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Un Turc est accro au sang humain. Bien que cela ressemble à une histoire d'horreur, c'est la réalité d'un jeune Turc qui souffre de plusieurs troubles qui ont l'amnésie, dépression chronique, le trouble dissociatif de l'identité et bien sûr le vampirisme. Il est accro au sang humain: il émet une histoire d'horreur, c'est la réalité d'un jeune Turc qui souffre de plusieurs troubles qui ont l'amnésie, dépression chronique, le trouble dissociatif de l'identité et bien sûr le vampirisme. Selon le site, les médecins de l'hôpital militaire de Denizli en Turquie du sud-ouest, croient que le jeune homme a souffert de la maltraitance et de la négligence depuis l'enfance, ajoutent à cela le fait qu'il a été témoin d'un assassinat brutal. Un jeune homme a commencé à boire son propre sang, qui l’a obtenu en se coupant les bras, la poitrine et le ventre avec une lame de rasoir, jusqu'à ce que ce n'était pas suffisant et a dû chercher de nouvelles sources. Et comme s'il était né pour souffrir , il a perdu sa fille quand elle était bébé et son oncle a été assassiné, dit le journal de psychothérapie et psychosomatique. Ces événements ont poussé l'homme à atteindre la fin d’un coup de poignard et de morsure. En fait, le rapport de la revue a convaincu son père d'aller à des banques de sang pour en obtenir plus afin de satisfaire son vice qu'il décrit comme: "aussi urgent que la respiration."

Un turc est accro au sang humain

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Fait divers réalisé par Ester Medina

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Page 1: Un turc est accro au sang humain

Un Turc est accro au sang humain.Bien que cela ressemble à une histoire d'horreur, c'est la réalité d'un jeuneTurc qui souffre de plusieurs troubles qui ont l'amnésie, dépressionchronique, le trouble dissociatif de l'identité et bien sûr le vampirisme.

Il est accro au sang humain: il émet une histoire d'horreur, c'est la réalité d'un jeuneTurc qui souffre de plusieurs troubles qui ont l'amnésie, dépression chronique, letrouble dissociatif de l'identité et bien sûr le vampirisme.Selon le site, les médecins de l'hôpital militaire de Denizli en Turquie du sud-ouest,croient que le jeune homme a souffert de la maltraitance et de la négligence depuisl'enfance, ajoutent à cela le fait qu'il a été témoin d'un assassinat brutal. Un jeunehomme a commencé à boire son propre sang, qui l’a obtenu en se coupant les bras, lapoitrine et le ventre avec une lame de rasoir, jusqu'à ce que ce n'était pas suffisant eta dû chercher de nouvelles sources.

Et comme s'il était né pour souffrir , il a perdu sa fillequand elle était bébé et son oncle a étéassassiné, dit le journal de psychothérapie etpsychosomatique.Ces événements ont poussé l'homme à atteindre lafin d’un coup de poignard et de morsure. En fait, lerapport de la revue a convaincu son père d'aller à des

banques de sang pour en obtenir plus afin de satisfaire son vice qu'il décrit comme:"aussi urgent que la respiration."