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  • 8/17/2019 -La Mobilité Urbaine Durable

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    2014-2015 Master 01 

    GENIE URBAIN 1er année Master-Architecture

    Présenter par:

    Mr BOUNOUNI

    Université A. Mira de Bejaia

    Faculté de Technologie

    Département d’Architecture

    La vi l le et Les transports urbains intégré 

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    2014-2015 Master 01 

    1. Définition de la mobi l i té 

    D’une   manière simple et de point de vu statistique, la

    mobilité est un «…déplacement   d’un   endroit à un autre»

    Cette définition simple et efficace résume tout.

    Pierre Merlin définit la mobilité comme «La propension d’unepopulation à se déplacer. En ce qui concerne la mobilité à

    l’intérieur d’une agglomération, on mesure le plus souvent la

    mobilité par le nombre moyen de déplacements un jour de

    semaine par ménage ou par personne» .Cette notion renvoie

    aussi aux moyens utilisés pour les déplacements, et va de lamarche à pieds jusqu’au TGV et même les avions.

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    2. Quelques faits sur la mobilité d’ aujourd ’ hui 

    Transports et Pollution atmosphérique :

    Transports et pollution sonore

    La dégradation des paysages :La construction de   routes,  autoroutes   provoque des dégradations importantes du

    cadre et de la qualité de vie, des paysages, et de la biodiversité.

      coupures dans les paysages et les zones construites

      pollutions sonores visuelles et olfactives pour les riverains   dégradation de la qualité de l'air

      contribution au réchauffement climatique et pollution de l'air par les émissions de

    gaz à effet de serre générées par les transports

      problématiques dues aux migrations d'animaux, ou aux passages d'animaux

    sauvages

      traversée de zones naturelles protégées   destruction de la flore sur le tracé de la route.

      obligation d'expatriation pour les personnes installées sur le tracé de

    l'autoroute, et destruction de leur bien.

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    2. Quelques faits sur la mobilité d’ aujourd ’ hui 

    Figure 1: c'est l'échangeur entre les autoroutes 10 et 110 à Los Angeles

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    2. Quelques faits sur la mobilité d’ aujourd ’ hui 

     Consommation d ’énergie

    La consommation mondiale d'énergie repose essentiellement sur des sources

    fossiles. Dans le cas des transports, le pétrole représente plus de 95 % de ses

    besoins énergétiques. Résultat de la motorisation : les besoins pétroliers ne

    peuvent pas être satisfaits et le coût énergétique peut devenir un véritable

    fardeau pour les pays en développement si le pétrole est acheté en devises.

    Plus d'énergie implique aussi davantage de pétrole et des coûts plus élevés

    Figure 2: consommation totale d'énergie

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    2. Quelques faits sur la mobilité d’ aujourd ’ hui 

     Consommation d e l’espa ce

    L’utilisation de la voiture, et des autres modes classiques (bus) ne  s’arrête pas aux

    pollutions et à la consommation d’énergie, mais ils passent à   l’espace   aussi. A

    titre de comparaison, une voie express à 2x2voies peut prendre en charge  jusqu’à

    3300 personnes par sens et par heure ; un tramway prends jusqu’à 8000 personnes

    par sens et par heure pour une largeur de 2,8m, (contre 6,5m pour la voie bitumé

    2x2). On voit que pour la même largeur, le tramway peut prendre jusqu’à 6 fois plus

    de personnes que les voies expresses.

    Cette consommation de   l’espace   ne se réduit pas à la surface consommée à

    l’utilisation directe (routes), mais il convient aussi d’intégrer la grande problématique

    de stationnement. Une voiture a besoin en moyenne de 25m² de stockage contre

    2,3m² pour un deux-roues motorisé et 1,5m² pour un vélo.   L’impact qu’a   eu

    l’introduction  de la voiture dans la forme urbaine est énorme. De nos jours, il faut

    tenir en compte (et de manière systématique) des réseaux de routes et de placesde stationnement lors de la planification des projets (résidentiels ou autres) ce

    qui a réduit les surfaces d’espaces verts et les aires de jeux des enfants.  C’est pour

    cette raison que la plupart des urbaniste disent que   l’espace  publics de la ville

    aujourd’hui est dédie a la voiture

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    2. Quelques faits sur la mobilité d’ aujourd ’ hui 

    Figure 3: Les infrastructures destinées aux voitures exploitent l'espace urbain de

    manière inefficace.

