UNIVERSITÉ DE GENÈVE · Offre en formation:les nouveautés Les diverses filières de formation que propose l’Université sont réparties entre les sept facultés (Sciences, Médecine,

U N I V E R S I T É D E G E N È V E

Condensé du Rapport de gestion

1 9 9 9 2 0 0 0

condensé du rapport de gestion 1999-2000

2 année académique 1999-2000

table des matières

Enseignement et formation 4

Recherche 9

Valorisation de la recherche et partenariats économiques 10

Collaboration internationale 11

Collaboration Genève-Lausanne 12

Egalité entre hommes et femmes 13

Ressources 14

Infrastructure de l'enseignement et de la recherche 15

Activités au sevice des étudiants 17

Relations avec la Cité 19

Annexes 20

Rapport approuvé par le Conseil académique le 20 février 2001

Genève

université de genève 3

condensé du rapport de gestion 1999-2000

Le Rapport de gestion rend compte des activités de l’Université, de ses

facultés, écoles, centres et instituts, tant en ce qui concerne les prestations

de l’institution en matière d’enseignement et de recherche que son fonc-

tionnement et l’utilisation des ressources. Ces informations se trouvent

dans le rapport principal. Le condensé vise à en dégager les points essentiels.

Offre en formation: les nouveautés

Les diverses filières de formation que proposel’Université sont réparties entre les sept facultés(Sciences, Médecine, Lettres, Sciences écono-miques et sociales, Droit, Théologie, Psychologieet sciences de l’éducation), l’Institut d’architec-ture et l’Ecole de traduction et d’interprétation.

Cette année académique a vu la création d’unenouvelle structure commune aux Universités deGenève et de Lausanne: L’Ecole lémanique dessciences de la Terre (ELST). Elle permet, à l’ins-tar de l’Ecole romande de pharmacie, le déve-loppement de filières de formation conjointesaux deux institutions.

La plupart des nouvelles formations mises surpied au cours de l’année écoulée l’ont été enpartenariat avec d’autres universités roman-des, dont en particulier celle de Lausanne(sciences de la Terre, diplôme interfacultaireromand d’archéologie, diplômes d’étudesapprofondies en bio-informatique et en droitdes affaires).

Les innovations apportées à la formation debase (1er et 2e cycles) ont consisté, pour l’es-sentiel, à la révision des règlements et desplans d’études, de manière à les rendre euro-compatibles par l’introduction des normesECTS (European Credit Transfer System).

Les règlements d’études de la formation appro-fondie (formation postgraduée) ont été adaptésen conséquence de la standardisation des cer-tifications et diplômes postgrades, menée encoordination avec l’Université de Lausanne.

La formation continue a, pour sa part, bénéficiéd’un développement réjouissant. Le nombre desformations offertes est en effet passé de 74 pro-grammes en 1999 à 91 en 2000.


enseignement et formation

L’enseignement et la formation font partie des missions fondamentales confiées par lelégislateur à l’Université. Ces activités se répartissent entre la formation de base (1er et 2e cycles) et la formation approfondie (formation postgrade) allant jusqu’au doctorat. Elles comprennent aussi la formation continue, ouverte aux personnes en emploi. L’Univer-sité offre aujourd’hui 206 filières de formation, dont 129 postgraduées et 91 programmesde formation continue.

Pour la quatrième année consécutive, le finan-cement de sept écoles doctorales (Astronomie;Biologie fondamentale et médicale; Philosophieet son histoire; Linguistique; Mathématiques;Psychologie cognitive expérimentale; Renais-sance et Réforme) a été assuré.

Innovation et formation pédagogiques

Le soutien apporté à l’enseignement par lesnouvelles technologies de l’information et de lacommunication (NTCR) s’est poursuivi par lefinancement de cinq projets expérimentaux(licence à distance en théologie, cours d’intro-duction à la linguistique, cours d’archéologieclassique, cycle de formation continue en légis-tique, cours d’utilisation des ordinateurs ensciences sociales).

L’Université a répondu au premier appel à pro-positions pour le Campus virtuel suisse, pro-gramme fédéral d’encouragement en matière deNTCR. Elle a présenté plus de 40 esquisses deprojets, dont 6 ont été finalement retenus pourcette première sélection.

Effectué dans le cadre du «Réseau romand deconseil, formation et évaluation pour l’enseigne-ment universitaire», le programme de formationdes enseignants a introduit deux nouveautés.D’une part, la mise sur pied d’un cycle de forma-tion de base à la pédagogie universitaire, destinéaux nouveaux enseignants et, d’autre part, d’unesérie de séminaires thématiques permettant auxenseignants et assistants d’échanger et de parta-ger les expériences pédagogiques.

L ’ a n n é e a c a d é m i q u e a é t é m a r q u é e p a r l a c r é a t i o n d e n o u v e l l e s f o r m a t i o n s e n p a r t e n a r i a t

a v e c d ’ a u t r e s u n i v e r s i t é s e t u n d é v e l o p p e m e n tr é j o u i s s a n t d e l a f o r m a t i o n c o n t i n u e !

Qualité de l’enseignement

Outre la formation pédagogique, trois formesd’évaluation visent à assurer la qualité de l’ensei-gnement.

L’évaluation de l’enseignement se fait au moyend’une enquête effectuée par questionnaireauprès des étudiants. L’exercice écoulé constituela deuxième année de la phase de généralisationdu processus. Le taux des enseignements éva-lués, estimé à 20% pour 1989-99, a progressé

et se situe maintenant entre 30 à 55%. Aucours de l’année, 66 enseignements ont ainsiété évalués à l’aide du système informatiséEVAL, développé à l’Université.

