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L’impact du digital sur les organisations Lancement de l’Innovation Factory 28 février 2013

Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

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La révolution digitale, c’est la matérialisation d’un univers complexe qui assiègerait, tout d’un coup, la rationalité des organisations. Il est complexe parce qu’il inclut et fait dialoguer les clients, les collaborateurs, les parties prenantes, l’environnement, les produits, le business model… Une complexité qui fait à la fois peur et envie. Par où commencer ? Que vont en penser les autres ? Ca rapporte quoi au juste ? Il faut aller vite ! Il est urgent d’attendre ! … Consultez dès maintenant l'étude réalisée par Kea & Partners et OpinionWay

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Page 1: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

L’impact du digital sur

les organisations

Lancement de l’Innovation Factory

28 février 2013

Page 2: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

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Page 3: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

3

« La réforme oui, la chienlit non ! »

Si la révolution digitale avait un slogan, il serait « Partout, tout le temps et pour

tout le monde ». L’intelligence devient collective, l’information circule

horizontalement, le savoir se partage. Les technologies se font plus humaines,

plus mobiles. La valeur se déplace : elle devient moins matérielle et plus

immatérielle.

Le mouvement s’accélère, s’amplifie, devient protéiforme au gré des

innovations technologiques et de l’imagination grandissante d’un nombre

d’acteurs lui-même grandissant. Exponentiel, insaisissable, vertigineux !

Comment, lorsqu’on est dirigeant d’une entreprise héritière d’un modèle

économique plus que centenaire, peut-on vivre un tel phénomène si ce n’est

comme un désordre ? Comment ne pas comprendre certains des résultats

surprenants présentés dans cette étude ?

La révolution digitale, c’est la matérialisation d’un univers complexe qui

assiégerait, tout d’un coup, la rationalité des organisations. Il est complexe

parce qu’il inclut et fait dialoguer les clients, les collaborateurs, les parties

prenantes, l’environnement, les produits, le business model, ... Une complexité

qui fait à la fois peur et envie.

Par où commencer ? Que vont en penser les autres ? Ca rapporte quoi au

juste ? Il faut aller vite ! Il est urgent d’attendre !...

La Révolution digitale va faire le tri entre deux catégories d’organisations :

- Celles qui vont prendre le sujet de façon rationnelle, méthodique,

séquentielle. Celles qui vont tenter de découper la complexité et de

l’ingurgiter par les voies de décision et les méthodes de travail classiques.

Elles perdront.

- Celles qui vont réussir à embrasser d’un seul coup la myriade de facettes de

cette complexité. Celles qui vont se rendre aussi protéiformes que leur

environnement, aussi changeantes que le changement lui-même. Elles

gagneront.

Kea&Partners

Charles de Gaulle – 19 mai 1968

Page 4: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

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Page 5: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

5

Sommaire

Méthodologie de l’étude p. 6

Analyse détaillée par thème p. 8

- Place de la fonction digitale dans l’organisation

- Activité des salariés sur les réseaux sociaux

- Travail à distance

- Processus de décision

- Sensibilisation des cadres au digital

- Outils collaboratifs en faveur de l’open innovation

Présentations de Kea&Partners et OpionionWay p. 20

Page 6: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

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Page 7: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

7

Méthodologie de l’étude

L’étude Exclusive OpinionWay pour l’Innovation Factory, a été réalisée par

téléphone, du 22/01/2013 au 06/02/2013, auprès d’un échantillon de 750 cadres

dirigeant et dirigeants d’entreprises (PDG / directeur général, directeurs d’activité,

co-gérants / co-responsables d’activités, associés, …) au sein d’entreprises

françaises.

Décomposition de l’échantillon par fonction

10

152

62

246

280

Associé

Cogérant / coresponsablede l'activité

Directeur/Chef d'agence

PDG/Directeur Général

Responsable de l'activité

Décomposition de l’échantillon par taille

289

192

162

107 0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

50 à 249 salariés

250 salariés et plus

Décomposition de l’échantillon par secteur d’activité

151

119

49

141

30

147

113

Commerce

Construction

Enseignement

Industrie

Santé

Services aux entreprises

Services aux particuliers

L’échantillon a ensuite été redressé pour garantir la représentativité des réponses

en termes de secteur et de taille salariale.

