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Office de tourisme**28 rue des Américains – B.P. 60041 – 57502 SAINT-AVOLD Cedex
Tél. : 03 87 91 30 19 – Fax. : 03 87 92 98 02Mél. : [email protected] – Site : www.mairie-saint-avold.fr
Ouvert du lundi au vendredi de 09 heures 30 à 12 heures et de 13 heures 30 à 18 heures,
le samedi de 10 heures à 12 heures 30 et de 13 heures 30 à 17 heures.
Pour compléter votre visite... Maison natale du général Hirschauer (1857-1943) : Dans cette maison
(n°20 rue Hirschauer) est né le 16 juin 1857 le général Hirschauer, un des pères fondateurs de l’aéronautique militaire française et sénateur de la Moselle en 1920.
Eglise protestante (rue des Anglais) : Cet édifice sobre et élégant de style néogothique, réalisé d’après les plans de l’architecte Wahn, accueille les paroissiens de l’Eglise luthérienne de la Confession d’Augsbourg d’Alsace et de Moselle. Il fut inauguré en 1889. Remarquable par son acoustique qui résulte de son plafond en nef de bateau renversé. Visite extérieure uniquement.
Synagogue (rue de la Mertzelle) : Ensemble moderne édifié en 1956 sur les plans de l’architecte messin Zonka. La forme cubique avant-gardiste est entièrement recouverte d’étoiles de David. L’ancienne synagogue construite en 1860 se trou-vait dans la rue des Anges. Visite extérieure uniquement.
Maisons de la rue Poincaré : Belles maisons du 18e siècle aux n°12 et 14. Façades classiques, linteaux des fenêtres et moulures magnifiques. Au n°12 est né Jean-Victor Braun (1825-1882), fondateur de l’ordre des Servantes du Sacré Cœur de Jésus. Au n°33 est née Adrienne Thomas (1897-1980), auteur du livre «Catherine Soldat» qui vécut son enfance dans notre cité . Visibles uniquement de l’extérieur.
Fontaine Jean Melling (rue des Américains) : Elle fut construite en 1744 par Jean Melling, célèbre sculpteur nabo-rien (1678-1748). Monument aux contours simples rehaussé par un mufle de lion. Le bâtiment dans lequel sont installés aujourd’hui les bureaux de l’Office de tourisme fut construit en 1732. L’Hôtel de Ville s’y installa jusqu’en 1917.
Maison dite «Faust» (74 rue Hirschauer) : Demeure cossue qui date du 18e siècle. La porte en chêne est décorée de motifs sculptés représentant des têtes d’animaux et des masques grimaçants. Cette œuvre est attribuée à Jean Melling. Visite extérieure uniquement.
Angle rue Poincaré-rue de la Mertzelle : Façade du 16e siècle, ancien fief des évêques de Metz mentionné en 1343. Reconstruit par Peter Nimesgern, fonctionnaire au service des Nassau, cet ensemble hébergea un des fours banaux de la cité. Propriété des seigneurs de Henning au 18e siècle.
Chêne des Sorcières (route de Jeanne d’Arc - 4km) : On le dit âgé de 850 ans. Classé Arbre Remarquable de France, il aurait été le lieu de rencontre des sorcières au Moyen-Age et l’empereur Barberousse y aurait fait une halte et planté son épée dans le tronc. Sa circonférence est de 6,40m à 1,30m du sol.
