N° 205 - Jeudi 18 Octobre 2018

Les VainqueursWARAA

N° 205 - Jeudi 18 Octobre 2018

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Siège : Derrière EPP KélégouganTél : 90-02-52-45 / 22-61-13-06E-mail : micheltchadja@yahoo.fr

c/s Casier N° 087. 13 BP152LOME-TOGO

DIRECTEUR DE PUBLICATIONMichel Yao TCHADJA

(alias Ezi Akoma)Cel : 90-02-52-45 / 22-32-92-57

SECRETAIRE DE REDACTIONPamphile S. NUMENYA

REDACTIONEZI Akoma

AchileA. Fic

Jack NukunuHubertine Akouvi

Séna Le Libre PenseurINFOGRAPHISTE

Pamphile S. NUMENYAIMPRIMERIELa Colombe

Tirage : 3.000 ExemplairesRécépissé N° 0471/29/05/13/HAAC

Annonces et pubs :appelez le 90-02-52-45

Retrouvezvotre JournalWARAALes Vainqueurs

chaque jeudidans les kiosques

Numéros UtilesCHU Tokoin : 22-21-25-01CHU Campus : 22-25-77-68

22-25-47-3922-25-78-08

Commissariat Central : 22-21-28-71Sûreté Nationale : 22-22-21-21Pompiers : 118 ou 22-21-67-06Gendarmerie (Secours et assistance)

172 ou 22-22-21-39Police secours 117

WARAALes Vainqueurs

SOCIETEProduction de l’énergie solaire

Le contrôle fiscal n’est pasmauvais en soi, au con-traire il permet au con-tr ibuable d’apprendre.Malhe ure use ment, onconstate que les contri-buables méconnaissentles textes ou les interprè-tent mal. Conscient decet état de la chose, l’Of-fice Togolais des Recettesforme ou entreti ent detemps en temps ces der-niers.Quels sont les objectifs

du contrôle fiscal ?Pour Gbekou Koffi Céles-tin, inspecteur des im-pôts, chef section contrôleà la division des impôtsLomé Nord-Ouest, les ob-jectifs du contrôle fiscal

revêtent de quatre( 4) aspects à sa-voir : l’aspect péda-gogique, qui vise àéduquer les contri-buables qui setrompent sur l’in-terprétation de laloi et de la clarifi-cation de leur si-tuation au regardde la loi ; l’aspectbudgétaire qui per-met de recouvrerles impôts et taxesau profit de l’Etatet des co lle ctivi-tés ; l’aspect dis-suasif qui vise à inviterles contribuables à pro-duire des déclarat ionscorrectes ce qui permetde réduire les manœu-

vres frauduleuses et deconsolider le civisme fis-cal et enfin l’aspect ré-pre ssif qui prévoit dessanctions aux comporte-

ment frauduleux.Les formes de

contrôleOutre ces objectifs,l’OTR a égalementplusieurs formesde contrôle à l’en-droit des contr i-buable s, ainsi, ils’agit du : contrôleformel qui se faitlorsque le contri-buable vie nt sefaire déclarer, cequi permet de cor-ri ger les erreursmatériels ; le con-trôle sur pièce ap-

pelé contrôle de cohé-rence pour vérifier laconformité entre les dé-clarations du contribua-ble et les informations

dont d ispose l’OTR ; lecontrôle externe qui per-met à l’OTR d’aller vers lecontribuable et avoir uneidée de ses activités ; lecontrôle ponctuel qui se li-mite à certains types d’im-pôts ; la vérification géné-rale qui permet de faire lebilan du contribuable.Malgré toutes ces formesde contrôle, certains con-tribuables jouent souventau malin et devant ces si-tuations de fraude inten-tionnelle ou matérielle, lasanction est appliquée.Se lon l’ inspecte urGbekou, l’OTR apprécie lescontribuables au cas parcas tout en essayant d’at-ténuer les sanctions.