L’évaluation des filières de formation, constitueune nouvelle forme d’examen, en voie d’êtreintroduite à l’Université. Les Facultés demédecine des universités suisses ont faitœuvre de pionnier en la matière. Dans le butd’obtenir une accréditation de la formationmédicale, elles ont en effet procédé à une vasteanalyse de leurs prestations. La formation doc-torale a, quant à elle, fait l’objet d’une enquêteexploratoire centrée sur l’évaluation des écolesdoctorales mises sur pied ces dernières annéesà titre expérimental.

L’évaluation des structures est comprise dansun programme d’appréciation des unités d’en-seignement et de recherche, dont le principe aété maintenu. Au cours de l’année, la Section depsychologie, la Section des sciences de l’éduca-tion et l’Unité des nouvelles technologies de for-mation et d’apprentissage (TECFA) ont été exa-minées. En outre, un projet concernant les deuxCentres interfacultaires d’écologie humaine etdes sciences de l’environnement ainsi que d’étu-des des problèmes de l’énergie a été entrepris.



Etudiants

L’effectif total des étudiants inscrits en formation de base et formation approfondie (y comprisl’Institut universitaire de hautes études internationales, l’Institut universitaire d’études du déve-loppement et l’Institut œcuménique de Bossey) a progressé de 1,9% par rapport au semestre d’hi-ver de l’année précédente. Cette croissance devrait, selon une prévision effectuée jusqu’en 2005,se poursuivre avec un taux moyen de l’ordre de 1%.

L e s F a c u l t é s d e m é d e c i n e d e s u n i v e r s i t é s s u i s s e so n t f a i t œ u v r e d e p i o n n i e r e n m a t i è r ed ’ é v a l u a t i o n d e s f i l i è r e s d e f o r m a t i o n " p r o c é d a n tp a r e x e m p l e à u n e v a s t e a n a l y s e d e l e u r sp r e s t a t i o n s d a n s l e b u t d ’ o b t e n i r u n ea c c r é d i t a t i o n d e l a f o r m a t i o n m é d i c a l e !

Au semestre d’hiver 1999-2000, l’Universitécomptait au total 12’863 étudiants, dont 818dans les trois instituts en relation avec l’Uni-versité. Le taux de féminisation reste le plushaut de Suisse (57,26%).

Dans l’ordre d’importance, les facultés les plusfréquentées sont celles des Sciences écono-miques et sociales, des Lettres et de Psycholo-gie et sciences de l’éducation (53% de l’effec-tif). Elles sont suivies des Sciences et de laMédecine (25%).

La part des étudiants dont les parents sontdomiciliés à Genève est de 45% et laisse appa-raître une légère diminution par rapport à l’an-née précédente (-3,5%). Elle est suivie, à partssensiblement égales, des étudiants dont lesparents sont établis dans un autre canton suis-se et à l’étranger. A cela s’ajoute la part despersonnes établies en France voisine (2,4%).



Genève est la première université de Suisse àavoir accepté des étudiants non porteurs ducertificat de maturité. Leur nombre est modes-te (309 étudiants) et a quelque peu fléchi parrapport à l’exercice 1998/1999 (335 étu-diants).

Le nombre des participants à des enseigne-ments de la formation continue a fortementprogressé au cours de ces dernières années,passant de 175 personnes à l’ouverture du pro-gramme d’encouragement de la formationcontinue à 5’296 personnes en 2000.

L e t a u x d e f é m i n i s a t i o n à l ’ U n i v e r s i t é d e G e n è v e r e s t e l e p l u s é l e v é d e S u i s s e !

L ’ i n s t i t u t i o n c o m p t e e n e f f e t # $ " % &' d e f e m m e s p o u r u n e f f e c t i f t o t a l d e ( % ’ ) & * é t u d i a n t s !

Toujours plus de diplômes délivrés

Le nombre total de diplômes délivrés (2’418 pourl’année de référence 1999) est en hausse (+16%)et rejoint le niveau des années 1995 et 1997. Iln’est pas encore sensible au retour à la crois-sance du nombre des étudiants, qui s’est mani-festé à partir de 1997.

Cependant, la tendance à la baisse du nombre dedoctorats, observée depuis 1996, se poursuit.Elle est particulièrement forte en Médecine. Onobserve toutefois une progression en Psycholo-gie et sciences de l’éducation. Il n’y a pas de cor-rélation entre la baisse du nombre de doctoratset le nombre de doctorants, qui, lui, enregistreune augmentation.



L e n o m b r e t o t a l d e d i p l ô m e s d é l i v r é s p a r l ’ U n i v e r s i t é d e G e n è v e a p r o g r e s s é d e ( &' : % ’ + ( ) d i p l ô m e s " d o n t % * $d o c t o r a t s " o n t a i n s i é t é d é c e r n é s a u c o u r s d e l ’ a n n é e ( , , , !

Personnel enseignant et administratif:légère hausse de l’effectif

L’Université emploie au total 4’693 personnespour 3’354 postes, dont 3’040 membres ducorps enseignant (2’044 postes). L’effectif esten légère hausse par rapport à l’année précé-dente (+1,07 % personnes ou + 0,26% enéquivalent postes, ce qui confirme la tendanceà l’augmentation du travail à temps partiel).

L’ensemble des postes du corps enseignant (tou-tes sources de financement confondues) présen-te, pour sa part, une légère baisse (-1,2% et -0,1% en termes de personnes). On observecependant une progression de 3,32% pour l’en-semble des postes occupés par des femmes.

Au sein du corps enseignant, le nombre de pos-tes du corps professoral (445) enregistre uneprogression de 11,6 postes par rapport à1999-2000 (+2,7 %), alors que celui des colla-borateurs de l’enseignement et de la recherche(1’599) est en baisse de 36,5 unités (-2,2%).



