Upload
lethuan
View
214
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
Ça y est, notre site web a vu le jour !
Vous y trouverez tout ce que vous voulez savoir
sur la Maison Médicale La Brèche:
son histoire, son équipe, ses activités, les horaires, …
A bientôt sur
www.labreche.be
Trimestriel n°61 09/14 Edit. resp. : Renard Martine
Le Magazine des patients et soignants de la Maison Médicale La Brèche
BELGIQUE-BELGIE
P.P.
6200 CHATELET 1
P 501207
Place Wilson, 126
6200 Châtelineau : 071/ 39.79.65.
: 071/ 39.79.97.
Nous souhaitons la bienvenue à notre nouvel assistant médecin, Pierric Catinus.
Vous avez peut être déjà pu le rencontrer lors de son stage en début de cette année.
Nous comptons sur vous pour lui
réserver un bon accueil !
La bronchiolite est une maladie virale très contagieuse touchant chaque hiver environ 30% des nourrissons dont plus de la moitié sont des enfants de moins de 6 mois. Le Virus Respiratoire Syncitial (VRS) est le principal agent infectieux de cette maladie. La bronchiolite débute géné-ralement vers la mi-octobre pour se terminer en fin d'hiver. Son pic est atteint au mois de décembre. Cette infection qui atteint les petites bronches se guérit en 5 à 10 jours environ. Les garçons représentent environ 60% des bébés atteints de bronchio-lites.
Symptômes
La bronchiolite peut débuter par une rhinite virale. Puis apparaissent des épisodes de toux sèche devenant de plus en plus grasse et s'aggravant peu à peu, ce qui provoque un encombrement et une gène respiratoire importante. L'enfant présente ainsi une respiration sifflante, une fièvre modérée, une fatigue, voire un épuisement. La toux peut se prolonger pendant 2 à 3 semaines. Devant l'apparition de ces symptômes, il est important de consulter rapi-dement son médecin afin d'éviter l'apparition de complications respira-toires pouvant nécessiter une hospitalisation.
Que faire quand bébé a une bronchiolite
Aérer la chambre du bébé. Ne pas échanger les biberons, tétines, ... Il est conseillé de porter un masque si les parents ont une rhinite
virale.
11 11
Il faut penser à les varier et à les choisir selon la saison. Ceci vous per-
mettra de les manger frais et à un prix raisonnable.
Conservez les dans un endroit sec et à l’abri de la lumière (cave, frigo)
afin de préserver au maximum leurs vitamines. (Remarque : les fruits et
légumes vendus en vrac sont généralement moins chers que ceux
emballés.)
En période hivernale, lorsque la variété est moindre, pensez aux
légumes surgelés (non préparés) et aux conserves (non préparées).
Les fruits en conserve devront être choisis sans adjonction de sucre,
c’est-à-dire « au jus » ou « au naturel ».
Les légumes feront partie de nos repas tels que le diner et le
souper. Quant aux fruits, ils feront plutôt partie des desserts et
collations.
Si vous avez l’habitude de prendre un jus d’orange au petit
déjeuner, pensez plutôt à manger le fruit « entier » au lieu
d’en extraire le jus. Vous garderez ainsi l’avantage de
consommer des fibres.
En résumé :
1. Achetez des fruits et légumes de saison.
2. Variez vos choix.
3. N’hésitez pas à prendre un fruit entier au petit déjeuner.
4. Prenez un fruit en collation pour éviter le grignotage.
5. Les fruits peuvent aussi se consommer en compote.
6. Les repas du midi et du soir doivent être complétés par une ration
de légumes (en quantité suffisante).
7. Variez les modes de préparation et les recettes.
8. Assaisonnez-les avec des herbes aromatiques, des épices ou du jus
de citron pour les crudités. Evitez le sel et limitez au maximum
l’ajout de matière grasse (beurre, margarine, huile) dans leur pré-
paration.
9. Attention : les pommes de terre ne font pas partie des légumes. 11
Les fruits et légumes sont des aliments riches en vitamines et
minéraux. Les éléments nutritifs sont indispensables au bon fonc-
tionnement de notre organisme.
Les fibres alimentaires contenues dans les fruits et légumes sont
nécessaires à maintenir un transit intestinal normal et à lutter
contre la constipation.
Les aliments pauvres en calories sont incontournables. Si nous
voulons équilibrer notre alimentation au mieux, ils doivent faire
partie de notre alimentation de manière quotidienne.
Idéalement, nous devons manger 5 fruits et légumes chaque jour ;
c’est-à-dire :
2 fruits (soit 2 rations d’environ 150g chacune)
1 ration de légumes cuits (soit ½ assiette)
1 ration de crudités (soit l’équivalent d’un bol)
1 potage
tendance à basculer vers l’arrière.
- 10% du poids de l’enfant est le poids maximum du cartable : lorsque le cartable est prêt, pesez votre enfant d’abord sans son cartable, ensuite lorsqu’il le porte. Si la différence de poids est largement de plus de 10% par rapport au poids de l’enfant, il faut trouver une solution pour supprimer quelques affaires.
