26- ANNEu. _ N. 12.:151

otel. II gra et net, 43 Ir.' I ain ILI In. DUREAUX A PARIS 3, Rne St-Augustin (21 Téléphonés : Gutenberg 211.58 - 61.21; Louvre 47.2.0

, .pi, oublié Pullimaluque M Habieht, principedélégué de Hitler à la Propagande raciste en Autri

vait notifié h M. Dollfuss. Lchancelier sanglant était sommde traiter avant le 28 février avecles nazis autrichiens, de leur fairplace au gouvernement toutcomme le maréchal Hindenburg yfit place à Hitler. Faute de quoiles nazis du dedans et du dehorsauraient recours à la force.

Le 28 février s'est passé sans quela menace de M. Habicht eût étéhonorée à l'eehéanee. Le dé-nouement se troues donc différé,mais le drame autrichien n'en est

jgi moins poignant, ni moins re-doutable. Chaque ournée voit s'am-malter la tome et l'audace dessensés, chaque' jour voit s'affaiblir

he capacité de résistance de Doll-Issu. Les ouvriers socialistes, lesmasses populaires attachées au se-Pialisme c'est-à-dire bien prèsde la moitié de la population au-trichienne ne respirent plus quela haine et la vengeance contre lechancelier sanglant.

Cortes, l'intervention des puis-sances temporelle. et spiri-tuelle, a limité les représailles,arraché à Dollfuss un certainnombre de ses victimes ; certes,/l'application de la loi martiale esten partie seulement en puniesuspendue. Mai, le peuple autri-chien frémit encore de la luttehéroïque qu'il vient de soutenir. Il!ne peut oublier comment, depuisplus d'un -an, il eût acculé à lakévolte par une suite de provoca-tions calculées et sournoises. 11

Mit quel complot de destruction etde carnage s'est méthodiquementourdi contre lui. Il sait quelle,mains sont comptables du sangdes siens. Il sait quelles menacespèsent encore sur ses chefs. Etgant que la résistanee mmtre lesranis sera conduili par les Dell-lacs, les Stahrembrrg et les Fey,il ne faut pas compter sur les ou-aciers autrichiens ;-tant que a l'in-dépendance de l'Autriche s seraperstinnifiée par les Dollfuss, lesRtehremberg elles Fei, il ne fautPas e.ompter sur les ouvriers au-trichiens pour la défendre.

Le chancelier sanglanf est sapPeuvoir ; il gît aedablé amis suodieuse et 1,r0MpeuSe meliiire.conséquence de sa disqualification'ne s'est d'ailleurs pas fait si-fendre' l'idée de la restaurationlégitimiste, du retour des Habs-bourg, idée qui semblait endormiedepuis des armées, vient de se se-reine, soudain. A Vienne, pou, lapremière fois depuis 1918, les terPante de /a monarchie légitime ontorganisé une manifestation puitrique. Le Vatican et les grandsordres catholiques qui .1 tonicitéstravaillé sourdement en ce

sens,abattentleur jeu. Dans certainsdiplomatiques do Fran

el d'Angleterre, où Von avait ton-,jours caressé celte eombinaisoWavec une certaine COMplaisauesi

cèle, elle s'énenee aujOurd'huiec assenasse. Pilisque Dell Ilion

est Mis /ni-même hors de jeu parfautes et ses crimes, n'est-Ce

Pas par le rappel .des Habsbourg!Ilu'on barrerait le plus «Dure;Med la route l'agressionsienne, qu'on creuserait le plus/sûrement le fossé-frontière entrél'Autriche et l'A Ilemagne

Une fois de phis, dénonçons léLa restauration Vienne en-1

e la restaurationà Budapest!

101,-14--dir% la résurrection de la!o m'eh. austre-hongroi-

U. line dnuble monarchie sevère-'°tent amputée par les traités de'

O, c'est entendu, mais qui, //aheue des chose, tendrait à red

Ouveor ses grandeurs pas.,ées ellu suspend, ait ainsi sur les Etats

ors Tcheceslovaquieavie, Roumanie une per-,menace. Un état de guerreO

0, une attente continue de arentrée,nver dans /a entrée, a pas as--se, s'établiraient dans Muté teint son but et, depuis son &Pm,»e centrale. el °Moniale. MI nit pas donné de ses nouvelles.'usé de supposer que, dans Jus01°'°ux ,heurd;,,,drejl:s conjonctures, Pantago-I

1,110VlIthius"e persister entre l'AMI pihitesansnIa'Ared1dGue.

iingoisese.cOn se rassurait .1 se dises!de supposer qu'entrai gag, émir ,nutunin qu'arrivé assezet la doUblq tard au Dasemark, le poste radio-isse jeocr longtempg

t lamphn, d'Etat barsriche de Dollfuss n'y',

0 Parvenue : PAntriche-Hon4

C. A. P.

ABONNERIENTS

m gris des Habsbourg n'y parvien-t dran pas davantage La conclusion- inéluctable, fatale, serait la tenons-- titution de la Triplice d'avant-e guerre. L'Europe de 1914 serait ce,é faite, pour glieses sans doute vers

le même gouffre.e Aussi, n'ai-je été nullement sur-,

pris d'apprendre que mercredi, uIn commission des Affaires étran,gères de la Chambre, M. LouigBarthou ait pris une attitude castégorique contre la restauratiouhabsbourgeoise. On comprend nus,si que l'opposition des Etats suc,cesveurs, c'est-à-dire de la PelitegEntente, soit formelle, et puisSImême s'exprimes, le cas écliérrnipar les encoures les plus signifiinatives. Mais si la France etPetite-Entente sont résoluesaécarter la- combinaison HabsboUrg

et el/es ont cent fois raisonde la Meissen si d'autre partelles sont résolues à barrer liaroute à l'agression hitlérienneet elles ont cent fois raison dol'interdise -- quelle solution post-live envisagent-elles donc ? Hélas,le chanCelier sanglant a saccagéla seule qu'on put concevoir, à.savoir le maintien des libertés ré-publicaines et ouvrières en Au-triche, ou pour mieux dire la fu-sion entre l'esprit d'indépendancenationale et l'esprit de liberté.. Fol-iO après les scènes atrocesde Vienne, de sauver encore quel-que chose du désastre ? Est-il pos-sible de ranimer encore 'en Au-triche uns vie civique et poldopie.de préserver ou de reconstituer lesorganisations syndicales de ré-°Plinthes les masses ouvrières avecla nation ? Dollfuss, bien entendu,ne le peut pas. Il n'a qu'a s'enaller. lut, avec sa honte. D'autreSpourraient le tenter peul-être. LaFrance et /a Petite-Entente le nom-prennent-elles ? N'essayerosibelle,gms de pallier les folies funeste,qu'elles voit g aiss ées' s'accomplissous leurs yeux ?

LEON BLUM.

Ad. Désbrossu, mon, directeur d.Crédit Municipal e été

po, k toue

IIIIIID11111111111111111111111110111111111111101

IAKS NOUVELLESrtE COSTES

Paris, 4 ma..Dieudonné Cosies, Je grand as de

l'aviation, le héros de la traverseede l'Atlantique et de tant de raids,parti hier, le 12 h. 15, du Bourget abord de son avion personnel Poorrendre à Copenhague nie il devait

danois avait nen rBourget de l'ai rivée de notre com-patriote. Et l'un espérait apprendreoo matin son arrive,

Il n'en fut rien. Costes n'a pasatterri à CoPeribogire. Et se qui ssiplus grave c'est que le Passage da

, grand amaleux n'a die signa e nupart depuis son départ.