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    3. C ’est quoi la mobil i té durabl e ? 

    Selon l’OCDE, la mobilité durable est : « une mobilité qui ne met pas en danger la

    santé publique et les écosystèmes, respecte les besoins de transport tout en étant

    compatible avec une utilisation des ressources renouvelables à un taux inférieur à

    celui nécessaire à leur régénération et une utilisation des ressources non

    renouvelables à un taux inférieur à celui nécessaire à la mise au point de

    ressources renouvelables de remplacement ».

    Figure 4: les piliers de la mobilité durable.

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    Une mobilité durable repose essentiellement sur 3 éléments essentiels :

     La promotion des transports en commun

     Diversifier les modes de transports:  Faciliter la multi modalité et construire

    l’inter   modalité : multiplication des modes de transports utilisés par les

    citadins doit être considérée comme un phénomène positif à intégrer à une

    stratégie renouvelée des transports.

     Le développement des formes alternatives de mobilité: Toujours dans d’uneperspective de la mobilité durable Des gros efforts doivent être faits afin de

    rendre plus attractif les autres formes de mobilité comme la marche ou le vélo

    ce que l’appelle les modes de déplacement doux ou non motorisé qui tout

    d’abord   doivent être considérés comme tout aussi important que le voiture et

    non pas des  d’auxiliaires. Le libre choix du mode de transport tant vanté par

    les milieux pro-voitures marche aussi dans ce sens-là et le cycliste et le piétonont les mêmes droits que l’automobiliste.

    Avant de détaillé et aller plus loin sur la notion des modes de déplacement doux,

    il est nécessaire de définir le transport durable car des dernier fait partie

    intégrante de ce système.

    3. C ’est quoi la mobi l i té durable ? 

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    La conférence de Vancouver organisé par l’OCDE sur le transport durable donne les principes

    suivant :

     Sécurité, santé, participation :

    Les systèmes de transport durable devront assurer la sécurité de leurs usagers en leur évitant

    toute exposition au danger et préserver leur santé morale et physique. Ces systèmes devront

    aussi être soumis à   l’approbation des communautés concernées ou être élaboré avec leur

    participation.

     Planification et conservation des ressources naturelles :

    Toute élaboration du système de transport doit se faire selon une planification intégréerespectueuse de  l’environnement ou la planification de la ressource du sol est prise en

    compte. De même pour toutes les autres ressources naturelles, le transport durable doit

    s’assurer de la consommation rationnelle de ces ressources.

     Prévention de la pollution :

    Tout type de transport durable doit minimiser ses émissions en agents polluants et prévenir

    tout dommage causé à l’environnement : écosystèmes, habitat naturel et biodiversité.  Bien être économique :

    Le transport durable assurera par ses réponses efficaces aux besoins des usagers le

    développement économique. Et l’économie, par ses taxes réglementaires doit être au service

    du transport durable en assurant un partage des couts et la protection des couches

    défavorisées

    5. Les principes d’ un système de transport durable

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    Au sens propre, il s'agit des modes de déplacement dans la rue ou sur route sans

    apport d'énergie autre qu'humaine comme la marche, le vélo….etc

    Mais ces modes doivent être considérés en lien étroit avec les transports collectifs

    (bus, tramway, train, métro), le covoiturage, l'auto-partage, l'utilisation du taxi, et

    encouragés par la mise en place   d’aménagements   cyclables, de cheminements

    piétons, et d’espaces dédiés permettant de leur redonner une véritable place dansl’espace  public. Ces modes sont les fers de lance des déplacements de courtes

    distances, des centres urbains à vitesse apaisée et un maillon précieux dans la chaîne

    des déplacements. Le GART milite pour leur développement, via la possibilité pour

    les autorités organisatrices de transport de se saisir de compétences élargies dans le

    domaine et de favoriser une organisation douce des espaces

    par la promotion de zones 30 et d’une charte de la rue notamment

    6. Qu'est-ce qu'un mode doux, aussi appeléacti f ? 

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    Les transports doux caractérisent tous les modes de transports sans moteurs, qui

    ne génèrent pas de pollution ou de gaz à effet de serre.Ce sont :

     la marche à pied

      le vélo, le tricycle

     le vélo mobile

      le roller  la patinette, la trottinette

     la planche à roulette (skate-board)

    Certain ajoutent les transports publics avec :

    •   moteurs au biodiesel ou au diesel propre (bus) et filtre catalytique,

    •   moteurs au GNC (bus),•   moteurs électriques (chemin de fer rapide et métro léger, bus).

