CNRD 2018 « S'engager pour libérer la France

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CNRD 2018 « S'engager pour libérer la France »

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3 colonneAffiche illustrée incitant les jeunes gens à

s’engager dans les Forces navales françaises libres, réalisée par René Louvat, 49 x 36 cm, imprimée à Manchester par The Star Process Engraving Co. Ltd, pour « the Fighting French

» (les Français Combattants), sans date.

Quelques rappels :

Catégories de participants (4):

- 1ere catégorie : Classes de tous les lycées (à l'exception des formations post-baccalauréat).

⇒Devoir individuel en classe sans documents personnels. ⇒Durée de 3h.

- 2e catégorie : Classes de tous les lycées (à l'exception des formations post-baccalauréat).

⇒Travail collectif pouvant prendre différentes formes. Attention, pour les durées de travaux audiovisuels et sonores, la taille et le poids, se reporter à la note de service.

- 3e catégorie : Collèges / Classes de 3e :

⇒Devoir individuel en classe sans documents.

⇒Durée : 2 heures.

- 4e catégorie : Collèges / classe de 3e

⇒Travail collectif pouvant prendre différentes formes. Attention, pour les durées de

travaux audiovisuels et sonores, la taille et le poids, se reporter à la note de service.

"Lorsque le travail des élèves est exclusivement constitué d’une vidéo ou d’un document sonore, sa durée ne doit pas excéder

20 minutes.

Lorsque le travail des élèves consiste en une présentation numérique illustrée par des vidéos ou des documents sonores, la

durée totale de l’ensemble de ces enregistrements ne doit pas excéder 10 minutes." (cf pj / ou site Canopé)

Présentation et analyse des termes du sujet :

«  S’engager  »  :

C’est faire une promesse; prendre publiquement position; contracter un engagement; commencer; se lancer; choisir;

entreprendre; s’enrôler; se risquer….

«  Libérer »  :

Cela évoque la question de la libération de la France, mais pas seulement, il faut aussi se libérer de Vichy, de la collaboration et de la Milice. C’est une délivrance, un affranchissement, non seulement la fin de l’occupation militaire mais aussi la fin de la terreur, de la soumission aux contraintes du quotidien. Libérer c’est aussi se libérer et cela peut aller même jusqu’à libérer sa joie, son envie, s’exprimer, s’amuser…

«  La France  »  :

Elle doit être comprise dans son acception large, pas seulement l’hexagone, mais aussi les cas particuliers de l’Alsace, de la Corse, de l’empire colonial, de l’Afrique du Nord…

 

Analyse du sujet La question de l’engagement (voir carte

mentale D10 9 à 14 ):⇒C’est la question clef du sujet qui en appelle plusieurs autres :

⇒Qui s’engage ?● Âge?● Sexe?● Nationalité? (penser au FTP/MOI; SAS=special air service;

SOE=special operation executive) ⇒Quand une femme ou un homme ordinaire décide-t-il

de s’engager ?● Y a-t-il une prise de conscience? ● Un acte clé?● Des événements et/ou des moments clés?

Pourquoi s’engage-t-on?

● Quelles valeurs ?

● Quels éléments de la vie personnelle (éducation, expériences vécues, convictions religieuses et/ou politiques) entrent en ligne de compte ?

● Quelles sont les causes profondes (engagement militaire/politique) ? Les causes conjoncturelles (territoire occupé, refus du STO, défense des valeurs et principes républicains) ?

Pour quelles finalités?

⇒Dans quels buts ?● Aider des personnes ?● Chasser l’occupant ?● Retrouver la liberté ?● Réinstaller la République ?● Construire une nouvelle organisation politique et

sociale ?

Comment ?● Par quels moyens ?

● Dans son milieu de vie ?/ Dans la clandestinité ? (vivre caché/Nouvelle identité/éloignement/rupture familiale)

● Dans la violence ? Combattant/ Non combattant● En restant sur le territoire français ?/Hors de la France ?

(ex: le cas des personnes qui ont fui en Angleterre et ont intégré le SAS)

● Survivre/se déplacer?

- Avec quelles conséquences?

