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programme du 6 février au 5 mars 2013 le théâtre scène nationale de Saint-Nazaire salle Jacques Tati photo du film Gangs of Wasseypur

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St-Nazaire • Jacques Tati

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programme du 6 février au 5 mars 2013le théâtre scène nationale de Saint-Nazaire

salleJacques

Tati

photodu

film

Gangs

ofWasseypur

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calendriersemainedu 6 au 12février jeudi 7 vendredi 8 samedi 9 dimanche 10

La règle du jeu - 20h30 + débat - 17h

Le journal d’une femmede chambre (VO) - - 17h30 + débat 19h15

Le carrosse d’or - - 20h30 + débat 15h

Gimme the loot (VO) 19h et 20h45 16h30 et 18h30 15h30 21h

semainedu 13 au 19février mercredi 13 jeudi 14 vendredi 15 samedi 16 dimanche 17

La servante (VO) - - 19h 17h 15h

El estudiante (VO) - 21h15 17h et 21h15 19h15 17h15 et 19h30

Tetro (VO) - 19h - 21h30 -

Le dirigeable volé (VF) 14h30 + goûter - - - 10h45 + brunch

semainedu 20 au 26février mer 20 jeu 21 ven 22 sam 23 dim 24 mar 26

Ici et là-bas (VO) - 20h30 + débat 16h 19h 19h15 19h

Les Habitants (VO) - 18h 18h15 21h15 15h 21h

Paradis : amour (VO) - - 20h30 16h30 17h 16h30+ rencontre 21h15

L’ogre de la Taïga 16h45 - - 11h 11h 11h+ goûter + brunch + brunch + brunch

Selkirk, le véritable 15h - - - - 14h30Robinson Crusoé + goûter + goûter

semainedu 27 févrierau 5 mars mer 27 jeu 28 ven 1er sam 2 dim 3 mar 5

Comme un lion - 18h15 15h + ciné-café - 18h 19h et 21h21h30

Gangs of … (part 1) (VO) - 20h15 - 17h45 15h -

Gangs of … (part 2) (VO) - - 18h45 21h15 20h -

Selkirk, le véritable … - 16h45 - - - -

L’ogre de la Taïga 15h + goûter - 11h + brunch 17h

Ernest et Célestine 16h30 15h 17h 16h 10h45 15h+ goûter + brunch + goûter

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ciné-classicweek-endJean RenoirEn lien avec la programmation auThéâtre scène nationale, le mardi 12février, de la pièce de théâtre Au jourle jour : Renoir, 1939 , une adaptationde La règle du jeu de Renoir, dans unemise en scène de Benoît Giros, la salleJacques Tati et l’association VersionOriginale proposent un week-end autourde 3 œuvres majeures de Renoirprésentées par Charlotte Garson,critique cinéma.

Restauration légère possible surplace le samedi soir, 9 février, entreles 2 films. Tarif : 4 €

Jean RenoirJean Renoir est un réalisateur etscénariste français, né à Paris le 15septembre 1894, mort à Beverly Hills(Californie, États-Unis) le 12 février 1979.Deuxième fils du peintre Auguste Renoir,ses films ont profondément marqué lesmutations du cinéma français entre1930 et 1950, avant d’ouvrir la porte àla Nouvelle Vague du cinéma français.Dans son chef-d’œuvre, La Règle dujeu, sorti en juillet 1939, Renoir prévoit

l’effondrement des valeurs humanisteset brosse un tableau sans complaisancedes mœurs de la société française.En 1940, il quitte la France et s’installeaux États-Unis. Durant cette périodeaméricaine, il signe, en 1946, Le Journald’une femme de chambre d’après leroman d’Octave Mirbeau dans lequelRenoir fait tourner Paulette Goddard,épouse de son ami Burgess Meredithet ex-épouse de Charlie Chaplin. Deretour en Europe en 1952, Jean Renoirtourne Le Carrosse d’or (d’après ProsperMérimée).

Charlotte GarsonCharlotte Garson est critique aux Cahiersdu cinéma et à Etudes depuis 2001.Depuis 2009, elle est aussi program-matrice au Festival des 3 Continentsde Nantes.Elle a produit des documentairesradiophoniques pour France Culture,où elle participe aux débats cinémade l’émission La Dispute d’ArnaudLaporte le mardi soir.Auteur d’essais sur le cinéma ainsi quede livrets pédagogiques pour Lycéensau cinéma/CNC, elle intervient fré-quemment auprès des enseignants etdans les salles de cinéma. Elle animerégulièrement des débats dans descinémas de province et de régionparisienne ainsi que des formationsd’enseignants, à la Cinémathèquefrançaise.