    7. Les modes de transport doux

    La vi l le et Les transports urbains intégré 

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     La Marche à pied: C’est le mode le plus connu, naturel, facile, économique, propre,

    sain et répandu dans le monde. Il ne nécessite pas  d’aménagements spécifiques (mais

    ils sont préférables). La vitesse moyenne de la marche à pied est de 3 à 5km/h. Lesprincipales limites de la marche à pied sont la charge, car il est vraiment très difficile

    de se déplacer à pied avec une charge en main (ou sur le dos). Les circuits de marche à

    pied doivent être protégés des autres modes de transports (passage supérieur,

    passage piéton etc.). Socle de la mobilité, la marche fait depuis quelque année son

    entrée dans  l’agenda  des politiques publiques de transport et  d’urbanisme dans les

    pays développé. Aujourd’hui le piéton bénéficie d’une attention nouvelle en liens avecles exigences du développement durable.

     Le vélo: C’est un mode propre non polluant aussi. Le vélo nécessite un aménagement

    spécifique (pistes ou zones cyclables). Sa vitesse est très variable et oscille entre 3 et

    15km/h. Les principales contraintes du vélo sont les fortes pentes et les

    intempéries (difficile de rouler en vélo sous la pluie, ou encoure sous la neige). Il resteun moyen pour tous les âges, qui combine santé, plaisir et service. Il existe des

    politiques qui encouragent le vélo comme moyen de transport en intégrant des

    services de location des vélos (semi électriques) comme  c’est le cas de paris avec les

    (vélib). Des aménagements,  d’inter modalité et d’accompagnements  (parking, pistes

    cyclables) encouragent les gens à utiliser le vélo comme moyen.

    7. Les modes de transport doux

    La vi l le et Les transports urbains intégré 

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     Le tramway   : le tramway est le mode de transport en commun urbain durable par

    excellence. Roulant sur des rails (souvent à système séparé), il a une capacité de

    charge très importante allant   jusqu’à  20000personnes/h. silencieux, rapide et non

    polluant, le tramway peut encore apporter un plus en intégrant dans son

    aménagement un tapis vert. Même  s’il  parait un mode parfait mais le tramway est

    destiné pour les terrains plutôt plats avec des pentes maximales de 6 à 7%.

     Le métro : Le métro est le système de transport le plus économique en terme d’espace

    puisqu’il est souterrain .C’est la solution idéale pour les villes à tissus denses et qui ne

    disposent pas de potentialités de surface libre au niveau du sol. Sa capacité est la plus

    importante parmi tous les autres modes de transport urbain. Le principal inconvénient

    du métro  c’est   le cout et le temps de la réalisation sans oublier les capacités trèsinsignifiantes en termes de franchissement de pentes.

    7. Les modes de transport doux

    La vi l le et Les transports urbains intégré 

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    Pour quel intérêt ?

    L'adoption des modes de transports doux comporte de nombreux avantages : ils

    contribuent à la réduction de la pollution de l'air et à la lutte contre le réchauffement

    climatique, et Restaurer la qualité de la vie en ville

    L’enjeu de la mobilité urbaine durable en générale et l’intégration des modes de transport

    urbain doux en particulier c’est d’assurer :

      Des villes fluides.

      Des villes moins polluées.

      Des villes plus intelligentes.

      Des villes plus accessibles.   De villes sûres et sécurisantes

    7. Les modes de transport doux

    La vi l le et Les transports urbains intégré 

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    L'espace économisé peut être exploité à d'autres fins : espaces verts, espaces libres,

    zones piétonnes, de loisirs, ou commerciales.

    7. Les modes de transport doux

    Figure 5: Les villes ne devraient pas être conçues pour les voitures mais pour

    leurs habitants

    La vi l le et Les transports urbains intégré 

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    Distance parcours et durée du trajet des normes a ne pas ignorer

    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Il est clair que La distance participe de manière directe au choix du mode de

    transport. C’est principalement ce facteur qui a déclenché la notion de «fonctions

    de proximité», cette logique consiste à offrir le maximum de fonctions et de

    services près des lieux d’habitation.

