MODULE 1 / EXPLOITER, METTRE EN FORME SES RESSOURCES DOCUMENTAIRES ET DIFFUSER
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Pourquoi êtes-vous là ?
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� Infos pratiques concernant la formation
Lieu : auditorium de la BUSQY
Dates : Orientation sciences :
- lundi 21 mai à 14h : module 1- mercredi 30 mai à 9h30 : module 2
Orientation SHS :
- mardi 22 mai à 14h : module 1 - jeudi 31 mai à 14h : module 2- jeudi 21 juin à 9h30 : module 1 - mercredi 4 juillet à 14h : module 2
Contacts : [email protected] et [email protected]
Où trouver les supports des formations ? www.slideshare.net/magalielegall
� Présentation du contenu des deux modules
Module 1 : Exploiter, mettre en forme ses ressources documentaires et
diffuser
� Les enjeux de l’IST, bibliométrie, Open Access et archives ouvertes, la question des droits d’auteur
� La mise en place de Star à l’UVSQ� Produire sa bibliographie avec Zotero
Module 2 : Explorer, organiser, partager, veiller
� Optimiser sa navigation sur le web, les moteurs de recherche scientifiques, outils et ressources disciplinaires
� Connaître et utiliser les outils web 2.0 pour son activité de recherche : blogosphère et réseaux scientifiques, outils de partage de signets (Delicious et Diigo), outils de veille (alertes, agrégateurs et fils RSS)
Prendre conscience des enjeux de l’IST
� Enjeux sur la carrière des chercheurs
� Enjeux économiques
4 éditeurs se partagent plus de 50% du marché
Coût à l’UVSQ en 2011 : 450 000€ pour les revues électroniques
Pour se faire une idée :
http://www.library.vanderbilt.edu/jcosts
� Enjeux de conservation, de signalement et de diffusion : Star
Pourquoi êtes-vous là ? (suite)
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� Les retours de l’enquête effectuée auprès de 620 doctorants en Bretagne (2007-2008)
Formation reçue en méthodologie de la recherche documentaire : 67,5 %des doctorants n’ont reçu aucune formation à la recherche documentaire au cours de l’ensemble de leur cursus universitaire
Ressources documentaires les plus utilisées : 96 % utilisent les moteurs de recherche, 65 % utilisent le catalogue de la bibliothèque
Ressources documentaires rarement ou jamais utilisées : 94 % n’utilisent jamais ou rarement les blogs, 77 % : les archives ouvertes (HAL…), 71 % : le catalogue SUDOC, 62 % : les bases de données (Medline, Francis, Pascal…)
Utilisation des moteurs de recherche : Google Scholar : 37 %
Outils avancés de recherche et de traitement de l’information : 98 % ne connaissent pas ou n’utilisent pas les moissonneurs OAI, 97 % : les plate formes de partage de signets, 63 % : les outils de veille (alertes, RSS…)
Connaissance des circuits de l’information scientifique : 53 % connaissent la notion de facteur d’impact
Outils et modalités de rédaction et de diffusion de la thèse et des
publications scientifiques : 83 % ne connaissent pas les modalités de publication électronique de la thèse, 82 % ne savent pas déposer un document dans une archive ouverte, 82 % n’utilisent pas ou ne connaissent pas les feuilles de style, 79 % n’utilisent pas ou ne connaissent pas le guide de rédaction des thèses, 65 % n’utilisent pas les logiciels de gestion bibliographique, 51 % ne connaissent pas les règles de la propriété intellectuelle
Pourquoi êtes-vous là ? (suite)
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1 / LES ENJEUX DE L’IST
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Le circuit classique de l’édition scientifique
Chercheur
Edition de la revue par un éditeur Publication dans une revue
Lu et validé par un reviewerPropose un article
Abonnement par les institutionsAccès via identifiant sur le portail
documentaire de l’institution
Copyright : The Big Bang Theory
1. Un jeune chercheur ayant tout juste obtenu son doctorat annonce fièrement à sa mère qu il vient de publier son premier article. Elle lui demande combien il a été payé. Il grimace, répond : « Rien » et se lance alors dans une explication longue et compliquée...
