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Veille sur l’actualité de l’Agriculture

Marocaine

Chaque semaine l’actualité de l’agriculture marocaine dans votre boite mail

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Au Sommaire Du 11/10/2013 au 17/11/2013

Date de parution

Titre

Source Page

17/11/2013 La Caravane OCP "céréales et légumineuse" 2013 vise à renforcer les objectifs du plan Maroc vert (responsable)

medias24.com 4

16/11/2013 L’achat des engrais pour la grande culture bat son plein Les erreurs à éviter dans l’emploi des fertilisants

libe.ma 5

15/11/2013 Agrumes: L’export pénalisé par l’absence de pluie

leconomiste.com 6

15/11/2013 Plan Maroc vert Plus de 15 milliards de DH consentis par les bailleurs de fonds

lematin.ma 8

15/11/2013 Promotion de l'agriculture africaine Le PMV, un modèle réussi

lematin.ma 9

15/11/2013 Plan Maroc Vert : 15 milliards de financements

aufaitmaroc.com 11

14/11/2013 Plan Maroc Vert : qui paiera les 10 milliards de dollars nécessaires ?

biladi.ma 13

14/11/2013 Fiscalité Les agriculteurs jouent leur dernière carte

lematin.ma 14

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14/11/2013 Fellah online : Barrage

financenews.press.ma 16

14/11/2013 Agriculture: on attend la pluie !

leseco.ma 17

14/11/2013 Taroudant s'apprête à lancer son salon de l'élevage bovin

leseco.ma 18

14/11/2013 Maroc : le retard des pluies n’inquiète pas les autorités qui prennent leurs précautions

agenceecofin.com 19

14/11/2013 L'absence de pluies annonce une campagne agricole tardive

medias24.com 20

13/11/2013 Le safran cherche des marchés plus rémunérateurs

leseco.ma 22

13/11/2013 Guercif: plus de 124 millions DH pour la valorisation des filières productives

aujourdhui.ma 24

13/11/2013 OCP: des actions qui collent bien avec le PMV

aujourdhui.ma 25

13/11/2013 Le plan Maroc Vert cherche investisseurs

leconomiste.com 27

12/11/2013 Oléiculture : les surfaces progressent mais l’huile manque de compétitivité

medias24.com 29

12/11/2013 Atelier sous régional Suivi des effets des pesticides sur la santé humaine et l’environnement

marocagriculture.com 32

12/11/2013 “Céréales et Légumineuses 2013” : La caravane de l'OCP fait escale à Larache

aufaitmaroc.com 33

12/12/2013 Le Maroc promeut ses produits du terroir à Abu Dhabi

aujourdhui.ma 34

12/11/2013 Renchérissement du gasoil et envol des prix des intrants menacent la saison agricole Les charges des agriculteurs deviennent intenables

libe.ma 36

12/11/2013 Huile d’olives : une denrée mal triturée

albayane.press.ma 38

11/11/2013 Palmiers-dattiers De nouvelles conventions pour la filière

leconomiste.com 41

11/11/2013 Le Maroc prend part au SIAL Middle East à Abu Dhabi du 24 au 26 novembre

medias24.com 43

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PRESSE ELECTRONIQUE EN LANGUE ARABE

األمطار االخيرة تعيد األمل في إنقاذ الموسم الفالحي القادم 17/11/2013

1TUalyaoum24.com U1T 44

15/11/2013 1TU المقدمة من طرف المانحين تالتمويال”األخضر: مخطط المغرب ”1TUمليار درهم 15بلغت

1TUalmouhitalfilahi.com U1T 45

هكتار بالجهة خالل الموسم الحالي 1500برمجة زراعة 14/11/2013 لموسم الرمان بإقليم الفقيه بن صالح 11م فعاليات النسخة اختتا

1TUalmaghribia.maU1T 47

ندوة مغاربية بالدار البيضاء بشأن تأقلم الفالحة والزراعات الكبرى 13/11/2013 مع التغيرات المناخية

1TUmagharib.com U1T 49

23إلى 20تارودانت تحتضن الدورة األولى لملتقى تربية األبقار من 13/1/2013 نونبر

1TUahkbarona.maU1T 50

ميالد أول جمعية وطنية لخريجي المعاهد الفالحية بالمغرب 13/11/2013

1TUalmouhitalfilahi.com U1T 51

تسمين الماشية بحبوب "دردك" يثير المخاوف 13/11/2013بياطرة يؤكدون أن اللحوم المشبعة بهرمونات إسترويدية تصيب

اإلنسان بالسرطان

1TUassabah.prass.maU1T 52

12/11/2013 "U1Tتأقلم قطاع الفالحة والزراعات الكبرى مع التغيرات المناخية" U1Tموضوع ندوة مغاربية

1TUalmouhitalfilahi.com U1T 53

الجديدة: في لقاء للمديرية الجهوية للفالحة 12/11/2013

1TUbayanealyaoume.press.maU1T 54

13ي بإقليم ورزازات بلغت المساحة المبرمجة للموسم الفالحي الحال 11/11/2013 ألف هكتار

1TUakhbarona.com U1T 56

11/11/2013 1UT متابعات : قافلةOCP تحط بخنيفرة إلرشاد الفالحينU1T

1TUailmaroc.netU1T 57

المخبزات تلوح بالزيادة في الخبز بسبب ارتفاع أسعار الدقيق 11/11/2013

1TUalraiy.com U1T 58

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Medias 24, édition électronique du 17/11/2103

La Caravane OCP "céréales et légumineuse" 2013 vise à renforcer les objectifs du plan Maroc vert (responsable) Pour atteindre ses objectifs, la caravane mobilise d'importants moyens humains et matériels, dont 20 experts, un laboratoire mobile d'analyse de sol et une plate-forme informatique abritant la base de données de la "Carte de fertilité". Initiée en partenariat avec le ministère de l'Agriculture et de la Pêche et les principaux distributeurs nationaux d'engrais OCP, la caravane va parcourir, durant deux mois, 12 régions céréalières et de légumineuses au Maroc. Cette initiative s'inscrit dans le prolongement des trois caravanes lancées depuis octobre 2012 par l'OCP, à savoir la "Caravane OCP Céréales 2012", la "Caravane OCP Fruits et Légumes 2013" et la "Caravanes OCP Oliviers 2013". La caravane est attendue prochainement Sidi Kacem, Taza et Berkane pour mieux comprendre les besoins des petits agriculteurs et leur proposer les produits les plus adaptés à leurs sols. Les céréales et les légumineuses, en tant que l'une des chaines de production les plus importantes au niveau de la région Fès-Boulemane, couvrent respectivement une superficie de 190.00 ha (60 pc de la superficie cultivée) et 42.000 ha (13pc de la superficie cultivée). (par la MAP) Source : http://www.medias24.com/LE-FIL/6316-La-Caravane-OCP-cereales-et-legumineuse-2013-vise-a-renforcer-les-objectifs-du-plan-Maroc-vert-responsable.html

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Libération, édition électronique du 16/11/2013 L’achat des engrais pour la grande culture bat son plein Les erreurs à éviter dans l’emploi des fertilisants

Les travaux préparatoires du sol dans les secteurs mécanisés sont en cours ou sur le point d’être achevés et les achats des engrais de fond pour la grande culture sont également entamés. Il s’avère utile d’appeler les agriculteurs du secteur traditionnel à prêter de l’attention en matière d’achat des engrais qui a son importance. Il faut rompre avec l’habitude de raisonner en sac d’engrais mais de cibler les unités fertilisantes inscrites par ailleurs sur les emballages de chaque type d’engrais. A titre d’exemple, parler d’une unité d’azote, 1,5 d’acide phosphoriques et 2 unités de potasse n’a pas la même signification qu’un sac de sulfate d’ammoniac, 1 sac et demi de superphosphate ou 2 sacs de sulfate de potasse. Dans la pratique, quand on utilise à l’hectare 1 sac de 100 kg de sulfate d’ammoniac, cela revient à épandre 20,40 d’azote, ce 20,40 devient le 1 de la formule – 1 et demi d’acide phosphorique correspondra à 30-31 kg de superphosphate à 16%, soit 2 sacs de superphosphate et 2 de potasse équivaudra à plus de 40 kg de potasse, soit environ 1 sac de sulfate de potasse. Cette remarque paraîtra banale pour les techniciens familiarisés avec la technique d’emploi des engrais mais elle nous semble cependant très importante pour les petits agriculteurs mal informés pour qui le sac d’engrais est souvent synonyme d’unité alors que l’emballage ne contient qu’un certain nombre d’éléments fertilisants, le reste étant constitué d’éléments inertes qui servent de support. Cette erreur d’appréciation se traduit à l’application de la fumure par une insuffisance en éléments fertilisants pour les cultures et pour le sol du point de vue de son niveau de fertilité. De la panoplie des engrais offerte par le commerce, seul l’azote est le mieux apprécié par les agriculteurs en raison de la réaction rapide qu’il produit sur la végétation. Source : http://www.libe.ma/L-achat-des-engrais-pour-la-grande-culture-bat-son-

plein_a44040.html?preaction=nl&id=19739540&idnl=149701&

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L’Economiste, édition électronique du 15/11/2013

Agrumes: L’export pénalisé par l’absence de pluie

• Cueillette précoce de la clémentine

• Faible demande russe en raison d’un climat encore chaud

• 300 dollars/t contre 900 dollars l’an dernier à la même période

Sur le marché local, le cours est aussi au plus bas. Les écarts qui se vendaient l’an dernier entre 1,50 à 1,80 DH le kg sont commercialisés aujourd’hui au niveau des stations de conditionnement entre 0,15 à 0,25 centimes le kg. ‘‘Même à ce prix-là, personne n’en veut’’, déplore un producteur Mauvais temps pour les exportateurs d’agrumes. Ce qui devrait être une campagne exceptionnelle commence vraiment mal. Les volumes expédiés sont bien en deça de ce qui est attendu. Selon Abdel-Krim Ouguellit, manager du groupement Fresh Fruit, les volumes expédiés de clémentines vers la Russie, principal marché de l’origine Maroc (60% des exportations d’agrumes), ne dépassent pas pour l’heure 40.000 tonnes au total. ‘‘A ce rythme nous ne pourrions pas réaliser les prévisions annoncées de 180.000 tonnes de clémentines sur ce marché à l’issue de cette campagne’’, avance le professionnel. Selon lui, les expéditions de clémentines pourraient bien se limiter à 115.000 tonnes. A l’origine de cette situation, des causes endogènes et exogènes. Les exportateurs citent, dans ce contexte, une cueillette avant l’heure de certaines variétés de clémentines et les conditions climatiques du mois d’octobre marqué par de hautes températures. ‘‘L’absence de pluie a empêché le fruit de bien évoluer. Résultat: le petit calibre qui est difficilement exportable est en masse’’, explique Abdel-Krim Ouguellit. Outre l’absence de qualité gustative pour beaucoup de récoltes de clémentines, le marché n’est pas encore véritablement réceptif. Et ce, en raison d’un climat encore chaud en Russie et de perturbations au niveau du marché central de Moscou suite à un fait divers sur les lieux. Tout cela a bien sûr un fort impact sur les cours du produit. Selon

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les professionnels, le cours de la clémentine en Russie est actuellement d’environ 300 dollars la tonne contre 900 à 1.200 dollars l’an dernier à la même période. Sur le marché local, le cours est aussi au plus bas. Les écarts qui constituent normalement 40% de la production s’écoulent vraiment difficilement. D’une part parce que les volumes sont plus importants que d’habitude, mais aussi parce la qualité gustative n’est pas au rendez-vous. Aussi, les écarts qui se vendaient l’an dernier à 1,50 à 1,80 DH le kg sont commercialisés aujourd’hui au niveau des stations de conditionnement à 0,15 à 0,25 centimes le kg. ‘‘Même à ce prix-là, personne n’en veut’’, déplore un producteur. De l’avis de Abderrazak Mouisset, professionnel du secteur et past-président de l’Apefel, il est plus que temps pour la profession d’investir dans la reconquête de nos parts de notre marché traditionnel qu’est l’Europe. Pour lui, c’est incontournable pour le développement de l’activité. Malika ALAMI Source: http://www.leconomiste.com/node/912914

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Le Matin, édition électronique du 15/11/2013 Plan Maroc vert Plus de 15 milliards de DH consentis par les bailleurs de fonds

Les bailleurs de fonds ont misé plus de 15,1 milliards de dirhams dans le Plan Maroc Vert (PMV). La déclaration est de Aziz Akhannouch, ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime. Ce dernier s'exprimait le 14 novembre à Skhirat, lors de la quatrième table ronde de coordination avec les bailleurs de fonds internationaux. Selon le ministre, ces financements ont été décaissés aujourd'hui à hauteur de 65% et près de la moitié des projets lancés engagent environ 80% des financements accordés. «Ils sont aujourd'hui à un stade d'exécution avancé», souligne Akhannouch. Un appui technique a été par ailleurs sollicité par le ministre, qui a également évoqué l’identification d’une «banque de projets» alliant aux programmes engagés depuis le démarrage du PMV, de nouveaux projets structurants ayant notamment trait à la R&D, à la formation, au développement rural et à la sécurité sanitaire. Pour sa part, le directeur des statistiques au ministère, Soufiane Larguet, a indiqué que «seuls 9 programmes représentant 10% de l'aide octroyée par les bailleurs de fonds présentent un retard d'exécution». «Cinq ans après sa mise en œuvre, le PMV a permis la création de 77 000 emplois permanents. 370 000 ha de terres ont été irriguées par des techniques économes en eau. En matière d'agriculture solidaire, 430 projets ont été lancés, soit 80% de l'objectif global pour un investissement à terme d'environ 12 MMDH au profit de 530 000 bénéficiaires», rappelle le ministre. - See more at: http://www.lematin.ma/journal/plan-maroc-vert_plus-de-15-milliards-de-dh--consentis-par-les-bailleurs-de-fonds/191283.html#sthash.sbBqs8ck.dpuf Source: http://www.lematin.ma/journal/plan-maroc-vert_plus-de-15-milliards-de-dh--consentis-par-les-bailleurs-de-fonds/191283.html

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Le Matin, édition électronique du 15/11/2013 Promotion de l'agriculture africaine Le PMV, un modèle réussi

L’ancien ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos, intervenant, à Tanger,lors d’un panel consacré à la question de la sécurité alimentaire dans le monde, dans le cadre du Forum du Sud «Medays 2013». Ph : MAP

«Le Plan Maroc Vert, un modèle réussi à prendre en exemple pour promouvoir l'agriculture africaine», Miguel Angel Moratinos

«Le Plan Maroc vert constitue un modèle réussi de développement agricole que les pays africains peuvent prendre en exemple pour leurs politiques de promotion du secteur», a conseillé, jeudi à Tanger, l'ancien ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos.