Page 8: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

8

Pour aller plus loin…

Les activités digitales se sont souvent développées dans de petites structures dédiées

hors de l’organisation en place. Plusieurs bonnes raisons à cela : maitrise des risques,

changement de rythme pour le développement, intégration de nouveaux métiers, …

Aujourd’hui les entreprises et les consommateurs ont muri sur le digital, la plupart des

entreprises ont fait évoluer leur organisation vers plus de transversalité ou projettent de le

faire.

Derrière ce constat se cache une réalité plus nuancée, particulièrement dans la difficulté

rencontrée par de nombreuses directions SI et directions Commerciales à intégrer cette

nouvelle dimension digitale.

Par ailleurs, au-delà de la transversalité de la structure, d’autres facteurs concourent à la

performance multicanal des organisations digitales : le leadership digital de sa direction,

l’existence d’instances transverses, le partage de processus ou règles d’arbitrages clairs,

l’acquisition de compétences et la diffusion de la culture du digital.

L'organisation interne de

votre entreprise sépare-t-

elle la gestion du canal

internet des autres

canaux dans des services

différents ?

27%

73%

Oui Non

Parmi les entreprises interrogées qui affirment vendre leurs

produits / services sur internet et d’autres canaux

73% des entreprises vendant leurs prestations à la fois par internet et par

d’autres canaux déclarent ne pas séparer la gestion de leurs canaux dans des

services différents.

A terme, pensez-vous que

votre entreprise gagnerait

à transformer son

organisation pour traiter

les canaux internet et

traditionnels de façon

transversale ?

Parmi les 27% des entreprises interrogées qui affirment gérer de

façon séparée leur canal internet et leurs autres canaux de vente

64% des entreprises qui affirment séparer la gestion de leur canal internet de

celle des autres canaux ne souhaitent pas aller vers plus de transversalité.

36% 64%

Oui Non

Place de la fonction digitale dans l’organisation

Page 9: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

9

Des disparités existent entre secteurs quant au fait de séparer la gestion d’internet

des autres canaux de vente.

La gestion du canal internet et celle des autres canaux est plus intégrée dans les

entreprises de plus petite taille.

A l’inverse, ce sont les grandes entreprises qui se disent les plus favorables à une

intégration, à terme, de la gestion de leurs différents canaux.

55%

79%

97%

90%

51%

76%

78%

45%

21%

3%

10%

49%

24%

22%

Commerce

Construction

Enseignement

Industrie

Santé

Services aux entreprises

Services aux particuliers

Non Oui

L'organisation interne de

votre entreprise sépare-t-

elle la gestion du canal

internet des autres

canaux (dans des

services différents) ?

74%

65%

60%

57%

26%

35%

40%

43%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

50 à 249 salariés

250 salariés et plus

Non Oui

L'organisation interne de

votre entreprise sépare-t-

elle la gestion du canal

internet des autres

canaux dans des

services différents ?

64%

68%

15%

24%

36%

32%

81%

68%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

50 à 249 salariés

250 salariés et plus

Non Oui

A terme, pensez-vous

que votre entreprise

gagnerait à transformer

son organisation pour

traiter les canaux internet

et traditionnels de façon

transversale ?

Parmi les entreprises interrogées qui affirment gérer de façon

séparée leur canal internet et leurs autres canaux de vente

Place de la fonction digitale dans l’organisation

Page 10: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

10

Malgré l’influence croissante des médias sociaux, 58% des entreprises

interrogées jugent l’activité de leurs salariés sur les réseaux sociaux comme

neutre vis-à-vis de leur réputation (74% dans la construction et 80% dans la

santé).

Estimez-vous que

l'activité de vos

salariés sur les

réseaux sociaux

représente pour la

réputation de votre

entreprise …

Votre entreprise a-t-

elle mis en place

des mesures par

rapport à l'usage

des réseaux

sociaux par vos

salariés ?

