N°246 - DÉCEMBRE 2013

Dunkerque 2013,un fi nal en apothéose

ÉVÉNEMENT

PAGES 4-5

Noël parade en centre-ville

PAGES 6 À 10

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013 N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE- 2 - - 3 -

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Magazine de la Ville de Dunkerque -N°246 - Décembre 2013Directeur de la publication : Robert Serna. Réalisation : direction de la Communication de la Ville de Dunkerque (03 28 26 26 39). Rédaction : Pierre-Olivier Cayez, Marion Dufay, Aurélie Lemaire, Christophe Salengro, Sarah-May Sauvageot. Mise en page : Hélène Geslin, Véronique Heroguer. Photo de couverture : Pierre Volot. Photos : Pierre Volot, Sarah Alcalay, sauf mention particulière ou libre de droits. Conception éditoriale : MCM Information. Conception graphique : R COM’ Rigaux. Tirage : 53 000 exemplaires. Prix de vente 1,52 €. Impression : Imprimerie Mordacq, Aire-sur-la-Lys. ISSN : 1261 - 856 X. Aucun article du « Dunkerque magazine » ne peut être reproduit sans l’autorisation du comité de rédaction.

Ce journal est imprimé dans le respect de la démarche Imprim’Vert qui implique : l’élimination conforme des déchets dangereux (fixateurs et révélateurs de plaques et films, solvants de nettoyage, solutions de mouillage usées, boîtes d’encre, cartouches de toner, etc.) ; le stockage des liquides dangereux en rétention ; l’abandon des produits étiquetés toxiques au profit de produits moins dangereux.

Saint-Pol-sur-Mer

Fort-Mardyck

expressLE CAHIER

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Un franc succèspour l’inauguration du FRAC

Dunkerque 2013 :un fi nal en apothéose

Noël plus magique encoreavec Dunkerque en fêtes

Un Noël pour tous

Une promenade piétonneaux abords du Bateau Feu

Expression desconseillers municipaux

Mathilde Gens en fi nale du Elite Model Look

Noël au parc zoologique

Auditorium Bizet

Les pompiers dansle feu de l’action

À la conquêtedu nouveau FRAC

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citéDOSSIER

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Installé en plein cœur du quartier du Grand Large, le nouveau Fonds régional d’art contemporain a ouvert ses portes au public lors d’un week-end inaugural organisé les 16 et 17 novembre derniers. Ce bâtiment, inauguré par Aurélie Filippetti, ministre de la Culture et de la communication, Jack Lang, président du FRAC, et Michel Delebarre, sénateur, maire de Dunkerque, offre un espace unique de 9 400 m2 construit commeune maison ouverte à tous. Une maison qui fut bien remplie puisque deux jours durant près de 11 000 personnes ont pu découvrir les œuvres de l’exposition « Le futur commence ici », mais aussi participer à des visites guidées, rencontrer des artistes, assister à des setsde DJ,se laisser séduire par des performances ou encore apprécier les danseurs hip-hop de l’association 59760. Cette première exposition, présentée jjusqu’en avril prochain, montre un échantillon de la collection du FRAC dédiée à l’art d’aujourd’hui.Entrée libre.

Un franc succèspour l’inauguration du FRAC

4- La façade, tout en transparence, prend des allures de fourmilière à la nuit tombée.

5- Situé sous les toits, le belvédère offre une vue imprenable sur le port.

6 et 7- Le public venu en masse a pu découvrir un échantillon de la collection du FRAC.

1- L’espace permet la déambulation entre les œuvres.

2- Lors de l’inauguration, la ministre de la Culture a pu échanger

avec Jean Barroy, un anciendes Chantiers de France.

3- Les 80 chaises de l’œuvre « Superflex » occupent l’espace forum

et sont visibles du belvédère.

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8- L’installation de Latifa Echakhch, hommage aux luttes ouvrières et

clin d’œil au passé du lieu,a marqué les esprits.

9- Les DJ de Dygytal Nayves ont accueilli les visiteurs en musique.

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DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013 N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE- 4 - - 5 -

événement

D urant neuf mois, Dunkerque 2013, capitale régionale de la culture aura mis en lumière les atouts et les savoir-faire des

acteurs de l’agglomération. Mais avant que le voyage ne touche véritablement à sa fin, une dernière escale est proposée en dé-cembre aux Dunkerquois. Un final en apo-théose à travers des concerts, du cirque, de la danse et des spectacles !

Un Bateau Feu sous chapiteau

À l’aube de l’ouverture de son tout nouvel écrin, le Bateau Feu investit la place du Général de Gaulle en y dressant un cha-piteau. Du 13 au 28 décembre, la Scène nationale vous a concocté une program-mation inédite et aérienne. Les festivités sous chapiteau débuteront en musique le vendredi 13 à 20 h 30 avec les concerts de Lescop et Aline, en collaboration avec les 4Écluses. Nourri par Strychnine et Pol-nareff, Lescop concilie le disco avec Mishi-ma, marie Étienne Daho avec un hip-hop décomplexé, croise Bowie avec Yves Si-mon... Surfant sur la formule guitare, bat-terie, synthé et le « revival » des années 1980, Aline n’a quant à lui rien à voir avec la célèbre chanson de Christophe ! Place ensuite à la Gràànde Finàle le mardi 17 dé-cembre à 20 h 30. Cet étonnant spectacle de théâtre drôle et corrosif conçu par Agnès Pelletier et mis en scène par Pascal Rome tourne en dérision les codes de la téléréalité à travers l’organisation d’un

grand concours de danse jusqu’à épuise-ment… Les jeudi 19, samedi 21 et di-manche 22 décembre, place au cirque avec Klaxon. Un cirque musical dans lequel onze interprètes mêlent virtuosité de l’acrobatie et concert survitaminé. Enfin, la compagnie Les Objets Volants vous plon-gera dans l’univers mouvementé de Liai-son Carbone, les jeudi 26 et vendredi 27 décembre : cinq jeunes jongleurs expé-rimentent ici les techniques traditionnelles et les nouvelles pistes du jonglage.

Les Photons tirent leur révérence

On ne pouvait décemment pas conclure Dunkerque 2013, capitale régionale de la culture sans les incroyables Photons et

pour ce dernier rendez-vous avec les Dun-kerquois.

Les 4Écluses puissance 4 !

Et pour ces fêtes de clôture, le feu d’artifice éclatera également en musique avec les 4Écluses. La scène de musiques actuelles a imaginé quatre concerts en quatre lieux de la ville. Rendez-vous sur le trois-mâts « Duchesse Anne » de 18 h 30 à 19 h 30 pour un apéro-concert orchestré par Aidan

Simpson. L’artiste vous invitera à prendre le large au gré de ses mélodies folk du sud de l’Angleterre, alternant entre ballades douces et rock. Dès 21 h, les Lillois de Rocky enflammeront le chapiteau du Ba-teau Feu installé place du Général de Gaulle. Entre la pop music, l’electro funk et le disco, ce groupe énergique célébrera les grandes heures de la house et du ga-rage. Le marathon des concerts se pour-suivra ensuite à 22 h 30 au « Bommel Bar » avec Delbi. Passé par les 4Écluses en

2010, le chanteur et producteur joue une musique pop aux accents rock et folk. Enfin, les fêtes de clôture de Dunkerque 2013 s’achèveront avec le concert de Mr Aya and The Classics à 23 h 30 au « Kili-manjaro », avenue de l’Université. Les amoureux de reggae, ragga, et rythmes caribéens ne s’y tromperont pas : le talent des quatre musiciens du Classics Backing Band combiné à la puissance vocale de Mr Aya insufflera au public une énergie incroyablement contagieuse !

L’ensemble de la programmation sous chapiteau est accessible à tous au tarif unique de 5 €. Tél. 03 28 51 40 40.www.dunkerque-culture2013.fr

leurs prouesses pyrotechniques. Souve-nez-vous : ces petits êtres de lumière sur-voltés avaient débarqué dans la cité de Jean Bart le 6 avril dernier pour visiter le territoire… Le samedi 28 décembre, à l’occasion des fêtes de clôture de Dun-kerque 2013, ils seront donc bel et bien présents à partir de 20 h sur la place du Général de Gaulle pour un show épous-touflant. Dernier épisode de cette saga concoctée par le Groupe F, le spectacle féerique de ces bonshommes venus d’ail-leurs promet un beau moment de magie

un final en apothéose

Lumières posées sur l’église Saint-Éloi Mettant en évidence l’histoire des églises de l’agglomération par une mise en scène artistique d’images d’archives et de prises de vues et de son du territoire, Lighthouse est une installation vidéo et sonore créée spécialement dans le cadre de Dunkerque 2013, capitale régionale de la culture. Diffusée à l’intérieur de l’église Saint-Éloi, cette scénographie poétique imaginée par la compagnie Les Yeux d’Argos attire le regard des visiteurs sur la beauté et la grandeur de l’édifice. À découvrir les 13, 20 et 27 décembre et 3 janvier à 17 h. Gratuit.

Dunkerque 2013 :

Rocky à suivre le samedi 28à 21 h sous le chapiteau

du Bateau Feu.

Du jonglage avec Liaison Carbone les 26 et 27 décembre.

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Les Photons reviennent pour un dernier tour de piste le samedi 28 place du Général de Gaulle.

La compagnie Volubilis orchestre la Gràànde Finàle mardi 17 à 20 h 30.

événement

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Noël plus magique encore avec Dunkerque en fêtesIlluminations, animations de rue, décors enchantés, marché de Noël, foire d’hiver, grande parade… Dunkerque en fêtes vous invite à célébrer dansla joie, la convivialité et la féerie les fêtes de fin d’année. Magique !

D u 7 décembre au 12 janvier, la ville de Dunkerque relève une nouvelle fois le défi d’un conte de Noël déclamé durant plus

d’un mois aux quatre coins du centre-ville, cœur d’agglomération. Pour l’occasion, les services municipaux, directions de l’anima-tion et de l’aménagement urbain en tête, ont rivalisé d’imagination et d’ingéniosité. Le récit des fêtes de fin d’année vous ré-serve une guirlande de surprises.Première d’entre elles, la grande parade de Noël, qui revient le 15 décembre pour un dimanche populaire et merveilleux. Surprise aussi du côté de la place Jean Bart, investie par un village enchanté, une patinoire et un

ours géant. Nouveauté encore dans le sil-lage du marché de Noël réorganisé et flan-qué d’une grande roue. Surprise toujours avec les projections de lumières et de cou-leurs sur la façade de l’hôtel de ville…Garant de l’attractivité du centre-ville et soutien de son activité, Dunkerque en fêtes traduit aussi le dynamisme de ses commerçants qui ouvriront traditionnelle-ment leurs portes les dimanches 8, 15 et 22. Autre partenaire fidèle de la Ville : le Casino de Dunkerque, dont le mécénat participe au déploiement de cette pléiade d’artistes de rue.Chacun est à sa place, la belle histoire peut débuter…

Le marché de NoëlOrganisée dans le parc de la Marine par la société Festinor, l’édition 2013 du marché de Noël vous ré-serve quelques nouveautés : une quarantaine d’exposants renouve-lés à 80 %, une grande roue de 38 m de diamètre installée rue des Fusiliers Marins, des producteurs de champagne présents le week-end. Comme les autres années, vous y retrouverez 30 chalets où dénicher

achats plaisirs et idées cadeaux : artisanat (bijoux, bonnets, gants, jouets…), alimentaire (vin chaud, crêpes, gaufres, galettes bretonnes, confiseries, pâtisseries, salaisons…), coutellerie, parfumerie. Portraitistes, sculpteurs de ballons et autres ar-tistes de rue achèveront d’assurer une ambiance festive et conviviale à ce marché de Noël revivifié.

Parc de la Marine, tous les jours de 10 h 30 à 19 h 30. Fermé le mercredi 25. Informations et horaires complets sur le site www.marchedenoeldunkerque.fr.

Du 7 au 31

Foire d’hiverDu 21 décembre au 12 janvier, installées de part et d’autre du canal exutoire, rue du 110e RI et avenue du Stade, quelque 130 attractions vous attendent. Des journées promotionnelles sont prévues : un ticket acheté, un gratuit le samedi 21 et tarif réduit le dimanche 12 janvier. Du 7 au 31 décembre, vous retrouverez aussi manèges et attractions place de la République.

eaux : gants,

La sphère

du père Noël

C’est sur la place Jean Bart, aux abords du village enchanté, que le père Noël attendra cette année les enfants pour des séances

de photos et des distributions de friandises les 14, 15, 18 et

du 21 au 24, de 14 h 30 à 18 h 30.

République.

Noël

événement

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Samedi 14

Jackson Brass BandTous les tubes de Michael Jackson… au son cuivré du Jackson Brass Band !Spectacle déambulatoire. Départ parc de la Marine à 15 h 30 et place Charles Valentin à 18 h.

Le bonhomme Hiver et sa suitePar la compagnie AciduUn bonhomme de neige

escorté par deux sapins bavards cherche une amoureuse…Spectacle déambulatoire. Départ place Charles Valentin à 15 h 15 et 17 h 15.

Les GnomikysPar la compagnie Remue MénageLe roi et la reine de Gnomiky sont accompagnés de musiciens et de géants…Spectacle déambulatoire. Départ place Charles Valentin à 15 h 30 et 17 h 30.

Dimanche 15

Les New Stomp’pères NoëlStandards New Orleans, mais aussi morceaux de Vian, Brassens ou Trenet, et les plus

beaux chants de Noël revisités par cette fanfare !Spectacle déambulatoire. Départ rue des Sœurs Blanches à 15 h et rue Albert Ier à 16 h 30.

The Musical Animals BandCe groupe de musiciens dunkerquois propose un programme allant du jazz à la variété, en passant par les chants de Noël.Spectacle déambulatoire. Départ place du Minck à 15 h et place Charles Valentin à 16 h 30.

Mercredi 18

The Musical Animals BandSpectacle déambulatoire.Départ rue des Sœurs Blanches à 15 h 30 et parc de la Marine à 17 h 30.

Les Marraines FéesPar la compagnie LilouÀ la tombée de la nuit, le monde des fées s’ouvre à vous. Jeu d’acteurs, danse sur échasses, marionnettes et petites pyrotechnies rythment

ce tableau magique.Spectacle déambulatoire. Départ place Charles Valentin à 15 h 30.