QUELQUES DATES DANS L’EVOLUTION DE L’HISTOIRE DE SAINT-AVOLD
509 : Fondation d’un oratoire du nom d’HILARIACUM par le moine Fridolin.720 : Construction d’une abbaye qui prend le nom de NOVA CELLA sous l’im-pulsion de Sigisbaud, évêque de Metz.765 : Chrodegang, ministre de Charles Martel et de Pépin le Bref, ramène de Rome les reliques de Saint-Nabor, officier martyrisé sous Dioclétien. Le martyr romain devint Saint patron de notre ville et lui donna son nom : SAINT-AVOLD est la déformation linguistique de Saint-Nabor.1327 : La cité est fortifiée sur ordre de l’évêque de Metz.1581 : SAINT-AVOLD est rattachée avec le reste de la vouerie au duché de Lorraine.Guerre de Trente Ans : Occupation française jusqu’en 1697. Le bourg en sort dépeuplé et en ruine.18e siècle : Période de prospérité avec la reconstruction de 1697 à 1750.1766 : SAINT-AVOLD passe sous la souveraineté française à la mort du dernier duc de Lorraine Stanislas Leczinsky. Elle compte alors 2 000 habitants.1793 : Pendant la Révolution, la commune prit le nom de ROSSELGENE.1871 : Signature du traité de Francfort, la région passe sous la souveraineté du Reich.1886-1913 : Implantations successives de régiments allemands dans de nouvelles casernes. SAINT-AVOLD connaît un développement urbanistique important.1941-1944 : Période d’annexion. 27 novembre 1944, libération de SAINT-AVOLD.Après 1945 : L’agglomération affine sa vocation industrielle. Elle devient dans les années 1960 la capitale de la carbochimie puis de la pétrochimie.
FLANERIE – DETENTE – LOISIRSLe cœur historique de SAINT-AVOLD vous invite à prolonger votre visite :
par une flânerie au gré des nombreuses vitrines : shopping divers, produits du terroir, souvenirs... et autres lieux d’exposition,en faisant une pause déjeuner dans l’un des succulents restaurants naboriens ou une pause gourmande dans l’une de nos délicieuses pâtisseries,en profitant d’un moment de détente pour vous et vos enfants dans le parc municipal ( jeux pour enfants, petite restauration sur place), d’une promenade en forêt sur les nombreux circuits balisés, de la visite de l’arboretum en forêt d’Oderfang et du parcours pédagogique en forêt de Zang.
VISITES DE GROUPESL’Office de tourisme propose des visites guidées de la ville (durée : environ 2 heures) pour les groupes à partir de 10 personnes (maximum 30 personnes pour une visite à pied et 50 personnes pour une visite en bus). Tarifs sur demande. Uniquement sur réservation, au moins 15 jours avant la visite.
Crédit photos : CDT Moselle J.C. Kanny, Ville de Saint-Avold.
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Délivrée par AFNOR CERTIFICATIONwww.marque-nf.com
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OFFICE DE TOURISME – Cat. II28 rue des Américains – B.P. 60041 – 57502 – SAINT-AVOLD Cedex
Tél. : 03 87 91 30 19 – Fax : 03 87 92 98 02Mél. : [email protected] – Site : www.tourisme-saint-avold.fr
Ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 12h et de 13h30 à 18h,le samedi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h.
En juillet et août, le dimanche de 11h30 à 15h30.
Visite de ville
SAINT-AVOLD
Visite de ville
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Crédit photos : Moselle Tourisme J.C. Kanny, Ville de Saint-Avold, Agence Déclic.
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Hôtel de Ville (36 boulevard de Lorraine)Dès le 16e siècle, le Schwarzenberger Hof, grande maison seigneuriale, oc-cupe l’emplacement de l’actuel Hôtel de Ville. Devenu le château des Sei-gneurs de Hennin, le bâtiment est agrandi, construit dans l’élégant style du 18e siècle. Il s’agit, à quelques détails près de l’Hôtel de Ville d’aujourd’hui, le
parking occupant l’emplacement du jardin. En 1873, l’administration allemande y instal-le une école préparatoire impériale destinée à la formation des instituteurs. En 1921, les bâtiments accueillent l’école primaire supérieure puis un collège en 1952. En 1958, la Ville rachète l’ancien château. Après des travaux de réhabilitation, l’actuel Hôtel de Ville est inauguré le 13 février 1965.
Fontaine Saint-Jean Népomucène(rue Hirschauer). Edifiée en 1714 par le maître maçon Melchior Spinga, cette fontaine au bassin hexagonal et au balustre renflé est ornée de la statue de Saint-Jean Népomu-cène, saint protecteur contre les dangers des eaux et originaire de Bohême.
