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LE 35CEA.II S PARIS 4150NNEPSENT.51. mos. am Fiance et Colonie.... nurse, j % St PETITES ANNONCES EN a PAGE Chaque ...lime .11.14107à. ID 1=3 .M1_, AUX GROUPES DU PARTI. AUX ORGANISATIONS OUNRIERES, A TOUS LES SOCIALISTES DE LA REGION, L'administration du MIDI SOCIALISTE doit faire connaitre à mus les cameradm 1151- tuasse péniMe ifféns laquelle elle se débat pour assurer la vitalité de gorge,. proie- Drieu. Les mi/Daum de Toulouse qui ont réussi à créer une 0.-.1.0 gigantesque et à la faire vivre SU mois ont crnjusqu'ioi pouvoir arri- ver annulée définitif par /mirs sacrifices répétés. Mais ceux qui ont vSou la via du journal savant guelte tenacitd il leur a fallu pour surmonter des difficolLis sans nombre, ils messissent aussi le dévoüment de quel- III situation personnelle pour le jeumel, Pour la cause sosie... Eléis tout davouemman des limites gui ne /mese Mire 'dépassées et, à l'heure môme où notre tirage augmente régulièrement, où nous avons la certitude absolue de réussir complètement si nous pouvons encore tenir quatre mois, Sol moment, nous nous de- mandons si nous avons le droit de laisser Dimbrar l'ouvre el bien ébauchée. Nous fai- sons done un dernier et suprême appel é tous ceux chea qui bat . caser socialiste. Nous leur demandons si véritablement ils veulent Dar une indifférence onapaMe assumer la 'responsabilité de la mort du MOI SOCIA- LISTE, ou si, en camarades convaincus. III sont décieSs à faire enfin l'effort nécessairt S sa conservation et à son développement. Déjà /a Commission Administrative du Parti I Toulouse, de nomioux militests, plusieurs groupes da la régi, notamnient veux dellusesaltes, d'Albi, etc., nous avaient demandé d'ouvrir Elms las colounes du jour- nal, une sonseription destinée élut venir en aide. Devant le dangex nous no saurions hésiter pins longtemps et usus ouvrons à partir d'aujourd'hui une Souscription permanente en faveur du al Midi Socialiste" Nous n'ajouterons qu'mi mot: Le sors d journal est entre las mains des socialistes ta région. Demain, lis dirons sus velfient il1 oigane â eux, ou s'as préfèrent se 111101. â VO. Ie. amine eisenrenee 0505-ine039 ees.....degehaiear.te::.gee uns tes Ionre par la presse bourgeoise à /a solda do capitalisme. "LE MIDI SOCIALISTE" - Nom publierons à nette même aile., tous les versemeuts individuGs qui nous sucont feta lute monteru net collectes en Ilotes de somoriptions qui nous parvien- drons DUCILL XXX LI PRITIOUE Premières Impressions Pour la première fois je suis entré à 'la Chambre mardi dernier et je VeuX di- ne Ornes camarades de la région merl- dionale, pue l'intermédiaire du « Midi Socialiste a qu'elles ont etti unes impres- sions. J'ai rode près la majorité g,imverne- mentale - et je l'ai jugée_ . Elle est au-dossous de toutes les ma- I.jorit. asservies de notre histoire par- lementaire, t Rien ne la fait plus Rien ne la fait plus aindignerl Sernbat et With° ont eu beau démon- -13er les plus monstrueux "dents de justi- cru eums a ecteurs une m- ils ont eu he. démontrer que los pus-n des !Pli/. pas, l'instar d'Entes, Gaubert. Idel eèl anodins ; pour avoir osé paraître daue le plus beau rets, mais si le plie beau Livide de rose, ch.00l.t, demi Mala- il poser sesl FEUILLETON DU 17 IILSI 1909 78 CD G- I Par ZRVACCO PREMIERE PARTIE XLII LA PRINCESSE 11ANFREDI In. fugitive flamme d'orgueil empour- pra le cime de Primevère, Pegmlons ne La vol pas. Mais Malatesta là vd, lui! s'avaeça sue le chevalier, ivre de Fureur, main levée. Mais avant que cette main ne se 151 in/laissée. avala meule qu'auc. des set- kneurS présents .à cette scene PAL pu faire ,un peste pour intervenir Ragestens avait Rais' le poignet de Malatesta. 111e tordait 'le pétrissait. Et, terrible, celle fois, la 'égare consuls.. il se nottoitait sa ie ijeune homme qui essayait en vain d'é- chapper la formidable ébeinte. - Quaad asines-veus que je vous bue? demanda Rugastens d'une %nia bleuet., leftrayaute à ent.dre. - Dis plutôt que lu as peur de nett- e. rugit Malatesta. Soue quoi, tu aurais !déjà-compris que j'ai soif de ton s.g ! Ragestens Eicha le poigmt. sûr quo Ma- latesta ne pourrait pas recommencer le leste d'eutmge. - Mnusieur, Ail-il froidement, ah {.1 .1.1$ que je vous attende In grande place. use Munion publique en und-firme pour avoir ouvert une séanee et avoir souhaité la bienven. aux °raina:9, pour s être rendus da. une réunion privée et présidée. Es lont eu beau dé- montrer que c'etair le régime policier et non plus le régime républicain, la majorité Ma point brettelle. Pille accepte tout de Clemenceau I Elle subit tout de Clemenceau ! Veule et snns énergie ! Asservie et dorniMe par le premier Flic Fraoce qui les fousile elles ridiculise, elle lais- se faim. Certes, MOU opinion était déjà faite depuis longtemps sur Io parti radical et mdicali.nt 11013,-oaitre du p.voir. Aprés tout. ces pron.sses et toutes ses trahisons, je savais que l'on n'avait plus rien o. espérer do lui, mats je cro- yais tout de même qu'il pouvait encore rnaniftiSfer en !guetta' de la liberté me- ttons.. et piétinée et qu'il lui restait assez de conscience républicaine pour manifester quelque peu . haino de l'or- bitrait, rt de Pluj.tice. J'assiste humblement que je Sur nuis lourdensent trompé. Le parti radical 'existe plus en tant que parti au Parlement. A part quelques exceptions rares ; très rares. ceux qui le .mpt.ent sont devenus les coortism. des ge. au pou- voir. Rien de plus. Clemenceau est leur maitre. 110 lui doivent obéissance et respect. En désir du Rut puissant est un or- dre, un geste, un commandement. ' Et gt.nd Barthou d la tribune défiait les postiers, déflait les employés de l'E- lat. défiait les salaries de tout ordre du gonmenement republiettln, 0000151e pro- testallon de la part des radi.ux. Des marques d'approbation tout au contrai- ce et vers /a 1110 du di.onm de l'ancien ministre de Méline, flets applaudisse- ments ! - gement pus isuptikations' ce celui qu'ils applaudi:am/mil trier ! Dire que mais ces radiCaux n'auraient pas tieuvé des mots assez durs d'épithe- tes aseez méprisantes pour le Segellur. Tout cela parce que ce parti .t de- venu le parti de l'écuelle. Leur indépendance, leur liberté, leur dignité, ils les tint basses dans les unit- ires ministérielles, et quand é' Clémimmau voudra encore les faim al- ler plus el avant dans la honte en I. inc.fiant de leur supprimer les burefa. de tabac, les reeettea burulist., les dé- corations duel il fout une si .iple MoiS- Allons, continuez, messieurs. Vous avez encore une année pour ambsfaire les appétits de vos grands éltuaeurs avanténue la débecte vous emport,. Mais, hélas !, la débâcle n'entraînera- Lelle pus autre chom que des hommes GOMPERE-MOREL. Pur ce lemps.de coucous, de plébiscites par lus ses, blancs, le, !humes. les courtilliéres, ZtAguettattem, - Quand 7 - Ce soir. testa sortit. L'altercation avait eh; rapide. Aue. des chefs présents au Conseil n'a- vett pu intervemr. Lorsque Malulasta fut sorti, nuptisler. se tour. vers eux. - Messieurs, dit-il axe utte calme di- gnité, maintenant qu'.custe s.picion injuste et injurieuse ne s'élève contre moi, je veux, da mon plein gré, vous don- ner des explications... Je reconnais ou vous les seigneurs que j'ai vus da. los Catacombes. Vous m'aveu entendu re- fuser de m'.mcier h Mute action contre les Borgia. Il faut done que "je vous di5 comment et pourquoi je suis lei- - Monsieur, interrompit Jiidio 111e des membres du vos menti- cabot. seront les bienvenues, si Vous lu- gea à propos de nous les fournir. 0101s je dois dès maintenant déclarer que le salins. de Jean Malatesta fut profondé- ment injuste. En elret, je puis attester que les Borgia vous considérant comme un de leurs plus mortels ennemis. J'étais fi Ro- me, secrètement, le ROM' de votre évasion du châle. Saint-Ange. .1. lu les tm blettes qui mettaient votre tête à prix. Et, ft I effort qui tété fait po. s'emparer de vous, j'ai pu juger de la terreur que ces inspaie? aux Borgia. Dès ce niument, j'ai vivement souhaiM vous connaitre et je suis heureux que les circonstances me permettent aujourd'hui de vo. Lustre une Main amie... Sag, aste. saisit aveu ioie lu main d'Or- viol. Leu autres membre du Conseil Pas- surèreint tour à. tour de tour sympathie. hloe0 le ettevaliee voucune., Son histoire, JOURNAL QUOTIDIEN DU PROLETARIAT .*-4.«"e"Dedstetidees Rue Roquelaine, Toulmele nrrior.rs Yz.]ma-Dozz.A.7. Gr, 1,y1.0.1.0.Arie Utak. A.,0yr0111 cantal - Lat - LorsetoGvalsonoe - Cancien Hantea-Pyeenéese - ligasonen-Pyseienéess Aude - Tarn - Cesse.