L'aérodrome cf vil d'Haven, oui esthugI en contant permettent avec tous les14,, ----____

'osed'a.viation de Bruxell. et du

e du Parti.rered1 7 Plain, d 21 Luxembourg, leur a télégraphie, toute

Je matinée, pour leur demander s'ilsISS/ON DIS EINANs avaient aperçu vallarld'i de °Ie.'

mêmg jour, el 18 fans recevoir-en.. 000v ifflvelle ras-- .

8- SOCIALISTERédaction et Administration : 35. atm Roçoelaine. TOULOUSE Tél. 200.43 - C. C. Poutuux e 5.277

Jeunes fascistes parisiens (Psalmistes) qui vous paraîtront ridicules, certes, mais n'oubliez pas que los capi-tulations gonvernementales, les complaisances de la bourgeoisie et les encouragements du capitalisme peuvent

les faire proliférer et les rendes dannereux:Groupezsvous autour du drapeau socialiste !

11illIDDIIIVIIIII111111111111111111H11111111111111111/011111M111111111111111111.111111111111 lllll monannuonnuundinnininninitint

La liste des "ohequards'LE SCANDALE

Stavisky - de tous -

sera connue

cette memMALDHE LA DISPARITION DECERTAINS TALONS AUCUN

BÉNAFICIAIME Nli SEàA OUBLIÉ'

Les auditeurs, à la Commission sal'émeute du 6 février, étals/iront égale

les ses,eusaRilité, de 'emploiroyale-fasciste

Marx Dormoy,représentant socialiste au sein de

In commission d'enquête pourl'off aire Bavisity.

, Lee débats parternentair. n'offrentDhis aucun intéret, députés et sena.f eu. se mettent vendredi. en »imam,ces pour un mois.

I, Sur quoi d'aillmus, un Parlementennuis on Recréaiat ruminaitil d511.péeer, depuis que le itinivnement duMos national a obtenu de lui, l'aban-don More« de res prérogatives 7

L'attention M.t plus pol.Me. que surlenteavaux el dmix comMiasions dquéte de /a Ohambre.

De., en une remain., la commissionchargée du scandale Stavisky et celleOui s'oses. desémeutes reyalofaeciet., onf fan, 'ruile et faub.; ceugre

Poartant elles n' on sont qu'au dé-but de laure investigations.

baint.Sans arele abordé, enoore los four

nées sanglant. des et ,7,ifévries lacommission d'enquête. sur les émeut.a établi sans omet ssible, lapreuve qu'un comblat axait été Ourdicontre Os institut.. républicaines.

collaboraii. entre 1. Candeotadu ro, les Jeunesses paMietes, la Li.gue des contribuables Ir Solidarité

t êt AIl faut ma en. qua peste evêla ceux qul ont organted, moomegiou toléré ce complot. Cs na Podifficile. La seMaine uredinine. desMelons .ront obtenu.. Lee auditionsde M.. Chautemps et Jean Chiapperent, à est égard, décisiv..

0 0 0

ipereile:"'sere"scruele'negen'ont pas non plue éto vatnee.Les Momerie. que les dossiers et

rapporte ont (MD fourmes ne sont paenagggeabl., bien que le < Populaire aait été le seul journal /eur donner laPublicité désirable.

Mais cette enquête n'en est encore

"en'eardrneMrs. Venu.. men-te.° a donné olue du révélait°. quop.qnète judiciaire en quatre mois.

Pierre LAINE.(Voii le mite en deuxième mrae)

De même, aux aérodromes alle-mands que Cosina aurait pu survo-/er pendant son voyage le Bourget-Copenhague, on est ale -de l'aviateur tran.esksi

semble Men (m'on soit cette foisdécidé h en finir avec le scandale Stevlsky.

En effet, h Bayonne comme h Paris.l'U.S. nation se déroule maintenantrythme accéléré.

Apres namesta.tion de Mme stagido.voici celle de M. Guilmud.Ribastl. Cetavocat dont le nom a été maintes foisni. au cours de cette affaire, est lnnuls. de recel Son /Mie da. le scanCale statleky n'appas* plus matnte.nant comme cMol d'un Mme...num.'

Len lems qui viendront ne manque-ront pas d'apporter sur cet individu des

Tandis nue Mine Stavistii'imiléess-sûre 0 /a Petite Roquette l'activité laplus grande n'a cessé de régner hier

0e ové-0eS-

da. les services de l'Identité judietaireen Peu photographiait les fameux talons

Enfin cette Journée febrile s'est te»minée parl'Interrogatoire de nese,don qui a affirmé n'avoir été qu'un« distributeur et par l'audition de l'ac-tri. viennoire Ceorg.

Cette dernière était arrivés toute sou.riante le matin même a Parie et lors.qu'one sortit' du cabinet du juge d'ins-truction elle avait toujours, le petit airguilleret que lui connaissent ceux quiFont vue sur la mène.

Pareille benne fortune ne devait resêtre résumée a M. Digoin, aurnv commissionnaire du Crédit municipal de

11111e Rite Georg, photographiée hiernintin an mua de ana déjeuner.

Rayonne, que M.,d'Uhalt-avait .nreqsdpeur hier matin.

A son arrivée au Paials, /if. Digoinmarchait d'. Pas aterte et dégage. AuxSournalist. qui le questionnèrent il fitun éloge dithyrambique du Senne lusud'instruction la trouvant très habile etfort Oneiglque.

Il ignorait alors qu'il allait qiimigniiieInstante DI. tard comme,e à son de-triment l'habileté et l'énergie de .d'llhalt.

Aussi lorsqu'il rede's.ndit les ma,eh15 du perron du palais de Justicemirna s'êtes entendu inculper à sonUnir M. Digoin se garda-MI bien de'vanter à nouv.0 les mérites du Juge.

Il s'en fut pliosoment, le pas lourd,/Itahant ncnsusn Sotie as cone auquel

s'attendait pas.

LE BILAN DE L'INSUGUCTION

Voici le bilan, à ce jour, du t.-bleau de chasse des différents ju-ges d'instirpetion t Paris, Bayonne,Bonneville et Lyon.. -

On dénombre au seuil de cettejournée dominicale : vingt inculpés,dont /4 sont éoroués et, 6 en liberillprovisoire.

Sont écroués is Bayonne t n'Osier,Duhar., Darius, Carat, Elayette,Cohen, Guébin, 13onnaure.

Sont écroués a Paris t Deparden,Diumagnino, lIttn-e Stavisky, Guiboud-Ribaud.

Sont écroués h Chambéry O Voix

enSPoenlpifis et en liberté.provi-

STAVISKY

soire Desbromes, Iemillo AymardDigoin, Constantin, Bayard et Pey-ronnet

LE DEPOUILLEMENT DUSCIDA/UES

Les opérations do dépouillementet de photographie des talons et deschèques Staviaky se sont pougsui-vies toute la journée au Palais deJustice.