7%

8%

5%

80%

Oui, des règles et contraintespour limiter le risque

Oui, des mesures pour en tirerdes bénéfices

Les deux

Non, je n'ai rien mis en placeà ce stade

Une très grande majorité (80%) des entreprises qui se sentent concernées par

l’enjeu de réputation ne prennent aucune mesure, que ce soit pour en limiter le

risque ou pour en tirer des bénéfices.

8%

24%

10%

58%

Une opportunité à saisir

Un risque à maitriser

Les deux

Ni l'un ni l'autre

Pour aller plus loin…

Le développement des médias sociaux a entrainé une profonde mutation des circuits de

production et d’échange d’informations : de plus en plus d’individus, salariés et

consommateurs, participent à la diffusion d’information au sein de leurs réseaux

personnels et professionnels.

Cette diffusion, qui échappe aux entreprises, constitue pourtant à la fois une menace

(pouvoir de nuisance) et une opportunité (pouvoir de prescription). Et même si la majorité

des entreprises interrogées ne perçoivent pas l’enjeu de ce phénomène, il nous parait

nécessaire de s’en préoccuper.

L’activité sur les médias sociaux relevant de la sphère privée, l’entreprise doit donc

développer des nouveaux modes de management, moins dans la contrainte et davantage

dans l’animation.

Activité des salariés sur les réseaux sociaux

Page 11: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

11

Parmi les 42% d’entreprises qui perçoivent l’enjeu, plus de la moitié n’y voient

aucune opportunité, encore plus fortement dans l’enseignement et la santé.

Seulement 5,5% des entreprises interrogées prennent des mesures pour tirer

des bénéfices de l’activité de leurs salariés sur les réseaux sociaux.

56%

69%

77%

57%

100%

47%

56%

44%

31%

23%

43%

53%

44%

Commerce

Construction

Enseignement

Industrie

Santé

Services aux entreprises

Services aux particuliers

Non Oui

81%

68%

64%

52%

19%

32%

36%

48%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

50 à 249 salariés

250 salariés et plus

Non Oui

Votre entreprise a-t-elle

mis en place des

mesures par rapport à

l'usage des réseaux

sociaux par vos

salariés ?

Quel type de mesure

votre entreprise a-t-elle

mis en place par rapport

à l'usage des réseaux

sociaux par vos salariés

?

3% 3%

2%

34% 58%

Oui, des règles et contraintespour limiter le risqueOui, des mesures pour en tirerdes bénéficesLes deux

Non, je n'ai rien mis en place à cestadeNSP (pas un enjeu)

80% des entreprises qui se sentent concernées par l’enjeu de réputation ne

prennent aucune mesure, résultat plus nuancé pour les entreprises de plus de

10 salariés.

Activité des salariés sur les réseaux sociaux

Considérez-vous que

l’usage des réseaux

sociaux par vos salariés

constitue une

opportunité ?

Page 12: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

12

58% des entreprises interrogées affirment avoir fait évoluer leurs processus

décisionnels vers d’avantage de consultation de leurs parties prenantes, et en

particulier de leurs salariés. Ceci est vrai quel que soit le secteur d’activité de

l’entreprise.

Au cours des dernières

années, diriez-vous que

vos processus de

décision ont évolué

vers davantage de

consultation des parties

prenantes comme les

salariés ?

58% 42%

Oui Non

Pensez-vous que votre

entreprise gagnerait à

inclure plus de

consultation des

parties prenantes dans

les processus

décisionnels ?

39% 60%

1%

Oui Non NSP

60% des entreprises interrogées estiment ne pas devoir aller plus loin dans la

participation de leurs salariés et autres parties prenantes à leurs processus de

décision.

Pour aller plus loin…

A l’instar de l’apparition de nouveaux comportements consultatifs rendus possibles par le

développement des réseaux sociaux, la majorité des entreprises semblent vouloir

impliquer davantage leurs parties prenantes dans les processus de décision.