Samedi 21Les New Stomp’pères NoëlSpectacle déambulatoire. Départ rue Poincaré à 15 h 30 et rue Albert Ier à 17 h 30.

L’Apprenti SorcierPar la compagnie Les Lutins réfractairesCette parade de lumière vous

emmène dans un univers poétique et musical.Spectacle déambulatoire. Départ place Charles Valentin à 16 h 45.

Dimanche 22

Les Origamines de NoëlPar la compagnie AciduDeux cocottes en papier à taille humaine détournent quelques chansons de Noël dans un courant d’air convivial et gentiment moqueur…

Spectacle déambulatoire. Départ place Charles Valentin à 15 h et 17 h 15.

Mr BlokPar la compagnie Les DécataloguésGabardine noire, visage grimaçant, une silhouette immense déambule portant dans ses bras ce qui semble rester d’un vieil appartement…Spectacle déambulatoire avec saynètes en fixe. Départ place Charles Valentin à 15 h 15 et 17 h 30.

Samedi 21

Le village enchantéC’est l’une des grandes nouveautés de cette édition 2013 de Dunkerque en fêtes : le village enchanté ! Installé place Jean Bart, entièrement réalisé par les services de la ville de Dunkerque, il garantira aux enfants et à leurs parents un émerveille-ment total. Dans l’esprit des vitrines des grands magasins parisiens, ce tout nou-veau décor, imaginé au cœur d’une forêt de sapins et de bouleaux, vous plongera

Du 14 décem bre au 5 janvier

Promenade en calècheBonnet vissé sur la tête, couverture sur les genoux et sourire jusqu’aux oreilles, les familles ne man-queront pas de s’accorder une pause gentiment désuète avec les promenades en calèche. Parcours : parvis du beffroi, rues Poincaré,

Thévenet, des Chaudronniers et Clemenceau, place Charles Valentin

et rue Clemenceau.Les 18, 22, 23 et 24

de 15 h 30 à 18 h 30.

ANIMATIONS DE RUE

dans l’ambiance d’un village de montagne peuplé… d’oursons et de peluches en tout genre ! Salle de classe, hall de gare, chambre d’enfant, boutique de l’horloger, salle de spectacle, fabrique de jouets, autant de tranches de vie féeriques… et animées !

Place Jean Bart de 11 h à 19 h.

LPL

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Les 14, 15, 21 et 22

Patinoire et Teddy BearAutre nouveauté : la patinoire ! Une aire de glisse synthétique de 8 m sur 14 m installée, grâce au concours financier de commercesdun-kerque.com, place Jean Bart à compter du samedi 21 décembre. Elle sera précédée du 14 au 18 par un Teddy Bear géant : haut de 3,50 m et large de 3 m, ce nou-nours est entièrement fait de leds élec-

triques ! L’endroit idéal pour une photo souvenir. À partir du jeudi 19, Teddy rejoin-dra la place Charles Valentin, accompagné de sa pyramide de sapins…

Place Jean Bart de 10 h à 19 h.

Descente du beffroi par le père Noël

En préambule à l’apparition du père Noël, la compagnie Les Lutins réfractaires achèvera son spectacle déambula-toire place Charles

Valentin vers 17 h 45. Puis « La féerie des lumières » embrasera la façade de l’hôtel de ville, laissant ainsi au traîneau volant du père Noël le temps de se poser à 18 h sur le faîte de la mairie, place Charles Valentin.

En à l’dulaLeréas

V l

Les contes de l’AventLes contes de l’Avent vous sont proposés par le service de lecture publique de la Ville et le réseau des bibliothèques. Au programme : la compagnie de la Minuscule Mécanique le samedi 14 à 15 h, 16 h et 17 h ; les Tambours Battants le dimanche 15 à 15 h ; « En attendant Noël » le samedi 21 à 16 h ; « Antoine le rêveur » le dimanche 22 à 15 h, 16 h et 17 h.

Salle Vauban, hôtel de ville de Dunkerque. Plus d’informations sur le site www.ville-dunkerque.fr.

événement

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013- 10 -

Les AndroïdesPar la compagnie AircompagnieProgrammés pour marcher en ligne, ces androïdes se déconnectent et se mettent à danser.Spectacle déambulatoire avec saynètes en fixe.Départ place Charles Valentin à 15 h 30 et 18 h.

Noël GivréPar la compagnie Jacqueline CambouisQuatre musiciens givrés reprennent de grands

classiques, arrangés pour les cuivres, l’accordéon et le chant.Spectacle déambulatoire avec saynètes en fixe. Départ rue Wilson à 15 h, place Charles Valentin à 16 h 30 et boulevard Alexandre III à 18 h.

Lundi 23 décembre

Gospel UnitedLes voix vibrantes alternent chants traditionnels et modernes. Ensemble ou en solo, a capella ou accompagnées, avec humour et ferveur.Église Saint-Éloi à 16 h.

TV(i)MondePar la compagnie Les DécataloguésLa télé est dehors, on peut lui répondre ou la regarder sans être dupe. À moins que, pour

une fois, ce ne soit elle qui vous regarde ?Spectacle déambulatoire avec saynètes en fixe. Départ place Charles Valentin à 15 h et 17 h.

Mardi 24 décembre

The Musical Animals BandSpectacle déambulatoire. Départ rue des Sœurs Blanches à 15 h et parc de la Marine à 17 h.

ANIMATIONS DE RUE

Rendez-vous avait été pris il y a deux ans au lendemain du succès populaire rencon-tré par la parade de Noël. Les chars de la société Twice sont de retour à Dunkerque le dimanche 15 !Inédite en France en 2011, la grande pa-rade de Noël le sera aussi cette année puisqu’elle revient… plus dense et plus magique. 11 chars et 9 tableaux com-poseront un défilé plus étonnant animé par quelque 150 comédiens et artistes.Dans le sillage de la fantastique locomo-tive et du traîneau de rennes du père Noël, les familles sont promises à de nouvelles et merveilleuses rencontres en centre-ville de Dunkerque. Particulièrement impo-santes, notamment, la fabrique à cadeaux, deuxième char le plus grand, et la dernière plate-forme, surprise pétillante et son compte à rebours… Un événement orga-nisé par la Ville et le Casino de Dunkerque avec le concours du supermarché Leclerc du Centre Marine.Pour vous assurer d’une place de choix sur

Dimanche 15 à 17 h 30

le parcours de la grande parade de Noël, les commerçants vous invitent à investir le centre-ville dès le début de l’après-midi : l’occasion d’achats plaisirs avant les fêtes ou de pauses gourmandes et chaleureuses.Côté pratique, la Ville et son partenaire DK’Bus Marine non seulement maintien-dront ce dimanche 15 la navette du centre-ville, mais ils en augmenteront les rotations. Malin aussi, le transport en bus avec le ticket journée à 1 € instauré pour le dimanche 15.

Parcours : rond-point de l’Esplanade, rues Royer, Poincaré, Thévenet, des Chaudronniers et Clemenceau, place Jean Bart, boulevard Alexandre III, place de la République, rues du Sud et de l’Esplanade. Durée : 1 heure 30.

La féerie des lumièresDu 21 au 23 décembre, « La féerie des lumières », en partenariat avec EDF, s’invite à Dunkerque place Charles Valentin à 18 h, 18 h 30 et 19 h. Les sculpteurs de lux ont choisi l’hôtel de ville comme terrain de jeu : la façade du bâtiment fera l’objet de projections monumentales qui en modifieront largement la perception. Imaginé sur le thème de « Noël à travers le monde », ce relooking de l’hôtel de ville ne manquera pas d’attiser la curiosité.

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La grande parade de Noël

expressLE CAHIERLes commerces ouverts le dimancheAfi n de vous permettre de faire vos achats en toute tranquillité, les commerces du centre-ville de Dunkerque sont ouverts les dimanches 8, 15 et 22 décembre. 450 enseignes nationales et boutiques indépendantes ainsi que deux centres commerciaux pour vos achats de fi n d’année : vous y trouverez un choix immense d’objets et produits destinés à vos cadeaux et vos décorations de Noël.

Un Noël pour tous

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P our que Noël soit syno-nyme de fête pour tous les Dunkerquois, la Ville, le Centre communal d’action

sociale et les associations locales se mobilisent tout au long du mois de décembre afin d’apporter un peu de chaleur et de gaieté en cette fin d’année. Parmi les nom-breuses actions menées sur notre territoire, l’association L’Étoile Fi-lante organise son arbre de Noël à destination des enfants défavorisés de la Flandre Maritime le mercredi 11 décembre à partir de 14 h à la salle de la Concorde. Au pro-gramme des réjouissances : une pièce de théâtre « Le Magicien naze », suivie d’un spectacle de danse intitulé « Rêves d’un Noël tout en blanc ». Cofinancé par le Conseil général et l’Association des Snustreraer, cet après-midi festif s’achèvera par la venue du père Noël et de ses lutins qui distribue-ront des friandises aux enfants

sages. Le Centre communal d’ac-tion sociale célébrera lui aussi Noël en proposant aux personnes iso-lées de se retrouver le vendredi 20 décembre à partir de midi à la salle Gaston-Bornais pour partager en-semble le Noël de l’amitié. Enfin, les jeunes Dunkerquois pourront s’amuser comme il se doit à l’occa-sion du Noël de l’Enfance pro-grammé le samedi 21 décembre à 14 h 30 au Kursaal : Mickey et ses amis, des acrobates mais aus-si des marionnettes et des clowns viendront éblouir petits et grands tout au long de l’après-midi. Cette manifestation est organisée par le CCAS en partenariat avec les Snus-treraer et les Kakernesches.

SOLIDARITÉ

Pour garer votre voi-ture sans difficulté et accéder aisément au cœur d’agglo-mération, n’hésitez

pas à utiliser les deux parkings-relais gratuits aménagés au Môle 1 (450 places) et sur le parking Tribut (250 places). À la fois surveillés et éclairés, ils sont desservis

toutes les 10 minutes maximum par des navettes ou des bus-navettes gratuits, ac-cessibles aux personnes à mobilité réduite et fonctionnant du lundi au samedi de 7 h 30 à 20 h. Sachez encore que les quatre parkings en enclos du quai des Hol-landais, de la rue des Fusiliers Marins (Marine 1), du bassin de plaisance (Ma-rine 2) et de l’esplanade Guynemer sont

gratuits les samedi et dimanche ainsi que tous les jours de la semaine à partir de 18 h. Enfin et selon les conditions clima-tiques, les stations dk’vélo peuvent consti-tuer une solution simple et efficace pour accéder au centre-ville de Dunkerque.

MOBILITÉ

Stationnez malin pendant les fêtes

à ili l

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Rendez-vous pourle Noël de l’Enfancele samedi 21 décembre au Kursaal.

expressLE CAHIER

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013 N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE- 12 - - 13 -

PUBLICATION

Gare au monoxyde de carboneInodore et incolore, le monoxyde de carbone est un gaz toxique. Il peut être produit par les installations de chauffage fonctionnant au gaz ou au charbon, par un chauffe-eau mal réglé, etc. Indétectable par les sens, les premiers symptômes d’une intoxication sont les seuls signaux d’alarme : vertiges, maux de tête, nausées, ouvrez vos fenêtres et appelez les pompiers ! www.intoxCO-npdc.fr.

15 000 spectateurssont venus admirer durant deux jours les prouesses techniques des plus grands talents internationaux de la danse hip-hop à l’occasion du World Street Dance organisé les 9 et 10 novembre derniers au Kursaal. Pour la petite histoire, sachez que c’est l’équipe du Japon qui a remporté ce premier championnat du monde de la discipline, devant les Pays-Bas et la Corée du Sud.

Le Furet du Nordouvre ses portes

Six mois après la fermeture de Virgin, l’enseigne culturelle « Le Furet du Nord » a accueilli ses premiers clients mi-novembre au Pôle Marine. C’est dans un espace de 1 300 m2 entièrement relooké que les Dunkerquois ont pu découvrir livres, CD, jeux vidéo, produits multimédias et de nombreux articles de papeterie et de loisirs créatifs.

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La Ville a engagé un partenariat d’une durée de deux ans avec son homologue polonaise de Gdynia dans le cadre du pro-gramme européen Comenius Regio. Ayant

INTERNATIONAL

Un partenariat franco-polonais

HANDISPORT

Le microcrédit pour lutter contre l’exclusion

Permettre aux personnes en situa-tion d’exclusion bancaire d’avoir accès au prêt afin de rebondir dans leur parcours de vie, tel est

l’objectif du microcrédit instauré dès 2008 à Dunkerque dans le cadre du fonds de cohésion sociale. Le 15 novembre dernier, la Ville et ses communes associées si-gnaient avec leur nouveau partenaire fi-nancier, le Crédit Mutuel du Nord, une convention de partenariat pour poursuivre le travail engagé par les centres commu-naux d’action sociale. « Le but de cette opération est de responsabiliser les per-sonnes en situation d’exclusion par l’octroi d’un prêt qu’elles s’engagent à rembour-ser », résume Fabrice Baert, vice-président du CCAS. « Le microcrédit doit permettre de financer un projet qui favorise l’inser-tion sociale et professionnelle. Par exemple, l’achat d’un véhicule pour aller travailler, le financement du permis de conduire ou d’un équipement de la maison… » Le montant de ce prêt s’échelonne de 300 à

NUMISMATIQUE

TOUTE L’ACTUALITÉ SURwww.ville-dunkerque.fr

PLUS D’INFOS SURwww.ville-dunkerque.fr

Samedi 14 décembre à 9 haux Stades de Flandres.Entrée libre.

C’est une première dans le Dunkerquois : l’association d’aide aux personnes à han-dicap moteur vous invite à assister aux championnats de France de rugby-fauteuil le samedi 14 décembre aux Stades de Flandres. Quatre équipes (Nuits-Saint-Georges, Roubaix, Carquefou et Paris) s’affronteront dans cette discipline collec-tive en fauteuil roulant manuel accessible aux personnes tétraplégiques, qui s’appuie sur une combinaison des règles du rugby, du basket et du hockey. Composée de 4 joueurs sur le terrain et de 8 rempla-çants, le rugby-fauteuil, discipline paralym-pique depuis 2000, est un sport tout aussi impressionnant - si ce n’est plus - que le rugby valide…

SOCIAL

3 000 €, remboursable en 36 mensualités maximum. Rappelons que le microcrédit constitue une opportunité pour des per-sonnes n’ayant pas accès au crédit clas-sique, d’autant plus qu’elles sont accom-pagnées dans leur parcours par le CCAS.

