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L'Evénement Fevrier 2014; Berkeley, une nouvelle chance pour l'amour

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L’événement | 427 | février 2014. Berkeley, une nouvelle chance pour l'amour.... Entre les exigences d’une carrière intense et les illusions d’une société tournée vers l’apparence, les déceptions amoureuses sont nombreuses. Stopper la chaîne des rencontres stériles et déposer son dossier entre des mains expertes pour trouver enfin l’âme soeur, c’est ce qu’ont fait Aurore et Charles en entrant chez Berkeley. «Manque de spontanéité» pour elle, sentiment de n’être «pas concerné» pour lui, au départ leur avis sur le concept était plus que mitigé. À l’arrivée, tous les deux se sont séduits et ont été séduits. Témoignage croisé et sans détour de leur parcours.

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L’événement | 427 | février 2014108

Entre les exigences d’une carrière intense et les illusions d’une société tournée vers l’apparence, les déceptions amoureuses sont nombreuses. Stopper la chaîne des rencontres stériles et déposer son dossier entre des mains expertes pour trouver enfin l’âme sœur, c’est ce qu’ont fait Aurore et Charles en entrant chez Berkeley. «Manque de spontanéité» pour elle, sentiment de n’être «pas concerné» pour lui, au départ leur avis sur le concept était plus que mitigé. À l’arrivée, tous les deux se sont séduits et ont été séduits. Témoignage croisé et sans détour de leur parcours.

Berkeley en quelques motsDirigé par Geneviève Heintz et Annemieke Dubois, deux spécialistes des ressources humaines, le bureau belge fait partie d’un réseau mondial comportant des antennes à Cannes, Monaco, Paris, Genève, Amsterdam, Milan, New York et Melbourne. Avec une inscription relativement élevée, Berkeley ne concentre que des célibataires aisés. Créé à Londres en 2002, le concept repose sur le principe de la discrétion de ses agents et de l’autonomie financière de ses clients.

la motivation «Il est temps que tu vives avec ton temps». Les amis d’Aurore ont été fermes avec cette jolie quadra absorbée dans sa vie professionnelle et traumatisée par quelques mauvais sujets. Inscrite dans un site de rencontres élitiste sur internet, Aurore avait à sa disposition plus de 400 profils intéressés mais aucune envie de cliquer. Pour Charles, la pression des années et l’envie de décloisonner dans «un milieu bruxellois un peu étriqué où tout le monde semble se connaître mais où tous évoluent dans des groupes assez fermés» l’ont poussé à tenter l’expérience.

l’entretien à l’agenceUn hôtel de maître avenue Louise et un accueil plutôt décontracté. L’objectif est clairement «de se raconter», explique Charles. On pose à chacun des questions pratiques, puis plus personnelles qui tournent à la conversation. Pas de photos à fournir mais l’occasion leur est donnée de faire le point et de balayer les critères qui ont conduit aux échecs précédents. Aspects financiers et volonté de s’engager sont abordés pour éviter les cas de candidats mal-intentionnés.

la mise en contact Charles a reçu au bout de 15 jours une petite fiche descriptive, en plus d’ arguments au téléphone. Toujours pas de photos. S’il veut aller plus loin, sa propre description est remise à la femme qui elle-même décide ou non si elle accepte d’être contactée par téléphone. «Le premier échange téléphonique est toujours un moment d’émotion, entendre une voix, s’imaginer l’autre, on se sent un peu déstabilisé» confie Charles qui a rencontré 5 candidates en un an mais affirme avoir observé une véritable progression dans les propositions faites par l’agence grâce à un bon feed-back. Pour Aurore, cela a été le choc dès le premier coup de téléphone.

le 1er rendez-vous La discussion téléphonique est «déterminante» pour Charles mais il reconnaît aussi la part de curiosité qu’il y a dans la décision de se voir. Lors de sa rencontre avec Aurore, il a proposé de venir la chercher pour se rendre dans un bar à vin. Elle avoue avoir été horriblement stressée par la situation. À chaque rendez-vous, Charles se sentait «fébrile», voire «un brin

Par colomBe de Barjavel

Berkeley, une nouvelle chance pour l’amour

adolescent». Pour lui, «l’aura de la personne dès son arrivée est déjà très importante». Pour Aurore et Charles, la nécessité de se revoir a été évidente.

la suite de l’histoireAprès cette première étape, il y a une sorte de compte-rendu à faire auprès de l’agence. Charles a d’emblée demandé à ce qu’on le laisse tranquille un certain temps... pour «laisser le temps à la relation d’évoluer ou de se terminer d’elle-même». Avec Aurore, l’étincelle a pris très vite. Ils se sont vus tous les jours après leur rencontre, ont passé le réveillon du 31 décembre ensem-ble et projettent un week-end à Vienne et une semaine aux Seychelles en deux mois de relation. Du côté de Berkeley, la mission est accomplie quand la relation se poursuit au-delà de 3 mois! Une histoire parmi d’autres qui devrait inciter tous célibatai-res -partageant un même idéal, une même volonté de rencontres authentiques- de franchir le pas!

Berkeley international Belgium

avenue louise 367 à 1050 Bruxelles.

tél. 02.642.00.92. www.berkeley-international.be

Pousser la Porte d’une agence matrimoniale. l’image semBle

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