2. Un chercheur de la même université repère cet article. Il se rend à la bibliothèque pour l obtenir. On lui répond : « Nous ne sommes pas abonnés à cette revue, trop chère pour nous
(notre budget d abonnements, de droits, de prêt et de reproduction est déjà largement
dépensé) ».
3. Un étudiant, dans la même université, voit le même article cité sur le Web. Il clique sur la citation. Le site de l éditeur demande un mot de passe : « Accès refusé : seules les
institutions autorisées et ayant souscrit un abonnement ont accès à la revue. »
4. L étudiant perd patience, s ennuie et clique sur Napster pour mettre la main sur la version MP3 de son CD favori et se consoler ainsi de ses malheurs.
La parabole d’Harnad (1/2)
5. Des années plus tard, la titularisation [recrutement] du docteur du point 1 est envisagée. Ses publications sont bonnes, mais pas assez citées ; leur « impact sur la recherche » n est pas suffisant. Titularisation refusée.
6. Le même scénario se répète lorsqu il essaie d obtenir des crédits de recherche. Ses résultats scientifiques n ont pas eu un impact suffisant. Trop peu de chercheurs les ont lus, s en sont inspirés et les ont cités. Financement refusé.
7. Il essaie alors d écrire un livre. Les éditeurs refusent de le publier : « On n en vendrait pas
assez d exemplaires car il y a trop peu de BU ayant suffisamment d argent pour en payer le
prix (leurs budgets d achat sont limités par le coût annuel, sans cesse croissant, de leurs
abonnements, droits et prêts). »
8. Il essaie de mettre ses articles sur le Web, en accès libre, afin d augmenter leur impact [visibilité]. Son éditeur menace de le poursuivre, ainsi que son fournisseur d accès, pour violation du copyright.
9. Il demande à son éditeur : « Qui le copyright est-il censé protéger ? ». Son éditeur lui répond : « Vous ! »
Qu’est-ce qui ne va pas dans cette histoire ?
La parabole d’Harnad (2/2)
� Distinguer textes en accès payant et textes en accès libre� Littérature de recherche scientifique ≠ ensemble des écrits
� Recherche non pas de droits d’auteur mais d’un impact
� Distinguer revenus (provenant de la vente des publications) de l’impact (provenant de l’utilisation des publications)� La vente des articles constitue un obstacle au revenu de la recherche et des chercheurs
� L’impact est une forme de « revenu » qui est soumis à des critères de visibilité
� La plupart des institutions n’ont pas les moyens de payer = articles inaccessibles = impact perdu
� Distinguer la protection du copyright contre la plagiat (qualité de l’auteur) et contre le piratage (vol du texte)� Aspects très différents confondus car c’est la littérature payante qui a toujours servi de modèle
� Protection contre le vol de la qualité d’auteur (plagiat) essentielle pour la littérature en accès payant comme en accès libre
� Protection contre le vol du texte (piratage) voulue par les auteurs de littérature payante n’est pas voulue par les autres
� Distinguer l’auto-publication (à compte d’auteur) et l’auto-archivage (après évaluation par les pairs)� L’auto-archivage de recherches fait l’objet d’une évaluation par les pairs
� Distinguer les pré-publications non évaluées des publications après évaluation� Les AO ne sont pas seulement des archives d’e-prints
� Possibilité d’archiver toutes les étapes de la recherche : versions embryonnaires, soumission pour évaluation, versions ultérieures corrigées, commentaires
Source : HARNAD, Stevan. Lecture et écriture scientifique “dans le ciel” : Une anomalie post - gutenbergienne et comment la résoudre (2001).