    La distance moyenne à parcourir à pieds étant évaluée entre 400 et 500m, ce qui

    donne 10min de marche. La disponibilité des besoins quotidiens à proximitéréduit de manière importante les déplacements vers les grands centres ou les

    autres zones centrales.

    Les normes concernant les distances par rapport aux modes préconisent (ADEME,

    2006) :

    •   Arrêt de bus à 300m•   Tramway ou métro à 400m

    •   Une gare à 700m

    •   Le trajet maximal en vélo est de 1 à 3km

    •   Le trajet maximal à pieds est de 500 à 2000m

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Ces nouvelles données doivent être prises en compte lors de la planification des

    équipements. Le critère   d’accessibilité mécanique directe en voiture est abrogé,

    laissant place aux nouveaux modes de déplacements.

    Les objectifs généraux sont donc avant tout de diminuer le nombre et la distance

    des déplacements et d’orienter les pratiques vers un usage accru des transportscollectifs et des modes de déplacement de proximité (marche, vélo, roller) bien

    entendu, cela implique de travailler sur les formes urbaines.

    La vi l le et Les transports urbains intégré 

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Il s’agit de : « la disposition dans l’espace des différents composants urbains ». La

    forme urbaine est supposée avoir deux dimensions : Une dimension quantitative,

    c’est-à-dire la densité ;  une dimension qualitative,  c’est-à-dire la diversité des

    fonctions urbaines

    La forme urbaine est la répartition dans l’espace de ces deux éléments.

    Les travaux portant sur les liens entre la forme urbaine et la mobilité des ménages

    sont en général assez concordants pour affirmer que trois dimensions principales

    de la forme urbaine contribuent à réduire l’usage de la voiture :

    1. La densité urbaine (accès à la population),

    2. la diversité et la proximité (mixité   d’usage   du sol et présence de servicesdiversifiés au sein de la zone de résidence),

    3. et bien sûr l’accessibilité (aux emplois comme aux services).

    Ce qui nous conduit vers la promotion du modèle de Ville Compacte

    polycentrique.

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Ce concept de la ville compacte, dense, polycentrique ou tous simplement La ville

    des courtes distance constitue une étape ultérieure : développer un

    urbanisme favorisant l’utilisation de la marche et du vélo et les autres modes de

    déplacement doux (offrir des services et des emplois de proximité en

    développant la mixité, réaliser des aménagements de qualité) pour limiter la

    portée spatiale des déplacements.

    L’exemple   le plus remarquable   c’est   celle des villes allemandes qui ont

    développé les concepts de ville des courtes distances », urbanisation « aux bons

    endroits », « concentration décentralisée ». Ils associent la densification autour

    des gares, avec des programmes mixtes, à une amélioration de leur desserte

    en transports collectifs. Ailleurs,   l’urbanisation   et freinée, voire gelée. Les

    constructions   d’habitat   semi-collectif, de maisons de villes sont favorisées, etle nombre de places de stationnement par logement réduit, par exemple, à une

    seule place de stationnement dans les quartier bien desservis par les

    transports collectifs, afin de limiter le nombre de voitures par ménage. Des

    opérations de réhabilitation des centres ville et de constructions dans les friches

    et dents creuses sont également menées en parallèle

    La vi l le et Les transports urbains intégré 

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Mixité sociale ; catégories

    sociales, types de ménages, styles

    Mixité fonctionnel, logement,

    Activité, commerce et loisir.

    Intégration des modes de transports doux

    Nécessite un urbanisme de proximité

    Une mixité urbaine pour

    réduire la mobilité

    Une poly centralité pour freine

    l’étalement urbain

    Une densification pour

    promouvoir la « ville de

    proximité »

    Figure 6: les conditions d'intégration des modes de transport doux.

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Exemple de SCOT de la ville de Rennes : intégration des modes doux

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Exemple : le schéma directeur vélo de Rennes Métropole

    Des aménagements cyclables, entre communes, subventionnés par

    l’agglomération rennaise.

