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juin 2011 372
Convention cadreD D
Tourisme social et associatif
Une ambition du Comité d’entreprise
Centres de loisirs : les enfants à la fête
Infos CE D Édito
Infos CE 3 u CHSCT4-5 t Infos CE : Lutte contre l’illettrisme
Convention cadre
Sports 7 u Course de printemps
Calendrier 8 u Exposants
Adultes 9 u Le tourisme social et associatif
Enfance 10-11 u Retour en images
Culture 12-13 u Spectacles subventionnés14 u Coupons-réponses15 u L’épée. Usages, mythes et symboles16 u Coups de cœur des médiathèques17 u Abonnements et programmation
sorties culturelles18 u Pierre Étaix
Sections 19 u Aïkido, Aquariophilie Sud
juin 2011
Mensuel du Comité d’entreprise d’Aéroports de Paris
Bât. 630 - Orly Sud 103 - 94396 Orly Aérogare Cedex Fax : 01 49 75 06 05 / e-mail : infosrelais@ceadp.fr3 Directeur de la publication : Joël Vidy3 Rédacteur en chef : C. Vallot (01 49 75 06 19)3 Secrétariat de rédaction : 5 06 193 Relations commerciales : 01 49 75 01 93 3 La reproduction de tout ou d’une partie de nos
articles est libre mais avec indication de leur origine.3 Création, conception, réalisation : ProjEdit
www.ceadp.com
D Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter le site du CE :
Sommaire Édito
Infos CE2
L’action, en banque comme au buffetLe 5 mai dernier se déroulait l’Assemblée des actionnaires d’Aéroports de Paris. L’an passé, certains d’entre eux s’étaient plaints de la salle louée à la Villette, en arguant de la mauvaise qualité du lieu. Cette année, la Direction a donc changé d’itinéraire. Elle les a embarqué au Palais des Congrès, Porte Maillot. Pour la première fois de mon existence, j’y participais…
La présentation de la situation de l’entreprise, par la Direction, a été léchée. Conforme à ce qui est annoncé aux administrateurs, aux élus du Comité d’entreprise ainsi qu’aux salariés du groupe. Un message approprié au monde de la finance et des actionnaires. Le discours est bien rodé. Cependant, la rencontre fut étrange. Et, je n’écris pas cela parce que ce sont des petits porteurs. Lorsque je suis arrivé, la salle s’emplissait. J’ai rejoins mon siège. Autour de moi, une multitude de têtes blanches. L’Assemblée était essentiellement constituée de personnes du 3e et 4e âge. Première surprise. L’assistance écoute poliment – et durant trois heures - les différents intervenants. Puis, le final. L’instant crucial du vote des résolutions. À ce moment précis, un brouhaha s’élève dans la salle. Je vois alors un grand nombre de participants se lever et quitter les lieux. Surprenant.
Une étonnante réalitéDans mon fauteuil, j’imagine un mouvement de contestation. « Ils boycottent le vote » me dis-je. En fait, non. Pas du tout. Les raisons ne sont absolument pas militantes. Elles sont bien plus « terre à terre » ou plutôt physiologiques. Avez-vous déjà eu un irrépressible besoin de manger, d’avaler… d’engloutir ? L’actionnaire de base, lui, oui. Ce dernier est plus intéressé par les petits fours et le champagne que de voter les résolutions ! La canne à la main, il se rue pour être le premier servi et s’empiffrer. Prêt à bouffer la part de l’autre. Voici donc mon étonnante découverte. C’est affligeant. Mais, cela reflète assez bien l’état d’esprit de l’individu dans la société actuelle. Permettez-moi un conseil, une fois n’est pas coutume. Le jour de votre retraite, si vous manquez d’imagination pour occuper vos journées, prenez exemple. Achetez des actions (une dans plusieurs entreprises), vous aurez l’assurance de passer du temps au chaud, avec un buffet à la clé.
Très honnêtement, je préfère l’ambiance et la réaction d’une partie de la jeunesse Espagnole et du peuple Grec. Par leurs luttes, ils refusent d’être les sacrifiés d’un système qui met les peuples à genoux.
Les membres du Secrétariat se joignent à moi pour vous souhaiter d’agréables vacances.
Joël Vidy Secrétaire du Comité d’entreprise
Élu-Sictam-CGT
juin 2011
CHSCT J Infos CE 3
En attente de négociationsU ne réunion de préparation de mise
en place des nouveaux CHSCT a été organisée le 17 février dernier.
Suite à celle-ci, la Direction d’Aéroports de Paris a souhaité revoir le fonctionnement, et le périmètre, du CHSCT de coordination. Notamment, en ce qui concerne les dos-siers transversaux de l’entreprise : égalité professionnelle, rémunération des cadres, etc. La Direction voudrait, en effet, voir traité ces sujets uniquement au niveau du CHSCT n°9 et des Instances représentatives du personnel (IRP). Désirant réétudier les moyens mis à la disposition des membres des CHSCT, elle doit programmer l’ouver-ture de négociations.À ce jour, le CHSCT de coordination n’a toujours pas pu se réunir. Les cinq organi-sations syndicales de l’entreprise : Sictam-CGT ; CFE-CGC ; Unsa-SAPAP ; Spe-CGT et FO attendent l’ouverture des négociations décrétée par la Direction d’Aéroports de Paris. Si le calendrier ne change pas, la première réunion devrait se dérouler fin mai, le 27 plus précisément.Cela signifie donc que le CHSCT n°9 ne sera pas en capacité de se réunir avant le mois de juin prochain. Pour mémoire, l’élection des membres des CHSCT a eu lieu le 28 février dernier.
C.V
Depuis le 31 mai 2006, le CHSCT d’Aéroports de Paris SA a été découpé en neuf CHSCT pour être au plus proche des agents. Ils se répartissent comme suit :
CHSCT n°1 : CDG aérogare 1 et T3CHSCT n°2 : CDG aérogare 2 et gare TGVCHSCT n°3 : CDG zone technique et l’aéroport du Bourget et les aérodromes d’aviation généraleCHSCT n°4 : CDG supportCHSCT n°5 : Orly Aérogares (Sud et Ouest)CHSCT n°6 : Orly TechniqueCHSCT n°7 : Orly Parc CentralCHSCT n°8 : Orly Tech et Raspailet le CHSCT n°9 dit CHSCT de coordination qui est composé des secrétaires des huit autres CHSCT.Petit rappel. Les membres des CHSCT sont élus au suffrage indirect, c’est à dire qu’ils sont élus par les représentants du personnel (CE et DP).
juin 2011
4 Infos CE D Actualités
D Aéroports de Paris
Lever le tabou de l’illettrismeSur la planète, 860 millions d’hommes et de femmes sont dans l’incapacité de lire et d’écrire, privés des plus simples compétences de base. Les pays industrialisés, où la scolarité est obligatoire, ne sont pas épargnés. Les élus du Comité d’entreprise, avec Uniformation*, ont décidé de lever ce tabou. Conscients que l’illettrisme peut être un frein à l’émancipation de la vie personnelle et professionnelle.
