Le jeu de la langue française

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Le jeu de la langue française. Un quiz de Jacques Drillon (6). 1. On accorde : Ils se sont…. Plu et se sont revu Plus et se sont revus Plu et se sont revus. 2. On écrit :. Des oui Des ouis L’un ou l’autre. 3. Elles vont…. Nus-pieds Nu-pieds Nu-pied. - PowerPoint PPT Presentation

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Le jeu de la langue Le jeu de la langue françaisefrançaise

Un quiz de Jacques Drillon (6)Un quiz de Jacques Drillon (6)

1. On accorde : Ils se sont…1. On accorde : Ils se sont…

a.a. Plu et se sont revuPlu et se sont revu

b.b. Plus et se sont revusPlus et se sont revus

c.c. Plu et se sont revus.Plu et se sont revus.

2. On écrit :2. On écrit :

a.a. Des ouiDes oui

b.b. Des ouisDes ouis

c.c. L’un ou l’autre.L’un ou l’autre.

3. Elles vont…3. Elles vont…

a.a. Nus-piedsNus-pieds

b.b. Nu-piedsNu-pieds

c.c. Nu-pied.Nu-pied.

Être nu-pieds Être nu-pieds (adv. inv.) ou (adv. inv.) ou être être pieds nus.pieds nus.

Sortir nu-tête Sortir nu-tête (adv. inv.).(adv. inv.). Un va-nu-pieds, une va-nu-pieds, des Un va-nu-pieds, une va-nu-pieds, des

va-nu-pieds.va-nu-pieds. Un nu-pied Un nu-pied : sandale laissant nu le : sandale laissant nu le

dessus du pied. dessus du pied. Des nu-pieds.Des nu-pieds. Aller à pied.Aller à pied.

4. On écrit :4. On écrit :

a.a. Quel que grand qu’il soitQuel que grand qu’il soit

b.b. Quelque grand qu’il soitQuelque grand qu’il soit

c.c. Les deux.Les deux.

5. Et ici ?5. Et ici ?

a.a. Quoi qu’il en pense, cela ne Quoi qu’il en pense, cela ne changera rienchangera rien

b.b. Quoiqu’il en pense, cela ne Quoiqu’il en pense, cela ne changera rienchangera rien

c.c. Les deux.Les deux.

Quoique Quoique (en un seul mot) est une (en un seul mot) est une conjonction de subordination, suivie conjonction de subordination, suivie du subjonctif. Sens :du subjonctif. Sens : bien que. bien que.

Quoi que Quoi que (en deux mots) est une (en deux mots) est une locution pronominale relative locution pronominale relative indéfinie, suivie du subjonctif. Sens :indéfinie, suivie du subjonctif. Sens : quelque chose que.quelque chose que.

6. Que fait le verbe 6. Que fait le verbe « acquérir » à la deuxième « acquérir » à la deuxième personne du singulier de personne du singulier de l’imparfait de l’indicatif ?l’imparfait de l’indicatif ?

Tu acquérais.Tu acquérais.

7. On dit :7. On dit :

a.a. Il a des ennuis pécuniersIl a des ennuis pécuniers

b.b. Il a des ennuis pécuniairesIl a des ennuis pécuniaires

c.c. Les deux.Les deux.

Pécuniaire Pécuniaire : financier.: financier. Pécunier Pécunier n’existe pas.n’existe pas.

8. On écrit :8. On écrit :

a.a. Il a été pris à partiIl a été pris à parti

b.b. Il a été pris à partieIl a été pris à partie

c.c. Les deux.Les deux.

9. Un concile réunit tous les 9. Un concile réunit tous les évêques et archevêques, un évêques et archevêques, un synode ne réunit que les synode ne réunit que les ecclésiastiques d’un diocèse.ecclésiastiques d’un diocèse.

a.a. VraiVrai

b.b. FauxFaux

c.c. Indifférent.Indifférent.

10. On dit :10. On dit :

a.a. Je vous sais gré de me répondreJe vous sais gré de me répondre

b.b. Je vous suis gré de me répondreJe vous suis gré de me répondre

c.c. L’un ou l’autre.L’un ou l’autre.

11. « Puissiez-vous » est une 11. « Puissiez-vous » est une forme verbale empruntée au forme verbale empruntée au subjonctif pour exprimer le subjonctif pour exprimer le mode :mode :

a.a. GérondifGérondif

b.b. AttentatifAttentatif

c.c. Optatif.Optatif.

12. On écrit :12. On écrit :

a.a. Et bien !Et bien !

b.b. Hé bien !Hé bien !

c.c. Eh bien !Eh bien !