Ces opérations compostent troisétapes tout d'abord qg procède hl'élaboration des km:mea-verbauxdescriptifs de

Ce travail, qui a eonumeneé Jeudisoir et s'est poursuivi sans interrup-tion, sera termine cette nuit. I/ com-porte t'indication des destinatairesdes scoimen cl Invitat'portées sur les dm:Monts et sasopéré sous la direction de M. Ordon-nem/ et de son collègue M. Damai'.

La mconde phase, qui est dirigéepar M. Rude, autre Juge d'inetrue-lion, consiste h rapprocher dee ta-lons de chèques les chèques Dopas-don qui ont été saisis dans les ban-ques, les chèques Oulboud-Ribaudsaisis hier et !a liste des chèquesparvenus de Bayonne.

Enfin, M. Sannie, directeur del'identité judiciaire, photographiechèques et talons, recto et verso. Ildoit défaire les talonniers, puis re-mettre, las agrafes larmoie la photo-graphie de chacun des gléesenls est

- Dans le cousant de la semaine, laCommission d'enquête parlementairepourra ainsi recevoir /es procès-verbaux et /es photographies.

, .

Des talons de chèquesont été déchirés

.1=1.2uel;nne. autieno. ironsmem qui eut Me ...na tnsun'Ocl sua cimenté que neuf taler. ont deentrés. Comme on s'en doute, les talonsqui manquent sont caca dee chèques Oeil[...importants et 1m plus inter.eientsMais des Mémento permettront de losreconstituer b peu prés tous.

Rita .Geoig est entendueLi.trIce de music-hall Rite Goose

arrivée k ParM la mat10 même, a étéentendue par M. Lapeyre, doyen des 10ges d'instruction au sujet de ses relaLions avec SMvisky et avec honneur,

sou amusée ne nasse pas- inaneveue ààPalais. Ses cheveux acajou, son mas-

Obis a MM Su SMvleky, déclare-5.11e,deux foie a l' a Empire » MS elle jOusitst trois ou quatre fois dans deS resta.sauts. Elle M.t jamais allée le Valr

alertas,.mmisitour l'a emmenée .e

déjeuner eh. Bonnaure qui /ut Parle

55 105500m 0esBcroyait que avisks 'y ...maltm M.

Ale.tidrePassais elle n'a songe, dlt.aOa, I se

dérober la justice.Elle ajouta qu.elO avait a plaaaS

les répétitions générales d'une opéretteVienne pour répondre la convocation

du magistrat. Nits Eeorg est surtoutIndignée do se voir ...innée oreisPionnage.En somme déposition sa. Intérêt

L'inspecteur Bonyest réintégré dans ses fonctionsLe gourme Ofeeicl publiera . matin

un ;urate di ministre de Pintériemréintégrant dans s. fonctions m. Somo,1050ecteur principal de la Policeofficier de ponce mobile.

Lagrange interpoliez, na la revisiondes baux ruraux

Notre 000050000000e, députe du Nord.a demi50 sur le bureau de la 0050001eUne demande d'interpellation eurmeeinee que le gouvernement en..pre.re pour rep.ner Ms anus Gons.-Ste dans Inunination de la lot mir la'evletou dee bouc

SE COI/MITRE SCIAZERIEfeue anis pas jusqu'où nous des

e ySo,,,rose

c,aitetsuer

bien bas, plus bae que terre.Déjà bu semaine dernière nous

étions capables tout au plus de foi-re r,attee et simplement dignes

Voici qu'aujourd'hui « Pinfamie »nous accable canuse n'inspironsplue que du « dégoût

4L'EM; pbice7 ll'Ered'd: coslie réa-

Ce monsieur Fuego doit être untype nerveux.

Repus très commode.Il n'a pas l'air d'être souvent de

bonne humeur.Si tous les royalistee sont aussi

aimables .que lui, ça ne donneraguère envie d'opter pour la monar

ie.Plaise un ciel que M. Fuego eait

se demeure is 1720i71.qu'id ait des actions chez les labri-mInts de ruisselle.

Frelon allure ressent-bl tee, j'aime mieux neCe e'eeoctnterr jamais.

E't cette infamie dont le rédacteurde « L'Express » nom fait si durreproche 'I'

Comment, vous ne devinez pas INous avons l'autre jour publié

n'un rapport du dossier Lescouvélois « L'Action Française » d

'affaire Stavisky; mettait « L'Ac-ion Française » abat- le même planna d'autres journaux déjà compro-

mis dans le scandale.-« L'Action Franeaiee » n démenti.Nene avons issenénie enregistrédéments.

Il n'en a pas fallu davantage d M.Fuego et a « L'Express » pour deverser eue no. non pae une crotte,mais tout un tombereau de crottes.

Parce que M. Fuego, s'il n'aimepas qu'on salisse ce qui cet grand, neOr gêne pas, las, pour salir les au-tres, FI n'est pas chiche.

Au prochain /bue son Pegabakireinjurieux n'y suffira Pas. Il feradette d anueuter quelguee quales-catile pins péjoratifa.

&contez-le z .. .

, _

L' Action Fran'çaise o, auraittousihe... Comprenenvous, commeune telle tactique est habile 1 Cosmessieurs n'ont pas oublié lesleçonsde, Basile et ils savent les utiliser.Ainsi lancée par .s hommes intè-gres, la calomnie s'insinue, marche,murt et on espère qu'elle &Asters;en tout cas, si elle n'éclate pue, il enrestera bien quelque ehom.

lié bien 1 Disons-le franche-ment t ce genre de procèdes nousdégoûte; il sue la peur, la mauvaisefoi et la perfidie.

M. ',t'ego, laiseez-moi vous direque vous jetez sottement nos qualitésaux autres.

Vingt fois, cinquante foie, centfois, vous avez utilisé le procédé ,quecous dénoncez aujourd'hui, et quevoue nous attribues à tort. Car soueavene porte, zée, une ...tien con-tre vos amie, nen pis d'aprés desragots de pipelets, COMM.l'avec toujoure Mit, vous, su détri-ment de nos amis et de nos chefe,mois d'après son document aériez.officiel, et mrti devant la conenie-rime d'enquête par mn de vos amie,

député Xavier Vallat.Il peut être sans fondement. Von'

guète le dira.Mais le document ut public, et

toute la presse Va publié.Voue, è propos de petteilllee se-

cieliet« rammer, vous <met el, au-mue document, et, le sisupfr créditque vous feignes de prêter d des joue.nalUtes parisiens et toulousaine; en.çaviets avérée, porté des accusationsde forfaiture, que nos amie ont ré-duites d néant, ear des démentis que

- aucune dzscuseion sérieuse nz. zut.rait s'engager entre vous et nous.

est tune questson de fout.Dieu seul sait le nombre d'adver.

zatnres quotidiennement accusés parvous, d'actes contraises d l'hon-neur ou contraires à la probité.

10es preuves, jamais; des reprodue,sinus de déments, jamais, Un nfode-ment sérieux, jamais.