L ’Agence nationale de lutte contre illet-trisme (ANLCI) a réalisée une enquête nationale sur le sujet. Trois catégories
émergent : l’illettrisme, l’analphabétisme et l’apprentissage du français :
- Un adulte qui a été scolarisé mais qui n’a pas acquis une maîtrise suffisante de la lecture, de l’écriture et du calcul doit réapprendre, renouer avec les formations de base. Il doit réacquérir et consolider son socle de compétences.
- Un adulte qui n’a jamais été scolarisé, doit tout apprendre, il est en situation d’alphabétisation.
- Arriver dans un pays dont on ne parle pas la langue et devoir l’apprendre.
La personne qui souffre d’illettrisme va mettre en place des stratégies de contour-nement pour tenter de cacher cette situa-tion synonyme d’échec. Aujourd’hui, la reconnaissance se fonde trop souvent sur la seule réussite scolaire, sans tenir compte des compétences acquises tout au long de la vie.
La lutte contre l’illettrisme, un enjeu social majeur pour le CEL’implication de notre Comité d’entreprise (CE) au sein du GOEES*, Groupement des employeurs des entreprises de l’économie sociale, nous permet d’être réactifs et influents auprès d’Uniformation*, notre partenaire collecteur pour la formation. Afin de relancer le processus d’appren-tissage, et lutter contre l’illettrisme, les élus du Secrétariat s’engagent et propo-sent aux salariés du CE, qui le désirent, des solutions pédagogiques appropriées. Conscients que l’illettrisme peut être un frein à l’émancipation de la vie person-nelle et professionnelle. L’ambition est de porter collectivement ce projet et de le définir comme un enjeu social prioritaire. Pour que l’information soit largement dif-fusée, les responsables de nos différents services en ont été informés les premiers. L’objectif ? Les sensibiliser à l’aspect social du projet et leur détailler l’ensemble du processus. Le directeur des ressources humaines, Arnaud Beauvois, et moi-même, avons mené des réunions d’information. Cinq au total. Ces dernières ont été conduites sur les différents sites et suivies d’entretiens individuels. Notre volonté était d’expli-quer les modalités de ce projet aux salariés et de valider les éventuelles candidatures. En tant qu’élus, nous sommes convaincus par l’utilité d’un tel dispositif. Et, confortés dans notre démarche, par la trentaine de personnes souhaitant y avoir recours. Les CE, et les associations, doivent servir de relais pour expliquer qu’il est possible de mettre en place un tel projet. Un magni-fique projet d’avenir, porteur d’espoir. Des moyens existent pour mettre à mal ce tabou qu’est l’illettrisme, utilisons les. m
Alfredo Guarino Secrétaire adjoint du Comité d’entreprise
Élu Sictam-CGT
* Le GOEES rassemble des organismes employeurs du champ associatif et du mouvement social. Il propose à ses adhérents, notamment des comi-tés d’entreprises et des associations, une offre renouvelée de services.*Uniformation finance et pilote ce projet.
À l’issue des rencontres, et après validation des candidatures :- Une journée d’évaluation sera réalisée par un
prestataire extérieur mandaté par Uniforma-tion. Ce rendez-vous personnalisé permettra au salarié d’exprimer son besoin et d’évaluer son niveau sur les compétences clés : lire, écrire et compter.
- À l’issue de cette journée, le prestataire pro-posera une formation adaptée à chaque demandeur. Ce, sur la base de journées entières (pas de cours du soir) et jusqu’à 120 h soit 17 jours. Cette action peut aller de l’ap-prentissage des bases de la langue française, à l’acquisition d’une certaine autonomie. Elle s’adresse à tous les salariés ayant un niveau scolaire inférieur au Baccalauréat.
- Par souci d’efficacité, le bilan de fin de for-mation sera effectué par l’organisme ayant réalisé le diagnostic initial. Et non par celui qui aura dispensé la formation.
- Il sera également possible, pour les salariés inscrits dans ce parcours de suivre dans un second temps une formation sur la décou-verte de l’informatique et du PC. Des connais-sances indispensables, aujourd’hui.
Selon une étude de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), réalisée entre 2002 et 2005, 9% des Français âgés entre 18 et 65 ans seraient touchés par l’illettrisme.
juin 2011
D Actualités 5
D Convention cadre
Quoi de neuf docteur ?La convention cadre s’est tenue le 15 mars dernier au Palais des Congrès. Une convention de l’encadrement sur le thème de l’optimisme… la Direction générale aurait-elle perçu un problème ?
L a direction d’Aéroports de Paris a, lors de la convention cadre, appel à «un docteur». Un «docteur és sciences de
gestion». Celui qui enseigne, qui dogma-tise. Dogmatiser, définition : enseigner une doctrine religieuse ou philosophique. En préambule, notre homme a apporté un éclairage sur la façon de « transformer les difficultés en énergie d’action » afin de faire évoluer les choses. Puis, il a dit ceci : « Une entreprise optimiste se reconnaît à la façon dont ses employés, ses cadres et ses dirigeants font individuellement face aux difficultés. » Il a ensuite ajouté, je le cite : « n’oublions pas nos points faibles qui sont, pour un optimiste, des points d’efforts sur lesquels il cherche à travailler. » Notre thérapeute développe, par ailleurs, l’idée que chacun doit employer « sa machine à opportunités » (ou dans le langage commun : son cerveau). Toutefois, qui dit opportunité dit opportuniste… Pas étonnant donc que l’entreprise ait mis en place l’Accord cadre. Un accord qui vise à l’individualisation maximale. Cela passe par la « mobilité incitative » et les rémuné-rations « au mérite ». Voici donc le message
que la Direction générale a voulu asseoir. Pierre Graff dans son allocution, déclare qu’ « il faut se retrousser les manches. (…) Mettre en place un plan de bataille pour déclen-cher une prise de conscience collective », en d’autres termes, « il faut bosser ». Et, en fili-grane, « augmentez la productivité ».
