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Page 1: First documented study of relapsing Fever disease in Morocco

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Communications / Revue d’Épidémiolo

tait basé sur de fortes doses de péni G permettant une stabilisation des troubleseurologiques chez la plupart des patients.onclusion.– Le traitement de la neurosyphilis permet souvent de stabiliser les

roubles neurologiques. Seuls une prévention primaire, un traitement précocees formes primaires et secondaires, pourra éviter l’apparition de complicationseurologiques graves.

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a rage humaine au Maroc de 2000 à 2008. Faouzi a,c, L. Anga a,c, A. Barkia b, A. Benmamoune b, H. Amarouch c,

. Nourli a

Laboratoire de virologie médicale, institut Pasteur du Maroc (IPM), MarocDirection d’épidémiologie et de lutte contre les maladies, ministère de laanté, Rabat, MarocFaculté des sciences-1, Casablanca, Maroc

ots clés : Rage ; Épidémiologie ; Marocbjectifs.– L’objectif principal de notre étude est l’analyse de la situation épi-émiologique de la rage humaine au Maroc de 2000 à 2008 afin d’éclairer lesauses de sa persistance jusqu’à présent dans notre pays et de définir certainesecommandations pour une stratégie de lutte adaptée.

éthodes.– Les données sur la rage ont été recueillies auprès de la direction’épidémiologie et de lutte contre les maladies et de l’institut Pasteur du Marocour les cas humains et auprès de la direction de l’élevage pour la rage animale.’analyse statistique des données a été réalisée par le Logiciel R.ésultats.– De 2000 à 2008, 202 décès humains ont été recensés, survenant pour

a plupart suite à une morsure par des chiens enragés (90 %). La confirmationiologique de la rage a été effectuée pour 80 cas (40 %). Soixante-quinze pourent des cas ont été reportés dans le milieu rural, avec une distribution pluslevée dans les régions de Kenitra, Casablanca et El Jadida. La prédominance estasculine (84 %) et toutes les tranches d’âge sont touchées, en particulier celle

es enfants de moins de 14 ans (30 %). Vingt milles traitements après expositionont enregistrés annuellement dans les 120 centres de traitement antirabique quixistent au Maroc. Plus de 3660 cas de rage animale ont été enregistrés duranta période étudiée, l’espèce canine est la plus touchée (49 %), suivie de l’espèceovine (26 %) et équine (19 %).onclusion.– La rage animale représente la principale cause de la persistancee la rage humaine au Maroc, il est donc nécessaire d’augmenter les moyense prévention et de lutte antirabique par l’amélioration de la prophylaxie et duontrôle sanitaire des animaux, ainsi qu’une meilleure information et éducatione la population humaine, en particulier dans le milieu rural.

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urvie des cancers chez l’enfant dans l’Ouest algérien. Fouatih , A. Rabah , A. Boumeddane , A. Boushaba

Faculté de médecine, université d’Oran, Oran, Algérie

ots clés : Cancer ; Pédiatrie ; Mortalitéa survie des cancers de l’enfant s’est améliorée de facon spectaculaire. Avant960, la survie à 5 ans de tous les cancers était estimée à environ 28 %, à par-ir de 1990, la survie à 3 ans a dépassé 80 % et la survie à 5 ans a atteint pluse 75 %. L’objectif de l’étude est d’estimer la survie chez 702 d’enfants, âgése 0 à 15 ans, suivis pour cancer dans le service d’oncologie pédiatrique de’établissement hospitalier spécialisé « Emir Abdelkader ». Les cas ont été enre-istrés rétrospectivement de janvier 1998 à décembre 2003. L’augmentation duaux de survie à 5 ans est statistiquement significative pour l’ensemble des can-ers, cependant le taux de survie des carcinomes de la thyroïde, des mélanomes

alins et des ostéosarcomes est resté stable. La survie globale à 2 ans de tous les

ancers est de 42 %, les lymphomes d’Hodgkin représentent le taux de surviee plus élevé à 78 %. Pour les carcinomes du cavum, les néphroblastomes et lesumeurs germinales, la survie à 2 ans est de 60 % pour chaque type histologique.