- 'Parnost-Gneonne - 'Xioaloune Latantsesaaronne - Arinase ronge ne serait pas,- le sang 0110 d05O- «am Peace ! n'y va pas de main mort Et e'''cfn!sne te dictateur qu'il silhouettait en posent la question était fort rebonthais- sahle, le gouvernement y avait boue, une f2Cielii071 au meurtre el ordennêdes pou, suites contre te lom.nal. Faire le portrait d'un quidam, 0000e 0100 précision telle que but le monde le peut nqcler âcre !dm,- trurs on doit k tuer s. il y a la, INet,à robotterer, de quoi toquiiter sujet. Nuis ne Ironces-vous pas que nous en arrime d de singulières suceurs. Si l'on s'avise, en effet, de procéder à des... c.récutions par .0 referendum... Cependant. si l'on avait p0111,97{4 ri /a Guerre Sociale-. pourquoi ne poursui- uraion pas tel écrivain notoire qui doses eue uvre demeurée célèbre consela a asphalta de tuer la femme ainet^r1 O los «trieurs de rainons et de pire a thèse qui -- suivant craiRettrS e.veen- plc du Code - earneent le 7710Pi Meurtrier et provoquent ainsi an meurtre en pro- mettant no» la gloire du libérateur, mai., t'acquittement. GihTièRLAINE. Chronique Horticole Travaux de Saisog au Jardig de la ferme Itme fout dipluiluti. agricole 0,00,0condui- te lo potagurget les arbres Iraqien mlivent le- t me. e"ir.="1?.:.t;.,eir.zei 100 en effet du superflu, man Une refieource lis méceuse par la mima que les produits da 1.1 j0,. servant u l'afintenteme du 001015101ee0 ae hou pessouneL la boues dimetim et sol. d'entretien donnés au Jardin de ta ferme amont laiges meiio.,s trficupérXm. spa,L1;,881!;,/,aion pruduits relie .1101.1t en fait de !nivaux »e"esne1v1518 gairre es nombreux qui gagetuent nos mata ,s do; que le; rendes Mendes du urne:nos VorDent leur 000000m et leur scaro.clIon. A la fin de mat et en juin, on sèment dm choux, dm chieorees. dee ;Med. de ta rai- ppm., des radis des carottes, pers/L Dans le; Mante montagne. et froids, VII peut en-, core semer les concombres et Ice Le e est une, aprintIon Importante, vitriétfari plantes soumises agate spe-' ration. On repique ou celte oison, les 501110 poireaux 00.14ris, tomates, laitues, chicoté., scaroles 'et le Meettlit unsetiore. On monl le les porte-pn.a. doMoto, naveR cerfeuil, machu et pole. Le choix des plante n maquer exige une attention toute spéciale. Pour les choux, le udifieur pie celui qui est minou de ses b est ois pri/Mus feuil/es. Les tplans trop entés no rentament el. três dilue/terne:d, bou- de. e et 101,1 prédestimis périr cous les a, einnee t;I:n0té, .'dn're'tniSlii , t?1CI's2eeo%;sles' d'efforts Iode soins, `flat 1. Mrie ed eus stappllquer toutes nos taus eoundses eu repiquas. Oio qu arrivent lea taries chalems, le sol se dessèche t fi faut dere 00, 1110155, à toutes les matures et des arrosas. copieux plutét que fréquents, de proUsamee le sein Lui:illette dol fraises. m.. haricot, se ns- ut entant due possible le meilo, banne heu- En celte ;aime, les planer; da fraisiers et DOIT-ON? n'autres plante; ie3 pépinières où sout trouer- rées lm beatiffes sont fréquemment a/teintes el de referencia, un de nos con frire, ccwit ennemis, tele que purvions de tout acabit, che- sales nombreuses qui donneruut naissance à dos papillons e exsuderont de nouvelles la- leçons peur l'année suivante si l'on ne mot drpuitusooeasednra Itane, telle que nus 1.1eurs la connaissent. Ce réMit, il le lit en bennes simples, et rien Mitait udmi- raide comme lit tranquillité avec laquefie il raconta comment il avait am:haine à sa place César Borgia et comment M. tard il avait teool le pape Cl son pouvoir. Ils cremateut entendre quelque mer- veilleuse odyssée. Quant t Primevère, elle no laissait rien parait.,r de ses senti- ments. Seulement, l'aUentiou avec la- quelle elle Ocoutdia était si profonde qu'au moment o ide chevalier cesvu de parler, elle eut un brusque tressaillement. comme si te silence l'eût violemment surprise. routes les mesures prises en l'absence du comte .Altna furent veillé. par Itli. Il pria marne le prince Mteratedi de gux der Ie commandement généra/. Sa molles- se y trouvait un préCieux avantage. Le comte Alma voulut, séance teuanfe, condromer O Sapante. I0 titre de maitre de camp qu'il lut avait donné. Mais Sa- glutens refusa obstinément. - Je préfère agir en volontaire libre, dit-il pour toute rép... - Vous songeriez dune b nous quitter - Jusqu'ici, monsieur In comte. 101 ve- tiu uu peu au 50 cle l'aventure. Gette vie hasardeuse, qui a se0 périls et ses dé- boires, a aussi son uharme. 011000100 qtra me serait difficile d'y- renoncer. Il m est doue imp.sible de dire précisé- ment 011e serai demain.- rfaineurs. l'Is- sue de mon duel aven le seigueur Mala- testa- - Ce duel n'aura pas tien 0111 vis-am/ai le comD. os+ 11 00 fent pas que de110 braves 11151 PIS mies de des_ et. igues par t'expérience. uni la courtilière et le ver bl.e, feu Ire Su sulftlie de carbone Mun 00 101, à une profouleur de DOS centimètres. Le s'ah., es milt.e eLaut 00gas drionn.t O faut s'alutenir de Lerner et élolaser /one subsumée eu ignition, lorsque r. oPère. Les chenilles du diou Ds teignes et les li- pases seront eombatues. par aria °Mer vive en 00, 505 Cou 101010505 ,00I poudre et la poudre de a,riae_Viol,'!!!',!est I. Voici une formule 1010 00000 contra lolo Va- s savon noir. 2 kilos ; eau. 100 litres, Oie mriance s'emploie en aspersions, 0 Telle d'ueo putikimleus ou MutIl seringua fie jui- n.. Afin denier que les Mg.., da même que nal rd Paulette, soient espacés par les vers da Serre, uyeu sole. /vaut de Merdes, d'immerger lm bulbes tous au sedursen compasée de 30 055 grimaluo de sullide de suivie m er2taux pour un titre d'eu. Apros «Mese ou même epose I Opisubinoa us mot tes m en te.re. Ce même prceedé de sadatuse peut s'apPil- namste le vers n't t.talleront pae. quer aux pols, MM d'éloigner ka oneaut Deux Grands Meettligs ott le ;an sont très Mau. de tette sen:mure. pucerons- et anses Insecteu,. ou lave les feulleS avec-une éponge leen.05 deus re..10e tune peignée de sel pour deux litres d'eau). Il faut faire une puerto acharnée ma en- séduis des matures, si l'ea veut aven un bien tenu ri umlmeul produce. LE Fh.B.E SYLVADV. *00 ECHOS LOGIQUE, animé ffig co perd pu le nerd, bien gr'il u Midi, ca ce forçat que la cour d'arises ida Mea de conda.nr a drue toisesth e uisgl années de haraur boue, Asenx, plan oè_, 51.1 ...Pute la tue, ',gus sobre, en réponse ta auestian du p.i. est lui demandant s'il und quelque chose g ober, il a da lesficnecncent ; -- Je demande d laite la punie, peine unt.l deusSince t Le minore brait Cà esuf, der OPilbulicn eh diiikkle. PDXS.000. tub pour. l'eesteoer Tu- as lu dRait - Queen, oui ut te pies WU 0 Ce ou' of rsue ossi est - Rire, ripooda le minante, fol outure..50 use. Or, j'eV peue Ire dents n sue buta, lices évident an'il est plue embarre de Min ane de miser. des COURSÉ WARITMLTIQUE. Lee *sérico., dont le baie inventif ne eh nu. jabot, bu implosé la corse d'ariihneetiqu e Qu'as ? dmanderes-trus. Voici ea,.. enveloppe fennec er cerise oux roui. ae enee1000e bob., erils reshcdre fe pédalant. Le gagnant est ceint qui coloute le plus vite solution. Ri te prix e Oh I le plus ut inst arluicrl en- cor.' une rimeur°. lt cousis, en une place de con,ptatele dam tole maron de connus, qui à imsnee la course d'arithenctiauh Ruions pion hisèbra . firu I seereaqh,..ur uusbc moyen los reiSSie73 PERPLEXIVE. Lujolie pente X-, dre théine des Délassonen eupuique, un qu'an dilate Elle rot bop romp, lissante pose Or, soupirants. Si ries que, dernier, meut, 000 se tr.snit tort perplexe, cherchant qui attribuer b patern,té d'un eufaul. dont elle allait drue, mire. Auer, dee coupables receeptaie la courte. L'un d'eus, jumelant, amputé dune iambe, sc décidu - oil-o, l'enfant rient au bonde arec une joui. de boid, je seer; reconnais el, LES e fr. sa DU COMMANDANT tai de eu, ...frères Prisiest bR'è°, fashommes rép.d.t inutilement: leur sang ! ajouta le prince Manfredi. QU'on 1.se venir Jean Alalatoole.- !halo Orsini siNenca et revint bieutiit avec Nleatesta Celui-ci entra, trie froid maintenant. - à/. cher Aue, dit le prince, vous ONU 050 injuste ru o500 le chevalier de Ra- gastens. Nous Unau, la preuve certaine, évidmdc, que vos soupçons n'étaient Mo fondé,- Noire bien-aimé mante, revenu parmi nous à In suite d'une dêmarche où il Ma péché que ae improd..ce, reprend Sel titres ; il veut bien, teutefdis, notle laisser lie co.n.dements qui nous out été assignés eu .sembiée generale - Je Oslo heureux atodata de toute ex- pression que le comte sait digne de notre baissa/lait, dit MuLatesta. Eien, Jean !... Quant au chevalier de Riom:stens, vous êtes un bop noble meur et !mus aves trop de vraie bravoure pour ue pos convenir devant lai que amuu ayez eu tort. - Avant de vous répondre, prince, je désiré deux mots en particulier b M. le chevalier. -- Soit ! 01 10 prince M.fredi étonné. Jeun Malatesta sI retira daua l'embra- sure d'une fenêtre., où Rapa.steris le re- joignit aussitôt. Primevére, qui se tenait O ce moment débout derrière son père, recula insensiblement vers l'embr.ure d'eue fenêtre. - Monsieur, dit Jeun Malatesta, dias l'instant où je voua ai vu dans les cala.