Intervenant lors d'un panel consacré à la question de la sécurité alimentaire dans le monde, dans le cadre du forum du Sud «Medays 2013», Moratinos a affirmé que le Maroc peut jouer un rôle de leader sur le plan continental en exportant son modèle de développement agricole vers les pays africains qui peinent à mettre en place des stratégies efficaces dans ce domaine.

Le Plan Maroc vert, qui s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des hautes orientations de S.M. le Roi Mohammed VI, connaît un succès grâce à son approche intégrée et prospective, associant les différents acteurs et intervenants dans le secteur agricole, a-t-il noté.

Il a, par ailleurs, relevé la faiblesse des politiques agricoles sur le plan international et régionales, soulignant que l'action politique internationale visant à réaliser la révolution verte, principalement en Afrique, restera insuffisante si elle n'est pas accompagnée d'un cadre législatif international contraignant pour la Communauté internationale.

Moratinos a, à cet égard, appelé à l'adoption d'une Charte mondiale obligeant les différents pays, notamment les puissances riches, d'assumer leurs responsabilités dans la garantie de la sécurité alimentaire pour les populations les plus pauvres du monde et dans la lutte contre la famine et la malnutrition, des phénomènes qui touchent encore quelque 900

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millions de personnes dans le monde, en parallèle avec les efforts de modernisation de la production et de la planification agricole.

De son côté, le directeur de la fondation «Health of Mother Earth», Nnimmo Bassey, a indiqué que la réalisation de la révolution verte en Afrique passe d'abord par le soutien aux petits agriculteurs, l'amélioration de leur accès aux marchés et le renforcement des infrastructures agricoles.

L'Afrique a besoin de redessiner sa politique dans le domaine agricole, prendre en considération la réalité sur le terrain et accorder plus d'attention au tissu des petits agriculteurs, a-t-il ajouté, appelant les organisations et institutions internationales à déployer un système d'aides destiné à appuyer l'Afrique dans ses efforts pour la garantie de sa sécurité alimentaire.

Placée sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, la 6e édition du Forum Medays (13-16 novembre), organisée sous le signe «Quelles émergences dans un monde instable», braque l'objectif sur une variété de thèmes d'actualité politique et économique.

Il s'agit, entre autres, de la situation en Afrique et dans le monde arabe après le printemps arabe, la situation dans le continent africain avec ses émergences et ses fragilités aux niveaux économique, sécuritaire, et de la gouvernance et la crise au Sahel, illustrée par les cas du Mali et de la Centrafrique, en plus d'un focus sur la crise en Syrie et en Libye.

Ces questions seront analysées par 140 intervenants en provenance de 52 pays, dont des ministres et hauts responsables, d'anciens chefs d'Etat et d'anciens premiers ministres, en plus d'opérateurs économiques et de représentants d'organisations régionales et internationales.

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Source: http://www.lematin.ma/express/promotion-de-l-agriculture-africaine_le-pmv-un-modele-reussi/191234.html

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Au Fait Maroc, édition électronique du 15/11/2013

Plan Maroc Vert : 15 milliards de financements

Les financements accordés par les partenaires du Maroc pour soutenir les programmes du Plan Maroc Vert (PMV) ont atteint 15,1 milliards de dirhams (MMDH). C'est ce qu'a déclaré jeudi à Skhirat le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime Aziz Akhannouch, lors de la 4e table ronde de coordination avec les bailleurs de fonds internationaux.

Les financements accordés par les partenaires du Maroc pour soutenir les programmes inscrits dans le cadre du Plan Maroc Vert (PMV) ont atteint 15,1 milliards de dirhams (MMDH), selon le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime Aziz Akhannouch. /MAP

Les partenaires du Maroc dans le cadre du Plan Maroc Vert (PMV) ont décaissé 65% des 15,1 milliards de dirhams accordés au Maroc, a indiqué jeudi le ministre de l'Agriculture et la pêche maritime, Aziz Akhannouch.

S'exprimant lors de la 4e table ronde de coordination avec les bailleurs de fonds internationaux, le ministre a affirmé que près de la moitié des projets lancés engagent environ 80% des financements accordés et “sont aujourd'hui à un stade d'exécution avancé”.

Dans ce cadre, il a relevé l'identification d'une “banque de projets”, alliant aux programmes engagés depuis le démarrage du PMV, de nouveaux projets structurants ayant notamment trait à la recherche et développement (R&D), à la formation, au développement rural et à la sécurité sanitaire.

Le ministre a sollicité l'appui technique des partenaires, “conjugué à plus de souplesse administrative afin d'améliorer le suivi, la coordination et l'exécution des programmes”.

Pour sa part, le directeur des statistiques au ministère, Soufiane Larguet a fait savoir que “seuls 9 programmes représentant 10% de l'aide octroyée par les bailleurs de fonds présentent un retard d'exécution”.

L'intervention des 14 partenaires du Royaume concerne l'ensemble des thématiques du PMV et couvrent 15 régions, a ajouté M. Larguet, notant que le département de l'Agriculture a “sécurisé 1,4 MMDH de nouveaux financements” des bailleurs de fonds.

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De son côté, Emmanuel Baudran, chargé de mission à l'Agence française de développement, qui intervenait au nom de tous les bailleurs de fonds, a évoqué les défis à relever dans le cadre de la coopération avec le Maroc.

À cet égard, M. Baudran a souligné l'importance d'améliorer l'implication des agriculteurs dans la mise en œuvre des projets et de renforcer les capacités des conseillers agricoles.

Evaluer les résultats

Le renforcement des capacités est tributaire de la formation, la requalification sur de nouvelles approches et du renforcement des moyens humains, a-t-il estimé. Il a mis l'accent sur la nécessité de développer l'évaluation des résultats, capitaliser les expériences et de renforcer la prise en compte du changement climatique, du genre et des jeunes.

Cinq ans après sa mise en œuvre, le PMV a permis la création de 77.000 emplois permanents, selon M. Akhannouch, qui a fait savoir que 370.000 hectares (ha) de terre ont été irrigués par des techniques économes en eau.

En matière d'agriculture solidaire, 430 projets ont été lancés, soit 80% de l'objectif global, pour un investissement à terme d'environ 12 MMDH, au profit de 530.000 bénéficiaires, a-t-il relevé.

Les divers chantiers ouverts dans le cadre du PMV à l'horizon 2020 requièrent la mobilisation de fonds additionnels pour la poursuite de la dynamique de développement agricole et rural et pour asseoir durablement notre sécurité alimentaire, selon M. Akhannouch.

aufait/MAP

Source : http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/11/15/15-milliards-de-financements_216520.html#.UoY-cSd9ASk

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Biladi, version électronique du 14/11/2013 Plan Maroc Vert : qui paiera les 10 milliards de dollars nécessaires ?

Plan Maroc Vert Les coûts de la poursuite de la stratégie agricole du plan Maroc Vert vont nécessiter 10 milliards de dollars d’ici à l’horizon 2020. Qui va fournir cette somme ? Selon une toute récente information d’Aziz Akhannouch, le ministre de l’Agriculture, la poursuite de la stratégie agricole du plan Maroc Vert jusqu’en 2020 va nécessiter 10 milliards de dollars. Alors que les finances du Royaume sont au plus mal, qui va financer la suite de ce projet d’envergure national ? La réponse se situe bien évidement du côté de nouveaux partenaires, étrangers entre autres. C’est pour cette raison que l’Agence de développement de l’agriculture, l’organisme en charge du pilotage du plan Maroc Vert, est sur le pied de guerre. En effet, le Salon International de l'Agroalimentaire Middle East (SIAL) d'Abu Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, se tiendra du 24 au 26 novembre prochain, une manifestation qui rassemble un millier d’exposants et attire plus de 10 000 visiteurs professionnels. Ce SIAL Middle East est donc une occasion rêvée pour drainer des investisseurs potentiels et pour développer de nouveaux partenariats. De fait, ce sont une vingtaine d’entreprises et de coopératives qui seront présentes dans le pavillon marocain de 258 m2 en plus d’une délégation composée d’investisseurs et d’experts, des personnes à même de vendre au mieux l’offre marocaine. Source : http://biladi.ma/1139423-plan-maroc-vert-qui-paiera-les-10-milliards-de-dollars-necessaires.html

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Le Matin, édition électronique du 14/11/2013 Fiscalité Les agriculteurs jouent leur dernière carte - Y.B., LE MATIN

Les agriculteurs gardent espoir. Les membres de la Fédération des chambres d’agriculture du Maroc (FCAM) et de la Confédération marocaine de l'agriculture et du développement rural (Comader) viennent d’adresser une note aux parlementaires de la Chambre des représentants et au gouvernement pour une révision des dispositions fiscales du projet de loi de Finances 2014 (PLF 2014) relatives à leur secteur. Ils y synthétisent l’essentiel de leurs recommandations pour une imposition agricole qui «prend en considération les spécificités du secteur» et en respectant les principes fondateurs du Plan Maroc Vert (PMV), qui privilégient les investissements et les projets d’agrégation.

Les suggestions de la note, dont nous détenons copie, pourront, selon les deux fédérations, assurer une «transition en douceur» d’un régime d’exonération vers un secteur sous régime fiscal harmonieux et équitable. Tout en rappelant les spécificités du secteur (sécheresse, rareté de l’eau d’irrigation et du foncier agricole, perte de compétitivité…), les professionnels appellent ainsi à une révision de la TVA, au report de l’impôt sur le revenu (IR) et sur les sociétés (IS) au-delà de la phase transitoire (voir encadré) et à d’autres mesures plus spécifiques.

Dans le détail, la Comader et la FCAM suggèrent ainsi de maintenir l’IS à 17,5% même au-delà de la phase de transition.

Sur le registre de l’IR, la profession appelle aussi à maintenir l’imposition à 20% au-delà de la phase de transition. Pour justifier ces reports, les professionnels avancent plusieurs raisons : les changements climatiques, la hausse des prix des produits agricoles, la faible hausse des revenus, l’affaiblissement du pouvoir d’achat des ménages et la sauvegarde de la compétitivité du secteur. Les deux fédérations estiment que le taux d’IS prévu dans le PLF 2014 est nettement supérieur à celui en vigueur dans des pays de la région. Elles citent à ce titre la Tunisie où l’IS agricole est à 10%, contre 30% pour les autres secteurs. Au niveau de la TVA, la note évoque un retour à l’exonération, tout en gardant le droit de

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déductibilité de la taxe pour le matériel agricole. Les deux corporations réclament aussi le maintien à 7% de la TVA sur les aliments pour bétail.

Dans leur document, la FCAM et la Comader proposent en outre l’exonération des aides aux investissements et à l’équipement dont bénéficient les exploitants agricoles dans le cadre du PMV. Pour les professionnels, il «n’est pas logique» d’accorder des aides aux agriculteurs pour augmenter la productivité et booster la compétitivité, et en même temps soumettre ces mêmes aides à l’impôt.

Une phase transitoire jusqu’en 2020

Pour rappel, le PLF 2014, dont la première partie sera votée en plénière ce dimanche, prévoit une période transitoire pour l’imposition du secteur agricole jusqu’au 31 décembre 2019, avec un IS à 17,5% et un IR à 20%. Ainsi, du premier janvier 2014 au 31 décembre 2015, les exploitants agricoles qui réalisent un CA inférieur à 35 millions de DH continueront d’être exonérés de l’IS et de l’IR. Du premier janvier 2016 au 31 décembre, l’exonération concernera les exploitants agricoles qui réalisent un CA inférieur à 20 millions de DH. Et du premier janvier 2018 au 31 décembre 2019, les exploitants qui justifient d'un CA inférieur à 10 millions de DH.

Les exploitations agricoles réalisant un chiffre d’affaires annuel inférieur à 5 millions de DH seront exonérées de l’IS au titre de leurs revenus agricoles.

Et lorsque le chiffre d’affaires réalisé au cours d’un exercice donné est inférieur à 5 millions de DH, l’exonération n’est accordée que lorsque ledit CA est resté inférieur à ce montant pendant 3 exercices consécutifs.

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Source: http://www.lematin.ma/journal/fiscalite_les-agriculteurs-jouent-leur-derniere-carte/191205.html

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Finance news, édition électronique du 14/11/2013 Fellah online : Barrage

Le Maroc peut être fier de sa politique des barrages lancée depuis l’indépendance et de manière renforcée sous le règne de feu Hassan II qui prescrivait à l’époque un ouvrage par an. Plus d’une centaine d’ouvrages existent déjà avec une capacité de 20 milliards de m3 et une vingtaine d’autres sont en projets. Un niveau qui est presque le double de celui de l’Algérie voisine qui, malgré ses ressources budgétaires, a relégué cette question au second plan. Il faut dire que la stratégie hydrique du Royaume a permis d’élargir le champ des périmètres irrigués à plus de 1,3 million d’hectares. Dès le départ, le programme a bénéficié de l’appui des bailleurs de fonds internationaux avec des conditions avantageuses en matière de taux d’intérêt et des délais de remboursement. Car, ces projets ont un impact majeur sur le développement socioéconomique du pays. Inutile de rappeler que le Maroc se situe dans une région semi- aride alternant les années humides aux saisons de sécheresse. Les barrages sont un moyen de maîtriser cet aléa. Outre l’approvisionnement en eau potable, les retenues d’eau assurent l’irrigation, la production de l’électricité et l’alimentation des nappes phréatiques. Malgré ces réalisations, la politique des barrages dans notre pays présente quelques défaillances. Les priorités géographiques dans l’édification des ouvrages posent quelques interrogations. Par exemple, faut-il privilégier la région du Souss, une zone agricole de premier plan dont la production est tournée vers l’export et où la pluviométrie est inférieure à la moyenne nationale, ou bien la région du Gharb où la menace des inondations est omniprésente ? Outre la réalisation d’un barrage, son entretien constitue un véritable casse-tête. A cause de l’érosion et de l’envasement, les ouvrages réalisés, il y a quelques décennies, ont vu leur capacité de stockage diminuer sensiblement. Alors que ce phénomène est presque inexistant dans d’autres contrées. Et pour cause, il n’y a pas eu de mesures d’accompagnement comme le reboisement de l’environnement avoisinant. Sur le plan économique, l’Etat ne profite pas de ces lacs artificiels pour créer des activités aux alentours. Mis à part le barrage Lalla Takerkoust, aux environs de Marrakech, et plus ou moins celui de Bine El Ouidane, dans la région de Béni Mellal, où il y a des offres touristiques à travers des hôtels, des restaurants, des lieux de loisir, les autres sites restent vierges et peu exploités. Certes, sur le plan écologique, c’est une bonne chose du fait que l’absence de l’exploitation humaine préserve la nature. Mais s’il y a une offre contrôlée, elle peut créer de l’emploi, générer de l’investissement et de la valeur ajoutée, surtout dans les régions démunies avec le moins de dégâts collatéraux. Source : http://www.financenews.press.ma/Environnement/fellah-online-

barrage.html

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Les Eco, édition électronique du 14/11/2013

Agriculture: on attend la pluie !