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de Santé Publique 57S (2009) S3–S59 S27

irst documented study of relapsing Fever disease inorocco

. Garnier c, N. Boudebouch a, S. Yassine a, D. Belghyti e, A. Abdelillah b,. Gern d, A. Rihani b, M. Hassar a, D. Postic c, M. Cornet c

Laboratoire des maladies vectorielles, institut Pasteur du Maroc,asablanca, MarocHôpital Idrissi, Kenitra, MarocLaboratoire des spirochètes, Institut Pasteur de Paris, FranceLaboratoire de zoologie, université de Neuchâtel, SuisseFaculté des sciences, Kénitra, Maroc

eywords: Tickborne; Relapsing fever; Borrelia hispanica; Moleculariagnosis; Moroccontroduction.– Relapsing fever (RF), due to Borrelia spp., is an endemic diseasen some African countries. In order to collect recent epidemiological data ando estimate the incidence of RF, we conducted a retrospective (2000–2005) androspective studies (2005–2006) in Northwest of Morocco.ethods.– Blood from these patients was extracted by using the Qiagen kit.

wo targets were used to amplify Borrelia DNA: the 16S rRNA and the largentergenic spacer (IGS) between the rrs-rrl genes of Borrelia spp.esults.– During the retrospective study period, 102 cases of borreliose haveeen identified. The distribution of cases by the year reveals an endomospora-ique of affection with an annual prevalence of inequality which varies betweencases in 2003 and 22 cases in 2002, while the cumulative monthly frequency

how a peak in the month of August with 26 cases. During the prospective studyeriod, 130 febrile patients suspected of RF borreliosis were included in thetudy. Clinical signs were: fever (100%); pain (62%); gastrointestinal disor-ers (54%). All the cases were treated with cyclines for 7 days and they had aavourable evolution, without complication or death. We found 13 and 35 casesositive of 130 patients tested respectively using the 16S PCR and the IGS nes-ed PCR. The sequence determination of isolated Borrelia from positive patientsllowed identifying them as belonging to Borrelia hispanica.onclusion.– This study describes the first molecular assay for the diagnosis of

elapsing fever caused by Borrelia spp. in Morocco. Our results emphasize thatF are endemic in Morocco and mainly caused by B. hispanica.

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a lombalgie chronique commune. Quels facteurs deisque ? Quel retentissement ?. Ghani a, N. Akasbi a, H. Hachimi a, N. Kadi a, C. Nejjari b, T. Harzy a

Service de rhumatologie, CHU Hassan II, Fès, MarocLaboratoire d’épidémiologie et de santé publique, faculté de médecine, Fès,aroc

ots clés : Lombalgie commune chronique ; Rhumatologie ; Retentissementocioprofessionnel ; Profil épidémiologique ; Facteurs de risquebjectifs.– La lombalgie chronique commune (LCC) constitue un problème de

anté publique par sa fréquence et ses conséquences. L’objectif de cette étudest l’évaluation du profil des patients ayant une LCC et de dégager les facteursssociés à cette affection ainsi que l’analyse de ses conséquences médicopro-essionnelles.

éthodes.– Nous avons procédé à une étude au sein de la consultation de rhu-atologie du CHU Hassan II de Fès sur une durée de 12 mois. Nous avons exclu

es patients ayant une lombalgie aiguë, subaiguë ou chronique symptomatique.es patients ont répondu à un questionnaire préétabli.ésultats.– Au total, 512 patients ont été inclus dans l’étude, dont 245 ayant uneCC, soit une fréquence de la LCC de 47,85 % des cas. L’âge moyen était de7,5 ± 13,2 ans avec une nette prédominance féminine (74 %). Cinquante-huitour cent des lombalgiques avaient une ancienneté supérieure ou égale à 1 ant 34 % supérieure ou égale à 5 ans. L’arrêt du travail était observé dans 75 %es cas et un changement de travail était nécessaire chez 2 patients. Les facteursssociés à la LCC étaient l’âge (p = 0,0008), le sexe féminin (p = 0,0003), leMI élevé (p < 0), l’analphabétisme (p = 0,04), le fait d’être marié, divorcé ou

euf (p = 0,005), le tabagisme (p = 0,04), les ATCDs de lombalgie (p = 0,001),a migraine, une psychologie perturbée (p < 0), le sport (p = 0,02), le fait d’êtreemme au foyer (p = 0,01) ou étudiant (p = 0,3), certaines professions libéralesp = 0,001), le port de charges lourdes (p < 0) ainsi que l’insatisfaction au travailp = 0,01).