Hôtel de Paris / Chapelle des Comtes de Créhange(45 rue Hirschauer). Ancienne maison franche de la famille de Créhange, au service des évêques de Metz et des comtes de Nassau-Sarrebruck. Cette chapelle de style gothique flamboyant (voûte d’ogive nervurée en étoile, liernes, tier-
cerons) fut édifiée au 16e siècle. Les clefs de voûte comportent les armes de la Maison de Créhange et de la famille de Mansfeld. Accueillant tour à tour un jeu de quilles, un abri durant la dernière guerre et une cave à provisions, elle est restaurée en 1986 et classée Monument Historique. Ouverte de 7h30 à 12h et de 14h à 18h, sauf le lundi matin.
Hôtel de la poste aux chevaux (36-38 rue Hirschauer)L’ensemble date du début du 18e siècle (1723). Saint-Avold était alors un relais sur la route Metz-Francfort et ce jusqu’à l’apparition du chemin de fer au 19e siècle. Remarquable porte cochère surmontée d’une tête d’Eole et flanquée de deux têtes de lion. Le portail est rehaussé de superbes motifs attribués à l’artiste Melling. De part et d’autre du portail, deux portes en chêne avec de magnifiques panneaux montrant une décoration florale et des têtes d’anges.
Ancienne église Saints Pierre et Paul (place Collin)Erigée à l’époque carolingienne (8e - 10e siècle), elle fut agrandie au 15e siècle. De l’ancienne église paroissiale désaffectée au profit de l’église abbatiale durant la Révolution Française, il ne subsiste de son illustre passé que quelques arcs cintrés harmonieusement intégrés dans le bâtiment actuel. Visite extérieure uniquement.
Fontaine Sainte-Marie (rue Poincaré)Edifiée en 1714 à l’emplacement d’une fontaine réalisée en 1313 par l’abbé Jean, cette bucolique fontaine est surmontée d’une croix de Lorraine finement ciselée. La façade à laquelle elle est adossée porte dans une niche une Vierge à la Chaise réalisée en 1986 par Helmuth Muller (1910-1989), artiste local. Il s’agit d’une copie de la statue originelle du 15e siècle, volée en 1973.
Chapelle Sainte-Croix (rue Mangin)Cette chapelle, de style gothique flamboyant, date de la fin du 15e siècle : c’est le plus ancien monument de Saint-Avold. Haut lieu de culte jusqu’à la moitié du 18e siècle, un ermite sera chargé de son entretien. Une
régression sensible de la dévotion populaire se fera sentir dès la seconde moitié du 19e siècle. Son mobilier vendu, la chapelle sera laissée à l’abandon. En 1966, la Ville, devenue propriétaire de l’édifice le restaure. Sa façade est ornée d’un splendide calvaire du 16e siècle. En contre bas, la chapelle est agrémentée d’un magnifique chemin de croix réalisé au 17e siècle. La chapelle est inscrite à l’inventaire supplémen-taire des Monuments Historiques. Visite extérieure uniquement.
Basilique Notre-Dame de Bon Secours (rue Lemire)Une modeste chapelle, déjà dédiée à la Vierge, fut édifiée au 16e siècle. A la fin du 17e siècle, elle sera rebâtie selon les plans de Vauban. Le lieu acquiert rapidement une grande renommée et les fidèles affluent de toute part. Détruite durant la Révolution, la chapelle sera ensuite spontané-ment reconstruite par les habitants de la ville et deviendra rapidement trop petite. En 1890, l’archiprêtre Georges-Auguste Lemire engage la construction d’un vaste lieu de prière, complété en 1897 d’un imposant édifice octogonal surmonté d’un magnifique dôme. Le sanctuaire sera élevé au rang de «basilique mineure» le 13 août 1932 par le pape Pie XI.Un vitrail d’Arthur Schouler, maître-verrier naborien, éclaire la crypte. Sur la façade, trône la statue de l’Espérance qui provient d’un portail de la cathédrale de Metz. A proximité immédiate de l’édifice, se situent le foyer Notre-Dame, lieu d’accueil de nombreux pélerins, ainsi que la chapelle funéraire de l’abbé Lemire. Ouverte tous les jours de 7h30 à 20h.