- Ne négligez pas le poids et la place des collations : boissons et boîtes à tartines dans le cartable. La présence de fontaines à eau dans l’école et la prise de repas chaud peuvent diminuer ce poids. Evitez de multiplier inutilement collations et boissons.
3
Ne pas fumer en sa présence et ne pas l'emmener dans des endroits enfumés.
Coucher le bébé sur le dos et mettre un coussin sous l'oreiller. Lui donner à boire régulièrement. Bien vérifier que le bébé s'alimente correctement et prend bien ses
biberons. Désinfecter son nez avec du sérum physiologique. Utiliser des mouchoirs jetables. Ne pas le remettre en milieu d’accueil avant la fin des manifestations. Surveiller la respiration du bébé, sa température et l'absence de
diarrhée.
Kinésithérapie respiratoire
La kinésithérapie respiratoire demeure le traitement primordial de la bron-chiolite. Elle a pour objet d’aider le bébé à évacuer les sécrétions bron-chiques. Le kinésithérapeute effectue des mouvements sur la cage thoracique et l'abdomen du bébé lorsqu'il expire. Ce geste permet de faire remonter les sécrétions de la trachée vers la bouche de l'enfant qui réussit ensuite à les expectorer.
Le Dr Stefan Alina sera en congé
du 08/09 au 19/09 inclus
Le Dr Van Laethem Didier sera en congé
du 25/10 au 31/10 inclus
21 septembre 2014
Place Wilson à Châtelineau Complexe Sportif
Concrètement, c'est quoi « Sportez-vous mieux » ?
LA JOURNÉE DÉDIÉE AU SPORT, à la santé et à la convivialité organisée par le Plan de Cohésion Sociale de la Ville de
Châtelet !
Le sport permet à la fois d'avoir une bonne hygiène de vie, de faire des rencontres, de se changer les idées, bref de se
sentir mieux : autant d'atouts qui nous semblent essentiels à diffuser auprès de la population.
Une journée qui propose des activités pour tous les âges : de la psychomotricité pour les tout-petits aux séances de
gym douce ou de relaxation adaptées aux seniors, en passant par de nombreux sports comme la zumba,
le taekwondo, la marche et bien d'autres.
Une journée gratuite où l'ambiance est conviviale.
------
Infos – contacts
Maison Médicale La Brèche par téléphone au 071/39.79.65
- - site internet (www.labreche.be)
Ville de Châtelet - Plan de Cohésion Sociale Place Wilson 116 – Châtelineau / [email protected] /
071 38. 15. 72 – 0497 52. 86. 11
9 9
- Un bon cartable doit avoir une structure solide et être rembourré dans le dos pour protéger celui de l’enfant des coins de fardes et cahiers. Vérifiez la solidité des coutures, du tissu ou de la toile, des fixations des sangles, du fond et du rabat pour la fermeture. Veillez à ce que le système de fermeture ne soit pas trop compli-qué pour l’enfant, mais solide pour ne pas s’ouvrir à tout bout de champ. Les sangles doivent en outre être réglables pour s’adapter à l’enfant.
- Le cartable doit être léger à vide.
- Un cartable bien rangé préservera le dos. Prévoyez un cartable à compartiments logiques et pratiques.
- Si le cartable a des bandes réfléchissantes de sécurité, c’est mieux.
- Enfin, l’achat d’un cartable se fait en principe pour plusieurs an-nées. Il est donc important d’effectuer un bon choix. Si votre en-fant se dirige vers le genre de cartable « in » dans un magasin, expliquez-lui cela, montrez-lui les défauts et parlez-lui des consé-quences pour son dos d’un cartable de mauvaise qualité.
Pour préparer un cartable malin…
- Trier le contenu du cartable : théoriquement, l’écolier n’a pas besoin tous les jours des mêmes affaires. Avec lui, voyez le programme du lendemain et apprenez-lui à ne prendre que ce qui est nécessaire, en fonction des cours. Par ailleurs, l’enfant, surtout plus jeune, a tendance à amener, même en cachette, des jouets, ou à ramener à l’école divers objets inutiles. Vérifiez cela avec lui.
- Ranger : L’organisation du cartable n’est pas anodine. Pour pré-server le dos, placez les objets plus lourds plus près du dos. Ainsi, ils n’auront pas tendance à faire basculer le cartable vers l’arrière et l’enfant devra faire moins d’efforts pour se tenir droit. Répar-tissez aussi les objets afin d’équilibrer le cartable.
- Ajuster les sangles : il faut que le cartable soit tout contre le dos, son sommet à hauteur des épaules. Sinon, chargé, il aura
Si nécessaire, des examens complémentaires (par exemple une échogra-phie) peuvent être réalisés à la demande du radiologue.
Savez-vous que grâce au dépistage et à l’amélioration des traitements, la mortalité liée au cancer du sein diminue régulièrement ?