L ’ U n i v e r s i t é d e G e n è v e e m p l o i e + ’ & , * p e r s o n n e s

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En ce qui concerne le personnel administratifet technique (PAT), qui comprend, outre lesadministratifs au sens strict du terme, le per-sonnel d’encadrement scientifique et techniquedes unités d’enseignement et de rechercheainsi que les services scientifiques (tels quebibliothèques et informatique), on observe unefaible progression du nombre de postes (33,8postes), soit un accroissement de 2,65% parrapport à l’année précédente (toutes sourcesde financement confondues).

Pour l’exercice écoulé, le PAT comptait au total1’239 personnes pour 1’310 postes (toutessources de financement confondues).

Place de l’Université de Genève dans la recherche suisseL’intensité de la recherche conduite à l’Univer-sité peut être mesurée par l’attribution desfinancements affectés par la Confédération à larecherche. Dans le classement par hautes éco-les, l’Université de Genève apparaît au deuxiè-me rang après l’Ecole polytechnique fédéralede Zurich et légèrement avant celle de Lausan-ne, qui est suivie de l’Université de Zurich.C’est ce que révèle une étude conduite par leConseil suisse de la science et de la technolo-gie (Projektlandkarte Schweiz 1999, Finanzsta-tistische Indikatoren ausgewählter Instrumenteder Forschungförderung des Bundes aus denJahren 1992-1999, F&B 6/00).

L’Université genevoise a reçu, en 1999, unmontant total de l’ordre de 58 millions defrancs en crédits fédéraux de recherche, dont51,8 millions de francs via le Fonds nationalsuisse de la recherche scientifique (FNRS).

Elle bénéficiait ainsi, en 1999, de 11% dufinancement fédéral de la recherche. Une partimportante des subsides de recherche est attri-buée au corps intermédiaire.

Pôles de recherche nationaux (PRN)Le nouveau programme des Pôles de recherchenationaux (PRN) du Fonds national suisse de larecherche scientifique a pour objectif de ren-forcer durablement la position de la Suisse etd’optimiser les structures de recherche par lacréation de centres de compétences (leadinghouse). Genève a fait acte de candidature. Autotal, 18 projets ont été retenus, dans une pre-mière phase, par le FNRS.

L’Université de Genève a été sélectionnée pourdevenir leading house de trois projets, ce qui laplace parmi les universités les plus performan-tes aux côtés de celles de Zurich et de Berne. Ils’agit de projets dans les domaines de la géno-mique, des nouveaux matériaux et des scienceshumaines. Des équipes de recherche de l’Uni-versité de Genève participent également, enqualité de partenaires de réseau, à six autresprojets de pôles présélectionnés.

Programmes plurifacultaires de recherche(PPF)Lancés en 1998, les programmes plurifacultai-res ont été poursuivis (Acquisition, traitementet pathologie des structures grammaticales etlexicales; Exclusion sociale; La Bible à la croi-sée des savoirs; Management et risquesmajeurs; Neurosciences cognitives; Prosodie).Six thèmes sont ainsi développés dans le cadrede travaux réunissant des équipes universitai-res issues de différentes disciplines.


recherche

L’Université de Genève se distingue par l’importance de son activité de recherche. Cette activité est significative dans la plupart des disciplines des sciences exactes et naturelles, des biosciences, de la médecine fondamentale et clinique, des sciences économiques etsociales, de la psychologie et des sciences de l’éducation, de la linguistique et des lettres.La recherche contribue largement au rayonnement international de l’institution et relèveaussi de la mission de service envers la Cité.

L ’ i n t e n s i t é d e l a r e c h e r c h e c o n d u i t e àl ’ U n i v e r s i t é p e u t ê t r e m e s u r é e p a r l ’ a t t r i b u t i o n

d e f i n a n c e m e n t s a f f e c t é s p a r l a C o n f é d é r a t i o n à l a r e c h e r c h e ! E l l e b é n é f i c i a i t a i n s i " e n ( , , , "

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Au niveau de l’Université, ces activités sontpromues par le bureau de transfert de techno-logie Unitec, créé en 1998. Les groupes derecherche sont invités à annoncer leurs décou-vertes à ce service. Celui-ci a traité dix nouvel-les inventions en 1999. Des recherches d’anté-riorité et des expertises légales ont abouti àtrois premiers dépôts de brevets. Les frais deprise de brevets sont pris en charge par leFonds de valorisation Unitec. En matière detransfert de technologie, deux accords de valo-risation (licences) ont été conclus. Concernantles contrats de recherche, Unitec a traité troisaccords de collaboration représentant plus de2,7 millions de francs d’investissements defonds privés pour la recherche. Enfin, la mis-sion d’encouragement à la création d’entrepri-ses s’est notamment concrétisée par desaccords de transferts innovants contribuant audéveloppement commercial de jeunes sociétésissues de l’Université.


valorisation de la recherche et partenariats économiques

La valorisation de la recherche se manifeste par le soutien d’inventions, notamment par laprise de brevets, le transfert de technologie, les contrats de recherche entre Université etentreprises privées ou publiques, ainsi que la création d’entreprises «spin offs». Ces activi-tés relèvent de la mission de service de l’Université à la Cité.

Réseau universitaire international de Genève (RUIG)Constitué en mars dernier, le RUIG a pour butde mettre en réseau des institutions universi-taires de Genève, de Suisse et de l’étranger etdes organisations internationales gouverne-mentales et non gouvernementales sises àGenève, qui seront engagées dans des pro-grammes d’activités conjoints dans le domainedes relations internationales. Ces programmespourront porter sur la recherche, la formationcontinue et les expertises. L’année a été consa-crée à la mise en place de la structure ainsiqu’à la préparation du lancement des projetsque le RUIG se propose de conduire.