Cimetière militaire américain (avenue de Fayetteville - 2km)Saint-Avold accueille le plus grand cimetière militaire américain de la Seconde Guerre Mondiale en Europe. Ici reposent 10 489 soldats et aviateurs américains tombés lors des batailles dans les régions frontalières. Une chapelle-mémorial décorée d’allégories sur la liberté ainsi qu’un vaste belvédère porté par un aigle symbolisant la nation américaine surplom-bent les croix et étoiles de David en marbre blanc. Sa construction fut terminée en 1960. Ouvert toute l’année de 9h à 17h sauf le 25/12 et le 01/01. Visite gratuite.
Fontaine Saint-Nabor / Place de la VictoireSur cette place, un bel ensemble de maisons du 18e siècle ainsi qu’un bâtiment d’architecture néogothique allemande datant de 1898 entourent la fontaine Saint-Nabor construite en 1714 et surplombée d’une statue du saint patron de la ville.
Abbatiale Saint-Nabor (rue du Général de Gaulle)Saint Fridolin, moine irlandais, fonde en 509 l’abbaye de Saint-Avold. En 765, Chrodegang, évêque de Metz, y trans-fère les reliques de Saint-Nabor. Régie par la règle de Saint Benoît et richement dotée durant tout le Moyen-Age, l’abbaye va se développer et être totalement reconstruite de 1754 à 1769 d’après les plans de Dom Léopold Durand, un moine architecte. Durant la Révolution Française, elle sera le siège du culte constitutionnel jusqu’en 1792 puis transformée en temple de la Raison. Début du 20e siècle, l’abbatiale fera l’objet d’une rénovation baroque souhaitée par l’Abbé Dicop. Le 9 novembre 1944, une bombe américaine s’écrase sur le bâtiment. Les travaux de restauration dureront jusqu’en 1970 et rendront à l’abbatiale sa pureté et sa simplicité originelles. L’église recèle de nombreuses richesses tels le Retable de la Vierge, la Mise au tombeau, le tableau de l’Assomption, le grand orgue, le calvaire, la statue de Saint-Nicolas, les vitraux d’Arthur Schouler...Ouverte tous les jours de 7h30 à 18h en hiver et de 7h30 à 19h en été.
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Hôtel de Ville (36 boulevard de Lorraine)Dès le 16e siècle, le Schwarzenberger Hof, grande maison seigneuriale, oc-cupe l’emplacement de l’actuel Hôtel de Ville. Devenu le château des Sei-gneurs de Hennin, le bâtiment est agrandi, construit dans l’élégant style du 18e siècle. Il s’agit, à quelques détails près de l’Hôtel de Ville d’aujourd’hui, le
parking occupant l’emplacement du jardin. En 1873, l’administration allemande y instal-le une école préparatoire impériale destinée à la formation des instituteurs. En 1921, les bâtiments accueillent l’école primaire supérieure puis un collège en 1952. En 1958, la Ville rachète l’ancien château. Après des travaux de réhabilitation, l’actuel Hôtel de Ville est inauguré le 13 février 1965.
Fontaine Saint-Jean Népomucène(rue Hirschauer). Edifiée en 1714 par le maître maçon Melchior Spinga, cette fontaine au bassin hexagonal et au balustre renflé est ornée de la statue de Saint-Jean Népomu-cène, saint protecteur contre les dangers des eaux et originaire de Bohême.
Hôtel de Paris / Chapelle des Comtes de Créhange(45 rue Hirschauer). Ancienne maison franche de la famille de Créhange, au service des évêques de Metz et des comtes de Nassau-Sarrebruck. Cette chapelle de style gothique flamboyant (voûte d’ogive nervurée en étoile, liernes, tier-
cerons) fut édifiée au 16e siècle. Les clefs de voûte comportent les armes de la Maison de Créhange et de la famille de Mansfeld. Accueillant tour à tour un jeu de quilles, un abri durant la dernière guerre et une cave à provisions, elle est restaurée en 1986 et classée Monument Historique. Ouverte de 7h30 à 12h et de 14h à 18h, sauf le lundi matin.
Hôtel de la poste aux chevaux (36-38 rue Hirschauer)L’ensemble date du début du 18e siècle (1723). Saint-Avold était alors un relais sur la route Metz-Francfort et ce jusqu’à l’apparition du chemin de fer au 19e siècle. Remarquable porte cochère surmontée d’une tête d’Eole et flanquée de deux têtes de lion. Le portail est rehaussé de superbes motifs attribués à l’artiste Melling. De part et d’autre du portail, deux portes en chêne avec de magnifiques panneaux montrant une décoration florale et des têtes d’anges.
