« Notre base manufacturière sera soumise au cours des prochaines années à des pressions externes...

« Notre base manufacturière sera soumise au cours

des prochaines années à des pressions externes

qui solliciteront fortement sa capacité

d’adaptation. »• La concurrence est de plus en plus vive sur les marchés (taux de

change);

• Le cycle de vie des produits est de plus en plus courts;

• Les clients sont de plus en plus exigeants et informés (WEB);

• Les nouvelles règles de marché (allégations etc.);

CONTEXTE

« La capacité des entreprises à réussir sur les

marchés autant intérieurs qu ’extérieurs dépendra

de la rapidité avec laquelle elles réussiront à

accroître leur productivité et leur compétitivité. »

CONTEXTE

• Le secteur manufacturier de Lévis-Chaudière-

Appalaches est surtout composé d’entreprises

de niveau technologique faible ou moyen-faible

(86,3%).

DES DÉFIS IMPORTANTS AU PLAN TECHNOLOGIQUE(Conseil de la science et de la technologie - Rapport de conjoncture 2001)

• 26% des entreprises manufacturières de Lévis réalisent des activités de R&D (28% C- A)

• Nous occupons à ce chapitre la 4ième position sur 17 régions du Québec);

DES DÉFIS IMPORTANTS AU PLAN TECHNOLOGIQUE(suite 1)

• Les investissements manufacturiers en machinerie et équipement étaient en 1998, au proata de la population de 855$ inférieur à la moyenne provinciale (1 031$ contre 1887$);

• La région se classe au 10ième rang en ce qui a trait au personnel de R&D en entreprise par milliers de population;

DES DÉFIS IMPORTANTS AU PLAN TECHNOLOGIQUE(suite 2)

• 34% des entreprises de Lévis (35% C-A) réalisent des exportation. En chiffres absolus, la région occupe le 3ième rang à ce chapitre.

• Toutefois, son taux d’exportation (exportations en % des valeurs totales de livraisons) est nettement inférieur à la moyenne provinciale (21,2 % contre 39,6%).

DES DÉFIS IMPORTANTS AU PLAN TECHNOLOGIQUE(suite 4)

Les acteurs de l ’innovation:

Centres de transfert, Centre de recherche, société de capital de risque etc.

Là où l ’entreprise puise ses ressources en R&D

L ’environnement global en science et en technologie:

Programmes gouvernementaux, qualité du bassin de main d ’œuvre etc.

CIBLES D ’INTERVENTION

L ’entreprise

• Les biotechnologies;• Le développement durable;• Les micro-procédés, les nanotechnologies;• Le développement de produits

et le prototypage rapide;• La pétrochimie;• Le bâtiment.

CIBLES D ’INTERVENTION (suite 2)

Six (6) secteurs considérés

• Axes routiers constituent un facteur de localisation des entreprises.

• Disponibilité de la main-d’œuvre technique hautement qualifiée au Cégep. Capacité à dispenser des formations accélérées.

• Peut mettre à la disposition des entrepreneurs et des entreprises des terrains et se doter d’outils.

FORCES

• La région Chaudière-Appalaches se distingue par sa production agricole et le nombre d’entreprises en transformation agroalimentaire de même que par le nombre de ses entreprises en production manufacturière.

FORCES (suite 1)

• Déficit d’image: une banlieue de Québec sans rien de particulier; succès peu visibles.

• Tertiaire moteur est sous-développé.

• Absence de centres de recherche universitaires ou gouvernementaux.

FAIBLESSES

• Ne dispose pas de services de géomatique.

• Leadership mitigé dans son positionnement stratégique.

• Offre de services culturels et de restauration.

FAIBLESSES (suite 1)

• Disponibilité d’un transport en commun efficace: le personnel pourra-t-il se rendre facilement sur les lieux de travail?

• Recrutement de personnel scientifique: Lévis peut-elle trouver de l’emploi pour le conjoint?

FORCES ET FAIBLESSES - QUESTIONS

• Présence du Carrefour de la nouvelle économie

FORCES FAIBLESSES (suite 1)

Technologie de l ’information et des communications

• Présence d’Ultramar mais absence de production de 2e et 3e transformation dérivés du secteur.