Pour savoir si l’on peut en bénéficier, il suffit de contacter les référents sociaux des antennes de quartier du CCAS.

Championnats de France de rugby

Basket-ballSalle BurnodSamedi 7 - 20 hDMBC - Pays d’AixSamedi 4 janvier - 20 hDMBC - Léon Trégor Basket

FootballStade TributVendredi 20 - 20 hUSLD - Strasbourg

HandballStades de FlandresVendredi 13 - 20 hUSDK - Dijon

agendasportif

Jean Bart s’affichesur une pièce5 000 exemplaires d’une médaille collector à l’effigie de Jean Bart ont été frappés par la Monnaie de Paris pour l’Office de tourisme de Dunkerque-Dunes de Flandre, permettant aux Dunkerquois de s’offrir une nouvelle représentation de leur héros et de partager son souvenir, ses exploits, son histoire... Cette pièce emblématique est vendue au prix de 2 € à l’accueil de l’Office de tourisme Beffroi, rue de l’Amiral Ronarc’h. Tél. 03 28 66 79 21.

Des carnavaleux en bande dessinéeIl est un pays où, pendant trois mois et grâce au déguisement, l’homme peut être femme, le pauvre être riche, le laid être beau. Alors, enfilez votre cletche, ouvrez votre berguenaere, mettez votre chapeau à fleurs et suivez les personnages de l’album « Les Carnavaleux ». Le dessinateur Bloz et le scénariste Hervé Richez vous font vivre à travers une cinquantaine de pages l’ambiance incomparable de la bande de Dunkerque. Prix : 10,60 €. Disponible chez Bamboo édition.

pour thème l’intégration par le sport sous toutes ses formes, il implique directement, côté français, les collèges Arthur-Van Hecke et Lucie-Aubrac, le Comité régional longe côte et la Maison de promotion de la san-té (MPS). Il permettra entre autres de mettre en valeur et de renforcer le pro-gramme Force Sud, l’opération Handirect du Stade ainsi que la classe de foot à horaires aménagés créée à la rentrée 2012

au collège Lucie-Aubrac à Petite-Synthe, en partenariat avec l’USLD et l’AS Dun-kerque-Sud. Ce projet européen donnera lieu à des échanges de pratiques et des rencontres professionnelles tant à Dun-kerque qu’à Gdynia, une cité proche de Gdansk réputée pour son équipe de bas-ket-ball masculine et sa section sportive de gymnastique rythmique et sportive.

La Ville a signé une convention sur le microcrédit avec le Crédit Mutuel du Nord.

La délégation polonaise était présente à Handirect du Stade.

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N° 246 - DECEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE - 15 -

cité

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DECEMBRE 2013- 14 -

Des ateliers pour comprendre l’évol ution de la cité

Lieu de musiques actuelles, les 4Écluses bénéficieront au printemps prochain d’un nouvel équipement tout proche de la salle de concert. Si l’ancien bâtiment adminis-tratif de style flamand a été conservé pour être entièrement réaménagé, les locaux annexes seront démolis pour laisser place à un nouvel ensemble. L’objectif est de créer trois studios de répétition pour les groupes du Dunkerquois, un hall d’accueil convivial, des bureaux et des salles de réunion pour l’association Arts Scéniques

Rocks qui pourra ainsi œuvrer au déve-loppement de la scène musicale locale et régionale. Les studios intégreront les der-nières normes en matière d’acoustique ainsi qu’une régie de mixage pour les enregistrements. Le coût de cet équipe-ment municipal dont le chantier de construction a débuté mi-octobre s’élève à un million d’euros hors taxes, subven-tionné à hauteur de 90 % par l’État, la Région, le Département et la Commu-nauté urbaine.

Séparés depuis 1782, le beffroi de Dunkerque et l’église Saint-Éloi sont aujourd’hui définitivement réunis ! Il n’aura fallu que quatre mois pour que ces deux monuments emblématiques de la ville se retrouvent sur un vaste parvis réalisé en pavés de grès beige avec une chaussée en plateau continu, sans différence de niveau. Entamés l’été

dernier dans le cadre du projet Cœur d’agglomération, les travaux réalisés par la Société publique de l’agglomération dunkerquoise mandatée par la Communauté urbaine viennent ainsi recréer l’histoire de Dunkerque puisque les deux édifices faisaient autrefois partie d’une seule et même entité, le beffroi servant à la fois de clocher à l’église et de tour de guet. Clin d’œil à l’histoire, un cloutage au sol permettra bientôt de visualiser les anciennes limites cadastrales de l’église originelle.

AMÉNAGEMENT

Alors que la façade de verre du Bateau Feu s’élève sous le regard des passants et que les travaux se poursuivent à l’intérieur de

l’édifice, c’est un nouveau décor imaginé par le paysagiste lillois Antoine Deleval qui accueille désormais les Dunkerquois aux abords du théâtre. Entamés au mois de juillet, les travaux ont d’abord consisté en une modification de la circulation : le gira-toire a laissé place à un carrefour plus classique. Devant le théâtre, une espla-nade en granit déclinée dans deux tons de gris a été réalisée. Un peu plus loin, devant les commerces de la rue, des ter-rasses et des micro-jardins réalisés avec des essences locales accueillent les passants, tandis qu’une seconde bande paysagère composée de jardins filtrants et entrecou-pée de liaisons piétonnes accessibles aux personnes à mobilité réduite longe le trot-toir, lui-même protégé de la circulation par

du mobilier urbain. Éléments marquants du paysage, ces jardins légèrement décaissés permettront d’absorber directement les eaux de pluie et d’envoyer l’excédent dans

le réseau existant. De son côté, la Ville tra-vaille actuellement à la réfection du petit square reliant la rue Emmery à la place du Général de Gaulle. Ici sera aménagé d’ici

CŒUR D’AGGLOMÉRATION

Donner des clés pour comprendre l’orga-nisation et l’histoire urbaine de Dunkerque, échanger des points de vue sur la cité, mais aussi et surtout se projeter dans l’ave-nir de la ville, telles sont les ambitions des ateliers Cité mis en place au sein du local

pour appréhender l’architecture issue de l’époque de la Reconstruction. Il s’agit d’apporter des éléments de compréhen-sion du développement urbain, béné-fiques à la concertation et à l’esprit cri-tique. Pour les plus jeunes, la program-mation est sensiblement la même, agré-mentée de travaux de reconstitution ou de création de la ville « idéale » que les enfants pourront emporter en classe. L’objectif est de mieux connaître leur envi-ronnement en liaison avec les programmes scolaires.

Renseignements auprès de Mélissa Chantreau, tél. 03 28 63 02 77.

la fin de l’année un vaste cheminement piéton. De nouvelles essences locales seront également plantées, en cohérence avec l’ensemble du projet.

Cœur d’agglomération. Outils pédagogiques ludiques, ces ate-liers, animés par une équipe composée d’Olivier Ryckebusch, archiviste, de Jean-Marie Fran-cescangeli, urbaniste, et de Mé-lissa Chantreau, responsable des ateliers Cité, sont gratuits et ouverts à tous. Ils s’organisent

autour de deux séances d’information pour les adultes et de trois séances pour les plus jeunes dans le cadre scolaire. La première séance, « La ville d’aujourd’hui et d’autrefois », évoque les grands repères urbains de la ville grâce à une maquette

géante de Dunkerque. Cet atelier revient sur l’histoire de la cité, des hameaux ori-ginels au XIXe siècle.

La ville d’aujourd’hui et de demainLa seconde séance, « La ville d’aujourd’hui et de demain », débute par un retour sur la période de la Reconstruction et se pour-suit par la découverte de l’exposition « Projet urbain, projet d’avenir ». Les visi-teurs découvriront ainsi la genèse du pro-jet d’aménagement conçu par l’urbaniste Joan Busquets ainsi que sa démarche de travail. Une balade facultative peut égale-ment être mise en place sur demande

Le beffroi et l’église Saint-Éloi réunis par un parvis

TRAVAUX

Les 4Écluses en chantier

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AMÉNAGEMENT

Une promenade piétonne aux abords du Bateau Feu

Le piéton est au cœur du nouveau projet d’aménagement de la place du Général de Gaulle.

La première pierre de l’extension des 4Écluses a été posée le 6 décembre. © Agence debrock.

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DECEMBRE 2013 N° 246 - DECEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE- 16 - - 17 -

cité

ILLUMINATIONS

Dunkerque enfilera son costume de lu-mière du 6 décembre au 13 janvier, de 16 h 30 à 23 h et les nuits des 24 et

31 décembre. Si le nombre de motifs installés pour les illuminations de fin d’année ne connaîtra pas de modifica-tion, il en ira tout autrement en matière de maîtrise des coûts d’électricité avec une utilisation systématique d’ampoules LED qui entraînera une baisse de la fac-ture énergétique de 20 % par rapport à l’an dernier. D’autre part, la Ville a sous-crit un contrat qui intègre la location, la pose et la dépose ainsi que le stockage du matériel avec de nouvelles écono-mies à la clé à hauteur de 50 000 €. Tous les quartiers ainsi que les com-munes associées de Mardyck et Fort-Mar-dyck seront illuminés par 933 motifs accrochés à des poteaux, en traversée de rue ou encore en façade, et par 15 km de guirlandes. Par ailleurs, la Ville dressera quelque 400 sapins de toutes tailles, en particulier aux abords des bâtiments publics et des églises.

citéactus

MOBILITÉ

TRAVAUX

Après trois mois de travaux financés par le Conseil général, le pont Ghesquière, plus

connu sous le nom de « pont blanc », a repris du service le mois dernier entre Saint-

Pol-sur-Mer et Petite-Synthe. L’ouvrage qui surplombe la RD 601 a été entièrement

rénové tant sur la voirie que sur l’infrastructure, tout en conservant sa couleur blanche.

La Communauté urbaine a pour sa part pourvu au remplacement de l’ensemble des

feux tricolores du carrefour avec l’avenue de Petite-Synthe.

ÉLECTIONS Le pont Ghesquière remis à neuf

Pour ne pas manquer les rendez-vous électoraux de 2014 - les élec-tions municipales les 23 et 30 mars et les élections européennes

le 25 mai -, vous devez être inscrit sur la liste électorale de votre lieu de résidence. Cette inscription vous permet de recevoir votre carte d’électeur, sur laquelle figure l’adresse de votre bureau de vote.

Comment s’inscrire ?

Trois modalités d’inscription sont possibles. Rendez-vous à l’hôtel de ville jusqu’au mardi 31 décembre 2013 muni d’une pièce d’identité en cours de validité (passeport, carte d’identité) et d’un document prou-vant que vous êtes bien domicilié à Dun-kerque ou y résidez depuis au moins six mois (facture d’électricité, avis d’imposi-tion, quittance de loyer...). Il est aussi pos-sible de s’inscrire par courrier en adressant à la mairie le formulaire agréé disponible sur les sites du ministère de l’Intérieur (www.interieur.gouv.fr) ou le site www.service-public.fr à la rubrique « élections ». Le formulaire doit être accompagné impérativement d’une copie d’une pièce d’identité et d’un justificatif de domicile et doit parvenir à la mairie jusqu’au 31 dé-cembre 2013. Vous pouvez également demander votre inscription sur les listes électorales par Internet via le site www.ville-dunkerque.fr.

Repoussé à deux reprises, du fait notam-ment du dédit d’une entreprise puis d’une décision du tribunal administratif suite à un recours exercé par un riverain, le pont du Triangle sera reconstruit d’octobre 2014 à décembre 2015 entre le secteur Lapin

QUE FAIRE SI…Vous avez changé de domicile : si vous êtes déjà inscrit et avez changé de domi-cile, il est nécessaire de faire la modifica-tion d’inscription au plus tard le dernier jour ouvrable de l’année 2013 pour être inscrit dans la commune de votre nouveau domicile, ou de le faire à la mairie de Dun-kerque ou dans votre mairie de quartier si vous avez déménagé intra muros.Vous venez d’avoir 18 ans ou vous aurez 18 ans avant le 28 février 2014 :vous serez inscrit d’office sur les listes électorales, sous réserve toutefois que vous vous soyez fait recenser auprès de la mairie en vue de la journée défense et citoyenneté. Vous n’avez donc pas de démarche particulière à effectuer. Vous aurez 18 ans entre le 28 février et le 22 mars 2014 : vous serez inscrit automatiquement si vous vous êtes fait recenser. Dans le cas contraire, vous pou-vez vous faire inscrire jusqu’au 17 mars en présentant une pièce d’identité (carte d’identité ou passeport) et un justificatif de domicile.Vous aurez 18 ans entre le 23 mars et le 24 mai 2014 : vous serez inscrit auto-matiquement si vous vous êtes fait recen-ser. Dans le cas contraire, vous pouvez vous faire inscrire jusqu’au 19 mai en pré-sentant une pièce d’identité (carte d’iden-tité ou passeport) et un justificatif de do-micile.

Sous le signe du développement durable

Les 23 et 30 mars, donnez de la voix !

PLUS D’INFORMATIONS SURwww.ville-dunkerque.fr

giste Gilles Noyon, ce viaduc de 120 mètres de long reposera sur trois piles et sur un dispositif de talus aux extrémités. Rappelons que l’ancien pont du Triangle avait dû être fermé fin 2010 pour des rai-sons de sécurité, avant d’être déposé neuf mois plus tard. En attendant le lancement du chantier, cinq panneaux viennent d’être implantés sur le site afin d’expliquer l’his-toire de l’écluse de Mardyck.

Un viaduc en lieu et place du pont du Triangle

Blanc à Petite-Synthe et la commune asso-ciée de Saint-Pol-sur-Mer. Outre le fait qu’il permettra de renouer un lien routier, pié-ton et cycliste au-dessus des quatre voies

ferrées et du parc urbain Jacobsen, le futur ouvrage offrira un vaste espace dégagé qui accentuera la lisibilité de l’écluse de Mardyck. Dessiné par l’architecte paysa-

La direction de l’état civil vous accueille du lundi au samedi midi.