Ancienne église Saints Pierre et Paul (place Collin)Erigée à l’époque carolingienne (8e - 10e siècle), elle fut agrandie au 15e siècle. De l’ancienne église paroissiale désaffectée au profit de l’église abbatiale durant la Révolution Française, il ne subsiste de son illustre passé que quelques arcs cintrés harmonieusement intégrés dans le bâtiment actuel. Visite extérieure uniquement.
Fontaine Sainte-Marie (rue Poincaré)Edifiée en 1714 à l’emplacement d’une fontaine réalisée en 1313 par l’abbé Jean, cette bucolique fontaine est surmontée d’une croix de Lorraine finement ciselée. La façade à laquelle elle est adossée porte dans une niche une Vierge à la Chaise réalisée en 1986 par Helmuth Muller (1910-1989), artiste local. Il s’agit d’une copie de la statue originelle du 15e siècle, volée en 1973.
Chapelle Sainte-Croix (rue Mangin)Cette chapelle, de style gothique flamboyant, date de la fin du 15e siècle : c’est le plus ancien monument de Saint-Avold. Haut lieu de culte jusqu’à la moitié du 18e siècle, un ermite sera chargé de son entretien. Une
régression sensible de la dévotion populaire se fera sentir dès la seconde moitié du 19e siècle. Son mobilier vendu, la chapelle sera laissée à l’abandon. En 1966, la Ville, devenue propriétaire de l’édifice le restaure. Sa façade est ornée d’un splendide calvaire du 16e siècle. En contre bas, la chapelle est agrémentée d’un magnifique chemin de croix réalisé au 17e siècle. La chapelle est inscrite à l’inventaire supplémen-taire des Monuments Historiques. Visite extérieure uniquement.
Basilique Notre-Dame de Bon Secours (rue Lemire)Une modeste chapelle, déjà dédiée à la Vierge, fut édifiée au 16e siècle. A la fin du 17e siècle, elle sera rebâtie selon les plans de Vauban. Le lieu acquiert rapidement une grande renommée et les fidèles affluent de toute part. Détruite durant la Révolution, la chapelle sera ensuite spontané-ment reconstruite par les habitants de la ville et deviendra rapidement trop petite. En 1890, l’archiprêtre Georges-Auguste Lemire engage la construction d’un vaste lieu de prière, complété en 1897 d’un imposant édifice octogonal surmonté d’un magnifique dôme. Le sanctuaire sera élevé au rang de «basilique mineure» le 13 août 1932 par le pape Pie XI.Un vitrail d’Arthur Schouler, maître-verrier naborien, éclaire la crypte. Sur la façade, trône la statue de l’Espérance qui provient d’un portail de la cathédrale de Metz. A proximité immédiate de l’édifice, se situent le foyer Notre-Dame, lieu d’accueil de nombreux pélerins, ainsi que la chapelle funéraire de l’abbé Lemire. Ouverte tous les jours de 7h30 à 20h.
Cimetière militaire américain (avenue de Fayetteville - 2km)Saint-Avold accueille le plus grand cimetière militaire américain de la Seconde Guerre Mondiale en Europe. Ici reposent 10 489 soldats et aviateurs américains tombés lors des batailles dans les régions frontalières. Une chapelle-mémorial décorée d’allégories sur la liberté ainsi qu’un vaste belvédère porté par un aigle symbolisant la nation américaine surplom-bent les croix et étoiles de David en marbre blanc. Sa construction fut terminée en 1960. Ouvert toute l’année de 9h à 17h sauf le 25/12 et le 01/01. Visite gratuite.
Fontaine Saint-Nabor / Place de la VictoireSur cette place, un bel ensemble de maisons du 18e siècle ainsi qu’un bâtiment d’architecture néogothique allemande datant de 1898 entourent la fontaine Saint-Nabor construite en 1714 et surplombée d’une statue du saint patron de la ville.