«L'état d'esprit des agriculteurs est affecté, mais techniquement la situation n'est pas encore alarmante. Il y a encore de l'espoir». Mohamed Saïdi, directeur général de la Confédération marocaine de l'agriculture et du développement rural (Comader) fait ainsi le point sur le moral des agriculteurs, dans ce contexte de «retard des pluies» depuis le lancement de la campagne agricole fin septembre dernier. Contrairement à la saison précédente, celle-ci n'a pas encore été vraiment arrosée en pluies précoces, alors que le mois de novembre entre déjà dans sa deuxième moitié.

Plus de détails dans votre numéro des ECO en kiosques aujourd'hui.

Source : http://www.leseco.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=15965

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Les Eco, édition électronique du 14/11/2013

Taroudant s'apprête à lancer son salon de l'élevage bovin

Lancer un salon de l'élevage bovin. L'événement qui est organisé par la coopérative agricole «COPAG», en partenariat avec la province de Taroudant, se tiendra du 20 au 23 novembre 2013. Etalée sur une aire d'exposition de 10.000 m2, cette édition, placée sur le thème : «Carrefour de l'élevage bovin» constitue aux yeux de la profession un instrument servant à mesurer le niveau d'avancement obtenu dans le cadre des programmes de développement propres à la filière bovine. À cet égard, le salon sera un carrefour de rencontres où se côtoieront éleveurs, fournisseurs et distributeurs en agrofournitures et génétique, pour s'enquérir des dernières innovations. En effet, un public estimé à 20.000 visiteurs est attendu à cette manifestation économique et un total de 100 exposants représenteront les différents maillons de la filière.

Source : http://www.leseco.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=15961

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Ecofin Agro ,édition électroique du 14/11/2013

Maroc : le retard des pluies n’inquiète pas les autorités qui prennent leurs précautions

(Agence Ecofin) - Le ministère marocain de l’agriculture reste serein malgré le retard affiché par les pluies. Celles-ci, en effet, seraient bloquées par un anticyclone, d’après la direction météorologique nationale (DMN). «L’anticyclone des Açores qui couvre presque toute la Méditerranée bloque les pluies dans le Nord de la France et les îles britanniques ; lorsqu’il s’affaiblira, les perturbations passeront. Ce n’est pas une situation inquiétante pour le moment» affirme Lhoucine Youabd, chef de service de communication de la direction.

Du côté du ministère, on rappelle que la faible pluviométrie n’est pas forcément synonyme de mauvaises récoltes : «sur les 25 dernières années, 11 campagnes agricoles ont connu de faibles précipitations (moins de 40 mm), ce qui n’a pas empêché les bonnes récoltes» affirme le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch (photo).

En attendant les pluies, les officiels prennent leurs précautions et justifient leur optimisme. Ainsi 380 000 tonnes d’engrais phosphatiques, soit 27 000 tonnes de plus que la campagne précédente, seront utilisé pour contrer un éventuel impact négatif. Les semences sélectionnées, mise à la disposition des agriculteurs ont connu une augmentation de 25%. En outre, 17 nouvelles variétés arboricoles seront partiellement ou entièrement subventionnées par l’Etat.

Source : http://www.agenceecofin.com/gestion-publique/1411-15102-maroc-le-retard-des-pluies-n-inquiete-pas-les-autorites-qui-prennent-leurs-precautions

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Medias 24, édition électronique du 14/11/2103

L'absence de pluies annonce une campagne agricole tardive

Par Najat Sghyar

Ph. DR

Si les pluies tardent encore à arriver en cette mi-novembre, les prévisions pour la campagne agricole 2013/2014 demeurent optimistes. Le Maroc a déjà connu des campagnes tardives exceptionnelles.

Au 8 novembre, la pluviométrie depuis le début de la saison n’a pas dépassé les 27 mm contre 160 mm lors de la campagne agricole précédente.

Pour Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture, il ne s’agit pas d’un cas exceptionnel. Lors de son discours du 12 novembre au parlement, il explique que «sur les 25 dernières années, 11 campagnes agricoles ont connu de faibles précipitations (moins de 40 mm), ce qui n’a pas empêché les bonnes récoltes».

C’est le cas de la campagne agricole 1990-1991 qui a enregistré 81 millions de quintaux avec seulement 37 mm de pluies à fin octobre, ou encore celle de 1995/1996 avec 97 millions de quintaux pour 24 mm de précipitations au cours de la même période.

Les surfaces labourées jusqu’ici sont également inférieures à celles de la campagne précédente: 1,5 million d’hectares contre 2,3 millions. Seulement 60.000 hectares ont été plantés, contre 500.000 hectares l’année dernière. Rien d’alarmant pour le ministère: les petits agriculteurs attendent toujours les premières pluies pour semer et de toutes les façons, les pluies de novembre et décembre sont les plus déterminantes sur les semailles.

Un anticyclone bloque l'arrivée des pluies

La direction météorologique nationale (DMN) dresse un bilan tout aussi rassurant: «L’anticyclone des Açores qui couvre presque toute la Méditerranée bloque les pluies

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dans le Nord de la France et les îles britanniques ; lorsqu’il s’affaiblira, les perturbations passeront. Ce n’est pas une situation inquiétante pour le moment», assure Lhoucine Youabd, chef de service de communication à la DMN.

Pour contrer ce retard, le Ministère mise sur les engrais: 380.000 tonnes d’engrais phosphatiques ont été distribués, contre 353.000 l’année dernière. Il a également mis à disposition 2 millions de quintaux de semences sélectionnées, soit 25% de plus qu’en 2012. En outre, l’Etat subventionne 17 nouvelles variétés arboricoles à hauteur de 60 à 100% de leur prix d’acquisition, et renforce son soutien aux semences monogermes avec des subventions de 700 DH/l’unité pour la betterave sucrière et 6000 DH/ha pour la canne à sucre.

Si le bilan n’est pas catastrophique, il faut tout de même noter une baisse des températures à venir: selon la direction météorologique nationale, la région de l’Oriental et le Moyen Atlas perdront 5 degrés, et une baisse de 3 degrés sera enregistrée sur les plaines atlantiques au cours des prochains jours.

Source : http://www.medias24.com/ECONOMIE/ECONOMIE/6191-L-absence-de-pluies-annonce-une-campagne-agricole-tardive.html

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Les Eco, édition électronique du 13/11/2013

Le safran cherche des marchés plus rémunérateurs Yassine SABER Alors que les safranières de Taliouine et Tazenaght étaient menacées il y a quelques années par la sécheresse, leur réhabilitation n'a été possible qu'une fois la pénurie d'eau prise en considération. À cet égard, l'état d'avancement du projet de développement de la filière du safran, qui a pour objectif la reconversion de 1.350 ha en goutte à goutte, a atteint les 85%. Grâce aux subventions dédiées aux parcelles reconverties, les superficies équipées en irrigation localisée sont passé de 93 ha en 2010 à 2.305 ha avec le forage et l'équipement de 8 puits d'eau. S'agissant du programme d'extension de la superficie cultivée du safran, il a atteint 1.176 ha (87%). Le montant global réservé au développement de la filière dans le cadre du plan agricole régional au niveau de Taliouine et Tazenaght frôle les 146 MDH. Quant aux résultats attendus à l'horizon 2015, ils portent sur la réalisation d'une économie d'eau de l'ordre de 55% et l'augmentation du rendement par hectare de 2,5 à 6,5 kg. «Après la visite royale en 2011, la productivité a évolué de 2.5 kg à près de 5.5 kg/ha, tandis que la superficie cultivée est passée de 500 à plus de 2.200 ha complètement équipés en goutte à goutte», souligne Aziz Akhannouch, ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, à l'occasion de l'ouverture du Festival du safran en fin de semaine dernière à Taliouine. L'évènement a été marqué par le lancement du projet d'équipement de 100 ha (soit 301 exploitations gérées par l'association Imadidne pour le développement de la production du safran) en système d'irrigation localisée à la commune Sidi Hssein. Le projet se décline en quatre tranches avec le forage de 4 puits, l'installation de 2 bassins d'eau en plus de la distribution de 300 tonnes de bulbes de safran et un appui technique afférent au séchage du safran. Dans la même commune, le ministre de tutelle a visité la plus grande safranière (5 ha) de la société 1.2.3 Safran, créée en avril 2011 et certifiée Ecocert et AOP. L'exploitation abrite un projet de recherche lancé en octobre 2012. Celui-ci est relatif à l'optimisation de l'irrigation localisée et l'amélioration de la culture du safran par les biofertilisants bactériens dans le périmètre agricole de Talakhte. Ce dernier dispose d'une superficie de 260 ha équipée en irrigation localisée et une autre plantée à hauteur de 120 ha. La production prévue de ce périmètre est estimée à 800 kg. Aujourd'hui, grâce aux efforts consentis, le prix de vente est passé de 10 DH/g en 2000 à 35 DH/g actuellement. Difficultés d'accès aux marchés européens Toutefois, la filière est toujours confrontée au problème de l'informel. Selon les chiffres avancés, ce circuit commercialise près des 2/3 de la production dans les 7 souks de la région et dans les villages (moyenne de 12.000 DH/kg). Selon un rapport provisoire sur la filière du safran récemment réalisé par l'ONG Migration et développement, la

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commercialisation et l'accès au marché à un prix plus rémunérateur demeure la problématique de la filière. Le marché le plus intéressant pour les producteurs, qui est le marché européen du bio-équitable, est à peine marqué par la production de quelques dizaines de kg par an. De plus, la demande émane pour le moment d'un seul acheteur, le réseau italien CTM Altermercato, spécialisé dans le commerce équitable. La certification Bio ne touche dans ce sens qu'un nombre limité de coopératives et de producteurs. Quant à la certification commerce équitable, aucune coopérative n'en dispose pour le moment. S'agissant de la question de l'organisation, même si le nombre de coopératives avoisine les 40, leur degré d'organisation reste encore faible. L'Association des producteurs de safran créée en 2007 à Taliouine ne regroupe que 21 producteurs, soit près d'1% des producteurs de safran. C'est pourtant elle, en particulier, qui représente les producteurs au sein de la Fédération interprofessionnelle marocaine du safran (Fimasafran). Parmi les recommandations de l'étude figure l'adaptation de la stratégie de développement du safran au changement climatique. En effet, ce changement induira des températures globalement plus élevées et des sécheresses drastiques durant les années à venir. De plus, l'étude préconise la mise en place d'un fonds de roulement pour les coopératives afin que celles-ci soient moins dépendantes des intermédiaires au moment de la récolte. De plus, la question du renforcement de la formation des producteurs se pose avec acuité pour l'amélioration de la qualité. En 2012, huit sessions ont été initiées en collaboration avec l'ORMVA dans les différentes zones de production, juste avant la récolte. Elles ont permis la formation de 480 producteurs, dont 128 femmes, en termes d'hygiène et de conditionnement.. Source : http://www.leseco.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=15976

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 13/11/2013 Guercif: plus de 124 millions DH pour la valorisation des filières productives

Le Plan Maroc vert prévoit une enveloppe de 124 millions de dirhams pour le développement et la mise en valeur des filières productives de la région en vue d'en faire un pôle agricole par excellence. Le plan Maroc vert a prévu un budget de plus de 124 millions de dirhams (MDH) pour la valorisation des filières productives dans la province de Guercif, selon la délégation provinciale de l’agriculture de Taza. Le plan a programmé un ensemble de projets agricoles à Guercif pour le développement et la mise en valeur des filières productives dans la province en vue d’en faire un pôle agricole par excellence dans la région, indique un document de la délégation. Parmi ces projets figure la valorisation de l’olivier sur une superficie de 2.500 ha dans les communes de Haouara Ouled Rehou, Tadarte, Sebab et Ras Laksar. Ce projet, dont le coût est estimé à 19,654 MDH, vise à préserver la culture de l’olivier sur une superficie de 2.250 ha durant les cinq prochaines années, la plantation de l’olivier sur 250 ha, outre le renforcement du soutien et l’encadrement technique au profit de 2.400 agriculteurs regroupés au sein de 18 organisations professionnelles et la création de deux unités de valorisation de l’olivier à partir de la deuxième année de lancement du projet. Ce projet a pour objectifs en particulier d’améliorer la productivité, qui doit passer de 2,5 à 5 tonnes par hectare, augmenter le rendement de l’agriculteur de 9.170 DH à 20.416 DH, ainsi que l’augmentation de la valeur ajoutée de 8.800 DH à 19.600 DH/l’hectare et la création de 150.000 journées de travail à l’horizon 2015. Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/24-heures/guercif-plus-de-124-millions-dh-pour-la-valorisation-des-filieres-productives-106151.html

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 13/11/2013

OCP: des actions qui collent bien avec le PMV

La caravane "céréales et légumineuses 2013" de l'Office chérifien des phosphates poursuit son bonhomme de chemin et a fait escale lundi dernier dans la commune rurale de Larbaâ Ayacha, dans la province de Larache.

L’Office chérifien des phosphates (OCP) poursuit sa caravane entamée le 1er octobre dernier. En effet, la caravane «Céréales et Légumineuses 2013» sillonne actuellement le Royaume dans le but de promouvoir l’utilisation rationnelle des engrais. Aussi, destinée aux cultivateurs de céréales et légumineuses, cette initiative vise à favoriser l’émergence d’une agriculture moderne, performante et durable.