● Les conséquences personnelles/familiales

● Les conséquences collectives

● Souvent, au bout de l’engagement : -La prison, voire la déportation

-La torture -Les exécutions -L’avenir politique

Il faut aussi s’intéresser aux différentes formes d’engagement (voir diapo suivante):

Rejoindre les FFL, les Alliés, les forces alliées, les colonies ayant rallié la France Libre

Participer à la résistance intérieure, FFI, mouvements et réseaux de résistance tels Libération-Sud, Combat, Franc-tireur…, les maquis (journaux clandestins, tracts, grèves…)…

Apporter son aide aux persécutés…

Les formes de l’engagement nous questionnent sur les acteurs jusqu’à aujourd’hui (voir carte mentale) :

1940-1945 :- S’engager c’est rompre avec un État, c’est choisir la conscience contre l’ordre, l’individu contre le collectif.- S’engager c’est aller contre l’idée générale, donc s’exclure du nouvel ordre établi, devenir hors-la-loi.- S’engager c’est se révolter, exprimer un refus, organiser une « contre-société », faire l’apprentissage de la clandestinité, ne pas consentir. C’est aussi fuir, s’exiler pour ne pas consentir.- S’engager c’est donner un sens à son action, c’est faire état d’une forme de culture de l’engagement.

- S’engager c’est refaire l’armée française.- S’engager c’est prendre des risques pour soi et pour les autres (représailles), c’est prendre le risque de passer pour un traître aux yeux de la société; c’est prendre le risque de la déportation.Après la Libération:- S’engager pour réconcilier la société et retrouver la fraternité.- S’engager politiquement pour reconstruire la France.- S’engager c’est évoluer vers un engagement social, culturel, universitaire, œuvrer à plus de solidarité.- Temps des mémoires, des silences, d’autres engagements.

Aujourd’hui:

- Engagement des politiques, des historiens, des associations, de l’Éducation nationale dans le travail de mémoire.

- Engagement de l’historien cf L. Fèbvre « L’histoire: moyen d’organiser le passé pour l’empêcher de trop peser sur les épaules des Hommes ».

- Engagement des élèves et des professeurs dans les classes, lien intrinsèque avec le parcours citoyen : participation au CNRD moyen de faire vivre l’engagement mémoriel et civique.

Au cœur du sujet annuel : la Résistance et la Libération

Petite mise au point historiographique :

- La Résistance est un mouvement social total (J.M. GUILLON)

C’est une lutte pour la libération nationale

En effet, le dénominateur commun à la diversité et aux dynamiques de la Résistance c’est de chasser l’occupant, de libérer le pays. Cf Frenay et la création du « Mouvement de Libération Nationale ».

La diversité de la Résistance s’exprime dans différents domaines :

Politique (des tendances variées, surtout en zone occupée) Spirituel (catholiques, protestants, franc-maçons,

juifs…) Social (diversité professionnelle, d’âge, de sexe…) Nature des organisations en question (réseaux ou

mouvements, liés à l’extérieur ou non, information ou lutte armée, etc.)

Les formes de la Résistance sont aussi diverses mais toutes sont orientées vers la libération militaire (ce qui fait que la notion de « résistance civile » est à manier avec précaution). Même des actions non armées coopèrent pour une perspective finale de libération, nécessairement militaire.

La dynamique de la Résistance est celle qui va d’individus et de mouvements vers un mouvement uni reconnu par tous, progressivement. Quelques repères

chronologiques s'imposent même s'ils sont critiquables :

1940-1941 : invention de la résistance ; tout est à faire en partant d’initiatives individuelles.

1942 : des tournants précipitent peu à peu l’accroissement du phénomène résistant : - avril : retour de Laval (fin des illusions sur Pétain) ; - été : des appels de la hiérarchie catholique à ne pas tout accepter ; - 11 novembre : occupation de toute la France (Vichy n’a pas su / voulu sauvegarder ce qui faisait illusion de souveraineté).