Abbatiale Saint-Nabor (rue du Général de Gaulle)Saint Fridolin, moine irlandais, fonde en 509 l’abbaye de Saint-Avold. En 765, Chrodegang, évêque de Metz, y trans-fère les reliques de Saint-Nabor. Régie par la règle de Saint Benoît et richement dotée durant tout le Moyen-Age, l’abbaye va se développer et être totalement reconstruite de 1754 à 1769 d’après les plans de Dom Léopold Durand, un moine architecte. Durant la Révolution Française, elle sera le siège du culte constitutionnel jusqu’en 1792 puis transformée en temple de la Raison. Début du 20e siècle, l’abbatiale fera l’objet d’une rénovation baroque souhaitée par l’Abbé Dicop. Le 9 novembre 1944, une bombe américaine s’écrase sur le bâtiment. Les travaux de restauration dureront jusqu’en 1970 et rendront à l’abbatiale sa pureté et sa simplicité originelles. L’église recèle de nombreuses richesses tels le Retable de la Vierge, la Mise au tombeau, le tableau de l’Assomption, le grand orgue, le calvaire, la statue de Saint-Nicolas, les vitraux d’Arthur Schouler...Ouverte tous les jours de 7h30 à 18h en hiver et de 7h30 à 19h en été.
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parking occupant l’emplacement du jardin. En 1873, l’administration allemande y instal-le une école préparatoire impériale destinée à la formation des instituteurs. En 1921, les bâtiments accueillent l’école primaire supérieure puis un collège en 1952. En 1958, la Ville rachète l’ancien château. Après des travaux de réhabilitation, l’actuel Hôtel de Ville est inauguré le 13 février 1965.
Fontaine Saint-Jean Népomucène(rue Hirschauer). Edifiée en 1714 par le maître maçon Melchior Spinga, cette fontaine au bassin hexagonal et au balustre renflé est ornée de la statue de Saint-Jean Népomu-cène, saint protecteur contre les dangers des eaux et originaire de Bohême.
Hôtel de Paris / Chapelle des Comtes de Créhange(45 rue Hirschauer). Ancienne maison franche de la famille de Créhange, au service des évêques de Metz et des comtes de Nassau-Sarrebruck. Cette chapelle de style gothique flamboyant (voûte d’ogive nervurée en étoile, liernes, tier-
cerons) fut édifiée au 16e siècle. Les clefs de voûte comportent les armes de la Maison de Créhange et de la famille de Mansfeld. Accueillant tour à tour un jeu de quilles, un abri durant la dernière guerre et une cave à provisions, elle est restaurée en 1986 et classée Monument Historique. Ouverte de 7h30 à 12h et de 14h à 18h, sauf le lundi matin.
Hôtel de la poste aux chevaux (36-38 rue Hirschauer)L’ensemble date du début du 18e siècle (1723). Saint-Avold était alors un relais sur la route Metz-Francfort et ce jusqu’à l’apparition du chemin de fer au 19e siècle. Remarquable porte cochère surmontée d’une tête d’Eole et flanquée de deux têtes de lion. Le portail est rehaussé de superbes motifs attribués à l’artiste Melling. De part et d’autre du portail, deux portes en chêne avec de magnifiques panneaux montrant une décoration florale et des têtes d’anges.
Ancienne église Saints Pierre et Paul (place Collin)Erigée à l’époque carolingienne (8e - 10e siècle), elle fut agrandie au 15e siècle. De l’ancienne église paroissiale désaffectée au profit de l’église abbatiale durant la Révolution Française, il ne subsiste de son illustre passé que quelques arcs cintrés harmonieusement intégrés dans le bâtiment actuel. Visite extérieure uniquement.
Fontaine Sainte-Marie (rue Poincaré)Edifiée en 1714 à l’emplacement d’une fontaine réalisée en 1313 par l’abbé Jean, cette bucolique fontaine est surmontée d’une croix de Lorraine finement ciselée. La façade à laquelle elle est adossée porte dans une niche une Vierge à la Chaise réalisée en 1986 par Helmuth Muller (1910-1989), artiste local. Il s’agit d’une copie de la statue originelle du 15e siècle, volée en 1973.