« Le cœur de métier ne dégage pas de profits » Pierre Graff, Président-directeur général
La stratégie d’Aéroports de Paris est de déve-lopper les activités annexes : l’immobilier, les commerces, les services pour répondre à la demande de la société (entendez, pas-sagers). Pour les commerces, le chiffre d’af-faires par passager représente 14,04 €, il devra s’élever à 17,4 € en 2015. Aujourd’hui, selon les dires du Président-directeur géné-ral, « le cœur de métier ne dégage pas de pro-fits ». Il n’est pas rentable. C’est pourquoi, Aéroports de Paris n’exclut pas de se séparer d’Alyzia. Notre « praticien és sciences de gestion » a été appelé pour toutes ces raisons. En
plus de distiller sa pensée, il prodigue aux entreprises sa stratégie de développement commercial. Stratégie de développement commercial… le leitmotive d’Aéroports de Paris. Une stratégie qui a été présentée dans le Plan stratégique 2011-2015, sous la forme ludique d’un jeux de l’oie. Les cadres devront relayer ce message en étant « optimistes ». De l’optimisme, assuré-ment, il en faudra surtout dans les secteurs qui ne sont plus considérés comme priori-taires. Ceux-là même où l’on constate la dis-parition de l’uniforme d’ADP, comme dans les aérogares. Disparition due à la baisse des effectifs puisqu’un grand nombre des acti-vités sont sous-traitées. Dans les secteurs dits annexes comme l’immobilier, le commerce, il sera plus aisé de vendre les mérites du Plan stratégique. Même si, là aussi, l’emploi est en perdi-tion. Ce, bien entendu, si les cadres sont convaincus du raisonnement socio- éco-nomique argué par la Direction générale. La direction aura-t-elle réussi son show en direction d’une catégorie qui représente 17% des effectifs ? Il faudra sans doute un peu de temps pour le mesurer. En conclusion, cette dernière phrase du doc-teur : « L’optimisme revient à faire un choix d’engagement face à la réalité du monde ». Attention à la migraine, d’autant que les médicaments sont de moins en moins remboursés.
Joël Vidy Secrétaire du Comité d’entreprise
Élu-Sictam-CGT
juin 2011
Challenge Sud J Sports 7
L a situation des personnes en situation de handicap est un de ces « challenges » que l’on ne
peut relever seul. Conscients de cette réalité, 130 personnes (les organisa-teurs compris) ont participé à cette épreuve. Romuald Ramboer, prési-dent de la commission Jeunes, Emplois Handicapés, était également présent.Les participants ont été accueillis par une agréable animation musicale. Le temps pour tous, de se préparer à écrire une belle page de la vie sportive « adépienne ». L’arrivée de nos amis de l’Institut médico-éducatif (IME), Le Guillant, de Villejuif et du club d’ath-létisme Aspar Athlé, de Vitry-sur-Seine, a attiré l’attention. Les adhérents de la section Course à pied d’Orly se sont portés volontaires pour aider, accom-pagner ou soutenir les personnes les moins autonomes. Preuve que la soli-darité est ce qu’il y a de plus humain chez l’être.
« Le sport ne connaît pas de handicap; il ne connaît que des barrières. »
Le départ de la course est venu libé-rer toute cette énergie. Libérer cette solidarité qui repousse les clichés et qui efface les préjugés. Bref, qui nous rend meilleurs. Pendant les 45 min de l’épreuve, chacun y est allé à son rythme. Le sourire était commun à tous. Témoin privilégié du plaisir d’être là, d’avancer pour soi mais aussi pour les autres. À l’issue de la course, les organismes ont vite repris des forces autour du pot de l’amitié. Un pot préparé par les restaurants du Comité d’entreprise. La remise du Trophée de l’amitié, à nos amis de l’IME de Villejuif, a été un moment de bonheur exception-nel pour les enfants. À eux la victoire, celle d’avoir participé en nous don-nant une belle leçon de vie. Nos amis de l’Aspar Athlé sont repartis avec la Coupe de l’amitié. Pourtant mal voyants et non voyants, ces derniers nous ont ouverts les yeux sur le bon-heur de partager un pur moment de joie. Une question subsiste : on recommence bientôt ?
Julio VilelaResponsable du service des Sports
Questions à…Marie-Anne Faurel, responsable de l’IME, Le Guillant, de Villejuif. Et, Antoine Moreno, président du club d’athlétisme Aspar Athlé, militant politique, syndical et handisportif [ndlr, a participé aux Jeux Paralym-piques d’Atlanta 1996].
Que représente pour vous cette initiative ? D’un point de vue plus général, qu’apporte le sport ?
Marie-Anne FaurelIl est toujours bien d’intégrer les jeunes dans un milieu autre que le leur. Ce qui était intéressant dans cette course, c’est qu’elle auto-risait différents niveaux. Chacun est allé à son rythme. C’était un moment très chaleureux de collectivité sportive. Les participants ont été très attentifs à nos jeunes. Il est intéressant de montrer que l’on peut vivre des choses ensemble en étant différents. De se respecter mutuellement. Le regard de l’autre compte. Les enfants ont été ravis de participer à cette manifestation. Et, leurs parents ont été réjouis… rendez-vous à la Course de l’automne !
Antoine MorenoCette initiative mélange les personnes handicapées et valides. Elle permet aussi de promouvoir le sport dans l’entreprise. La pratique de l’athlétisme est une pratique collective qui amène des échanges très riches. Et, le sport est vecteur de bien-être au travail. Le sport est un dépassement de soi-même, qu’on soit plus ou moins handicapé. C’est de nos jours un secteur mercantile. La pratique han-disport n’est pas encore dans ce sillon. La prise en compte de la per-sonne handicapée est très récente. Aujourd’hui, celle-ci n’est pas reconnue en tant qu’être humain à part entière. Notre fédération travaille beaucoup à l’intégration mais si l’on ne va pas vers une per-formance monnayée, il n’y en aura pas. Il est impératif que la pratique sportive soit humble et pour tous.
La Course du printemps s’est déroulée le 10 mai dernier, à Orly Parc. à nouveau, l’accent a été mis sur la participation de personnes en situation de handicap. Au programme, une météo clémente, de nombreux bénévoles et la détermination de l’équipe du service des Sports. Des paramètres qui ont permis de partager un merveilleux moment de sport.
Ensemble et solidaires
Julio Vilela et Marie-Anne Faurel
De gauche à droite :Didier Anquetil, Antoine Moreno, Romuald Ramboer et Julio Vilela
juin 2011
lorly parc 1cdg À la demande de nombreux agents, le Comité d’entreprise autorise la venue de commerçants dans les halls des restaurants du personnel (Orly Parc et CDG ZT). Le CE s’efforce de sélectionner des exposants sérieux, en règle (registre du commerce…) dont les produits présentent un bon rapport qualité/prix. Son rôle ne va pas au-delà. Le CE n’est pas responsable de la qualité de la marchandise vendue. C’est au client d’être vigilant sur ce qu’il souhaite acquérir ainsi qu’il le fait dans n’importe quel magasin.