Avenir des communes :les citoyens doivent être consultés « L’acte III de la décentralisation » est un texte fondateur d’une nouvelle organisation territoriale qui va changer profondément la République.En effet, ce texte redessine les territoires en les mettant en concurrence. Il attribue aux Régions énormément de pouvoir. La mise en place des Métropoles avec des compétences obligatoires, et non sur la base de coopération communale de solidarité, prévoit à très court terme la sup-pression de l’échelon communal. Car, de fait, les communes, tout comme les départements, seront vidées de leur capacité d’initiative.Pourtant la commune est le lieu privilégié de la démocratie, du lien entre les élus et les citoyens, de l’expression d’une vie associative riche et va-riée, de services publics de proximité.Il est donc urgent et nécessaire que les élus et les citoyens puissent donner leur avis et leur sentiment sur des sujets qui les concernent au premier chef, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Partout, dans les médias, dans les conseils de classe, on ne parle que de la réforme des rythmes scolaires. Et, curieusement, on ne parle que des aspects négatifs de cette réforme. De nombreuses localités de la région, principalement des localités de petite taille, ont eu le courage de la mettre en place à la rentrée 2013. Et s’ils sont tous d’accord pour dire que cela a un coût, ils sont unanimes à dire que les parents et les en-fants sont satisfaits de ce changement, à condition qu’il soit bien accom-pagné. Le réseau français des villes-santé de l’OMS, dont fait partie la ville de Dunkerque, a réalisé une brochure qui a pour objectif d’apporter des éléments de synthèse sur l’impact de l’articulation des temps sco-laires et périscolaires sur la santé des enfants. Ce document accessible sur le site villes-sante.com/brochures-le-point-ville-sante-sur/réalisé avec le soutien de l’INPES (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé) montre bien que tout doit être repensé en fonction de l’enfant, en particulier son emploi du temps : les temps en famille, les temps scolaires, les temps périscolaires (c’est-à-dire immédiatement avant ou après l’école) et les temps extrascolaires avec un point de vigilance par-ticulier sur le sommeil de l’enfant.Les parents sont les premiers éducateurs de l’enfant. C’est pourquoi la réorganisation des temps de l’enfant doit être pensée avec les parents dans une démarche partenariale.La conclusion de ce document montre qu’une organisation de qualité pendant le temps périscolaire favorise la santé des enfants et contribue à la réduction des inégalités sociales.

EnsemblePour les Alternatifs, le regroupement « Ensemble » doit permettre de mettre fin à l’éparpillement de la gauche alternative : cette gauche radi-cale et unitaire, refusant le dogmatisme et le repli sur ses certitudes, cette gauche à la recherche d’un projet alternatif de société, cette gauche qui se réfère autant au vert qu’au rouge et qui se réclame aussi du fémi-nisme, cette gauche altermondialiste pour qui l’autogestion est à la fois une référence et une pratique, cette gauche qui n’ignore pas les institu-tions et les élections mais doit accorder la priorité aux mobilisations, aux grèves, aux luttes. Cette gauche alternative partagée en de petites orga-nisations et une multitude d’engagements de type syndical, associatif oualtermondialiste sans appartenance politique doit donc se regrouper. Les Alternatifs du Littoral Dunkerquois ont soutenu cette position lors de leur Congrès national les 9 10 et 11 novembre à Paris.Pour autant, ils ont fait valoir que les Alternatifs pouvaient et devaient conserver leur identité au sein de ce regroupement.Pour plus d’ infos : http://www.alternatifs.org

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013 N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE- 18 - - 19 -

citéGROUPE SOCIALISTE ET APPARENTÉS

expression des conseillers municipaux Conformément à la loi du 27 février 2002, « un espace est réservé dans le bulletin municipal à l’expression des conseillers municipaux ».

ÉLUS MOUVEMENT RÉPUBLICAIN ET CITOYEN

ÉLUS EUROPE ÉCOLOGIE « LES VERTS »

ÉLUS COMMUNISTES

ÉLUS MOUVEMENT DES PROGRESSISTES

L’USDK nous fait rugir de plaisir !Samedi 30 novembre, c’est à la maison que l’USDK a remporté sa pre-mière victoire en Ligue des Champions, la plus prestigieuse compétition européenne, en battant les Polonais de KS Vive Targi Kielce. Ce n’est pas une mince affaire qu’ont réalisé les Dunkerquois lorsque l’on sait que Kielce n’est autre que l’un des derniers finalistes du Final 4 de la compé-tition. Un exploit! En remportant cette première victoire en Ligue des Champions, et après avoir, à chaque match, combattu avec ferveur, l’USDK inscrit le club et Dunkerque dans le gotha du sport européen: celui des grands clubs qui font rayonner leur ville sur toute l’Europe. Avec de telles prestations, nul doute qu’au delà de l’USDK c’est Dunkerque et tout le sport dunkerquois qui en sortent gagnants ! Le FRAC aux portes du succèsLe Fond Régional d’Art Contemporain a déménagé de ses locaux trop exigus à Rosendaël pour intégrer son nouveau bâtiment au Grand Large. C’est un moment important pour la ville de Dunkerque qui poursuit pour quelques semaines encore la formidable année de la capitale régionale de la culture.Le nouveau bâtiment impressionne tant par la qualité de sa conception architecturale que par l’audace d’avoir conservé l’AP2, l’ancien atelier de préfabrication des chantiers navals surnommé « la cathédrale » par les Dunkerquois et qui est un des rares bâtiments industriels des chantiers navals à être toujours debout. L’émotion des anciens des Chantiers de France était d’ailleurs très palpable.Dunkerque se dote ici d’un nouvel équipement dont la qualité permettra de fonctionner à plusieurs échelles depuis des expositions «courantes» jusqu’à des événements artistiques de grande envergure, de résonance régionale mais aussi européenne et internationale... et qui conforte -en-core- l’image dynamique et culturelle de Dunkerque.La magie des fêtes de fin d’annéeIl règne toujours en ce mois de décembre un doux parfum de fêtes ac-compagnant la fin de l’année. C’est l’occasion pour beaucoup de se re-trouver et de partager des moments chaleureux et festifs. Comme tous les ans, notre ville s’anime et revêt ses habits de lumière. Des illumina-tions qui sont d’ailleurs de plus en plus économes et respectueuses du développement durable avec le remplacement progressif des ampoules à incandescence par des LED.Si chaque quartier s’illumine et plonge les Dunkerquois dans une pé-riode plus douce et plus festive, le centre-ville sera une nouvelle fois le lieu central des animations des fêtes de fin d’année. L’ambiance prendra ici une dimension plus féérique avec les nombreuses animations mises en place par la ville de Dunkerque pour accompagner les Dunkerquois et les visiteurs dans leurs balades et leurs achats de Noël, afin que chacun puisse y trouver son compte, des passants aux commerçants dunker-quois.Joyeuses fêtes de fin d’année à tous.

ÉLUS RADICAUX DE GAUCHE

ÉLUS LES ALTERNATIFS

Pour contact : www.claudenicolet.fr.

Contact : e-mail : muplittoraldunkerquoiscoteopal@gmail.com ou tél. +33 (0) 652 141 256.Site Internet : http://www.mouvementunitaire.fr. https://www.facebook.com/salim.draiOff https://www.facebook.com/groups/136112036536011/

Vous pouvez aussi nous contacter par mail à l’adresse suivante : lesalternatifsdunkerque@aol.fr

Pour contact : Jacques Willem, Résidence Guynemer, 2 rue Jean Delvallez, 59140 Dunkerque.

67 rue de l’Amiral Ronarc’h, Dunkerque - Tél. 03 28 66 33 22.Fax 03 28 66 16 - http://dunkerque.gauchepopulaire.fr/ - particom@free.fr

Les élus écologistes : Louardi Boughedada, Géry Champagne, André Deboudt, Claudine Ducellier, Agnès Evrard, Marcel Lefevre, Jacqueline Poignant. http://www.eluseelv.flandremaritime.fr - 27 rue du Maréchal French - 59140 Dunkerque - 03 28 26 59 78.

Éducation : refonder à toutes les échellesAlors que le président de la République a fait de la jeunesse une priorité et que le projet de loi de refondation de l’école de la République est adopté, les écologistes pèsent sur l’école qu’ils veulent, qu’ils rêvent.Nous revenons de loin. Les différentes politiques publiques menées depuis 30 ans sont un échec : notre école va mal. À la coopération, on a préféré la compétition ; à la solidarité, on a préféré le culte de la perfor-mance. Enfants, enseignants, parents, sont malmenés. En Europe, nous voilà l’école « la plus inégalitaire ».Trop de nos jeunes décrochent du système scolaire, sans diplôme, et rencontrent des difficultés à s’insérer… Que leur a-t-on proposé ? Les inégalités sociales se sont renforcées, l’orientation a été peu lisible, l’al-ternance est vue comme une voie de garage, les futurs enseignants ne sont plus formés comme il se doit et les jeunes en situation de handicap sont tout simplement mis au ban.Le débat sur les rythmes scolaires démontre l’intérêt des parents pour un accueil de qualité ou une plus grande souplesse face aux situations de flexibilité auxquelles ils sont confrontés. Cela suscite à la fois intérêt et crainte des communes ; à nous écologistes de porter des projets éduca-tifs de territoire ambitieux où se retrouvent tous les acteurs.À l’État, garant de l’école publique, ajoutons la motivation des collectivi-tés pour des activités complémentaires épanouissantes. Les thèmes ne manquent pas : art, culture scientifique, éducation à l’environnement, sport…Aux côtés des enseignants, l’apport des animateurs et de l’éducation populaire, d’artistes, le dialogue avec les parents sont des atouts incon-tournables.L’école française est à la croisée des chemins. À nous écologistes de nourrir, au Parlement et dans nos communes par nos propositions, cette refondation que nous appelons de nos vœux.

« Le dernier débat d’orientation budgétaire de ce mandat ! » Synthèse de l’intervention de Salim Drai, au conseil municipal du 18 novembre 2013

« Ce débat d’orientation budgétaire est le dernier de ce mandat munici-pal. Se questionner vers quoi peut-on aller encore, que peut-on faire encore ensemble dans nos politiques municipales, c’est l’intérêt de ce débat. Est-ce qu’il y a des choses à déchiffrer, à remettre en cause, à in-nover encore ? Un mot peut compter le plus. C’est le mot ACCORD, sur les orientations futures ! L’action politique dans une équipe municipale, majoritaire, en gardant ses propres idées politiques, doit avoir vocation de transformer des choses dans une ville. Malgré la dure réalité des ef-fets d’une crise économique, notre territoire résiste bien. Optimiser nos organisations, mieux répondre aux besoins des habitants avec un service public adapté. Porter d’authentiques projets phares et de grande enver-gure, sans négliger les projets de rénovation ou de construction de loge-ments et d’équipements publics. Même si les choses sont difficiles à mettre en œuvre économiquement et face aux dangers de la montée des extrêmes et des propositions nationalistes et populistes inaudibles. Réagir et rappeler que seul le rassemblement des forces de gauche, écologistes et progressistes, peut offrir de nouvelles perspectives de dé-veloppement des politiques locales dans les communes. Dénoncer les relents d’un racisme qui aurait tendance à se banaliser. Le racisme est un délit, une infraction, ça n’est pas une opinion. »Agir et être utile avec vous pour l’avenir de Dunkerque !

Face à ce coup de force contre la démocratie locale, opéré en catimini, les élus communistes et républicains exigent la tenue d’un référendum afin que les citoyens aient réellement leur mot à dire.

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citéexpression des conseillers municipauxÉLUS « ENSEMBLE POUR DUNKERQUE »

ÉLUS « DUNKERQUE, DEMAIN, AVEC VOUS »

ÉLUS « LE DÉFI DUNKERQUOIS »

ÉLUS « LUTTE OUVRIÈRE »

Ph. Eymery : 10 rue Jean Bart - 59140 Dunkerque. www.defi-dunkerquois.com

Édith Varet, Pierre Yana, Conseillers municipaux du MoDem 33/35 rue des Sœurs Blanches, 59140 Dunkerque - Tél. 06 10 26 26 05. www.pierreyana.fr

« Ensemble pour Dunkerque », Jacqueline Gabant, Daniel Thienpoent, Laurence Wattre, 11 place du Palais de Justice, 59140 Dunkerque. Tél. 06 08 61 85 23.