- combes de Reine, j'a; udnare de tout le biyauté chevaleresque de votre attitude et votre courage... Cette opiraon que j'ai dal NO. n'a pas 0.0.,,é depmis que voue sans fait suant dei est très eirhae Or périscope cbra de nes ournbrm aub &rein d'une buire atporutioe. Le périscope cet l'apposait ctui permet otI com.nclant onferucê dans le ...Inari, de voir us dela,. L'end de ces pie-. wu.00 ml étama. a Connu il eet rusuge, te remstaimate fait achnix'stration demande ratuneer. Les inninletes riennent, rra- antent, tua ru ermtatatione rédigent du re- part., riasent des pbees rIoncluent qu'et a. Cl nécessaire' d'elnnyer à Rade l'objet d êta y is anse pour 4 raie 000 dépenee chlincsa mo fiance. Chez les ID. T. T. REVOCATIONS EN MASSE VOL/ VAUX-HALL Lu raoming. Pâris. 16 med, Drin 10x010101 avaient Olé orgaulses ppm m mann par NUMen des syndicats Lu pl./mer. Mul a eu 11. à %off Taud-Hull, fa geai heures 11 50001. 10004x5 10 emmena ouverte, ln salie riait Le citoyen StMei est par acielmnittm nomme prisaient; Il a p.r assesseurs Blood, cordon- Mef, et Sagouin ouvrier maema A peint Stehro ad-il déolaréfin Mance ourorte miun incident se produit O Inse,11.co pst!. Osaient à parile SI, bur.d, commtselre de pubee du quartier. 5101, coin5 de mu delarpo, est présent sur retraite Ou une 0 s 510110e Et dut. a quelque peine rétablir lis silence. Puis fi sam.,us brai d/eues ent mue, mienne, lut distant qua ne deempere pei do le ppner 010 ente, sy.leatioet car sa. doute auel, les maki., Illeenult.ts leur sort. Imiteront un jour l'exemple des Pos- tiers. nepassUele. te oompunmire saando graven100 relu allsoution que lI sale applaudit à tent r.mre. Pitié, le ciloy. Le Dru du syndical des fer- 1:0seiusiedi4 la pude, il preneuse un dis- soute ' sans leprdin 'tasetalemimileas.cif proPITétrat rks toneximin.res, ont dé.runsis Immé .e Indism/uble. Le. camarade On.quet. qui Pane eIlutv? charge 0 fond de Onu le gouvereement et o Purlemeta souleva a reutiMes reprises, les auplauillemments de rad-ideoo fi promet es- suite amt P. T. T. saieristes raPPM 0m burism En terminant, 11 s'adrmse . commissaire, Menue qu'Il demiard son e.c.ss oui policiers lern.MIL; feront grive a leur tour. PM, change00 dotes, il s'écrie en aplatis- p0310 9. 110001010 dire à votre tyran, 31. Clemenceau, qu'Il peut me snefiro en priera. Mali qu'il me trouvera toujours debout pour Seattle.: le pmEturiali No. entend/os ensali le Cayeu berrheim, du syndicat dm metallurristee, qui une violente diatribe contre C/e.asoutt, Itriael et Berthes - Le gouvernement, glerle-141. v..1 °ma- ter les métallurgistes comme comiurteum 0000 ionsobilee en cas e grève dos chemine de fer. Mais les ee11.reiete, ne su prèteront pas à celle Uttanturee et. d'ailleurs, la verront ce qoffls uoeaOtO fens pour venir en 0110 aux poetters. Le &aven batelières. électricien, dit que les iravalactira de l'éleasirité cent du amui avec ale.: ils miment d'aillesma t leur audits. e vffeetive PI il ae pourrait qua- i:auIn tin de le semai. le gouirermitnent sa une surprise 0. Puis at fait l'édose la smalleal des Muta. gens 500 lequel teutes associalions esaynires devraient 5..0 modèle. - Qua01 à id Eépubifique, osant, Io muleta- riat Pen tkinsafeesse eompEtement aujourd'hui. Pau importe la ferme du musiques... s mienne. Il reproche aux grévistes des P. X. T. d'avoir trop attendu pour faire usuel 50101j..ours pour agens... t. mut amen géné- ral_ Lvide.ucid. billes tout le mande sera prêle mais ode mi taann perdu. Si fou s'y coca ramené Alma-, je sois, MtMatultu qu'il vous doit I -- Monsieur, je vo. assum.., - Laisses-moi Mûr, chevalier- 01mo- isis vous dire que l'insulte qui ôtait sur nies lèvres tout ft l'heure était bien loin de mon esprit, A t'instant 50805e où ,je cherchais quelque paroles e.poisonnée cesare vous, je vous elmimis et, hélas ! I e vo. enviais ! Aspasie. ried abasourdi. Le eguruan de Jean MuleestaNdait ino.festabtle, se passait-il deus l'esprit de ce jeune homme - Chevalier. neprit mudain Malatesta, je vais, devani ces Messi.rs, vous faire mes exeUSna. Ras je vous ai b.sem.t insulté, vnohoul que vous so méritiez pas l'outrages.- - Et moi, fit Itagaslens, je ne pormek- igni Pfie, fiff alisSi digne gentilhomme , /annale. Ge que vous venez de due ef- face l'insulte. Non sculenient je m'eu contente, niais je n'eusse pus tant exigés - Merci, chevalier, dit fiévreusement Malatesta. Maig laisxemnmi finir, je vais vous faire mes excuses et notre duel de ee soir n'aura pas iten. Mais units noue battrons tout de même.- - Je ne comprends pan., -Je vous dis qu'il faut que rens no. buttions I Qu'il Peut que ffun de nous de. meure 1... -Soit ! Je consens a me couper laque- r° avec vous, bim que votre attitude eue paraisses.. - iDgue d'un 100 1.., Vous >uses te dire Quand raalas.ve. mie %Les amim riG.U...ÉPI/ONE 31u PLI 'aI110 'un hunenees 0 page, la ag. Réclames 1 page, la lig. Troisième .5,1a ligne, Locale 3. page, la lig e . Deuxième page, la ligue . Panai., page, la hg. 0551 Ils, 05. 5 fr. MO, examaredide démonte le périscope, net k trbe à etaber dans sa poche et ou ehee OId eh. ebu. .. Combien de temps ceITS fandMihit e0000 rugie pli, et meast-ce que ce knautich osides° Q.rante-heeit. Doras et 2 Je. Su Es eue, deus manu après, le emmerdant 0e- p0u00 la ciron Subie et Per, dv hs Put« 2 il. so. Paruoo une bunabirreion de Fa marine gd fait airsi aue écouentie de an fr. n'eu duebe sime dfalt pris Mas la, is, pochais ferai:nt ffie brusenrcs demande tao. à Losleinnee - Les Irsvoideurs de fiednefec printe mut. ils déridés h 10010 0511 à leursitomerume dea P. T. T.S 900éOlIumnloàsOtlr00051,PEOs Et Urne.). Msde la bilame ou minurnie Sao/ du saulical des boulanges, qui levOpS /. passim.. 45 rio. pus prle part if th airs, roue tmyali aga. « le citoyen Itén'utill, ouvrier inagon.romet aux P. T.N. Papp. des syndiqu p és du men; "Ce loaen 'Lalt 'eaRers'"1, pion/ isp po.0 eue vsenefIrEfte.!1!!151aPe0,'"1,/jüftigie '"' .. La citoyenne Fend.1, taêpbooste, parle au nom des feu.. emptoyees de; P. T. T. et s'és lise oontro In amd 10,0 Femalesl te pneu pur los chambres de cemseeme. La lote des orateurs 51 Mum et on 'adopte deux ordas du. jeu r, le prome destur.tquu Une iies tranallleutts eala nues à fane gre. sous des ssudduusl Os uuaotl, 50115150 P.t. bosco grevistm et les /matant 0 in Minaef b tom All MAMBOS -PAUL Iksv.t une .robantan assistanns ou mes ciste à rétention du Surese. ares. Bes faeleur c.equé, 151 nommé ; /es citoyens tu.rpoOc Perandey, du bas timen. sont no.e. assmdcum. 1,10 citoy. Th/ailier prend ta pax., lino. .nce quia fivete de la runron le, conseila syndicaux se réuniront poule faire c.nditee les déminions prises par /.rd orgapistaions roopentiv.. Puis il cade la paoulooaa camarade Antsearg ville de ta Fechniation de l'Alimestatiou, qut pela contre 15 5,41510 républicain et. Vidais. tenir de bonne source que loI bourg.is pas risiens ont tait proaision du Mril et de nais loua005 pour tirer Per lilsiulde. - Givoncades poursuit-in VOUS iniaaartne vous egOrger ruts VOUS elefenth, t 01m pour il, dent pour dont. Vous sauna su besoin avoir suceurs aux mêmes armes hundoid.. Stein. hien que ei lm postiem sont value ,ne Céda !Mu,. syndicaliste qui /saule de 5505 crient - Younnous fis de In IlépUbitqUO. NOU8 voulous plus do d0s00 t No comptons 511 sur nenrsanerum. O.iqu'un crie *ors « Vivo ParnMe 5 ce qui p.a.nr 10e protmintieue et les bilées de l'auditoire. Le camera. Pataud parmo 5 ee moment du. la stMe ; ou Pappolle ii lu tribunes. - Les améliorations s.ia les attenduesIMe la ciao. OUISialn, dit-il, . réaliserons que si .iss sitylua le3 tanqUeeir nelleednet mes. SI On Mime faire, les houLangors ot dtMe tees commune. seront ...anses anal. den (One len= i rua, tairee que iour profession rép.d I .e névesite de la vie. L',dia.do du ganivmuoment a .i en; un mémo sentir Le huai°. I fit RagaPtens de plus ra phoe étohaé. - Denain. à La nuit teme.te,s, -10001. Lendroit 4., - A la -O imr.ex-vous la '111050 0..., Excuseuoo mei, je ne commis pas encore Mordes luelo - Ems des murs au milieu du 004318 par lequel v.s !Mes arrivé, namt-ne dits,/ 000-0000 remarqué deux inerates ros che. L'un d'eux, celui de droite, res- semble vaguement une tête d'homme., C'est pourquoi on appelle cet encline Iv Tête... - non. Demain, la nuit, ..cher la Tiite..Y!i serai. inomieur. - Messit, flt nec agilaticei Malatesta. - Line question, pourtant O Que diable, mn honnate homme .mme moi, ne que ponde o, faiée trier par Mn digne pen. tilhomme tel que 1005, 00 de le tuer, sels savoir . moins pourquoi X- Vous souleu savoir pourquoi je vous ai provoqué ? Vous vontcu savoir pour- quoi, tout en rogretts.t une parole indi-, nue de ma loyauté, jh veux moere vouo tue ou être hie pucocos? -- Morbleu! Je crois bien que pi veux le savoir !- - Fil bien I... C'est que Faisatti Bée- trie I.. Chenprusiez-moi... Je l'aime a en perdre 1e rui9011, puisque j'ai commis ln /fiche000 de vous insulter faussement, da Panne à préférer la mort à la aertitude da, pas étee enté !.... Bagas...ne eine ulouuls tattS pale. Cl slangf5 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

LEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1909/B315556101...Mais Malatesta là vd, lui! s'avaeça sue le chevalier, ivre de Fureur, main levée. Mais avant que cette main ne se 151 in/laissée

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LE35CEA.II S PARIS

4150NNEPSENT.51.mos. am

Fiance et Colonie....nurse, j %

St

PETITES ANNONCES EN a PAGE

Chaque ...lime.11.14107à.

ID 1=3 .M1_,

AUX GROUPES DU PARTI.AUX ORGANISATIONS OUNRIERES,A TOUS LES SOCIALISTES DE LA

REGION,L'administration du MIDI SOCIALISTE doit

faire connaitre à mus les cameradm 1151-tuasse péniMe ifféns laquelle elle se débatpour assurer la vitalité de gorge,. proie-Drieu.

Les mi/Daum de Toulouse qui ont réussi àcréer une 0.-.1.0 gigantesque et à la fairevivre SU mois ont crnjusqu'ioi pouvoir arri-ver annulée définitif par /mirs sacrificesrépétés. Mais ceux qui ont vSou la via dujournal savant guelte tenacitd il leur a fallupour surmonter des difficolLis sans nombre,ils messissent aussi le dévoüment de quel-

IIIsituation personnelle pour le jeumel, Pourla cause sosie...

Eléis tout davouemman des limites gui ne/mese Mire 'dépassées et, à l'heure mômeoù notre tirage augmente régulièrement, oùnous avons la certitude absolue de réussircomplètement si nous pouvons encore tenirquatre mois, Sol moment, nous nous de-mandons si nous avons le droit de laisserDimbrar l'ouvre el bien ébauchée. Nous fai-sons done un dernier et suprême appel é tousceux chea qui bat . caser socialiste. Nousleur demandons si véritablement ils veulentDar une indifférence onapaMe assumer la'responsabilité de la mort du MOI SOCIA-LISTE, ou si, en camarades convaincus. IIIsont décieSs à faire enfin l'effort nécessairtS sa conservation et à son développement.

Déjà /a Commission Administrative duParti I Toulouse, de nomioux militests,plusieurs groupes da la régi, notamnientveux dellusesaltes, d'Albi, etc., nous avaientdemandé d'ouvrir Elms las colounes du jour-nal, une sonseription destinée élut venir enaide.

Devant le dangex nous no saurions hésiterpins longtemps et usus ouvrons à partird'aujourd'hui une

Souscription permanenteen faveur du al Midi Socialiste"

Nous n'ajouterons qu'mi mot: Le sors djournal est entre las mains des socialistesta région. Demain, lis dirons sus velfient

il1oigane â eux, ou s'as préfèrent se

111101. â VO. Ie. amine eisenrenee0505-ine039 ees.....degehaiear.te::.geeuns tes Ionre par la presse bourgeoise à/a solda do capitalisme.

"LE MIDI SOCIALISTE"

- Nom publierons à nette mêmeaile., tous les versemeuts individuGs quinous sucont feta lute monteru net collectesen Ilotes de somoriptions qui nous parvien-drons

DUCILL XXX

LI PRITIOUEPremières Impressions

Pour la première fois je suis entré à'la Chambre mardi dernier et je VeuX di-ne Ornes camarades de la région merl-dionale, pue l'intermédiaire du « Midi

Socialiste a qu'elles ont etti unes impres-sions.

J'ai rode près la majorité g,imverne-mentale - et je l'ai jugée_

. Elle est au-dossous de toutes les ma-I.jorit. asservies de notre histoire par-lementaire,

t Rien ne la fait plusRien ne la fait plus aindignerlSernbat et With° ont eu beau démon-

-13er les plus monstrueux "dents de justi-cru eums a ecteurs une m-ils ont eu he. démontrer que los pus-n

des !Pli/. pas, l'instar d'Entes, Gaubert. Idel eèlanodins ; pour avoir osé paraître daue le plus beau rets, mais si le plie beau

Livide derose,ch.00l.t, demi Mala-

il poser sesl

FEUILLETON DU 17 IILSI 1909 78

CD G- IPar ZRVACCO

PREMIERE PARTIE

XLII

LA PRINCESSE 11ANFREDI

In. fugitive flamme d'orgueil empour-pra le cime de Primevère, Pegmlonsne La vol pas. Mais Malatesta là vd, lui!

s'avaeça sue le chevalier, ivre de Fureur,main levée.Mais avant que cette main ne se 151

in/laissée. avala meule qu'auc. des set-

kneurSprésents .à cette scene PAL pu faire

,un peste pour intervenir Ragestens avaitRais' le poignet de Malatesta. 111e tordait'le pétrissait. Et, terrible, celle fois, la'égare consuls.. il se nottoitait sa ieijeune homme qui essayait en vain d'é-chapper la formidable ébeinte.- Quaad asines-veus que je vous bue?demanda Rugastens d'une %nia bleuet.,leftrayaute à ent.dre.