13. On dit :13. On dit :

a.a. C’est par elle que la pièce est le C’est par elle que la pièce est le mieux jouéemieux jouée

b.b. C’est par elle que la pièce est la C’est par elle que la pièce est la mieux jouéemieux jouée

c.c. Les deux.Les deux.

« Le plus belle » ou « la plus belle »« Le plus belle » ou « la plus belle » Devant un adjectif au superlatif relatif Devant un adjectif au superlatif relatif (superlatif avec le plus, le moins…), l’article (superlatif avec le plus, le moins…), l’article reste invariable lorsqu’il y a comparaison reste invariable lorsqu’il y a comparaison entre les différents degrés ou états d’une entre les différents degrés ou états d’une même chose, c’est-à-dire lorsque cette même chose, c’est-à-dire lorsque cette chose n’est comparée qu’à elle-même (on chose n’est comparée qu’à elle-même (on peut alors remplacer le superlatif par « au peut alors remplacer le superlatif par « au plus haut degré »). On dira donc : plus haut degré »). On dira donc : C’est le C’est le matin que la rose est le plus bellematin que la rose est le plus belle (c’est le (c’est le matin qu’elle est belle au plus haut degré).matin qu’elle est belle au plus haut degré).En revanche, l’article varie si la comparaison En revanche, l’article varie si la comparaison s’effectue entre deux entités différentes : s’effectue entre deux entités différentes : Cette rose est la plus belle de toutesCette rose est la plus belle de toutes ; ; Cette Cette rose est la moins fanéerose est la moins fanée (sous-entendu : « (sous-entendu : « des roses », « des fleurs »). des roses », « des fleurs »).

14. Les expressions « bouc 14. Les expressions « bouc émissaire », « cheval de émissaire », « cheval de bataille », « sel de la bataille », « sel de la terre », « serpent de mer », terre », « serpent de mer », « se voiler la face », « se voiler la face », « nombril du monde » ont « nombril du monde » ont en commun d’être toutes en commun d’être toutes tirées du même livre. Lequel tirées du même livre. Lequel ??

La Bible.La Bible.

15. On écrit :15. On écrit :

a.a. Il a des fruits plein ses arbresIl a des fruits plein ses arbres

b.b. Il a des fruits pleins ses arbresIl a des fruits pleins ses arbres

c.c. Les deux.Les deux.

16. « Tomber dans les 16. « Tomber dans les pommes », c’était à l’origine :pommes », c’était à l’origine :

a.a. S’évanouir après une cueillette trop S’évanouir après une cueillette trop longuelongue

b.b. Tomber dans les « pâmes » (se Tomber dans les « pâmes » (se pâmer)pâmer)

c.c. Abuser de l’épaume, la liqueur Abuser de l’épaume, la liqueur sédative.sédative.

17. Dire « un » ou « une » 17. Dire « un » ou « une » ministre, comme on dit « un » ministre, comme on dit « un » ou « une » enfant, c’est ou « une » enfant, c’est considérer que « ministre » et considérer que « ministre » et « enfant » sont des mots :« enfant » sont des mots :

a.a. EquipollentsEquipollents

b.b. EpicènesEpicènes

c.c. Isocènes.Isocènes.

18. Qu’est-ce qu’un 18. Qu’est-ce qu’un « bélître » ?« bélître » ?

a.a. Un imbécile, un gueuxUn imbécile, un gueux

b.b. Un vieux beauUn vieux beau

c.c. Un homme efféminé.Un homme efféminé.

bélître bélître [belitʀ] nom masculin [belitʀ] nom masculin étym. étym. belistrebelistre 1460; peut-être du 1460; peut-être du

néerlandais néerlandais bedelarebedelare « mendiant « mendiant »»

Vx Terme injurieux désignant un Vx Terme injurieux désignant un homme de rien.homme de rien. « Pendard ! « Pendard ! gueux ! bélître ! » (Molière).gueux ! bélître ! » (Molière).

bellâtrebellâtre [bɛlɑtʀ] nom masculin [bɛlɑtʀ] nom masculin étym. 1546; de étym. 1546; de beaubeau et et -âtre-âtre Bel homme fat et niais.Bel homme fat et niais.

19. Quelle est la bonne forme 19. Quelle est la bonne forme du verbe du verbe agoniragonir ? ?

a.a. Il l’agonisait d’injuresIl l’agonisait d’injures

b.b. Il l’agonissait d’injuresIl l’agonissait d’injures

c.c. Il l’agonait d’injures.Il l’agonait d’injures.

20. Dans « op 20. Dans « op art », « op » est art », « op » est l’apocope de :l’apocope de :

a.a. OpérationnelOpérationnelb.b. OpiniâtreOpiniâtrec.c. OptiqueOptiqued.d. Optimisé.Optimisé.

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