Charles

Office Togolais des Recettes Les contribuables appelés à mieux connaitre les objectifs

du contrôle fiscal pour une franche collaboration

Dans le cadre de la jour-née de la fonction publi-que, le gouvernement ainitié les journées « admi-nistration rapide de proxi-mité ». Pilotées par le Mi-nistère de la Fonction Pu-blique, du Travail et de laRéforme Administrative,ces journées vont permet-tre de délivrer 1.500 ju-gements supplétifs et rec-tificatifs et 2500 certifi-cats de nationalité à lapopulation.Du lundi 15 octobre jus-

qu’au 03 novembre pro-chain, les tribunaux etles préfectures des Ré-gions Centrale et Mari-time serviront de lieux dedélivrance des actes ad-ministratifs importantsaux ci toyens togolais.Cette vaste opération ré-pond à un diagnostic évi-dent. Plusieurs Togolaisvivent encore aujourd’huisans avoir le Certificat denationalité et autres ac-tes. Certains trouvent lesfrais d’é tab lisseme nt

pas l’utilité de ce papier.L’opération vise donc àrapprocher l’administra-tion de l’usager mais sur-tout contribuer en mêmetemps à l’affirmation del’identité républicaine auTogo.Les citoyens qui sont dansle besoin sont donc invi-tés à se rendre dans lesdifférents tribunaux despréfectures des régionsindiquées.

La Rédaction

Administration rapide de proximité1.500 jugements supplétifs et 2500certificats de nationalité à délivrer

trop élevés, d’autres par-lent de lenteur de la pro-

cédure et même, il y acertains qui ne voient

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Les VainqueursWARAA ACTU

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blics e t privés pour la réa-lisation d’infrastructuresinnovantes et économes eninvestissements comme encoûts de fonctionnementtout en garantissant la sé-curité des travailleurs etusagers, le respect du ca-hie r des charges techni-ques et des délais imposéspar le projet. Ce sont là nosvaleurs principales et deréférence.Votre mot de fin Monsieurle Directeur…Permettez-moi tout d’abordde vous remercie r pourl’opportunité qui m’est don-née de présenter nos acti-vités sous un autre angle,celui de la sécurité. En ef-fet, la sécurité de nos tra-vailleurs a toujours consti-tué une priorité absoluepour le groupe et pour moitout particuliè rement surtous les territoires sur les-quels j ’ai eu la chance detravail ler. Je tiens aussi àremercie r l ’ensemble denos partenaires et salariéspour l ’accueil chaleureuxqui m’a été réservé tout aulong de mes premières se-ma ine s au Togo. Nouspourrons ainsi œuvrer en-semble pour la réalisationde beaux projets optimiséset innovants dans la lignéede ce que nous avons puréaliser ces soixante der-nières années et ainsi ac-croître encore la fierté denos collaborateurs d’appar-tenir à une entreprise auxracines togolaises de pre-mier ordre.

Interview réalisée par laRédaction

nous faut maintenant sen-sibiliser nos collaborateurssur les risques auxquels ilssont soumis dans leur vieen dehors de leur travail. Leprincipal étant, bien sûr, lerisque d’accident en circu-lation routière, raison pourlaque lle vous avez pu voirque 3 des 4 thèmes abordésdurant cette semaine por-tent sur ce sujet importantà nos yeux. Mais au-delà decette semaine, nous tra-vaillons en étroite collabo-ration avec les autorité spour améliorer le niveau desécurité des usagers de laroute (radars pédagogiques,actions de sensibilisation,semaine nationale de lacourtoisie au volant, …).SOGEA SATOM est l’unedes plus vieilles sociétésinstallées au Togo et ungrand employeur; quellessont vos ambitions pour lepays ?Nos origines au Togo re -montent en effet à 1954 soitplus de 64 ans. C’est unetrès grande fierté de fairepa rti e d’une ent re pri seayant un ancrage aussi pro-fond au Togo mais aussiune lourde responsabilitéenvers tous nos prédéces-seurs e t nos salarié s ac-tuels consistant à mainte-nir notre activité sur les an-nées à venir.Si les dernières années ontété diffici le s économique-ment, nous sommes extrê-mement confiants pour cel-les devant nous. L’histoirea montré que nous avons suparticiper à la constructiond’importantes infrastructu-res au Togo et nous sommesà la disposition de l ’ensem-ble de nos partenaires pu-