- Dis plutôt que lu as peur de nett-e. rugit Malatesta. Soue quoi, tu aurais!déjà-compris que j'ai soif de ton s.g !

Ragestens Eicha le poigmt. sûr quo Ma-latesta ne pourrait pas recommencer leleste d'eutmge.- Mnusieur, Ail-il froidement, ah

{.1.1.1$ que je vous attendeIn grande place.

use Munion publique en und-firmepour avoir ouvert une séanee et avoirsouhaité la bienven. aux °raina:9, pours être rendus da. une réunion privée et

présidée. Es lont eu beau dé-montrer que c'etair le régime policieret non plus le régime républicain, lamajorité Ma point brettelle.

Pille accepte tout de Clemenceau IElle subit tout de Clemenceau !Veule et snns énergie ! Asservie et

dorniMe par le premier Flic Fraocequi les fousile elles ridiculise, elle lais-se faim.

Certes, MOU opinion était déjà faitedepuis longtemps sur Io parti radicalet mdicali.nt 11013,-oaitre du p.voir.

Aprés tout. ces pron.sses et toutesses trahisons, je savais que l'on n'avaitplus rien o. espérer do lui, mats je cro-yais tout de même qu'il pouvait encorernaniftiSfer en !guetta' de la liberté me-ttons.. et piétinée et qu'il lui restaitassez de conscience républicaine pourmanifester quelque peu . haino de l'or-bitrait, rt de Pluj.tice.

J'assiste humblement que je Sur nuislourdensent trompé.

Le parti radical 'existe plus en tantque parti au Parlement.

A part quelques exceptions rares ;très rares. ceux qui le .mpt.ent sontdevenus les coortism. des ge. au pou-voir. Rien de plus.

Clemenceau est leur maitre.110 lui doivent obéissance et respect.En désir du Rut puissant est un or-

dre, un geste, un commandement. 'Et gt.nd Barthou d la tribune défiait

les postiers, déflait les employés de l'E-lat. défiait les salaries de tout ordre dugonmenement republiettln, 0000151e pro-testallon de la part des radi.ux. Desmarques d'approbation tout au contrai-ce et vers /a 1110 du di.onm de l'ancienministre de Méline, flets applaudisse-ments ! -gement pus isuptikations' cecelui qu'ils applaudi:am/mil trier !

Dire que mais ces radiCaux n'auraientpas tieuvé des mots assez durs d'épithe-tes aseez méprisantes pour le Segellur.

Tout cela parce que ce parti .t de-venu le parti de l'écuelle.

Leur indépendance, leur liberté, leurdignité, ils les tint basses dans les unit-

ires ministérielles, et quand é'Clémimmau voudra encore les faim al-ler plus el avant dans la honte en I.inc.fiant de leur supprimer les burefa.de tabac, les reeettea burulist., les dé-corations duel il fout une si .iple MoiS-

Allons, continuez, messieurs. Vousavez encore une année pour ambsfaireles appétits de vos grands éltuaeursavanténue la débecte vous emport,.

Mais, hélas !, la débâcle n'entraînera-Lelle pus autre chom que des hommes

GOMPERE-MOREL.

Pur ce lemps.de coucous, de plébiscites par lus ses, blancs, le, !humes. les courtilliéres,

ZtAguettattem,

- Quand 7- Ce soir.

testa sortit. L'altercation avait eh; rapide.Aue. des chefs présents au Conseil n'a-vett pu intervemr. Lorsque Malulastafut sorti, nuptisler. se tour. vers eux.

- Messieurs, dit-il axe utte calme di-gnité, maintenant qu'.custe s.picioninjuste et injurieuse ne s'élève contremoi, je veux, da mon plein gré, vous don-ner des explications... Je reconnais ouvous les seigneurs que j'ai vus da. losCatacombes. Vous m'aveu entendu re-fuser de m'.mcier h Mute action contreles Borgia. Il faut done que "je vous di5comment et pourquoi je suis lei-

- Monsieur, interrompit Jiidio111e des membres du vos menti-cabot. seront les bienvenues, si Vous lu-gea à propos de nous les fournir. 0101s jedois dès maintenant déclarer que lesalins. de Jean Malatesta fut profondé-ment injuste. En elret, je puis attester queles Borgia vous considérant comme un deleurs plus mortels ennemis. J'étais fi Ro-me, secrètement, le ROM' de votre évasiondu châle. Saint-Ange. .1. lu les tmblettes qui mettaient votre tête à prix. Et,ft I effort qui tété fait po. s'emparer devous, j'ai pu juger de la terreur que cesinspaie? aux Borgia. Dès ce niument, j'aivivement souhaiM vous connaitre et jesuis heureux que les circonstances mepermettent aujourd'hui de vo. Lustreune Main amie...

Sag, aste. saisit aveu ioie lu main d'Or-viol. Leu autres membre du Conseil Pas-surèreint tour à. tour de tour sympathie.

hloe0 le ettevaliee voucune., Son histoire,

JOURNAL QUOTIDIEN DU PROLETARIAT

.*-4.«"e"Dedstetidees Rue Roquelaine, Toulmele

nrrior.rs Yz.]ma-Dozz.A.7.Gr, 1,y1.0.1.0.Arie Utak. A.,0yr0111cantal - Lat - LorsetoGvalsonoe - Cancien Hantea-Pyeenéese - ligasonen-Pyseienéess

Aude - Tarn - Cesse.- 'Parnost-Gneonne - 'Xioaloune Latantsesaaronne - Arinase

ronge ne serait pas,- le sang 0110 d05O-

«amPeace ! n'y va pas de main mort

Et e'''cfn!sne te dictateur qu'il silhouettaiten posent la question était fort rebonthais-sahle, le gouvernement y avait boue, unef2Cielii071 au meurtre el ordennêdes pou,suites contre te lom.nal.

Faire le portrait d'un quidam, 0000e 0100précision telle que but le monde le peut

nqcler âcre !dm,-

trurs on doit k tuer s. il y a la, INet,àrobotterer, de quoi toquiiter sujet.Nuis ne Ironces-vous pas que nous enarrime d de singulières suceurs.

Si l'on s'avise, en effet, de procéder àdes... c.récutions par .0 referendum...

Cependant. si l'on avait p0111,97{4 ri /aGuerre Sociale-. pourquoi ne poursui-uraion pas tel écrivain notoire qui doseseue uvre demeurée célèbre consela aasphalta de tuer la femme ainet^r1O los «trieurs de rainons et de pirea thèse qui -- suivant craiRettrS e.veen-plc du Code - earneent le 7710Pi Meurtrieret provoquent ainsi an meurtre en pro-mettant no» la gloire du libérateur, mai.,t'acquittement.

GihTièRLAINE.

Chronique Horticole

Travaux de Saisogau Jardig de la ferme

Itme fout dipluiluti. agricole 0,00,0condui-te lo potagurget les arbres Iraqien mlivent le-

t me. e"ir.="1?.:.t;.,eir.zei100 en effet du superflu, man Une refieourcelis méceuse par la mima que les produits da

1.1j0,. servant u l'afintenteme du001015101ee0ae hou pessouneL

la boues dimetim et sol. d'entretiendonnés au Jardin de ta ferme amont laigesmeiio.,strficupérXm.spa,L1;,881!;,/,aion pruduits

relie .1101.1t en fait de !nivaux

»e"esne1v1518 gairrees nombreux qui gagetuent nos mata

,s do; que le; rendes Mendes du urne:nosVorDent leur 000000m et leur scaro.clIon.

A la fin de mat et en juin, on sèment dmchoux, dm chieorees. dee ;Med. de ta rai-

ppm., des radis des carottes, pers/L Dansle; Mante montagne. et froids, VII peut en-,core semer les concombres et Ice

Le e est une, aprintIon Importante,vitriétfari plantes soumisesagate spe-'

ration. On repique ou celte oison, les 501110poireaux 00.14ris, tomates, laitues, chicoté.,scaroles 'et le Meettlit unsetiore.

On monl le les porte-pn.a. doMoto, naveRcerfeuil, machu et pole.

Le choix des plante n maquer exige uneattention toute spéciale. Pour les choux, leudifieur pie celui qui est minou de sesb estois pri/Mus feuil/es. Les tplans trop entés norentament el. três dilue/terne:d, bou-de. e et 101,1 prédestimis périr cous les a,

einnee t;I:n0té, .'dn're'tniSlii ,t?1CI's2eeo%;sles'd'efforts Iode soins,

`flat 1. Mrie ed eus stappllquer toutesnos taus eoundses eu repiquas.

