Les Theories de McGregor

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theorie X et theorie Y de Mc gregor

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Les theories de McGregor

Nadia Courtane

PLAN :•La théorie "X" de McGregor Principe de base Principales caractéristiques Effets pervers •La théorie "Y" de McGregor Principe de base Principales caractéristiques Effets pervers •X ou Y ?•Conclusion

La théorie "X" est le modèle de management le plus courant.

Le management est exclusivement centré sur la production.

La théorie "X" de McGregor

Principe de base

L'homme au travail est seulement un outil

Principales caractéristiques

•la décomposition du travail en tâches élémentaires

•la séparation des fonctions entre concepteurs, préparateurs, opérateurs et contrôleurs

•les primes de rendement à la quantité (mais pas à la qualité)

•les études ergonomiques, conception d'un modèle "scientifique"d'exécution de la tâche

qui sera exécutée par quelqu'un d'autre

• la réduction des durées d'immobilisation des machines.

• la suppression des temps d'immobilisation des ouvriers

Effets pervers :

le coût social élevé

la manque d'intérêt des travailleurs

_la nécessité de surveillance permanente : « petits chefs »

− l'absentéisme élevé

− le "turn over" élevé

•− les conflits individuels et collectifs fréquents

•− le contrôle complet de la production indispensable pour obtenir une qualité bonne et homogène en "sortie"

THEORIE X

Prescriptions et contrôle

sévères

La passivité au travail

La peur des responsabilit

és, pas d’initiative

La théorie Y de McGregor

•La théorie "Y" est un modèle de management considéré pour certain comme utopique. Elle est basée sur

le développement simultané de l'homme et de l'organisation.

Principes de base

•la dépense d'efforts physique et mental dans le travail est aussi naturelle à l'homme que le jeu et le repos

•• il n'y a pas d'aversions innées pour le travail mais seulement une éventuelle aversion pour ses conditions

•l'homme peut se contrôler lui-même lorsqu'il travaille en direction d'objectif dont il se sent responsable

•l'individu moyen apprend, dans les conditions voulues, non seulement à accepter mais à rechercher des responsabilités

•les ressources d'imagination, d'ingéniosité et de créativité pour résoudre des problèmes organisationnels sont très largement distribuées dans la population

•• le potentiel intellectuel de l'individu moyen est largement sous employé dans les conditions de vie industrielle moderne

Principales caractéristiques

•une confiance de l'encadrement envers les subordonnés

• une participation de l'individu à la définition de sa tâche

•une participation de l'individu à la répartition des tâches au sein de son groupe

•une responsabilisation individuelle ou collective quant à la production,aux délais, à la qualité..

• une diminution des conflits de l'absentéisme et du "turn over"

Effets pervers :

Le principal effet pervers est, les risques de "raté", c'est-à-

dire dans le cas dedélégation dans des secteurs hors de la compétence des

subordonnés(connaissances techniques ou

culturelles).

THEORIE Y

Initiatives et responsabilit

és

L’application au travail

La liberté d’action

X ou Y ?

L’homme est paresseux, il n’aime pas le travail, il doit donc être contrôlé, dirigé, soumis à des sanctions. Dans la mesure où le travail est nécessaire, seul le salaire peut compenser la désutilité du travail.

Le système de sanction et de contrôle externe n’est pas le seul moyen d’amener les hommes à satisfaire les besoins et objectifs de l’organisation

L’homme préfère être dirigé, il évite toute responsabilité.

L’homme a la capacité de s’auto-diriger et de s’auto-contrôler

Il a peu d’ambitions et il préfère la sécurité. Il n’aime pas le changement, il préfère les tâches routinières parce qu’il les connaît bien.

Il a la capacité d’exercer son imagination, sa créativité au service d’une organisation

La théorie X

répandue, mais ses méthodes sont peu

efficaces et sont inadaptées car

elles reposent sur des motivations peu importantes

Le style Y

est plus efficace car il repose sur des motivations plus

profondes qui permettent

d’intégrer les buts individuels et ceux de l’organisation

Conclusion