06juin >
07juillet >
lLingerie BVC
lPàP féminin SEHIL
1Objets bois décorés FAB - BOIS DÉCORÉ
Mercredi 15 juin
lHuiles : essentielles, de massage & pdts aloë vera AROMALAMPE
lBijoux ambre EWA MISIAK
1Chaussures italiennes femmes ARAKELIAN
jeudi 16 juin
lAcc. de mode et maroquine-rie CLIC ET CHIC
1Pdts du terroir PÉRIGORD DÉLICES
Mardi 21 juin
lPdts bien-être et relaxation SOMMER
lPàP féminin VINCE (Nadine)1Lunettes de soleil italiennes
BELLA MOD’SET
Mardi 28 juin
lPàP féminin GOURIO
1Chaussettes SAMY
Mercredi 22 juin
lBijoux confort bien-être magnétic VDI ENERGETIX
1Lingerie féminine GEORGES
Mercredi 29 juin
lMaroquinerie FABIENNE MAROQUINERIE
lProduits “Vu à la télé” DÉLICATES ET SAINES
1PàP féminin JORDA
jeudi 30 juin
lPulls, tuniques italiens SAM SILVER
lPdts du terroir PÉRIGORD DÉLICES
1Bijoux/tableaux dominicains, haïtiens CRÉA9
Lundi 20 juin
lCafé, thé et douceurs BRÛLERIE CARON
1Bijoux (cristal, pierres fines et d’eau douce) CRISTAL
Lundi 27 juin
lPàP enfants DREHER
lPdts basques PIERRE OTEIZA
1Huiles : essentielles, de massage & pdts aloë vera AROMALAMPE
Vendredi 17 juin
lSportswear & ceintures hommes LH DIFFUSION
lBijoux personnalisables BERROYER
1PàP féminin VINCE (Nadine)1Aménagement d’int. sur
mesure ID RANGEMENTS
jeudi 23 juin
lMaroquinerie SAVICAF
lBeauté, forme, bien-être NUTRIMÉTICS
1PàP féminin TIREX
Mardi 14 juin
1Sportswear mixte 26 MD GSM.COM
Lundi 4 juillet
1Infos assurances GMF
Mercredi 6 juillet
1Sportswear masculin MODAFFAIR
Lundi 11 juillet
lLibrairie LIVRES PLUS
1Maillot de bain, body wrap JOYCE LINGERIE
jeudi 7 juillet
lPàP féminin CHELLY
1Produits “Vu à la télé” DÉLICATES ET SAINES
Mardi 12 juillet
lParfums d’int. et draps de bain HOLLYGOOD
Vendredi 1er juillet
lPàP féminin BOUJNAH
Mardi 5 juillet
1PàP féminin Antonelle GUILLEMOT
Vendredi 8 juillet
8 Expoventes D Calendrier du 14 juin au 12 juillet 2011
juin 2011
Adultes 9
S ’il n’existe pas de définition, il est possible d’affirmer sans risque que le tourisme social et associatif se veut à la portée de
tous. Et que l’une de ces vocations est de favo-riser la rencontre et l’échange avec les popula-tions locales. Né d’une exigence éthique portée par une revendication militante, sa légitimité repose sur l’affirmation d’un droit, « le droit au tourisme ». Il constitue ainsi le prolongement naturel du droit au travail et de son corollaire, le droit au repos, aux congés payés et donc aux vacances… L’histoire du tourisme social est intimement lié au mouvement de démocratisation des vacances en France. Les premiers congés payés gagnés par le Front Populaire en 1936, puis la situation économique et sociale diffi-cile de l’après-guerre ont incité le mouvement social et syndical à créer des lieux de villégia-tures accessibles à tous.
Le Comité d’entreprise d’Aéroports de Paris, acteur du tourisme socialLe Comité d’entreprise d’Aéroports de Paris a, comme d’autres, participé à cette mobili-sation en faveur du « droit aux vacances de qualité, pour tous ». Il a investi dans des vil-lages de vacances ouverts aux salariés d’ADP. En optant, pour des formules en pension com-plète pour favoriser l’égalité entre hommes
Se lancer à l’assaut de définitions relève d’une mission presque impossible tant elles sont nombreuses et n’obtiennent pas toujours de consensus. Mais essayer de démêler les grands principes sans entrer dans les subtilités peut s’avérer utile…
Le tourisme social et associatif
et femmes, au moins le temps des vacances… Pourtant, aujourd’hui, les vacances se sont développées sans pour autant être totale-ment démocratisées. Un français sur deux ne part toujours pas. Et, dans les pratiques de consommation, les vacanciers sont souvent incités à acheter des marques connues telles que Lagrange, Pierre et vacances, etc. Notre Comité d’entreprise n’est pas une agence de voyage ! Géré par des représentants, élus par les salariés de l’entreprise, il propose des formules diversifiées. Au travers des subven-tions, et du choix de ses partenaires, le CE a délibérément opté pour le tourisme social et associatif. Voici le panel des prestataires avec lesquels nous travaillons :
Invac : plus de 200 destinations en France, 70 voyages à l’étranger et une grande sélection de séjours avec une tarification adaptée au revenu familial (QF).Uncovac : propose des formules locatives, demi-pension et pension complète, à la mer, à la campagne ou à la montagne. Cet orga-nisme applique des remises tarifaires sur la base du quotient familial et bons Vacaf dans certains villages.VVF Villages : plus de 100 villages vacances en France.VTF : plus de 50 destinations en location, demi-pension ou pension. Avec clubs enfants,
Le coin des chiffresL’Union nationale des associations de tourisme estime la population salariée (liée au tourisme) à quelques 60 000 travailleurs saisonniers ! La structure de l’emploi est très diversi-fiée et souvent précaire. Elle regroupe des personnes en contrats à temps par-tiels, en CDD et une faible proportion de permanents en CDI. D’où un poids économique et social important.
gratuits de 3 mois à 18 ans, animations et de nombreuses offres promotionnelles (enfants, familles nombreuses, familles mono parentales).Touristra : des villages clubs avec des anima-tions, des balades solidaires en partenariat avec des associations œuvrant pour la préser-vation d’une activité ou de l’environnement. Et, visant à soutenir les populations locales (culturel, social et médical).
