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  • f ADMINISTRATION^--PÎRECTION ET REDA^të»^

    o. Place Fontaine-des-BAircs =5 \ t LIMOGES'/»

    CjC Chèques Postaux 107 "-V^OESjW Adresse tclégr. : Kalpopu» Limojffe»».—'

    lGNES TÉLÉPHONIQUES 36-31 36-32

    POPULAIR ABONNEMENTS i an *©!» — 6 mois soc DU CENTRE «L1 35" ANNEE. SAMEDI 1er

    Franco et Colonisa

    : Mi

    — H» 153.

    JUIN 1940

    PUBUCl ^Ê est raçuo à LIMOQES ,cc fontaine des «aires - Tél. J6-JÎ

    _àPAM3, 3, Kuc Saint Augustin f^Tél Richelieu 6g-00 i lignes groupées

    RÉCLAMES LOCALE 6 fr.

    LA UIQNE CORPS 6 J

    272e jour de guerre

    PREMIÈRE SEANCE SUR LA TERRE D'ACCUEIL

    Députés et sé ii*^. ont tenu

    n leur

    eurs de la Belgique 01 assises à oges

    31 MAI AU MATIN

    Dans le Nord, les opérations continuent de se dérouler avec la même mreté autour du camp retranché de pmkerque.

    Sur la Somme et sur V Aune, quelques actions locales d'infanterie, de iad et d'autre. Entre l'Aisne et la Meuse, duels d'artillerie assez violents.'

    Entre la Meuse et la Moselle un coup de main ennemi a éfé repoussé.

    niiiiiiiiifiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin

    Réfugiés écrivez à vos soldais

    Paris, le 31 mal. te sous-secrétaire d'Etat à la prési-

    dence du Conseil communique : Le commandement demande que les

    personnes évacuées des régions ré-cemment envahies, et qui se sont réfu-giés dans les départements de l'inté-rieur, informent le plus tôt possible de leur situation les militaires, parents ou amis, qui sont actuellement aux ar-

    guées et dont elles connaissent l'adres-se. — (Havas./

    Le MAIRE ENTOURE du les a accueillis à

    CONSEIL MUNICIPAL l'hôtel de ville

    IIIIIIIIUIIIUlinHUlHIIIIHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIlllllllllllilllUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHIIIHUMUHlIllU

    Avec nos modernes chevaliers de l'air

    LE COURRIER DES REFUCIES

    Paris, 31 mai. M. Jules Julien, ministre des P. T. T

    communique : 5 millions de lettres à destination

    des personnes évacuées de- la zone des opérations sont centralisées à Paris.

    Evacués faites-vous connaître au bu reau de poste de votre nouvelle rêsi dence. L'administration des P. T. T. vous fera parvenir votre courrier si yous en avez. — (Havas.)

    Allo 1 Allô ! le Groupe X î Oui. Vous avez à assurer de telle heure

    à telle heure la protection de la gare régulatrice de...

    Le Groupe a deux escadrilles de neuf appareils chacune. La première escadrille s'envole et cToise inlassable-

    ent à haute altitude, attendant l'ar-ivée des bombardiers allemands. Rien à l'horizon. Il faut rentrer. La seconde escadrille arrive à son

    tour, elle est là depuis vingt minutes, voici la formation imposante des

    bombardiers allemands : Quarante-deux Hcink III, en deux vagues d'as-saut.

    Il faut les attaquer avant qu'ils ne soient au-dessus de la gare et c 'est alors l'incroyable mêlée.

    Les Curtiss foncent : Trois attaquent par devant, six par derrière.

    Les Heinkel étaient tellement serrés imbriqués presque l'un dans l'autre que nous avions l'impression de pi-quer sur un mur de fer et de feu, de nous attaquer à une forteresse cra-chant des balles par toutes ses ouver-tures, m 'ont dit ceux qui avaient abor dé les Heinkel par l'avant.

    Pour nous, m'expliquent les autres, ils nous semblait que nous avancions sur in plateau de fer à travers un nuage a'éehris, et en effet chaque Heinkel à cinq mitrailleuses en queue.