La règle du jeucomédie dramatiquede Jean Renoir• France • 1939 • noir et blanc• 1h52avec Nora Gregor, Marcel Dalio,Roland Toutain…

Le marquis de la Chesnaye organise unepartie de chasse sur son domaine deSologne. Une pléiade d’invités arrive auchâteau dont André Jurieu, héros nationaldepuis sa traversée de l’Atlantique envingt-trois heures. Un exploit réalisépour les beaux yeux de la marquiseChristine de la Chesnaye, en vain. Dansune société où nobles et domestiquessont soumis à la règle des conventions,Jurieu, par cet amour, bouleverse le jeu.

« Une œuvre immense. Tout y est :l’humour, le drame, l’amour, la mort,la lutte des classes, la guerre dessexes et même la guerre tout court ».F. Forestier – Le Nouvel Observateur

du 8 au 10 février(week-end Jean Renoir)

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Le journald’une femmede chambredrame de Jean Renoir• USA • 1948 • ressortie février2011 • noir et blanc • 1h26• VOSTFavec Paulette Goddard, BurgessMeredith, Hurd Hatfield…

Célestine est une séduisante femmede chambre qui se fait engager chezles Lanlaire. Elle se met en tête deséduire Mr Lanlaire mais son épousetient la maison d'une main de fer…

« Invisible depuis des années, un rienignoré par Renoir lui-même à cause deson insuccès, Le Journal d’une femmede chambre nous apparaît comme unerévélation ». Jean-Luc Douin – Le Monde

« Les rapports entre la servante,Célestine, et ses maîtres, les bourgeoisnormands Lanlaire, permettent à Renoird’opérer, disait André Bazin, « la syn-thèse du comique et du drame ». »Didier Péron – Libération

Le carrosse d’orcomédie dramatiquede Jean Renoir• France/Italie • 1954 • ressortieversion restaurée octobre 2012• couleur • 1h43avec Anna Magnani, OdoardoSpadaro, Nada Fiorelli…• Prix Marc Aurèle du Meilleur Film -Festival International du Film deRome 2011

Au 18e siècle, une troupe de la Commediadell’arte donne des représentationsdans une colonie espagnole d’Amériquedu Sud. C’est une communauté joyeuseet bruyante, animée par une maîtressefemme, Camilla, qui joue le personnagede Colombine à la scène. Camilla estune force de la nature et un tempéra-ment généreux. Elle a un soupirant,Felipe, son compagnon de voyage, maisne tarde pas à conquérir les cœurs dutoréador local, Ramon, et du vice-roi luimême, Ferdinand. Ce succès dérangel’ordre social et agace la cour qui essaiede discréditer l’intruse et sa troupe dethéâtreux. Le vice-roi, monarque frivole,aimable et fastueux, fait don à Camilladu superbe carrosse d’or qu’il a achetéen Europe et qui fait l’orgueil de la cour.

«Voir aujourd’hui Le Carrosse d’orsur grand écran, c’est plonger dansl’intelligente fantaisie d’un Renoirtoujours fasciné par la mascaradesociale et capable d’une légèretéapparente (apparente seulement) ».Carole Millerili – Critikat.com

Gimme the lootdrame de Adam Leon• USA • janvier 2013 • couleur• 1h21 • VOSTFavec Tashiana Washington,Ty Hickson, Zoë Lescaze…• Sélection Un certain regard – Cannes2012

Malcom et Sofia sont de jeunes graffeursqui arpentent les rues de New York pourcouvrir de leurs noms les murs de laville. Lorsque l’un de leurs tags disparaîtsous un autre graffiti, les deux adoles-cents se lancent le défi de leur vie :tagguer la pomme géante du SheaStadium. Pour cela, une seule contrainteet pas des moindres : trouver les 500dollars nécessaires pour que le gardiende nuit les fasse entrer incognito…Entre rivalités de gangs et petitescombines, parviendront-ils à prendreleur revanche ?