Résoudre l’anomalie
� Elle est loin la relation épistolaire entre chercheurs…
� 1963 : mise en place de l’ISI qui créé le Science
Citation Index
� Augmentation du nombre de chercheurs et explosion du nombre de publications
� Hyperspécialisation de la science
� Une nouvelle façon de diffuser l’IST� Internet rend aujourd’hui presque tout disponible
immédiatement
� Multiplication des outils de recherche
� Accès personnalisés
� A noter : fort déséquilibre entre les Sciences humaines et sociales et les Sciences dures
L’information scientifique en mutation
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Mais…
� Un marché dit « inélastique », situation de monopole de fait
� « The cost of knowledge » : augmentation excessive des coûts d’abonnement aux revues � Dans les années 90 : Serial pricing crisis � + 258% en 16 ans
� Des institutions qui peinent à suivre
� Janvier 2012 : le boycott d’Elsevier et de Springer par plus de 11 000 chercheurs rejoints par l’Université de Harvard
� Le poids écrasant des « Big Four »� Elsevier
� Springer
� Thomson-Reuters (Web of Science)
� Wiley-Blackwell
� Lenteurs des délais de publicationTous droits réservés par Tis (Source : La thèse nuit gravement à la santé)
Et pour les chercheurs…
Tous droits réservés par Matthew Henry Hall (2004)
� La bibliométrie : très critiquée mais indispensable� Classement de Shangaï, Facteur H, Eigenfactor, Scimago, Facteur
G,…
� Nécessaire face à l’hyperspécialisation de la science
� Les financeurs de la recherche doivent pouvoir voir où va leur argent
� Besoin d’indicateurs pour évaluer la qualité scientifique de son travail
� Or, il s’agit plutôt d’une évaluation de la notoriété de son travail (au mieux), voire de la notoriété de la revue (au pire)
� Listes de revues de l’AERES par disciplines : évaluation des laboratoires selon ces listes
� 2001, Rapport de l’Académie des Sciences « Du bon usage de la bibliométrie pour l ’évaluation individuelle des chercheurs »
� Utiliser les outils les moins biaisés pour le domaine disciplinaire concerné
� La loi du « publish or perish »
� La perte du droit d’auteur abandonné à l’éditeur de la revue
« Ni les auteurs, ni le comité éditorial, ni les experts ne
sont rémunérés par les éditeurs ; souvent, même, les
auteurs, ou plutôt leurs employeurs (université, instituts
de recherche, entreprises…) doivent payer les revues
pour « participer aux frais d’impression ». Ces
organismes doivent également payer leurs
abonnements, souvent très coûteux : ils n’est pas rare
qu’une revue coûte plus de 4000 euros par an. De plus,
les éditeurs exigent généralement que les auteurs et
leurs employeurs cèdent tout droit sur les articles, au
point parfois de ne pas avoir le droit de les mettre en
ligne sur leur propre site Web professionnel !
Comme la recherche publique, mais aussi une partie
importante de la recherche privée, est financée par le
contribuable, cela veut dire que celui-ci paye trois fois
(recherche, publication, abonnement) pour un
document qui in fine n’appartient plus à la collectivité. »
David Monniaux, chercheur au CNRS et professeur à l’Ecole Polytechnique, dans une tribune intitulée « Le racket de l’édition scientifique », publiée sur Sciences.blogs.liberation.fr, le 19 octobre. Tous droits réservés par Tis (Source : La thèse nuit gravement à la santé)
La voie verte (green OA)= archivage et libre accès aux pré-publications et
post-publications des chercheurs dans des
archives ouvertes (ex : HAL)
D’où le mouvement de l’Open Access
La voie dorée (gold OA)= revues en ligne qui publient des articles en
accès ouvert (ex : revues.org, DOAJ, Persée)
Certains droits réservés par lionej (Source : Flickr) Tous droits réservés par Gambastyle (Source : Flickr)
Que sont les Archives Ouvertes ?