    FOUR PARER 1 LU GRISE CHARBONNIERE

    Londres, 31 mai Des décisions rapides sont prises

    pour Intensifier la production charbon-nière du pays de Galles, afin de com penser les pertes résultant de la situa tion des charbonnages du Nord de la France, envahis.

    Les propriétaires des mines ont for-mulé une requête tendant à rouvrir de nombreux puits de mines fermés pen-dant les deux dernières années. La question de savoir si ceux-ci peuvent être rémunérateurs est considérée com-nie secondaire.

    La requête sera soumise, samedi-un Conseil exécutif des mineurs du pays de Galles du Sud. — Havas.

    A PROPOS DE CERTAINS BRUITS

    Paris, 31 mai. Gn ne peut confirmer ni infirmer

    l 'inforrnatio.n de source allemande se-lon laquelle le général Erioux aurait été fait prisonnier. . D'autre part, le rédacteur militaire *9 l'Agence Havas est autorisé à dé ïnentir catégoriquement toutes les in formations fantaisistes publiées 1 étranger touchant le général Gamelin et le général Corap. = (Havas.)

    PUBLIOISTIE BELGE ARRETE

    Poitiers, 31 mai Par 0rdr* du ministère de ITnté

    peur, la Sûreté nationale vient d'arrê !rer le publicistô belge Paul Colin, d recteur du journal « Cassandre » suavas.)

    C'est donc 105 mitrailleuses qui, grou-pées, nous tiraient au rythme de mil-lions de balles à la seconde.

    Mais les Curtiss passèrent tout de même, . , .

    L'avion de tête est attaqué. Il s'ef-fondre en flammes, puis la patrouille

    éclate » s'accroche aux deux Heinkel d'angle et les descend à leur tour.

    Quant aux Curtiss qui ont abordé les bombardiers par derrière, bien que criblés de balles, ils font du bon tra-vail : Trois Heinkel se détachent et vont s'écraser au sol.

    C'est fini. Les Allemands se dislo-quent, lâchant leurs bombes n'importe où dans la nature, et s'enfuient vers leurs lignes.

    Quant à la seconde formation de 21 Heinkel, arrivant à son tour dans cette bagarre et devant l'attitude résolue des Curtiss qui, regroupés, reprennent de la hauteur, les bombardiers changeant de cap, abandonnent leur objectif et s'éloignent du champ de bataille.

    Bilan : Seize Heinkel achèvent de brûler au sol.

    Chez nous, tous les appareils sont criblés de halles allemandes un pilote est blessé à la jambe ; deux Curtiss devront se poser endommagés sur le ventre ; mais le but est atteint.

    La gare a été protégée-, et vers les lignes, les convois continueront à, mon-ter. — (Havas.)

    Opérations militaires

    La B. B. C. donne, à midi 30, le résu-mé suivant de la situation générale :

    Les armées française et britannique dans les Flandres, aidées par la mari-ne de guerre et par l'aviation, sont en. gagées dans l'exploit le plus glorieux que l'histoire militaire ait jamais con-nu. Devant une masse énorme de trou-pe; ennemies, et, devaw* iBs-unîtés mo-torisées, non seulement elles se main-tiennent solidement sur leurs positions, mais encore font subir a l'ennemi des pertes épouvantables. Chaque pied de terrain pris par l'ennemi lui coûte des milliers de morts.

    Les navireg de guerre ont appuyé de leurs tirs d'artilleri e les opérations al liées, en causant à l'ennemi de graves dégâts. Les alliés ont la maîtrise abso lue de la mer dans la région de Dun-kerque. Dunkerque résiste d'une façon magnifique. Un certain nombre de troupes alliées ont été évacuées par le port de Dunkerque,

    Les inondations, dans cette région, produisent leur effet. Au cours de ces

    UIII|lllllllllilillltllllllilIllillll!IIIUIIIIIllllllltilltill»SliS3ll|jHllllt];ili1ili

  • LE POPULAIRE DU CENTRE. — SAMEDI 1" JUIN 1940.

    « Le Pa,ricj)iient belge se réunit à Limoges. » Cette phrase, répétée de bouche en Louche, provoquait ven-dredi matin dune Limoges une émo-tion et une fierté.

    Une émotion, parce que les évé-nements tragiques sont présents à l'esprit de tous ; uue fierté de rece-voir, dans leurs délibérations histo-riques, les parlementaires de la Bel-gique, que nul n'a songé à assimiler au* roi Léopold.