« Un petit miracle new-yorkais ».Romain Blondeau – Les Inrockuptibles

« Familier, osé, gouailleur, Gimme theloot l’est assurément (…) mais il estsurtout débrouillard (…) étincelant« petit film ». » Clément Ghys – Libération

« Ce premier film, l’un des plus fraisqu’on ait vu depuis longtemps, l’undes moins plombés par les intentionsauteuristes aussi, réussit à être à lafois une fugue et une fable ».Joachim Lepastier – Cahiers du Cinéma

du 8 au 10 février(week-end Jean Renoir)

du 8 au 10 février(week-end Jean Renoir)

du 7 au 10 février

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El estudiantedrame de Santiago Mitre• Argentine • janvier 2013• couleur • 1h50 • VOSTFavec Esteban Lamothe,Romina Paula, Ricardo Felix…• Prix spécial du jury cinéastes duprésent - Festival du Film de Locarno2011

Roque, jeune provincial, commence desétudes à l’Université de Buenos Aires.Peu motivé, il passe son temps à séduireles filles et errer dans la fac. C’est entombant amoureux de Paula, une jeuneenseignante engagée, qu’il va rencontrerle militantisme et devenir proche dusyndicat étudiant. Avec Alberto, ancienpolitique, il va apprendre les codes etdevenir un leader pour enfin trouversa voie…

«(…) Santiago Mitre, dont El Estudianteest le prometteur premier long métrage,filme la politique comme un film d’es-pionnage, ce qui le rend passionnant».Jean-Baptiste Morain – Les Inrockuptibles

« Au-delà du seul microcosme univer-sitaire, El estudiante interroge de façonintelligente ce qui motive un acte, unengagement, au regard de soi (sesconvictions) et au nom de l’intérêt desautres. C’est déjà beaucoup pour unétudiant. Et encore plus pour un film».Charles Tesson – Cahiers du Cinéma

La servantedrame de Kim Ki-Young• Corée • 1960• ressortie août 2012• noir et blanc • 1h51 • VOSTFavec Eun-shim Lee,Jeung-nyeo Ju, Jin Kyu Kim…• Avertissement : des scènes, despropos ou des images peuvent heurterla sensibilité des spectateurs

Suite à un déménagement dans unemaison plus grande, la femme deDong-sik, un professeur de musique,persuade celui-ci d’engager une domes-tique. Son mari accepte d’accueillir unejeune servante recommandée par unejeune ouvrière à qui il donne des coursparticuliers de piano et qui ne le laissepas indifférent. La nouvelle venues’amuse à espionner les conversationsou à effrayer les enfants. Lorsqu’elledevient la maîtresse de Dong-sik, lacalme maison devient alors le lieu d’undramatique huis clos…

« Film brûlant, ravageur, dans lequelchaque plan prouve par la cruauté lapuissance d’anarchie explosive du cinémaquand il est dans de bonnes mains ».Alain Bergala – Cahiers du Cinéma

« Huis clos étouffant dominé par unefemme perverse qui, avec sa longuechevelure ébène, préfigure ces fantômesasiatiques popularisés par Ring, LaServante (…) préfigure aussi le Théorèmede Pasolini et les premiers films dePolanski ». Jean-Baptiste Thoret – CharlieHebdo

en partenariat avec SCALA, salles decinéma associatives en Loire-Atlantique,dans le cadre de la circulation filmsdu patrimoine

Tetrodrame de Francis Ford Coppola• Argentine/USA/Italie/Espagne• 2009 • couleur et noir et blanc• 2h07 • VOSTFavec Vincent Gallo, AldenEhrenreich, Maribel Verdú…

Tetro est un homme sans passé. Il y adix ans, il a rompu tout lien avec sa famillepour s’exiler en Argentine. À l’aube deses 18 ans, Bennie, son frère cadet, partle retrouver à Buenos Aires. Entre lesdeux frères, l’ombre d’un père despo-tique, illustre chef d’orchestre, continuede planer et de les opposer. Mais, Bennieveut comprendre. À tout prix. Quitte àrouvrir certaines blessures et à faireremonter à la surface des secrets defamille jusqu’ici bien enfouis.