    Le Conseil communautaire de Rennes Métropole a approuvé le schéma

    directeur des aménagements cyclables de la Communauté d’agglomération en juillet 2006. Il a adopté l principe d’une participation au financement « des voies

    supportant les itinéraires vélos et les aménagements cyclables réalisés par les

    communes ou   d’autres   personnes publiques, conformément au schéma

    directeur vélos » ainsi que la création et l’entretien des « sites vélos à caractère

    utilitaire, de type pistes cyclables et cheminements mixtes piétons/vélos, qui ne

    constituent pas des dépendances   d’une   voie non classée   d’intérêtcommunautaire ». Ce schéma directeur comporte des liaisons cyclables utilitaires

    et de loisirs (respectivement en rouge et vert sur la carte ci-dessous).

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Exemple : le schéma directeur vélo de Rennes Métropole

    Figure 7: le schéma directeur vélo de Rennes Métropole.

    Un maillage entre communes dans une logique de réseaux (accès aux équipements, services, emplois...)

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Exemple Le plan piéton de Genève : les modes doux au cœur desréflexions d’aménagements urbains

    Des aménagements cyclables, entre communes, subventionnés par

    l’agglomération rennaise.

    «Depuis 1995, la Ville de Genève  s’engage à rendre aux piétons leurs lettres denoblesse sur le territoire communal, à la suite d’un constat simple: en 2000, 45 %

    des déplacements urbains y sont effectués à pied ou en vélo, et ce, plus

    rapidement  qu’en voiture. Les augmenter encore, c’est contribuer à améliorer la

    qualité de   l’air  tout en diminuant les nuisances engendrées par la circulation

    automobile ».

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Des actions : un plan directeur en cinq volets.

    Le service urbanisme de la ville a développé un plan directeur des chemins pour

    piétons au milieu des années1990.Celui-ci a pour objectif de donner de la

    cohérence et de la visibilité aux actions municipales en faveur du piéton .Ils

    ‘articule autour de cinq volets majeurs : encourager la promenade, valoriser des

    lieux, des places par quartier, faciliter les mouvements des piétons et éliminer les

    obstacles, modérer le trafic l’échelle des quartiers.

    Figure 8: Genève en temps-

    piétons (à raison de 5 km/h)

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    8.3.1 Les aménagements favorables aux modes doux de déplacements :Principes d’urbanisme et d’espaces publics propices à la multi modalité :

    Des aménagements souvent peu coûteux peuvent être réalisés. On peut citer

    l’installation systématique de parc à vélo aux arrêts de bus, dans les gares, devant

    les bâtiments publics etc.….. Une campagne auprès des employeurs leur

    expliquant l’avantage financier à s’équiper en places pour vélo, bien moins chères

    que celles pour les autos, pourrait être entreprise. Les formes alternatives de

    mobilité sont parfaitement adaptées à une ville plus dense et moins centrée sur

    l’automobile.

    8.3.2 Adopter un langage commun :

    Les terminologies et matière   d’aménagements   et de mesures favorables auxpratiques cyclables, sont nombreuses :

    • bande cyclable,

    • piste cyclable,

    • voie mixte bus-vélo ou piéton-vélo.

    • sens unique ouvert aux vélos à contre-sens.

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    • rampe sur escalier,• voie verte,

    • sas et bande d’arrêt avancés,

    • dispositifs de stationnement,

    • jalonnement,

    • guides et cartes de réseau...

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Figure 9: trois exemples d'aménagement cyclables (source Certu)

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    8.3.3. Des aménagements spécifiques Encourager la pratique du vélo : lesfondamentaux.

    La pratique du vélo peut être intensifiée grâce notamment à la définition de

    véritables itinéraires cyclables, la prise en compte de la sécurité et du bien-être,

    la mise en œuvre d’une  politique de stationnement au départ et à  l’arrivée du

    déplacement... Néanmoins, il existe différents profils de cycliste, tout comme

    des contextes urbains variés… les aménagements doivent l’être également.

    a. Aménagement en site propre

    •   Les pistes cyclables (y compris le trottoir cyclable)

    •   Les cheminements mixtes piétons-vélos

    •   Les voies vertes

    b. Aménagement en site partagé•   La bande cyclable (comprenant aussi les contre sens cyclables)

    •   Les voies mixtes bus / vélo

    •   Les voies apaisées

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    •   Le cyclistes est pluriel les séquences urbaines sont aussi. Les

    aménagements cyclables doivent intégrer judicieusement ces différentes

    composantes

    •   La notion d’itinéraire et de réseau

    •   Un bon itinéraire cyclable conjugue cinq critères : sécurité, cohérence,

    relation directe, attractivité et confort.