    Et, à la façade de l'hôtel de ville, flottait fièrement le drapeau trico-lore, encadré des drapeaux belge et anglais,

    La salle des mariages, la salle des fêtes, la salle du conseil munici-pal, dans lesquelles devaient se te-nir la séance commune du Parle-ment belge et les séances privées de la Chambre et du Sénat, étaient dé-corées amplement de drapeaux bel-ges.

    Au dehors, une foule, discrètement contenue par ie service d'ordre, at-tendait l'arrivée des ministres, qui devaient être reçus par le conseil municipal.

    Il était H heures lorsqu'ils appa-rurent.

    Successivement, on pouvait noter l'arrivée de MM. Brunet, Carton de Wiart, Hymans, ministres d'Etat ; du général Denis, ministre de la Guerre ; puis de MM. Balthazar, mi-nistre du Travail; Huysmans, bourg-mestre d'Anvers ; y an Cauw&laert, président de la Chambre ; Spaak, ministre des Affaires étrangères, ac-compagné de sa mère ; Gutt, minis-ire des Finances ; Pierlot, premier ministre ; Gillon, président du Sé-nat ; Matague, ministre des Tra-vaux publics, et enfin le comte d'As-premont-Lynden, ministre de l'Agri-culture.

    M. Janson, ministre de la Justice, était également présent.

    La foule applaudissait et manifes-tait son enthousiasme par des bra-vos chaleureux au passage du géné-ral Denis, des président de la Cham-bre et du Sénat, et surtout du pre-mier ministre, M. Pierlot.

    Dans son bureau particulier, le ci-toyen Betoulle, entouré de son con-seil municipal, et ayant à ses côtés M. Ducombeau. préfet de la Haute-Vienne, présenta les ministres à ses collaborateurs.

    Puis l'on passa dans la salle du conseil municipal pour la réception officielle.

    Ce fut dans une atmosphère dont on comprend l'émouvante simplicité que Betoulle prononça son allocu-tion.

    . Messieurs les ministres, Messieurs les présidents du Sénat

    et de la Chambre belges, Messieurs les sénateurs. Messieurs les députés. En ma double qualité de maire de la

    ville de Limoges et de parlementaire français, j'ai le devoir, au nom de la population limousine, de saluer les membres du gouvernement et de la représentation de la noble Belgique.

    Je le fais avec simplicité mais aussi avec émotion.

    La trahison d'un roi, trahison non seulement envers les Alliés à l'aide desquels il avait fait appel, mais en-core envers sa propre nation, vous ont obligés à quitter le sol si hospitalier de votre glorieuse patrie et à chercher auprès de vos vieux amis de France l'abri que nous sommes fiers et hono-res de vous offrir.

    Vous allez tenir à Limoges, dans cette salle de notre maison commune, votre première réunion parlementaire. Disposez entièrement non seulement de cette salle, mais encore de tout no-tre hôtel de ville que je suis heureux de mettre à votre entière disposition.

    Messieurs, mardi matin, le Président du Conseil des ministres de France, M. Paul Reynaud, par la radiodiffusion, apprenait en termes poignants à la nation que le roi Léopold III de Bel-

    gique, venait brusquement, brutale-ment, sans aviser personne, sans pré-venir le commandement des armées alliées engagées avec les troupes bel-ges dans la bataille contre l'Allema-gne, de capituler en rase campagne 11 donnait en même temps l'ordre à ses soldats en pleine bataille de déposer les armes.

    Les forces françaises et britanniques restaient seules à se battre dans le Nord.

    On se doute de la stupeur que pro-duisit en. France cette nouvelle inat-tendue. On comprend aussi aisément que toutes les consciences se soient soulevées de dégoût par la félonie du Cdi Léopold.

    Quelques heures anrès, ie premier ministre belge. M. Pierlot, dans un langage émouvant, nous apprenait que l'acte accompli par le roi était sans valeur légale et qu'il n'engageait pas le pays ; aucun acte du roi ne pouvant avoir d'effet s'il n'est contresigné pay un ministre.