Participation aux programmes européens derechercheParmi la centaine de propositions déposées parles chercheurs genevois dans le cadre de leurparticipation au 5e programme-cadre derecherche et développement de l’Union euro-péenne 1998-2002 (PCRDT), 35 ont été rete-nues. Ces dernières concernent principalementles technologies de l’information et les sciencesde la vie. L’information et la promotion de laparticipation genevoise s’est faite par l’inter-médiaire de l’Euro-Guichet de l’Université.

recherche

L a m i s s i o n d ’ e n c o u r a g e m e n t à l a c r é a t i o nd ’ e n t r e p r i s e s s ’ e s t n o t a m m e n t c o n c r é t i s é e p a r d e s

a c c o r d s d e t r a n s f e r t s i n n o v a n t s c o n t r i b u a n t a ud é v e l o p p e m e n t c o m m e r c i a l d e j e u n e s s o c i é t é s i s s u e s

d e l ’ U n i v e r s i t é !

Permettant d’accroître les échanges, de nou-veaux accords de collaboration ont été signés,notamment avec les Universités de Waseda(Japon), de Pékin, de Sarajevo, de Tunis II, deParis VI (Université Pierre et Marie Curie). Lenombre de ces derniers, réalisés dans le cadrede tous les accords, est en progression parrapport à l’année précédente (89 personnescontre 75). Le mouvement se fait principale-ment de l’étranger vers Genève (70), les per-sonnes partant de Genève étant toujours peunombreuses (19).

L’Université est devenue membre du groupeCoimbra, réseau qui réunit actuellement 36 éta-blissements parmi les universités les plusanciennes d’Europe. Un grand colloque consacréau thème des «Risques majeurs: perception, glo-balisation et management» a été organisé àGenève, en collaboration avec les universités du

réseau CLUSE (convention liant des universitéssuisses et de l’Est de la France).

La collaboration entre le Bureau internationalde l’éducation (BIE), établi à Genève depuis denombreuses années, et l’Université a été renfor-cée par la signature d’une nouvelle convention.

Echanges d’étudiants

Les échanges d’étudiants dans le cadre du voletERASMUS du Programme européen SOCRATESont à nouveau progressé par rapport à l’annéeprécédente (351 contre 332). Cette progressionest essentiellement le fait de l’augmentation(16%) du nombre des personnes en partancede Genève (171 contre 148). Il convient de rele-ver que les étudiantes sont plus nombreuses


collaboration internationale

L’ouverture internationale de l’Université s’exprime aussi bien par l’enseignement que par la recherche dans un vaste réseau de collaboration avec les universités de l’étranger. Elle seréalise tant par l’apport à l’Université d’enseignants, de chercheurs et d’étudiants étrangersque par le séjour de scientifiques et étudiants de Genève dans des universités étrangères.

A u c o u r s d e l ’ a n n é e a c a d é m i q u e ( , , , . % - - - " & , $é t u d i a n t e s e t é t u d i a n t s o n t e n t r e p r i s u n s é j o u r d ’ é t u d e s

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p o u r e f f e c t u e r u n o u d e u x s e m e s t r e s d a n s u n e a u t r e u n i v e r s i t é !

Universités cantonales de Genève et deLausanneLes deux établissements ont renouvelé leurintention de collaborer en consignant, dans laDéclaration commune 2000, leur volonté d’œu-vrer à une coopération accrue. Au cours del’année, cette dernière s’est réalisée dans qua-tre directions principales:• la reconduction de huit diplômes postgrades

communs;• la création de plusieurs postes d’enseignants

en commun, financés pour deux ans par leFonds de coordination;

• la poursuite des efforts d’harmonisation descursus de formation;

• le développement des échanges d’enseigne-ments.

Ecole polytechnique fédérale de Lausanne –Université de Lausanne – Université de GenèveMis en œuvre dès 1998, afin de promouvoir ledéveloppement scientifique dans la région, leProgramme «Arc lémanique» est devenu l’undes projets de collaboration les plus marquants


collaboration genève-lausanne renforcée

du paysage universitaire suisse. Il est centrésur trois enjeux fondamentaux:• le développement des sciences de la vie;• le développement des sciences sociales et

humaines dans le contexte des mutationsscientifiques et technologiques actuelles;

• le développement et la réorientation dessciences de base à travers une vaste coordi-nation et réorganisation sur le plan régional.

Le projet présenté par les trois hautes écoles endébut d’année (rapport du 22 février 2000) expo-se notamment le programme de création d’unpôle de génomique fonctionnelle, comprenant uncentre de recherche interdisciplinaire commun,et un pôle de sciences humaines et socialesconstitué à partir des trois sites lémaniques.

M i s e n œ u v r e d è s ( , , ) " a f i n d e p r o m o u v o i r l e d é v e l o p p e m e n t s c i e n t i f i q u e d a n s l a r é g i o n "

l e P r o g r a m m e « A r c l é m a n i q u e » e s t d e v e n u l ’ u n d e s p r o j e t s d e c o l l a b o r a t i o n l e s p l u s

m a r q u a n t s d u p a y s a g e u n i v e r s i t a i r e s u i s s e !

collaboration internationale

que les étudiants à entreprendre un séjour d’é-tudes dans une autre université (dans une pro-portion de deux tiers pour les étudiantes). Quantaux étudiants étrangers boursiers de la Confédé-ration, leur nombre est passé de 55 à 71.