Oio qu arrivent lea taries chalems, le sol sedessèche t fi faut dere 00, 1110155, à toutes lesmatures et des arrosas. copieux plutét quefréquents, de proUsamee le sein

Lui:illette dol fraises. m.. haricot, se ns-ut entant due possible le meilo, banne heu-

En celte ;aime, les planer; da fraisiers etDOIT-ON? n'autres plante; ie3 pépinières où sout trouer-

rées lm beatiffes sont fréquemment a/teintes

el de referencia, un de nos con frire, ccwitennemis, tele que purvions de tout acabit, che-sales nombreuses qui donneruut naissance àdos papillons e exsuderont de nouvelles la-leçons peur l'année suivante si l'on ne mot

drpuitusooeasednra Itane, telle que nus1.1eurs la connaissent. Ce réMit, il le liten bennes simples, et rien Mitait udmi-raide comme lit tranquillité avec laquefieil raconta comment il avait am:haine à saplace César Borgia et comment M. tardil avait teool le pape Cl son pouvoir.

Ils cremateut entendre quelque mer-veilleuse odyssée. Quant t Primevère,elle no laissait rien parait.,r de ses senti-ments. Seulement, l'aUentiou avec la-quelle elle Ocoutdia était si profonde qu'aumoment o ide chevalier cesvu de parler,elle eut un brusque tressaillement. commesi te silence l'eût violemment surprise.

routes les mesures prises en l'absencedu comte .Altna furent veillé. par Itli.Il pria marne le prince Mteratedi de guxder Ie commandement généra/. Sa molles-se y trouvait un préCieux avantage.

Le comte Alma voulut, séance teuanfe,condromer O Sapante. I0 titre de maitrede camp qu'il lut avait donné. Mais Sa-glutens refusa obstinément.

- Je préfère agir en volontaire libre,dit-il pour toute rép...

- Vous songeriez dune b nous quitter- Jusqu'ici, monsieur In comte. 101 ve-

tiu uu peu au 50 cle l'aventure. Gette viehasardeuse, qui a se0 périls et ses dé-boires, a aussi son uharme. 011000100qtra me serait difficile d'y- renoncer. Ilm est doue imp.sible de dire précisé-ment 011e serai demain.- rfaineurs. l'Is-sue de mon duel aven le seigueur Mala-testa-

- Ce duel n'aura pas tien 0111 vis-am/aile comD.

os+ 11 00 fent pas que de110 braves 11151

PIS mies de des_et. igues par t'expérience.uni la courtilière et le ver bl.e, feu

Ire Su sulftlie de carbone Mun 00 101,à une profouleur de DOS centimètres.

Le s'ah., es milt.e eLaut 00gas drionn.tO faut s'alutenir de Lerner et élolaser /onesubsumée eu ignition, lorsque r. oPère.

Les chenilles du diou Ds teignes et les li-pases seront eombatues. par aria °Mer viveen00, 505 Cou 101010505 ,00I

poudre et la poudre de a,riae_Viol,'!!!',!est

I.Voici une formule 1010 00000 contra lolo Va-

s savon noir. 2 kilos ; eau. 100 litres,Oie mriance s'emploie en aspersions, 0 Telled'ueo putikimleus ou MutIl seringua fie jui-n..

Afin denier que les Mg.., da même quenal rd Paulette, soient espacés par les vers daSerre, uyeu sole. /vaut de Merdes, d'immergerlm bulbes tous au sedursen compasée de 30055 grimaluo de sullide de suivie m er2tauxpour un titre d'eu. Apros «Mese ou mêmeepose I Opisubinoa us mot tes m en te.re.

Ce même prceedé de sadatuse peut s'apPil-namste le vers n't t.talleront pae.

quer aux pols, MM d'éloigner ka oneaut Deux Grands Meettligsott le ;an sont très Mau. de tette sen:mure.

pucerons- et anses Insecteu,. ou lave les feulleSavec-une éponge leen.05 deus re..10e tunepeignée de sel pour deux litres d'eau).

Il faut faire une puerto acharnée ma en-séduis des matures, si l'ea veut aven un

bien tenu ri umlmeul produce.

LE Fh.B.E SYLVADV.

*00

ECHOSLOGIQUE,

animé ffig co perd pu le nerd, bien gr'ilu Midi, ca ce forçat que la cour d'arises

ida Mea de conda.nr a drue toisesthe uisgl années de haraur boue, Asenx, planoè_, 51.1 ...Pute la tue,',gus sobre, en réponse ta auestian du p.i.est lui demandant s'il und quelque chose gober, il a da lesficnecncent ;-- Je demande d laite la punie, peine unt.ldeusSince t

Le minore brait Cà esuf, der OPilbulicneh diiikkle.

PDXS.000.tub pour.

l'eesteoer Tu-as lu dRait

- Queen, oui ut te pies WU 0 Ce ou'of rsue ossi est

- Rire, ripooda le minante, fol outure..50use. Or, j'eV peue Ire dents n suebuta,

lices évident an'il est plue embarre deMin ane de miser.

des

COURSÉ WARITMLTIQUE.Lee *sérico., dont le baie inventif ne eh

nu. jabot, bu implosé la corse d'ariihneetique Qu'as ? dmanderes-trus. Voici

ea,.. enveloppe fennec er cerise ouxroui. ae enee1000e bob., erilsreshcdre fe pédalant. Le gagnant est ceint quicoloute le plus vite solution.

Ri te prix e Oh I le plus ut inst arluicrl en-cor.' une rimeur°. lt cousis, en une place decon,ptatele dam tole maron de connus, qui àimsnee la course d'arithenctiauh

Ruions pion hisèbra . firu I seereaqh,..uruusbc moyen los reiSSie73

PERPLEXIVE.Lujolie pente X-, dre théine des Délassonen

eupuique, un qu'an dilate Elle rot bop romp,lissante pose Or, soupirants. Si ries que, dernier,meut, 000 se tr.snit tort perplexe, cherchantqui attribuer b patern,té d'un eufaul. dont elleallait drue, mire.

Auer, dee coupables receeptaie la courte.L'un d'eus, jumelant, amputé dune iambe, sc

décidu- oil-o, l'enfant rient au bonde arec unejoui. de boid, je seer; reconnais el,

LES e fr. sa DU COMMANDANTtai de eu, ...frères Prisiest bR'è°,

fashommes rép.d.t inutilement: leursang ! ajouta le prince Manfredi. QU'on1.se venir Jean Alalatoole.-

!halo Orsini siNenca et revint bieutiitavec Nleatesta Celui-ci entra, trie froidmaintenant.- à/. cher Aue, dit le prince, vousONU 050 injuste ru o500 le chevalier de Ra-gastens. Nous Unau, la preuve certaine,évidmdc, que vos soupçons n'étaient Mofondé,- Noire bien-aimé mante, revenuparmi nous à In suite d'une dêmarche oùil Ma péché que ae improd..ce, reprendSel titres ; il veut bien, teutefdis, notlelaisser lie co.n.dements qui nous outété assignés eu .sembiée generale

- Je Oslo heureux atodata de toute ex-pression que le comte sait digne de notrebaissa/lait, dit MuLatesta.

Eien, Jean !... Quant au chevalier deRiom:stens, vous êtes un bop noble meuret !mus aves trop de vraie bravoure pourue pos convenir devant lai que amuu ayezeu tort.

- Avant de vous répondre, prince, jedésiré deux mots en particulier b M. lechevalier.

-- Soit ! 01 10 prince M.fredi étonné.Jeun Malatesta sI retira daua l'embra-

sure d'une fenêtre., où Rapa.steris le re-joignit aussitôt. Primevére, qui se tenaitO ce moment débout derrière son père,recula insensiblement vers l'embr.ured'eue fenêtre.

- Monsieur, dit Jeun Malatesta, diasl'instant où je voua ai vu dans les cala.-combes de Reine, j'a; udnare de toutle biyauté chevaleresque de votre attitudeet votre courage... Cette opiraon que j'aidal NO. n'a pas 0.0.,,é depmis que voue

sans fait suant dei est très eirhaeOr périscope cbra de nes ournbrm aub

&rein d'une buire atporutioe. Le périscope cetl'apposait ctui permet otI com.nclant onferucêdans le ...Inari, de voir us dela,. L'end deces pie-. wu.00 ml étama. a Connu il eetrusuge, te remstaimate fait achnix'strationdemande ratuneer. Les inninletes riennent, rra-antent, tua ru ermtatatione rédigent du re-part., riasent des pbees rIoncluent qu'et a.

Clnécessaire' d'elnnyer à Rade l'objet d êta

y is anse pour 4 raie 000 dépenee chlincsamo fiance.