Par sa politique sociale, liée au droit aux vacances, notre Comité d’entreprise espère répondre au mieux à vos attentes, dans le respect de chaque partenaire. m
Véronique DussauleService Adultes
10 Enfance D Retour sur images
juin 2011
Le 18 mai dernier, la joie et la bonne humeur ont eu la part belle. Les enfants des centres de loisirs se sont retrouvés, avec leurs copains du Secours populaire (SPF), pour une journée de jeux. Toboggan géant, rodéo, parcours, piscine à balles, trampoline, etc., il y en avait pour tous les goûts. Ce jour là, tous les indicateurs étaient au beau fixe. Même un magnifique soleil était au rendez-vous. 263 enfants étaient à la fête, dont 38 venus avec le SPF, et 35 adultes pour chapeauter le tout…
Les enfants à la fête
juin 2011
Petite parenthèse culturelle DInscriptions du 15 au 30 juin, dans la limite des places et du budget alloué.
12 Culture D Spectacles subventionnés
Le songe d’une nuit d’étéDe William Shakespeare. Mise en scène de Nicolas Briançon, avec Lorànt Deutsch, Mélanie Doutey, Yves Pignot, Marie-Julie Baup, Davy Sardou et Nicolas Briançon.Théâtre de la Porte Saint-Martin – 18 bd Saint-Martin – Paris 10e
L’action se déroule en Grèce et réunit pour mieux les désu-nir deux couples de jeunes amants : Lysandre et Démétrius d’une part, Hélèna et Hermia d’autre part. Hermia veut épou-ser Lysandre mais son père, Égée, la destine à Démétrius, dont est amoureuse Hélèna. Lysandre et Hermia s’enfuient dans la forêt, poursuivis par Démétrius, lui-même poursuivi par Hélèna. Pendant ce temps, Obéron roi des fées, a ordonné à Puck de verser une potion sur les paupières de sa femme, Tita-nia. Il entre dans la forêt avec Puck. Pendant la nuit, la confu-sion règne...
3 Prix : 41 € au lieu de 61 € (catégorie or) 3 Orly, Raspail : jeudi 6 octobre à 20h 3 Roissy : vendredi 7 octobre à 20h
«Demaison s’évade» De François-Xavier Demaison, Éric Théobald, Mickael Qiroga et Samuel Le Bihan. Mise en scène d’Éric Théobald, avec François-Xavier Demaison.Théâtre de la Gaîté Montparnasse – 26, rue de la Gaîté – Paris 14e
Après «Demaison s’envole», retrouvez François-Xavier Demaison dans son nouveau spectacle «Demaison s’évade !». Il se promène de personnages en personnages en posant un regard acerbe et insolent sur le monde d’aujourd’hui. Il nous embarque pour un voyage initiatique entre le passé et le présent. Entre les bulles de champagne et les bulles spéculatives trouvera-t-il des bulles d’oxy-gène ? Mais surtout Bitou, le castor, échappera-t-il au fameux serial killer québécois «Arthur Hache» ?
3 Prix : 19 € au lieu de 38 € en 1re catégorie 3 Orly, Raspail : samedi 22 octobre à 16h30 3 Roissy : vendredi 21 octobre à 21h30
D Théâtre
juin 2011
13D Spectacles subventionnés
Voca PeopleBobino – 14 / 20 rue de la Gaîté – Paris 14e
Phénomène mondial, les Voca People offrent une expérience vocale et théâtrale inoubliable autour des standards de la musique internationale. Ils allient per-formance vocale, chansons a capella et techniques de « beatbox », dans un spectacle unique, que les specta-teurs partagent, plein d’humour, d’émerveillement et d’énergie. Les Voca People, ce sont huit chanteurs-comédiens de talent servis par des arrangements musicaux subtils et innovants.
3 Prix : 31,50 € au lieu de 51,50 € (catégorie or) 3 Orly, Raspail vendredi 16 septembre à 21h 3 Roissy : samedi 17 septembre à 16h30
Le lac des cygnesPalais des Congrès, Porte Maillot Paris 17e
Par le Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre, pièce en quatre actes sur une musique de Piotr Illyich Tchaïkov-ski d’après une chorégraphie originale de Marius Petipa et Lev Ivanov. Le jeune prince Siegfried fête sa majorité. Sa mère lui annonce que le jour suivant, au cours d’un grand bal pour son anniversaire, il devra choisir une épouse. Vexé de ne pouvoir choisir celle-ci par amour, il se rend durant la nuit dans la forêt. C’est alors qu’il voit passer une nuée de cygnes. Une fois les cygnes parvenus près d’un lac, il épaule son arbalète s’apprêtant à tirer, mais il s’arrête aussitôt ; devant lui se tient une belle femme vêtue de plumes de cygne blanches. Enamourés, ils dansent et Siegfried apprend que la jeune femme est en fait Odette. Un terrible sorcier, Von Rothbart, la captura et lui jeta un sort ; le jour, elle serait transformée en cygne et la nuit, elle redeviendrait femme…
3 Prix : 35 € au lieu de 55 € en 1re catégorie 3 Orly, Raspail, Roissy : samedi 12 novembre à 15h
D Variété
D Danse
Conditions Un spectacle par famille et l’obligation de faire établir son quotient familial auprès des accueils.
Pour les spectacles, le nombre de places est en fonction de la composition familiale.
3 Si vous souhaitez recevoir vos places à domicile, prière de joindre une enveloppe timbrée.3 Si vous souhaitez prendre vos places dans les permanences du CE, le signaler à votre billetterie. 3 Après acceptation de la demande, aucune annulation ne sera faite. Les billets ne seront ni repris, ni échangés.3 Les billets arrivent environ 5 jours avant la date du spectacle. 3 Les dépliants Sélection Loisirs pourront être consultés dans les billetteries, aux accueils
et permanences du CE ainsi que sur le site www.ceadp.com.
Adresses 3 CE Orly Parc, Bât. 630 :
M. Redondo et Mme Jamous Tél. 01 49 75 06 233 CE Roissy Zone Technique, Bât. 7521 :
Mme Patuel - Tél. 01 48 64 53 233 CE Raspail
MM. Cornud et Pennacchi Tél. 01 43 35 74 69
Pour rappelÀ partir du 15 juin, les places de cinéma seront disponibles dans les billeteries ou les permanences, si vous en faites la demande.
juin 2011
14 Culture D Coupons-réponse
Sortie culturelle L’épée. Usages, mythes et symbolesDate limite d’inscription : vendredi 16 septembre
D Talon et règlement à l’ordre du CE ADP à retourner à “Sorties culturelles”,M. Éric Joulain, CE ADP, Bât. 7521, BP 24101, 95711 Charles de Gaulle Cedex – Tél. 01 48 62 75 03
Mme, Mlle, M. ______________________________ Prénom _____________________________ N° salarié(e)_______________________Date de naissance* ___________________________ Service ______________________________ Lieu de travail _____________________Tél. ________________________________ Tél. dom.* ________________________________ Portable* ___________________________________ E-mail* __________________________ @ _______________________ Adresse personnelle __________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Catégories : A 1B A 2B A 2C1 A 2C2 A cadre Horaires : A continu A semi-continu A atelier A administratif
Participera(ont) à la visite conférence L’épée. Usages, mythes et symboles, le samedi 24 septembre
Indiquer : A seul(e) A conjoint(e) A préretraité(e) A retraité(e) A extérieur(e) A enfant(s) fiscalement à chargeNom __________________________________ Prénom ______________________________ Date de naissance _____________________Nom __________________________________ Prénom ______________________________ Date de naissance _____________________Nombre de personnes au total ____________ Prix unitaire ________ Somme totale ______
*Impératif, en cas de changement d’horaire ou de lieu de rendez-vous de dernière minute.Aucun remboursement ne sera effectué en cas de désistement de votre part.