L’opportunité d’effectuer un ou deux semestresdans une autre université, au titre du Program-

me de mobilité suisse (programme fonctionnantselon des principes identiques à ERASMUS), aété saisie par 40 étudiants partis de Genève etpar 65 étudiants confédérés venus étudier àGenève. Par rapport à l’année précédente, lenombre des premiers est en hausse (+20),alors que celui des seconds marque un fléchis-sement (-16).

Les Universités cantonales de Genève et de Lausanne ont réaffirmé, au cours de cetteannée académique, leur volonté de coopérer encore davantage en reconduisant plusieursprojets communs. Le renforcement de cette collaboration se traduit également par l’évolu-tion favorable du Programme «Arc lémanique», impliquant les Universités cantonales desdeux villes ainsi que l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne.

Par catégories d’enseignants, la croissance laplus forte s’observe pour les professeures ordi-naires, d’école et adjoints (passage de la pro-portion des femmes de 10,2% à 11,5%). Pour legroupe des collaboratrices de l’enseignement etde la recherche, la part des femmes est en revan-che restée relativement stable (42,3%).

Par rapport à l’ensemble des universités suisses,la proportion des femmes est nettement plus forteà Genève.

Au cours de l’année académique, huit femmes ontété nommées à des fonctions de professeur ordi-naire, de professeur adjointe ou de professeurd’école, sur trente et une ouvertures de postes(25,8% des nominations).


l’égalité entre hommes et femmes progresse

Considérée globalement pour l’ensemble du corps enseignant, la proportion femmes/hommes,qui était restée stable entre 1997 et 1998, a connu une évolution encourageante. En effet, lapart des femmes atteignait 35,9% en 1999, ce qui représente une croissance de 3,4% parrapport à l’année précédente.

L’Université dispose de trois sources de finan-cement distinctes: le budget ordinaire DIP, leFonds national de la recherche scientifique(FNRS) et les fonds universitaires alimentéspar des sources externes. La part du finance-ment provenant du FNRS et des fonds universi-taires alimentés par des sources privées etpubliques a progressé ces dernières annéespour atteindre 24% en 1999.

Pour l’exercice écoulé, les ressources annuel-les globales de l’Université ont été de l’ordre de540 millions de francs, dont 410 millions pro-venant du budget ordinaire DIP, 50 millions duFNRS et 80 millions des fonds universitaires.

Les ressources au titre du budget DIP 2000proviennent de l’enveloppe budgétaire cantona-le (240 millions), de la subvention cantonalerelative aux études et bâtiments (charges horsenveloppe de 55,4 millions) et de ses revenuspropres (118,9 millions) composés en particu-lier de la subvention de base de la Confédéra-tion (LAU) et de la contribution des cantons autitre de l’accord intercantonal universitaire(par lequel chaque canton verse une contribu-tion au canton universitaire dans lequel sesressortissants vont étudier).

L’enveloppe, concept en vigueur depuis cinqans, a été, en 2000, rigoureusement identique àcelle de 1999 et 1998 (240 millions). Comptetenu de la prise en charge, sur cette enveloppe,


ressources

des annuités et du renchérissement accordéspar le Conseil d’Etat, le budget de l’Universités’en est trouvé d’autant réduit. Depuis 1991, ila subi chaque année une diminution de l’ordrede 1 à 2%.

La baisse des ressources cantonales a pu êtrecompensée, en partie, par une augmentation desressources provenant du FNRS et surtout desfonds universitaires. La part de ces derniers,aux dépenses de fonctionnement de l’Université,est passée de 9,3% en 1992 à 15% en 1999.

Les fonds universitaires peuvent être alimentéspar des mandats de recherche (privés oupublics), des donations et legs, par des fondationsprivées ou autres institutions à vocation scienti-fique. Ils ne constituent pas une masse globale-ment à disposition de l’Université, mais sont engénéral affectés à des buts et projets spécifiques.Pour l’année 1999-2000, le montant total dufinancement apporté par des fondations, dontle Fonds général de l’Université et la Sociétéacadémique de Genève a été de l’ordre de 4,4millions de francs. A cela s’ajoute une partici-pation de 2,3 millions de francs à des projetsd’investissements (foyers d’étudiants, crècheuniversitaire). En outre, les Fonds de l’Univer-sité pour prix et bourses libèrent chaque annéeun montant de l’ordre de 500’000 francs pourcette activité d’encouragement des étudiants etdes chercheurs.

Les ressources annuelles globales de l’Université pour 1999 ont été de l’ordre de 540 millions,dont 410 millions provenant du budget ordinaire DIP, 50 millions du FNRS et 80 millions des fonds universitaires.

L e s e c t e u r p u b l i c ( C a n t o n " C o n f é d é r a t i o n e t a u t r e s c a n t o n s )d e m e u r e l a p r i n c i p a l e s o u r c e d e f i n a n c e m e n t d e l ’ U n i v e r s i t é ( $ &' ) !L a p a r t d u f i n a n c e m e n t p r o v e n a n t d u F N R S e t d e s f o n d su n i v e r s i t a i r e s " a l i m e n t é s p a r d e s s o u r c e s p r i v é e s e t p u b l i q u e s " ap r o g r e s s é c e s d e r n i è r e s a n n é e s p o u r a t t e i n d r e % +' !

On relèvera les réalisations suivantes dans lesdifférents secteurs d’activité:

Multimédia• Gestion technique des serveurs Web de l’Uni-

versité et de quelques applications spéci-fiques comme le serveur EVAL en matièred’évaluation des enseignements;

• installation de postes de travail multimédia àla médiathèque d’Uni Mail, à l’antenne Bas-tions et dans les laboratoires de groupes derecherche permettant la diffusion à lademande de séquences vidéo;

• production, en collaboration avec le servicede Presse, Information, Publications, d’unCD-ROM intitulé «Etudier à Genève» destinéaux futurs étudiants.