Chez les ID. T. T.REVOCATIONS EN MASSE

VOL/ VAUX-HALL

Lu raoming.Pâris. 16 med,

Drin 10x010101 avaient Olé orgaulses ppm mmann par NUMen des syndicats Lu pl./mer.Mul a eu 11. à %off Taud-Hull,

fa geai heures 11 50001. 10004x5 10 emmenaouverte, ln salie riait

Le citoyen StMei est par acielmnittm nommeprisaient; Il a p.r assesseurs Blood, cordon-Mef, et Sagouin ouvrier maema

A peint Stehro ad-il déolaréfin Mance ourortemiun incident se produit O Inse,11.co pst!.Osaient à parile SI, bur.d, commtselre depubee du quartier. 5101, coin5 de mu delarpo,est présent sur retraite Ou une 0 s510110e Et dut. a quelque peine rétablir lissilence. Puis fi sam.,us brai d/eues ent mue,mienne, lut distant qua ne deempere pei dole ppner 010 ente, sy.leatioet carsa. doute auel, les maki., Illeenult.tsleur sort. Imiteront un jour l'exemple des Pos-tiers.

nepassUele. te oompunmire saando graven100relu allsoution que lI sale applaudit à tentr.mre.

Pitié, le ciloy. Le Dru du syndical des fer-1:0seiusiedi4 la pude, il preneuse un dis-

soute 'sans leprdin 'tasetalemimileas.cif proPITétratrks toneximin.res, ont dé.runsis Immé .e

Indism/uble.Le. camarade On.quet. qui Pane eIlutv?

charge 0 fond de Onu le gouvereement et oPurlemeta souleva a reutiMes reprises, lesauplauillemments de rad-ideoo fi promet es-suite amt P. T. T. saieristes raPPM 0m burism

En terminant, 11 s'adrmse . commissaire,Menue qu'Il demiard son e.c.ss oui policierslern.MIL; feront grive a leur tour.

PM, change00 dotes, il s'écrie en aplatis-p0310 9. 110001010

dire à votre tyran, 31. Clemenceau,qu'Il peut me snefiro en priera. Mali qu'il metrouvera toujours debout pour Seattle.: lepmEturiali

No. entend/os ensali le Cayeu berrheim,du syndicat dm metallurristee, quiune violente diatribe contre C/e.asoutt,

Itriael et Berthes- Le gouvernement, glerle-141. v..1 °ma-

ter les métallurgistes comme comiurteum 0000ionsobilee en cas e grève dos chemine de fer.Mais les ee11.reiete, ne su prèteront pas àcelle Uttanturee et. d'ailleurs, la verront ceqoffls uoeaOtO fens pour venir en 0110 auxpoetters.

Le &aven batelières. électricien, dit que lesiravalactira de l'éleasirité cent du amui avec

ale.: ils miment d'aillesma t leur audits.e vffeetive PI il ae pourrait qua-

i:auIn tin de le semai. le gouirermitnent saune surprise 0.

Puis at fait l'édose la smalleal des Muta.gens 500 lequel teutes associalions esayniresdevraient 5..0 modèle.

- Qua01 à id Eépubifique, osant, Io muleta-riat Pen tkinsafeesse eompEtement aujourd'hui.Pau importe la ferme du musiques... s

mienne. Il reproche aux grévistes des P. X.T. d'avoir trop attendu pour faire usuel50101j..ours pour agens...t. mut amen géné-ral_ Lvide.ucid. billes tout le mande seraprêle mais ode mi taann perdu. Si fou s'y

coca ramené Alma-, je sois, MtMatultuqu'il vous doit I

-- Monsieur, je vo. assum..,- Laisses-moi Mûr, chevalier- 01mo-

isis vous dire que l'insulte qui ôtait surnies lèvres tout ft l'heure était bien loinde mon esprit, A t'instant 50805e où ,jecherchais quelque paroles e.poisonnéecesare vous, je vous elmimis et, hélas !I e vo. enviais !

Aspasie. ried abasourdi. Le eguruande Jean MuleestaNdait ino.festabtle,se passait-il deus l'esprit de ce jeunehomme

- Chevalier. neprit mudain Malatesta,je vais, devani ces Messi.rs, vous fairemes exeUSna. Ras je vous ai b.sem.tinsulté, vnohoul que vous so méritiezpas l'outrages.-

- Et moi, fit Itagaslens, je ne pormek-igni Pfie, fiff alisSi digne gentilhomme, /annale. Ge que vous venez de due ef-face l'insulte. Non sculenient je m'eucontente, niais je n'eusse pus tant exigés

- Merci, chevalier, dit fiévreusementMalatesta. Maig laisxemnmi finir, je vaisvous faire mes excuses et notre duel deee soir n'aura pas iten. Mais units nouebattrons tout de même.-

- Je ne comprends pan.,-Je vous dis qu'il faut que rens no.

buttions I Qu'il Peut que ffun de nousde. meure 1...

-Soit ! Je consens a me couper laque-r° avec vous, bim que votre attitude eueparaisses..

- iDgue d'un 100 1.., Vous >uses tedire

Quand raalas.ve. mie %Les amim

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La citoyenne Fend.1, taêpbooste, parle aunom des feu.. emptoyees de; P. T. T. et s'éslise oontro In amd 10,0 Femalesl te pneu purlos chambres de cemseeme.

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Puis il cade la paoulooaa camarade Antseargville de ta Fechniation de l'Alimestatiou, qutpela contre 15 5,41510 républicain et. Vidais.tenir de bonne source que loI bourg.is pasrisiens ont tait proaision du Mril et de naisloua005 pour tirer Per lilsiulde.

- Givoncades poursuit-in VOUS iniaaartnevous egOrger ruts VOUS elefenth, t 01m pouril, dent pour dont. Vous sauna su besoinavoir suceurs aux mêmes armes hundoid..Stein. hien que ei lm postiem sont value ,ne

Céda !Mu,. syndicaliste qui /saule de 5505

crient- Younnous fis de In IlépUbitqUO. NOU8

voulous plus do d0s00 t No comptons 511sur nenrsanerum.

O.iqu'un crie *ors « Vivo ParnMe 5 cequi p.a.nr 10e protmintieue et les biléesde l'auditoire.

Le camera. Pataud parmo 5 ee momentdu. la stMe ; ou Pappolle ii lu tribunes.

- Les améliorations s.ia les attenduesIMela ciao. OUISialn, dit-il, . réaliseronsque si .iss sitylua le3 tanqUeeir nelleednetmes. SI On Mime faire, les houLangors ot dtMetees commune. seront ...anses anal.den (One len= i rua, tairee que iour professionrép.d I .e névesite de la vie. L',dia.dodu ganivmuoment a .i en; un mémo sentir

Le

huai°. I fit RagaPtens de plus ra phoeétohaé.

- Denain. à La nuit teme.te,s,-10001. Lendroit 4.,- A la-O imr.ex-vous la '111050 0..., Excuseuoo

mei, je ne commis pas encore Mordesluelo

- Ems des murs au milieu du 004318par lequel v.s !Mes arrivé, namt-ne dits,/000-0000 remarqué deux inerates rosche. L'un d'eux, celui de droite, res-semble vaguement une tête d'homme.,C'est pourquoi on appelle cet enclineIv Tête...

- non. Demain, la nuit, ..cherla Tiite..Y!i serai. inomieur.

- Messit, flt nec agilaticeiMalatesta.

- Line question, pourtant O Que diable,mn honnate homme .mme moi, neque ponde o, faiée trier par Mn digne pen.tilhomme tel que 1005, 00 de le tuer, selssavoir . moins pourquoi X-

Vous souleu savoir pourquoi je vousai provoqué ? Vous vontcu savoir pour-quoi, tout en rogretts.t une parole indi-,nue de ma loyauté, jh veux moere vouotue ou être hie pucocos?

-- Morbleu! Je crois bien que pi veuxle savoir !-

- Fil bien I... C'est que Faisatti Bée-trie I.. Chenprusiez-moi... Je l'aime a enperdre 1e rui9011, puisque j'ai commis ln/fiche000 de vous insulter faussement, daPanne à préférer la mort à la aertitude da,

pas étee enté !....Bagas...ne eine ulouuls tattS pale.

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XLVI/1

RODOLPHE ET SARAD: - Apprenant votre ursiego, pensantlad marier moi-inéniti, je n'ai pas pu ger.der thke tillé auprès de moi, elle avaitISiSOT ans alors...

- Mais è mette époque je vous l'ai de-asufsdee avec s'éeria Ro-&Vie d'un ton déchirant et ares HMessait rés.ru suas npiarse.... La seule quemue /n'ayez écrite neannuipilitia Mort L.

