Les environs de Versailles46Mercredi 26 mars
[email protected] 01.30.97.72.51www.lesnouvelles.fr
FONTENAY-LE-FLEURY VIROFLAY
VLIZY-VILLACOUBLAY
FONTENAY-LE-F.
ExpositionLa Socit artistique de Fontenay-le-Fleury propose son
expositionde printemps du samedi 29 mars audimanche 6 avril la
chapelle Saint-Jean. Tous les jours de 14h30 18h30.
LA CELLE ST-CLOUD
BraderieLassociation SED (Soutien, en-traide, dvouement)
organise unebraderie samedi 5 et dimanche6 avril, de 10h 18h la
salleCaravelle, avenue Andr-Ren-Gui-bert. Nombreux stands :
brocante,livres, vtements, chaussures, ma-roquinerie, jouets,
bijoux, etc. Venteau profit denfants handicaps ethospitaliss.
SAINT-CYR LECOLE
Projection-rencontreLe cinma Les Yeux dElsa pro-pose un
cin-rencontre autour dudocumentaire Au bord du monde,vendredi 28
mars, 20h45, 11 bis,avenue Jean-Jaurs. La projectionsera suivie dun
change avec leralisateur, Claus Drexel.Tarif unique : 3,50
euros.Rens. au 01 30 14 82 96.
Lagenda
Le Secours populairecherche des bnvolesJE VOUDRAIS dusang neuf
!Samira Hamian,rfrente de lantenne deViroflay du Secours
popu-laire, est en qute denouveaux bnvoles poursoccuper de la
rceptionet du tri des vtements auvestiaire de lassociation
levendredi matin, accompa-gner les sorties proposesaux bnficiaires,
ou en-core soccuper de tchesadministratives. Tout dpend des
comp-tences de chacun, de ceque les gens souhaitentfaire. Mais il
faut tre ri-goureux dans les tchesadministratives. On soccupedes
gens ! Pour les collec-tes alimentaires, SamiraHamian aimerait
trouver destudiants : Jai besoin debras costauds, de personnesayant
le permis de conduire.Et si je peux avoir des per-sonnes qui
sachent prendredes initiatives, qui en veu-
lent La section locale cher-che notamment de laide pouranimer la
braderie du 5 avrilet les distributions alimentai-res des 28 et 29
mars. Les bnvoles peuvent venirde nimporte quelle ville. Seu-les
qualits exiges. Il fauttre discret et ne pas juger.Si la personne
est l, cest
quelle est dans le besoin.Nous sommes en contactavec un public
en grande dif-ficult, qui ncessite unecoute. Il faut avant tout
trehumain, martle Samira Ha-mian. Emilie Lay Rens. auprs de Samira
Hamianau 06 58 18 51 08 [email protected]
Le Secours populaire cherche des bnvoles, notamment pour sa
braderie du 5 avril (photo darchives).
Les collgiens crent leur entrepriseSAMEDI MATIN, les portes
ou-vertes du collge Descartesont permis aux familles de d-couvrir
les arcanes duneentreprise virtuelle montepar 25 lves de 3e, dans
le ca-dre de la Dcouverteprofessionnelle. Epauls par leurs
professeurs,coachs par des chefs den-treprise, dont
StphaneCanossini, directeur du cen-tre Leclerc de Bois-dArcy,
lesjeunes ont dcid de crer uneentreprise de presse. Celle-civa
diter un journal numrique
dont le premier numro sor-tira dans une quinzaine dejours et
sera disponible lalecture sur le site Internet ducollge. Nous avons
plusieursrubriques : sorties cinma,DVD, cuisine, vie du
collge,portraits dcals des profes-seurs, qui sont raliss parle
groupe o chacun tientune place, comme dans unevritable entreprise,
expli-que Lisa, PDG du journal, quiconnatra trois parutions dicile
mois de juin.
E. F.
Lisa ( dr.) prside aux destines du journal.
Les ateliers de la CourRoland font leur showALA COUR ROLAND, les
lvestendent vers la perfection,au travers des cours distillsdans
une trentaine dateliers,reprsentant un large paneldes mtiers dart.
Une slec-tion des plus belles ralisationsrcentes tait visible du 20
au25 mars au centre Maurice-Ravel. Une telle exposition navaitpas t
mise en place depuislongtemps car difficile or-ganiser. Tous nos
atelierssont reprsents au traversde plusieurs centaines dob-
jets : des siges aux enlumi-nures en passant par de laterre
cuite. Cest un trs belventail de savoir-faire quisoffre au public
avec enprime des dmonstrations,notamment avec la cramisteSabine
Besnard, souligne Do-minique Pradeilles, charge dela communication.
La CourRoland forme 1080 lves,grce une trentaine dinter-venants
diplms dontplusieurs sont Meilleurs ou-vriers de France.
Emmanuel Fvre
Dmonstration de tournage avec Sabine Besnard.
Un hpital des nounours pour rconcilier les enfants avec la
santPOUR LES PELUCHES malades,loccasion tait tropbonne. Lhpital
desnounours a pris ses quartiers,jeudi et vendredi, au centre
deloisirs maternels Le Village.Lopration tait organise
parlassociation Poemes (Parisouest tudiants en mdecinesolidarit),
situe la facultde mdecine de Saint-Quen-tin-en-Yvelines.
Lobjectiftant, pour les futurs profes-sionnels de sant, de
sefamiliariser avec les enfantset de leur proposer une ani-mation
autour de lducation la sant.
Ddramatiser lunivers mdicalDes tudiants en mdecinetransforms en
nounourso-logues et des tudiantesauxiliaires de puriculture
ontaccueilli les lves de grandesection de maternelle de laville et
leurs peluches. Les en-fants devaient leur trouverune maladie,
indique Sonia,tudiante en mdecine.
Vendredi aprs-midi, ctaitau tour des lves de lcoleJean-Mermoz
dinvestir lhpi-tal. Il y a beaucoup de pattescasses et de maux de
ventrechez les chiens, les singes oules nounours. Les enfants
lesemmnent de la consultationau bloc opratoire en passantpar la
radiologie. Les mde-
cins noncent avec srieux lediagnostic et prescrivent dustop
bobo. Trs attentifs, lesbambins vaccinent ou pansentles peluches
avec des gestestimides. Lhpital des nounoursddramatise lunivers
mdical.Mais il porte aussi une dimen-sion prventive. On y
apprendque les mdicaments ne sont
pas des bonbons. Des ate-liers ludiques surlalimentation, le
sommeilet les accidents domes-tiques sont proposs.Parfois, on a des
rpon-ses rigolotes : Avantde dormir, je prendslapro ou Je me
cou-che minuit. Nous lesamenons alors com-prendre pourquoi cenest
pas bien. Cest delducation, pas de la r-pression, insisteElisabeth
Haentjens, di-rectrice de lcoledauxiliaires de puricul-ture du
lyceHenri-Matisse Trappes.Les premiers secours en
sont la partie la plus amu-sante : transporter le nounoursbless
sur un brancard, gyro-phare lappui, mais surtout,apprendre les
numros dur-gence. Si un jour papa oumaman ne se sent pas bien,ils
sauront ce quil faut faire,conclut Laurence Lepillet,
leurenseignante. Emilie Lay
Etudiant en mdecine, Emilien ausculte le singe de Jad, qui a
mang trop de bananes.