Développement et maintenance• Etude du système ECTS de transfert des cré-

dits d’études pour son intégration à l’Univer-sité et écriture d’un premier prototype;

• étude d’une nouvelle application pour l’éla-boration et le suivi des budgets des facultéset de l’Université.

Production• Refonte des procédures de sauvegarde des

serveurs pour l’administration;• validation des procédures de récupération en

cas de catastrophe.

Messagerie• Amélioration de la documentation sur la

messagerie et les annuaires;• développement de deux nouveaux moyens de

diffusion de l’information: les forums de dis-cussion gérés de manière décentralisée etd’UniList pour l’envoi des messages e-mailen série à des membres de l’Université.

Réseau• Poursuite du renouvellement du réseau

informatique, par déploiement d’un câblagestructuré supportant la technologie GigabitEthernet;

• amélioration des accès vers les Etats-Unispar une liaison à 155 Mbps.

«Helpdesk»• Consolidation et amélioration du fonctionne-

ment du service d’aide.

En vue de prévenir le «bug de l’an 2000», lasécurité informatique a constitué une prioritéau cours de l’année. Elle a ainsi fait l’objet d’unsoin particulier dans la plupart des domainesd’activités, ce qui s’est fait avec succès. Enoutre, un responsable de la sécurité informa-tique a été engagé.


infrastructure de l’enseignement et de la recherche

Le développement des systèmes de communication, de transmission et de traitement desdonnées est devenu une activité cruciale pour le fonctionnement de l’institution et les acti-vités scientifiques. La division informatique de l’Université est appelée à jouer un rôlemajeur en la matière.

D a n s l a p l u p a r t d e s d o m a i n e s d ’ a c t i v i t é s " l a d i v i s i o n i n f o r m a t i q u e a a p p o r t é "a v e c s u c c è s " u n s o i n p a r t i c u l i e r à l a p r é v e n t i o n d u « b u g d e l ’ a n % - - - » !


Bibliothèques

Plusieurs regroupements de bibliothèques ontété effectués. Ainsi, la bibliothèque d’Uni Maila accueilli celles de la Faculté de psychologieet des sciences de l’éducation ainsi que cellede l’Institut européen, et les Archives Jean Pia-get et Jean-Jacques Rousseau. En outre, labibliothèque de l’Institut d’architecture ainsique celle du Centre universitaire d’études desproblèmes de l’énergie ont été déplacées sur lesite de Battelle.

On relèvera en particulier les réalisations sui-vantes en matière de traitement de l’écrit et del’information:• la poursuite de l’informatisation du service

de prêt dans plusieurs bibliothèques;• l’introduction de la gestion automatisée des

périodiques en Faculté de psychologie et dessciences de l’éducation;

• la création d’un espace multimédia dans labibliothèque d’Uni Mail;

• l’introduction, dans les médiathèques, denouvelles technologies et de l’audiovisuelpermettant un visionnement, à tout momentet sur plusieurs postes, de documents numé-risés;

• le développement de l’offre en documentsélectroniques et l’adhésion à un consortiumnational dans le but de mettre à dispositiondes ressources d’informations électroniquesaux meilleures conditions;

• l’engagement dans un projet de diffusionélectronique des thèses.

Bâtiments

L’inauguration, en novembre 1999, de ladeuxième étape d’Uni Mail a donné lieu à unevaste fête ouverte à la Cité «Uni@Mail». Celle-ci s’est déroulée avec succès sur plusieursjournées et comprenait notamment la cérémo-nie solennelle du Dies academicus.

La construction d’Uni Pignon, bâtiment annexed’Uni Mail, a été décidée. Elle permettra d’aug-menter la capacité en salles de cours et deregrouper l’ensemble de la Faculté de psycho-logie et des sciences de l’éducation sur le site.

Le début de la construction de Sciences III aété annoncé pour le printemps 2001. La négo-ciation entre l’Etat de Genève et l’Institut Bat-telle, en vue de l’acquisition du site, s’est pour-suivie. L’Université prévoit d’y installer, àterme, l’Institut d’architecture, le Centre uni-versitaire d’informatique et la Section dessciences de la Terre.

Comme chaque année, une série d’aménage-ments et de transformations ont été effectuésdans différents bâtiments universitaires.

infrastructure de l’enseignement et de la recherche

L ’ i n a u g u r a t i o n " e n n o v e m b r e ( , , , " d e l a d e u x i è m e é t a p e d ’ U n i M a i l a d o n n é l i e u à u n e v a s t e f ê t e o u v e r t e s u r l a C i t é : ‹ U n i @ M a i l › "

q u i s ’ e s t d é r o u l é e a v e c s u c c è s s u r p l u s i e u r s j o u r n é e s !

Orientation et encadrement des étudiantsCes activités comprennent, d’une part, la jour-née d’information aux collégiens en année ter-minale sur les études universitaires et le Pro-gramme boussole. Ce dernier s’adresse aux 11collèges de Genève et comprend: • une recherche active des collégiens sur les

études et professions;• des ateliers d’élaboration d’un projet d’étu-

des et de formation;• un stage d’immersion à l’Université.

Activités culturellesLes Activités culturelles ont accueilli cetteannée environ 2’400 étudiants répartis dans29 groupes d’activités. Plus de 11’000 specta-teurs ont fréquenté les cycles du cinéma et lesdifférentes activités cinématographiques orga-nisées par le Ciné Club. Le chœur est redevenule Chœur de l’Université, puisqu’il est mainte-nant largement composé d’étudiants. L’Orches-tre de l’Université a vu le jour après plusieurstentatives infructueuses.

