erreur aléatoire. C. Peut-être dû aux non-réponses. D. Peut-être dû à des effectifs insuffisants. E. Autre réponse.

21) En épidémiologie, le taux d’incidence :

Quelle est la proposition exacte ?

A. Correspond au risque d’être atteint d’une maladie donnée dans une tranche d’âge donnée

B. Ne peut pas être inférieur au taux de mortalité calculé pour la même maladie.

C. Ne peut pas être supérieur au taux de mortalité calculé pour la même maladie.

D. Peut diminuer avec l’âge. E. Autre réponse.

22) Dans une étude exposé-non exposé, un facteur de confusion :

Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ?

A. Entraîne habituellement une surestimation du risque relatif. B. Entraîne habituellement une sous-estimation du risque relatif.

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C. Peut être pris en compte par des méthodes statistiques appropriées.

D. Peut voir son effet nettement réduit en augmentant le nombre de sujets de l’étude.

E. Autre réponse.

23) Le dépistage des cancers fait partie du concept : Quelle est la proposition exacte ?

A. De prévention primaire. B. De prévention secondaire. C. De promotion de la santé. D. D’éducation thérapeutique. E. Autre réponse.

24) L’éducation pour la santé :

Quelles sont les deux propositions exactes ?

A. Concerne exclusivement les patients atteints de maladie chronique.

B. Suppose le volontarisme des individus. C. Vise l’appropriation progressive par les individus des moyens

d’opérer des choix en matière de santé. D. Se base principalement sur des interdictions. E. Autre réponse.

25) Les systèmes de santé de type Bismarkien :

Quelle est la proposition exacte ?

A. Concernent tous les individus. B. Sont principalement financés par l’impôt. C. Sont gérés de manière centralisée par l’état. D. Peuvent être qualifiés de systèmes à assurance maladie

obligatoire. E. Autre réponse.

26) Les réformes des systèmes de santé de type Beveridgien visent à :

Quelles sont les deux propositions exactes ?

A. Accroitre la liberté de choix de l’usager.

B. Avoir une régulation moins centralisée. C. Compenser les risques entre caisses. D. Mettre en place des « médecins de premier recours » E. Autre réponse.

27) Les établissements de santé en France :

Quelles sont les deux propositions exactes ?

A. Sont majoritairement publics. B. Comportent uniquement des établissements privés à but

lucratif. C. Témoignent de la complémentarité entre établissements publics

et privés. D. Comportent des établissements de soins de suite et de

réadaptation appartenant principalement au secteur privé. E. Autre réponse.

28) La direction ministérielle chargée de la régulation du système de soins hospitalier s’appelle : Quelle est la proposition exacte ?

A. La direction générale de la santé. B. La direction générale de la sécurité sociale. C. La direction générale de l’offre de soins. D. La direction générale de la cohésion sociale. E. Autre réponse.

29) En 2014, le poste « médicamenté a représenté en France environ :

Quelle est la proposition exacte ?

A. 7% de la consommation médicale totale. B. 17% de la consommation médicale totale. C. 37% de la consommation médicale totale. D. 67% de la consommation médicale totale. E. Autre réponse.

30) Pour être pris en charge par l’Assurance maladie, un médicament doit

être : Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ?

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A. Inscrit sur la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux.

B. Évalué par la Commission d’évaluation économique et de santé publique (CEESP).

C. Avoir un Service Médical Rendu (SMR) qualifié de majeur, important, modéré.

D. Évalué par la Commission de transparence de la Haute Autorité de la Santé (HAS).

E. Autre réponse.

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