C’est dans ce sillage qu’initiée par l’OCP et la Fondation OCP, en partenariat avec le ministère de l’agriculture et de la pêche maritime et les principaux distributeurs d’engrais OCP, la caravane a fait sa 8ème escale lundi dernier dans la commune rurale de Larbaâ Ayacha, dans la province de Larache. Elle doit se rendre prochainement à Sidi Kacem, Moulay Yaâcoub, Taza et Berkane et ambitionne ainsi de se rapprocher des petits agriculteurs et de mieux comprendre leurs besoins, afin de leur proposer les produits les plus adaptés à leurs sols, dans le but d’assurer une fertilisation raisonnée dans les petites exploitations agricoles, un partage d’expérience et de savoir-faire concernant les nouvelles formules d’engrais et leur adaptabilité au marché local et une meilleure utilisation et mise à profit des données de la carte de fertilité des sols, élaborée par le département de tutelle.

À ce titre, dans une déclaration à la presse à cette occasion, le directeur des ventes au marché local à OCP, Mohamed Benzekri, a souligné que cette caravane illustre la

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solidarité de l’Office et de la Fondation OCP avec l’agriculture nationale et les petits agriculteurs marocains, traduisant leur engagement envers le monde agricole national et leur adhésion effective à la mise en œuvre du Plan Maroc Vert. De son côté, Youssef Sadki, responsable à l’Office national de consultation agricole (ONCA), a indiqué que cette caravane s’inscrit en harmonie avec la stratégie du ministère de l’agriculture visant à encourager les petits agriculteurs à utiliser les intrants d’une façon adéquate afin d’améliorer la productivité et augmenter ainsi leurs revenus.

Le Maroc accuse encore un retard important en matière d’utilisation des fertilisants, a-t-il affirmé, notant que le nombre d’unités d’engrais utilisées par hectare au Maroc ne dépasse pas 40, contre 300 en France. Il a aussi relevé que les céréales, qui occupent 70% des terres cultivées, ne consomment que 40% de la quantité globale des fertilisants utilisés au Maroc, une proportion qui doit être augmentée pour réaliser les objectifs du Plan Maroc Vert.

Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/24-heures/ocp-des-actions-qui-collent-bien-avec-le-pmv-106148.html

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L’Economiste, édition électronique du 13/11/2013

Le plan Maroc Vert cherche investisseurs

• Objectif de la participation au SIAL d’Abu Dhabi

• Dans le pipe aussi, la promotion des produits du terroir 10 milliards de dollars. C’est le montant des investissements requis par la stratégie agricole d’ici à l’horizon 2020. Le chiffre a été tout récemment dévoilé par le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch. D’où la mobilisation de l’Agence de développement de l’agriculture, organisme en charge du pilotage du plan Maroc Vert. C’est pour drainer les investisseurs potentiels ou susciter des partenariats avec les opérateurs nationaux que l’Agence organise la participation marocaine au SIAL d’Abu Dhabi. Un évènement dédié à l’agroalimentaire et à la restauration. Prévue du 24 au 26 novembre, la manifestation rassemble tous les deux ans un millier d’exposants et attire 10.000 visiteurs professionnels. La délégation marocaine se compose d’investisseurs et d’experts à même de vendre au mieux l’offre en termes de projets et de mesures incitatives déployées dans le cadre de la stratégie agricole. A titre d’illustration, le montant des aides financières accordées par l’Etat s’est chiffré à près de 1,6 milliard de DH en 2009 pour atteindre 2,8 milliards en 2013. Le cumul sur la période 2008-2012 a permis de mobiliser un investissement global de 30 milliards de DH. Pour maintenir, voire renforcer la dynamique, il y a donc besoin de rechercher de nouveaux partenaires. «Et le Salon international de l’alimentaire du Moyen-Orient est tout indiqué pour démarcher les profils appropriés», commente une source proche du dossier. C’est aussi un lieu privilégié pour la rencontre de grands acheteurs mondiaux. A cet effet, le pavillon marocain, qui s’étend sur 258 m2, devrait accueillir une vingtaine d’entreprises et de coopératives. Elles représentent pour l’essentiel les produits de terroir et l’agriculture biologique. A l’amont, ces opérateurs ont déjà bénéficié de l’assistance marketing et commerciale pour mieux positionner leurs produits. Depuis son lancement en 2010, l’événement, qui est une délocalisation du SIAL de Paris, connaît un succès croissant. En 2012, il a accueilli 12.600 visiteurs, 19 pavillons nationaux et 522 exposants venant de 51 pays. L’événement a eu, par ailleurs, d’importantes retombées pour les participants. Environ, 40% parmi eux disent avoir concrétisé des affaires. Le programme 2013 est particulièrement riche. Plusieurs conférences et plateformes interactives seront animées par des experts internationaux. En parallèle, un concours international de cuisine, «La Cuisine by SIAL», mettra en

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compétition près de 600 chefs. Le concours «SIAL Innovation Observatory» récompensera, quant à lui, les produits les plus innovants. Enfin, un important programme de rencontre B to B sera également mis en place: le «SIAL Purchaser Club» permettra aux exposants de rencontrer près de 500 acheteurs internationaux.

Pilotage L’AGENCE pour le développement agricole (ADA) a été créée en février 2009, quelques mois après le lancement officiel du plan Maroc Vert. Placée sous tutelle du ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime, l’Agence assure la maîtrise d’œuvre et le pilotage de la stratégie agricole. Elle a aussi pour mission de stimuler les investissements et de promouvoir une agriculture à la fois compétitive, durable et solidaire. L’ADA est organisée en cinq directions : agrégation et partenariat, ingénierie des projets, gestion des projets, développement des produits du terroir et fonctions supports. Cette organisation a été choisie afin d’accompagner efficacement les projets agricoles et agro-industriels à chaque étape de leur évolution. A. G. - See more at: http://www.leconomiste.com/article/912804-le-plan-maroc-vert-cherche-investisseurs#sthash.2L6Nbph0.dpuf Source: http://www.leconomiste.com/article/912804-le-plan-maroc-vert-cherche-investisseurs

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Medias 24, édition électronique du 12/11/2103

Oléiculture : les surfaces progressent mais l’huile manque de compétitivité Par Ilham Mountaj

La filière oléicole marocaine poursuit son développement avec près d’un million d’hectares plantés d’oliviers, mais les exportations d’huile sont encore limitées. L’huile d’olive du Maroc est peu compétitive par rapport celle produite par les pays concurrents. Le ministère de l’Agriculture vient de diffuser les chiffres concernant la filière de l’olivier au Maroc. A fin septembre, le Maroc compte 933.475 ha en 2013 contre 736.000 ha en 2007. Cette expansion géographique est le fruit de la mise en œuvre du Plan Maroc Vert qui fixe comme objectif l’atteinte de 1,2 million d’ha de superficie plantée d’ici 2020. Des montagnes aux zones arides et sahariennes, l’olivier est la principale espèce fruitière plantée au Maroc. Sa vocation est économique et sociale. Malgré les orientations stratégiques pour le développement de la filière visant à diversifier le verger national en faisant de la menara et la haouzia les variétés les plus plantées, 96% de la superficie actuelle est réservée à la picholine. La filière oléicole représente 5% du PIB agricole et 15% des exportations agroalimentaires. Une consommation locale très faible En termes de production, la filière oléicole a connu une nette croissance entre 2007 et 2013 passant de 765.377 tonnes à 1,3 million de tonnes en 2013, avec un pic de 1,5 million de tonnes en 2010.

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75% de cette production est destinée à la production d’huile d’olive, principalement, pour le marché national. Elle répond, en effet, à 16% des besoins de la consommation des huiles alimentaires. 25% de la production est destinée à l’export, notamment les olives de tables. Même si l’huile d’olive est un des aliments les plus populaires et répandues chez les Marocains, sa consommation demeure, toutefois, très faible par rapport aux autres pays du contour méditerranéen. Ainsi, en 2012, le Grec a consommé 26,4kg, l’Espagnol 15,8kg, l’Italien 12,8kg et le Marocain 2,5kg seulement ! Le défi aujourd’hui est de convertir une partie de la consommation de l’huile végétale en huile d’olive, chose qui reste très tributaire à la baisse des prix de ce dernier. Des prix qui ont fortement augmenté ces dernières années. Ainsi, si le prix du litre en vrac se situait entre 25 et 30 DH, en 2013, par exemple, il a grimpé jusqu’à 40 DH en moyenne et a même 50 DH dans certaines régions. Une qualité à revoir Autre contrainte, l’analyse de la filière montre que la qualité d’huile d’olive extraite au Maroc demeure faible. Ceci est certainement dû à l’absence de contrôle qualité au niveau des unités de production, notamment dans les unités traditionnelles, appelé les maâsara. Face à ce constat, l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), en partenariat avec les directions régionales de l’agriculture contribue à l’organisation de concours à la qualité à l’échelle régionale et nationale. Le concours à la qualité est le moyen privilégié pour fonder une vraie notoriété pour les huiles d’olive marocaine et un appui pour une reconnaissance à l’échelle nationale et internationale. Des exportations encore limitées Pour le moment, les exportations marocaines restent concentrées sur deux principaux marchés : l’Union européenne et les Etats-Unis. Brute ou raffinée, les exportations ont chuté au titre de la saison 2012 s’établissant ainsi à 15.640 t contre 38.172 t en 2011. Près d’un tiers de ce volume est constitué d’huile d’olive extra vierge. Entre 2010 et 2011, la conjoncture internationale du marché de l’huile d’olive est marquée par l’agressivité de certains producteurs espagnols qui ont mis sur le marché une grande partie de leur production pour réduire les coûts de stockage. D’autres producteurs mondiaux, comme les Etats-Unis, ont considérablement augmenté leurs volumes de production conduisant ainsi à une chute des cours mondiaux de l’huile d’olive en pleine période d’exportation.

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Ainsi, le prix de l’huile d’olive à l’international était de 18 DH le kilo contre 25 DH sur le marché local! En termes d’importations, l’Espagne, la France et la Tunisie sont les principaux fournisseurs du marché national avec 3.500 t courant 2012. Les volumes des importations ont beaucoup reculé entre 2010 et 2012 par rapport à 2009. A l’international, la production mondiale de la campagne actuelle (2012-2013) est inférieure de 26% à celle de 2011-2012 où elle avait atteint un pic historique de 3.377.500 t. Derrière cette chute, une baisse de production de 62% en Espagne par rapport à la campagne précédente. Le voisin du nord est, rappelons-le, le principal producteur de l’UE avec 62% de la production globale de l’UE. Source : http://www.medias24.com/ECONOMIE/ECONOMIE/6109-Oleiculture-les-surfaces-progressent-mais-l-huile-manque-de-competitivite.html

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Agriculture Maroc, édition élecrtonique du 12/12/2013 Atelier sous régional Suivi des effets des pesticides sur la santé humaine et l’environnement Atelier sous régional ” Suivi des effets des pesticides sur la santé humaine et l’environnement “ Dans le cadre du programme FAO régional de lutte intégrée contre les organismes nuisibles au Proche Orient (GTFS/ REM/070/ITA), visant la formation et le renforcement des capacités des petits agriculteurs par l’approche participative « Champs Ecoles Agriculteurs » pour une meilleure gestion de la protection des cultures et en collaboration avec le Secrétariat de la Convention de Rotterdam, un atelier sous régional sous le thème : Suivi des effets des pesticides sur la santé humaine et sur l’environnement aura lieu à Marrakech, du 11 au 13 novembre 2013 . 20 participants des autorités nationales désignées de la Convention de Rotterdam et animateurs des Ecoles aux Champs des producteurs (CEP) au Maroc, Algérie et Tunisie prennent part à cet atelier. L’objectif est de développer une stratégie dans ces pays pour le suivi des effets des pesticides sur la santé humaine et l’environnement en impliquant les champs écoles agriculteurs dans la collecte des données et la sensibilisation sur le danger des pesticides. Ceci pour contribuer à l’application de l’article 6 de la Convention de Rotterdam relatif à l’identification et la proposition de préparations pesticides extrêmement dangereuses. Source : http://www.marocagriculture.com/atelier-sous-regional-suivi-des-effets-des-pesticides-sur-la-sante-humaine-et-lenvironnement.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+MarocAgri+%28Maroc+Agriculture%29

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Aufait Maroc, édition électronique du 12/12/2013 “Céréales et Légumineuses 2013” : La caravane de l'OCP fait escale à Larache La caravane “Céréales et Légumineuses 2013” est organisée par l'Office chérifien des phosphates (OCP) et la Fondation OCP, en partenariat avec le ministère de l'Agriculture et de la pêche maritime. /DR La caravane “Céréales et Légumineuses 2013”, destinée à promouvoir l'utilisation rationnelle des engrais à l'échelle nationale et favoriser l'émergence d'une agriculture moderne, performante et durable, a fait escale lundi à la commune rurale de Larbaâ Ayacha, dans la province de Larache. Organisée par l'Office chérifien des phosphates (OCP) et la Fondation OCP, en partenariat avec le ministère de l'Agriculture et de la pêche maritime ainsi que les principaux distributeurs d'engrais OCP, cette caravane s'inscrit dans le prolongement des premières caravanes lancées depuis octobre 2012. L'escale à Larbaâ Ayacha est la 8e de cette caravane, qui doit sillonner prochainement Sidi Kacem, Moulay Yaâcoub, Taza et Berkane. Elle ambitionne de se rapprocher des petits agriculteurs et de mieux comprendre leurs besoins, afin de leur proposer les produits les plus adaptés à leurs sols. Pour Youssef Sadki, responsable à l'Office national de consultation agricole (ONCA), cette caravane s'inscrit en harmonie avec la stratégie du ministère de l'Agriculture visant à encourager les petits agriculteurs à utiliser les intrants d'une façon adéquate, afin d'améliorer la productivité et augmenter ainsi leurs revenus. Le Maroc accuse encore un retard important en matière d'utilisation des fertilisants, a-t-il affirmé, notant que le nombre d'unités d'engrais utilisées par hectare au Maroc ne dépasse pas 40, contre 80 en Espagne, 160 en Italie et 300 en France. Il a aussi relevé que les céréales, qui occupent 70% des terres cultivées, ne consomment que 40% de la quantité globale des fertilisants utilisés au Maroc. Une proportion qui doit être augmentée pour réaliser les objectifs du Plan Maroc Vert. aufait/MAP Source http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2013/11/12/la-caravane-de-locp-fait-escale-a-larache_216431.html#.UoTmRid9ASk

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 12/11/2013

Le Maroc promeut ses produits du terroir à Abu Dhabi

L’Agence pour le développement agricole (ADA) prendra part au Salon SIAL Middle East du 24 au 26 novembre avec pour objectif de développer de nouvelles relations commerciales avec le Moyen-Orient et un mot d’ordre...