Pétrochimie et produits dérivés

• Capacité du Cégep à offrir une palette étendue de service de formation en 3D est à accentuer.

• Présence du Centre de robotique industrielle.

FORCES ET FAIBLESSES (suite 2)

Développement de produits

• Personnel technique hautement qualifié.• Présence de TransBiotech et de tous ses clients.

• Entente entre l’Université Laval, l’Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels, le Cégep et TransBiotech.

FORCES ET FAIBLESSES (suite 3)

Biotechnologie

• Participation de TransBiotech au réseau des centres de recherche en biotechnologie.

• Présence d’Ag-Bio Centre.

• Disponibilité d’expertise, d’infrastructures et d’équipements pour soutenir les entreprises.

FORCES ET FAIBLESSES (suite 4)

Biotechnologie

• Reconnaissance du Complexe technologique comme Centre de développement des biotechnologies.

• Disponibilité de scientifiques dans la grande région.

FORCES ET FAIBLESSES (suite 5)

Biotechnologie

• Proximité de la Ville de Québec.

• Opportunités perdues par insuffisance de ressources et d’organisation des ressources pour les secteurs manufacturiers à haute densité technologique, pour les entreprises technologiques et pour le tertiaire moteur.

• Évolution démographique accentuera les difficultés de recrutement de main-d’œuvre.

MENACES ET OPPORTUNITÉS

• Entreprises de Lévis inventives mais éprouvent des difficultés pour la mise en marché des produits.

• Lévis pourrait devenir une plaque tournante de l’innovation technologique pour Chaudière-Appalaches.

• Identification des zones de développement technologique à faire.

MENACES ET OPPORTUNITÉS (suite 1)

• Marché en restructuration – Marché de la géomatique saturé..

MENACES ET OPPORTUNITÉS (suite 2)

Technologie de l ’informationet des communications

• Absence de stratégie de concertation du développement d’entreprise trouvant avantagede la proximité d’une pétrolière.

Pétrochimie et produits dérivés (plasturgie)

• Difficultés importantes de recrutement de personnel spécialisé.

• Orientations du gouvernement du Québec contenues dans Horizon 2005 offrent une opportunité de développer à partir de promoteurs performants.

MENACES ET OPPORTUNITÉS (suite 3)

Développement de produits

• Services R&D pourraient se greffer à un noyau de services en développement de produits.

• Favoriser l’émergence du secteur de la plasturgie par des interventions additionnelles en R&D.

• CNE pourrait consolider ses activités par la R&D.

MENACES ET OPPORTUNITÉS (suite 4)

Développement de produits

• Gouvernement maintient sa priorité dans Horizon 2005.

• Complexe technologique reconnu comme Centre de développement des biotechnologies.

• Absence de multi-locatif capable d’accueillir des entreprises sorties de l’incubation désirant s’installer à Lévis.

MENACES ET OPPORTUNITÉS (suite 5)

Biotechnologies

• Positionnement spécialisé en Biotech serait gagnant (marque de commerce).

• Absence d’un réseau d’affaires constitue une limitation au développement.

• Déficit d’image empêchant d’attirer les personnes de ce secteur.

MENACES ET OPPORTUNITÉS (suite 6)

Biotechnologies

• Atouts au plan de la sécurité des citoyens, de la qualité de vie non mis en marché.

• Difficulté à réaliser la mise en marché.

• Absence d’un positionnement clair de la Ville sur le secteur.

• Absence de zone de développement des entreprises du secteur identifié à Lévis.

MENACES ET OPPORTUNITÉS (suite 7)Biotechnologies

• Ville pourrait se donner les services et des outils, offrir des facilités renforçant l’actif de la reconnaissance CDB.

• Lévis n’a pas de centres universitaires ou gouvernementaux de recherche.

• Complémentarité du secteur aux autres secteurs de production (agro et transformation), à la région Chaudière-Appalaches et à la région de Québec.

MENACES ET OPPORTUNITÉS (suite 8)Biotechnologies