La quête mystérieuse

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La qute mystrieuse

Notre demeure grande et belle tait construite avec beaucoup de pierres grises, au bord de la mer, sur une falaise qui avait servi construire le chteau. Il y avait six tours, un pont levis, un foss o coulait de l'eau de mer, deux meurtrires. Deux drapeaux flottaient l' entre du chteau. Une arme de chevaliers y habitait et lentre trnaient deux dragons pour surveiller les alles et venues. Notre chteau tait domin par un donjon de la haute cour.Dans la basse cour, un march tait install et un grand village bruissait, avec ses trois cents chambres pour tous les chevaliers et le seigneur.

Nous tions un banquet. Nous formions un trio de chevaliers clbres et reconnus des lieux la ronde, Nos noms:Merlin de Saute-mouton, Arthaud de Mort-dragons et Arthur de La-fontaine. Tout coup le roi dit que dans le pays voisin, il avait une religion impose et des gens mouraient. Les pauvres gens n'avaient pas le choix de croire en ce qu'ils voulaient. Quand le dner ft fini, nous partmes nous coucher, mais la place nous nous rejoignions discrtement dans une chambre pour parler de notre fugue, dans le pays voisin pour imposer la libert d'opinion.A l'aube, nous dcidmes de partir, dans le pays voisin. Mais les problmes commencrent arriver. Nous n'avions pas le droit de quitter le pays, mais nous le fmes quand mme. Pendant le trajet, la soif et la faim s'imposrent. Mais pas question d'abandonner notre qute. Le jour suivant, nous avions eu de la chance de tomber sur un petit ruisseau. Arrivs dans le pays voisin, trois gardes nous empchrent d'entrer dans le pays. Ils nous laissrent venir dans le pays et nous vmes la pauvret dans ce pays rpugnant. L bas la religions ou-kata tait impose. Les habitants commencrent remarquer que nous n'tions pas de la mme religion nos manires et habits. Tout le village avait un air mfiant sur nous. Un peu plus tard, deux paysans parlaient d'un tournoi dans la ville voisine. Le soir quelqu'un nous invita manger au chteau. Quand nous arrivmes au chteau du seigneur de La-fort, nous vmes une demeure en assez bon tat compar la ville en ruine. Nous entrmes dans la demeure. A l'entre nous apermes des tapisseries et des peintures splendides et une vaisselle remarquable. Nous mangemes du pain, du vin et du lapin.

Le lendemain ce fut le tournoi et tous les chevaliers se prparrent au combat. Les chevaliers habituels taient l:

Nous avons des nouveaux participants parmi nous, dit l'un des chevaliers. Ce fut le dbut du tournoi, Merlin avait battu de nombreux chevaliers jusqu' aller en finale. Les deux chevaliers pointrent leurs lances et le choc fut si violent que Merlin tomba terre. Quand il demanda merci, une arme attaqua la ville. Les chevaliers du tournoi attaqurent l'arme inconnue, la ville tait dvaste, de nombreux chevaliers se firent tuer et aussi de l'autre arme.

Le seigneur fut kidnapp et nous attaqumes l'arme voisine pour rcuprer le seigneur de la ville:Que peut-on faire pour vous remercier, dit le seigneur.-Nous voulons que la libert d' opinion rgne dans ce pays.Puis le seigneur accepta. Nous furent rcompenss par le don d'un cheval et d'habits splendides pour avoir sauv le seigneur.

Dans un autre pays ce problme tait frquent, des gens se faisaient assassiner car ils n'avaient pas la mme religion que les autres. Nous nous rendmes dans ce pays et ce fut un vrai carnage. Il y avait des mares de sang, des centaines de cadavres avec pleins d'asticots qui rongeaient les morts.Le ciel tait tout noir. Les villageois avaient peur de se faire assassiner mais les enfants qui ne se souciaient de rien et allaient l'glise le dimanche. Nous rencontrmes un marchand de crales qui nous proposa un sac de bl dix deniers. Puis tout coup la terre commena trembler et d'normes trous se formrent dans le sol. normment de paysans tombrent dans le trou form. Tous les paysans se rfugirent dans les glises et les monastres. Mais la terre en avait dcid autrement. Toutes les habitations furent dmolies par le tremblement de terre. Quelques jours plus tard le sisme fut termin, les habitants reconstruisirent leurs maisons mais pas entirement et les paysans furent soulags que tout fut fini. Nous nous rendmes chez le roi et nous lui demandmes gentiment d'imposer la libert d'opinion. Non, je refuse, au fait, tes-vous de la mme religions que nous? dit le seigneur de ta-lance. -Non pourquoi?-Gardes attrapez-les!!! rugit-il en colre

Nous nous battmes et turent les trois gardes. Tous les autres gardes nous attraprent et nous amenrent en prison avant de nous pendre. Quelques jours plus tard c'est le jour de la pendaison. Nous avions une corde autour du cou et tout coup une le volcan Kibboutz se rveilla et les gardes et ceux qui nous surveillaient nous laissrent tous seuls. Arthaud se dtacha et nous dtachmes, nous nous enfumes vers l'glise. Tous les paysans, artisans, tout le village s'affola dans un vacarme monstre. Les habitants se poussrent, tombrent et se firent pitiner. Les paysans migrrent pour aller dans un autre pays, la lave dtruisit tout sur son passage. A la fin de la catastrophe nous partmes chez le roi pour lui dire que toutes ces catastrophes avaient t cres par Dieu car trop de personnes mouraient cause de leur religions. Quelques semaines plus tard, cette religion impose avec force, la ou-kata n'tait plus obligatoire. Un jour nous allmes une lice, un chevalier arriva avec son cuyer, son jongleur et son beau destrier. Son jongleur tait trs rigolo, son cuyer trs beau et lui trs bien habill mais pas trs beau. Les cloches sonnrent pour annoncer le dbut du tournoi, le chevalier se prpara et fit son premier combat. Il gagna et remporta tous ses combats

pour arriver jusqu'en finale. En finale les deux adversaires se regardrent dans les yeux, ils se foncrent dessus avec leurs lances et tombrent tous les deux par terre. Aprs tre tombs de leur destrier, le combat se fit l'pe et un des chevaliers perdit celle-ci. Il s'empara d'un poignard cach dans son pourpoint et formellement interdit. Il le lana dans la tte de son adversaire qui mourut sur le coup. Le chevalier au poignard fut pendu et toutes les religions furent acceptes. Nous rentrmes au chteau de notre roi le Duc de Bourgogne et le fils d'Arthaud se fit adouber. Merlin mourut et le fils d'Arthur fut aussi adoub. Puis de gnrations en gnrations notre lutte contre la libert d'opinion continua.

YANNIS,ARTURO ET GEOFFREY