C’est à Abu Dhabi que l’Agence pour le développement agricole (ADA) fera escale. La mission étant de prendre part au Salon SIAL Middle East prévu du 24 au 26 novembre. Une occasion, par ailleurs, de développer des relations commerciales avec les importateurs et acheteurs internationaux particulièrement ceux issus du Moyen-Orient. La participation du Maroc au Sial Middle East confirme donc la position du Royaume de promouvoir à l’international ses produits agricoles nationaux.

La présence du Maroc à un tel événement ne passera pas inaperçue, puisque tout un pavillon sera dédié au Royaume où une vingtaine d’entreprises et coopératives agricoles marocaines présenteront leurs produits agricoles plus précisément du terroir. «Les produits du terroir constituent en effet un volet important du Plan Maroc Vert, représentant une solution viable et durable pour le développement de la petite agriculture, notamment dans les régions les plus défavorisées du Royaume», explique l’Agence de développement agricole dans sa dernière communication.

Et de préciser que «la présence du Maroc au SIAL Middle East s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement des produits du terroir élaborée par le ministère de l’agriculture et de la pêche maritime afin de mettre à niveau la production et valoriser l’ensemble de la filière». Sur une superficie de 258 m2, le pavillon marocain comportera deux espaces répartis entre démonstration et dégustation, accueillant ainsi les stands des exposants et un espace B to B. L’accent sera mis en particulier sur les produits du terroir tels que l’huile d’argan, l’huile d’olive ou les dattes, ainsi que sur l’agriculture durable, à savoir la production biologique et l’agriculture raisonnée.

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L’animation sera au rendez-vous, en l’occurrence les ateliers culinaires et dégustations. Notons que la délégation marocaine comptera des investisseurs, des experts marocains ainsi que des opérateurs et des coopératives agricoles marocaines qui ont bénéficié d’un accompagnement sur le plan marketing et commercial afin de les aider à mettre en valeur leurs produits. Rappelons que depuis son lancement en 2010, le SIAL Middle East connaît un important rayonnement. Au programme cette année, la tenue du concours international de cuisine.

Baptisé «La cuisine by SIAL», ce concours mettra en compétition près de 600 chefs. En outre, le concours «SIAL Innovation observatory» consacrera les produits innovants. L’édition 2013 connaîtra par ailleurs la mise en place du programme «SIAL Purchaser Club», permettant aux exposants de rencontrer près de 500 acheteurs internationaux. Si pour l’édition 2013 le salon table sur la participation de 1.000 exposants et plus de 10.000 visiteurs, le SIAL a accueilli en 2012 plus de 12.630 visiteurs, 522 exposants issus de 51 pays ayant présenté leurs produits dans 19 pavillons nationaux et dont 38% d’entre eux ont signé des contrats en marge de l’événement.

Kawtar Tali

Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/economie/le-maroc-promeut-ses-produits-du-terroir-a-abu-dhabi-106130.html

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Libération, édition électronique du 12/11/2013

Renchérissement du gasoil et envol des prix des intrants menacent la saison agricole Les charges des agriculteurs deviennent intenables

Pas une goutte de pluie à l’horizon ! Le soleil et un temps sec seront certes de la partie durant les prochains jours, mais les agriculteurs estiment néanmoins que la situation est loin d’être dramatique.

« Il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Le cycle agricole est à ses débuts et le retard des pluies enregistré ne pose aucun problème », nous a assuré Ahmed, un agriculteur d’El Jadida. Une confiance exprimée également par Abdellatif Hmadas, agriculteur de la région d’Abda-Doukala qui estime qui cette absence de précipitations n’aura aucun impact négatif sur la saison agricole. « La situation pourrait devenir préoccupante à partir de février. Mais, actuellement, elle pose plutôt problème aux éleveurs de bétail qui endurent ces jours-ci l’augmentation des prix des aliments pour bétail faute de pluies. En effet, ces derniers ont vu leurs prix s’envoler. C’est le cas par exemple à Abda où le prix du fourrage est passé de 95 à 110 DH en quatre jours », nous a-t-il précisé.

Pourtant, notre source pense que la vraie inquiétude est ailleurs. Elle tient aux conditions qui ont accompagné le lancement de la saison agricole. En effet, les agriculteurs se trouvent confrontés à l’envolée des prix des semences sélectionnées et des autres intrants (engrais, pesticides, carburant, etc).

« La saison s’annonce pénible vu les lourdes charges qu’on doit supporter», nous a affirmé notre source. Même appréciation de cet autre agriculteur du Sud qui estime que tous les indices augurent d’une campagne agricole difficile.

« Les semences et les autres intrants sont de plus en plus chers. Leurs prix sont supérieurs de 30 à 40% au prix initial», nous a expliqué Abdellatif Hmadas. « Le phosphate est écoulé aujourd’hui entre 270 et 300 DH », a-t-il noté. Un prix jugé

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inacceptable surtout que le Maroc en est un pays producteur. Même constat au niveau des semences et des engrais. « Ils ont atteint des sommets. En effet, les semences ont été écoulées entre 330 DH/quintal et 350 DH. De même pour les engrais qui ont été cédés pour des prix allant de 200 à 220 DH le quintal », nous a précisé notre source.

Mais, il n’y a pas que l’envol des prix de ces produits essentiels pour toute opération de labour qui est déploré par certains agriculteurs. L’augmentation des prix des carburants a été aussi pointée du doigt. « Le renchérissement des prix des carburants nous a beaucoup impactés. Il a eu des répercussions directes sur la main-d’œuvre et sur les travaux des champs », nous a expliqué notre source avant de poursuivre : « Auparavant, le travail d’un champ de trois hectares revenait à 450 DH de carburant pour le labourage. Aujourd’hui, il faut compter 800 DH. Des effets qu’on a sentis au niveau des prix affichés par les propriétaires de tracteurs qui ont augmenté leurs prestations de 25 DH pour chaque hectare».

Une flambée des prix qui ne semble pas la bienvenue puisqu’elle pèse lourdement sur les charges en ces temps où la production ne suffit plus à amortir les investissements. « Les charges sont devenues de plus en plus lourdes à assumer à tel point que nombreux sont les agriculteurs qui ont changé d’activité en devenant éleveurs de bétail », nous a confié Abdellatif Hmadas qui demeure, pourtant, confiant. « On espère que l’arrivée des pluies changera la donne », a-t-il conclu.

Hassan Bentaleb

Source : http://www.libe.ma/_a43910.html?print=1

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Albayane, édition électronique du 12/11/2013

Huile d’olives : une denrée mal triturée

Écrit par La Rédaction

La filière oléicole confrontée aux défis de la compétitivité

L'olivier constitue la principale espèce fruitière plantée au Maroc. Cette culture occupe la plus grande partie de la superficie arboricole nationale en raison de ses capacités d'adaptation à tous les étages bioclimatiques, allant des zones de montagne aux zones arides et sahariennes. La superficie consacrée aux oliviers a connu une progression rapide en passant de 763.000 ha en 2007/2008 à 933.475 ha en 2012/2013. Elle assure, de ce fait, des fonctions multiples de lutte contre l'érosion, de valorisation des terres agricoles et de fixation des populations dans les zones marginales.

L'olivier constitue la principale espèce fruitière plantée au Maroc. Cette culture occupe la plus grande partie de la superficie arboricole nationale en raison de ses capacités d'adaptation à tous les étages bioclimatiques, allant des zones de montagne aux zones arides et sahariennes. La superficie consacrée aux oliviers a connu une progression rapide en passant de 763.000 ha en 2007/2008 à 933.475 ha en 2012/2013. Elle assure, de ce fait, des fonctions multiples de lutte contre l'érosion, de valorisation des terres agricoles et de fixation des populations dans les zones marginales.

L'olivier occupe la plus grande partie de la superficie arboricole nationale en raison de ses capacités d'adaptation à tous les étages bioclimatiques, allant des zones de montagne aux zones arides et sahariennes.

1 millions de tonnes d’huile en 2012/2013

En termes de production, la filière a connu un développement remarquable, grâce à la mise en œuvre du plan oléicole national, en passant de 765.377 tonnes en 2007 à 1,14 million de tonnes en 2012 avec un pic de 1,5 million de tonnes en 2009.

Cependant, on note une baisse de 15% lors de la saison 2012/2013 du fait des conditions climatiques défavorables de 2012 notamment le retard de pluies au mois de mars (initiation florale) et les fortes chaleurs de mai et juin coïncidant avec la période de nouaison.

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Depuis 2010/2011, la conjoncture internationale du marché de l’huile d’olive est marquée par l’agressivité de certains producteurs espagnols qui ont mis sur le marché une grande partie de leur production pour réduire les coûts de stockage. D’autres producteurs mondiaux, comme les Etats-Unis, ont considérablement augmenté leurs volumes de production conduisant ainsi à une chute des cours mondiaux de l’huile d’olive en pleine période d’exportation. Ainsi, le prix de l’huile d’olive à l’international était de 18 DH le kilo contre 25 DH sur le marché local

Ceci, cumulé à des conditions climatiques difficiles, avait provoqué une baisse des exportations marocaines d’huile d'olive, brute ou raffinée, en 2010/2011.

Depuis lors, les exportations d’huile d’olive sont restées relativement stables, s’établissant aux alentours de 10.500 tonnes.

En termes de destination, les exportations d’huile d’olive marocaine, sous forme brute ou raffinée, restent concentrées sur deux principaux marchés à savoir l’Union Européenne et les Etats-Unis.

Pour la saison 2013/2014, la baisse de près de 25% des stocks du principal producteur et exportateur (Espagne) par rapport à la moyenne des quatre dernières campagnes offre de bonnes opportunités d’exportation de l’huile d’olive marocaine et des prix rémunérateurs pour les producteurs des olives sur le marché national.

Le Maroc, 6e producteur mondial

Déjà en 2010, le Maroc parvient à occuper le sixième rang des pays producteurs d’huile d’olive au monde, selon la direction des Etudes et des prévisions financières (DEPF) du ministère de l'Economie et des Finances, dans une étude intitulée «Valorisation des avantages comparatifs à l'export du secteur agroalimentaire marocain ». D’après l’étude, les principaux clients du Maroc sont l’Union européenne (UE) et les Etats-Unis avec des parts respectives de 50% et 37% entre 1998 et 2011. Ceci en raison des accords de libre-échange qui les lient au royaume chérifien.

Cela étant, le Maroc doit encore faire des efforts, en matière de qualité. Les exportations marocaines de ce produit ont enregistré une évolution annuelle moyenne négative sur les deux dernières décennies, avec un rythme de près de -1,4%. Pourtant, sur la même période, des pays comme la Turquie et la Syrie ont vu leurs exportations grimper de manière considérable, respectivement 8,8% et 30,5%.

Il faut dire que l’huile d’olive est l’une des filières prioritaires du Plan Maroc Vert (PMV) qui s’est fixé comme objectif à l’horizon 2020, l’exportation d’environ 120 milles tonnes d’huile d’olives. Mais dans son exploitation, la filière demeure encore confrontée à des insuffisances, en termes de technologies utilisées et en termes de qualité. Du coup, l’huile marocaine est loin d’être compétitive sur le marché international. La filière, encore faiblement structurée, a d’énormes défis à réussir pour rivaliser avec les compétiteurs de la région méditerranéenne.

Faible consommation au Maroc

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75% de la production d’huile est vendue localement. La consommation d’huile d’olive au Maroc demeure la plus faible de la région (2,5 l par habitant et par an, contre 6 en Tunisie, 12 en Italie, 10 en Espagne et 24 en Grèce). Cette faiblesse de la consommation se justifie, selon les professionnels, par la cherté du produit dont le prix fluctuait entre 30 et 50 DH le litre.

Source : http://www.albayane.press.ma/?tmpl=component&print=1&option=com_content&id=19073

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L’Economiste, édition électronique du 11/11/2013

Palmiers-dattiers De nouvelles conventions pour la filière

• Appui à la production et à la commercialisation pour les GIE

• Promotion dans les moyennes et grandes surfaces

LES opérateurs de la filière du palmier-dattier se réjouissent. De nouvelles conventions relatives au développement de leur secteur ont été avalisées à l’occasion du 4e Salon international des dattes marocaines (SIDM). La première vise à appuyer la promotion de la commercialisation des dattes marocaines sur le marché national et spécialement dans les grandes et moyennes surfaces. En effet, le département d’Aziz Akhannouch a négocié trois conventions de commercialisation des dattes marocaines avec les trois grandes enseignes de grandes et moyennes surfaces au Maroc, en l’occurrence Marjane, Label’ Vie et Aswak Assalam. «Ces accords ont pour objet de mettre en place un cadre spécifique de concertation et de collaboration entre ces trois enseignes et le ministère de l’Agriculture et de la Pêche maritime en vue de contribuer à faciliter aux Groupements d’intérêts économiques (GIE), l’accès aux grandes surfaces et ainsi la commercialisation des dattes des Oasis du Maroc, dont la production à terme est estimée à 8.000 tonnes», est-il indiqué. L’objectif global concerne l’amélioration substantielle des revenus des producteurs de dattes et dérivés. Ceci, à travers la promotion et la valorisation commerciale de ces produits dans les marchés nationaux de la grande distribution, et la contribution au développement économique et social local, particulièrement dans les zones oasiennes. En dépit des nouvelles conventions, l’on va déterminer annuellement les objectifs de commercialisation des dattes disponibles par variétés au niveau des différents GIE participants. Ainsi, il sera procédé à la réservation des espaces de mise en avant dédiés exclusivement aux dattes des Oasis du Maroc, facilement accessibles dans les GM, selon la disponibilité des produits. Le ministère appuiera également la réalisation des programmes de promotion et de communication sur les dattes et dérivés des Oasis du Maroc auprès des consommateurs. Par ailleurs, le partenariat concerne d’une part l’ensemble des supermarchés Acima et hypermarchés Marjane, l’ensemble des magasins du Groupe Label’ Vie et l’ensemble des hypermarchés d’Aswak Assalam au Maroc, et d’autre part, les 23 GIE de producteurs de dattes. Ces GIE sont constitués dans les zones concernées de production et sont en mesure de mobiliser 8.000 tonnes de dattes de bonne qualité et ce à travers 10 unités modernes de conditionnement des dattes déjà implantées. Côté engagement, pour les trois enseignes, il s’agit, entre autres, de faciliter et sécuriser l’accès des produits des GIE aux rayons des différents magasins, à réduire les coûts d’accès, à assurer la présence dans une surface visible, dédiée aux dattes et dérivés et leur assurer un support promotionnel actif permettant d’accélérer la croissance des ventes. Pour le ministère de

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l’Agriculture, représenté par l’ADA (Agence pour le développement agricole), il s’agit principalement de mettre en œuvre les actions nécessaires au niveau de la production, de la logistique et de la communication/promotion et spécialement la formation des producteurs des GIE aux processus GMS (contractualisation, commandes, codes-barres..). La facturation (bancarisation, patente..), le marketing, l’étiquetage et le contrôle de la qualité des dattes issues des GIE par des audits selon des cahiers des charges définis avec les trois enseignes sont aussi prévus. Les engagements du ministère consistent aussi à asseoir la notoriété des dattes marocaines auprès du grand public par la mise en place d’actions de communication, et à assurer la promotion des produits dans les magasins et à adapter l’emballage et le conditionnement aux exigences du marché.