    •   Le cycliste choisit son itinéraire en fonction de son motif de déplacement

    (utilitaire ou loisir) et de son niveau de pratique du vélo.

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Quel sentiment de sécurité ?

    La sécurité et la gestion du risque dépendent de la perception subjective ve du danger,

    au- delà des conditions objectives de conduite (revêtement, obstacles, visibilité…).La

    perception   d’une   sécurité augmente la prise de risques. Ainsi, les conflits sont plus

    nombreux à la fin des aménagements sécuritaires.

    Figure 10:

    l'espace

    nécessaireau cycliste

    Figure 11:

    La constitution

    d'itinérairescyclables; une

    nécessité

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    8.3.4 La marche à pied : les principes de la trame piétonne.

    Les politiques publiques prennent de plus en plus souvent en compte la marche à

    pied car c’est la première des mobilités... Néanmoins, les actions des collectivités

    doivent être adaptées aux pas de l’homme : aménagements des espaces publics

    dédiés, information ciblée, accessibilité et sécurité des piétons...

    Quels aménagements favorables aux piétons ?

    Les piétons ont des comportements spécifiques.

    Quatre principes de base sont à respecter pour constituer une véritable trame

    Piétonne.

    a. Assurer la continuité des cheminements

    Les aménagements pour piétons ne doivent pas être réalisés au coup par Coup en

    réponse à des besoins ponctuels. Une vision   d’ensemble,   en interfaceentre urbanisme et déplacements, est nécessaire : liaison entre pôles

    générateurs de déplacements, axes forts déjà empruntés. Ils  ‘agit  de concevoir

    une « ville à courte distance » en permettant des cheminements logiques et

    directs et en prévoyant une urbanisation compacte…

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    La vision globale des aménagements sera renforcée par le jalonnement desitinéraires et la présence des points de repères pour le piéton (arbres,

    monuments, sculptures, totems...).

    b. Modérer la vitesse

    La vitesse excessive des véhicules qui passe à leur proximité donne un sentiment

    d’insécurité .Cette question renvoie à la notion de choix d’aménagement.

    Faut-il séparer les usages ou les mixer? La cohabitation des différents modesDe déplacement doit être analysée parallèlement aux conceptions des

    aménagements des espaces publics.

    c. Voir et être vu

    Les itinéraire   s’offrant   un sentiment   d’insécurités   ont peu utilisés (zone

    d’ombre, éloignement des espaces passants…).

    d. Raccourcir et agrémenter les circuits de déplacementsLes piétons cherchent à raccourcir leur circuit au maximum. Ils acceptent mal

    Les détours .L’agrément du déplacement donne une impression de réduction de

    la distance parcourue (chemin paysager, vitrine…). En revanche, un cheminement

    peu agréable est préjudiciable à la pratique piétonne : nuisances sonores,

    revêtement terreux...

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    8. I ntégration des transports doux en vi l leUn passage piéton bien identifié a proximité d’un arrêt de bus :marquage au sol durable, protection par des grilles (Chevaigné)

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    e. Des piétons aux besoins spécifiques

    Certaines catégories de piétons ont des besoins spécifiques, notamment:

    •   les personnes âgées (du fait de leur faible vitesse de déplacement);

    •   les enfants (souvent masqués par des voitures en stationnement du fait de

    Leur taille et sans appréhension du danger usité du trafic routier…);•   les personnes à mobilité réduite (confrontées à de nombreux obstacles

    dans leur cheminement).

    Leur prise en charge a été renforcée récemment par   l’obligation d’élaborer   un

    plan de mise en accessibilité des espaces publics

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    8. I ntégration des transports doux en vi l le

    Figure 12 : des espaces publics adaptés

    pour un public ayant des difficultés

    pour se déplacer (Allemagne)

    Figure 13:   un espace de circulation

    adapté a tous (Rennes, Beauregard)

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    9. Les exemples sont beaucoup dans le monde 

      La ville de Copenhague :

    L’une des villes les plus écologiques au monde : seul 23℅  des trajets domicile-travail se fait en voiture, pour 36℅ en vélo et 33℅ en transport en commun.