« La tragédie de Tetro (…), c’est celled’un personnage qui a appris à se tenirloin de la lumière parce qu’un autrel’a vampirisé. Un tel enjeu de cinéma,le plus primitif et le plus beau qui soit,autorise tout, et Coppola le porte àdes hauteurs où à peu près personne,aujourd’hui, ne peut le rejoindre ».Jérôme Momcilovic – Chronic'art.com

« Ce film-là déroute, parce que, à ladifférence des œuvres les plus célèbresde Coppola, il se situe moins dans letape-à-l’œil que dans le contre-jour(…), moins dans l’exhibitionnisme etl’artifice que dans la pudeur ».Jean-Luc Douin – Le Monde

séances tout public dans le cadre deLycéens au cinéma

du 14 au 17 février du 14 au 17 février du 14 au 17 février

ciné-classic

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Le dirigeable voléfilm d’animation de Karel Zeman• Tchécoslovaquie/Italie • 2004• couleur • 1h25 • VF • à partirde 6 ansavec Michael Pospisil,Hanus Bor, Jan Cisek…

En 1891, à Prague, alors qu’ils visitentle Salon des Sciences et des Techniques,cinq garçons intrépides montent à bordd’un dirigeable et prennent les airs.Échappant à toutes les poursuites, ilssurvolent l’Europe et parviennent au-dessus de l’Océan.Une tempête détruit complètement ledirigeable, mais les garçons échouentheureusement sur une île inconnue…Ils y vivent comme Robinson, découvrentle repaire du légendaire Capitaine Nemoet affrontent une bande d'aventuriers.

« Réalisé en grande partie avec desciseaux et du papier, Le Dirigeable voléest fait d’images plus stupéfiantes, plusdrôles, plus émouvantes que tout ce quiest récemment sorti des ordinateursdes grands studios d’animation. Le toutest de convaincre les enfants de 2004de tourner le dos à l’esthétique digitalele temps de découvrir l’univers fabuleuxet rigolo de Karel Zeman ».Thomas Sotinel – Le Monde

« Un film unique, inclassable, superbe(…) une poésie curieuse, surréelle, naît,sans qu’on puisse distinguer les couturesentre les deux mondes (photo ou des-sin ?) ». François Forestier – TéléCinéObs

séances tout public proposéesdans le cadre d’École et cinéma

Ici et là-basdrame de Antonio Méndez Esparza• Espagne/USA/Mexique• 13 février 2013 • couleur• 1h50 • VOSTFavec Teresa Ramírez Aguirre,Pedro De los Santos Juárez,Lorena Pantaleón Vázquez…• Grand Prix de la Semaine de laCritique – Cannes 2012

Après avoir travaillé aux États-Unis,Pedro revient dans son petit villagedans les montagnes du Guerrero, auMexique. Il y retrouve sa femme et sesfilles. Avec ses économies accumulées,il aspire enfin à mener une vie meilleureavec les siens, et même à réaliser sonrêve : former un petit groupe de musique,les Copa Kings. Mais les opportunitésde travail sont rares et la frontièreentre ici et là-bas ne cesse d’occuperl’esprit et le quotidien de Pedro et deceux qui l’entourent.

en partenariat avec l’associationVersion originale, débat à l’issue dela séance du jeudi 21 février animépar Amélie Dubois, critique cinémaaux Inrockuptibles et à Chronic'art.

Amélie Dubois travaille égalementcomme intervenante et rédactrice delivrets pédagogiques pour le dispositif« lycéens au cinéma » et encadre desateliers de programmation. Elle estaussi sélectionneuse pour le festivalEntrevues de Belfort.

En avant-programmeuniquement sur la séancedu jeudi 21 février

Casacourt-métrage d’animationde Sylvie Leonard• France • 2003 • couleur • 7’

Au travers du regard d’une femme, leretour d’un jeune homme après plusieursannées de séparation. Quels sont leursliens ? Pourquoi cette absence ? Un courtmétrage écrit comme une tragédie entrois actes : attente, confrontation etacceptation.

du 13 au 17 février du 21 au 26 février

ciné-débat

cinémômes

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Paradis : amourdrame de Ulrich Seidl• Autriche/Allemagne/France• janvier 2013 • couleur • 2h• VOSTF • Interdit aux moins de16 ansavec Margarete Tiesel,Peter Kazungu, Inge Maux…

Sur les plages du Kenya, on les appelleles «sugar mamas», ces Européennesgrâce auxquelles, contre un peu d‘amour,les jeunes Africains assurent leursubsistance. Teresa, une Autrichiennequinquagénaire et mère d’une fille pubère,passe ses vacances dans ce paradisexotique. Elle recherche l’amour mais,passant d’un « beachboy » à l’autre etallant ainsi de déception en déception,elle doit bientôt se rendre à l’évidence :sur les plages du Kenya, l’amour estun produit qui se vend.