Lors de la fête «Uni@Mail», les Activités cultu-relles ont produit un spectacle collectif original«Nostos, Ulysse ou le labyrinthe marin» avec leconcours des groupes de théâtre, de danse etde vidéo.

Bureau universitaire d’informations socialesPlus de 3’000 étudiants ont été reçus enconsultation. En ce qui concerne les aidesfinancières, 163 bourses ont été attribuées,soit par l’intermédiaire de la Commissionsociale, soit grâce à des fonds privés. En outre,184 étudiants ont bénéficié d’aides ponctuelleset 82 de prêts sans intérêts. Enfin, les assis-tants sociaux ont traité 1’269 demandes d’exo-nération des taxes universitaires émanant d’é-tudiants en difficulté financière. Sur l’ensemblede ces demandes, 1’027 ont reçu une réponsepositive.

Sports universitairesPlus de 4’800 étudiants ont participé aux diffé-rentes activités sportives animées par leBureau des sports.


activités au service des étudiants

Les activités au service des étudiants visent à la fois à faciliter l’intégration des étudiants dans l’Université et la Cité et à mettre à leur disposition les informations ou les prestations leur permettant de consacrer l’essentiel de leur temps à leurs études.

L e s a s s i s t a n t s s o c i a u x d u B u r e a u u n i v e r s i t a i r ed ’ i n f o r m a t i o n s s o c i a l e s o n t t r a i t é ( ’ % & , d e m a n d e sd ’ e x o n é r a t i o n d e s t a x e s u n i v e r s i t a i r e s é m a n a n td ’ é t u d i a n t s e n d i f f i c u l t é f i n a n c i è r e ! S u r l ’ e n s e m b l e d e c e s d e m a n d e s " ( ’- % $ o n t r e ç u u n e r é p o n s e p o s i t i v e !

Bureau des logements et restaurants universitairesAu total, 330 logements pour étudiants sontgérés par le Bureau des logements. Lesdemandes reçues excèdent les places disponi-bles. Au moment des attributions de logements,la liste d’attente comprenait 346 demandes,dont 35% de Suisses et 65% d’étrangers.

Bureau de placementLe bureau a reçu 6’057 offres d’emploi, dont2’928 provenaient de personnes privées et3’129 d’entreprises. Durant l’exercice écoulé,1’800 nouvelles demandes d’emploi ont étéenregistrées.

Centre Uni-EmploiLe centre a ouvert ses portes en octobre 1999.Conçu comme un projet pilote et issu d’un par-tenariat entre l’Université et l’Office d’orienta-tion et de formation professionnelle, il a pourmission d’aider les étudiants à s’insérer dansle monde du travail et à favoriser la transitionde l’Université vers la vie professionnelle.


activités au service des étudiants

Antenne SantéUne permanence de 11 heures par semaine estassurée par une infirmière de santé publique àl’intention des étudiants. Au total, 414 deman-des ont été enregistrées, dont 174 consulta-tions. Sur le plan collectif, une semaine «Soleilet Voyages» de prévention du mélanome et deconseil aux voyageurs a été mise sur pied encollaboration avec le Service de dermatologiede l’HUG et l’Unité de médecine Voyages et desmigrations.

Espace de vie enfantineL’événement le plus important de l’année aca-démique a été l’extension de l’Espace de vieenfantine EVE du Mail, qui permet d’offrir,depuis septembre, 125 places par jour.

C o n ç u c o m m e u n p r o j e t p i l o t e " l e c e n t r e U n i . E m p l o i a p o u r m i s s i o nd ’ a i d e r l e s é t u d i a n t s à s ’ i n s é r e r d a n s l e m o n d e d u t r a v a i l e t à f a v o r i s e r

l a t r a n s i t i o n d e l ’ U n i v e r s i t é v e r s l a v i e p r o f e s s i o n n e l l e !

Relations avec les médiasL’effort de médiatisation d’événements, de promo-tion de résultats de recherche et de collaborationsscientifiques s’est poursuivi. Il s’est manifesté, dansl’exercice écoulé, par la diffusion de trente-huitcommuniqués aux médias et aux responsables desstructures académiques, administratives et estu-diantines et l’organisation de neuf conférences depresse. La médiatisation du Programme communde recherche en génie biomédical, initié par leCHUV, les HUG, les Universités de Lausanne etGenève ainsi que l’EPFL, a représenté l’un des plusimportants mandats de l’année.

Activités de relations publiquesL’activité de relations publiques a été étendue etle Service Presse, Information, Publications a jouéà plusieurs reprises le rôle de consultant et deconseiller auprès des différentes structures del’institution. Il a notamment été associé à la réali-sation du supplément Tribune des sciences lancépar les Facultés de Médecine et des Sciences.

Publications internes et externesLa diffusion régulière d’informations administra-tives et scientifiques a été assurée par le biais dujournal interne CommUNIcation et du magazineCampus. Après une année de suspension, ce der-nier a reparu en octobre 1999 dans une nouvel-le formule, dont la qualité a été saluée aussi bienpar les lecteurs que par les annonceurs. Le Car-net de l’Université a, quant à lui, fait l’objet d’uneréflexion sur sa présentation et son contenu.

Gestion du site InternetUn projet d’envergure portant sur la réorganisa-tion de la présentation et du contenu du site Inter-net de l’Université a été entrepris en collabora-tion avec la division informatique. En outre, plusde quinze sites d’information en ligne sur les acti-vités de l’institution ont été créées.