    La conception de la ville est basée sur  l’absence totale de stationnement et la

    reconquête de   l’espace   public qui sont très bien traité pour créer un

    environnement favorable à la marche à pied.

    Figure 14: espace public dédie au piéton

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    9. Les exemples sont beaucoup dans le monde 

      La Rochelle, ville française pionnière des transports doux :

    La Rochelle, réputée pour son engagement dans l’écologie urbaine, c’est une villehistoriquement marquée par la mobilité durable Avec la mise en place du tout

    premier système de vélos en libre-service en France en 1976, ainsi que du

    premier secteur piétonnier en centre-ville dès 1973, La Rochelle est une ville qui

    s’est   faite remarquer historiquement par sa culture d'une mobilité douce et

    innovante dans l’optique d’assurer une vie toujours plus agréable en ville.

    La Rochelle a défini un Plan de développement Urbain dont l’objectif  principal est

    de réduire la circulation de véhicules dans ses rues. Des services alternatifs à la

    voiture individuelle, tels que le vélo,   l’auto   partage électrique, le bateau

    électrique ou encore le covoiturage, ont ainsi été développés.

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    9. Les exemples sont beaucoup dans le monde 

      Exemple de la ville de Rennes :

    Un quart des actifs habitant Rennes Métropole réside à moins de 5 km de son lieu

    de travail. Et cette distance est inférieure à 1,5 km pour un actif sur quatre du

    cœur d’agglomération !

    Ces quelques chiffres feraient-ils apparaître un des potentiels de développement

    des modes doux ? Ce « gisement » ne pourra être révélé   qu’avec   un

    accompagnement fort des politiques publiques... Le travail est commencé dans

    notre agglomération. Il reste néanmoins encore du chemin à parcourir avant

    d’atteindre  « un urbanisme favorable aux modes alternatifs » tel que préconisé

    dans le PDU de Rennes Métropole et le SCOT du Pays de Rennes.

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    9. Les exemples sont beaucoup dans le monde 

    Figure 15: une qualité des aménagements appréciée. Chemin

    piétons paysager et les pistes cyclable de qualité (RENNES).

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    9. Les exemples sont beaucoup dans le monde 

    Figure 16: l'importance du jalonnement : cheminements et

    signalétique en sortie de la station de métro Pont chaillou (RENNES)

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    3 C l i

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    3. Conclusion : 

    Il est claire que la ville a besoin  d’une mobilité sain et écologique pour qu’elle puisse

    s’inscrire dans une perspective de développement durable

    La mobilité durable nécessite l’intégration des modes de transport doux ce qui nous

    oblige d’Agir sur les formes urbaines, l’aménagement et l’espace public :

    Cree ou recrée des formes urbaines qui réduisent les distances de déplacements et

    favorisent l’usage des modes alternatifs a la voiture

    •   Densifier la ville en favorisant la mixité des fonctions urbaines•   Renforcer les continuités urbaine entre les quartiers isolés et les centres urbains (

    en particulier pour les zones d’activité ou les zones commerciales)

    Prendre en compte les impacts de l’aménagement   sur la mobilité dans les

    instruments d’urbanisme locaux

    •   Instaurer des portés a connaissance en amont de   l’élaboration   des docs

    d’urbanisme

    •   sur les problématiques liées aux déplacements

    •   Trouver les relais (personnes ou organismes) au niveau de la conception des

    projets

    •   d’aménagement ; instrument d’urbanisme, équipements commerciaux

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    3 C l i

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    3. Conclusion : 

    Promouvoir le partage de l’espace public en faveur des modes alternatifs aux modes

    individuels motorisés

    •   Cette approche doit concerner   l’espace   public existant, en rénovation ou enconstruction .b elle doit permettre de mieux assurer   l’ensemble   des

    fonctionnalités de l’espace public

    •   Redonner plus de place aux transports collectifs à la marche et au deux roues en

    particulier le vélo, en utilisant toutes les possibilités de partage de l’espace public ;

    espace dédiés ou mixité dans des voies pacifiées.•   Intégrer les aménagements en faveur des piétons, des vélos et de la circulation

    des bus dès la conception des projets d’aménagement de l’espace public

    •   Offrir un espace de déplacement sur et agréable (traitement paysager) et évitant

    l’exposition aux nuisances pour les déplacements de proximité à pied ou en vélo

    •   Sensibiliser les élus et les techniciens, diffuser les bonnes pratiques.