Et c'est vous qui oeez le pregulrede si haut parce inc nous avons ré-vélé une pièce du dossier tracemie dla comenission d'enquête, une pièceauthentique, oubliant que par soucid'honnêteté morale nous avons en-registré le lendemain, le démenti del'intéressé bien qu'il ne nous l'aitpas pereonnellement envoyé I

Mais yang-m raémo, e cette al faire,portez vos accusations sur la foi des-pièces semblables 1

Il se peut qu'elles soient erro-nées. Mais voue leur faites créditecependant, comme nous, lorsqu'ellesaccusent voir etuls advereatres.

« L'Action Francasse » 00mamefoie Sono donne une ieran Elle -

adresse esse démenti à us.con,freresen «ne lettre polie, exempte de tou-te enpreseion désagr l u.éabe o amère,Tellement elle .juge naturel qu'onait rendu publique cette pxècedossier comme ter autres.

Il n'y a Inc vous qui trouvez leprocédé « infante » et « dégoûtant- ».

Il na falloir toua plaindre rincé,lumen ; vous ne vives, que dans lacrotte, le mépris, le dégoût... dee so.cirtlistes.

Il faudra VOUA laver quand vonsnous quitterez,

Le roi Albert, ce héros que voueno. nanties, prenait dnolrc égardune antre méthode.

Léon HUDELLE.

La murs 118 1. PPIRCO

IL HENRY LLIERONA 0EI)I3 LE PROCUREUR GENERAL

DU PARQUET DE DIJONparis, 4 nums, Ainsi l'osait

annonce hier, M. Henry Cher.,garde des Sceaux, a reçu ce niatinM. Denobepin, procureur ertdreepe.'Dijoik avec le il a ou un entretien'qui a duré plus de deux heures etdemie au sujet de l'assassinat duconseiller Mûe. Prince..Le procureur général a fan au

stre le récit très &taille desP

fairuts en !es senant à leur origine.11 résulte del'exposè du magistratque l'hypothèse du silicate doit êtrecomplètement écartée. On est cet--tainement en présence d'un assas-sinat caractsérise par une Irise eumême destinéeà frapper les imagi-nations et h troubler J'esprit "public.

Le procureur général a fait con-naître que des investigatiovo avaienteu lien sur toutes les pistes signa-lées. /I fait vérifier en ce momentcertains renseignements qui lui Sontparvenus ces jouis derniers et quis'ils étaient confirmes, seraient den tore à orienter uillement

afro.'Le ministre a remercié le procu-reur général de /a diligence qu'il a.montrée et lui a dit t'importanceessentielle qu'attaohe le gouverne-ment à ce qu'aucun effort ne soisnégligé pour la recherche et pourla découverte des coupables.

(Voir le mite ee de.eième pagel

UN AIMAI DE CAASSIs'écrase près de Touron

Toulon, 4 mars. Un avionchasse du centre naval d'llyères s'estabattu dans an vieoble du Pradetpolis de Toulon, Le pilotes reçu donombreuses contusions.

Une trentaine d'arbres fruitiers etun champ de vigil. Sent ahimésL'appareil est presque entièremerit

tous n'avez jamais publiée.Le vozbi le procédé calommateur.C'est be vétre. Et sur se terrain .

111111111111511111111511111111111115 lllllll une lllll 155555515ll 11111111111111111111111111111111

LES CHAUFFEURS DE TAXI, VICTORIEUXONT REPRIS LE TRAVAIL, HIER, A PARIS

Les taxis sont reparus hier matin mur les boulevards, spots uns ab-sence de plusieurs semaines. A 8 heures précises, ils ont quitté en

jalee laure garages et Sent Sertis vers Ultra lizolnien

25 CENT,LUNDI f IIARS 1934

« Si la fraude, par hypothèse, cessaittout d'un coup et tout entière, an pourraitcalculer que près de huit milliards tomsberaient dans les caisses du Trésor

Ministre des Finances '

de Tardieu

C'est le moment de le prouver.

APRES LA COMMUNEDE VIENNE

>

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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se MITÉ fEntRALOU 4 Mais

Le comitéfédéiati de la fédération

drIL,2 iOutil.:nehi:u4tedescocue se le salle du conseil muni-Pt/30ogi de'ra mairie de Toulouse sousdé

g-présidence de Bedel, de la C. E..emiste de Panehmuf (Mmitmg.D,Touzet (Mordastruc-de-Salies), Per-gaud° (Muret).

Plus de 150 délégués assistent a laséance ouverte à 10 heures.

Le prooés-verbal détaillé dea séan-ces du 0011grea fédéral du 4 fevrierest remis aux délégués aux sect./0..1

Le Secrétaire fédéral relate lacévénements qui ont suivi notre réa-i

ieu de cette date. 11 dit le travail...ampli par te bureau fédéral et laC. E. eu liaison avec ta C. G. T,ta réussite des belles manifestations,des 8 et 12 février à Toulouse clercde ces événements les leçons oPPils;emnportent. La vigilance est de PluS Iee plus nécessaire pour la défensedes libertés républicaines, soyons,

Une longue discussion s'engage Sur Igréts.

la lette anti-fasciste t Richard (Tou- I'Imtse), Dumol (C, E.), Minières (Lon-cages), Esparbès (BragaYree), atm-selle (Pibrac), Wiuteaaad (Teelo.e,Babary (Toule.se), Ferai (Saint-orms), Olive (Fenouillet), BillièresDiantre de Teelenme), Simon (F.),D.bals (T.lou.), Gardel. (Ro-gnes), Bedel (C. Fe), Mem0.5. (Se-crétaire fédéral) y prennent part.

Le comité f)déra/ décide à Puna-t'imité de faire entière confianceJe C. E. pour constituer, en accordaeee /a C. G. T. un comité de vigi-lance et d'action pour la défense deslibertés républicaines et la lutte anti-

.

Une courte discussion s'engage surla nécessité d'une action coordonnéeet disciplinée de la propagande dansle respect absolu des statuts par tou-tou les organisations placées sous lecontrôle de la fédération.

Masenère, Desba/s, Dumel,Laporte, Woilrand, Bodel, y per-

eree'soe/°mimions du bureau fédéralsont adoptées.

L'ordre du joie étant épuisé, laeance est levée 1 12 h. 30.

Le procès-verbal détaillé de cette...ce sera adressé prochainement.3 sections.

Les sectio. sont priées de diffuserJe plus possible te amère special du

Populaire sur les émeutes du13 février. Le secrétaire généralAdjoint t L. Bouzigues.

COMMISSION EXECUTIVBFEDF,RALE

Une réunine de la C. E. prépara-taire à celle du comité fédéral s'esttenue à 9 heures sous la présidencede Bedel dans la salle des mariagesSe la mairie de Toulouse.

Présents t Galitert, Franc, Dm-_ sol, Cazabon, Gardel., Dominique

Rieu, Hyon, Bouzigues, Masqué.,Abribat, Siman, BedeL

Le procès-verbal de la dernièreséance est adePte

Au nom du bureau fédéral, Mar/-guère lait à la C. E., des propositionsau sujet de la séar.oe du ODIRtié fédé-ral qui va se réunir tout à Meure

Après interventions de liman,Franc, Oissel, Beuzigues, Siman, Ca-zabon, Bodel, Galibert, les proposi-tions du bureau sont adoptées àl'unanimité. Hyon parle de la pro-chaine session du .eseil général.Ses suggestions sont retenues.