Quelles que soient les motivations des dirigeants, ce choix est un facteur de mobilisation

du corps social, et constitue selon nous un facteur de performance et de réussite d’une

transformation.

Même si cela fait évoluer la place du manager, celui-ci garde un rôle essentiel : arbitrer

les décisions après concertation et insuffler de la nouveauté dans le débat au sein de son

équipe.

Processus de décision

Page 13: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

13

Parmi les entreprises dont les processus de décision sont

devenus plus consultatifs, environ la moitié (55% tous secteurs

confondus) souhaitent qu’ils le soient encore plus.

Parmi les entreprises dont les processus de décision n’ont pas

changé ces dernières années, plus de 75% ne souhaitent pas que

la situation évolue (89% dans le commerce, 95% dans la

construction)

55%

75%

En fonction de leur secteur d’activité, toutes les entreprises n’ont pas les mêmes

intentions quant à l’évolution de leurs processus de prise de décision

Les TPE (entreprises de moins de 10 salariés) apparaissent plus conservatrices

que les autres, tant en termes d’évolution observée de leur processus de décision

que d’évolution souhaitée

43%

26%

22%

34%

57%

74%

78%

66%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

50 à 249 salariés

250 salariés et…

Non Oui

Pensez-vous que vos processus de décisions

sont devenus plus consultatifs ?

62%

47%

46%

45%

38%

53%

54%

55%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

50 à 249…

250 salariés et…

Non Oui

Pensez-vous que

votre entreprise

gagnerait à inclure

plus de

consultation des

parties prenantes

dans les processus

décisionnels ?

72%

79%

61%

62%

51%

47%

61%

28%

21%

39%

38%

49%

53%

39%

Commerce

Construction

Enseignement

Industrie

Santé

Services aux entreprises

Services aux particuliers

Non Oui

Processus de décision

Souhaitez-vous que vos processus de

décision deviennent plus consultatifs ?

Page 14: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

14

Moins d’un tiers des entreprises françaises déclarent avoir des salariés qui

travaillent une partie de leur temps à distance. Ce chiffre dépasse les 40%

uniquement dans le secteur des services aux particuliers.

Votre entreprise compte-

t-elle des salariés qui

travaillent au moins

une partie de leur

temps en dehors de

l'entreprise ?

Pour aller plus loin…

La révolution digitale, c’est aussi le développement des outils de la mobilité.

Même si aujourd’hui le télétravail n’est une préoccupation que pour une minorité des

entreprises, le management de salariés de plus en plus nomades représente un enjeu

d’actualité pour tout le monde.

L’enjeu pour l’entreprise est de réussir à entretenir le sentiment d’appartenance de ces

personnes et pour les salariés de savoir fixer une limite acceptable entre vie privée et vie

professionnelle.

Des mesures ont-

elles été mises en

place dans votre

entreprise pour

adapter le

management à ces

situations de

mobilité ?

43% 6%

51%

Non, et ce n'est pas en projet Non, mais c'est en projet

Oui, nous l'avons déjà fait

Parmi les entreprises dont une partie des salariés travaille à distance, 57% ont

mis en place des mesures pour adapter leur management ou ont prévu de le faire.

32%

68%

Oui Non

Travail à distance

Page 15: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

15

50%

43%

38%

33%

50%

57%

62%

67%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

50 à 249 salariés

Plus de 250 salariés

Non Oui

Une partie de vos

salariés travaille à

distance.

Des mesures ont-elles

été mises en place

dans votre entreprise

pour adapter le

management à ces

situations de mobilité ?

Vous n’avez pas mis en place

de mesure. Pensez-vous que

ce serait une idée intéressante

pour votre entreprise ?

La proportion d’entreprises qui ont déjà pris des mesures augmentent avec la

taille de l’entreprise

72%

28%

Non Oui

90%

87%

74%

72%

64%

62%

59%

10%

13%

26%

28%

36%

38%

41%

Santé

Enseignement

Construction

Commerce

Industrie

Services aux entreprises

Services aux particuliers

Non Oui

Votre entreprise

compte-t-elle des

salariés qui travaillent

au moins

une partie de leur

temps en dehors de

l'entreprise ?