    Rompant le lien qui l'unissait à son peuple et se plaçant sous le pouvoir de l'envahisseur, ie roi n'était plus en situation de gouverner. Le premier mi-nistre annonçait que ies officiers et fonctionnaires étaient déliés du devoir d'obéissance auquel les obligeait leur serment de fidélité.

    M. Pierlot ajoutait que, dans l'inter-valle de la réunion des Chambres, les pouvoirs constitutionnels du roi étaient exercés, au nom du peùlpe belge, par les ministres réunis en Conseil et sous leur responsabilité. C'est à ce principe constitutionnel qu'entendait se rappor-ter le gouvernement dont la volonté était de défendre jusqu'au bout et en communauté avec les Alliés, l'indépen-dance de la Belgique et l'intégrité du territoire contre la plus audacieuse des agressions.

    Ce noble langage fut un baume pour nos coeurs ulcérés.

    Messieurs, Hommes, femmes, enfants ont été

    obligés de fuir la Belgique sous la pression d'un ennemi impitoyable qui marque son envahissement par des crimes monstrueux et qui acoumule ruines sur ruines

    Ils ont été accueillis en France non pas seulement en amis, mais en frères. Nulle part la sympathie ne leur a fait défaut, partout la solidarité s'est exer-cée.

    La trahison du roi Léopold, la pro-clamation du gouvernement, la volon-té du peuple belge de poursuivre la bataille avec nous, avec nos Alliés jus-qu'à la victoire complète, nous ren-dent encore, si possible, plus chers nos amis belges qui trouveront en France, pendant toute la durée de la rude épreuve que nous traversons, une sympathie plus grande, une fraternité encore accrue.

    Messieurs les parlementaires, : Vous êtes Téunis pour, au nom- de la Belgique, faire entendre la voix de votre nation.

    La France, que dis-je la France, le monde civilisé en entier, qui connaît par avance voire décision et votre vo-lonté de vaincre toutes les félonies, applaudira à vos décisions

    ! Nous luttons contre le crime et la barbarie. Nous vaincrons. Nous vain-crons pour que votre chère Belgique se retrouve libérée et forte et que, par la victoire des Alliés, la liberté ne disparaisse pas de l'humanité.

    XXX

    Députés, sénateurs et ministres belges accueillirent avec des bravis et des applaudissements prolongés l'espoir de la victoire, exprimé par le maire de Limoges et la fin du dis-cours.

    ment peut se réunir librement com-me chez nous. »

    Et, interrompu par les applaudisse-ments, M. Van Cauwelaert ajoute que la Belgique n'a qu'une seule vo-lonté : persévérer ; qu'un seul sen-timent, celui de l'honneur, qui a toujours fait sa force.

    La Belgique reste fidèle et loyale. Unies aux forces de la France, de

    l'Angleterre et des autres petits pays victimes de l'agression, les forces belges, regroupées, triompheront.

    Et la Belgique, ayant reconquis son indépendance, restera fière et non déshonorée.

    Le président du Sénat

    A son tour, le président du Sénat belge, M. Gillon, rapporte : « Nous avons reçu le choc d'une façon effro-yable.» Et chacun comprend qu'il s'a-git de la trahison du roi.

    Mais il rappelle ces mots d'un Français : « C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière », et ajoute : « L'honneur belge ne failli-ra pas par la faute de son roi. »

    M. Gillon annonce alors qu'une partie des troupes belges n'a pas obéi à l'ordre de déposer les armes, et les bravos expriment l'admiration des ministres et du Parlement pour cet héroïsme.

    « Certains de revoir notre pays li-bre, dit-il en terminant, nous ne vou-lons pas avoir l'âme des exilés. Grâ-ce à l'énergie de nos troupes et de celles des Alliés, la. Belgique repar-tira vers sa glorieuse destinée.

    Le président de la Cham re

    Puis M. Van Caulewaert, président de la Chambre, prit la parole.

    Après avoir remercié Betoulle de l'accueil qui leur avait été fait, le D résident de la Chambre belge rap-pela les épreuves communes de 1914-Ï8, au cours desquelles l'amitié de la France avait apporté un si grand réconfort à son pays.