La séance est levée à 10 heures.-Le secrétaire adjoint L Bouzigease

La Propagande

Succès complet a. eeertier Mn9c9.Mercredi 28 février, nu café Tri-

Coire s'est terme, sous la Présidencede naine camarade Loaes Eugène,une importante réunion publique,engameru par le groupe Berna -Desbals.

Y prirent seecessivement la pa-role, nos .marades Lorebens et Areit-rami pour I. Jeunesses Socialistes,Dussol pour le Parti Louhem, avectalent, nous dit l'émotion qu'ilP/Muve à se retrouver au même en-

droit, qu'il y a trois are, alors qu'unemimPagne énergique pour la Paix etle Désarmurtent avait Osé organisepar le Parti. Ici, la population est te-quise, le socialisme vivace, se révol-tant contre l'iniemité sociale. Mais lessympathaes sardes ne suffisent Plus,c'est ardemment qu'il faut s'engagerduos la lutte.

Les appareneeu même de liberté etde démocratie qui nom restent sontmenacées. Le fascisme est à mitreporte. Ce qu'il faut, ce ne sont plusdes bonnes volontés, mais l'aidePhysique de travailleurs, pour la

constitution d'Un Ihmll fuer Pouf teconquête dit Pouvoir, pour une hu-manité meilleure dans un mondemeilleur par une action incessante et

s sacrifices nombreux.Les applaudissements fusent, etaptisent à peine que Wralrand avec

eu fougue habituelle, commence, itParler. Pour lui, le moment est mati-r., et exige un redoublement d'ef-forts. 1,0 P. S. sans tarder, doit seVréParer PRUT la prise du pouvoir ets'orgue.. en eonséqueriee. Retra-çant le tableau politique de ces der:Mères années, il cloue au redoraPoincaré, e au-dessus cre la mêlée 0,.Tardieu et sa politique de la faillite.Le_ Parti radical, enfin, au pouvoiru. 1932 avec 135 députés aboutitII,IL Lietst.L:iouvoirs devant la gre-lin. bribéciÎ' ee, ln mtimed d'ontrLea :A.

S. tout cal nous a conduit à l'UnionSacrée contre M Prolétariat. Mais001a ut la treleiaoo gins nom des

trnalies radicales, la volonté PePie/ai. s'est manffestée, la force perlé-layon iv affronte les forces réa-ten-baires. Le problème est le problemede la hâle de clame, là confianceImste prolétariat pour amener laRévolution sociale.. La salle enahouslasmée applauditménétiouernent

busse, prend alors la...

,,,-.1,12,11e les journées difficiles de, aRéPublique, 9. Ii Mai. l'affame

Zyel

I ; \

,Dar liamlnlaetinviealede Bde ers

lions est due à Pindifférenee de lamasse ouvriène se cantonnant da.Un ég.oïsme insensé.

La désunion ouvrière a égalementsa lourde part de responsabilités.Lrâhiteultde. eist ruellatitr?ehlLarveaenot.tlit,tirele

liais

P'/iàsonooir' li''I'léènTe?ute,'tiveÎt'tiou rie"serao'rivseeiraplacamemen't, 'et n'est

pas un moyen sûr, meme pour ladéfensive, l'exemple de la Comma.de Tonne est là pour nous en cOn-vaincre.

Créons donc sans tarder et notrecadre défc.if et notre cadre offensif

notre programme, et d'abord car nocoutiunnlisuliou toudumentale, la nu-tà.ali..dseathoanvad Cie remézi,,L Bi,:nôtuxtbou:.

nes volontées dr se vouer ru et de dis-tinguer des rem...Ires, les rêve-lutioimaires de toutes Mndaeees.

Après une rapide esquisse de lacarenee du Parti radical, après avoirstigmatiser comme il convient le gou-vernement Doumergue, Dussol rap-pelle le scandale du Métro, sur lequella presse réactionnaire organise lecomplot du silence. 11 conchst avecfore en affirmant que le P. S. mériteseul la eonfianm de la cla.e ouvrière.

Les 10 auditeurs présenta, défini-tivement conquis, applaudissent detout cur.

Le Socialisme est en marche versin Révolution Sociale.

LOTERIE NATIONALE. Hâtez -vous de faire vm achats pour par-ticiper gratuitement au tirage de laP tranche. Tout achat de 58. francsdemie droit à une part de billet-LINOLEUM ; BALATUM ; TAPISLAINE ; TOILES CIRRES ; TAPISBROSSES; COUVERTURES. C. 1, S.

, rue dcl Puits-Clos, Torrlovos.

Chez les Anciens Élèves

des « Arts et Métiers »

Samedi, à 18 /mures, dans la salledes Fêtes de la Chambre de Cran-mer., eut lieu, devant une nom-breuse assemblée la presenIationd'un film de propagande pour le re-crutement des élèves aux Bell.Natimmles des Arts-et-Métiers.

Ce film a été itabli en collabora-tion entre la Société des AneienSElèves de ces Emiles et la Directionde l'Enseignement Technique.

Après reinerciements h eeux quivol répondu bain invitation, M. Ma-

,zars, president du Tribunal de l'oie-

'me rce, président du gretiPe région&des anciens Eléves des A. et M. faitl'historie. des Ecoles Nationalesd'A. ut M

En 1788, le duc de Larache..cauld, dans les dépendances de mndomaine de Lia..., crée une fer-me-modèle et une école d'artisannatdite a Ecole de la Montagne a. A la

1 Mato/ut., cette école fut Mande-l rée à Compiègne et prit le nom; « Feole des Enfants de la Patrie e'Elle était d.tinée à l'instruction desenfants des militaires pauvres.

En /808, Napoléon noce-ut son im-portance et l'installe h Chalons-mr-Marne, où elle est encore.

Une seconde école fondée en /ROI,

l'érrela.815,1M-L.) tut

fe'eltirearnlitpas qui .

Puis s'ouvrirent suressivement,en 1843, l'Ecole d'Ain; 1891, l'écolede Duny; 1900, l'école de Lille, el,en 1912, adle de Paris.

Les programmes de ces écotm ontsu s'adapter aux nécessités du Lea-

1 vail moderne. Les services rendus hl'industrie et à l'économie nationale

, par les élèves qu'elles ont forméssont universellement connus et ap-

I préciésEn 1907, un décret de M. Doumer-

gue, alors ministre du conamercaetde l'inolustele, a créé le titre a d'in-génieur des Eeoles Nationales desArts-et-Métiers a

L'admission dans une Feele d'A.et M. s'obtient, h la suite d'un con-cours ouvert aux candidats, âgés deIl h 19 1113, J.

US 1saines sérieuses en mathématiques,dessin industriel et travail manuelCes >Mea sees 00171, 811 sénértat

'Issus de milieux modestes. S'ils ontla lotiable ambition de s'élever hune situation supérieure à celle deleurs parents, ils savent qu'ils nepeuvent étiqueter que MM leurs fa-cultés intell.tuelies et leur a.-duite au travail.

La durée des études h l'Ecole estde 3 ans. L'e.eienernent y est par-tagé également entre la théorie et lepratique.