Le secteur des services est celui où le travail à distance semble être le plus

répandu.

Travail à distance

Parmi les entreprises dont une partie des salariés travaille à distance et qui

n’ont pas encore mis de mesures en place, à peine plus d’un quart (28%)

trouverait intéressant de mettre de telles mesures en place.

Page 16: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

16

Deux tiers des entreprises françaises ne jugent pas utiles de sensibiliser leurs

cadres aux outils digitaux (réseaux sociaux, eCRM, blog, optimisation de sites...)

Pensez-vous qu'il serait

utile pour votre

entreprise de sensibiliser

les cadres aux outils

digitaux et à leur

potentiel pour

l'entreprise (réseaux

sociaux, eCRM, blog,

optimisation de sites...) ?

Pour aller plus loin…

La transformation digitale des entreprises a naturellement fait émerger de nouveaux

métiers et de nouvelles expertises, parmi lesquels les « community managers » ne sont

qu’un exemple.

La difficulté pour les entreprises n’est pas seulement de recruter, d’intégrer et de fidéliser

ces nouvelles compétences. C’est aussi, selon nous, de s’assurer que toutes les

fonctions et tous les managers de l’entreprise « pensent digital ».

Aucun manager, quelle que soit son activité, ne peut plus faire l’impasse sur le digital et

les solutions qu’il propose : il doit les maitriser, ou a minima les comprendre s’il veut

pouvoir dialoguer avec ses collaborateurs, et développer leur performance.

A en croire les résultats de l’enquête, les entreprises françaises n’en ont pas encore pris

conscience, mais…

… parler digital sera bientôt tout aussi essentiel que de parler anglais aujourd’hui.

32%

66%

2%

Oui Non NSP

Sensibilisation des cadres au digital

Page 17: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

17

66%

63%

51%

53%

32%

35%

46%

44%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

50 à 249 salariés

Plus de 250 salariés

Non Oui NSP

Pensez-vous qu'il serait

utile pour votre entreprise

de sensibiliser les cadres

aux outils digitaux et à leur

potentiel pour l'entreprise

(réseaux sociaux, eCRM,

blog, optimisation de

sites...) ?

Ce résultat varie également peu en fonction de la taille des entreprises (entre

50% et 66%), même si les entreprises de plus de 50 salariés semblent y voir un

intérêt sensiblement plus important.

Pensez-vous qu'il

serait utile pour votre

entreprise de

sensibiliser les

cadres aux outils

digitaux et à leur

potentiel pour

l'entreprise (réseaux

sociaux, eCRM, blog,

optimisation de

sites...) ?

Quelque soit le secteur, la majorité des entreprises (entre 60% et 75%) ne

perçoit pas réellement l’utilité de sensibiliser leurs cadres aux outils digitaux et

à ce qu’il est possible d’en faire.

61%

70%

73%

68%

64%

62%

64%

39%

30%

25%

29%

36%

35%

33%

Santé

Enseignement

Construction

Commerce

Industrie

Services aux entreprises

Services aux particuliers

Non Oui NSP

Sensibilisation des cadres au digital

Page 18: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

18

Pour aller plus loin…

Le digital permet de s’ouvrir à une source inépuisable de créativité et d’expertise et

pourtant une large majorité des entreprises ne semble pas vouloir profiter de cette

opportunité, tout du moins au moyen de plateformes collaboratives.

Les plateformes collaboratives ne sont qu’une solution pour accélérer et enrichir le

processus d’innovation. Quelle que soit la solution, elle doit permettre d’écouter

davantage la voix du client (usages, comportements, besoins), de rencontrer et de

collaborer avec les expertises les plus adaptées et de capter les tendances.

Ceci est d’autant plus vrai pour l’innovation digitale qui combine des cycles courts

d’innovation, des besoins en expertises nouvelles et des usages clients en constante

transformation.

Dans votre entreprise,

utilise-t-on des outils

numériques collaboratifs

pour que des personnes

extérieures à l'entreprise

puissent contribuer au

processus d'innovation ?

