À faire en autonomie

1. Complète la grille de mots croisés suivante.

2. Qui est-ce   ?

a) Je suis une jeune fille aux cheveux noirs comme l’ébène et aux lèvres rouges comme le sang.

Ma belle-mère me jalouse énormément. Je suis …………………………

b) Je suis un animal. Je suis menteur et manipulateur mais j’aime mon maître et mes

mensonges lui ont permis de devenir marquis même si cela est faux ! Je suis

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c) Je suis un garçon et j’ai une sœur. Je me suis retrouvé enfermé dans la maison en pain

d’épice d’une sorcière car mes parents m’ont abandonné. Je suis …………………………

d) Je suis une jeune fille. Ma mère raffolait d’une fleur qu’elle a volée en quantité chez une

magicienne. De là vient mon nom. Je suis ……………………..

Horizontal :

3. Opposant au Petit Chaperon

Rouge.

7. Quelque chose de magique.

10. Leçon

11. Auteur de contes.

13. Les fesses dans la cendre.

Vertical :

1. Quelqu’un de très laid.

2. Adjectif de « monstre ».

4. Récit imaginaire.

5. Transmission des contes.

6. Antonyme de « laideur ».

8. Une sorcière en jette un.

9. Queue de poisson.

12. Il a six frères.

14. Opposant au Petit Poucet

15. Sur son balai

3. Je trouve dans cette grille de mots mêlés les qualités morales ou physiques et les

défauts des personnages de conte.

J’entoure les qualités en rouge et les défauts en vert.

3.1 A partir de la liste des mots mêlés, trouvez tous les mots se rapportant à la beauté.

Lorsque l’on regroupe tous les mots autour d’un même thème, on parle de champ lexical.Ex : courageux, brave, audacieux.

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Paresse Malhonnête

Orgueil Honnête

Gourmandise Modeste

Avarice Humble

Colère Discrète

Envie Couard

Sérénité Hardi

Générosité Vaillant

Humilité Laid

Zèle Difforme

Détachement Ingrat

Frugalité Grossier

Beau Hideux

Délicat Repoussant

Magnifique Horrible

Somptueux Harmonieux

Mignon Attrayant

4. Je lis le texte suivant, je réponds aux questions et j’écris.

Un roi avait une fille merveilleusement belle, mais si arrogante et si hautaine, qu’elle ne

trouvait aucun prétendant digne d’elle. Non contente de les renvoyer tous, les uns après les

autres, elle se moquait encore d’eux.

Un jour, le roi organisa une grande fête à laquelle il invita tous les seigneurs éloignés ou

voisins qui avaient l’intention de se marier. Ils prirent place suivant leur qualité : les rois d’abord,

puis les ducs, les princes, les comtes, les barons et a la fin les simples nobles. La fille du roi fut

conduite le long de ces rangs ; mais à chaque prétendant, elle avait quelque objection à faire.

L’un était trop corpulent : « Le tonneau ! » disait-elle ; l’autre trop grand : « Grand et mince

marche mal ; » le troisième, trop petit : « Petit et gros n’a pas de grâce. » Le quatrième était trop

pâle : « La mort en personne ! » Le cinquième trop rouge : « Le dindon ! » Le sixième n’était pas

assez droit : « Du bois vert séché au poële ! » Elle eut ainsi quelque chose à dire de chacun, ;

mais elle se moqua surtout d’un bon roi placé au rang le plus élevé, et dont le menton était un

peu de travers. « Oh ! s’écria-t-elle en riant, il a un menton comme le bec d’une grive. » Et depuis

ce temps, elle lui donna le nom de Bec de Grive ou simplement de roi Grive. Le vieux roi, voyant

que sa fille ne faisait que se moquer des gens et congédiait tous les prétendants rassemblés, se

fâcha sérieusement et jura qu’elle épouserait le premier mendiant qui viendrait à sa porte.

Peu de jours après, un musicien ambulant chantait sous ses fenêtres pour gagner quelques

sous. Le roi, l’ayant entendu, dit : « Faites-le venir. »

A) Quels adjectifs décrivent la fille du roi ?

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B) Comment se comporte la fille du roi vis-à-vis des seigneurs qui viennent la voir ?

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C) Que lui promet son père ?

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D) Qui arrive au château peu de jours après ? Comment se nomme cette étape du récit ?

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5. Dans un texte d’une quinzaine de lignes, créez deux à trois péripéties. Ces péripéties

devront être cohérentes avec la situation finale que vous lirez en bas de cette page.

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Situation finale :

elle reconnut encore le roi Grive qui lui dit doucement :

« Ne crains rien ; moi et le mendiant dont tu as partagé la misérable cabane, nous ne

sommes qu’un : je me suis déguisé par amour pour toi ; j’étais aussi le soldat qui t’a cassé tes

pots. J’ai agi ainsi pour humilier ton orgueil et pour te punir de t’être méchamment moquée de

moi. Maintenant, tout est oublié ; nous allons célébrer nos noces. »

Aussitôt les femmes de chambre se présentèrent pour vêtir la princesse de robes

magnifiques, et son père, accompagné de toute sa cour, vint la féliciter de son mariage avec le

roi Grive. Ce fut alors que la vraie joie éclata !

J’aurais voulu que vous et moi nous eussions été de la fête.

6. Complétez les cases suivantes .

Les verbes doivent être conjugués au passé simple.

Être Avoir Faire Crier Devoir Dormir Prendre S’amuser

Je (P1 sg)

Tu (P2 sg)

Il/Elle (P3 sg)

Nous (P1 pl)

Vous (P2 pl)

Ils/Elles (P3 pl)

Qui est-ce ?

o Je suis un verbe du premier groupe. Ma voyelle principale au passé simple est en « a ».

J’exprime le fait de jouer. Je suis le verbe …………………….. .

o Je suis un verbe du 3ème groupe, mon passé simple est en « u ». J’exprime l’obligation. Je suis

le verbe ……………………… .

o Je suis un verbe du 3ème groupe, on me confond souvent avec le verbe être car seule une

voyelle nous différencie au passé simple. Je suis le verbe ……………………… .

Horizontal :

4. Crier – P3 singulier

5. S’amuser – P1 pluriel

6. Devoir – P2 pluriel

8. être – P3 singulier

9. Crier – P2 pluriel

11. S’amuser – P3 pluriel

Vertical :

1. Être – P1 pluriel

2. Prendre – P3 pluriel

3. Dormir – P1 singulier

6. dormir – P3 pluriel

7. Avoir – P3 singulier

10. Avoir – P3 pluriel

8. Réécriture

Réécrivez ce texte au passé simple et faites toutes les modifications nécessaires.

Il se prépare à faire feu lorsque tout à coup l’idée lui vient que le Loup avait peut-être avalé la grand-

mère […]. Il ne tire pas, mais prend des ciseaux et commence à ouvrir le ventre du Loup endormi. À

peine avait-il donné quelques coups de ciseaux qu’il aperçoit le Chaperon rouge. […] Et voilà que la

grand-mère sort à son tour, pouvant à peine respirer. Le Petit Chaperon rouge se hâte de chercher de

grosses pierres. Ils en remplissent le ventre du Loup.

D’après J. et W. Grimm, Le petit chaperon rouge

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9. Je travaille les homophones   : a/à

Je rappelle la règle : …………………………………………………………………………………...

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Maintenant, je regarde bien le texte que j’ai écrit page 4 et je vérifie que je n’ai pas laissé

d’erreur !