rimètres d’activité . Nousconstatons auj ourd’huique les accidents de circu-lation représentent le plusgrand nombre d’accidentspour nos salariés (contexteprofessionnel et pe rsonnelconfondus).Aussi, la sécurité routière,bi en qu’hor s de not rechamp d’act ion di rec t,constitue-t-elle un de nosaxes de formation e t d’in-formation essentiels pourpermettre de conserve rl ’ int égrit é de nos tr a-vailleurs même en dehorsde nos chantiers. Car no-tre responsabilité moraleest bien là.En outre, cette cinquièmeédition met l’accent, dansle monde entier, sur la sen-sibilisation au respect ducode de la route, du portdu casque obligatoire endeux roues, de la mise enplace de signalisation rou-tière adéquate et de l’appli-cation effective du droit deretrait et du devoir d’alerteen toute circonstance.Quel bilan faites-vous dela sécurité et de la pré-vention des risques profes-sionne ls, tant sur voschantiers que sur les rou-tes ?Année après année , le staux de fréquence e t degravité de nos proje ts auTogo sont en décroissance.Il s’agit là d’un réel exploitréalisé par l’ensemble denos collaborateurs con-naissant le niveau dé jàélevé de sécurité sur noschantiers et les risques im-portants encourus au quo-tidien dans notre secteurd’activité.Au regard de ces risquesimportants auxquels sontsoumis les salariés du BTPen général, je ne pe rds pasde vue que rien n’e st ja-mais acquis e t qu’il fautmaintenir des efforts sou-tenus au jour le jour pourréduire le plus possiblenotre exposition. Un évé-nement non prévu peutsurvenir à tout moment etréduire l’ensemble des ac-te s posés jusqu’àaujourd’hui à néant.Comme vu précédemment,nos résultats sur chantierssont encourage ant s. Il

Au-delà de toutes considé-rations financières régis-sant l’exécution de nos tra-vaux, la sécurité de nos tra-vailleurs est notre prioritéabsolue que rien ne pour-rait justifie r de bafouer.Aussi, me ttons-nous enœuvre le s plans d’actiondu groupe au sein de l’en-semble des filiales, ce quisignifie qu’au Togo, parexemple , les mêmes direc-tives e t exigences que cel-le s applicabl es pa rtoutail leurs dans le mondesont mises en œuvre dansle respect des règles en vi-gueur localement.Quels sont les objectifs vi-sés à travers l’organisationde la « SafetyWeek » ?Nos objectifs sont clairs :permettre , par tous le smoyens, d’assurer l ’exécu-tion de nos chantiers engarantissant le plus hautniveau de sécurité possibleà nos compagnons. La tâ-che est complexe et néces-site la mise en œuvre denombreux outils sur nosprojets. La Semaine Inter-nationale de la Sécurité enfait partie. En effet, duranttoute cette semaine , nousnous sommes rendus surchacun des sites de tra-vaux, afin de montrer no-tre implication personnelledans la transmission desmessages de bonnes prati-ques au sein de nos équi-pes.Ce fut l’occasion de cons-tater la mise en applicationde nos procédures sur lete rrain e t la bonne diffu-sion de nos directives in-te rnes sur l ’ensemble denos activités. Je suis fierde constater que notre pré-sence au Togo s’inscritpleinement dans notre po-l i tique « La Sécuri téd’Abord », dans le cadred’un travail e xempla iremené par l ’ensemble denos é qui pes depuis denombreuses années.Quelle est la particularitéde cette cinquième édi-tion ?Comme je l’expliquais plustôt , nous avons mis enœuvre de nombreux outilsnous pe rmettant d’amélio-rer nos résultats de sécu-rité sur nos différents pé-

