Une Lecture Literaire Sur Le Texte Biblique Nous Offre l

7/23/2019 Une Lecture Literaire Sur Le Texte Biblique Nous Offre l

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Une lecture literaire sur le texte biblique nous offre l’impression que le Paradis est un

notion qui appartiens seulement aux début de la création. Mais, dans le climat religieux des

premières siècles chrétienne, en l’intérieur du judaïsme était forme une compréhension plus

riche de Paradis, aant l’expression en li!res apocalptiques" Enoh #$%, %&', probablement de

((e siècle a. )hr.* dans ces écritures, le Paradis est compris en représentant que l’état

primordial mais que celle eschatologique quand de!ient le lieu du droits.% )e le cas que de

+aint phrem le +rien.&

-ppelé le plus grand poète de l/ère patristique et un témoin pri!ilégié de la tradition

de l/glise Primiti!e de Perse0 phrem le +rien a composé les Hymnes sur le Paradis dans

son 1isibis indigène #pré de 0$0' a!ant ses années crépusculaires dans desse2 ces hmnes,

considérées comme étant par Matthieu peut34tre les hmnes les plus belles d/phrem5 sont du

genre appelé la madrasa, composé dans des mètres sllabique. )lairement, comme le nom

implique, un tel midrash sou!ent exécuté d/odes, ou commentaire, sur la +ainte criture, pour

l/édification du fidèle. Un commentaire original et imaginatif sur le compte d/6den dans le

li!re Genèse #les chapitres & et 0', les Hymnes sur le Paradis est un ccle liturgique de quin7e

hmnes, dépeignant le Paradis primordial d/-dam pour 4tre la future #et probablement du

présent, en ce qui concerne un ante Paradis' demeure du juste. 8ocumentant la cosmogonie,

l/anthropologie et la sotériologie d/phrem, ces hmnes pénètrent profondément dans l/éthos

du christianisme t9t de sriaque.

:ue le Paradis représenté dans les hmnes est !4tu dans la métaphore, car phrem

nous indique, soulè!e quelques questions quant ; la fa<on dont transcendant ces smboles

sont et ; la fa<on dont immanent ils peu!ent 4tre en m4me temps. n d/autres termes, si le

Paradis est décrit dans la métaphore, le Paradis lui3m4me pourrait3il 4tre une métaphore= >a

% ?oir Sebastian, Brock , Introduction, Saint Ephrem the Syrian, Hymns on Paradise,

)rest@ood 1e@ AorB, %CCD, p. 2C.& Pour designer cette réalité du EParadisF quels mots sont utilisé par +aint phrem= >e motciel semaya et ses déri!es est exceptionnel" li!res célestes (, % et beautes celestes G(, H, & enexcluant G, 2. >e mot le plus courant est pardaysa paradis, emploé %%& fois, contre %H pourden et ses composés.

0 F. Rilliet, Ephrem le Syrien, en ncclopédie de l/glise t9t, édité par -ngelo 8i Ierardino,Jxford, %CC&, p. &K$.

2 (l a pourtant un certain excédent de question si desse ou -ntioche était le centre de la culture occidentale de+riaque au quatrième siècle.

5 )f. Sebastian, Brock , en Introduction, Saint Ephrem the Syrian, Hymns on Paradise, p. 5D.



poésie d/phrem n/a pas été exposée, mais a été chantée. >es chLurs des !ierges ont entonné

ces hmnes dans les mélodies déj; familières au rassemblement.

8ans de telles circonstances, nous pourrions facilement décrire comment ces lrique,

dessinant sur le récit de Genèse, pourrait 4tre si efficace en exécutant l/exégèse au profit des

chrétiens étendus. )e milieu liturgique n/a pas diminué ou n/a pas amoindri la subtilité et la

profondeur allusi!e des interprétations d/phrem, mais une certaine compétence métaphorique

de la part de l/auditeur a été srement exigée pour sui!re une telle hmne dans tous ses détails

interprétatifs. Peut34tre certains des points plus fins d/exégèse d/phrem pourraient a!oir été

perdus sur l/auditeur, mais ses hmnes étaient justes populaire les m4mes, après a!oir gagné

une réputation dans tout le monde chrétien non assrien aussi bien, une acclamation

croissante qui a é!idemment commencé dans la propre !ie d/phrem. Iien plus efficace que

n/importe quel tome de la théologie, les hmnes ont eu un impact formateur en structurant la

conscience religieuse de ceux chantant et de ceux qui ont écouté. >a +ainte criture a été

exposés d/une manière la plus mémorable. )es hmnes sont riches et !i!es* elles doi!ent

a!oir inspiré la contemplation.

