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Lucienne Hould, Joseph Piché
Wilfrid, Lucienne, Françoise. Joseph, Bruno, Jérôme.
Les années 50 :
Chronique de St-Henri :
Le monde commence à se moderniser, la télévision noir et blanc fait son apparition et que le frigidaire remplace la glacière, mais toujours sous le régime de Maurice Duplessis époque dite de la grande noirceur. Il reste toujours aussi l’influence du clergé présent dans la sphère sociale.
Maman et papa, en âge, suivent le siècle. Maman profite des nouvelles commodités et papa est toujours confiseur chez Allen’s toffee depuis 1937.
Nous, les enfants, arrivons à notre jeunesse : fin des classes, choix de vie, début du travail.
Wilfrid termine son cours secondaire 12eannée scientifique et travaille à temps partiel au magasin « Alpin » il posait du tapis « prélar » je ne me souviens pas de ce que vendait ce magasin. Il entre au CNR, il apprend le métier de ferblantier. En plus d’être un homme de métier Wilfrid réussissait dans les choses manuelles. Il était ingénieux, il aurait pu réussir dans des études plus avancées. Sérieux, un gars de principes, bon joueur de trompette et de saxophone, il faisait parti d’un groupe de musiciens avec lesquels il jouait dans les mariages et autres évènements.
Son seul défaut il était partisan du parti libéral. Ha! Ha! Pour taquiner maman on lui disait que c’était son préféré, mais je ne crois pas que maman avait un préféré elle nous aimait tous tendrement. Il rencontre Denise Brunet qui deviendra son épouse.
Bruno fait son cours classique, un an des hautes-études commerciales et école normale. Il enseigne les mathématiques. Bruno plus intellectuel que manuel, caractère enjoué, bon vivant, agréable à le fréquenter, il était fidèle en amitié et bien d’autres qualités, Il rencontre Elizabeth Thibault qui deviendra son épouse.
Françoise termine sa 9eannée, travaille avec papa chez Allen’s. Fille de son temps, il lui a fallu bien de la patience pour vivre avec trois frères. Tempérament actif, grand cœur, une sœur charmante qui aime chanter. Elle avait toutes les qualités pour devenir une excellente mère de famille. Elle rencontre Ronald Desroches qui deviendra son époux.
Jérôme termine sa 9e année, travail environ un an avec papa, entre en religion de 1953 à 1957 chez les Pères de la Fraternité Sacerdotale à Pointe du Lac près Trois-Rivières. Il travaille à l’Hôtel-Dieu de Montréal à partir de 1958 dans l’entretien et aux archives-médicales. Tempérament rêveur artiste dans l’âme sans jamais le devenir, un peu mystique. Heureux,
se contentant de ce qu’il avait. Se fait quelques amies sans jamais que cela ne devienne sérieux.
Je sais que je suis loin de rendre justice à mes frères et sœur, ils sont de loin beaucoup plus que ce que j’en dis, à vous chaque famille de compléter ma description. Jérôme.
Wilfrid
Bruno
Bruno
Françoise
Françoise
Françoise, Ronald.
Françoise
Jérôme
Jérôme
Lucienne, Jérôme
Wilfrid et Denise un an après leur mariage
Au noce de Françoise
Françoise et Denise
Wilfrid
Robert Lalonde et Wilfrid
Jérôme Françoise Lucienne Joseph
Jéôme
Wilfrid, Françoise, Jérôme, Bruno.
Bruno
Elizabeth Bruno au noce de Françoise
Yvonne Taillefer, Jérôme, Jean-Marie Savage, Armand Savage
Marraine et Parrain de Denise Brunet.
Bruno et Françoise
Je crois que c’est dans le parc en face du Forum rue Ste Catherine,
et le traway arrêté au côté du Forun belle scène de la ville des années 50.
Maman préparant les lunchs pour ses travailleurs.
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