La culture générale de l'esprit n'yest pas négligé, iien Plué que la .g-turÂupnheyepqputreatton intensive de tra-ditionnels et trous déiassem.Mviennent faire une dive.. néees-se're.

A sa sortie de l'Ecole, le Muneingénieur des A. et M. voit s'offrir

qu'administrations, t mas in e

gurzre' 'r duI

far,hNeetri-

aPpellent, Partout ils sontoité tesrechelmhés parce qu'm a aPlaSkier110éputritue,oellaeo,ratehreet ertru;,t;

pâte e et, par na me. a q

P'erte,?ieldSo'leerig digrer; "

(M.Mazars eue les situations bril-

lAnte a0qui.9 par d'illustres an-Mens e Gadzarts »; les découvert.et les travaux de quelque55005 d'unitee euX qui honorent la solen. et1 in US r e lruoontloe.

Ces exeMples doivent encoursgerles Munes eens à orienter leur ms-tritetion en vue de la préparatIonaux Envies d'A. et IN.. lieu bel avenirleur est promis que Mur !militerala solidarité agissante de leurs atnésdans la carrière.

La Société d. Anciens D'Oves desflapies Nationales des A. et 1.1. a

80 Mie e tionsita

l'heure actuelle, plus de 14.000 mem-bres. Elle a ossattied nu service deplacement qui procure chaque an-née, Un nombre élevé de situationsMecatives ; elle consent des prêtsim.purta,nts et nonahreux ; à tous seSmembres elle allure le bénéficematériel et moral de Pentr'elde laplus constante et la plus efficace.

L'exposé de M, Manin fut vigou-reusement applaudi. Aimes le sug-gestif commentaire qui venait d'enêtre fait par avance, les Vues quidéfilèrent sur l'écran ne pouvaientque retenir vivement l'attentfop dupublie et surtout, del jeunes élèvesde nos établissements de la villanombreux I ms la salle.

Ce film &von., tout d'abord lesouvenir de l'aristocrate philan-thrope qui institua la premièreEeale d'Artisans.

Puis, snressivement, apparurentles diverses Fontes es. et M. avecleurs sites, bâtiments, salles declasse, laboratoires et ateliers.

Nous pénétrons ensuite dans lin-(imité de la vie de l'internat r cui-sines, réfectoires, reertretiOns, mo-nômes, sports, etc...

None suivons les élèves dans Murvisite aux établissements et auxgrands travaux d'entreprises des an-ciens « arrivés e ,(usines De/aie,Hauts-Fourneaux de Pue-il-Monis-Son, otnol de Novell,

Nous les aceompagnons sur 1mquais de Marseille; dans le port de'foulon oO, soua la conduite d'an-ciens au., ils parcourent un cui-rassé de la dunette aux sautes.

Les dernières vues Mana montrenth Paris, Phrttel de la Société des An-ciens Mmes ; l'aménagement raté-rieur de ses services sociaux dontdes graphiques éloquents nois attes-tent le développement rapide et l'ac-tivité féconde en heureux résultats.

A L'AMICALEDU 6301D'InFOITERIE

Hier, dimanche, l'Andeate des An-me.' Combattue. du 833 Regimenid'Infanterie, donnait son tanguesannuel, à l'Hôtel de Paris, eue O.,bette.

A 10 heures, une messe Ou coursdelaquelle, le limitenant Vineens, au-mônier du 833 nrononea une allocipMon fut célébiée . Si'Sernin.

A 12 heures, na apéritif d'hon-neur a étê servi au .16 Bories. Auours d'amicales conversations, les

anciens combattants du 03' d'Infan-terie évoquèrent les noms des cmmarad. disperu.s et revécurent en-semble,. ,per la pensée, les bons etlmaas loues de la grande tour-A rnidi 30, un banquet fut mrvi

à l'hôtel de Paris.In menu était parfait, soigné, di-

gne de la réputation de cet établis-sement Durant Isut le repas, l'en-Main, la bonne humeur ne cessOventde régner; ce fia, vraiment la fête del'Amitié.

Ni. Rallie; président de l'Amicale,avaient pris place, MM. les colonelsDupont, Ferné, d'Ilauterive et Lei-xelard1. le commandant Nougues;les camtain. Daspet et d'Orger;Id. le doyen Deltheil, professeur à laFaculté d. Sciences; l'abbé Vincens,ex -aumônier du 83.; MM, Salique,Abadie, Soubaigné; douteurMarchand, Eaevilly, Berthelier, Pi-quemal, Galinier, Fouilloux, Del-part, Armengaud, Gozias, etc., mem-bres du Comité.

Au ohameagne, plusieurs a/Mou--Dons sont prononeees. Le président,Ruffié, ouvrit le feu, en félicitentks menibres de 1 Amicale d'être ve-nus si n .ibreux -et en rem/m./nt locolonel Périer d'Hauterive; qui .m-mandait le OP d'Infanterie, d'avoirbien voulu assister à ces agapes. IllevI, ensuite son verre h ms anciensc.hes et à l'Arnim/te du 83' d'Infan-terie.

On entendit ensuite le colonel PAner d'Hauterive, gui fir l'historiquedu 835 d'Inf./one et adressa unsouvenir Mira aux morts restes surle front, il termina en levant sacoupe à mn vieux et cher régiment;k celorml Dupont, qui dit combien/I était heureux de m retrouver aumilieu de ses frères d'armes; le co-lonel Leixelard qui remercia lesmembres du bureau, en particul.rRuffié, de leur dévouement h la cau-se de l'Amicale. M. Befabet qui fitun discours humoristique, en rap-pelant surtout les bons mementspassée au front; M. Dumas, anciencaporal qui l'ex.m de parler après

d2;u:rtcvionete,es qua eappelo qu'il

foordd un Journal du front. Cebon confrère des mauvais jours, oh.tient, pour son discours, un légitimesu voile,

Un de nos confrères,. ancien mm-battant, promit l'appui de la presselocale et leva sa coupe h la prospé-rité de l'Amicale du 833 d'Infante'

nconcert fut ensuite organisé,en entendit sueceisivement MM.Delsol, diseur; %refile, dans unegaléjade nrarmillaree; Defabet, dans

Ï.LecsolTori'el laa"ureiv"e' '1.aeRsnY«"YdPomme d'Adam . dont le refrain futrepris en olueur par toute l'assista/3-e- et au de nes collaborateurs, quirécita quel.sa pernes de poilus, desa composition.

!'dereranieliicee,riVirldenombreu

Cette belle fête restera gravée dansla mémoire de tous ceux qui y naMataient, en raMon de MD succée qui

deannesige n-usU1aotr-tants du 53e d'Infenterie.