Spectacles subventionnésDates d’inscription : du 15 au 30 juin
D Bon de commande et règlement à l’ordre du CE ADP à retourner à la billetterie de votre lieu de travail (CDG, Orly, Raspail).D Les paiements par chèque devront exclusivement correspondre au nom de la commande.D Quotient familial à jour
Mme, Mlle, M. ______________________________ Prénom _____________________________ N° salarié(e)_______________________Date de naissance* ___________________________ Service ______________________________ Lieu de travail _____________________Tél. ________________________________ Tél. dom.* ________________________________ Portable* ___________________________________ E-mail* __________________________ @ _______________________ Adresse personnelle __________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Catégories : A 1B A 2B A 2C1 A 2C2 A cadre Horaires : A continu A semi-continu A atelier A administratif
Assistera(ont) au spectacle __________________________ (vous ne pouvez choisir que la date correspondant à votre plate-forme)
Lieu ____________________________Date _______________________Heure __________
Prix des places ________________Nombre de places ______Montant total ____________
Date ____________________Signature
*Mention obligatoire
Sortie culturelle J Culture 15
Musée de Cluny
L’épée. Usages, mythes et symbolesCette manifestation est la première du genre. Elle réunit 120 œuvres, dont un ensemble d’épées couvrant toute la période du Ve au XVe siècle. Vous découvrirez des épées mythiques comme celle de Jeanne d’Arc, mais aussi des manuscrits, des peintures, des objets d’orfèvrerie et ivoires.
L ’épée est sans doute l’un des objets les plus représentatifs du Moyen Âge. Elle est à la fois arme de guerre, signe de pouvoir et
de justice, objet d’apparat. Aucune autre pro-duction profane de cette époque n’a suscité autant d’intérêt et de fascination. L’épée est présente dans toutes les civilisations prati-quant la métallurgie, de l’âge du cuivre jusqu’à l’époque contemporaine. Quelle que soit sa forme, une épée est immédiatement reconnais-sable à ses quatre parties : la lame, la garde, la fusée, le pommeau. Au-delà de ces éléments invariables, il existe une extraordinaire variété de types et de décors, bien souvent révélateurs d’un contexte social et artistique.
Usages réels et symboliquesLes différents usages de l’épée sont égale-ment évoqués dans l’exposition : l’arme est ainsi d’abord étroitement associée au com-bat, dans des contextes aussi diversifiés que la guerre, la querelle, la joute ou le tournoi. Elle sert même à la chasse. Les utilisations sym-boliques sont tout aussi variées : essentielle au sacre des rois ou à la cérémonie de l’adou-bement du chevalier. L’épée est également l’attribut de nombreux saints, le symbole de la justice et du pouvoir spirituel. Elle possède comme nul autre objet une part de person-nification et d’enchantement. Certaines sont devenues mythiques, notamment dans la sphère littéraire et artistique. Elles portent un nom, à l’image des célèbres « Durandal », « Excalibur » ou « Joyeuse » pour Charlemagne. Elles sont dotées de qualités extraordinaires : voler, briser un roc, rendre invincible son pro-priétaire. Leur utilisation confine à la magie, on en appelle à elles comme à Dieu. Cette idéalisation se prolonge bien au-delà du
D Samedi 24 septembre (25 personnes) Rendez-vous au musée de Cluny à 14h45 D Date limite d’inscription : vendredi 16 septembre
Tarif unique 3 8,50 e agents ADP, conjoint(e),
enfant(s) à charge3 17 e retraités et extérieurs (pris dans
la limite des places disponibles)Entrée gratuite pour les enfants (non comptabilisés dans les 25 personnes)
Le prix comprend3 Le droit d’entrée à la visite prévue dans
le programme3 L’accompagnement de conférenciers(es)3 La location des casques d’écoute
Information3 La priorité sera donnée aux personnes
n’ayant jamais participé aux sorties culturelles ; les autres ne seront retenues que dans la limite des places disponibles et en fonction du nombre de participations antérieures. Une fois les inscriptions terminées, vous recevrez de notre part, à votre domicile, une convocation vous précisant l’horaire de rendez-vous.
Il est à noter que les sorties culturelles sont, avant tout, destinées aux adultes. Les enfants, même accompagnés, ne sont pas prioritaires.