Bientôt les fêtes de fin d’annéeÉconomies de fonctionnement, réduction des dépenses publiques, lutte contre le gaspillage… On n’entend que ça ! Mais qui fera les efforts et les sacrifices réclamés ?Posez la question aux contribuables dunkerquois et ils vous diront, en cette fin d’année « noire », qu’il ne faut plus rien leur demander. On au-rait, depuis longtemps déjà, dépassé localement le seuil de la décence en matière fiscale et il serait grand temps de mieux gérer l’argent public en s’attaquant à tous les gisements d’économies possibles plutôt que d’augmenter les taux d’imposition.Comment, en cette fin d’année, ne pas penser alors aux illuminations et aux traditionnelles cérémonies des vœux ? Ne pourrait-on, dans ce do-maine, réduire un peu la voilure, tout en conservant de la convivialité ? Certaines communes ou institutions l’ont fait. D’autres interviennent dif-féremment, comme Le Cateau-Cambrésis par exemple, où les élus ont accepté de diminuer de 10 % leurs indemnités en affectant la ressource à la politique sociale… Autre exemple avec cette décision étonnante de Patrick Kanner consistant , cette fois, à réduire la fréquence de parution du magazine du Département du Nord… par souci affiché d’écono-mies ! Décisions symboliques certes, mais qui ont malgré tout le mérite d’aller dans la bonne direction.Manque de visionOn en vient à se demander aujourd’hui si cela valait la peine de faire intervenir à Dunkerque (et à quel prix d’ailleurs ?) un architecte urbaniste de renom comme Joan Busquets. Que Barcelone ait un jour fait appel à lui, d’accord, mais Dunkerque n’est pas Barcelone… En effet, quand on regarde ce qui se passe en cette fin de mandat muni-cipal, on constate qu’en cinq ans le projet « Cœur d’agglo » - pour la partie située autour du théâtre et de la friche Benjamin Morel,- a été singulière-ment revu à la baisse en matière de commerces comme de logements. La gauche tente aujourd’hui de justifier ce changement profond en par-lant de la crise. Mais alors, pourquoi avoir sans cesse nié celle-ci quand la droite était au gouvernement ? La gauche n’a pas la bonne vision des choses et c’est tout aussi mani-feste avec le projet Grand Nord (incluant l’Arena) dont le volet commer-cial a lui aussi été réduit ; cette fois pour cause de « déséquilibre com-mercial » entre le centre-ville et la périphérie ! Cela fait beaucoup d’erreurs et, hélas, ce n’est peut-être pas fini.Redynamiser le centre-villeNous aimerions tous avoir, à Dunkerque, un cœur d’agglo vivant. Mais, si la gauche nous promet depuis longtemps d’agir en ce sens, la réalité n’est pas à la hauteur de l’enjeu.Dans le « DK Mag » de septembre 2012 (n°44), nous avions déjà tiré le signal d’alarme sur la baisse du chiffre d’affaires du commerce de centre-ville et sur l’augmentation, particulièrement forte des loyers et des charges. Depuis lors, une étude sur l’état du commerce des centres-villes est venue confirmer le diagnostic tout en apportant un renseignement précieux : le nombre de commerces de centre-ville diminue tandis qu’il augmente globalement en périphérie !Pour ce qui est du « taux de vacance commerciale », le centre de Dun-kerque se situerait finalement dans la bonne moyenne. Pas de quoi s’inquiéter outre mesure, sauf qu’un an à la fois, le phénomène s’accroît : la population quitte le centre pour aller vivre en périphérie et… le com-

Leur justice fi scale et la nôtreY aura-t-il une « remise à plat » fiscale façon Hollande-Ayrault ? Une chose est sûre : il ne faut attendre aucune «justice fiscale» de ce gouvernement.Du point de vue des travailleurs, la seule politique fiscale juste serait la suppression des impôts indirects, la suppression de toutes les taxes, de la TVA à la taxe sur les carburants aux taxes sur les boissons, le tabac et la télévision. La seule politique fiscale juste, ce serait que l’impôt sur le revenu ne s’applique pas aux salaires des travailleurs ni à leurs retraites,

Droit de réponseSuite à la tribune de la liste « Ensemble pour Dunkerque » parue dans le Dun-kerque Magazine n°245, M. Philippe Eymery (« Le Défi Dunkerquois ») nous prie d’insérer : « Le Front National est le seul à s’être opposé depuis le début au projet Arena. Le 22 mai 2012, le conseil régional du Nord-Pas-de-Calais décidait le vote d’une subvention de 15 millions d’euros, avec déblocage immédiat de 10 millions d’euros, à l’exception du Front National.Le 18 septembre 2013, la commission Sports donnait un avis favorable au déblocage des 5 millions restants. Seul le Front National a émis un avis négatif. Dès le 28 juin 2013, Philippe Eymery a dénoncé, lors de l’enquête publique, l’information erronée d’une subvention totale de 30 millions d’euros du Conseil régional pour l’Arena. C’est pourquoi je me réjouis que le 7 octobre en commis-sion permanente du conseil régional, d’autres groupes jusque-là favorables au projet aient rejoint ma position. »

Terminal méthanier : l’emploi local sacrifi éJuin 2012, à l’élection législative, nous prévenionsPhilippe Eymery écrivait : « Ils nous volent nos emplois. Pour nous le 14e SEVESO, pour eux les emplois et les profits. En 2007, lors du débat pu-blic, les politiques nous annonçaient un chantier avec près de 2000 em-plois. Sur cette base, nous avons soutenu le projet. Le nombre est tombé à 1800, puis 1200. Pire, les premiers marchés sont attribués à des entre-prises étrangères, avec des ouvriers venus d’ailleurs. »Septembre-octobre 2013, nous dénoncionsDans le Dunkerque magazine, Philippe Eymery écrivait « Nous mettons au défi la direction de Dunkerque LNG, filiale d’EDF, de rendre publique la liste des travailleurs du chantier avec leur nationalité. »Novembre 2013, seulement 30 % de travailleurs de la RégionChiffre révélé à Loon-Plage en réunion publique pour le 4e réservoir du terminal : sur 1 223 salariés, 720 sont étrangers, soit 59 %.Pour EDF, entreprise publique, c’est « normal », pour nous, c’est honteux.Europipe : quatre mois de chômage partiel163 km de conduite gaz GDF, mais seulement 30 km pour Europipe à Grande-Synthe, à quelques kilomètres du chantier. Marché attribué aux Grecs avec des tubes de moins bonne qualité.Incroyable mais vrai, la sécurité sacrifiée pour le profit immédiat !Tous complicesÀ Lille, au Conseil régional avec Marine Le Pen, à Dunkerque au Conseil municipal, Philippe Eymery agit pour le patriotisme économique et social

Faire autrementLes débats d’orientation budgétaire qui ont lieu à la Mairie de Dunkerque, ou à la CUD, montrent clairement plusieurs choses : ces deux collectivi-tés disposent de moyens importants, ce qui nous donne encore les moyens d’agir, pour transformer Dunkerque. Toutefois, deux contraintes s’imposent nettement aux élus. D’une part, la situation sociale de nom-breux Dunkerquois interdit pour de longues années l’augmentation de l’impôt. Ce serait injuste et discriminant. Nous sommes très attentifs à cette situation. D’autre part, l’État diminue ses versements aux collectivi-tés, pour restreindre ses dépenses et opérer son redressement. Un détail amusant : ceux qui hier critiquaient l’« État-Sarkozy » approuvent au-jourd’hui l’« État-Hollande » et vice versa. Nous comprenons bien que l’État, quel qu’il soit, a besoin de redresser les comptes du pays, telle est l’urgence. La contradiction est claire : comment investir demain pour l’intérêt des Dunkerquois alors qu’on baisse nos ressources et qu’on ne peut augmenter les impôts ? Le risque est celui de la paralysie à terme. Ce serait le pire. Il faut donc dès à présent penser faire autrement. Au-cune force politique responsable ne saurait échapper à cette nécessité. D’une part, malgré les différences, toutes ces forces politiques devront établir ensemble une orientation majeure pour nos collectivités. D’autre part, la nécessité de construire des solidarités entre collectivités riches et pauvres nous conduit à faire une grande métropole, Dunkerque Métro-pole, pour que tous les citoyens trouvent les mêmes services. Par exemple avec le Tramway métropolitain. Pour que les entreprises nou-velles trouvent le même accueil afin de développer des emplois, pour faire entrer Dunkerque dans l’ère des nouvelles technologies. Enfin, la coopération avec les grandes collectivités voisines est essentielle : la Côte d’Opale et la Flandre voisine qui se développe beaucoup. Nous entrons dans une ère nouvelle, celle de la responsabilité et de la coopé-ration : oui, il faut faire autrement !

Jacques Volant : 06 13 56 19 78 - blog : http : // jacques-volant.blogspot.com/

merce suit ! Il importe donc de retenir et de faire revenir la population au centre que ce soit pour le travail, le logement, les loisirs, les études… et en y laissant venir la voiture, grâce à une politique tarifaire de stationne-ment incitative !Comme nous l’écrivions voilà un peu plus d’un an : « Il est temps de réfléchir tous ensemble à une redynamisation du centre-ville ! »ScandaleL’annulation in extremis d’un concert de Depeche Mode, prévu dans la « boîte à spectacles » de l’Arena « Pierre Mauroy », montre que la formule du PPP (partenariat public-privé) n’est pas sans risque. Elle a, rappelons-le, été privilégiée pour l’Arena de Petite-Synthe… Attention au cahier des charges car lorsque le constructeur est également l’exploitant, les couacs retentissants ne sont pas à exclure !

cité permanences des adjointssur rendez-vous

• Alain Vanwaefelghem (Premier adjoint, finances) : 03 28 26 27 77.• Gracienne Damman (Relations internationales) : 03 28 26 26 45.• François Liber (Santé, prévention) : 03 28 26 26 45.• Joëlle Crockey (Éducation, petite enfance, sports) : 03 28 26 27 61.• Marianne Nouveau (Culture, lecture publique) : 03 28 26 26 45.• Vincent Leignel (Urbanisme) : 03 28 26 26 18.• Marie-Noëlle Loger (Animation, Fêtes) : 03 28 26 27 21.• Zoë Carré (Promotion de l’égalité et des Droits de l’Homme, lutte contre les discriminations) : 03 28 26 25 99.• Claude Nicolet (Aide au développement) : 03 28 26 27 77.• Anne-Marie Dubreucq (Qualité du Service public, observatoire du pouvoir d’achat) : 03 28 26 27 77.• Daniel Lemang (Démocratie locale, débat de société, rapporteur du budget) : 03 28 26 27 21.

03 28 26 26 20 - 03 28 26 26 22 ou 03 28 26 26 84.

• Marcel Lefèvre (Écologie urbaine, voirie et éclairage public).• Wulfran Despicht (Affaires sociales, logement et politique foncière) : 03 28 26 25 89.• Salim Draï (Nouvelles technologies de l’information et de la communication).• Marie Fabre (Insertion).• Philippe Waghemacker (Citoyenneté, affaires militaires, anciens combattants, sécurité publique).• Jacques Willem (Marchés publics)• Jeanne Becquet (État civil, commissions de sécurité et d’accessibilité).• Claudine Ducellier (Déplacements urbains).• Jo Dairin (Affaires économiques et portuaires, professions libérales, artisanat et commerce).• Bernard Dormaël (Jeunesse et vie étudiante, enseignement supérieur).• Louardi Boughedada (Politique de la ville et rénovation urbaine).

• Fabrice Baert (Animation des personnes âgées) : 03 28 58 87 31.

HÔTEL DE VILLE

MAISON DE L’ARMATEUR

CCAS

LA MISSION DES ÉLUS SURwww.ville-dunkerque.fr

que l’impôt ne s’applique qu’aux véritables revenus, c’est-à-dire aux pro-fits du capital tirés de l’exploitation des travailleurs. Les exploités payent déjà, bien malgré eux, leur tribut au système. Pourquoi doivent-ils payer une seconde fois, avec des impôts ?Seuls les travailleurs créent de la richesse, pourtant les salaires permettent à peine de joindre les deux bouts pour des millions d’entre eux, car une grande partie de cette richesse est accaparée par les patrons. Alors la seule politique fiscale juste serait de faire payer les capitalistes, pas les travailleurs.

et propose des clauses environnementales et sociales dans les marchés publics. UMP, Socialistes, Pseudo-écolos votent systématiquement contre. Tous unis contre le patriotisme économique et social. Tous com-plices du dumping sociaLDernière minute, le locataire est partiLe proche du maire, locataire de la maison de trois chambres à 550 €, a subi-tement déménagé après trois ans et neuf mois d’occupation. Surprenant !

Saint-Pol-sur-Mer

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 -DÉCEMBRE 2013- 22 - N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE - 23 -

INTERVIEW

Comment se sont déroulées les sélections du concours Elite ?

Tout a commencé au mois de mai à Lille pendant que je recherchais un apparte-ment pour poursuivre mes études. J’ai appris qu’un casting avait lieu à Euralille pour le concours Elite. Je m’y suis présen-tée à tout hasard, mais l’expérience s’est poursuivie jusqu’à la finale nationale.À Lille, nous étions 400 filles âgées de 14 à 22 ans. Il fallait mesurer au minimum 1,72 m et savoir défiler en talons. J’ai l’ha-bitude d’en porter, mais passer des heures sur la pointe des pieds s’est avéré très difficile. Ensuite, j’ai été sélectionnée pour le casting national à Paris, le 4 juillet. Nous n’étions plus que 60 concurrentes de la France entière. Après une journée de shooting photo et de défilé, j’ai appris, à ma grande surprise, que je faisais partie des 12 finalistes nationales du concours Elite Model Look.

La grande finale nationale a eu lieu à Paris, capitale de la mode. Comment avez-vous vécu cette semaine ?

Elle a été psychologiquement facile, mais très dure pour les pieds ! Durant six jours, nous avons été traitées comme de vraies princesses. Nous étions logées au Buddha Bar Hôtel, un nouvel établissement de luxe au cœur de la capitale, et on nous ouvrait la porte à la descente de voiture ! J’ai vraiment vécu une expérience unique et inoubliable,

que je vais me concentrer sur mes études. Je sais cependant que, quel que soit mon choix, mes parents me soutiendront. Pen-dant la semaine du concours, j’ai rencontré différents agents, et si je peux faire quelques photos en job étudiant, ce sera parfait !

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SOLIDARITÉ

Le Téléthon au lycée GuynemerLe samedi 7 décembre de 9 h à 20 h, 99 rue de la République.Au programme : jeux pour enfants, stands associatifs, présentation de modèles réduits et démonstrations par la Section modélisme de Saint-Pol-sur-Mer, vente de sujets décoratifs pour Noël et nouvel an, démonstrations et initiation au mur d’escalade.u 10 h 45 - 11 h 45 : danse country section de Saint-Pol-sur-Mer avec Rudy et sa troupe.u 11 h 45 : ouverture officielle du Téléthon.u 14 h - 14 h 30 : association La Chiffonie.u 14 h 30 -15 h : Little Crew.u 15 h -15 h 45 : initiation à la country.u 15 h 45 - 16 h 30 : ensemble vocal Mélodie.u 16 h 30 - 17 h 30 : danse par le groupe Recto Verso.u 17 h 30 - 19 h : danse avec Ange Fiby.Un don de 1 € = 1 pièce accrochée à l’arbre de l’espoir.

41e Festival d’accordéonPar l’orchestre municipal d’accordéon de Saint-Pol-sur-Mer le dimanche 8 décembre à 15 h au centre Romain-Rolland. Ouverture des portes à 14 h 15. Réservations terminées.

Animations de NoëlLe lundi 23 décembre, place du Chevalier de Saint-Pol. Passage du père Noël dans les rues.

INSERTION

agenda

ACL Proxi Pol est une association d’habi-tants de Saint-Pol-sur-Mer, Dunkerque et Fort-Mardyck. Elle compte plus de 400 adhérents chaque année et emploie envi-ron 30 personnes en contrat d’accompa-gnement à l’emploi. L’association propose des services (laverie sociale, accompagne-ment à l’aide aux courses, atelier confec-tion) et met en place des activités telles que sorties familiales et culturelles ou lotos.