Le partenariat concerne d’une part, l’ensemble des supermarchés Acima et hypermarchés Marjane, l’ensemble des magasins du Groupe Label’ Vie et l’ensemble

des hypermarchés d’Aswak Assalam au Maroc, et d’autre part, les 23 GIE de producteurs de dattes

Y. S. A.

Source : http://www.leconomiste.com/article/912689-palmiers-dattiersde-nouvelles-conventions-pour-la-fili-re

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Medias 24, édition électronique du 11/11/2103

Le Maroc prend part au SIAL Middle East à Abu Dhabi du 24 au 26 novembre

L'Agence pour le développement agricole (ADA), accompagnée d'opérateurs et de coopératives agricoles marocaines, participera, du 24 au 26 courant, au salon SIAL Middle East d'Abu Dhabi aux Emirats Arabes Unis.

Cet événement dédié aux professionnels du secteur agroalimentaire et de la restauration réunira près de 1.000 exposants et plus de 10.000 visiteurs venus du monde entier.

Au sein du pavillon marocain, d'une superficie de 258 m2, une vingtaine d'entreprises et coopératives agricoles marocaines présenteront aux importateurs et acheteurs internationaux leurs produits agricoles notamment les produits de terroir dont l'huile d'argan, l'huile d'olive ou les dates. Il comprend un espace démonstration/dégustation qui accueillera les stands des exposants et un espace B to B.

La présence du Maroc s'inscrit dans le cadre de la stratégie de développement des produits du terroir élaborée afin de mettre à niveau la production et valoriser l'ensemble de la filière. Les produits du terroir constituent, en effet, un volet important du Plan Maroc Vert, représentant une solution viable et durable pour le développement de la petite agriculture.

Cette participation tend à promouvoir à l'international les produits agricoles marocains et, en particulier, les produits du terroir. L'objectif est de nouer et développer des relations commerciales avec les importateurs et acheteurs internationaux notamment ceux du Moyen-Orient. En 2012, le salon a accueilli 12.630 visiteurs, 19 pavillons nationaux et 522 exposants (originaires de 51 pays). Par ailleurs, 38% des participants ont signé un contrat durant l'événement.

(Avec MAP)

Source : http://www.medias24.com/LE-FIL/6058-Le-Maroc-prend-part-au-SIAL-Middle-East-a-Abu-Dhabi-du-24-au-26-novembre.html

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2013/11/17 النسخة االلكترونية ,24اليوم

األمطار االخيرة تعيد األمل في إنقاذ الموسم الفالحي القادم

عملية الحرث

بعد تأخر سقوط األمطار الخريفية عن موعدها المعتاد، ما أدى إلى قلق في أوساط الفالحين، عاد األمل في إنقاذ الموسم الفالحي الحالي بعد التساقطات المطرية أمس واليوم والتي يتوقع أن تؤثر بشكل مباشر وغير مباشر على الغطاء

.النباتي، وتربية المواشي

محمد الهاكش، الكاتب العام للجامعة الوطنية للقطاع الفالحي ، إن األمطار األخيرة بتت األمل في نفوس الفالحين، وقال الحرث لن يبدأ إال بعد توقف التساقطات، وذلك من اجل جفاف األرض، الذين لم يحرثوا بعد أراضهم، مضيفا أن

ليستطع الفالحين دخول األرض وحرثها.

إلى أن بعض الفالحين ال يستطعن المغامرة وحرث أرضهم، قبل تساقط " 24اتصال مع "اليوم وأشار الهاكش فيأما الفالحين الكبار فقد حرثوا أراضيهم وسيستفدن من هذه التساقطات. موضح ان خاصة الفالحين الصغار، األمطار

مع العلم أن المغرب يحرث الحية، هكتار من األراضي الف600لم يحرث سوى مليون و األمطار االخيرة قبل نزول ماليين ونصف مليون هكتار .5سنويا

من اجل نمو الحبوب، الن أهمية و يرى الهاكش أنه لكي يكون موسم فالحي جيد، البد من تساقط األمطار على مراحل في تم تساقطها لبدرة، "األمطار في المرحلة األولى تتحكم في نمو ا في مراحل تساقطها، األمطار ليس في الكم وإنما

في نمو األولي للحبوب والمرحلة الثالثة تتحكم في امتالء السنبلة ". تتحكم المرحلة الثانية

بالنسبة لتأثر الخضار والفواكه من تساقط هذه األمطار قال الهاكش، الخضر والفواكه لن تتأثر بشكل مباشر من بتساقط ستستفيد من ملئ المخزون الجوفي ، ولكن األمطار أو عدمه، الن تعتمد على السقي

-الفالحي-الموسم-إنقاذ-في-األمل-تعيد-االخيرة-األمطار: http://www.alyaoum24.com/akhbar/U1T لمصدرا 1TUUosyrSd9ASk#.4439/-القادم

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2013/11/15 النسخة االلكترونية ,المحيط الفالحي جريدة

”هممليار در 15المقدمة من طرف المانحين بلغت التمويالت«األخضر: مخطط المغرب

من أكد وزير الفالحة والصيد البحري عزيز أخنوش يوم الخميس بالصخيرات أن التمويالت المقدمة :المحيط الفالحي السيد درهم. وأبرزمليار 15ر1طرف شركاء المغرب لدعم البرامج المدرجة في إطار مخطط المغرب األخضر بلغت

أخنوش خالل المائدة المستديرة الرابعة حول التنسيق مع المانحين الدوليين أن هذه التمويالت وصلت إلى حدود اآلن بالمائة من التمويالت الممنوحة 80تم إطالقها والتي تتطلب حوالي بالمائة وأن قرابة نصف المشاريع التي 65أزيد من

.”هي في الوقت الراهن في مرحلة التنفيذ المتقدم“

يضم البرامج التي تم االنخراط فيها منذ إطالق مخطط المغرب ” بنك للمشاريع“في هذا اإلطار أشار إلى أنه تم إرساء لصلة على الخصوص بالبحث والتنمية والتكوين والتنمية القروية واألمن األخضر والمشاريع الجديدة المهيكلة ذات ا

.الغذائي

وحث الوزير الشركاء على تقديم دعم تقني ينضاف الى تحقيق مزيد من المرونة االدارية بهدف تحسين التتبع والتنسيق .وتنفيذ البرامج

في المائة من الدعم الممنوح من 10فقط تمثل مشاريع 9“من جهته أبرز مدير اإلحصاء بالوزارة سفيان الرغيت أن .”طرف المانحين تعرف تأخرا في التنفيذ

جهة 15للمملكة يهم مختلف قطاعات مخطط المغرب األخضر ويغطي 14وأضاف السيد الرغيت أن تدخل الشركاء ال .للمانحين” مليار درهم من التمويالت الجديدة 1ر4أمن “مشيرا إلى أن قطاع الفالحة

من جهته تطرق امانويل بودران المكلف بمهمة بالوكالة الفرنسية للتنمية في مداخلة باسم كل المانحين للتحديات المطروحة في إطار التعاون مع المغرب مبرزا في هذا الصدد أهمية تحسين انخراط الفالحين في تنفيذ المشاريع

.وتعزيز قدرات المستشارين الفالحيين

قدرات يتطلب التكوين والتأهيل وفق مقاربات جديدة وتعزيز االمكانات البشرية مشددا على ضرورة واعتبر أن تعزيز ال .تطوير تقييم وتثمين الخبرات

ألف شغل قار 77وحسب السيد أخنوش فقد مكن مخطط المغرب األخضر بعد خمس سنوات من بدء تنفيذه من إحداث .تماد تقنيات اقتصاد الماءألف هكتار من األراضي عبر اع 370إلى جانب سقي

في المائة من الهدف االجمالي 80مشروعا أي ما يعادل 430وفي مجال الفالحة التضامنية أشار إلى أنه تم إطالق .ألف مستفيد 530مليار درهم لفائدة 12باستثمار يقدر بحوالي

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القطاع بمعدل تغطية للطلب على ” وعتحسن صافي في االكتفاء الذاتي بالنسبة ألغلبية فر“من جهة أخرى أشار إلى في المائة وذلك بالنسبة للحوم الحمراء والبيضاء والبيض والفواكه 100المواد األساسية من االنتاج الوطني بلغ

.والخضر

تعبئة أموال 2020وحسب السيد أخنوش تتطلب مختلف األوراش المفتوحة في إطار مخطط المغرب األخضر في أفق .ار في دينامية التنمية الفالحية والقروية وللحفاظ بشكل مستدام على األمن الغذائيإضافية لالستمر

وتميزت المائدة المستديرة بنقاشات بين ممثلي وزارة الفالحة والصيد البحري والمانحين تمحورت باألساس حول واقع .وآفاق التعاون البيني

المحيط الفالحي : و.م.ع

: 1TUhttp://www.almouhitalfilahi.com/?p=6836U1T لمصدرا

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2013/11/14 النسخة االلكترونية ,لمغربيةالصحراء ا

هكتار بالجهة خالل الموسم الحالي 1500برمجة زراعة لموسم الرمان بإقليم الفقيه بن صالح 11اختتام فعاليات النسخة

بني مالل: محمد رفيق | المغربية

القروية، التابعة للنفوذ الترابي من موسم الرمان، الذي احتضنته جماعة أوالد عبد هللا 11اختتمت فعاليات النسخة

إلقليم الفقيه بن صالح.

كانت فعاليات هذه الدورة انطلقت بافتتاح يوم دراسي حول "تنمية وتثمين سلسلة الرمان بجهة تادلة أزيالل"، بحضور ة وممثلي السلطات والي جهة تادلة أزيالل، وعامل إقليم بني مالل، والوفد المرافق له، من رؤساء المصالح الخارجي

الوالئية واإلقليمية للجهة.

وتناول اليوم الدراسي مجموعة من العروض، افتتحت بعرض "مشروع تنمية وتثمين منتوج الرمان في إطار المخطط الفالحي الجهوي لتادلة أزيالل"، من خالل مداخلة محمد ديقي وإلهام حميد، عن المكتب الجهوي لالستثمار الفالحي

وعرض "المسار التقني لزراعة الرمان"، الذي ألقاه سمير فاخور عن المركز الجهوي للبحث الزراعي ببني لتادلة، مالل، ثم موضوع "أمراض وحشرات الرمان وطرق معالجتها " بمداخلة لألستاذ علي بوقايد من المكتب الجهوي لالستثمار الفالحي لتادلة.

د عبد الغني عامر، رئيس قسم الشراكة ودعم التنمية بالمديرية الجهوية للفالحة وبمناسبة هذا الموسم الفالحي للرمان، أك

بتادلة أزيالل، أن مخطط المغرب األخضر يروم دعم المنتجات المحلية وعصرنتها وتنميتها وتكثيف اإلنتاج وتحسين التسويق.

هكتار لزراعة فاكهة الرمان بالجهة، 1500وأكد أن المديرية الجهوية للفالحة برمجت، خالل الموسم الفالحي الحالي،

في المائة من المساحة الوطنية، 30هكتار بجماعة أوالد عبد هللا، مبرزا أن هذه الزراعة التي تمثل نسبة 900منها في المائة من حيث اإلنتاج الوطني، تعتبر فالحة منتجة ذات مردودية عالية قد يصل دخل الهكتار الواحد إلى بين 45و

ألف طن سنويا. 30و 24ألف درهم، وأن اإلنتاج بالمنطقة يتراوح ما بين 50و 40

وأضاف أنه تم في إطار المخطط الجهوي الفالحي لتادلة أزيالل، إنجاز مشروعين األول بأوالد عبد هللا لتنمية سلسلة مليون 13بقيمة استثمارية بلغت هكتارا، 860الرمان (مشاريع الدعامة الثانية)، بالجماعة القروية الخلفية على مساحة

درهم، ويهم إحداث محطة للتوضيب والتبريد والتخزين، وترميز منتوج الرمان السفري أوالد عبد هللا، وإنشاء "دار الرمان" ووحدة إلنتاج عصير الرمان.

10ف مالي يناهز هكتار بغال 400أما المشروع الثاني فيهم غرس أشجار الرمان بجماعة أوالد عبد هللا على مساحة

كلم، ودعم وتأطير وتكوين المنتجين. 10ألف درهم، وتثبيت المسالك الفالحية على طول 850ماليين و

3000طن ورافعة كهربائية، و 60طن ولوازم للتلفيف، وميزان من قياس 400كما تم اقتناء وحدتين للتبريد بطاقة سفري بأوالد عبد هللا، وتطوير مهارات المنتجين وتثمين المنتوج علبة للتلفيف، ويستهدف المشروع حماية الرمان ال

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على صعيد السوق الوطني والعالمي وإعطائه قيمة مضافة محليا وجهويا وحمايته من المنافسة غير الشريفة وتسهيل تسويقه، خاصة أنه يتميز عن باقي األصناف الموجودة في مناطق أخرى بخصائص ذوقية وكيماوية فريدة.