    « La trahison, dit-il, nous a un moment ébranlés et fait craindre que l'horreur de cette action provoque en France un ressentiment à notre égard. Mais la France n'a pas ren-du le peuple belge responsable et, grâce à son hospitalité, le Parie-

    Le premier ministre

    Lorsque M. Pierlot, premier minis tre, prend la parole, les cris de « Vi ve la Belgique ! » se mêlent aux ap plaudissements.

    « Limoges nous rappellera, dit-il, l'heure la plus douloureuse de notre histoire. Mais, par l'accueil frater nel qui nous a été réservé par le pré fet et par le maire, dans l'adversité, nous avons trouvé un grand récon-fort.

    « La Belgique n'a pas trompé la France. Pas plus qu'en 1914, nous ne déposerons les armes que lorsque la victoire, c'est-à-dire la paix et la liberté, seront reconquises.

    « Ne nous faisons pas d'illusions, mais ne fermons pas nos' cœurs à l'espérance.

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    ^diodlffusion Les stations Radio Lyon, Lyon P. T

    T. et Limoges P. T. T. sont autorisées à fonctionner dans les mêmes condi-tions que les: stations de radiodiffusion du Midi de la France.

    Mutualité COTISATIONS DE DIMANCHE

    Feuillants, de

    de

    Société homéophile 9 h. à H he ure s.

    «iairvoyante. — Prud'hommes, 8 h. 30 à 11 heures.

    Cordonniers de Limoges. — Salle des conférences, de 8 h. 30 à 11 heures.

    Mutualité ouvrière. — Salle des con-férences, de 8 h. 30 à 11 heures.

    Peintres doreurs. — Salle des confé-rences, de 8 h. 4j à il heures

    Industrie de la porcelaine. — 9 h. 30 à 11 heures.

    Prévoyants de l'Avenir. — Au siège, de 9 h. a 11 h. 30. • -

    Prévoyante des Dames. — Justice de paix, de 9 h. à 11 heures.

    Espérance. — Hôtel de ville, (pas per-dus), de 9 h. à 11 heures.

    Mutualité limousine. — Anticham-bre du maire, de 8 h. 30 à 11 heures.

    Mutuelle ouvrière « Le Travail ». — Maison du Peuple, salle 6, de 9 h. 30 à 11 h. 30.

    Bienfaitrice. — Prud'hommes, de 9 h. à H heures.

    Entente mutuelle, — Justice de paix, 8 h. 30 à 11 heures.

    Ouvrière limousine. — Salle des con-férences, de 9 h. à 11 heures.

    Solidarité des dames. — Salle conférences, de 9 h. à 11 heures.

    SYNDICATS OUVRIERS

    des

    Syndicat des ouvriers de brasserie et eaux gazeuses. — Recette dimanche 2 juin, de 10 h. à 11 h., Maison du Peuple, salle 6.

    Syndicat général des ouvriers et techniciens du bâtiment et du bois. — Cotisation dimanche 2 juin, de 9 h. 30 à 11 h,, Maison du Peuple, salle 36. Aux mêmes heures, paye des chô-meurs.

    Syndicat des métaux, voiture, avia-tion et parties similaires de Limoges, — Recette le 1er juin, bureau n° 4, à la Maison, du Peuple (1" étage), de 9 h. 30 à midi et de 14 h. à 17 h. 30.

    Syndicat général de la céramique. — Recette samedi, de 9 h. 30 à 11 h. 30, salle n° 6, 1er étage, à la Maison du Peuple.

    Union syndicale des employés de commerce, —- Cotisation et pointage des cartes des chômeurs dimanche 2 juin, de 10 h. à 11 h. 30, à la Maison du Peuple, bureau 9.

    Syndicat de l'habillement, Cotisa-tion dimanche 2 juin, de 10 à 11 b., Maison du Peuple.

    Syndicat des types, s» Cotisation et réunion générale, dimanche 2 juin, à, la Maison du Peuple, salle 11, à 10 h 30.

    Syndicat des préparateurs et emplo-yés en pharmacie. =. Cotisation di-manche 2 juin, salle habituelle, Mai-son du Peuple, de 10 h. è 11 heures.