Ses objectifs

u Proposer des activités de socialisation, d’apprentissage, d’animation, de solidarité et de réinsertion.u Créer des emplois pour contribuer au développement de la ville.u Être un relais pour les habitants, ainsi qu’un lieu d’écoute, d’accueil et de convi-vialité.

ACL Proxi Pol : un acteur social actif

u Participer à la prévention et à la lutte contre les exclusions.u Lutter contre la marginalisation des per-sonnes les plus vulnérables en leur pro-posant des activités collectives.u Mettre en place des parcours d’insertion professionnelle.

Les animations

u Plate-forme de services (aide à la rédac-tion de courriers divers) : mercredi et ven-dredi de 9 h à 12 h à ACL Proxi Pol. Ren-dez-vous possible tous les jours.u Gymnastique douce : séances animées par un éducateur sportif deux fois par mois à la maison de quartier Guéhenno au centre Jean-Cocteau.u Atelier cuisine : lundi de 14 h à 17 h et vendredi de 9 h à 12 h à ACL Proxi Pol.u D’un mot à l’autre (alphabétisation) : lundi et vendredi de 14 h à 17 h à ACL Proxi Pol.u Les jardins de la cité (jardinage et cui-sine) : du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.u Créacité (activités manuelles) : vendre-di de 14 h à 17 h à la Maison des associa-tions, boulevard de l’Espérance.u A Parent’ière (éducation des enfants) : mardi de 14 h à 16 h à la Maison des asso-ciations.u Pratiques langagières : mardi de 9 h à 12 h à la Maison des associations.

Renseignements : 32 rue Gittinger à Saint-Pol-sur-Mer. Tél. 03 28 58 13 84.www.aclproxipol.org

La Saint-Poloise Mathilde Gens, 17 ans, a participé à la finale du prestigieux concours de beauté international Elite Model Look. De retour d’une semaine de rêve à Paris, elle nous livre ses impressions et ses projets.

MUSIQUE

FÊTES

L’atelier de couture ouvert dans les locaux d’ACL Proxi Pol réalise des travaux de retouche et de confection ou encore des créations de vêtements sur mesure pour les adhérents. Crédit photo : ACL Proxi Pol

encadrée par des pro-fessionnels de la mode. Nous étions complète-ment plongées dans le monde du mannequi-nat avec l’apprentissage de la marche, les es-sayages, le maquillage, les rencontres avec les agents internationaux et les répétitions. Nous avons également eu la chance de prendre un cours de cuisine chez Lenôtre, un restaurant gastronomique de renommée internationale, d’assister à une représentation au cabaret-spectacle du Lido et de visiter Paris en bateau-mouche. Le soir du show, nous avons défilé devant 700 per-sonnes au Cirque d’Hiver. La gagnante, Estelle, participera à la finale internationale en Chine.

Après avoir vécu cette expérience unique, envisagez-vous une carrière dans le mannequinat ?

Cette expérience m’a permis de prendre confiance en moi et je me suis vite prise au jeu de l’apprentie mannequin. En une semaine, nous avons été très médiatisées, les gens nous photographiaient dans la rue, mais je suis vite redescendue sur terre. Étant donné que je suis en première année de prépa intégrée à l’École natio-nale supérieure de chimie à Lille, je pense

Elite Model Look :une Saint-Poloise en finale

Elite MModell Look enLook enquelques motsElite Model Look est le concoursinternational le plus prestigieux.Véritable accélérateur de carrière,il a propulsé au rang de top modelinternational de nombreuses starsde la profession comme Cindy Crawford ou Gisele Bündchen.Des organisateurs triés sur le voletmettent en place des concoursdans une soixantaine de pays,auxquels participent chaqueannée plus de 350 000 candidates.

Être un tremplin pour l’avenir, tel est le principal objectif de l’association saint-poloise ACL Proxi Pol qui n’a cessé d’évoluer depuis sa création en 1988. Dans le cadre de sa mission, elle accueille en parcours d’insertion des personnes exclues du monde du travail.

Fort-Mardyck

LOISIRS

ANIMATIONS

CÉRÉMONIE

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013- 24 - N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE - 25 -

Saint-Pol-sur-Mer

C’est un parc zoologique entiè-rement décoré qui vous ouvre ses portes jusqu’au 29 dé-cembre tous les jours, sauf les

24 et 25, de 10 h à 17 h non-stop. Zipp la mascotte vous invitera à participer à un jeu d’observation où il s’agira de découvrir des animaux déguisés sur le thème de Noël. Vous pourrez également vous pro-mener dans une forêt de sapins, supervi-ser l’entraînement médical des quatre phoques-veaux marins et assister, à des horaires différents, au nourrissage de cer-tains animaux : le goûter des ours et de la famille castor, sans oublier le dessert de la loutre. Par ailleurs, un marché de Noël vous accueillera du samedi 21 au di-manche 29 avec stand de maquillage, barbe à papa, crêpes, marrons chauds, roue de la chance et photo souvenir en compagnie du père Noël.Des ateliers gratuits attendront les enfants les mercredi et samedi de 14 h à 16 h 30 puis quotidiennement lors des vacances scolaires, du 21 au 29 décembre inclus. Deux d’entre eux seront ouverts aux 3-7 ans (réalisation d’un set de table per-

Soirée pokerLes Corsaires Fort-Mardyckois organisent une soirée poker le samedi 14 à 19 h à la salle des fêtes, rue du Général Leclerc. Mise : 15 €. Inscriptions au 06 10 28 86 71 ou le jour même à partir de 18 h.

Marché en fêteLe marché hebdomadaire spécial Noël se déroulera le vendredi 20 de 9 h à 12 h 30 place de l’Église. Il recevra la visite du père Noël qui distribuera des friandises aux enfants, tandis que l’association Ville en fête offrira des boissons chaudes.

Découverte en calècheLa commune vous invite à participer à des promenades gratuites en calèche le samedi 21 décembre de 14 h à 17 h au départ du Square des enfants. Voilà un bon moyen de visiter Fort-Mardyck de manière écologique !

sonnalisé sur le thème des animaux dégui-sés) et aux 8-12 ans (confection d’une couronne de l’avent) avant l’arrivée du père Noël. Deux autres se dérouleront du 26 au 29 décembre avec à la clé la fabri-cation d’un calendrier 2014.

* Droit d’entrée : 1,50 €. Attention, le parc sera fermé du 30 décembre au 22 février. Tél. 03 28 27 26 24.

Qu’ils soient colombophile, instructrice de danse, nageur, joueur de pétanque, choriste ou organisateur de manifestation, ils auront en commun de recevoir un Trophée des réussites le vendredi 20 décembre à 18 h 30 à la salle des fêtes, rue du Général Leclerc. Cette manifestation, organisée par la commune, rendra hommage à des habitants qui se sont distingués au cours

de l’année écoulée, et mettra également à l’honneur des bénévoles qui s’investissent dans la vie associative. La marraine de cette édition 2013 sera Clémence Beikes, membre de l’équipe de France féminine de basket-ball, vice-championne olympique en 2012 à Londres avec « les Braqueuses ».

Les Trophées des réussites avec Clémence Beikes

TOUTE L’ACTUALITÉ SURwww.mairiedefort-mardyck.fr

La

ÉDUCATION

L’excellence récompenséeau lycée professionnel Guynemer

De drôles d’animaux vous accompagneront dans la visite du zoo.

Noël au parc zoologique

La participation des élèves aux concours permet de valoriser l’enseignement technique régional et de présenter aux entreprises des jeunes qui se préparent à entrer dans les métiers de l’industrie. Jérémy Van Massenhove, élève du lycée saint-polois, a décroché le 1er prix en construction de bâtiment et industrie du bois B4. À tout juste 18 ans, Jérémy est titulaire du baccalauréat Technicien du bâtiment : études et économie avec la mention bien. Il a effectué sa formation au sein du lycée professionnel Guynemer, entouré par une équipe éducative motivée pour laquelle son succès constitue un beau motif de satisfaction. Il a été mis à l’honneur le 30 novembre à la Chambre de commerce et d’industrie Grand Lille.

Au-delà des diplômes et des cadeaux qui ont été remis à cette occasion, la Société

industrielle du Nord de la France et le Grou pe des fé dérations industrielles ont pris l’en gagement d’ac com- pagner les lauréats demandeurs dans leurs démarches profession-nelles en les faisant

bénéficier d’un réseau privilégié et de l’expérience des hommes et des femmes de l’industrie.

Mettre en valeur les savoir-faire

À Guynemer, les lycéens sont incités à participer aux concours, à l’image des Olympiades des métiers, car ils apportent une valeur ajoutée à leur formation. Chris-tophe Berger, proviseur, souhaite faire

évoluer l’image des parcours profession-nels en mettant en avant les savoir-faire des élèves, parfois proches de l’excellence.Le lycée Guynemer compte 550 élèves préparés aux métiers du bâtiment (ma-çons, couvreurs, peintres et applicateurs de revêtements…), et ce du CAP au bac pro. Parmi ceux-ci, citons plus particuliè-rement les formations d’une durée de trois ans relatives au génie thermique et clima-tique. Elles incluent 22 semaines de stage en entreprise et sont un véritable tremplin à la vie active.Les collégiens peuvent découvrir les bac-calauréats proposés lors de forums ou à l’occasion des portes ouvertes program-mées les 14 et 15 mars prochains. Les jeunes intéressés sont invités à contacter le lycée pour y passer une demi-journée de découverte.

Le lycée professionnel saint-polois présente régulièrement ses élèves à des concours régionaux et nationaux, afin de mettre en avant l’excellence de leur savoir-faire. Jérémy Van Massenhove, élève de terminale, a ainsi obtenu cette année le 1er prix au concours régional Dessins et créations.

Les lycéens sont incités à participer aux concours car ils apportent une valeur ajoutée à leur formation.

Jérémy Van Massenhove, lauréat du concours régional Dessins et créations, accompagné de son professeur.

sorties

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013 N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE- 26 - - 27 -

Entre musique jazz et rythmes d’Orient, la saison de l’Auditorium Bizet privilégie la création sous toutes ses formes tout en revendiquant un savant mélange des genres.

C’est dans le cadre de Dun-kerque 2013, capitale régio-nale de la culture que sera présenté le web film poétique

« Journal extime » le mardi 10 décembre. Cette création inédite de Frédéric Laforgue, dressant le portrait de Dunkerque à tra-vers le regard d’une jeune fille, sera lan-cée sur Internet simultanément avec sa présentation au public, le temps d’un concert très créatif. Toujours dans le cadre de la Capitale régionale, la saison Bizet vous emmènera vers l’Orient le mardi 17 décembre avec « Alcyan », un oratorio rassemblant des musiciens amateurs, un chœur et une récitante sous la direction artistique de Sylvie Reynaert. Ce conte musical évoquant les révolutions arabes séduira sans nul doute un large public. Le vendredi 17 janvier, place au jazz avec le trio mené par le saxophoniste Raphaël Imbert : de Coltrane à Ellington, les trois musiciens revisiteront les thèmes qu’ils affectionnent tant. À l’occasion de la Semaine du son en fé-vrier, deux grands rendez-vous sont à no-ter : une soirée clip et vidéo en partenariat

avec les élèves et les profes-seurs de l’École supérieure d’art et du Conservatoire (le mardi 4, entrée libre), ainsi qu’une folle soirée placée sous le signe de la fantaisie en compagnie du musicien tru-blion Éric Bleuzé. Au pro-gramme, un conte en compa-gnie des élèves de troisième cycle du Conservatoire, puis un récital teinté d’humour et de poésie (le jeudi 6). Autre date placée sous la couleur du jazz, le mardi 18 février avec le Circum Grand Orchestra. Cette formation de douze musi-ciens propose des compositions pour le moins énergiques et denses allant du jazz au rock.

Il sera encore question de l’Orient le mar-di 25 mars avec « Les Nuits de l’amour », dans le cadre du Printemps des poètes. Axé sur la fusion entre chant et récit, entre Orient et Europe, entre tradition et création contemporaine, ce spectacle inspiré par

les contes des Mille et Une Nuits fera dia-loguer l’oud et les cordes de l’ensemble instrumental. Les 15 et 16 avril, le Bateau Feu s’associera avec l’auditorium pour pro-grammer deux rendez-vous avec le Qua-tuor Debussy qui rendra hommage aux œuvres de Haydn, Janácek, Dvorák, Bartók et Kurtág. Jean-Yves Bosseur, artiste com-positeur en résidence au Conservatoire pendant deux années, se produira ensuite le mardi 13 mai. Il reprendra un morceau du célèbre album des Pink Floyd « Atom

Une saison sous AUDITORIUM BIZET Mettre en lumière les arts graphiques, tel

est le credo de la nouvelle exposition « Multiples uniques », présentée au LAAC jusqu’au printemps prochain. La direction des musées a invité l’éditeur Bernard Chauveau, l’artiste éditeur Philippe Robert, le sérigraphe Alain Buyse et le compositeur Jean-Yves Bosseur. Tous ont investi les salles du LAAC pour présenter leur relation

singulière au livre d’artiste en tirage limité. Dans cette exposition, des ouvrages de Bernard Venet, notamment son « Mur du son » présentant un enregistrement du bruit du Concorde, côtoient « Le Grand Livre » de Philippe Favier, un véritable ex-ploit d’édition avec ses 24 pages longues de deux mètres remplies de mille figures et machines improbables. Vous y décou-vrirez également une œuvre magistrale de Roman Opalka : depuis 1972, l’artiste a réalisé chaque jour un autoportrait photo-graphique d’une neutralité absolue. Cette édition, qui rassemble 50 autoportraits imprimés en bichromie, évoque l’appari-tion des premières marques de la vieillesse jusqu’à la lente et inéluctable avancée vers la mort. Dans une des salles, « La Machine à lire » de Philippe Robert invite non seulement le spectateur à consulter des ouvrages mais aussi à écrire. Cette installation, clin d’œil à l’auteur favori des surréalistes Ray-mond Roussel, propose un labyrinthe per-mettant une déambulation entre des cou-vertures de catalogues, de livres d’artistes, de multiples et d’œuvres personnelles…, avec un accrochage pensé comme une véritable mise en page.

Multiples uniques, jusqu’au 2 mars.LAAC, pont Lucien Lefol à Dunkerque.Tél. 03 28 29 56 00.