>es Hymnes sur le Paradis doi!ent a!oir capturé l/imagination du rassemblement

d/phrem, qu/il a ser!ie de diacre. >e thème du Paradis doit a!oir été d/intér4t particulier. >es

textes !isionnaires prétendent nous donner un aper<u de l/après le monde, de ciel et d/enfer, et

des états intermédiaires, le cas échéant, dans l/inter!alle. phrem nous indique que dans une

!ision, induite tout en lisant la +ainte criture, il a été soudainement transporté au Paradis.

Npiquement, en textes apocalptiques, un transport ou un ra!issement si mstique implique

di!inement journée O usuelle rendu possible par l/aide d/4tre céleste. Pas aussi dans le cas

d/phrem, qui excède ; peine la +ainte criture dans sa propre représentation du Paradis. )eci

semble 4tre le cas a!ec d/autres textes chrétiens de sriaque aussi bien, du fait aucune

apocalpse de +riaque n/appartient au tpe. -pocalpses identifiées a!ec un !oage

mer!eilleux #a!ec ou sans l/intér4t pour l/histoire'. >e motif mer!eilleux de !oage semble 4treétranger ; sriaque apocalptique.$ Pas par une !ision purement mstique, mais plut9t sur la

base de la +ainte criture augmenté par le permis poétique, les peintures mer!eilleuses

d/phrem de scènes sont pour des buts pastoraux. >es Hymnes sur le Paradis édifient dans leur

dramatisation et !i!ifier des détails ré!élés ou implicites par la +ainte criture. )ependant les

hmnes se concentrent en apparence sur la !ie après la mort #a!ant et après la ésurrection',

$ ?oir F. Martinez, The Apocalyptic Genre in Syriac, dans le (? +mposium +iriacum %CH2"

>iterar Qenres in +riac >iterature, d. R. 8rij!ers, Pontifical (nstitute of Jriental +tudies,ome, %CHK, p. 00C.



une grande partie du langage figuré idéalise la !ie et la communauté chrétienne ici sur terre. >es

!érités morales de ces hmnes ne sont pas simplement couchées dans le mensonge

métaphorique pour l/effet poétique. (l a!ait quelque chose de !rai au sujet du paradis

qu/phrem a d expliquer d/une manière surréaliste. >a représentation d/phrem du Paradis

pourrait3elle a!oir ser!i d/allégorie ; une eschatologie réalisée ici sur terre= 8ans la lecture

d’phrem, nous de!ons considérer que le christianisme de sriaque a exprimé ses !érités en

smbolique plut9t que philosophique forme.K >es hmnes d’phrem ne sont pas les expositions

sstématiques. n composant les hmnes, phrem a eu les chrétiens dans son esprit. :uand les

hmnes ont été chantées, les pensées ont tourné !ers le ciel. 8ans son propre glise, le Paradis

était le miroir sur le plafond intellectuel. (l s/est reflété en arrière. >e poète a été poétique

transporté au Paradis, de sorte que le paradis pourrait 4tre transporté au lecteur. )ette étude

arguera du fait qu/phrem a in!ersé des mondes des correspondances. 8ans un arc de descente,

le Paradis est une métaphore pour la communauté chrétienne idéale. Jn dit que les martres

!ictorieux, par exemple, résident parfois en ce monde"

De ces tentes descendent / es !ils de lumière, / "é#ouis

par ce monde m$me / %ui les persécuta& / Ils dansent sur

la mer / Et sans s'y en!oncer, / () Simon, pourtant pierre /

*'en!on+a pas non plus& / Heureu -ui a.ec eu / erra

ses bien0aimés& / Ici en leurs cénacles, / 10haut en leurs

tal2mes3 4

)a signifie, pour les auditeurs d/phrem, que les Smes des martres aimés descendent

