Prise en charge de l’asthme à l’école : enquête auprès de 110 médecins de la santé...

Preview:

Citation preview

A ngue

dcP3EssaRv7pplodlCl(Cread

d

1PrHJ

IpdOéM(pRs2nDpbpppm1Ldrsd((Cdta

d

1PaMA

LpfOc1qRcmdelscdàdpocCdrd

d

1ÉdLa

b

c

ItMp(tPctnRtbLqRdL

62 16e Congrès de pneumologie de la

e contrôler leur environnement domestique et évaluer ainsi leursompétences de gestion.atients et méthodes.— Notre étude est prospective, réalisée chez0 asthmatiques marocaines suivies en consultation d’allergologie.lle est menée d’un questionnaire comportant l’âge, le niveauocioéconomique et éducatif, le niveau de contrôle de l’asthmeelon la GINA 2006 et les différentes mesures d’élimination prisesu sein de leur habitat.ésultats.— L’âge moyen de nos patientes est de 35 ans. Quatre-ingt dix pourcent ont un niveau socioéconomique moyen et0 % sont scolarisées jusqu’au cycle secondaire. Soixante sixourcent ont un asthme contrôlé sous traitement de fond. Lesrincipales mesures d’élimination consistent à privilégier les solsisses (83 %), à interdire d’introduire à domicile des plantesu des animaux (93 %), à éviter les doubles-rideaux (83 %), àépoussiérer à l’aide d’un chiffon humide (83 %), à aérer régu-ièrement le logement et à laver les sols tous les jours (66 %).ependant, d’autres mesures sont peu applicables telles que

’usage d’aspirateur (33 %) et le lavage hebdomadaire des draps40 %).onclusion.— Les asthmatiques marocaines gèrent leur envi-onnement domestique par des mesures d’élimination simplest peu coûteuses. Cependant certaines mesures sont peupplicables par défauts de moyens financiers ou par défaut’éducation.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.191

31rofil épidémiologique, clinique et évolutif de lahinite modérée à sévère : à propos de 100 cas. Oualil , H. Laaraj , K. Berri , R. Zahraoui , K. Marc , M. Soualhi ,. Bourkadi , J. Benamor , G. Iraqi

Service de pneumologie, hôpital Moulay Youssef, Rabat, Maroc

ntroduction.— La rhinite allergique modérée à sévère est uneathologie fréquente ayant un impact non négligeable sur la qualitée vie.bjectif.— Préciser les particularités épidémiologiques, cliniques etvolutives de la rhinite allergique modérée à sévère.éthodes.— Notre étude est rétrospective étalée sur deux ans

2010—2011) analysant les dossiers médicaux de 313patients suivisour rhinite allergique en consultation d’allergologie.ésultats.— Nous avons colligé 100cas de rhinite modérée à sévèreoit 32 % de l’ensemble des cas de rhinite. L’âge moyen était de5 ans. Une atopie familiale était notée dans 47 % des cas. La rhi-ite était associée à un asthme (74 %) et à une conjonctivite (56 %).ix-neuf pourcent avaient une notion de tabagisme passif. Lesrincipaux pneumallergènes domestiques : les acariens (40 %), leslattes (31 %) et les plantes (28 %). Des tests cutanés aux principauxneumallergènes, pratiqués chez 37 % des patients, sont revenusositifs dans 89 % des cas : DP (70 %) et DF (59 %). La rhinite étaitersistante dans 67 %. Soixante-seize pourcent des patients étaientis sous corticothérapie nasale associée à un antihistaminique oral,

1 % sous corticothérapie nasale et 13 % sous antihistaminique oral.’éviction était recommandée chez tous les malades. Soixante-ix pourcent des patients étaient revus en consultation après unecul moyen de trois mois. Soixante-huit pourcent souffraient deymptômes récurrents modérés à sévère. Les principaux facteurse mauvais contrôle : la persistance de l’exposition allergénique22 %), la non observance thérapeutique (9 %) et le tabagisme passif12 %).

onclusion.— La rhinite modérée à sévère, motif fréquente consultation, dont l’évolution n’est favorable que dans leiers des cas souvent suite à la persistance de l’expositionllergénique.

tllp

francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.192

32rise en charge de l’asthme à l’école : enquêteuprès de 110 médecins de la santé scolaire.A. Bennani , A. Zahdour , S. Boukhari , S. Kebbati , M. Metahri ,. Snouber , M. Guermaz

Service de pneumologie, A CHU, Oran, Algérie

e médecin scolaire joue un rôle important dans le dépistage, larise en charge et l’éducation de l’enfant asthmatique du fait de laréquence de ses visites à l’école.bjectif et méthode.— Afin d’évaluer le comportement et lesonnaissances des médecins de la santé scolaire dans l’asthme,10l praticiens ont été sélectionnés au hazard pour répondre à unuestionnaire standardisé.ésultats.— Les 84 médecins ayant participé à l’étude ont desonnaissances insuffisantes sur la maladie asthmatique. Seule-ent 19 % des médecins connaissaient l’ensemble des critèrese gravité d’une crise d’asthme. Parmi les 84 médecins ayantffectué une démonstration de l’utilisation de dispositifs inha-és, 12 % ont réalisé toutes les étapes de manipulation d’unpray-doseur. Ces résultats sont comparables aux autres méde-ins généralistes pour lesquels la mauvaise utilisation variee 58 à 94 %. L’attente principale de l’enfant asthmatique vis--vis du médecin scolaire concerne la gestion de la crise’asthme à l’école et la méthode d’utilisation des dispositifsrescrits, (87 %) soulignant ainsi le manque d’informations recuesu retenues par l’enfant asthmatique et ses parents lors desonsultations.onclusion.— L’amélioration des connaissances en matière de signese gravité de l’asthme et d’utilisation des dispositifs inhalés pour-ait être utilement l’un des objectifs de promotion et de formationu médecin scolaire.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.193

33tude par imagerie radioisotopique du dépôt facial’un aérosol nébulisé par masque. Vecellio a, D. Le Pennec b, G. Chantrel c

DTF Aerodrug, Tours, FranceInserm U618, Tours, FranceDTF Medical, Saint Etienne, France

ntroduction.— Les aérosols nébulisés sont très largement adminis-rés aux patients à l’aide d’une interface de type masque facial.algré l’avantage que représente ce type d’interface, le masqueose le problème du dépôt de médicament sur la face du patientrisques de glaucomes et cataractes avec anticholinergiques et cor-icoïdes).atients et méthode.— Un modèle de tête de cadavre étaitonnecté par l’intermédiaire d’un filtre à une pompe respira-oire simulant la ventilation d’un adulte. 5 différents types deébuliseurs (Atomisor NL9 M, Pari LC Sprint, Sidestream, Mistyneb,espineb) étaient chargés avec 1 mg/4 mL de budesonide addi-ionné de 0,1 mL de technétium radioactif. Les dépôts faciaux etuccaux étaient imagés et quantifiés avec une gamma caméra.’activité présente sur le filtre modélisant le dépôt pulmonaire étaituantifiée.ésultats.— Les résultats montraient une différence en termese dépôt sur la face entre les différents types de nébuliseurs.e nébuliseur Atomisor NL9 M produisait le dépôt le moins impor-

ant sur la face (13 ± 4 �g) et le nébuliseur Respineb produisaite plus important dépôt sur la face (35 ± 15 �g). Un dépôt ocu-aire était présent avec le nébuliseur Mystineb. Rapporté au dépôtulmonaire, le dépôt facial représentait jusqu’à 24 % de l’aérosol

Recommended