L'enegusseurSU consMee

prisonnierNoue avoue ennon., Mer, dans

notre édition loeale, qu'Ire alitais'eeer du Cm-Mitais National «,,s-r.mpte, agence de Toulouse, qui va-unit de toucher une cernaias de

mille frau.% avait disparu.Dans b mirée de samedi. l'en-

caisseur Clément Reynaud, se ren-dant compte de la gravité de BOOaete, s'est eonstitue prisonnier aucommissariat de police de Bayonne.tins être dirigé sur Toulousepour être mis à,ln disposition de M.Serres, juge d'Instruction, qui deit'tromper de selle affaire,

LE st 111131 sommeil(

Une MnContre un Platane

UN MORT, DEUX BLESSESIller matin à 10 h. 45, au pont de

In Ihelonne, sur la mule nati.ale113, une automobile conduite parM, Cherry, chirergiemdentisleToutou., s'est ecrasée.ntre un pla-tane. Mme Cherry, 25 eus, a ététuée sur le coup, les deux autres oc-cupants de la voiture, dont M,

Cherry, ont été légèrement blessés.La gendarmerie de Capenda s'es,

rendue site les lieux pour dMerminerles causes de cet accident.

Cr pont est tristement célébre. Lesvirages en S qui l'entourent ont pro-duit des centaines d'accideets terri-bles.

Les accidentés allaient mi matchde Narbonne.1111111111111111111111 JJJJJJJ 1111111111111111111

DANS LA HUEUN MOTOCYCLISTE GRIEVEMF4NT

BLESSE PAR UN AUTOBUSA 15 Ih. 45. M. licol Velue, 31 me de-

metu.re.rum.16.,. 9.5i

I

10zirn:

verm à l'ansel de cette rue et de le eueper an autobus de la S.T.CR.T.,

fais. le service CapholeérammeM. Value e eié blessé à le iambe gau-

che. Il o été umeporté à rH...Loi., àl'aide de l'ambulanea municipale et ad-

n.'1..''neeterneS'dne'L'zasesericee. a diagnostiqué 99écrasement de la clville et une plaie ou.verm au genou. Une enquête est ouverte.

TENTATIVE DE CAMBRIOLAGEDu,,, le murant de ta nuit dernière, on

a tenté de fracturer la perte du poulaillerde M. Jean Berthe, Si ans, employé à lacompagnM du Sud-Ouest, demeurant 79,

avenue da Lomb,s.M. Sentenac. tende 'de ;mie à le De do

Midi, dmmur. 9, rue Caps, aient vunoie MM.. roder à eroximité As l'hebi-st:firo: decyp,il..Barthe, e mule les

l'errai.,Molaire de trois condamnations pour val,i dit n'aire pous rien dans cetm

IAprèsinterregatoir i/ a été déféré au

a réussi à arrêter P. d'eux, dam la gare

37 am. couvreur, demeurant 3 due Rousse,?lime;du

ile ont ode le tua. M. Sente..

Cet mndu, nommé Aumste Grenet,

1 M. 13.1he a déposé Plaiine conne in-mnnu.

COURONNES MORTUAIRESD. COSTES. 25, rue de Remit.. 28

Chut, à domIcile Taléph toms

111111111111111111111111111111111111111111111111

CA ET LA,CAISSE DES ECOLES

Le Comité de la Caisse éles EcoMsO l'honneur d'informer la popula-tion toulousaine qu'il donnera auThéâtre du Capitole le samedi 17mars prochain, la dvvnièmnsoïrérde l'année organisée h son bénéfice.

Tenant h maintenir Le caractérede grand gala qui s'attache à ses

représentations, le Comité aprèsavoir eheisi comme ouvrage « Rigo-lent, a a. appel h Mois grandesvndet I pour en tenir les princi-paux roles.

C'est d'abord le brillant ténor DIMaazel de l'Opéra -Comique dont laréputation 'Peat plue à faire et serle eom,pte duquel écrivait lecem-ment dans une de ses critiques, M.J Chantavaine, secrétaire généralde Conservatoire de Paris

e La voix de DI Mazzei est du cris-tal le plus pur, /e plus riche, leplus souple, le plus brillant que j'airencontré depuis Ca ruse.

.M. Di Lépzzei chantera le rôle duduo de Mantoue dans lequel il ex-celle.

Cest ensuite entre sympathiquecompatriote le très réputé barytonde grand opéra hl. Nougaro quichantera le rôle de Rigoletto danslequel il débuta avec un magnifiquesuccès b l'Opéra.

Cest colin M bIo Lalande, /a bril-lante pensionnaire de l'Opéra Mildonnera la réplique aux deux exeel-lents artistes.

Un prochain communiqué feraconnaitre Pensembie de la distribu-tion et la date de l'ouverture de la

Le Comité,

LE GALA DE L'ASSOCIATIONDES ANCIENS PIIISIMIERS DELGUERRE EVADES,ET OTAGESL'Association des A. P. G. E. et O.

de Toulouse et de la région, a Mon-neur d'informer la population tou-loumine, que grâce h l'amabilité dela Direction des Ela/Mss.-lents Gau-mont., elle donnera le mercredi 7mars 1934, en la coquette selle duGaumont -Palace, Place Wilson, sousIn présidence effective des autoritésamies et nebtaires de notre MM,Une soirée de gala au profit de laGalaad de secours de la Société,

Le Conseil d'administration.' fera,en outre, au cours de cette soiréeMU comportera un programme deChoix, sur lequel eous reviendrons,un exposé sur les buts poursuivispar l'association II profitera decette OtaM1011 171111 dire ce qu'esten véritable prisonnier de guerrequelle a Cté la vie réelle du prison-nier dans les gerbas alleinaedes ;

quelle a ête la conduite exemplairede certains et ce qu'il fant retenirtle cet exil forcé, oh les souffraneesPhysiques 05 demi:aient de self-franees momies non niolne etr.es.

Camarades t Eh cdhéreOlsnon, vous .serez les Peemleo ré-

' pondre h l'appel du Conseil d'adini-mstration en venant nombre. hratte soirée de gala qui est la vôtre.Vous mssterez h Os sPeoteclechoisi et vous entendrez la voix deceux qui, avec un désintéressementrepenti luttent Pour Peridéluer,

malgré le vaeue d'erroisme que noustraversons, cet esprit « combattanttout fait de fro,nche camaraderie,née dans les tranchées et qui Pournous se .ntinua dans les campsapeg1,44e. Le Comité d'orgmisu-tion.

CERCLE PINE.L-DELTOUR

Le Dansait d'Administration esteepper, d'inviter tous les amis de

mime de notre ville à assis-ter à la cutiféeence que donneranitre mat Ellen Pnévot, amégm liselettr. le mercredi T Men, I 21

hau.res, au siège du Cercle, EroodeMaterne/le Armand-Leygue. 1

« Le Coriolan de Shakespeare e, telest le sujet passionnément évocaqtour d'évènements réeents et pro-metteur de joies littéraires que no-re ami Elien Prévot développera

drestarePtUligaraerojinié.irlrioentl.":11foule apprécier gon talerM

Entrée gratuite-

O.C°STIF31Stéesedr ineurré'Z's«.

111111111111111111111111111111 llllll 111111111111.

COURS â 91FEREICESFACULTE DES LETTRES

DE TOULO.SECours pubfics, semaine du 5 au 10 mars

Mardi 6 mars, à 17 le 15, à l'araphi-théâtre de M Faculté de Droit r M. Ma. i

G'errdteret=rt:lefi.'téesrdeZiè!re'encreSL:Clure du cours.

Mercredi 7 mars, 1 17 L D, d l'amphi- ,théâtre de la Faculté des Lett e ..M. DIFemhoe rod.e. de séograPhie rgraphie nutl, ee, deux midis frans.a,deuxième partie r Les permes metelm!b. Jardins et vergers.