Passerelle Science-CitéCréée en 1998 par les Facultés des Sciences etde Médecine afin d’établir des échanges directsentre la communauté scientifique et la popula-tion, la Passerelle Science-Cité a développé desespaces de rencontre autour d’événements sus-ceptibles de susciter un dialogue durable entre legrand public et les universitaires. La passerellebénéficie du soutien du service PIP notammentdans le cadre des laboratoires portes ouvertes etde la médiatisation de son grand événementannuel. Après «Jeu de lune dans la rade», la Pas-serelle a organisé, en octobre 2000, une mani-festation baptisée «56 heures pour explorer lefond de la casserole». Elle proposait à cette occa-sion un Bar des sciences ainsi qu’une conféren-ce-spectacle, «Le Chant de l’Etoile», consacrée àla vie et la mort d’une étoile. Cette manifesta-tion ainsi que «L’Oracle de Delphi», spectacle jouéau CERN plus de 50 fois au cours de cet hiver, ontété particulièrement appréciées du grand public.


relations avec la cité

Lien entre l’Université et la Cité, le service Presse, Information, Publications (PIP) a pourvocation de soutenir l’ensemble de la communauté universitaire dans ses activités de com-munication. Il coordonne et développe l’actualité universitaire tant à l’intérieur de l’institu-tion qu’à l’extérieur et entretient des relations d’information réciproque entre l’Université, lesinstitutions et les divers corps de la Cité. A ses côtés, la Passerelle Science-Cité joue un rôleprimordial en contribuant à renforcer le dialogue entre le grand public et les scientifiques.

L ’ e f f o r t d e m é d i a t i s a t i o n d ’ é v é n e m e n t s " d e p r o m o t i o n d e r é s u l t a t s d e r e c h e r c h e e t d e c o l l a b o r a t i o n s s c i e n t i f i q u e s " a u p r è s d e l a C i t é a é t é p o u r s u i v i e t i n t e n s i f i é !


annexes

Doyens des FacultésDirecteur de l’Institut d’architecturePrésident de l’Ecole de traduction et d’interprétation

Professeur Jacques WEBER, Doyen de la Faculté des sciencesProfesseur Peter SUTER, Doyen de la Faculté de médecineProfesseur Charles GENEQUAND, Doyen de la Faculté des lettresProfesseur Beat BÜRGENMEIER, Doyen de la Faculté des sciences économiques et socialesProfesseur Andreas AUER, Doyen de la Faculté de droitProfesseur Michel GRANDJEAN, Doyen de la Faculté autonome de théologie protestanteProfesseur Anik de RIBAUPIERRE, Doyenne de la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducationProfesseur Cyrille SIMONNET, Directeur de l’Institut d’architectureProfesseur Bruno de BESSÉ, Président de l’Ecole de traduction et d’interprétation

Membres du Rectorat

Professeur Maurice BOURQUIN, RecteurProfesseur Eric DOELKER, Vice-recteurProfesseur Jean KELLERHALS, Vice-recteurProfesseur Jean-Dominique VASSALLI, Vice-recteur

Secrétaire généralM. André VIFIAN

Directeur de l’administrationM. Laurent PALLY

Conseil académique

Madame Maria MUMENTHALER, Présidente (jusqu’en octobre 2000)Monsieur Bernard KOECHLIN, Président (dès octobre)Monsieur Théo BERCLAZ, Vice-présidentMonsieur Werner ARBERMadame Jasmine AUDEMARSMonsieur Dominique BELIN

Monsieur Martin BOEKHOUDTMonsieur Jean-Marie DUFOURMonsieur Patrick ODIERMonsieur François PASCHOUDMonsieur Daniel ROYERMonsieur Marc SCHRIBERMadame Sophie DESJACQUES-CARNEGIE, Secrétaire

Adresses utiles

Espace administratif des étudiantsUNI DUFOUR – 24 rue du Général-Dufour, 2e étageTél. 022/705 7739 – Fax 022/705 79 34

Bureau des logements et restaurants universitaires4, rue de Candolle, 3e étageTél. 022/705 7410

Bureau d’information sociale4, rue de Candolle, 3e étageTél. 022/705 7779

Bureau des activités culturelles4, rue de Candolle, 1er étageTél. 022/705 7705

Bureau des activités sportives4, rue de Candolle, 2e étageTél. 022/705 7722

Bureau de placement4, rue de Candolle, rez-de-chausséeTél. 022/705 7702

Centre Uni-Emploi4, rue de Candolle, 4e étageTél. 022/705 7590

Antenne santé4, rue de Candolle, 4e étageTél. 022/705 7709

Formation continue2, rue de Candolle – Landolt, 5e étageTél. 022/705 7833

Bureau de transferts de technologiesUNI DUFOUR – 24, rue du Général-DufourBureau N° 229, 2e étageTél. 022/705 7369

Presse-Information-PublicationsUNI DUFOUR – 24, rue du Général-DufourBureau N° 342, 3e étageTél. 022/705 7717

Relations internationalesUNI DUFOUR – 24, rue du Général-DufourBureau N° 109, 1er étageTél. 022/705 7205

Références utiles

Les sources d’information suivantes sont accessiblesdans le Web à l’adresse: www.unige.ch

• Programme des cours• Catalogue des publications et de la recherche• Prix-Bourses-Subsides• Relations internationales• Etudier à Genève• Organes de l’Université de Genève


annexes

annexes


! Uni Mail" Uni Bastions# Uni Dufour$ CMU% Sciences I& Sciences II' Sciences III( Batelle



impressum

EditeurRectorat de l’Université de Genève

GraphismeD. Galasso, Genève

PhotographiesR. GerberCh. Pricam

ImpressionPresses de l’Université de Genève2’000 exemplaires

© Université de Genève

Documents

UNIVERSITÉ DE GENÈVE · Offre en formation:les nouveautés Les diverses filières de formation que propose l’Université sont réparties entre les sept facultés (Sciences, Médecine,