Vous êtes le nouveau Di-recteur de l’agence SOGEASATOM au Togo. Pouvons-nous savoir un peu plus survous ?De formation ingénieur gé-néraliste avec spécialisa-tion en génie civil et titu-la ire d’un mast e r enentrepreneuriat et gestionde projet, j’ai passé une trèsgrande partie de ma carrièredans le groupe VINCI auservice de ses fi liales enAfrique (Gabon, Sao Tomé,Madagascar, Burki naFaso,…). Passionné par leschallenges que représentenotre activité pour répondreà des problématiques com-plexes et nécessaires au dé-ve loppement des inf ras-tructures des pays, j’intègreSOGEA SATOM Togo avecune volonté d’innovation etde service auprès des auto-rité s togolaises et de l ’en-semble de nos partenairesprivés. Notre but est de ré-pondre aux problématiquesconcrè tes expérimentéespar nos clients par une of-fre globale (conception, réa-lisation, maintenance, opé-ration, …).Le Groupe Vinci dont faitpartie SOGEA SATOM, dé-die chaque année une se-maine entière à la sécuritéau sein de toutes ses filia-les. Pour la cinquième an-née consécutive, SOGEASATOM Togo a organisé du08 au 12 octobre la « Se-maine Internationale de laSécurité ». A quoi répondune telle initiative ?Tout d’abord, je souhaitefaire remarquer que c’est unévénement à portée mon-diale . L’ensemble des en-treprises de VINCI Cons-truction, que ce soit à To-kyo, Seattle, Lyon ou Johan-nesburg sont concernéespar cette Semaine Interna-tionale de la Sécurité avecdes thèmes communs à tou-tes les structures.Il s’agit là de diffuser l’es-prit d’entreprise et les axesstructurels majeurs de no-tre direction générale àl’ensemble des 67.000 col-laborateurs de VINCI Cons-truction à travers le mondecar la sécurité est notre pré-occupation ultime.

Semaine Internationale de la Sécurité au Groupe Vinci /Interview du Directeur Général de SOGEA SATOM TOGO

Pierre-Etienne LATOUR : « La sécurité de nostravailleurs est notre priorité absolue »

Chaque année, le Groupe VINCI organise la « Semaine Internationale de la Sécu-rité » à l’endroit de ses 67.000 collaborateurs répartis à travers le monde.AuTogo, SOGEA SATOM, filiale de VINCI Construction, a consacré la période du 08au 12 octobre 2018 à la « SafetyWeek ». A quoi répond une telle initiative ?Quels sont les objectifs visés ? Quelle est la particularité de cette cinquièmeédition ? Pierre-Etienne LATOUR, Directeur Général de SOGEA SATOM TOGO ré-pond à nos questions. Lecture !

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La Première Agence de Presse Privée au Togowww.savoirnews.net

L'INFO en continu 24H/24Tél (228) 90 04 19 64 / 91 45 34 50 / 99 35 29 23

SAVOIR NEWS

Depuis le démarragedu recensement élec-toral, la C14 n’a ponduaucun communiquépour inviter ses mili-tants à aller se fairerecenser pour avoir lescartes d’électeurs quileur permettront devoter au moment op-portun. Bien au con-traire, elle invite plutôtles populations à boy-cotter le recensementélectoral.En plus de la sortie dela coordinatrice de laC14 pour boycotter lerecensement dans lazone 1, le PNP qui sefaisait un peu discretces derniers temps estallé dans le mêmesens que la coalition àtravers une récentesortie. « Au vu de laterreur et de l’extré-misme violent dontMango, Bafilo e tSokodé ont été victi-mes il y a de cela un

an environ, vidant cesvilles de leurs popula-tions en temps record,tous les Togolais doi-vent tourner dos àcette opération de re-censement », a indiquéO u r o - D z i k p aTchatikpi, Conseillerau bureau du PNP.Dans la zone 1, lesgens sont sortis mas-sivement se faire enrô-ler. Seuls les militantsqui tiennent vraimentà la C14 ont re fusél’enrôlement comptantsur une éventuelle re-prise de l’opération.Aussi dans la zone 2,les populations vontsortir pour faire leurscartes d’électeurs. Cesont les militants de laC14 qui pourrontaussi refuser de faireleurs cartes.A entendre les respon-sables de la coalition,un nouveau recense-ment aura lieu quand

les représentants del’opposition prendrontleurs places à la CENI,ce qui relève de l’uto-pie. En effet, la CENIsuit un calendrier bienétabli et les électionsprévues auront lieu àdes dates déjà ficelées.La CEDEAO a auss ienvoyé un expert enaudit du fichier électo-ral. I l se charged’audite r le f ichier,élaguer les doublonspour que la CENI dis-pose d’un fichier cré-dible.La CEDEAO est alors