Moyen Âge, depuis les épées touaregs du XIXe siècle jusqu’à l’épée moderne de l’académi-cien Jean-Pierre Mahé. m
Source : musée de Cluny, musée national du Moyen Âge
juin 2011
épée de Saint Maurice et son fourreau
juin 2011
16 Culture D Médiathèque
Coups de cœur des médiathèques
P remière mondiale au Festival international d’opéra baroque de Beaune. Les Talents lyriques, de Christophe Rousset, donnaient le 24 juillet 2010 “Bellérophon” de Lully. Dans cette tragédie, qui n’avait pas été
jouée depuis le XVIIIe siècle, le compositeur célébrait par une allégorie mythologique la toute-puissance guerrière de Louis XIV. Restait Bélloro-phon la dernière tragédie lyrique de Lully à n’avoir pas été jouée lors de la redécouverte contemporaine du baroque. m
Martine Villalon Médiathèque Nord
L e caveau de famille, titre faussement lugubre, est la suite du Mec de la tombe d’à côté de cet auteur Suédois. Les protagonistes : “Elle”,
c’est Désirée William, bibliothécaire intello, indé-pendante et avide d’amour ; “lui”, c’est Benny Soderstrom, fermier frustre, consciencieux dans son travail et romantique. Voilà, je tente la phrase
usuelle et si dépourvue de réalité profonde : « Tout les sépare, et pourtant ils tombent amoureux ». C’est un peu « le rat des villes et le rat des champs ». Désirée s’installe alors chez Benny à la campagne. Bonjour, veaux, vaches et cochons. En l’occurrence, ce sont les vaches de Benny, à l’égard desquelles il entretient une tendresse particulière. Entre eux se pose la question du premier enfant… mais ce ne sera pas un, mais deux, voire plus ? Suspense ! Une maman débordée, entre son travail de bibliothécaire, des marmots en couche, des trajets éreintants entre ville et campagne, et à l’occasion des vaches à traire le week-end. On imagine que les rêves de la bibliothécaire n’y résistent guère. Ce livre est à deux voix, avec celle de Benny, plus pragmatique qui doit gérer sa vie paysanne, avec bien des difficultés : des vaches souvent malades, des dettes à rembourser et une fatigue constante… En filigrane, des paysages suédois qui s’étendent à perte de vue, et au loin la ferme de Benny et Désirée. Pas à côté (rien n’est près), vous avez les voisins, qui vivent entre convention et modernisme. Pétillant, jubilatoire, on savoure ce livre comme on dégusterait une bonne glace au daim (trêve de plaisanterie, il ne s’agit pas de l’animal). Ce n’est peut être pas de la grande littérature, mais peu importe. À la lecture de ce livre une question émerge : « Qu’est-ce que la famille ? » m
Myriam Jamous Médiathèque Sud
G unther Strobbe a treize ans et une vie très compliquée. Il vit avec son père et ses trois oncles chez sa grand-mère,
une sainte femme qui s’occupe de tout dans la maison. Or les hommes de la famille ne sont en rien un exemple pour le garçon. Aucun d’eux ne travaille dans cette Belgique flamande gan-grenée par le chômage. Ils utilisent leurs loisirs à monter des beuveries monumentales. Leur emploi du temps est bien chargé : une course de vélo tout nu, un tour de France éthylique, un concours du meilleur buveur de bière et des coucheries sans lendemain sont les défis qu’ils sont toujours prêts à affronter. Un jour, une assistante sociale s’inquiète de la vie du jeune Gunther... À coups de clichés et de vérités, ce film reflète une réalité quotidienne bien misérable et sans espoir si on ne prend pas son destin en main. Un film, qui ne manque pas d’humour, à voir désespéré-ment ! Le livre de Dimitri Verhulst dont le film est adapté est enfin traduit en français et disponible à la médiathèque. m
Médiathèque Sud
CDBellérophon, de J. B. Lully (coffret cartonné de 2 CD + livret. Cote : 3 LUL 35)
LivreLe caveau de famille, de Katarina Mazetti
DVDLa merditude des choses, de Félix van Groeningen
juin 2011
La culture et vousThéâtre, danse, musique, autant de petites madeleines culturelles pour les amateurs. Comme chaque année, le Comité d’entreprise vous offre la possibilité de vous faire plaisir à prix avantageux. Il ne tient qu’à vous d’en profiter…
Culture 17Abonnements J
Suivez le guide. Selon la composition familiale (validée par votre quo-tient familial), vous pourrez souscrire, du 1er juillet au 15 août, à trois abonnements par personne. Abonnements à choisir parmi les propo-sitions ci-dessous :n Théâtre de l’Athénée n Théâtre de Chaillot n La Comédie Françaisen Théâtre de la Collinen L’Odéon Théâtre de l’Europen Théâtre de la Villen L’ensemble Orchestral de ParisLes programmes de ces théâtres seront disponibles dans les billette-ries, les accueils et sur le site du CE, dès le 1er juillet, pour consultation et réservation.
Si vous préférez le théâtre ou le centre culturel de votre localité, inscri-vez-vous du 1er septembre au 31 octobre exclusivement. Vous bénéficie-rez des mêmes conditions. Si vous prenez cette option, demandez une facture pro-forma, du montant total de l’abonnement, et présentez-la aux billetteries. Un chèque du montant de la subvention, sera alors éta-bli à l’ordre du théâtre ou du centre culturel choisi. Ainsi vous n’aurez que la différence à payer. Si toutefois, vous rencontriez quelques dif-ficultés, communiquez nos coordonnées aux structures concernées !
Programmation sorties culturelles
SeptembreMusée de Cluny L’épée. Usages, mythes et symbolesSamedi 24
OctobreMusée Jacquemart-AndréFra Angélico et les maîtres de la lumière Samedi 8
Visites d’ateliers d’artistes contemporains Samedi 22
NovembreGrand PalaisLes Stein ou l’Invention de l’Art moderne Samedi 19
DécembreVisites d’ateliers d’artistes contemporains Samedi 4
Bibliothèque nationale de FranceCasanovaSamedi 10
Pour rappelLa subvention allouée est égale à 45 € pour un abonne-ment égal ou supérieur à 90 €. En deçà, 50 % du montant de l’abonnement sera à déduire.
juin 2011
18 Culture D Médiathèque
Pierre Étaix, un artiste aux multiples talentsAprès de longues années d’oubli, des problèmes judiciaires empêchant leur diffusion, les films de Pierre Étaix sont de nouveau disponibles. Votre médiathèque les tient à votre disposition. Cinq longs et trois courts métrages qui représentent le cinéma français dans ce qu’il a de plus original.
D ifficile d’imaginer un artiste plus complet que Pierre Étaix. Tour à tour : acteur, réa-lisateur, artiste de music hall, gagman,
scénariste, écrivain, peintre, verrier, illustrateur, sculpteur et surtout clown. Il rencontre Jacques Tati en 1954. Il travaillera avec lui comme des-sinateur et gagman à la préparation du film Mon Oncle. Et, sera assistant réalisateur sur le tournage en 1958. C’est à cette époque qu’il rencontre Jean-Claude Carrière qui va collaborer à plusieurs de ses films : une passion commune pour le cinéma burlesque (Laurel et Hardy, Bus-ter Keaton…) pose la première pierre d’une lon-gue « amitié/collaboration ». Les films de Pierre Étaix sont d’ailleurs fortement influencés par le cinéma muet. Il s’exprime généralement plus par les images que par les dialogues. Il tourne même souvent sans son, recréant par la suite l’ambiance sonore et les voix des films. C’est le cas de son premier court métrage, Rupture. Il prend lui-même le rôle principal, comme il le fera dans tous ses films de fiction.