    Le développement de   l’usage  des modes doux nécessite une approche plurielle :

    un urbanisme intégrant piétons et vélos, des politiques volontaristes en matière de

    création de réseaux performants de transports collectifs, une logique de chaîne

    multimodale des déplacements, des habitants sensibles à leur environnement, leur

    santé et leurs finances…

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    Bibli hi

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    Bibliographie 

    1. ADEME, «Réussir un projet d’urbanisme durable», Ed. Le moniteur, Paris 2006

    2. AUDIAR (agence   d’urbanisme   et de développement intercommunal de   l’agglomération

    rennaise), « Les aménagements favorables au déplacement doux » : http://

    www.audiar.org

    3. BAOUNI Tahar, «le projet urbain durable : la dimension des transports», workshop projet

    urbain durable : regards croisés à partir des transports urbains, EPAU, Alger 2010

    4. BAOUNI T, « politique de transport et fabrique de la ville », cours magistral. EPAU, mai 2012

    5. CERTU (Centre  d’étude   sur les réseaux, les transports,   l’urbanisme   et les constructions

    publiques), Divers documents sous formats PDF relatifs au Développement durable, gestion

    de l’énergie, transports et mobilité URL : http://www.certu.fr6. CHARLOT-VALDIEU Catherine et OUTREQUIN Philipe «L’urbanisme durable, concevoir un éco

    quartier», Ed. Le moniteur, Paris 2009,295 page.

    7. CHRISTOPHE Jean Claude « la mobilité durable ; les aides aux transports urbains », éditions

    territorial, 75 page.

    8. CLERC Denis, CHALON Claude, MAGNIN Gérard, VOUILLOT Hervé « pour un nouvel

    urbanisme ; la ville au   cœur  du développement durable », édition Yves Michel, France,

    novembre 2008, 157 page.

    9. Corinne Mignot « mobilité urbaine et déplacements non motorisés », Predit, France, juin

    2001.p 75

    10. DJIAR kahina ; « problématique du transport urbain en Algérie ; enjeux et faisabilité d’une

    stratégie de développement durable. » workshop projet urbain durable : regards croisés à

    partir des transports urbains. Avril 2010, laboratoire VUDD, équipe TMU.

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    Bibli hi

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    Bibliographie 

    11. DJIAR Kahina, « concept de durabilité et transport », actes journée d’étude p 09.

    12. Equipe TMU du laboratoire VUDD, Journée   d’étude   «La problématique des transports

    urbains dans les villes algériennes face du développement durable». EPAU, Alger 2009.13. Huchon Jean-Paul ; Les cahiers ; « vers une mobilité durable en Europe » N°150- mars

    14. 2009 trimestriel .Institut d’Aménagement et d’Urbanisme, Ile De France.176P

    15. LAUGIER Robert, « Ville et mobilité durables », Synthèse documentaire pour le compte du

    Centre de Ressources Documentaires Aménagement Logement Nature (CRDALN), Février

    2010. P 11

    16. Malki Hichem « la ville durable ; quelle est la place de la mobilité ? » essai module mobilité

    durable sous la direction de Dr Baouni T. Février 2012 p 06.17. MATHIEU IGLESIAS, sous la direction du professeur Guiseppe Pini, « La ville compacte : un

    modèle de mobilité durable », étude sur les liens entre forme urbaine et comportement de

    mobilité dans le CANTON DE GENEVE ».132p

    18. Pierre MERLIN & Françoise CHOAY, «Dictionnaire de   l’urbanisme   et de

    l’aménagement», Ed. Puf, Paris 1988

    19. Richard ROGERS «Des villes pour une petite planète», Ed. Le moniteur, Paris, 2000.20. Observatoire Universitaire de la Mobilité (OUM) - UNI GENEVE

    21. Da Cunha, Von Ungern Sternberg « impact de   l’étalement   urbain », forum

    environnement.

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