    GUERET Cinéma Continental. — Ce soir à 20

    h. 30, « La Goualeuse ». Lys Gauty dé-bute- ici clans le rôle séduisant et tra-gique de la goualeuse. Elle a de belles attitudes, sa voix chaude de chanteu-se fait merveille. Jean Marinelli, bon comédien au visage- fin, rehausse son rôle de voyou brutal. Constant Béroy est bien, le. quator Dorville, Marguerite Pierry, Deyère, Rivers Cadet amusera.

    Cinéma du théâtre. — « Katia » : une pathétique histoire d'amour, fresque grandiose, décors et costumes somp-tueux, des vedettes d'un talent incom-parable : Danielle Darrieux, John. Lo-der, Marie Hélène Daste, Aimes, Aimé Clariond, etc..

    En complément « Quelle drôle de gosse » avec Danielle Darrieux, Albert Fréjean, Lucien Barroux

    Ce soir, à 20 h. 30. PARSAC

    Décès. C'est avec beaucoup de pei-ne que nous avons appris lundi soir la mort, survenue au village de la Mazè-re. en notre commune, de notre cama-rade Guillon Henri, âgé seulement de 46 ans. La nouvelle de sa mort a causé une forte émotion dans la région. Le regretté s'est éteint après avoir bien travaillé, durant sa vie, car il s'est dé-pensé jusqu'à la dernière limite de ses forces. Ancien combattant, le défunt a été conduit à sa dernière demeure, ac-compagné malgré la pluie d'une foule nombreuse de parents et d'amis, pré-cédée de la bannière des Mutilés et "An-ciens combattants de Parsac.

    Que sa veuve, ses enfants, ainsi que toute sa famille trouvent ici nos bien .sincères condoléances.

    DORDOGNE

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    CINE-UNION. a= Aujourd'hui er ma-tinée et soirée, l'inépuisable succès l'opérette qui a fait le tour du moncte « Dédé », avec Danielle Darrieux, Mi-Les actualités de la semaine reiile Peyrrey, Albert Préjean. etc..

    CINE UNION ••••••«M en matinée et soirée ••••, avec Kay Francis et Georges Brent, et « L'affaire Coquelet ». Les actualités.

    111 F

    BERNEUIL. Vaccination. — Dernière séance de

    vaccination lundi 3 juin, à 15 heures. H est rappelé que la vaccination est obligatoire pour toute personne qui ne peut produire un certificat de moins de cinq ans de date.

    ISLE Cartes d'alimentations. = Le maire

    informe ses administrés que les eac-tes d'alimentation pourront être reti-rées à la mairie, 1er étage, le samedi 1er juin, de 9 b. à 12 h. et de 14 h. à 17 b. 30.

    Un seul membre de chaque famille devra se présenter.

    ORADOUR-SUR-VAYRES. Allocations militaires. — Le maire de

    la commune d'Oradour-sur-Vayres in-forme les bénéficiaires de l'aiiDcation militaire que le paiement de la dire allocation aura lieu à la perception aux dates et heures ci-après :

    Le 5 juin, de 9 à 12 heures, du n° 1 à 175.

    De 14 h. à 17 h., du n» 176 à 400.

    POMPES F0N£i>EES «iUNlClMLES IhireaiqJWEL DE VILLE. ^^P^J9'™

    CETON-LIMOGES. — Les obsèques de Monsieur Jean GRELAUD, / instituteur honoraire,

    décédé le 25 mai 1940, ont eu lieu a Ceton (Orne), le 29 mai. , .

    De la part des familles Grelaua, Gom bert, iilaneh a-rd.

    LIMOGES. — Les membres clu «-Bil-lard Club Marceau » et les tiavailirs-tes sont- priés d'assister aux obsequei de leur camarade

    Albert FERAL décédé dans sa 33e année, et qui au-ront lieu le samedi 1er juin. .Rf UI'^ à treize heures quarante-cinq a la P*M te du cimetière de Louyat.

    LIMOGES. — Les obsèques de Madame veuve Pierre LARBiEJ

    décédée en son domicile, ru ont eu Heu le vendredi 31 mai, ■a" ie. glise du Sacré-Coeur, dans la pru^ 3 te intimité. . .,, r-h-tenn et De la part des familles Château Larrieu.

    d'isle,

    IMPRIMERIE NOUVELLE j**^ Composé et imprimé P«r

    |gq||jjrô[ des ouvriers syndiques

    Le Gérant : Léon VïC^'n


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