- Je vodlais me venger de vos méprisen vous refusent votre,enfaat... Cela étaitOeta/igné. Mais émanes-kiwis je le .00.1.la Vfiy m'échappe, cc dernier coup m'ae-

s- Non bous t je ire voue crolS pas... jene veux pas vous croire.. La Gouoicuee...ma fille !... , ,

- Eimietee-moi. vous dis-je. Lorsqu'elleeut quatre ans, mon frère chargea ma-;darna Séraphin, veuve d'un ancien Lser -Rite. à lui, d'éleveg l'enfant jirsqu'à ceqa'etle fût en âge dentrer en pesetas,..

fend,to destinée à msurer PmenirMoire fille fut déposée par mon terre elles

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1.1';:Ou'dtrrZet'sUirrit 'tir,ee'etoui rimIDTDDI: D: Dins eetle.... Au .ut d'un . rtrearivit tuesinté de ma filk s'idterait-. huit mois

Aime Séraphin cet entrée air smvieede Jacques Feriand aprè rasoir livre no-tre fille à ia Chouette par PintermAliaired'un misérteie actuellemen1 au bague deRoehotart. Je conuneueeis à éeii, dettedéclaration de ln Chouette, lorsqu'ellem'a frappée. Ce palmer Cel là... avec unportrait de votre' fille id 'aga de quetee

EXamiam Mut, lettres, déclaration,!serait ; et vous qui l'avez me- cette

malheureuseAprès ees mots qui épuisèrent ses

forces, Sarah tomba délainante dans sonfauteuil.

Rodolphe resta foudieri par cette ré-vélation. Itodolp/m, pensuadé du la mortde Pleur-de-Marie n'avait Mus meurt es-poir ; celui do es convaiocre 00001e tri-tait pas sa CIR. Avec un calme effrayant,qui épouvanta Sale, il s'appr.ha de latable, ouvrit la cassette 01 . mit à lireles lettres une à 5000, 11 eXaMiner aveu uneattention ecropulefee les papiers quiles aceem,pagnaierit. - Ces lettres, tim-brées et datées par la poste écrites à Sa-rah et à son frère pir /e notaire et mada-me Séraphin, étaient relatives à l'enfancede Fleur-de-Marie et air plabement desfonds qulon lui elegtheiiLs-Redolphepouvait douter de l'authenticité de cette

La dédaration de la Chouette se trou-vait oonfirméf. pose tus ..eignemonts

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piiia 'par mare de Rodolphe, ct qui signa-laient un nommé Pim!. Tournmsiro, fer-rai, âfier, à amie:fort, comme l'hommequi avait rem Pleur-de-Mmie des mainsde und.. Séraphin pour la livrer àlaChem., que /a mailleureuse enfant avaitolle-unime renom. plus tard devantRodolphe au tapis franc de l'ogresse.L'acte de &lies immi.ait eu règle ; maisPerrand avait lai-sterne avoue à Ceellyque ce faux acte avait servi A la spolia-tion d'aoie somme considérable, autrefoisplacée en Moger sur la hite de ln jeunefille mml avait fait noyer par Martialà rite du Ravageur.

Cc fut donc, hélas 1 avec une croissanteet épouvanleble mgoiese que nodolpaeacquit. malgri, lui cette terrible500, que la Csoualeffve était se /Me etqu'elle était morte. Malheureusementpour luis, tout semblait confirmer cetteenfikfice. Avant de condamner JaoquesFerrero/ sur les primo00 donnéos ose lenotoire Monème à 0(00 Eu, le prie., dansson vif intérêt pour la Gottaleuse, ayantSoit- prendre des informations à Asnièresavait appris qu'en effet deux lemme,d'une vieille et l'autre jeune, velue eu pay-sanne,- s'étaient nitrées Cloue rendant àI ile du Ravageur, et q. le bruit publieaccusait /es Martial de Oe nouveau cri-me. Disons eurin que, malgré le, soinsdc Mineur Griffon, du comte de Saint-Remy el de la Louve, Meur-de-alarie.10,,,,mps deus un et:ai désespéré mir 1il peine es convalescence et que sa fai-bles., morale et physique était encorefolie qu'eue :n'avait pu ja.qu'ulerii pré-venir ni madame CeergeS ni Rodolphe de.jefesidon

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Une dernière épreuve lui était, réserVée.Il jea en/in leS Jeux StIr le pmtrtait qu'i/avait craint de r%saixler.- Ca coup fut a1-freux... Daus Cette fleur! mfautine etcharmante, il retrouva trime maniere sui-sissunle les traits de Pleunde-Mmie....don ses fin et droit. Mol noble front, sapetite bouche déjà Ua peu sériessa, nosgrands yeux d'un bleu si pur Cl Si doux...

A ta vue de ce portrait, lm tumultueuxet vio/ents maniaient-a de Rodolphe fureutétouffes par des larmes- Il retomba brisédons Un fauteuil et cacha sa figure dansses 0000500 sanglotant. Tout à coup.Rodolphe redreesa la Nte, meuya ses lar-mes, au leva debout, et s'appr.hant deSarah les :brm croisés sur sa poitrine,l'air menaçant impitoyables il la con-templa que/que moments en silereenpuisd di 00e ests a000lc

- Cela devait Oser... j'ai tire l'épée con-trit men pères je 000e frappe dane

Ans10 punition du parricide...Ecouteg-moi. madame-- il fout que voussuchies,:daits ce moment suprême, tousles maux Catfié., pur votre implacableambition, par votre féroce égoïsme-. En-tendea.vous, mère dernituAo

Orilce V... Rodolphe...Pas de grâce pour vous.... qui autre-

fois, sans pitié pour un amour sincère.ex doit.. froidement, dore rinteret decotée exécrabie oegued, uae Paseam gé-néreuse et dé' utile fine vo. feigniez departager... Pam de grâce pour voue quiaves, arillê le 0is contre le père !.. Pas de

paur vOuS qui au lieu do veillerPienPeelent are voireeriCiant,ra, 0b0n,

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Presse el da Midi Socialiste. Je m'engage à en acquitter le nionlaa

donné à dor, mains mua:en:aires afin desalastaire mitré impidité Par. mi riche me-riage.. comme vous mi. jadis assouvivoire arnibtion effrénée en m'amenantà vous épouser.... Pe de grâce pour vouequi, apree avoir refusé mon enfant à:ma tendres., venu de muser sa mort. !Malédiction sur vous... vous, mou mau-vais giulie cl oelui.do ma race !

- Oh !... mon Dieu L.. O eM sans pi-tié !... Laissex-moi !.. (Ci-ses-moi !

- Vous m'enfoui:hes.- vous dia-je !...Vous souvenez-vous du dernier jour ohje vous ni vue.... i ly 1 dixeept ans desels t,.. v.s ne pouviez plus eacher tes,sufies du notre secrète union.... Je con-naissais le caractéri inflexible dram,, pè-res. Bravaat 555 indignation, je lui dé-earai que vous elles ma femme doventDieu el devant les Sommes.- que damepeu do temps saus mettries au monde unenfant, fruit de notre amour- La ccdèrede mon po, tItI terre e.... d ne vouladpas croire à mon /Mariage.. Alors, je va,sairnais cumMe un inSenJe... Je répondisà mas pitre que jamais je touais d'amtee femme que voue- A ceà mots, sonempmtemen0 n'eut plus de bornes ; ilM.s pradigfia lem notas les plus outra-géants, sierra quo notre mariage étaitnid, que pour vous punir de votre au-dace, il vous ferait atl.iier au pilori de la,aile. D'Aient à ma folle pa.ssion..., à laviolence de mon eut:artères j'omi le me-nacer Extepere parlotte insulte, mon pè-re levais mais SM' Mai la rage M'aveu-Sila... je tirai l'épée... p, me précipitai surlui.. Sans Mule qui survint et .détournale 0017113,.. j'épis p.neide de fait... comme."..

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- liétad! De:dorais ce maitheurn'ai-j0 pas .uffert de la dureté de !Mire,père qui a

fuerrompu notre mariage ? Pout.

quoi de ine p. vous .voir si-:

Pourquoi ?... s'écria Rmaillpbe e,Wjetant surette, un regard de mépri1 écra-sant. Saches-/c doue, et ne vous btoatieb)plus de l'horreur que vo. m'inspireo...Après cette scèsu funeste danx iaquelleiavais menacé mou père-. je rendis foodApis'. Je lus mis au 100000 1e plus ...beau.Polidori. per les soios de qui notre ma-riage avait été conclu, fut arrêté; il Prouxva que cette union était nulle, que le mi-nkdre qui l'avait bénie était un min-stresuPPose et que vous, votre frère et moi,,nous avions été trompes. Pour désarmerla colère de mou père à mu égard, Poli-dari fit plus ;Aloi Démit uue de Vos let-,tres à votre frère, interceptée lors- deevoY.ge qa,i fit Sejlen.- A., il serait po.ible ?

- Vous explig.rea-voas naee memiamaintenant? Dans mite Nit., vous dé-voluies vos projets ambitieux avec au ,y-2nisme révoltants Vous me traitiez usesun dédiait, cl.iat je n'étais que I ins-trument de la fortune souveraine qu'osvous avait prédites. vous trouviez enfin_que mou père vimit bien longtemps..Lorsque te /endemain, sam niladresiter

seud reproche, e me montra Cette/et-fre..., je ne pus que tombe il genoux et,demander grés..., Depuiv ce jOUr. rai meipomeniavipaainnremorda inexorable.

Ae.sesiere

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