� Historique� 1991 : naissance de la 1ère AO, ArXiv
� 2002 : Budapest OAI
� 2003 : Déclaration de Bethesda et Déclaration de Berlin
� 2009 : Berlin 7 à Paris
� Définition : désigne un réservoir de données issues de la recherche scientifique et de l’enseignement, et dont l’accès sur Internet se veut ouvert, sans barrières
� Que trouve-t-on dans les AO ?� preprints (pré-publications)
� postprints (post-publications)
� Publications, communications, colloques, rapports, études, thèses, HDR, …
� concerne 15% des articles publiés annuellement (soit environ 1,5 millions)
� entre 1000 et 1700 réservoirs d’AO existent (dont moins de 40 en France)
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Les craintes
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Pourquoi certains chercheurs sont frileux…
� Un document en libre-accès ne vaut pas grand-chose� Réputation de l’équipe en jeu
� Dépôt sans retrait
� Je vais me faire piller mon travail� Ne pas céder à la psychose du plagiat
� Il est beaucoup plus facile de piller un texte qui dort sur les rayonnages d’une bibliothèque
� Logiciels de détection du plagiat
� Je ne pense pas que mon éditeur soit d’accord� Fichier ROMEO, fichier JULIET, Addendum Creative Commons
Et le laboratoire !
� Accès libre et gratuit
� Une plus grande visibilité des publications (et du nombre de citations)
� Une diffusion immédiate des résultats de la recherche
� Un archivage à long terme
� Pousser à l’émergence de nouvelles mesures d’impact
� Le dépôt sans retrait � assure la responsabilisation des dépôts et donc le niveau
scientifique
� évite les utilisations scientifiques frauduleuses
� garantit la stabilité des dépôts et des adresses
� laisse néanmoins le droit à l’erreur scientifique
Les atouts des AO pour le chercheur
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L’Archive Ouverte la plus réputée : ArXiv
� Initialement développée par Paul Ginsparg en 1991 comme une archive pour les prépublications de physique
� Est une archive de prépublications électroniques
d'articles scientifiques dans les domaines de la physique, des mathématiques, de l'informatique, des sciences non linéaires et de la biologie quantitative
� Le terme « e-print » a été adopté pour décrire les articles disponibles sur arXiv.org
� Plus de 700 000 documents
� Contenu exclusivement en anglais
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Les plateformes nationales
HAL : la plateforme nationale
� = Hyper Articles en Ligne
� Archive Ouverte multidisciplinaire
� Créée en 2001 par le CNRS et gérée par le CCsd (Centre pour la Communication scientifique directe)
� Le dépôt dans HAL est automatiquement versé dans ArXivlorsque l’article traite de l’un des domaines couverts par ArXiv
TEL = Thèses en Ligne
� Archive Ouverte des thèses de doctorat et habilitations à diriger des recherches (HDR)
� Multidisciplinaire
� Créée en 2000, cette AO est une plateforme dépendant de HAL
� Possibilité de déposer à la fois dans STAR et dans TEL…
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Les archives institutionnelles (sciences dures)
� Archimer (Ifremer)
� Archive de l’Observatoire de Paris
� Collection de Centrale Lyon
� CERN Document Server
� CITHER (sciences de l’Ingénieur)
� Crystallography Open Database
� DUMAS (archives des mémoires d’étudiants)
� HAL-CEA (Commissariat à l’énergie atomique)
� HAL-EMSE (Ecole des mines de St-Etienne)
� HAL-IN2P3 (Inst. Nat. De Phy. Nucléaire et de Phy. Des particules)
� HAL-INSU (Inst. Nat. Des sciences de l’univers)
� HAL-Pasteur
� IRIS (Université des sciences et technologies de Lille)
� LARA (rapports scientifiques et techniques français)
� NUMDAM (mathématiques)
� Science2Share (Danone Research)
� …
� Archivage et valorisation des productions scientifiques des institutions (universités, grandes écoles,…)
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Les archives institutionnelles (SHS)
� HALSHS
� Sciences de l’information : E-LIS, Archivesic
� Economie : RePEc
� Psychologie : CogPrints
� Archivage et valorisation des productions scientifiques des institutions (universités, grandes écoles,…)
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Les étapes du dépôt