Chapelle Sainte-Croix (rue Mangin)Cette chapelle, de style gothique flamboyant, date de la fin du 15e siècle : c’est le plus ancien monument de Saint-Avold. Haut lieu de culte jusqu’à la moitié du 18e siècle, un ermite sera chargé de son entretien. Une
régression sensible de la dévotion populaire se fera sentir dès la seconde moitié du 19e siècle. Son mobilier vendu, la chapelle sera laissée à l’abandon. En 1966, la Ville, devenue propriétaire de l’édifice le restaure. Sa façade est ornée d’un splendide calvaire du 16e siècle. En contre bas, la chapelle est agrémentée d’un magnifique chemin de croix réalisé au 17e siècle. La chapelle est inscrite à l’inventaire supplémen-taire des Monuments Historiques. Visite extérieure uniquement.
Basilique Notre-Dame de Bon Secours (rue Lemire)Une modeste chapelle, déjà dédiée à la Vierge, fut édifiée au 16e siècle. A la fin du 17e siècle, elle sera rebâtie selon les plans de Vauban. Le lieu acquiert rapidement une grande renommée et les fidèles affluent de toute part. Détruite durant la Révolution, la chapelle sera ensuite spontané-ment reconstruite par les habitants de la ville et deviendra rapidement trop petite. En 1890, l’archiprêtre Georges-Auguste Lemire engage la construction d’un vaste lieu de prière, complété en 1897 d’un imposant édifice octogonal surmonté d’un magnifique dôme. Le sanctuaire sera élevé au rang de «basilique mineure» le 13 août 1932 par le pape Pie XI.Un vitrail d’Arthur Schouler, maître-verrier naborien, éclaire la crypte. Sur la façade, trône la statue de l’Espérance qui provient d’un portail de la cathédrale de Metz. A proximité immédiate de l’édifice, se situent le foyer Notre-Dame, lieu d’accueil de nombreux pélerins, ainsi que la chapelle funéraire de l’abbé Lemire. Ouverte tous les jours de 7h30 à 20h.
Cimetière militaire américain (avenue de Fayetteville - 2km)Saint-Avold accueille le plus grand cimetière militaire américain de la Seconde Guerre Mondiale en Europe. Ici reposent 10 489 soldats et aviateurs américains tombés lors des batailles dans les régions frontalières. Une chapelle-mémorial décorée d’allégories sur la liberté ainsi qu’un vaste belvédère porté par un aigle symbolisant la nation américaine surplom-bent les croix et étoiles de David en marbre blanc. Sa construction fut terminée en 1960. Ouvert toute l’année de 9h à 17h sauf le 25/12 et le 01/01. Visite gratuite.
Fontaine Saint-Nabor / Place de la VictoireSur cette place, un bel ensemble de maisons du 18e siècle ainsi qu’un bâtiment d’architecture néogothique allemande datant de 1898 entourent la fontaine Saint-Nabor construite en 1714 et surplombée d’une statue du saint patron de la ville.
Abbatiale Saint-Nabor (rue du Général de Gaulle)Saint Fridolin, moine irlandais, fonde en 509 l’abbaye de Saint-Avold. En 765, Chrodegang, évêque de Metz, y trans-fère les reliques de Saint-Nabor. Régie par la règle de Saint Benoît et richement dotée durant tout le Moyen-Age, l’abbaye va se développer et être totalement reconstruite de 1754 à 1769 d’après les plans de Dom Léopold Durand, un moine architecte. Durant la Révolution Française, elle sera le siège du culte constitutionnel jusqu’en 1792 puis transformée en temple de la Raison. Début du 20e siècle, l’abbatiale fera l’objet d’une rénovation baroque souhaitée par l’Abbé Dicop. Le 9 novembre 1944, une bombe américaine s’écrase sur le bâtiment. Les travaux de restauration dureront jusqu’en 1970 et rendront à l’abbatiale sa pureté et sa simplicité originelles. L’église recèle de nombreuses richesses tels le Retable de la Vierge, la Mise au tombeau, le tableau de l’Assomption, le grand orgue, le calvaire, la statue de Saint-Nicolas, les vitraux d’Arthur Schouler...Ouverte tous les jours de 7h30 à 18h en hiver et de 7h30 à 19h en été.
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