Étude de la conformité des examens immuno-hématologiques

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Posters / Transfusion Clinique

ésultats.– Cinq mille six cent quatre-vingt-deux demandes ont été traitées :nalyse du gène RHD : 45 %, gène RHCE : 27 %, les deux gènes RH : 2 %, géno-ypage étendu : 26 %. Contexte clinique, âge, sexe, ethnie ont été relevés. Dans laatégorie « étude du gène RHD femmes < 50 ans » 94 % sont envoyés pour affai-lissement de l’Ag D ; dans 51 % des cas, essentiellement des femmes africaines,n Ag D partiel ou non caractérisé a induit un conseil d’injection de �globulinesnti-D. Dans la catégorie « étude des gènes RHD, RHCE femmes ≥ 50 ans,ommes, non drépanocytaires », sur les 262 prélèvements adressés (affaiblisse-ent RH, anti-RH, discordance), 21 % ont montré un D partiel ou un phénotype

are avec la consigne transfusionnelle ad hoc. Enfin, chez les femmes de moinse 50 ans d’origine africaine avec C affaibli, un antigène partiel est toujoursetrouvé.onclusion.– L’analyse moléculaire est indispensable chez la femme moins de0 ans, pour préconiser des CGR RH : -1 chez les partiels. Il faut cependantéterminer l’intérêt des �globulines dans ces cas.our les variants RHCE, en dehors de la drépanocytose et de la femme moinse 50 ans, la question se pose de l’utilité des analyses, considérant la faiblencidence d’immunisation pour les partiels. Pour la femme africaine moins de0 ans avec C affaibli, l’analyse est inutile, un partiel étant toujours retrouvé.es logigrammes d’indications et consigne transfusionnelle seront proposés.

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ratiques et résultats des analysesmmuno-hématologiques des nouveau-nés.-Y. Py ∗, C. Mouchet , T. Jutant , F. Dehaut

EFS Centre Altantique, Orléans, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : jean-yves.py@efs.sante.fr (J.-Y. Py)

ntroduction.– Les nouveau-nés représentent une faible part des patients transfu-és, mais particulière à l’égard de la sécurité immunologique. La question de leurompétence immunitaire et de son évolution y est centrale. Nous avons cherchéi les résultats des analyses immuno-hématologiques les concernant contenaites éléments de réponse.éthodologie.– Les analyses de type recherche d’anticorps irréguliers (RAI) ou

est direct à l’antiglobuline (TDA) réalisées en 2012 pour des patients nés cetteême année ont été extraites. L’analyse a porté sur l’évolution des prescriptions

n fonction de l’âge, et sur le taux de résultats positifs retrouvé.ésultats.– Neuf mille deux cent soixante-dix-neuf demandes d’analyse ontoncerné 7715 patients différents.ur 7974 TDA demandés, 7903 concernent des nouveau-nés de 0 à 30 j, avec83 demandes de TDA + RAI et 7646 demandes de TDA seul. Sur 1633 RAIemandées, 869 concernent des nouveau-nés de 0 à 30 j (dont 283 avec TDA).u-delà de 30 j, la demande de RAI seule est la plus fréquente, et quasi-exclusive

près 90 j.e taux de TDA+ s’établit à 7,0 % pour les nouveau-nés de 0 à 30 j. Le dernierDA+ est retrouvé à 39 j de vie.e taux de RAI+ s’établit à 3,3 % pour les nouveau-nés de 0 à 90 j (âge maxi-um : 82 j). Aucun résultat positif n’est retrouvé pour les 221 demandes pour

es enfants âgés de plus de 90 j.onclusions.– Cette étude montre l’évolution de l’exploration immuno-ématologique des nouveau-nés, passant du TDA vers la RAI au deuxièmeois de vie. La disparition précoce des résultats positifs cadre bien avec

’origine maternelle des anticorps. L’étude va être poursuivie pour mieux cerner’évolution de la compétence immunologique de ces patients.