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� 3 cas : dépôt spontané, recommandation de dépôt, obligation de dépôt
� Dépôt par un des auteurs (accord des autres auteurs obligatoire) ou par une personne autorisée
� Différents formats de fichiers acceptés
� Fichiers annexes acceptés
� Dépôt automatique dans ArXiv lorsque le domaine correspond
� ManuHal : http://ccsd.cnrs.fr/support.html
� Création d’un compte de déposant nécessaire au préalable
� Rubrique « Comment déposer » sur Formadoct
Explorer les Archives Ouvertes
� ROAR : consulter les plateformes de libre-accès dans le monde, visualisation de la quantité de dépôts par plateforme
� OpenDOAR : répertoire des réservoirs d’Archives Ouvertes
� OAIster
� Scientific Commons
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� Le cadre français
� Les droits liés au dépôt d’une thèse
� Les licences Creative Commons� « On passe d’une situation où tout est interdit sauf ce qui est
permis à une autre où (presque) tout est permis sauf ce qui ne
l’est pas ». (Jean-Pierre Lardy, 2008)
� Editeurs et archives ouvertes : comment ça marche ?� Le fichier de référence créé par le consortium Sherpa :
ROMEO
� Propose une analyse de la politique suivie par chaque éditeur pour chaque titre de périodique
� Des éditeurs classés selon un code de 4 couleurs : vert (le plus libéral), bleu (que des postprints), jaune (que des preprints), blanc (open access ignoré)
� Héloïse, le fichier français : http://heloise.ccsd.cnrs.fr/
� JULIET : le fichier qui précise la politique des bailleurs de fonds institutionnels par rapport aux éditeurs en vue des AO
� Conférence filmée URFIST « Droits d’auteurs,
propriétés et brevets »� http://urfist.enc.sorbonne.fr/veille-et-recherche/rencontres-
scientifiques/rencontres-urfist/conference-du-14-avril-2011
La question des droits d’auteur
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2 / STARTous droits réservés par DinosaursAreNot Dead (source : Flickr)
Tous droits
réservés par Tis
(Source : La thèse
nuit gravement à la
santé)
� Disparition des exemplaires imprimés déposés à la BU
� Même processus pour la conservation et la diffusion
STAR : signalement des thèses électroniques,
archivage et recherche
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� Une thèse saisie dans Star est définitivement conservée au CINES (Centre Informatique National de l’Enseignement Supérieur) � version d’archivage de la thèse
� La version de diffusion peut être différente de la version d’archivage : diffusion d’une partie de la thèse, ou pas de diffusion car thèse confidentielle� version de diffusion de la thèse
� Pour la diffusion, l’UVSQ a choisi de recourir à la plateforme de diffusion de l’ABES : signalement par le portail des thèses, le sudoc et le site de la BU, qui renvoient en lien vers le fichier diffusé par l’ABES� c’est vous qui décidez des droits de diffusion
STAR : stockage / diffusion
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� Passerelle entre Doctobase et Star : les informations saisies dans Doctobase alimenteront automatiquement le début de la chaîne Star
� Pour vous ça ne change rien : vous remplissez doctobase, et donnez le fichier (format PDF) au service des thèses
� Vous complétez et signez la convention de diffusion
STAR : mise en œuvre
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� Avoir un document structuré : � Titres, parties, sous-parties, table des matière
� Pouvoir y faire des modifications sans souci
� Une fois les dernières corrections faites (post-soutenance) : enregistrement en pdf
Utiliser une feuille de style
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� Soit on n’est présent sur le net, soit on ne l’est pas� Accessibilité, diffusion et visibilité accrues de votre
recherche universitaire
� Si on ne l’est pas, on n’existe pas
� Il y en a plein d’autres comme vous : la publication scientifique n’est pas une denrée rare
� Si un autre chercheur traite du même sujet que vous et le met en ligne, il prendra date
� Il est important de sortir de la pression artificielle due à une mauvaise interprétation du droit d’auteur� Depuis quelques mois, montée en flèche des embargos sur
des thèses non confidentielles et ce, parfois jusqu’à 10 ans !