1944 : du 6 juin à septembre, insurrection, mobilisation de milliers de volontaires et répression sauvage par les Allemands

La Libération a nécessité une préparation de la part des résistants :

 - Le cadre temporel est à rappeler : espoirs de 1943 (entretenus par la libération de la Corse en octobre) puis déception de l’hiver et accroissement de la répression contre les résistants.- L’enjeu des maquis peut être aussi abordé : les maquis, il faut pouvoir les préparer, les armer et les maintenir prêts : les cadres de l’armée arrivent après novembre 1942 mais pas d’armes livrées par les Alliés avant le printemps 1944.- Dans le même temps mouvement de ⇒ républicanisation de la Résistance : associer la Libération avec le retour des libertés, augmenté de la justice sociale (voir programme du CNR, etc.).- Autre enjeu : comment mener la Libération et qui doit prendre le pouvoir (divergences de Gaulle/Britannique ; de Gaulle/ PCF…) ?

La Libération est aussi et à la fois un moment de fête, de violence, de révolution.

Même si on insiste sur l’épuration sauvage, il faut noter qu’il y a rapidement retour de l’État de droit (dès octobre 1944 : juridictions spéciales ; printemps 1945 : élections). C’est une mobilisation citoyenne qui permet aussi de se

faire reconnaître par les Alliés. Le pouvoir doit alors réformer mais d’abord assurer le quotidien.

Axes de travail avec les élèves : Projet collectif  :Partir du nom de l’établissement(Jean Moulin, Louis Armand, Lucie Aubrac, Jean Garcin...)- Mener des recherches sur le ou la résistant(e) et sur les différentes formes de son engagement.- Mener des recherches sur les raisons de son engagement (afin de faire des liens avec l’actualité).- Comment a-t-il/elle résisté et s’est-il/elle engagé(e) pour libérer la France ?- Son engagement après la Libération (ex de Jean Garcin et son engagement politique).

Partir de figures locales

A partir de la toponymie de la ville, des plaques commémoratives ou encore des monuments aux morts : retracer le parcours de vie de la personne

Exemples :

Louis Martin Bret à Manosque

Jean Garcin à Fontaine de Vaucluse

Marcel Roustan à Salon-de-Provence

Partir de la libération d’une ville

MARSEILLE

Bombardements en mai 1944

Et pourquoi pas Gap ?Libération de Gap. Char américain FRAD005_2FI_00120_0001(3)

Des actes de résistance à Gap ?Papillons FRAD005_342W_12767_0007 et FRAD005_342W_12767_0005

Pour travailler avec les élèves, plusieurs points de départ sont possibles (si ressources):

Partir du quartier où se situe l'établissement scolaire, évoquer les étapes de la libération du quartier et/ou de la commune, étudier les acteurs (figures locales) qui ont participé à la libération de la commune et les lieux importants. Partir de l'étude d'une figure de la Libération en prenant comme point de départ le nom d'une voie. Partir d'un lieu emblématique (ex : le port de Marseille et les enjeux stratégiques de ce lieu avant et après la Libération... ; le pont suspendu de Cavaillon détruit au moment de la libération…)

Partir d’un maquis situé dans la région

Le maquis de Sainte Anne Le maquis du LuberonLe maquis du Ventoux

pour … En étudier les acteurs Montrer son engagement : objectifs et actions Montrer son rôle dans la libération Exemple : rôle important du maquis du Luberon dans la libération de Cavaillon.

Travailler autour de la mémoire et des lieux de mémoire

Mémorial Jean Moulin à Salon-de-Provence (BDR)

Voir : https://www.memorialjeanmoulin.fr/articles.php?lng=fr&pg=81

La Nécropole nationale de Signes (Var)

Voir : https://www.pedagogie.ac-aix-marseille.fr/jcms/c_10528363/fr/ressources-sur-la-necropole-nationale-de-signes-38-resistants-executes-a-lete-1944

Pour travailler avec les élèves, plusieurs points de départ possibles :

Mener des recherches sur le lieu de mémoire : date, édification, auteur, buts et objectifs, choix du site, histoire à retracer…

A quel(s) résistant(s) fait-il référence ? Reconstituer son/ses parcours et son/leur engagement dans la Résistance. Pourquoi et comment s’est-il/ se sont-ils engagé(s) pour libérer la France ?