« Son comique est déjà en place, visuel, poétique et loufoque, parfois léger, parfois cruel, mais jamais méchant ». Son deuxième court métrage, Heureux anni-versaire est couronné d’un Oscar en 1963. Entre temps, Pierre Étaix a réalisé son pre-mier long métrage, Le soupirant : les mésaven-tures d’un jeune bourgeois oisif à la recherche d’une épouse. C’est son film suivant que l’on peut considérer comme son « classique » : Yoyo. Un homme écartelé entre sa vie d’aristo-crate, héritage de son père, et le cirque, l’uni-vers de sa mère. Le cirque est d’ailleurs l’une des grandes passions du réalisateur. Il créera l’École nationale du Cirque en 1974, avec son épouse Annie Fratellini (elle même artiste aux multiples facettes).Discrètement, Pierre Étaix dénonce certains modes de vie et son film suivant, Tant qu’on a la santé, accentue son message. Mais le ton reste à la comédie. Dans cette suite de sketchs, on croise un insomniaque qui se plonge dans
un livre de vampire, on assiste à une séance de cinéma agitée, on rend visite à un couple obsédé par la publicité, on subit les méfaits des travaux publics et on se confronte à une campagne française pleine de pièges. La suite, Le grand amour, en 1968, son film le plus tra-ditionnel, décrit les hauts et les bas de la vie d’un couple de la petite bourgeoisie. Il y par-tage l’affiche avec Annie Fratellini.Puis, vint Pays de cocagne, en 1969. Et là, c’est la France populaire qui est au centre. Celle qui fréquente les campings l’été. Ce documen-taire est un témoignage étonnant sur une époque charnière dans l’évolution des men-talités. Une fois n’est pas coutume, la parole est largement donnée aux personnes filmées, avec des réponses souvent irrésistibles. Bref, tous les films de Pierre Étaix méritent d’être vus, et revus. Un grand méconnu. Et n’ou-bliez pas de jeter un œil attentif à son livre La grosse tête, un petit ouvrage plus en visuel qu’en mots, comme les films de son auteur. m
Laurent Bigot Médiathèque Sud
De gauche à droite J.-C. Carrière et P. étaix
juin 2011
Sections 19
D Mercredi 8 juin de 12h à 14h30
D Aïkido
Vivre en harmonie
D Aquariophilie Sud
Invitation
Pratique désormais utilisée par de nombreux aquariums publics et amateurs avertis, le
bouturage évite les prélèvement sur la nature et permet de nombreux échanges. En mer,
l’implantation de ces boutures, après d’importantes intempéries dévastatrices, s’effectue
par des biologistes spécialisés. Grâce à nos installations spécifiques : éclairage puissant,
écumeur performant, eau de mer préparée avec de l’eau « osmosée » sans nitrates et
maintenue à 25° avec un refroidisseur, etc., et le savoir-faire de nos bénévoles, de notables
réussites sont constatées.
Venez vous en rendre compte et, participez à notre aventure. À tout niveau, même
débutant, notre importante exposition aquariophilie de 50 000 litres a besoin de bonnes
volontés ! m
Contacts : Christian Bordet au 01 49 75 54 89, Stephen Chasseriaud au 01 49 75 14 93 Jean-Chris-
tophe Friot au 01 74 22 59 14 ou Patrick Mignat au 06 70 83 70 40
Nous vous invitons à venir visiter les coulisses de la section Aquariophilie
et découvrir nos bacs de boutures de coraux.
L es cours d’aïkido sont dispensés le lundi et mercredi de 17h30 à 19h30 au dojo du gymnase d’Orly. Adrien Baya, qui présentera son 4ème DAN en juin prochain, est notre professeur, diplômé état BESS
1er degré. Professeur depuis 1990, il a formé plus d’une centaine d’élèves dans cette discipline, dont certains ont maintenant atteint le 3ème DAN. La section Aïkido regroupe en ce moment treize membres dont deux
femmes. Le cadet a 16 ans (2e Kyu) et le doyen 73 ans (3e DAN). Pour s’ins-crire à la section, vous devez fournir un certificat médical d’aptitude à la pratique de l’Aïkido, la fiche du quotient familial, une photo, et un chèque. La brochure d’inscription ainsi que les tarifs sont disponibles aux accueils et permanences du CE. m
Contacts : Laurent Meillac au 01 49 75 69 17 ou Olivier Brillant au 01 49 75 72 44
L’Aïkido est un art martial utilisant la self-défense pour répondre à une agression. Le principe consiste à accompagner l’attaque pour la rendre inoffensive. Une multitude de tech-
niques permet de diriger les frappes ou les saisies et de les conduire la plupart du temps au moyen de rotations
dans des directions biens précises. Le travail d’at-taquant n’est pas écarté.
Cette discipline se pratique debout ou à genoux, à mains nues ou avec des armes en bois (sabre,
bâton, couteau). Les techniques utilisées pour répondre à l’agresseur mettent en jeu les articulations supérieures, poignets, coudes, épaules afin de projeter ou d’immobiliser l’attaquant. La force ne rentre pas dans la logique de la discipline. Elle est remplacée par la souplesse, la précision du geste et la
fluidité dans la pratique, la concentra-tion. Il n’y a pas de compétition.
L’Aïkido développe des qualités bien spécifiques comme la per-ception de l’adversaire et de son environnement ou la prise de distance face aux évènements. Le travail sur la respiration per-met de trouver le calme intérieur, de sentir le bien-être après chaque séance.
L’Aïkido permet une bonne adaptation à l’effort et un équilibre harmonieux. Cette discipline développe la maîtrise de soi en canalisant l’énergie. Hommes, femmes et enfants pratiquent à tout âge et avec des besoins spécifiques leur permettant d’ap-prendre pour de longues années de pratique une discipline qui répond à leurs attentes.
L’enseignement est porté par un haut niveau technique assu-rant une progression constante et conduisant le pratiquant qui le souhaite à se présenter aux examens de ceintures noires. (DAN en japonais).
Maître Morihei Ueshiba (1883-1969) créa cet art martial au Japon. L’universalité de la discipline et les valeurs développées ont été reconnues de par le monde.le monde.
La cuisine provençaleEn juin, nos restaurants vous proposent une sélection de bonnes recettes de tradition pour vous projeter dans une ambiance de petit port du bord de mer. Et, vous donner un avant goût des vacances…
La Provence, c’est tout un folklore. Les marchés provençaux multicolores, les épices emportées par le vent, les étals de poisson... et, les déjeuners au soleil.Ce coin de France a bien sûr ses produits : huile d’olive, tomates, aubergines, courgettes, fenouil, basilic, sauge, laurier, thym et ail. Ses cuisiniers en savent quelque chose, eux qui ont un savoir-faire et inventent chaque jour de nouvelles recettes… qui sans doute se transmettront « avé l’accent ! »
La vie de votre CE en quelques clics www.ceadp.com
Vous ne disposez que d’une liaison intranet ? Voici le chemin à partir du portail d’ADP.
Allez sur l’onglet bleu à gauche “Représentants du personnel - CHSCT - CE”, puis cliquez sur “La vie de votre CE en un clic”.
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