en phase avec le pro-cessus. La C14 seradonc surprise qu’il n’yaura aucune reprisedu recensement. Dansce cas, les différentesé lect ions serontd’avance remportéespar les partis qui ontmobilis é leurs mili-tants à faire les cartes.A défaut de leurs car-tes d’électeurs, les af-filiés à la C14 ne pour-ront pas voter.Si les membres de l’op-position parlementai-res n’occupent pas en-core leurs places à laCENI, cela dépend de

l’oppos it ion elle -même. La « guerre »entre l’ANC et l’UFC nedoit en aucun casprendre en otage toutle processus électoral.Il revient aux partis del’opposition parlemen-taire de s’entendre ra-pidement pour occu-per leurs places à laCENI s’ils veulent vrai-ment travailler. Pourl’heure, le train de laCENI est en marche etil n’attendra pas les re-tardataires.

Jack NUKUNU

Boycott du recensement électoralLa C14, mal en point !

Après la réussite durecensement électoraldans la zone 1 notam-ment dans la grandepartie du sud du pays,la CENI a lancé le re-censement dans lazone 2. Le recense-ment a donc com-mencé dans cettezone qui concerneplus la partie septen-trionale du pays.I l faut rappeler

qu’après la forte mo-bilisation dans la zone1, la CENI a mis à pro-fit ce temps de pausepour la formation deses équipes et le dé-ploiement du matériel.Officiellement, la finde l’opération dans lazone 2 est prévuepour le 24 octobre. «Chers frères et sœurs,n’allez pas vous faireenregistrer. C’est un

Démarrage du recensement électoral dans la zone 2La CENI avance, la C14 boycotte

recensement fraudu-leux. Ils se préparentencore à voler lesélections comme ilsl’ont toujours fait parle passé. Que per-sonne ne s’approched’eux. Le vrai recen-sement va venir, onvous le dira. Le mo-ment viendra où tousnous irons nous fairerecenser. N’ayez pas

peur », a lancé MmeBrigit te KafuiAdjamagbo-Johnson.Les populations enâge de voter vont-t-el-les répondre à ce boy-cotte ou vont-t-ellesignorer la C14 commel’ont fait les popula-tions de la zone 1 ?Wait and see.

La Rédaction

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ACTU

En prélude au dé-marrage du recen-sement dans lazone 2, la NouvelleJeunesse pour leSoutien au Prési-dent Faure(NJSPF) s’est lan-cée dans une vasteopération de sensi-bilisation de lamasse dans la pré-fecture de l’Oti. Larécente mobilisa-tion a eu lieu dansla grande cour duLycée Barkoissi.Une grande fouleest sortie écouterle message portépar ce mouvementpolitique dirigé parun fils du milieu.C’était en présencedu conseiller duPrésident de la Ré-p u b l i q u eNoupokou Damipi,natif du milieu.Dans son interven-tion le président dela NJSPF Noël DePoukn,a expliquéet rappelé à ses pa-rents que leur sou-

Mobilisation autour du recensement dans la zone 2La NJSPF à l’œuvre dans l’Oti

tien n’a jamais faitdéfaut au partiUNIR et à son Pré-sident FaureGnassingbé. Par-lant des électionsqui se profilent àl’horizon, il a invitéles populations àsortir pour se faireenrôler. Sans carted’électeur, aucunmilitant ne pourraaccomplir son de-voir civique. Raison

pour laquelle il aexhorté les popula-tions de Barkoissiet de ses environsà sortir massive-ment le momentvenu pour dispo-ser de la carted’électeur, outilnécessaire pourporter leur choixsur les candidatsde UNIR.Comme à l’accou-tumée, Noël DePoukn a profité decette rencontrepour faire parler

son cœur en pro-cédant à la remisedes prix du con-cours d’excellencelancé depuis le dé-but de l’année sco-laire 2017-2018 etqui a livré ses con-clusions avec lesexamens de find’année. D’impor-tants prix ont étéofferts auxmeilleurs élèves detous les examenset les enseignantsqui ont connu unfort taux de réus-

site dans leursmatières. Le préfetde l'Oti, OuadjaGbandi qui partici-pait à cette rencon-tre a salué la dé-marche desdonnateurs. No-tons que la NJSPFest créée depuis2009 et s'emploiedepuis sa créationà rendre visiblesles actions du Pré-sident de la Répu-blique.