Jeudi 8 mare, d 17 h. 15, à PamphithéOnde la Faculté de Droit M. Picavet,Professeus d'histoire moderne et cantemeporaine Quelques de la Franceintérieure au temps de Louis XV e 7. Laprmince et les intendante r Toulon,n et le

thétedrdfl: Pa'cUbé'Z'Le:5tres':'.11',17t--

iLanguedm.

ahièm-Rrc. maitre de conférences de Md-,losophie 1 Le moi, le umede et Dieu.ulte).

LE COMMISSAIRE ALBIN PEYRONAU CONSERVATO/RE

C'est remdi prahain 6 mare, en soiréeà 20 h. 30, que sera donnée la grandemanifesmtn Salutiste, présidée par leCommieeeire Albiu Peyre. ebef de l'Ar- jmée du Salut pour la France e la Belgi-que et officier de le Lée.. Ah000,u, L.Commlssaire sera accompagné de plueleursofficiers et cette réunion est t. anneléeau plus retentissant succès. Il est à mu

'd'eMsorrer'du.:':yertee Ceree,rate ch':rre:tomes et de l'ouvre rdmiredie de rd' n-um. que l'Année a entreprise dons mascolonie française,

C'est un véritable privilège d'enmndre lePar000 50 nous

tons tous les Touloumins à venir non,breux. L'entrée est absolument libre etgratuite Mans cartes) et l'invitation estpour tous très cordiale.

CONFERENCE DE M. BOUCLEA LA LIGUE DE L'ENSEIGNEMENTC'est enfournai lundi de 14 à 18 h

que s'ouvre, au siège social. 71 rue duT,uv.tslooauôvvspdciale réservée auxmembres de la Ligue et aux «hennés der Minerve .. Cette location ee poursuivramardi et mercredi aux mêmes heuree. Apartir de jeudi mass. locatron publique nam mêmes prix au cinéma Le Royal, del

à 18 temes.One confusion s'étant produite me les,

effiehes, il faue rétablir ainsi qu'il suit leprix dee aimes : Parterre numéroté, 3 fr.;baie. 2 fr.; promenoir debout, 1 fr.

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La Vie SocialisteSECTION TOULOUSAINE

COMMISSION ADMINISTRATIVELes membres de /a C. A. sont invitée à

assister à la réunion qui aura lieu au Foyerdu Penni. le lundi 5 ma. 1934 a 21 1.

mcrétaire Fr.c.GROUPE nunicm'ION SOCIALISTE

CROIX -DAURADERéunion mensuelle mardi 6 mers à 21 h.,

sehrt au cerele laïque.Ordre du jour : Adlésionse &sinisions:

causerie éducative Pea la camarsas 1-'91)9"res; quertione diverees.

Les camarades doivent faire un devoird assister aux eéuniom.

Le aecremere adjoint Pouvillon.

1111111111111111111111111111111111111111111111111

La Vie Syndicale

Il n'y a els de tempsà perdre...

II y ti un mois, les hommes de laconservation sociale, parés du mas-que d'anciens combattants tentaientl'envahiseement du Palais-Bourbonpour s'emparer du Pouvoir par lar Orce.

Malgré la préparation minutieu-se du oomplot, la tentative eohou-Mt au dernier moment, da. un sur-saut d'énergie le go/river...nt aYantrfrelné le preet de Police, compli-ce d. émeutiers.

Il y eut bataille dans la rue t diaanifestants et un garde

on as furent tuée.Oine morts I... Tee.° la ehzetino

dorée hurla de colère; le ministresturent traités d'assassins et la pressed'infermation on devrait dire de

déformation exigea la démissiondnu ministère.

Assassins I Malgré moi je pensaiseux milliers d, travailleurs fusilléeseuvag.rent par Cavaigeac. en finie18480 aux dizaines de mille d'ou-vriers mmsmréa en mal 1871, parniera; aux travail/eu. de Four-mies servant d'expérience aux Le-bels en 1991, par Constant: a. M-ener°. du Midi, de MM, par Cle-menceau, Draveil-Vigneux, Ville-/1.m, Saint-George, Raoo, 'L 010.

509 par Clemenceau, a

fal'e,c10. pirolMaires qui, soue la III'

Republique, furent tué, a coure degrèves ois de manif.tations.

koutant ces crie d'assassins jeitensais aux troia ouvriers qui, pou,tant, ne manifestaient pas, furentassassines froidement, en 1907, parles gendarmes. A Vigne,. c'étaitsous le ministère Clemenceau; àDraveil et à Vieneux, des termieoétaient en grève; alors te.raient une réunioe dam Lane sotie

de café, dm gendarmes, sans motif,tiraient pa- la fenêtre ouverte ettuaient trois grévistes.

Le jour môme do leur enterrementun provocateur, Métivier Da provoleatiou fut prouvée);

illMétivierlui-

môme, avoua . canaerie tiresur la troupe ; de nouvelles vie.-1:3 aeuterent au martyrologe de

I C'elira'gr orril'i aujourd'hui Al'Amassin, 'n'ont jamais prote.stéMituo tuer Mus, ,litrurs journaux,

00fait ree'Pectears (Ir Î'orrlrrjanlsoutarrue. Clemenceau gui acvait payé 100

egiZ!! gel lbelTa'.n'eneme do la bourgeoisie.

Ils n'ont pas davantage protestécontre Hitler, contre Mussolini, etles jours derniers contre Delft..

Louis Veuillot était moins hypo-

critequandsait,il

ryplus de cinquante

nus, il di0 Je voua demande la lib,r4 au

7`,Zde

oZ.e"e:',MCrone iv "-

Ces protestataires, pour sauver /abourgeoisie, n'hésiteront vol, demain, à faire tirer les mitrailleuseset le canons sur le Prolétariat.

Ils n'hésiterent pea, par. quel'économie bourgeoim craque de tou-te part nia guerre avec l'étrange- oula guerre endie, peu imerte, maisune bonne saignee ferai di,parai-tee les ventre-creux, mas eue letesoin de manger rend da plas enplus dangereux.

Il ne petit plre être question, amjourd'hui, de lutter pour conquérirde nouvelles améliorations ou pour.nserver celles déjà obtenues.

Nous allons nous 'battre pour nepas être réduits à une stuationplue lamentable mie l'esclavage anti-que.

Ou le capitalisme eeffmdreraabandonnant sa pluie au raval],ou, pour se maintenir au pouvoir,il fera de l'ouvrier une maehinesouple et d.ile dont il tircre laquintessence.

Le. manifeatation du Inudi 12 fé-vrier fut belle et grandiose; elle nefut, quand même, qu'un geste,qu'une indication.

Demain, it y aura, peut-êtrn rom.

es :arlralZ"Zie 'siant:Le temps des discours seteble revelu.

Je pense et c'est un devoir de ledire qu'il est tout juste tempsd'y songer.

FEDERATION NATIONALEDES CHEMINOTS CONFEDERES

Suudisat do Toulouse -MidiLes carearadm de mmite directeur met

Lerir'éle Udi'r rea'Bom. du Travail.

Ordre du Dur Orgarrisation de la réu-nion eenérele; quer.. import...

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