45هكتارا، وتحسين الدخل السنوي من 1260هكتارا إلى 860وقع المتحدث أنه من النتائج الرفع من المساحة من وت

ألف يوم عمل إضافي. 47درهما في الهكتار، وخلق حوالي 350ألفا و 66درهما إلى 687ألفا و

كهفي، في تصريح لوكالة المغرب العربي من جهته، قال رئيس جمعية الزيدانية للثقافة والتنمية االجتماعية، المعطي لألنباء، إن هذه الدورة تروم تشجيع الفالحين على تطوير زراعة الرمان بمنطقة اوالد عبد هللا التي تشتهر بإنتاج أجود أنواع الرمان المسمى "السفري" وتنمية المنطقة، عبر خلق حركة اقتصادية والعمل على التنمية السياحة الزراعية

السياحة القروية. وتعزيز

وأضاف أنه تم منح تسمية المنشأ "رمان السفري أوالد عبد هللا"، خالل الملتقى الدولي السادس للفالحة بمكناس، في إطار استراتيجية وزارة الفالحة في دعم تنمية المنتجات المحلية، من أجل الرفع من قيمته المضافة وحمايته من المنافسة

به وتسهيل ولوجه إلى السوق، لجودة المنتوج الذي تتميز به المنطقة. غير الشريفة والتعريف

400ودعا، بالمناسبة، إلى بناء وحدات جديدة لتخزين وتبريد الرمان ألن حمولة الوحدات، التي تم بناؤها ال تسع إال لـ ن مستثمرين، من أجل خلق ألف طن من الرمان سنويا، كما طالب بالبحث ع 30طن، مع العلم أن المنطقة تنتج حوالي

وحدات صناعية لتحويل هذه الفاكهة، وتوقيع اتفاقيات توأمة مع كل من مهرجان حب الملوك بصفرو، ومهرجان الورود بقلعة مكونة، والتمور بأرفود لتنمية السياحة القروية.

لرمان"، إن الكمية التي يتم بيعها من جهته، قال محمد كويس، رئيس "التعاونية الفالحية اوالد عبد هللا لجمع وتسويق ا

من فاكهة الرمان (السفري والزهيري والرمان األحمر والجعيبي والخرازي والمسكي) نحو األسواق الداخلية ال تتجاوز دجنبر من كل سنة، فيما 15شتنبر إلى غاية 15طنا في اليوم، مشيرا إلى أن فترة التسويق بالمنطقة تنطلق من 350

لمنتوج في غرف مبردة لمدة قد تصل إلى أربعة أشهر.يمكن تخزين ا

وأكد كويس ضرورة البحث عن أسواق داخل المغرب وخارجه وتشجيع الفضاءات التجارية الكبرى والمتوسطة على عقد اتفاقيات شراكة مع "التعاونية الفالحية اوالد عبد هللا لجمع وتسويق الرمان"، من أجل تسويق هذا المنتوج بأثمنة

ناسبة، وتحفيز الفالح على تطوير زراعته وخلق المزيد من فرص الشغل بالمنطقة.م

: 1TUhttp://www.almaghribia.ma/Paper/printArticle.asp?id=174788U1T المصدر

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0T0 بكممغارT,12013/1/ 13النسخة االلكترونية

ندوة مغاربية بالدار البيضاء بشأن تأقلم الفالحة والزراعات الكبرى مع التغيرات المناخية

الدار البيضاء ـ مغاربكم

نونبر الجاري بالدار البيضاء، ندوة مغاربية بشأن موضوع 20و 19تنظم األمانة العامة التحاد المغرب العربي يومي "تأقلم قطاع الفالحة والزراعات الكبرى مع التغيرات المناخية".

لندوة تهدف إلى تبادل المعارف من أجل تحديد أفضل السبل لتكييف وتأقلم قطاع الزراعة وأوضح بيان لالتحاد، أن هذه اوخاصة الحبوب مع التغيرات المناخية وتطوير التعاون والشراكات بين الباحثين والمعنيين بالقطاع الزراعي والتغيرات

المناخية للتواصل والتشاور فيما بينهم في هذا المجال.

لندوة عدة خبراء مغاربيين مهتمين بهذا المجال، باإلضافة إلى عدة منظمات دولية وإقليمية، وذلك وسيشارك في هذه ا لتدارس مدى تأثير التغيرات المناخية على القطاع الزراعي وخاصة الحبوب في بلدان المنطقة.

ة والبنك اإلفريقي للتنمية، على كما سينكب المشاركون في هذه التظاهرة، التي تندرج في إطار التعاون بين األمانة العامالعمل بغية إيجاد السبل الكفيلة للتكيف مع هذه الظاهرة، إلعداد استراتيجية مغاربية في مجال تأقلم الفالحة والزراعات

الكبرى مع التغيرات المناخية.

: 1TUrib.com/index.php/news/3404http://www.maghaU1T المصدر

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2013/11/13 النسخة االلكترونية ,أخبارنا المغربية

نونبر 23إلى 20تارودانت تحتضن الدورة األولى لملتقى تربية األبقار من

ونية "كوباك" بتعاون مع عمالة إقليم تحتضن مدينة تارودانت الدورة األولى لملتقى تربية األبقار، الذي تنظمه تعا ."نونبر الجاري تحت شعار "تربية األبقار: رافعة التنمية القروية 23إلى 20تارودانت، من

وأوضح بالغ للمنظمين أن هذا الملتقى، الذي ينظم تحت الرعاية السامية لصاحب الجاللة الملك محمد السادس، سيجمع حليب وسلسلة إنتاج اللحوم الحمراء من مربين وممونين وموزعين وكافة المهتمين بين مهنيي كل من سلسلة إنتاج ال

.بمجال المستلزمات الفالحية وكذا قطاع التحسين الوراثي

ويهدف الملتقى إلى النهوض بقطاع إنتاج األبقار وإبراز مكانة جهة سوس ماسة درعة في هذا المجال، وكذا إلى تثمين ي لألبقار على مستوى الجهة، فضال عن تمكين الفاعلين والمهنيين من االنفتاح على التقدم والتعريف بالرصيد الوراث

.التكنولوجي لسلسلة إنتاج األبقار

كما سيشكل هذا اللقاء فرصة يجتمع من خاللها المهنيون والمسؤولون عن القطاع حول مشروع مشترك يسعى لتفعيل الفاعليين في قطاع تربية األبقار على الصعيد الوطني والجهوي، ومناسبة التنمية القروية وتبادل الخبرات بين جميع

أيضا لمموني قطاع تربية األبقار لعرض آخر المستجدات التقنية والتكنولوجية على مستوى مختلف سالسل قطاع إنتاج .األبقار

عروضا ألصناف وسالالت ألف متر مربع، 20ويتضمن هذا الملتقى، الذي سيقام على مساحة إجمالية تصل إلى مختلفة من األبقار وكذا مباراة الختيار أحسن وأجود األبقار، فضال عن عرض ألحدث التقنيات التكنولوجية في مجال

.تربية األبقار

ويتضمن برنامج الملتقى ندوات وعروضا علمية ومناظرات في مجال تربية األبقار، باإلضافة إلى تنظيم زيارات ."كوباك" وبعض الضيعات الفالحيةميدانية لمعامل

: 1TUhttp://www.akhbarona.com/permalink/57301.htmlU1T المصدر

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2013/11/13 النسخة االلكترونية ,المحيط الفالحي جريدة

ميالد أول جمعية وطنية لخريجي المعاهد الفالحية بالمغرب

أعلن خريجوا المعاهد الفالحية عن تأسيسي أول جمعية وطنية تعنى بقضاياهم واهتماماتهم بمعهد :المحيط الفالحي قوتنا في وحدتنا و ” تحت شعار 2013نونبر 9بمراكش يوم السبت ” السويهلة“التقنيين المتخصصين في الفالحة بحضور مختلف الفعاليات من خريجي المعاهد و أطر جمعوية و تربوية و ممثلين ”انساجمنا من أجل التنمية الفالحية

لتعاضدية الفالحية للتأمين بمراكش. و قد استهل هذا الجمع عن السلطة المحلية باإلضافة إلى ضيوف مدعوين تتقدمهم االعام بتالوة آيات بينات من الذكر الحكيم قبل االستماع إلى النشيد الوطني، ثم الكلمة الترحيبية التي ألقتها المنسقة العامة

، و ممثلة ”السويهلة ” فالحةمدير معهد التقنيين المتخصصين في ال” رشيد الهبوبي“للجنة التحضيرية تلتها كلمة السيد التعاضدية الفالحية للتأمين بمراكش، ليتم بعدها عرض التصور العام للجمعية و مناقشة مشروع القانون االساسي الذي تمت المصادقة عليه باالجماع بعد إضافة المقتراحات، ليتم التصويت و انتخاب رئيس الجمعية الذي تم تفويضه

:ركزي ليكون على الشكل التاليصالحية تشكيل المكتب الم

محمد ثابت : هشام ضفير: نائبا له حكيم: أمينا عاما ناصر صادق : رئيسا للجمعية رشيد بن عليوة: نائبا له حوريةنائبا له نبيل بن خليل ء ابراهيم بواليم ء محمد شكير ء محمد عال ء حمزة مدري: مستشارين و :كاتبا عاما فاطمة أيوب

ر اختتم الجمع العام بأخذ صور تذكارية مؤرخة للحدث. هشام ضفير العضو المؤسس بالجمعية الوطنية في األخي لخريجي المعاهد الفالحية

: 1TUhttp://www.almouhitalfilahi.com/?p=6828U1T المصدر

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2013/11/12 النسخة االلكترونية ,يدة الصباحجر

تسمين الماشية بحبوب "دردك" يثير المخاوف

بياطرة يؤكدون أن اللحوم المشبعة بهرمونات إسترويدية تصيب اإلنسان بالسرطان

.صة األبقار والعجولفي تسمين الماشية، خا» دردك«اتسعت دائرة القلق بدكالة، في اآلونة األخيرة، جراء انتشار استعمال حبوب

في » دردك«وذكر مصدر بيطري أن أسواقا أسبوعية بدكالة شهيرة على الصعيد الوطني بتجارة الماشية باتت تباع فيها حبوب حبة ومواد بيطرية أخرى مهربة من الجزائر، وتشهد إقباال من قبل كسابة يخلطونها مع علف الماشية لتسمين سريع 100علب من

.وهرمونات كورتيكويد المحظورة دوليا «دردك«في المائة في الوزن الحقيقي للماشية التي تطعم بـ 14لزيادة حوالي

أن العديد من الكسابة بدكالة يستعملون هرمونات صناعية مخلقة حظرتها منذ مدة طويلة المنظمة العالمية » الصباح«وتابع مصدر وهرمونات ممنوعة، له خطورة » دردك«لمصدر أن تسمين الماشية بحبوب للتغذية والزراعة ومنظمة الصحة العالمية، وأضاف ا

كبيرة على صحة مستهلكي اللحوم الحمراء المشبعة بالهرمونات سالفة الذكر، وأن تناول تلك اللحوم يؤدي إلى إصابات بسرطان لعضالت وتحدث خلال هرمونيا لدى الثدي والرحم لدى النساء وسرطان البروستات لدى الرجال، بل إنها تؤذي الكلي والكبد وا

.المستهلكين

أن التسمين بالهرمونات المحظورة دوليا تزداد مساحته اتساعا بدكالة في غفلة من المؤسسات » الصباح«إلى ذلك، الحظ مصدر (أونسا)، الذي المفروض فيها تفعيل آليات التصدي لهذه اآلفة، وفي مقدمتها المكتب الوطني للسالمة الصحية للمنتجات الغذائية

يتعين أن يتحرك في اتجاه طمأنة مستهلكي اللحوم الحمراء بدكالة عبر القيام بأخذ عينات من لحوم مذبوحة بمجازر دكالة، والضرب على أيادي المخالفين للضوابط التي تسمح بهرمونات من أصل نباتي، مع احترام مدة األمان التي تلزم الكف عن حقن

.يوما حتى تزول منها المواد الضارة بصحة المستهلكين، حسب المصدر ذاته 60مين قبل ذبحها لمدة الماشية بهرمونات تس

وقالت جهات متتبعة إن بياطرة بالقطاع العمومي ال يقومون في الغالب بأخذ عينات من الماشية قبل ذبحها، وال يسهرون على والحبوب » دردك«م كل ماشية مشبعة بهرمونات مسرطنة نظير احترام مدة األمان، وال التصدي للهرمونات المحظورة وإعدا

المهربة من الجزائر. ودعت الجهات ذاتها السلطات المعنية إلى توخي الحذر ما أمكن حيال كسابة يضحون بصحة وسالمة األطفال مواطنين، من أجل تحقيق أرباح غير مشروعة وإن اقتضى الحال تعريض المستهلكين ألخطار ال حصر لها، خصوصا

.لضعف مناعتهم

(عبد هللا غيتومي (الجديدة

: المصدرle&id=4880http://www.assabah.press.ma/index.php?option=com_content&view=articU1T

1TUlaune&Itemid=782-&catid=37:cat--qq---2:

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2013/11/12 النسخة االلكترونية ,المحيط الفالحي جريدة

موضوع ندوة مغاربية "الفالحة والزراعات الكبرى مع التغيرات المناخيةتأقلم قطاع "

نونبر الجاري بالدار البيضاء، ندوة 20و 19تنظم األمانة العامة التحاد المغرب العربي، يومي :المحيط الفالحي .”تأقلم قطاع الفالحة والزراعات الكبرى مع التغيرات المناخية“مغاربية حول موضوع

وذكر بالغ لألمانة العامة لالتحاد أن هذه الندوة، التي تنظم في إطار التعاون بين األمانة العامة لالتحاد والبنك اإلفريقي لمعارف من أجل تحديد أفضل السبل لتكييف وتأقلم قطاع الزراعة، وخاصة الحبوب مع التغيرات للتنمية، تتوخى تبادل ا

المناخية، وتطوير التعاون والشراكات بين الباحثين والمعنيين بالقطاع الزراعي والتغيرات المناخية للتواصل والتشاور .في ما بينهم في هذا المجال

ن مهتمون بهذا المجال، باإلضافة إلى عدة منظمات دولية وإقليمية، لتدارس وسيشارك في هذه الندوة خبراء مغاربيومدى تأثير التغيرات المناخية على القطاع الزراعي، وخاصة الحبوب في بلدان المنطقة، وإيجاد السبل الكفيلة للتكيف مع

.ى مع التغيرات المناخيةهذه الظاهرة، وإلعداد استراتيجية مغاربية في مجال تأقلم الفالحة والزراعات الكبر و.م.ع

: 1TUhttp://www.almouhitalfilahi.com/?p=6821U1T المصدر

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2013/11/12 النسخة االلكترونية, بيان اليوم

الجديدة: في لقاء للمديرية الجهوية للفالحة

محمد الصفى من األقاليم

التأكيد على إنجاح انطالقة الموسم 2014-2013الفالحي

في إطار سلسلة اللقاءات التي دأبت المديرية الجهوية للفالحية لدكالة عبدة،على عقدها مع مختلف الفاعلين في قطاع لتسليط الضوء على الفالحة نظمت المديرية، مؤخرا، بمقر المكتب الجهوي لالستثمار الفالحي لدكالة، لقاء تواصليا،

على صعيد تراب إقليم 2013-2014جملة من اإلجراءات و التدابير المتخذة، من أجل إنجاح انطالقة الموسم الفالحي الجديدة.