La Rédaction

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BON PASTEUR38, Av. Libération22 21 13 67

KPEHENOUBoulevard HOUPHOUET –BOIGNY22 21 32 24

HANOUKOPEAvenue de la Nouvelle mar-che, Immeuble Radio KanalFM.22 21 01 15

BON SAMARITAINBE PA de SOUZA/Hôpitalde BE22 21 45 30

PORTFace Hôtel Sarakawa22 27 61 88

ESPERANCEAv F.J. STRAUSS, FaceEcole FrançaiseNyékonakpoé  (RueAdjololo)22 21 01 28

LIBERATIONAvenue Libération prolon-gée22 22 25 25

BON SECOURSRue du Grand Collège duPlateau – Cassablanca22 45 76 74

ROBERTSONAprès la Lagune deNyékonakpoè (TOGBATO)22 22 28 41

N.D. DE LA TRINITESise au 20 boulevard de lapaix à Super Taco22 21 27 80

GBEZEBoulevard Jean Paul II22 26 32 61

UNIVERS –SANTEBoulevard GNASSINGBE Eyadema, Cité OUA face àl’entrée du CHU-CAMPUS22 61 81 43

AEROPORTRte de l’Aeroport SITO22 26 21 22

INTERNATIONALESise Marché deHedzranawoe « Asiyeye »,Boulevard du Haho22 26 89 94

RAOUDHASituée au 4495 BoulevardZio Hedzranawoe, derrièreTOGO200022 61 39 39

MISERICORDEBE-KPOTA23 38 47 62

LE PROGRESSur le tronçon CIMTOGO-Ge ndarme rie d’Ahadjikpota non loin du marchéde Zorro-bar22 35 86 55

PHARMACIE DE GARDE15/10/18 au 22/10/18

ELI-BERECARoute d’Adidogomé, Im-meuble SIKOVIC face bu-reau de Poste22 51 22 82

LA REFERENCERoute de Kpalimé,Adidogomé Assiyéyé, àcôté du bar Madiba22 51 12 12

BONTERoute de SEGBE,Wonyomé-Adidogomé enface de la station Sanol93 95 80 78

BETANIARue Sito, Totsi-Glenkoménon loin de la salle des Té-moins de Jéhovah96 80 10 11

MILLENAIREFace réserve de la gendar-merie d’Agoenyivé, sur laroute de 50m à 300m ducôté Nord22 51 64 31

MATHILDARoute PATASSE – Lomégan– ODEF22 51 15 34

EL SHADAÏFace Ecole Théolog ieESTAO22 51 44 25

DIEUDONNERoute de LLEO 2000, nonlo in de FUCEC Agoe-Téléssou70 44 84 59

EL-SHAMMAHSise à amadahomé à côté dela maison des jeunes70 43 25 85

SATISAgoè-Logopé sur la voie de50m, côté Est du C.E.G.Agoè-nyivé Ouest (CEGAgoè-Koshigan)70 44 85 17