� En mettant en ligne l’intégralité d’un travail, on se protège
L’instant démago…
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3 / PRODUIRE UNE BIBLIOGRAPHIE AVEC UN LOGICIEL
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Les logiciels de gestion bibliographique
À quoi ça sert ?- Collecter les références bibliographiques- Les organiser- Les citer- Les partager- Éditer une bibliographie, mise en forme
Les logiciels- Gratuits : Zotero, Mendeley, Connotea...- Payants (mais avec des réductions pour les étudiants) : Endnote, Refworks…
Comparaison- Définir ce qui vous paraît essentiel- Critères : capacité, organisation des références, fonctions de recherche, gestions des liens, sources,
importation, formats, intégration dans les traitements de texte- Ce qui compte : votre usage
Les formats - Formats de stockage/sauvegarde- Formats d’échange/exportation- Formats d’édition/styles
� De l’albanais « zotëroj » : « qui acquiert, maîtrise »
� Produit par le Center for History and New Media (Washington D.C.)
� Une extension de Firefox / des pluggins pour Word et Open Office
� Libre et gratuit
� Gérer ses références en un endroit unique
� Générer une bibliographie
� Gagner du temps et de l’énergie
Sauvegarde
Partage et veilleEdition de bibliographie
Gestion des références
Sauvegarde
ZOTERO
� Allez sur le site www.zotero.org
� Téléchargez Zotero et suivez les étapes d’installation
� Préférez la version stable à la version Bêta encore en construction
� Redémarrez Firefox
� Enfin, jouez à afficher (partiellement et en pleine page) et masquer Zotero dans votre navigateur
NB : Zotero peut être utilisé (de façon limitée) / consulté même sans connexion internet
Quatre façons de collecter des références :
� Importer automatiquement via les sites « zotero-compatibles » : Gallica, Ebsco, BnF, Sudoc, Cairn, Jstor, Google Scholar, Google Books, HAL, TEL, Revues.org, You Tube, Flickr, Factiva, Amazon,…
� L’onglet « baguette magique » : importer un livre via son ISBN
� Créer manuellement une référence quand un site n’est pas compatible
� Récupérer les données d’un document PDF stocké dans « Mes documents »
� Créer des collections et des sous-collections
� Associer des mots-clefs à ses références
� Annoter
Ou
Ou
�
� Créez votre compte personnel sur le site de Zotero
� Synchronisez votre bibliographie avec le serveur Zotero
� Deux bibliographies : une locale en bas de votre navigateur Firefox / une en ligne sur le site de Zotero (que vous rendez publique ou non, au choix : Zotero settings/Privacy)
� « Créer une bibliographie à partir de la sélection »
� Installer l’extension pour Word / Open Office
� Utiliser les styles de citation proposés par Zotero ou en télécharger d’autres
● Nouveauté : un nouveau style francophone (et anglophone) pour Zotero fondé sur la norme ISO 690 a
été créé
� Zotero People ou le réseau social des chercheurs ?
� Zotero Groups ou la possibilité de partager sa bibliographie
� Zotero francophone, le site de référence sur le logiciel en français : http://zotero.hypotheses.org/
• Formadoct : http://guides-formadoct.ueb.eu/ (notamment la partie sur les
normes et formats)
• Petites leçons de typographie, de Jacques André : http://jacques-
andre.fr/faqtypo/lessons.pdf
• Panorama logiciels gestion biblio (urfist)
http://urfist.enc.sorbonne.fr/sites/default/files/file/docsab/Panorama_logiciels_bi
bliographiques_mars2012.pdf
Sources
Merci de votre [email protected], [email protected]
Amélie Church Pro, Magalie Le Gall Pro
magalielegall
magalielegall BU_Versailles
http://www.slideshare.net/magalielegall pour consulter et/ou télécharger cette présentation
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