Dans le cadre du Parcours citoyen, organiser une rencontre avec les membres de l’association qui s’occupe du lieu de mémoire. Rechercher quelle(s) cérémonie(s) ont lieu autour de ce lieu, quand et pourquoi ?

Participer et s’engager dans le travail de mémoire :Lire des textes lors d’une cérémonieParticiper au concours de la meilleure photographie d’un lieu de mémoire

Voir http://www.fondationresistance.org/pages/action_pedag/concours_p.htm

Projet individuel :Approfondir la séquence sur :

En classe de 3e :

-Thème 1 / Séquence 4 / Histoire : La France défaite et occupée. Régime de Vichy, collaboration, Résistance.- Thème 3 / Séquence 1 / Histoire : 1944-1947, refonder la République, redéfinir la démocratie.

-EMC : Travail autour de l’engagement, de la citoyenneté, de la devise et des valeurs de la République ou de la remise en cause de la démocratie pour comprendre ce qui fait la «  France d’aujourd’hui »

En classe de 1ère ES-L :

- Thème 5 : Les Français et la RépubliqueSéquence : La République, trois républiques; les combats de la Résistance (contre l’occupant nazi et le régime de Vichy) et la refondation républicaine

En classe de 1ère S :

-Thème 3 : La République face aux enjeux majeurs du XXe siècleSéquence : La République, trois républiques; Des idéaux de la Résistance à la refondation républicaine après la Libération (1944-1946)

En classe de Tle :

-Thème 1 : Le rapport des sociétés à leur passé

Séquence : Les mémoires : lecture historique. L’historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France.

Insérer le Concours national de la Résistance et de la Déportation dans les pratiques pédagogiques :

- Dans le cadre d'un EPI (enseignement pratique interdisciplinaire)

- Dans le cadre des parcours : parcours citoyen et/ou PEAC (parcours d'éducation artistique et culturelle)

L'élève pourra ainsi faire le choix de présenter le travail réalisé dans le cadre de la préparation au concours à l'oral du brevet (oral évalué sur 100 points dont 50 points portent sur la présentation de la démarche de l'élève).

Pour aller à l'essentiel

Éléments bibliographiques

DOUZOU Laurent et LECOQ Tristan (dir.), Enseigner la Résistance, Canopé, 2016, 160p.

La Revue de la Fondation de la France Libre, S'engager pour libérer la France, n°65, septembre 2017, 36 p.

Bibliographie « plus classique »Ouvrages généraux :AZEMA Jean-Pierre et WIEVIORKA Olivier, Les Libérations de la France, Editions de la Martinière, 1993.

CHOURAQUI Alain, Pour résister, Les repères de l’expérience, Cherche midi, 2015.

CONTRUCCI Jean ; préf. De CHARLES-ROUX Edmonde, Et Marseille fut libérée : 23-28 août 1944 , Editions Autres Temps, 1994.

DOUZOU Laurent et LECOQ Tristan, Enseigner la Résistance, Canopé, 2016.

KASPI André (dir.), GRYNBERG Anne, NICAULT Catherine, SCHOR Ralph et WIERVORKA Anette (collab.), La libération de la France : juin 1944-janvier 1946, Perrin, 2004.

KUPFERMAN Fred, Les premiers beaux jours : 1944-1946, Tallandier, 2007.

LORMIER Dominique, La Libération de la France jour après jour, Le Cherche-Midi, 2012.

NOVIK Peter, L'épuration française : 1944-1949, Seuil, 1991.

SIMONNET Stéphane, Atlas de la libération de la France, 6 juin 1944 - 8 mai 1945, Editions Autrement, 2004.

SIMONNET Stéphane, Maquis et maquisards. La Résistance en armes : 1942-1944, Paris, Belin, 2015.

VERGEZ-CHAIGNON Bénédicte, Histoire de l'épuration, Larousse, 2010.

VIRGILI Fabrice, La France "virile". Des femmes tondues à la Libération, Payot, 2004.

II. Ouvrages relatifs à l’histoire locale

FRANCESCHETTI Philippe, Antoine Mauduit, Une vie en résistance, PUG, 2017, 312p.