EXPOSITION

Des œuvres à voir et à lire

Heart Mother », en présence de Ron Gee-sin qui l’a orchestré, avant de présenter une pièce pour un ensemble de cuivres et deux chanteuses sopranos. Deux derniers rendez-vous sont enfin à noter dans vos tablettes. Le mardi 27 mai, le comédien Gérald Dumont mettra en scène « Looking for Gaza », un spectacle situé à mi-chemin entre un carnet de voyage et un concert électro avec le musicien Frédéric Baudi-mant et la chanteuse Lamia Chakroun, tandis que le mardi 3 juin, vous découvri-rez « Kagel ! », une mise en scène mêlant musique et vidéo, proposée par des jeunes artistes issus du Pôle supérieur d’enseigne-ments artistiques du Nord-Pas de Calais.

Auditorium Bizet, rue de la Bastille à Petite-Synthe. Tarif : 8 €, 6 €. Tél. 03 28 24 20 03. Tous les concerts débutent à 20 h, sauf le Quatuor Debussy (à 20 h 30).

Deuxévénements dans des endroits insolitesLa saison Bizet se délocalisera à l’occasion de deux événements mêlant musique et art : la première édition du Bal des artistes qui se déroulera le vendredi 20 juin en soirée dans la cour de l’École d’art (située rue de l’Esplanade), au cours duquel élèves et professeurs se sont lancé le défi de faire danser le public, puis un après-midi musical dans les nouveaux locaux du Fonds régional d’art contemporain le samedi 21 juin autour de l’œuvre de John Cage…

le signe de la création

Découvrez « Journal extime », une installation vidéo-concert, lors de son lancement sur Internetle 10 décembre.

Éric Bleuzé marquerala Semaine du sonavec son humour détonantle 6 février.

Le Quatuor Debussyrendra hommageaux compositeursd’Europe centraleles 15 et 16 avril.

Circum Grand Orchestra, un big

band pas ordinairele 18 février.

Philippe Robert vous invite à pénétrer dans sa « Machine à lire ».

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sorties

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013 N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE- 28 - - 29 -

agenda

Jeudi 19 et samedi 21 - 19 h - Dimanche 22 - 16 h - Chapiteau devant le Bateau FeuKlaxon + Akoreacro

Mardi 17 - 20 h 30 - Chapiteau devant le Bateau FeuLa Gràànde Finàle

Samedi 7 - 20 h 30 - 4ÉclusesHeymoonshaker + John FairhurstVendredi 13 - 20 h 30 - Chapiteau devant le Bateau FeuLescop + AlineSamedi 14 - 20 h 30 - 4ÉclusesDagoba + Hypno5eSamedi 28 - 21 h - Chapiteau devant le Bateau FeuRocky

Lundi 9 - 18 h - Université de la CitadelleLa langue de Shakespeare par Jean-Claude Dupas (Des savoirs à Dunkerque)

Jeudi 12 - 12 h 30 - Musée des Beaux-Arts« Les restes de la méduse » de Valérie Favre par Jean Attali (Un midi/une œuvre)

Jeudi 12 - 14 h 30 - MéridienNiccolo Paganini, le violon du diable par Denys Simandy (ADRA)

Lundi 16 - 18 h - Université de la CitadelleLe Mexique colonial par Éric Roulet(Des savoirs à Dunkerque)

Jeudi 19 - 18 h 30 - Musée des Beaux-ArtsLe peintre Zerbini et les vaches berguoises au Maroc par Michel Tomasek (Société d’histoire et d’archéologie)

Jusqu’au 16 décembre - DépolandRévolutions arabes : l’épreuve du tempsJusqu’au 20 décembre - Château CoquelleLa Cinquième Île de Laura HennoJusqu’au 31 décembre - Atelier CultureTémoignage d’une aventure dans l’ombre d’une société par La Duchesse Jusqu’au 31 décembre - Musée aquariophileLes joyaux de la merJusqu’au 31 décembre - Parc CoquelleHommes et terres de cultures par Delphine Benoit-RouxJusqu’au 31 décembre - Bassin de l’arrière-portLittoral Frontière de Guy GervaisJusqu’au 12 janvier - Musée portuairePorts d’Europe en quête de nouveaux mondesJusqu’en avril 2014 - FRAC Nord-Pas de CalaisLe futur commence iciJusqu’en septembre 2014 - Musée des Beaux-ArtsDunkerque et la collection d’AntinoéJusqu’en 2015 - Musée des Beaux-ArtsRetours de mer

CONFÉRENCE

CONCERTS

CONCERTS

CONFÉRENCES

EXPOSITIONS

CIRQUE

THÉÂTRE

CINÉMA

DANSE

Récit de la passion entre Ariane et son amant Solal, « Belle du Seigneur » est le chef-d’œuvre d’Albert Cohen. À travers ses séances de « racontages » dans sa bai-gnoire, l’héroïne tragique et torturée dé-voile ses pensées où s’entrechoquent toutes les fureurs et les songeries du désir. Cette mise en scène signée Jean-Claude Fall et Renaud-Marie Leblanc montre une Ariane à la fois mutine, grotesque et sen-suelle, interprétée avec brio par Roxanne Borgna.

Entrée libre. Tél. 03 28 23 70 69. www.atelierculture.fr.

Belle du SeigneurJeudi 19 - 20 h 30 - Atelier Culture

CIRQUE

Jetez aux oubliettes vos références de jon-glerie désuète et oubliez tous vos a priori. Avec « Liaison carbone », vous aurez l’occa-sion de vous émerveiller devant des nu-méros spectaculaires à la poésie étonnante et de vous régaler, le temps d’une heure, face à un spectacle enchanteur, tant sur le

plan visuel que sonore. Tout comme le rire, on peut jongler de tout et même interpré-ter le prélude en do de Bach à l’aide de grands tubes colorés. Un spectacle réjouis-sant à partager en famille.

Tarif : 5 €. Tél. 03 28 51 40 40. www.lebateaufeu.com.

Jonglerie de demainJeudi 26 - 19 h - Vendredi 27 - 20 h 30 - Chapiteau devant le Bateau Feu

En 1984, le Grand Palais révélait au pu-blic français la pein-ture danoise. Cette découverte mettait en évidence un impor-tant foyer de création picturale au charme très singulier au nord de l’Europe. Le pit-toresque des paysages et des scènes de genre met l’accent sur les particularités du mode de vie scandinave. Le sculpteur Thorvaldsen ou le peintre Eckersberg, pour ne citer qu’eux, ont marqué l’histoire de l’art avec la poésie de leurs productions.

Tarif : 5 €, 1,50 €.Tél. 03 28 66 48 19 (Musoir).

Guitare noire et cheveux blonds, GiedRé chante ces petites choses dont on a honte, mais qui font rire quand les autres les ra-content. En deux notes et trois ac-cords, elle retrace le destin tragique mais rigolo d’un nain paralytique qui rencontre l’amour dans un chenil à Roubaix, chantonne le parcours d’une joyeuse bande de prostituées uni-

Né à Marseille, Louis Winsberg apprend la guitare à l’âge de 12 ans avec ses amis gitans, le groupe Los Reyes devenu les Gipsy Kings. Le virtuose mon-dialement reconnu sera de retour pour présenter son nou-veau projet « Marseille, Mar-seille… » mené en compagnie de la jeune scène métissée provençale. Ensemble, ils confrontent jazz, flamenco, slam et musique arabo-anda-louse pour improviser de nou-veaux grooves et inventer de nouveaux sons. Une musique qui parle de rencontres, d’échanges et de respect, à l’image de la cité phocéenne.

De Marseille à DunkerqueLes 12, 13 et 14 - 20 h 45 - Jazz-Club

Chansons lunairesSamedi 21 - 20 h 30 - 4Écluses

Après des années d’absence, Ouar-dia revient dans sa petite maison abandonnée, iso-lée dans la cam-pagne algérienne, pour enterrer son fils Tarik, militaire. Mais elle soupçonne son autre fils, Ali, de l’avoir tué. Dans cet uni-vers figé par la sécheresse, la vie va peu à peu reprendre ses droits, grâce au jardin que l’héroïne fait refleurir à force de cou-rage, de travail et d’obstination. Mais Ouar-dia n’est pas au bout de ses épreuves… Organisée dans le cadre de la seconde édition de « Dunkerque La Méditerranée », cette séance du film « Yema » de Djamila Sahraoui sera suivie d’une rencontre avec le producteur Cati Couteau.

Tarif : 6 €, 4,80 €. Tél. 03 28 66 47 89. www.studio43.fr.

Vision d’AlgérieMardi 17 - 20 h 30 - Studio 43 De l’autre côté

du « mirror »Il était une fois une grand-mère qui aimait les fleurs… Il était une fois un empereur qui aimait les habits… Une comédienne, un musicien, un écran, des diapos, des films de famille ou pas, des histoires vraies ou pas, du chant, une guitare électrique, des anecdotes… le spectacle « Mirror » parle de l’image et de l’oubli. Du miroir dans lequel on se regarde tout au long de sa vie, mais où on ne laisse aucune trace. Un spectacle musical à la fois léger et profond, touchant et intime, à découvrir le samedi 7 décembre à 20 h 30 au Château Coquelle.

L’âge d’or de la peinture danoiseLundi 9 - 14 h 30 et 18 h 30 - Musée des Beaux-Arts

Tarif : 15 €, 10 €, 7 €.Tél. 03 28 63 51 00.www.jazzdunkerque.fr.

jambistes et s’a-muse des para-doxes d’un monde politiquement très correct. C’est le sin-gulier et enjoué trio De Saturne qui se chargera de chauf-fer la salle avec sa musique énergique

à la poésie contagieuse.

Tarif : 12 €, 9 €. Tél. 03 28 63 82 40. www.4ecluses.com.

Le futur commence iciDe l’art minimal à l’art conceptuel en passant par le pop art, la première exposition du nouveau Fonds régional d’art contemporain rend compte de toute la richesse de ses collections. Œuvres emblématiques de l’art d’aujourd’hui produites par des artistes reconnus et émergents cohabitent avec des pièces de design au sein de tous les étages de cette nouvelle grande maison ouverte à tous. La visite s’achève sous les toits avec une vue imprenable sur la mer du Nord et le port. Entrée libre. Tél. 03 28 65 84 20. www.frac.npdc.fr.

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© David Dain - Didier Fraisse

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mémoire

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013- 30 - N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE - 31 -

Au Moyen Âge et jusqu’à la Révolution, la lutte contre les incendies est l’affaire de tous. Les différents

corps de métier - charpentiers, menuisiers, maçons… - mettent à disposition du magistrat de la ville leurs ouvriers volontaires. Ces maîtres-pompiers appelés également « égards » sont identi-fiables publiquement par une plaque apposée sur la façade de leur maison. Pour lutter contre les incendies, ils sont aidés par toutes les bonnes volontés, c’est-à-dire tous les ci-toyens détenteurs d’un seau en cuir. La corporation des charretiers envoyait des chariots et les brasseurs leurs galères pour le transport de tonnes d’eau. Ces premiers pompiers, équipés à leurs frais, manquent toutefois de véhicules de transport et leurs

moyens d’action sont rudimentaires si l’on se réfère aux quelques pompes à bras réparties en divers points de la ville. Quant à la surveillance, elle est assurée jour et nuit par un tourier, aussi appelé « pompier clairon », juché au sommet du beffroi. Il sonne l’alarme en indiquant le secteur concerné avec un nombre de coups déter-

miné. Cette technique d’alerte aléatoire n’est pas idéale pour freiner la propagation du feu dans une ville aux toits recouverts de chaume ! La municipalité encou-ragera d’ailleurs les habi-tants à construire en dur en offrant une prime à ceux qui privilégient la tuile.

conséquent. Six bornes fontaines sont mises en service en 1815, chiffre qui pas-sera à 180 en 1870. À la fin du XIXe siècle, des bouches spéciales incendie dites « pui-sards » sont implantées pour permettre d’alimenter les nouvelles pompes à va-peur. Construits sur la voie publique, ces ouvrages seront par la suite remplacés par des bouches d’incendie modernes. L’ef-fectif progresse pour sa part jusqu’à une centaine de pompiers titulaires, qui inté-greront en 1860 un bâtiment fonctionnel rue du Fort Louis. Cet hôtel des pompiers comprend un hangar pour y remiser les pompes, une tour d’exercice et de séchage des tuyaux et plus tard un garage pour abriter les véhicules d’incendie modernes. Le XIXe siècle est également source de progrès notables dans les moyens d’alerte et de communication : en 1873, l’hôtel des pompiers et la tour du guetteur au

beffroi sont dotés d’appareils télégraphiques. Quinze ans plus tard, on installe un poste central téléphonique offrant une liaison directe entre la tour, l’hôtel des pompiers, la mairie et la police. La moder-nisation du service d’incendie se poursuivra au XXe siècle : en 1917, le corps des sapeurs-pompiers devient motorisé avec l’acquisition d’un premier fourgon-pompe automobile sur lequel prennent place huit soldats du feu.

D’héroïques soldats du feu

Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, le bataillon des sapeurs-pompiers de Dunkerque, dirigé par le commandant Fichaux, voit fondre son effectif du fait des mobilisations. Pour pallier cette situation,

un détachement de pompiers militaires est mis à la disposi-tion de la ville. En janvier 1915, suite aux premiers bombarde-ments, ces deux groupes fu-sionnent tout en bénéficiant

d’un renfort des pompiers de Paris. Le corps des sapeurs-pom-

piers militarisés du camp retranché de Dunkerque ainsi nommé remplira son devoir avec dévouement durant tout le conflit en combattant les incendies monstres provoqués par les bombarde-ments aériens sur la ville et son port, et en assurant dans les pires conditions le sauvetage de nombreuses victimes. À la fin de la guerre, les pompiers de Dun-kerque qui ont perdu au feu douze des leurs reçoivent les éloges unanimes des plus hautes autorités et de la population.

Depuis deux siècles, quelles que soient

les circonstances, les pompiers veillent

sur la population. Comme le veut la

tradition, la ville célèbre en décembre

le dévouement de ses héros du

quotidien à l’occasion de la fête de

leur patronne, sainte Barbe.