; 1isibis local* et, aussi, ; desse. >/on a pourrait arguer du fait que les martres, comme

représentés ici, descendent ; une terre eschatologique, la transmission du doux léonin. Mais

phrem n/exclut pas l/armature de l/époque actuelle, et ainsi cet é!énement a une urgence

potentielle. (l est comme si les Smes des martres elles3m4mes, du roaume du temps sacré

aux ombres de cadran solaire de la +rie romaine et persane, ont eu un r9le charismatique ; jouer en ce monde aussi bien. +i lu dedans cette lumière, une telle strophe doit certainement

a!oir inspiré et consolidée le rassemblement naissant de palutien dans lequel phrem a

administré comme diacre. 8ans un arc de montée, le Paradis est le smbole d/une réalité ;

laquelle les fidèles aspirent et en quelle réalité de laquelle ils participent déj; mstiquement.

K )f. S. Brock , 5acob o! Seru6h on the .eil de 7oses, en Introduction, Saint Ephrem the

Syrian, Hymns on Paradise, p. 5&.

H Ephrem de Nisibis, Hymnes sur le Paradis, en +ource )hrétien, nr. %0K, traduction du sriaque par ené>a!enant, >es ditions du )erf, &C, Paris, %C$H, (.$, p. 0K.



(ci, le principe actif d/une expérience mstique est di!inisation au ni!eau du sacrement, et

bons tra!aux au ni!eau du praxis.

es hymnes sur le paradis comme litur6ie8

>a tradition de manuscrit des hmnes d/phrem a été commodément récapitulée par

Tronholm.C :ue es Hymnes sur le Paradis sont !éritablement d’phrem, de incontestable

authenticité. >es hmnes d/phrem étaient des ordres de culte public. )omme cité

précédemment, les hmnes ont été exécutées liturgique.

>es hmnes d/phrem, comme des rites liturgiques, elle pourrait correctement 4tre dite ce queune demande est faite sur des acteurs décrétant le rite pour préser!er une gestion tacite de

paradoxe et d/ambiguïté pour réaliser sa base théologique d/une fa<on croable.%D >es Hymnes

sur le Paradis ont3elles été censées pour induire une eschatologie réalisée= )/est une questionde rapport entre le contenu et l/intention.

es Hymnes sur le Paradis prétendent donner un aper<u de l/au3del; dans la !ie après la mort.>es hmnes de thèses, cependant, appartiennent plus correctement ; l/exégèse qu/au genre del/apocalpse. -ucune agence surnaturelle pour cette !ision n/a ser!i d/intermédiaire. Plut9t,phrem a été mstiquement transporté au Paradis pendant sa lecture de la +ainte criture. >anature, naturellement, a parlé partout ; phrem de 8ieu caché, le )hrist indiqué, et de l/sprit+aint* mais la +ainte criture l/a informé des sujets eschatologiques plus directement. >eParadis d/phrem est informé par ses !ues sur la nature humaine, et c/est o l/anthropologie

peut 4tre !ue pour structurer l/eschatologie. >/intention édifiante des hmnes est tout ; faitindépendamment de ces soucis. Plut9t, c/est la !ision ecclésiologique d/phrem que leshmnes sur le paradis ont été censées pour inspirer. >e principe fondamental de trichotomie ;l/anthropologie d/phrem a tenu compte pour que le msticisme de sriaque parle du progrès

le long des étapes somatiques, pschiques et pneumatiques.%%

>a doctrine du theosis peut 4tre!ue comme principe de contr9le ici. n effet, ce sotériologie très répandu dans les quatrièmesde siècle structures clairement, mais ne commande pas, les enseignements d/phrem sur letra!ail du )hrist. 8éification a été effectuée par le chrisme, le bapt4me et l/eucharistie. >e

poète a écrit intensi!ement sur l/efficacité de ces mstères. Mais le salut n/était aucune cautionde spiritualité.

C ?oir Kronholm, 7oti!s !rom Genesis 9099 in the Genuine Hymns o! Ephrem, p. %K3%C.

%D )f. K. Flanagan, Sociolo6y and itur6y8 "epresentation o! the Holy, Roundmills,ngland, Macmillan -cademic, %CC%, p. %0.

%% )f. Voobus, Histoire d'Ascétisme dans l'(rient Syrien (((, p. 0&C.

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