St ESPRITSur la bretelle Agoè-NyivéKégué, Face au CEG Agoè-Est70 40 29 06

St MICHELSituée à Agoenyivé entre laBrasserie BB et l’espaceTélécom22 51 70 22

EXCELLENCEAgoe Demakpoe VoieCEDEAO22 51 77 87

VITASSituée à Agoè Assiyéyé ducôté ouest22 25 63 43

LE DESTINA côté de l’ AgenceECOBANK de Baguida70 41 15 41

La FLAMME D’AMOURSise à Agode ke routed’Aného70 45 70 14

Les é lèves des lycées deNano et de Tandjouaré ontété sensibilisés les 6 et 10octobre sur les 17 Objectifsdu Développement Durable(ODD) instaurés par l’Orga-nisation des Nations Unies(ONU) depuis 2015.Ces rencontres de sensibi-lisation et de vulgarisationà l ’intention des appre -nants se situent dans lecadre du proje t intitulé«L’engagement de la jeu-nesse dans la vulgarisationdes 17 ODD en milieu sco-laire ». Elles sont organiséespar l’association Bourgeon,basée à Lomé en collabora-tion avec le gouvernement,P l a n - I n t e r n a t i o n a l ,Bornefonden, Wao-Afriquee t l ’UNICEF a ins i queFODDET/Conve rgence sdes Actions e t ont pourthème « Moi jeune, je com-prends et je m’engage dansles ODD au Togo avec les Co-mités des Clubs Bourgeons».Les rencontres visent à sen-si bil ise r e t é cl air e r lemonde des apprenants surles dix-sept programmesde s ODD afi n que d’i ci2030 chacun puisse vivredans un monde meilleur. Ils’agit d’amener les é lèves àcomprendre e t appréhen-der le contenu des ODDpour un changement decomportements.L’assistance a suivi des ex-posés sur les violences liéesaux genres, surtout auxfemmes, le changementclimat ique , l ’envi ronne -ment, présentés par le se-crétaire général de l’asso-ciation Bourgeon, DoutiSananeka. Des slams et desske tchs du lycée de Nanosur le s femmes leadersdans le monde et la néces-sité de la scolarisation desjeunes filles, ont été égale-ment présentés. Des jeuxquest ions-r éponse s ontégalement pe rmis aux ga-gnants de béné ficie r descadeaux comme des ca-

hiers de 100pages, de sty-los, des documents d’orien-tation après le BEPC.A la fin des séances, un Co-mi té de Club Bourge on(CCB) composé de 5 élèvesa été installé dans chaquelycée pour coordonner lesactivités de l ’AssociationBourgeon.Le secré taire général del ’Associ ation Bourgeon,Douti Sananeka a relevéque l ’ODD e st un pr o-gramme que l ’ONU a ins-tauré en 2015 pour rempla-cer les Objectifs du Millé-naire pour le Déve loppe -ment (OMD). Il a fait savoirque son association avecses partenaires ont orga-nisé ce tte tournée de vul-garisation sur les ODD enmi lie ux scola ire af ind’éclairer les élèves sur les

17 objectifs retenus.Il a encouragé les élèvesdesdits lycées à plus d’ef-forts dans leurs études et àfaire des recherches pourde meilleurs rendements.M. Douti a exhorté les ap-prenants à écouter les en-seignants et le comité CCBmis en place pour bénéfi-cier des avantages qu’offrel’association Bourgeon quesont les travaux dirigés, lesactivité s citoyennes et ci-viques, les cours de répéti-tions gratuites.La semaine du 15 au 21 oc-tobre , l’Association Bour-geon se retrouvera avec lesélèves des lycées, Mango etGando pour leur parler demêmes sujets sur le s ODD.

AT

Promouvoir l’engagement de la jeunesseLycéens de NANO et de Tandjouaré

sensiblisés sur les 17 ODD

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Mise en œuvre du processus de l’ITIELe Togo, un bon exemple huit

ans après l’adhésion à l’initiative

Dans l’optique d’inscrire lesecteur extractif togolaisdans une démarche detransparence, le Togo a ad-héré au processus de l’Ini-tiative pour la Transpa-rence dans les IndustriesExtractives (ITIE) en 2010.8 ans après, les résultatssont encourageants. En ef-fet, le Togo a validé 20 exi-gences sur les 27 définiespar le s normes ITIE. Uneautre validation est atten-due en novembre 2019 afind’évaluer les performancesréalisées dans les 7 autresexigences restantes. En2013 déjà à Sydney en Aus-tralie, le Togo avait été dé-claré pays conforme à l’ITIE.Le succès du Togo est dû àdes réformes et des actionsengagées par le gouverne-ment togolais sous la vo-lonté manifeste du Chef de

l ’Éta t. On peut c ite r,l ’opérationnalisation e t ladynamisation des organes demise en œuvre, la modernisa-tion du code minier couvrantl’ensemble des usagers dusous-sol togolais et la loi rela-tive à la contribution des en-treprises minières au déve-loppement local et régional.Ces réformes et mesures pri-ses ont favorisé l’améliorationde la contribution des indus-tries extractives dans le déve-loppement national. A ellesseules, elles ont contribué en2017 à hauteur de 18,5% dutotal des exportations du payspour près de 3,5% au PIB etpour 2,5% aux recettes. Uneparticipation qui s’é lève à3,5% à la fin du mois de sep-tembre 2018.

La Rédaction

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