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« Les réseaux sociaux, facteur aggravant ou remède à l’infobésité… »
« Point de vue forcément partial et engagé d’une agence conseil en communication on line »
«Seuls ceux qui survivront à l’information overload seront vice- président ! »
Titre officieux ☺
« ce serait intéressant d’avoir votre point de vue, vous devez déjà avoir eu à gérer cette
problématique chez des clients »
Guillaume Aper, février 2010
Jamais eu un brief sur ce
sujet !
Et pourtant,
Les chiffres sont là …
• Les médias sociaux sont des monstres qui produisent des contenus beaucoup plus vite que nous ne serons jamais capables de les consommer
133 millions de blogs actifs référencés dans le monde
350 millions de lecteurs
900 000 billets publiés en moyenne chaque jour
13 000 000Le nombre d’articles disponibles sur Wikipedia
13 HEURESde vidéos mises en ligne
sur Youtube chaque minute
140 000 000
de contenus échangés chaque jour
45 000 000
de statuts updatés chaque jour
50 000 000de messages postés chaque jour sur Twitter
Source : The Radicati Group Inc. "Email Statistics Report, 2009-2013« juillet 2009.
• 167 messages échangés par jour en moyenne en 2009
• Le trafic email mondial totalise 247 milliards de messages échangés par jour en 2009 .
• En 2013, ce chiffre aura presque doublé (507 milliards de messages par jour)
Avec des conséquences
majeures
« On l’appelle Infobésité, elle est cause de tous nos maux.
Elle met sous stress celui qui ne sait gérer un tel volume d’information,
(*) Étude CRAG - 2006
« On l’appelle Infobésité, elle est cause de tous nos maux.
Elle met sous stress celui qui ne sait gérer un tel volume d’information,
elle est source de perte de productivité,
« On l’appelle Infobésité, elle est cause de tous nos maux.
Elle met sous stress celui qui ne sait gérer un tel volume d’information,
elle est source de perte de productivité,
et sa croissance se fait de l’avis de tous à qualité décroissante »
Lire vos mails nuit
gravement à la santé
de votre entreprise
Alors pourquoi n’avons nous jamais eu de brief ?
1. Nous ne sommes pas assez bons …
• 2. parce que c’est un sujet qui dépasse le cadre de légitimitédes agences de communication.DOCUMENTS DE REFERENCE
VEILLE STRATEGIQUE
GED
DOCUMENTATION
PROCEDURES
NOTES INTERNE
PKM
3. Parce que ce n’est pas la question la plus cruciale pour les directions de communication interne
Trop ?
On n’en a jamais trop
Surtout si elle est bonne
Clay Shirky1/ Pourquoi tout le monde adore
le concept « d’information overload » ? Parce que ça nous permet de justifier qu’on en s’en sort pas avec nos boîtes mails et surtout de dire que ce n’est pas de notre faute …
http://www.boingboing.net/2010/01/31/clay-shirky-on-infor.html
2/ Pourquoi ce n’est pas la bonne question ? Parce que c’est un fait depuis Gutemberg :
« It’s not information overload, It’s normal case »« Information overload isnot the problem, the filtrage failure is the problem »
January 31, 2010
La question du filtrage …… le retour du collaboratif
Trier, ordonner, organiser grâce aux réseaux sociaux :
le filtrage collaboratif
– « On » collecte l’information– « On » construit
collectivement les hiérarchies éditoriales en fonction :
• du nombre de votes • ou de mots clefs ou de
folksonomies, • ou de hashtags
– A l’intérieur d’une communauté d’usage,
– De manière dynamique
• Site de veille sur innovations dans le domaine bancaire, devenu collaboratif, a multipliépar 10 son audience.
Les « bouteilles à la mer »
• Efficacité redoutable, demander de l’aide
• Il y a forcément quelqu’un qui a la réponse et envie de la donner
Grâce à la sagesse collective, l’information est …
• Plus réactive, dans l’immédiateté• Plus inattendue, la valeur de la
sérendipité• Plus intuitive, son organisation est
réellement liée aux attentes des utilisateurs
• Plus inter-personnelle, elle permet de renforcer une culture de partage
• Plus personnalisée, liée à une « communauté » d’intérêts, grâce aux communautés et aux listes
Le « troisième âge de la navigation »
le « searching », je cherche
le « subscribing »,je m’abonne, je souscris
le « browsing »,je navigue
• Depuis juillet 2009, Twitter apparaît dans le Top 10 des sites apporteurs d’audience dans le domaine des nouvelles technologies (Google analytics- USA)
Confiance en la sagesse collectivemais pas une confiance aveugle
• Qui fait autorité ? – Dans une entreprise 1.0 c’est
la hiérarchie ou l’expert …
• Qui contrôle la véracité des informations ?
• La popularité rend populaire …
3 risques majeurs
3 risques et 1 enjeu majeur …
La consultation…c’est acquis !
La constitution du corpus, c’est du boulot …
Les 7 règles d’or
Mesurer la compatibilité culturelle de votre entreprise avec un mode de fonctionnement 2.0
– Usages technologiques …mais aussi
– Pratiques managériales– Culture de transversalité
> Identifier les freins, les leviers, les sponsors.
�
Identifier des communautés préexistantes
– Communautés d’intérêts– Communautés d’usages– Communautés professionnelles ou non
> Simplifier le déploiement
�
Choisir le bon outil, simple d’usage et ergonomique, s’inscrire dans une logique d’évolutivité
> Et l’oublier ensuite très vite
�
Lui donner une place spécifique dans le dispositif intranet, éviter les redondances, créer des effets rebonds�
Accompagner le changement
• Donner de la visibilité au projet
• En faire la pédagogie• Valoriser les avancées
�
Valoriser la contribution
– En l’inscrivant dans la définition de poste, dans les critères d’évaluation…
– En développant l’exemplaritédu management et du top management.
�
Prévoir du « community management »
– Tout ne se fait pas tout seul– Il faut suivre, analyser, relancer, produire…�
Alors on se lance dans les médias sociaux d’entreprise ?
Les médias sociaux sont comme le sexe chez les ados.Tout le monde veut le faire. Personne ne sait comment s’y prendre. Et quand c’est fait, on est surpris que ce ne soit pas
mieux. Avinash Kaushik, Google
Qu’est-ce qui nous attend ensuite ?
« Il existe un énorme gisement de données enfouies dans tous les ordinateurs de la planète : en les reliant, le web sémantique permettra d’exploiter cette mine pour améliorer nos connaissances dans de nombreux domaines»
Tim Berners Lee,fondateur du www
Le web sémantique
Les documents traités par le Web sémantique contiendront non pas des textes en langage naturel (français, espagnol, chinois, etc.) mais des informations formalisées pour être traitées automatiquement .
Ils seront accessibles et utilisables par tous les sites et applications grâce à des métadonnées normées (Resource Description Framework – RDF)
Le web sémantique : un web dont le contenu pourra être appréhendé et exploité par des machines
Un exemple en phase beta
Who is the president of France ?
En conclusion,
Merci de votre attention