Les pompiers dans le feu de l’action

dPar

Les premiers pompiers professionnels

Il faudra attendre l’Empire pour voir la formation de la première compagnie de sapeurs-pompiers qui fait alors partie de la Garde nationale, ainsi que le dévelop-pement d’un réseau d’adduction d’eau

Les caporaux du bataillon des sapeurs-pompiers de Dunkerque en 1921.

Baraquement en feu rue Zamenhof dans les années 1960.

Suite p.32

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013- 32 - N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE - 33 -

mémoirePAROLE D’HISTORIEN

Sous le déluge de mai-juin 1940

En 1939, le bataillon subit à nouveau une profonde désorganisation avec la mobili-sation de nombreux jeunes sapeurs-pom-piers, au point qu’il faut appeler des sol-dats de la Territoriale en renfort. En mai 1940, Dunkerque et son port sont en feu. Les sapeurs-pompiers de Dunkerque et ceux de la Chambre de commerce qui assuraient la sécurité du port mènent une lutte acharnée jusqu’au 4 juin 1940, date à laquelle les Allemands investissent la ville. Les pompiers sont regroupés par l’occupant dans leur hôtel rue du Fort Louis, l’un des rares bâtiments épargnés par les bombardements. Assurant diverses actions de secours jusqu’en 1944, ils par-ticipent également aux différentes évacua-tions de la population. En octobre 1944, les sapeurs-pompiers et leur matériel prennent la direction de Gravelines, à l’extérieur de la zone des combats. Ils orga-niseront, entre autres, l’évasion de deux

Tous les historiens, à un moment ou à un autre, ont envie de concrétiser un tel

projet. Les archives sont pleines d’indivi-dus dont on ignore tout. Sauf que c’est un travail qui représente des dizaines de milliers d’heures de recherches. La So-ciété dunkerquoise, et son équipe de bénévoles éclairés, était la seule à même de relever le défi.

43 personnes, et en particulier un comité de rédaction com-posé de René Gala-

mé, Jean-Pierre Mélis, Patrick Oddone, Jean-Louis Perreau et moi-même, ont travaillé durant cinq ans à l’écriture de cet ouvrage. Certaines ont rédigé une seule notice, d’autres une centaine. Et le sou-tien financier des Corsaires Dunkerquois nous a permis de réaliser une édition volumineuse à un prix accessible.

Nous espérions au départ présenter un millier de notices. On en recense 2 500 à

l’arrivée, consacrées à des habitants de Dunkerque et de plusieurs communes de son agglomération. Chronologique-ment, j’aime à dire que nous allons du néolithique à l’an 2000 ! Il ne s’agit pas d’une accumulation de notices biogra-phiques, car nous avons développé au-tant que possible le contexte de l’action des personnages. La lecture de l’ouvrage offre ainsi une multitude de parcours permettant de reconstituer l’histoire de la ville.

soldats canadiens prisonniers en leur prêtant leurs uniformes. Ce n’est que le 23 mai 1945 que les pompiers de Dun-kerque regagnent leur ville en ruine.

Des héros du quotidien

Comme tous les Dunkerquois réduits au provisoire, les pompiers s’installent à par-tir de décembre 1945 dans un baraque-ment. Face aux risques présentés par ces habitations fabriquées en bois et maté-riaux légers qui allaient bientôt recouvrir toute la ville, le conseil municipal décide le 16 janvier 1946 la création du corps des sapeurs-pompiers professionnels de Dun-kerque, alors que les communes de Malo-les-Bains et Rosendaël continuent de dis-poser de sapeurs-pompiers volontaires. Les 28 hommes de cette nouvelle com-pagnie rejoindront en mars 1956 l’actuelle

AVIS AUX VOLONTAIRESLes sapeurs-pompiers volontaires sont des femmes et des hommes qui, en parallèle de leur vie de famille et de leur activité professionnelle ou de leurs études, ont un engagement citoyen au service de la population. Ils gardent une disponibilité suffisante pour pouvoir répondre immédiatement à tout appel émis par le Centre d’incendie et de secours. Si vous souhaitez devenir sapeur-pompier volontaire, rapprochez-vous du Centre d’incendie le plus proche de chez vous.

Michel Tomasek, « un dictionnaire pour entretenir la mémoire collective »

Pourquoi un dictionnaire des Dunkerquois ?

Il y a évidemment toutes celles qui sont nées ici, qui y sont

restées ou bien qui en sont parties. Mais on retrouve aussi tous ceux qui y sont arrivés et qui ont contribué à écrire l’his-toire de la ville. Je pense notamment aux artistes, aux écrivains, aux peintres tel Jean-Baptiste Corot qui a fait connaître Dunkerque jusqu’aux États-Unis ! Nous avons fait de nombreuses découvertes, au point que ce dictionnaire constitue une base inédite pour de futures re-cherches. On y trouve des personnages importants dont on n’avait encore jamais entendu parler.

Vice-président de la Société dunkerquoise d’histoire et d’archéologie, Michel Toma-sek présente le « Dictionnaire biographique dunkerquois » qui propose une nouvelle lecture de l’histoire de la cité de Jean Bart à travers le parcours de ses habitants.

Comment a-t-il été mis en œuvre ?

Quelle organisation pour cet ouvrage ?

Quid du choix des personnalités ?

Le « Dictionnaire biographique dunkerquois » (1 184 pages) est disponible au prix de 90 € à l’accueil du musée des Beaux-Arts, par courrier au siège de la Société dunkerquoise d’histoire et d’archéologie, 4 rue Benjamin Morel en centre-ville, ainsi que sur le site http://sdha.fr.gd/. Présentation officielle le samedi 7 décembre à 17 h à l’Hôtel communautaire.

caserne édifiée boulevard Sainte-Barbe. Le service d’incendie se modernisera au fil des ans. À partir de 1961, un réseau de radiotéléphonie permet de relier progres-sivement tous les véhicules entre eux ainsi qu’au poste central de la caserne, augmentant considérablement l’efficacité et la rapidité d’intervention, tandis qu’une section de scaphandriers autonomes est créée en 1963. Dans les années 1970, le corps des sapeurs-pompiers est rattaché à la Com-munauté urbaine, professionnels et volon-taires ne formant plus qu’une seule unité placée sous le commandement du capi-taine Gautier. Les missions des pompiers ont également évolué avec le temps, l’assistance aux personnes et les accidents

de la route en particulier ayant pris le pas sur les incendies en termes de volume d’interventions.Intégrés depuis 2000 au Service départe-mental d’incendie et de secours (SDIS) du Nord, les 92 pompiers professionnels et les 22 volontaires de Dunkerque ainsi que 78 soldats du feu volontaires rattachés aux centres de secours de Malo-les-Bains et Rosendaël ont su conserver le lien privilé-gié noué au fil des siècles avec la popula-tion dunkerquoise.

Sources : Archives municipales. Notes sur l’historique des sapeurs-pompiers de Dunkerque par le lieutenant Bécuwe, Amicale des sapeurs-pompiers de Dunkerque.

Revue d’effectif en février 1973 place Jean Bart.

Collection particulièreNicolas Fournier.

Les pompiers en opération

en 1917.

Le matériel de lutte contre

l’incendie n’a cessé d’évoluer au fil du temps.

La façade de l’hôtel des pompiersdans les années 1990

rue du Fort Louis.

bouge 2là

Listes électorales : inscrivez-vousLes jeunes recensés à Dunkerque et âgés de 18 ans avant le 28 février 2014 sont inscrits de façon automatique sur les listes électorales. Si ce n’est pas votre cas, n’hésitez pas à contacter le service d’état civil de votre commune. Pour vous inscrire, il vous faudra une pièce d’identité (carte d’identité ou passeport) ainsi qu’un justifi catif de domicile. Plus d’infos au 03 28 59 1234.

>CULTURE

Les lundis du cinémaLe lundi 9 décembre à 20 h 30, direction l’Atelier Culture de l’Université pour découvrir deux films ainsi qu’un film court adapté d’un classique littéraire fait maison, créé pour l’occasion par l’atelier court-métrage. Ce premier rendez-vous s’attaquera à « L’Étranger » de Camus,le récit d’un homme étranger à lui-même mais aussi étranger au monde qui l’entoure. Plus d’infos sur www.atelierculture.fr.

Concert folkDans le cadre desfêtes de clôture de Dunkerque 2013, capitale régionale de la culture, le Musée portuaire accueille le troubadour Aidan Simpson le samedi 28 décembre à 18 h 30 sur le trois-mâts « Duchesse-Anne ». Il vous fera voyager au gré de ses mélodies folk du sud de l’Angleterre alternant entre ballades douces et folk rock. Entrée libre, réservation indispensableau 03 28 63 33 39.

Sport à la facLe service des sports de l’Université vous propose près de 100 disciplines pour pratiquer une activité physique et sportive. Sachez qu’il reste des places sur des activités de loisirs. N’attendez pas, inscrivez-vous sur http://suaps.univ-littoral.fr.

La Marine recruteChaque année, la Marine nationale propose plus de 3 000 postes aux jeunes de 17 à 29 ans. Pour en savoir plus, rendez-vous les premier, troisième et cinquième mercredis du mois de 9 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 16 h 15 à l’Hôtel de la Marine, 19 quai de la Citadelle. Tél. 03 28 66 17 83.

DUNKERQUE MAGAZINE N° 246 - DÉCEMBRE 2013- 34 - N° 246 - DÉCEMBRE 2013 DUNKERQUE MAGAZINE - 35 -

Les étudiants à la conquêtedu nouveau FRAC

APÉRO-CONCERT

TOUTE L’ACTUALITÉ SURwww.ville-dunkerque.fr

Venez apprendre les bases du skateboard en toute sécurité avec un animateur diplômé et partez à la découverte du monde de la glisse à l’occasion de deux séances ludiques de deux heures lors des vacances de

Noël le jeudi 26 et le vendredi 27 décembre de 14 h à 16 h. Il vous en coûtera 34 € et vous recevrez un diplôme ainsi qu’une entrée offerte au skatepark en fin de stage. Sont inclus dans le tarif le prêt de la planche et des protections ainsi que l’assurance (inscriptions sur place). Sachez également que le skatepark met en place un Pass’ Noël vous permettant d’accéder à tous les créneaux d’ouverture du samedi 21 décembre au dimanche 5 janvier pour la somme de 18 € (inscriptions sur place).

Le skatepark ouvert à tous

La culture à moitié prixDepuis plusieurs années, l’Université du Littoral Côte d’Opale a engagé des partenariats avec les structures culturelles pour permettre aux étudiants de bénéficier de tarifs préférentiels et de profiter de toute l’offre locale en matière de musique, cinéma et théâtre. L’ULCO prend ainsi en charge la moitié du coût

sur le Pass Studiophiles au Studio 43 (soit l’abonnement de dix séances pour 24 €), sur les entrées des concerts du Jazz-Club(soit 3,50 € la place) et sur l’abonnement 4x4 des 4Écluses (soit 5 € la carte), et offre l’abonnement à la saison du Bateau Feu (la place de spectacle revient ainsi à 5 € au lieu de 9 €).

ORIENTATION

L’Association de la fondation étu-diante pour la ville (AFEV) re-cherche des bénévoles toute l’année. Cette association pro-pose à des étudiants d’accompa-gner des enfants ou des jeunes en difficulté aussi bien scolaire que sociale à travers un suivi indi-vidualisé. Concrètement, vous aurez à vous engager deux heures chaque semaine pour intervenir dans le parcours d’un enfant de 5 à 15 ans. Au programme : aide aux devoirs, mais aussi balades, sport et discussions pour créer du lien et de l’écoute. Votre engagement per-mettra de réduire les différentes fractures, qu’elles soient sociales, spatiales ou ci-

Agissez contre les inégalités

I nitiée en 2010 sous le nom de « Frag-men FRAC », la collaboration entre l’École supérieure d’art (ESA) et le Fonds régional d’art contemporain a

consisté, trois années durant, à sortir des œuvres des réserves et à les exporter dans les locaux de l’École, puis à organiser plu-sieurs rendez-vous de médiation d’une durée d’une journée. Sensibilisation à la conservation, à l’accrochage et à la notion de collection publique, mais aussi travail de documentation autour des œuvres, ont permis aux étudiants de prendre du recul sur leur propre travail plastique. Fortes de cette expérience et profitant de l’implan-tation du FRAC dans ses nouveaux locaux, les deux structures ont souhaité renouve-ler le projet pour les trois prochaines an-nées, en le faisant évoluer avec une exi-gence de pédagogie plus complète et plus approfondie.

C’est offi ciel : les étudiants de quatrième et cinquième années de l’École supérieure d’art de Dunkerque ont désormais l’opportunité de participer à un atelier de recherche autour des pratiques de l’exposition en partenariat avec le Fonds régional d’art contemporain.

Une passerelle entre l’École d’artet le FRAC

Signée le 6 novembre dernier dans le nou-vel écrin du FRAC au Grand Large, cette convention laisse augurer de nombreux partenariats entre les deux structures dun-kerquoises dédiées à l’art contemporain. Des partenariats qui profiteront aux élèves de l’École mais aussi au Fonds régional d’art contemporain. Concrètement, ce nouveau projet appelé « Éxo » permettra aux étudiants de quatrième et cinquième années de participer à une série d’ateliers autour des pratiques de l’exposition et de sa médiation autour des œuvres. Les

élèves pourront notamment bénéficier de plusieurs cours et de conférences consa-crés aux métiers de l’organisation et du montage d’exposition. Ce partenariat pré-voit également la mise en place de cafés philosophiques dans l’enceinte de l’AP2 et des expositions de jeunes artistes émer-gents. Avec ce premier exemple, le FRAC ouvre large le champ des synergies pos-sibles avec ses nombreux partenaires.

Fonds régional d’art contemporain, 503 avenue des Bancs de Flandre au Grand Large. Tél. 03 28 65 84 20. www.fracnpdc.fr. ESA, 36 bis rue de l’Esplanade à Dunkerque. Tél. 03 28 63 72 93.

« Éxo » : le premier chapitre d’un partenariat entre l’École supérieure d’art et le FRAC.

SANTÉ

EMPLOI

viques, dont souffrent notre société et plus encore les quartiers populaires. À noter : de nombreuses universités valorisent cet engagement dans leurs cursus.

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SOLIDARITÉ

GLISSE

PLUS D’INFOSau 03 28 25 38 69ou www.afev.org

BON PLAN

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