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deux derniers malades n’a été fait que tardivement dans un tableaude fistule artérioveineuse ilio-iliaque primitive gauche et d’un fauxanévrysme de l’artère hypogastrique gauche. Tous nos malades ontété opérés. Les suites opératoires étaient favorables sauf chez lepremier malade qui a gardé des séquelles neurologiques au niveaude son membre.Conclusion.— Les complications vasculaires de la chirurgie de lahernie discale lombaire sont sous-évaluées. La connaissance de lapossibilité de la survenue d’une lésion vasculaire au cours de sa cureimpose une attention particulière peropératoire et devrait surtoutconduire à une prise en charge adaptée.

doi:10.1016/j.jmv.2010.12.090

P28RPCA familiale d’expressions sévères chez troisfrères (thrombose porte, thrombose cérébrale etembolie pulmonaire)T. Bounzira ∗, D. Hakem , S. Médaoud , D. Zemmour , N. Ouadahi ,L. Baghli , S. Harriti , A. BerrahHôpital Dr Mohammed-Lamine Debaghine, CHU Bab-El-Oued,Alger, Algérie

Mots clé : RPCA familiale

∗Auteur correspondant.Introduction.— Les complications thromboemboliques peuventrévéler des thrombophilies héréditaires dont l’expression au seind’une même famille peut être polymorphe tant sur le plan sympto-matique que sur le plan topographique et pronostique.Objectifs.— Rapporter une observation révélant une RPCA fami-liale par la survenue d’évènements thrombotiques (quatre) majeurset/ou de sites singuliers (trois) à type de thrombose veineuse céré-brale ‘TVC’ (un), thrombose porte (un) et embolie pulmonaire ‘EP’sur TVP des membres inférieurs.Observation.— Mme BL, 38 ans, née de parents non consanguins,G0P0A0, intoxication tabagique, est explorée pour une TVC ayantjustifié un séjour en réanimation devant un tableau bruyant (HIC,diplopie, convulsions, infarctus veineux étendu.). L’évolution estfavorable à moyen et long termes sans séquelles motrices soustraitement anticoagulant et anticonvulsivant. Les investigationspermettent de retenir le diagnostic d’une thrombophilie familialeet confirme l’atteinte de trois autres membres de la famille dontcertains, dans la fratrie, ont eu déjà un événement thrombotiqueresté sans étiologie.Conclusion.— Notre observation démontre une fois encore lanécessité, devant la découverte d’une thrombophilie, de faireune enquête familiale afin de dépister les cas asymptoma-tiques, d’identifier les patients atteints dont l’étiologie est restéeméconnue et d’éviter des événements thrombotiques drama-tiques (récurrence, embolie pulmonaire, localisation hépatique,cérébrale. . .) particulièrement pendant les périodes à haut risquethrombogène (péripartum, postopératoire.).

doi:10.1016/j.jmv.2010.12.091

P29Revascularisation cérébrale dans la maladie deTakayasuH. Belmir ∗, R. Idrissi , A. Azghari , Z. Bouziane , B. Lekhel ,Y. Sefiani , A. El Mesnaoui , F. Ammar , Y. BensaidService de chirurgie vasculaire, hôpital Ibn Sina, Rabat, Maroc

Mots clés : Maladie de Takayasu ; Ischémie cérébrale

∗Auteur correspondant.Objectif.— L’atteinte des troncs supra-aortiques dans la mala-die de Takayasu réalise souvent des lésions diffuses et complexes

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naccessibles au traitement endovasulaire. La chirurgie occupear conséquent une place importante dans la prise en charge de’ischémie cérébrale dans cette maladie. Le but de ce travail este préciser les indications et les techniques chirurgicales en cas’atteinte des artères à destinée encéphalique dans cette maladiet d’exposer nos résultats.atients et méthodes.— Nous rapportons une série de sept cas dealadie de Takayasu avec atteinte des artères carotides extracrâ-

iennes traités chirurgicalement dans le service de chirurgieasculaire de l’hôpital Ibn-Sina de Rabat sur une période de 11 ans.ésultats.— Il s’agit de six femmes et un homme d’âge moyenu moment du diagnostic de 33,8 ans. Les signes révélateurstaient essentiellement d’ordre neurologique et oculaire. Six deos patients étaient en poussée inflammatoire au moment du diag-ostic, et ont nécessité un traitement médical premier à base deorticoïdes. Il a été réalisé une revascularisation carotidienne bila-érale dans trois cas, unilatérale dans quatre cas. L’axe donneurtait l’aorte ascendante dans six cas et le tronc artériel brachio-éphalique dans un cas. Un décès en rapport avec une hémorragieérébrale est survenu deux jours après la revascularisation. Uneette amélioration des signes fonctionnels était notée chez troisatients, alors que l’amélioration était partielle chez deux autres.ne thrombose secondaire du pontage est survenue dans trois cas.onclusion.— L’histoire naturelle de la maladie de Takayasu et sonvolution sont mal connues. Les indications opératoires ne doiventas reposer uniquement sur le seul bilan anatomique, mais baséesur un faisceau d’arguments dans lesquels l’évaluation du débit san-uin cérébral serait utile. Le syndrome d’hyperperfusion cérébraleonstitue un risque majeur qui peut être réduit par des revascula-isations par étapes.

oi:10.1016/j.jmv.2010.12.092

30rtère sciatique persistante : à propos de sept cas. Belmir ∗, A. Azghari , A. Mechchat , Z. Bouziane , R. Idrissi ,. Lekhel , Y. Sefiani , A. El Mesnaoui , F. Ammar , Y. Bensaid

Service de chirurgie vasculaire, hôpital Ibn Sina, Rabat, Maroc

ots clés : Artère sciatique persistante ; Complications

Auteur correspondant.bjectif.— L’artère sciatique persistante (l’ASP) est une anoma-

ie vasculaire congénitale rare, liée à l’absence de régressione l’axe artériel embryonnaire dorsal, pouvant se révéler pares complications potentiellement graves. À travers cette série,n évalue les manifestations cliniques et la prise en charge desomplications anévrismales et occlusives de l’artère sciatique per-istante.atients et méthodes.— Nous rapportons une série de sept cas’artère sciatique persistante compliquée colligés dans le servicee chirurgie vasculaire de l’hôpital Ibn Sina de Rabat sur une périodee 25 ans (1985—2010).ésultats.— La moyenne d’âge était de 56 ans, l’atteinte concer-ait trois hommes et quatre femmes. L’ASP était complète dansous les cas, unilatérale dans six cas et bilatérale dans un seulas. Tous les patients étaient symptomatiques, ils présentaient desymptômes incluant une masse battante, une ischémie distale etes sciatalgies. Le bilan radiologique comportait un écho-Dopplerrtériel complété par un angioscanner abdomino-pelvien et desembres inférieurs pour tous les patients, une artériographie était

aite surtout pour évaluer la vascularisation distale. Un anévrismeété diagnostiqué dans six cas, une occlusion de l’ASP dans un seul

as. Le traitement était chirurgical et dépendait de la symptomato-ogie et de la classification de l’ASP. Dans deux cas, une amputatione Chopart était nécessaire.onclusion.— L’ASP est une anomalie rare avec une incidence élevéee complications anévrismales et ischémiques pouvant entraîner

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