Pour en savoir plus, nous vous invitons à un ATELIER SANTÉ AU
DÉBUT DU MOIS D’OCTOBRE. Vous pourrez y poser toutes les questions qui vous préoccupent sur le dépistage du cancer du
sein. La date précise sera affichée dans la salle d’attente de la mai-
son médicale. N’hésitez pas à vous renseigner à l’accueil.
Le poids du cartable des enfants peut représenter jusqu’à un tiers de leur poids. C’est beaucoup trop, au risque de déformer leur dos et de les mener, à plus long terme, aux lombalgies et douleurs chroniques. Pourtant, il y a moyen de prendre de bonnes habitudes pour préserver le dos de nos petits.
Comment bien choisir un cartable ?
- Le cartable idéal est sans conteste celui qui peut être porté sur le dos.
- Le cartable ne doit pas être trop large, pour ne pas coincer l’enfant dans les embrasures de portes ou les ouvertures de bus et permettre des déplacements à vélo. Idéalement, il sera de la taille de la carrure de l’enfant.
Depuis de nombreuses années, l’équipe de la Maison Médicale parti-
cipe à la formation des étudiants en les encadrant lors de leurs stages.
Nos médecins ont un agrément comme maître de stage pour les diffé-
rentes universités et dans ce cadre, nous accueillons les stagiaires
(dès la quatrième année de formation) et les assistants en médecine
générale.
Voici en quelques lignes le rôle de chacun.
Les stagiaires médecins
Les études de médecine comportent 6 années pendant lesquelles les
étudiants alternent cours théoriques et périodes de stage. Ces stages
s’effectuent à l’hôpital dans différentes spécialités mais aussi en
médecine générale. Vous pourriez donc rencontrer un stagiaire qui
accompagne votre médecin traitant lors d’une consultation ou d’une
visite à domicile. Tout comme votre médecin, ce stagiaire est bien
évidemment tenu au secret professionnel. Toutefois, si vous souhaitez
qu’il ne soit pas présent lors de la consultation, il vous suffit de le
signaler à l’accueil ou à votre médecin.
Les assistants
Après ses 6 ans d’études, l’assistant médecin entame une spécialisa-
tion. En médecine générale, elle dure 3 ans. L’assistant est donc déjà
médecin mais il se perfectionne en médecine générale. Pendant cette
période, il/elle consulte seul mais reste sous la supervision de son
maître de stage. Dans la pratique, l’assistant ren-
contre les autres médecins de la maison médicale
plusieurs fois par jour et peut leur soumettre ses
questions. 5
Au retour de ses visites à domicile, il/elle transmet les informations
importantes à votre médecin traitant afin d’assurer votre suivi comme
si c’était votre médecin lui-même qui vous avait pris en charge.
Pour certains patients qui se sentent bien avec l’assistant, c’est l’assis-
tant lui-même qui devient le médecin habituel pendant ses années de
présence à La Brèche.
Dès le mois d’octobre 2014, deux assistants travailleront dans notre
équipe : le Docteur Alina Stefan que vous avez probablement déjà
rencontrée, et le Docteur Pierric Catinus qui était stagiaire en avril et
mai 2014.
En Belgique, une femme sur neuf risque de développer un cancer du sein avant l’âge de 75 ans. Il s’agit de la forme de cancer la plus fréquente chez les femmes.
Le dépistage permet généralement de détecter le cancer au début de son évolution. Le traitement effectué à ce moment augmente les chances de guérison.
Comment dépister ?
Par 2 gestes simples : L’auto-examen et le mammotest.
1/ L’auto-examen :
C’est une surveillance des seins à faire soi-même régu-lièrement. Cela consiste en quelques gestes simples qui permettent de bien connaitre vos seins, de détec-ter toute anomalie (une boule, un creux, un écoulement….) et de le signaler rapidement à votre médecin.
7
Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur la manière de prati-quer l’auto-palpation, parlez-en à votre médecin traitant.
2/ Le mammotest :
Il est conseillé à partir de 50 ans sauf en cas de situations particu-lières. Les femmes entre 50 et 69 peuvent en bénéficier gratuite-ment tous les 2 ans. Par un courrier de la Communauté française, elles reçoivent une invitation à passer l’examen dans un centre de radiographie agréé.
7
C’est une radiographie des seins dont la qualité est contrôlée. Le mammotest est l’examen le plus efficace pour détecter un cancer du sein au début de son développement.
L’examen dure 10 minutes. Pour obtenir des clichés de bonne qualité, une compression sera exercée pendant quelques secondes sur chaque sein. Cela peut être désagréable mais en général pas douloureux.
Les clichés sont analysés par 2 radiologues de façon indépen-dante, ce qui permet de diminuer le risque d’erreur dans l’inter-prétation des résultats. Demandez que ces résultats soient envoyés à votre médecin traitant.
Lors du mammotest aucun autre examen n’est effectué.