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tude de la conformité des examensmmuno-hématologiques

. Lahiani , I. Ben Amor ∗, T. Rekik , H. Rekik , H. Menif , J. Gargouri

CRTS de Sfax, 99/UR/08-33, université de Sfax, Sfax, TunisieAuteur correspondant.dresse e-mail : ikbeam@yahoo.fr (I. Ben Amor)

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ologique 20 (2013) 295–369 325

ous nous sommes proposés d’évaluation la conformité des demandes des exa-ens immuno-hématologiques du point de vue qualité d’échantillon, étiquetage

t renseignements cliniques.l s’agit d’une étude préliminaire qui a porté sur 100 demandes d’examensmmuno-hématologiques. Pour évaluer la conformité des demandes en se réfé-ant à la Circulaire no 49/05 relative à la sécurité transfusionnelle, nous avonstudié trois facteurs : la qualité de l’échantillon, la fiche de demande et enfin’étiquette de l’échantillon.our la qualité de l’échantillon, nous avons noté une conformité globale de6,05 % avec une conformité de 86 %, 100 % et 99 % pour respectivement lauantité, le récipient et l’aspect du prélèvement. La conformité globale desifférents éléments de la fiche de demande a été de 57,27 % : toutes les demandesnt respecté le nom et prénom, la date de prélèvement, le type de l’examen et laignature ; la non-conformité a concerné la date de naissance (20 %), le matricule1 %), le cachet (2 %) et les renseignements cliniques (17 %). L’étiquetage duécipient n’a pas été conforme dans 100 % des cas avec une insuffisance dans1 %, 94 %, 27 % et 98 % pour, respectivement, le nom et prénom, la date deaissance, le matricule et la date de prélèvement.a conformité des fiches de demande est acceptable tandis que l’étiquetagees échantillons est insuffisant. Le recours à des étiquettes informatisées portantous les renseignements nécessaires pourra représenter une solution durable maisécessitant un investissement conséquent et des frais de fonctionnement.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.03.120

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ransfusions et réactions immunologiques.M. Sekongo ∗, G.S. Kouamenan , A. Abisse , S. Konate

Centre national de transfusion sanguine, Abidjan, Côte d’IvoireAuteur correspondant.dresse e-mail : sekyass@yahoo.fr (Y.M. Sekongo)

a drépanocytose et la thalassémie sont des hémoglobinopathies dont le trai-ement est basé sur la transfusion de concentré de globules rouges. Cetteransfusion n’est pas dénuée de complications. Ces complications sont d’ordrenfectieux et immunologique. Dans le présent travail, nous nous sommes inté-essés aux complications immunologiques, surtout la recherche d’agglutininesrrégulières.atients et méthodes.– Étude rétrospective sur une cohorte de138 patients suivians l’unité de thérapeutique du CNTS de mars 2010 à mars 2012. Chaquealade a bénéficié avant d’être intégré au programme transfusionnel d’une RAI,

roupe sanguin phénotype RHK. Chaque transfusion était précédée de la RAIt de la réalisation du test direct de compatibilité au laboratoire.ésultats.– Soixante-dix-neuf patients ont été mis en programme transfusionnel.uatorze patients (17,72 %) ont développé des anticorps. Sept patients (8,86 %)

vaient déjà une RAI+ avant le programme transfusionnel et sept autres patientsnt développé un anticorps lors du programme. Les anticorps développés : antihuit cas, puis un cas respectivement d’anti C, anti M, anti S et anti e. Deux

as d’impasse transfusionnel avec l’anti e et l’anti S. Ils ont été améliorés par’injection d’EPO. Ces immunisations sont surtout dues à l’utilisation de PSLon phénotypé chez des patients polytransfusés.onclusion.– La transfusion sanguine, acte noble permettant de sauver desies comporte des risques. Ainsi au sein de l’unité de thérapeutique trans-usionnelle du CNTS, malgré les bilans immunologiques pré-transfusionnelsous avons pu avoir 17,72 % de RAI+ dans une population de polytransfu-és. Cette immunisation est due à la difficulté d’approvisionnement en CGRhénotypé.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.03.121

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tude de la cinétique de l’hémolyse dans le traitrépanocytaire (AS) et implication transfusionnelle.M. Sekongo ∗, G.S. Kouamenan , A. Abisse , S. Konate

Centre national de transfusion sanguine, Abidjan, Côte d’IvoireAuteur correspondant.dresse e-mail : sekyass@yahoo.fr (Y.M. Sekongo)