GARCIN Jean, Nous étions des terroristes, Ed A. Barthélemy, Avignon, 1996

GIROUD Jean, Cavaillon se souvient, 1939-1945, Imprimerie Rimbaud, Cavaillon 2002.

LAMARQUE Philippe, Le débarquement de Provence, Le Cherche-Midi, 2003.

LAMARQUE Philippe, Le débarquement en Provence jour après jour, 15-31 août 1944, Collection Documents, Le Cherche-Midi, 2011.

MENCHERINI Robert, Résistance et occupation (1940-1944).Midi rouge, ombre et lumières. Une histoire politique et sociale de Marseille et des Bouches du Rhône . Tome 3. Syllepse, Paris 2011.

MENCHERINI Robert, Ici même. Marseille 1940-1944 . De la défaite à la libération. Jeanne Lafitte, Marseille 2013.

MOËNARD Laurent, Le débarquement de Provence, Opération Dragoon, 15 août 1944, Editions Ouest-France, 2011.

MUELLE Raymond, Le débarquement de Provence, La libération de la France de Toulon à Grenoble, Editions du Patrimoine, 2003.

PITEAU Michel (textes réunis et présentés par), La Provence et la France de Munich à la Libération (1938-1945) Les rencontres de l'histoire (Salon de Provence , 21/22 mai 1993), Diffusion Edisud, 1994, p. 153-168, GAUJAC Paul, « Août 1944, la bataille de Provence : aspects stratégiques et opérationnels ».

ROBICHON Jacques, Le débarquement de Provence, Presses de la Cité, 2003.

THERS Alexandre, Débarquement en Provence, 15 août 1944, Collection Les Mini-Guides Histoire et Collections, Paris, 2003.

THERS Alexandre, La Provence, De l'Occupation à la Libération, 1940-1945, Collection Les Mini-Guides Histoire et Collections, Paris, 2003.

Hors-série de La Provence : http://www.laprovence.com/article/la-provence/649510/la-memoire-vive-la-region-entre-1942-et-1944.html

III. Ouvrages pour mener un travail spécifique avec les élèves :

ALBRECHT Mireille, Vivre au lieu d’exister, Rocher, 2015.

ALBRECHT Mireille, Les oubliés de l’ombre, Rocher, 2007.

FLEURY Dany et Michel, Les maquis du Périgord, 1944 : Le printemps de Thomas, Les romans de la mémoire, Nathan, 2010.

KESSEL Joseph, L’armée des ombres, Classique Collège, Hatier, 2012.

Pour aller à l'essentielSitographie :

Le portail Web du CNRD :

https://www.reseau-canope.fr/cnrd/

Le réseau Canopé propose une multitude de ressources variées:http://www.reseau-canope.fr/enseigner-la-resistance/#/

Le Mémorial de la SHOAH : ressources et activités pédagogiques, expositions itinérantes...

INA – Jalons propose une sélection de documents audiovisuels :

http://fresques.ina.fr/jalons/parcours/CnRD-s-engager-liberer/s-engager-pour-liberer-la-france.html

Le Musée de la Résistance en ligne (MUREL) :

http://www.museedelaresistanceenligne.org/

Le site académique Mnémosyté propose un éclairage de la question en lien avec plusieurs ressources locales.https://www.pedagogie.ac-aix-marseille.fr/jcms/c_10534616/fr/ressources#refresh-0

Archives départementales et musées Les Archives départementales des Alpes de Haute-Provence :http://www.archives04.fr/

Le service éducatif des Archives départementales des Hautes-Alpes : http://www.archives05.fr/

Les archives des Bouches du Rhône  : http://www.archives13.fr/

Les archives du Vaucluse  : http://www.archives84.fr/ Le Musée d’histoire, Jean Garcin, 39-45, L’Appel de la Liberté, Fontaine de Vaucluse. Le Musée dispose de ressources dans son centre de documentation et permet aux élèves lors de visite d’approcher tous les aspects du sujet. Un dossier pédagogique sera disponible et des ateliers peuvent être oragnisés à la demande autour de cette thématique.

La Fondation du Camp des Milles-Mémoire et Education Adresse du camp des Milles : http://www.campdesmilles.org/culture.html

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