17%

5%

78%

Oui, nous l'avons déjà fait

Non, mais c'est en projet

Non, et ce n'est pas en projet

83% des entreprises interrogées affirment ne pas utiliser d’outils collaboratifs

avec l’extérieur dans leur processus d’innovation.

78% affirment que ce n’est pas en projet.

Pensez-vous que ce

serait une idée

intéressante pour votre

entreprise ?

Parmi les 83% des entreprises qui n’ont pas mis en place d’outil d’innovation

collaborative, 71% considèrent que ce n’est pas une idée intéressante.

Parmi les 83% des entreprises n’ayant pas encore mis en

place d’outils d’innovation collaborative

26%

71%

3%

Oui Non NSP

Outils collaboratifs en faveur de l’open innovation

Page 19: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

19

Les entreprises de plus de 50 salariés sont celles qui ont le plus développé les

outils d’innovation collaborative.

Parmi les entreprises qui n’ont pas encore mis ces outils en place, ce sont encore

les entreprises de plus de 50 salariés qui se disent les plus favorables à le faire.

Dans votre entreprise,

utilise-t-on des outils

numériques

collaboratifs pour que

des personnes

extérieures à

l'entreprise puissent

contribuer au

processus

d'innovation ?

79%

71%

69%

5%

7%

8%

16%

21%

22%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

Plus de 50 salariés

Non, et ce n'est pas en projet

Non, mais c'est en projet

Oui, nous l'avons déjà fait

Pensez-vous que ce

serait une idée

intéressante pour

votre entreprise ?

Parmi les 83% des entreprises n’ayant pas encore mis en

place d’outils d’innovation collaborative

71%

67%

60%

25%

31%

34%

3%

3%

6%

0 à 9 salariés

10 à 49 salariés

Plus de 50 salariés

Non Oui NSP

Outils collaboratifs en faveur de l’open innovation

Page 20: Les entreprises doivent accélérer leur e-mutation

20

Kea&Partners est une société de conseil en stratégie et management.

Grâce à notre approche singulière et innovante de la transformation, nous accompagnons

les dirigeants dans l’élaboration de leur stratégie et la mise en mouvement de leurs équipes

pour créer avec eux de la valeur durable.

Nous mettons à leur service des savoir-faire techniques larges afin de les aider à infléchir

les comportements, à atteindre l’excellence opérationnelle et assurer la pérennité des

changements engagés.

Nous sommes à l’initiative de la constitution d’un groupe de 300 consultants en Europe :

The Transformation Alliance.

Kea&Partners est partenaire associé de l’Innovation Factory

« Le digital (mobilité, réseaux sociaux, équipements numériques, …) est aujourd’hui,

comme le fut internet avant lui, un facteur de transformation en profondeur des

organisations sur toutes leurs dimensions : métier, relation client , structure, flux, lien

entreprise / salarié, ...

A ce titre, Kea&Partners accompagne ses clients dans l’élaboration et la mise en œuvre de

leurs stratégie digitale de développement ainsi que sur les changements que cela implique

en matière de management ou d’organisation.

Kea&Partners a souhaité rejoindre l’Innovation Factory à la fois pour bénéficier de la

réunion d’expertise et de créativité que le Cluster a pour ambition d’être et pour apporter à

ses membres son savoir-faire en matière de transformation des organisations, de mise en

mouvement des hommes et compétences techniques et sectorielles. »

L’institut OpinionWay a été créé en mars 2000 avec une idée fondatrice simple :

rendre plus innovant le marché des études.

OpinionWay intervient dans de nombreux domaines dont la compréhension des marchés,

les problématiques de marques, le développement de produits et de services… auprès de

cibles BtoB ou BtoC pour des clients à forte notoriété.

Outre les NTRD (Nouvelles Techniques de Recueil de Données), OpinionWay maîtrise et

utilise les métiers du RichMédia, de l’ethnomarketing et de la Data Visualization pour rendre

utiles et facilement appropriables les résultats de ses enquêtes.