وتم اللقاء تحت الرئاسة الفعلية لعامل اإلقليم ورئيس جهة دكالة عبدة ورئيس المجلس االقليمي، إلى جانب عدد من يي اإلقليم، استعرض فيه المدير الجهوي أهم اإلجراءات والتدابير المتخذة من طرف المديرية الشركاء وفالحي و مهن

بإقليم الجديدة، موضحا من خالل العرض الذي 2014- 2013الجهوية للفالحة لدكالة عبدة النطالق الموسم الفالحي ب المائي المسيرة ـ الحنصالي (مخزون تقدم به إلى أن هذا الموسم تميزت انطالقته بتحسن جد مهم في مخزون المرك

مليون متر مكعب لسقي، بواسطة الري 100مع تخويل حصة ٪) 90يقدر بثالث مليار متر مكعب أي نسبة مأل هكتارا متواجدة بإقليم الجديدة، مع أخد بعين االعتبار المؤهالت المهمة التي يزخر بها 13.292الكبير، مساحة تقدر بـ

جود التنظيمات المهنية التي تشارك بفعالية في التنمية الفالحية و كذا البنيات تحتية الصناعية منها و التي اإلقليم أهمها وتساهم في تثمين المنتوجات الفالحية. وبخصوص الخطوط العريضة للبرنامج الزراعي فقد تم تخصيص مساحة إجمالية

هكتارا وللكأل 132.600الخريفية وبهكتارا لجميع المزروعات، خصص منها للحب 244.450تقدر بـ هكتارا 63.300هكتارا فيما الذرة 1000هكتارات و الشمندر السكري 6.800 هكتارا، والقطاني19.000

هكتارا. أما فيما يخص أهم التدابير المتخذة على صعيد الجديدة 7.750هكتارا واألشجار المثمرة 14.000الخضروات وتزويد قنطارا من البذور المختارة و كذا عوامل اإلنتاج مع مواصلة دعم الدولة، مع 45.000تزويد اإلقليم بـ فقد تم

السوق باألسمدة الكافية بتنسيق مع الفاعلين مع الحفاظ على نفس مستويات أثمنة الموسم الفارط. إلى جانب وضع اللجنة التقنية وتحسيس الفالحين بأهمية من طرف هكتارا للشمندر السكري مع اتخاذ جميع اإلجراءات 1000برنامج

الزرع المبكر واحترام برنامج الزرع و العمل على تقوية مكننة الزرع والقلع، ومن بين التدابير أيضا التي اتخذتها عبدة على صعيد –المديرية الجهوية للفالحة لدكالة عبدة، مواصلة إنجاز مشاريع المخطط الجهوي الفالحي لدكالة

وعلى مستوى المشاريع األفقية كمتابعة و تتبع تنفيذ برنامج القتصاد في ماء السقي بمنطقة بولعوان،عبر تحويل اإلقليم نمط السقي بالرش إلى السقي بالتنقيط، و دراسة مشروع انقاد منطقة هشتوكة بتحويل مياه أم الريبع، باالضافة الى

ع وجمع األحجار وكذا دراسة حول تمركز القطب الفالحي مواصلة تنفيذ مشروع استصالح المناطق البورية عبر قلهناك مشروع تكثيف إنتاج التين على مساحة 2014لجهة دكالة عبدة (قرية الفالح). و من المشاريع المبرمجة خالل

هكتارا، إلى جانب تحسين وتطوير إنتاج اللحوم الحمراء 300هكتارا، ومشروع تنمية الرمان على مساحة 500

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وضع برنامج لألنشطة و التواصل على الصعيد اإلقليم م عبر التهجين الصناعي بدائرة سيدي إسماعيل، مع لألغنايتمحور حول تنظيم أيام إخبارية علي الصعيد اإلقليمي والمحلي، والمشاركة في المعارض الوطنية و الجهوية. وعرف

دد المخاطر و إيجابياته بالنسبة للفالح في ظل ما قد اللقاء مداخالت سلطت الضوء على ماهية التأمين الفالحي المتعيتعرض له خالل مساره الفالحي من قبل ممثل التعاضدية الفالحية المغربية للتأمين، فيما قدم ممثل القرض الفالحي المغربي عرضا حول طرق و كيفية تمويل الموسم الفالحي، ليخلص اللقاء بعد نقاشات و استفسارات إلى جملة من

توصيات بغية إنجاح الموسم الذي هو في حد ذاته نجاح للفالحين و المهنيين و كل المساهمين منها على وجه التحديد الالعمل على تسريع وتيرة إنجاز مشروع السقي لمنطقة هشتوكة، البئر الجديد وحث الفالحين على الحرث والزرع و

ن اإلرشاد الفالحي باإلقليم و توفير الوسائل الالزمة لهذا جلب البذور المختارة في الوقت المناسب مع تقوية وتحسي أسعار المحروقاتالغرض، كما جاء من بين التوصيات دراسة الوسائل الكفيلة للتخفيف من الضرر الناتج عن ارتفاع

ليم دون بالقطاع الفالحي وكذا تعميم نظام التأمين على قطاع الدواجن و خلق مجزرة خاصة بالدواجن واألبقار باإلق إهمال عملية تبسيط المساطر المتعلقة بالقروض الفالحية الموسمية ورفع اليد مع خلق مديرية جهوية بالجهة.

: المصدرp?view=article&tmpl=component&idhttp://www.bayanealyaoume.press.ma/index.phU1T

1TU=39273

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2013/11/11 النسخة االلكترونية ,أخبارنا المغربية

ألف هكتار 13المساحة المبرمجة للموسم الفالحي الحالي بإقليم ورزازات بلغت

بواسطة أخبارنا المغربية ـ و م ع

ألف هكتار 12ألف هكتار، مقابل 13بإقليم ورزازات 2014-2013للموسم الفالحي الحالي بلغت المساحة المبرمجة .(في الموسم الماضي، والتي تهم الزراعات المسقية والبورية (القمح الصلب والطري والشعير

ة من طرف وحسب معطيات للمكتب الجهوي لالستثمار الفالحي لورزازات فإن عملية تزويد البذور المختارة واألسمد 400الشركة المعنية بدأ منذ مستهل شهر أكتوبر الماضي، حيث تم تزويد جميع المراكز الفالحية باإلقليم بأزيد من

.قنطار من األسمدة 500قنطار من البذور المختارة و

ي) وإلى وأضاف المصدر نفسه أن التساقطات المطرية عرفت، منذ بداية الموسم الفالحي الحالي (فاتح شتنبر الماضفي المائة، حيث بلغت حقينة سد المنصور 42غاية منتصف شهر أكتوبر الماضي، انخفاضا بورزازات بلغت نسبته

.من طاقته االستيعابية 42ر3مليون متر مكعب أي ما يعادل 184ر9الذهبي

22فالحية بلغ حوالي وفي هذا الصدد، أوضح المصدر ذاته أن الغالف المالي الستصالح السواقي وحماية األراضي الكلم، ووقاية األراضي الفالحية من االنجراف 18مليون درهم، وذلك قصد استصالح السواقي والخطارات على طول

.كلم، وستشمل هذه العملية جميع الجماعات القروية التابعة لإلقليم 2ر6على طول

ألف فسيلة أنبوبية من 20الواحات، توزيع حوالي من جهة أخرى سيتم، في إطار البرنامج الوطني إلعادة هيكلة وتنمية مختلف األصناف الجيدة والمقاومة لمرض البيوض، إذ أشار المكتب إلى أنه يتم حاليا العمل على تجهيز وحدة لتبريد

وحدة من الشبابيك البالستيكية قصد وقاية 300طن بواحة أحميدي، كما سيتم توزيع 100التمور تصل طاقتها إلى .ر من الحشرات والطيورالتمو

وفي إطار برنامج مخطط المغرب األخضر، يقوم المكتب الجهوي لالستثمار الفالحي لورزازات بتوسيع زراعة هكتار، بعدد من الجماعات، عالوة على توسيع زراعة اللوز بمنطقة توندوت على مساحة 600الزيتون على مساحة

هكتار 25، وتوسيع زراعة الزعفران على مساحة (ثمانية آالف نخلةهكتار، وتنقية أعشاش النخيل (أزيد من 400 .بتازناخت

ألف 282وذكر أن حصيلة منتوج أهم المزروعات الموجودة بإقليم ورزازات، خالل الموسم الفالحي الماضي، بلغت ألف 450( قنطار من اللوز 200ألف و 33هكتار)، و 135ألف و 15قنطار بالنسبة للحبوب والدرة (مساحة 375

50ألف نخلة)، و 294ألف قنطار من التمور ( 54شجرة)، و 200ألف و 477ألف قنطار من الزيتون ( 40شجرة)، و .(هكتار 300قنطار من الزعفران (على مساحة 1ر5ألف شجرة)، و 274قنطار من التفاح ( 490ألف

تسجيل زيادة في إنتاج مختلف المزروعات ، تم2012-2011وخلص المصدر نفسه إلى أنه مقارنة مع الموسم الفالحي .في المائة 25في المائة و 30في المائة، و 40ماعدا الزيتون والتمور واللوز الذي انخفض إنتاجهم على التوالي بنسبة

:1TU3.htmlhttp://www.akhbarona.com/permalink/5709U1T المصدر

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2013/11/11 النسخة االلكترونية ,االشتراكي االتحاد

تحط بخنيفرة إلرشاد الفالحين OCPمتابعات : قافلة

أحمد بيضي

حطت قافلة المكتب الشريف للفوسفاط رحالها بخنيفرة، كمحطة سادسة بعد وقبل مدن مغربية أخرى ستقوم القافلة محطة، وهي مبادرة تدخل، بحسب المنظمين، في 12، وعددها اإلجمالي 2013/ 2012رتها، برسم السنة الجارية بزيا

إطار استمرارية القوافل األولى التي سبق أن انطلقت أول مرة في شهر أكتوبر من العام الماضي عبر قافلة الحبوب، مل نشاطها إلى التقرب من الفالحين الصغار ومالمسة قافلة الفواكه والخضر ثم قافلة شجر الزيتون، وتطمح في مج

متطلباتهم وحاجياتهم ألجل مدهم بمنتجات مالئمة لنوعية تربة أراضيهم للزيادة من خصوبتها باألسمدة الفوسفاطية.

كتزوكم باش تحسنو مردودية «القافلة المنظمة من طرف مجموعة ومؤسسة المكتب الشريف للفوسفاط، تحت شعار ، بشراكة مع وزارة الفالحة والموزعين المحليين لألسمدة الفوسفاطية، وتعتمد هذه القافلة على موارد بشرية »فالحتكم

ومادية ولوجيستيكية هامة وأدوات تعليمية في الميدان، بهدف إشراك فعلي ومثمر للقطاع الفالحي الوطني في مخطط المكتب الشريف للفوسفاط، مع تقديم ما ينبغي من النصائح المغرب األخضر عن طريق تعبئة الموزعين ألسمدة

للفالحين وإرشادهم إلى أحدث السبل والتقنيات الزراعية، وتجاوز الفالحة التقليدية بالوسائل العلمية، والتحسيس بأهمية لظروف المعيشية االستعمال المعقلن والحكيم لألسمدة بغاية تحسين مردودية المحاصيل واإلنتاج والرفع من الدخل وا

من » االتحاد االشتراكي«للفالحين، فضال عن الحفاظ على البيئة واألمن الغذائي، على حد تصريحات استقتها المنظمين.

ومن خالل القافلة الفوسفاطية، تم تقديم عدة عروض تقنية للفالحين الحاضرين، سلطت الضوء على مجموعة من اعة وأهمية األسمدة وتركيباتها والعناصر المغذية لخصوبة األرض والنبات، وقد المواضيع التي تهم المسار التقني للزر

أشرف على تقديم وتأطير هذه العروض ثلة من الخبراء والباحثين في مجال الفالحة، وتم تتويجها بفتح باب التدخالت حبوب.والنقاشات في وجه الحاضرين، وبزيارة للمعرض المرافق للقافلة والمتضمن لألسمدة وال

: المصدرhttp://www.ailmaroc.net/def.asp?codelangue=29&wss=1Y09io000101&id_info=18555U1T

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2013/11/11 الرأي النسخة االلكترونية

المخبزات تلوح بالزيادة في الخبز بسبب ارتفاع أسعار الدقيق

من غير المستبعد أن تضطر المخبزات إلى تفعيل الزيادة في أثمنة الخبز على إثر الزيادة المفاجئة في أسعار الدقيق من

.طرف أرباب المطاحن

أرباب المطاحن وجهوا ضربة جديدة وموجعة نونبر، أن 11، في عددها لهذا اليوم اإلثنين »المساء«وذكرت يومية .للمخبزات حين لجؤوا إلى زيادات مفاجئة في أسعار الدقيق الممتاز

سنتيم 70و 10ووفق الجريدة ذاتها فإن الزيادة في أسعار الدقيق الممتاز، الذي يستعمله أرباب المخبزات، تراوحت بين .في الكيلوغرام الواحد

امعة الوطنية ألرباب المخابز تلوح بتفعيل الزيادة في أسعار الخبز التي تم االتفاق عليها في وأضاف المصدر ذاته أن الج .االجتماع األخير للجامعة بالبيضاء، كنتيجة طبيعة الرتفاع المصاريف

: 1TUe/5087.htmlhttp://www.alraiy.com/arabe/articlU1Tالمصدر