« (…) l’art ne trouve jamais sa véritéen arrondissant les angles et ce film,souvent émaillé de plans magnifiques(…) décrit avec l’impact d’un uppercutle retour de bâton du colonialisme ».Pierre Vavasseur – Le Parisien

« (…) une œuvre implacable qui nousramène au cœur de nos illusions. (…)Dieu que ce film est riche, au fond ! »Ariane Allard – Positif

Le film fera l’objet d’une rapideprésentation par l’association VersionOriginale et un échange aura lieu,pour ceux qui le souhaitent, à la fin dela projection le vendredi 22 février.

Les habitantscomédie de Alex Van Warmerdam• Hollande • 1992• ressortie décembre 2012• couleur • 1h45 • VOSTFavec Alex Van Warmerdam,Annet Malherbe, Leonard Lucieer…

Une femme qui, sur les conseils d’unestatue de Saint-François, se prive denourriture pour plaire au Seigneur. Unenfant qui, fasciné par la guerre civileau Congo, se déguise en Noir et se faitappeler Lumumba. Un facteur bienindiscret, un garde-chasse myope etstérile, un boucher à l’appétit sexueldébordant qui ne manque pas d’imagi-nation pour capturer ses proies. Voiciquelques éléments d’une comédie desplus insolites sur la vie des habitantsd’un lotissement perdu, dans le Nordde l’Europe.

« Il y a de quoi s’émerveiller dans ce récitsi farfelu, fourmillant d’idées saugrenueset qui en même temps ne cesse de nousrenvoyer à nous-mêmes ».Olivia Cooper-Hadjian – Critikat.com

« Les Habitants est en fait un récitd’initiation fort noir, irrigué par unhumour désespéré ».Thomas Sotinel – Le Monde

Selkirk,le véritableRobinson Crusoéfilm d’animationdeWalter Tournier• Argentine/Chili/Uruguay• janvier 2013 • couleur • 1h15• VF • à partir de 5 ans

Selkirk, un jeune corsaire indiscipliné,navigue sur les mers du Sud à larecherche de trésors. À bord du navire« L’Espérance » commandé par leCapitaine Bullock, Selkirk se met unjour l’équipage à dos. Le jeune piratese retrouve alors abandonné sur uneîle déserte. Il découvre la vie en pleinenature et apprend à se débrouiller pourdevenir un véritable Robinson Crusoé.

« Grâce à un scénario tirant habilementvers le conte moral, de savoureux person-nages secondaires, d’idées malignes dedécors et d’un sens soutenu du rythmed’exécution, Walter Tournier signe unfilm d’animation de très belle tenue ».Xavier Leherpeur – TéléCinéObs

« La leçon de morale n’est jamaisenvahissante, ne fût-ce que par lesquelques excentricités que les auteursse permettent pour éviter au récit dese prendre trop au sérieux ».Benoît Smith – Critikat.com

en partenariat avec SCALA, salles decinéma associatives en Loire-Atlantique

du 21 au 26 février du 21 au 26 février du 20 au 28 février

cinémômes

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L’ogre de la Taïga4 courts-métrages d’animationde Konstantin Bronzit,Sergey Merinov, Inga Korjnera,Natalya Berezovaya• Russie • 2004/2010 • 52’• à partir de 4 ans

Après La balade de Babouchka, quatrenouveaux contes et merveilles de Russie,des contes slaves qui font la part belleà la ruse et à l’intelligence…

Le chat et la renardede Konstantin Bronzik• Russie • 2004Abandonné dans les bois par son maître,un chat fait la connaissance de larenarde. Pour obtenir d’elle le gîte etle couvert, il lui fait croire qu’il est legouverneur de Sibérie.

Les trois chasseursde Sergeï Merinov• Russie • 2010Trois chasseurs, attrapés par le géantde la forêt, doivent raconter chacunleur tour une histoire au sujet d’unanimal sans jamais prononcer sonnom. Ils auront la vie sauve seulementsi le géant ne trouve pas l’animal dontil s’agit…

La petite Khavroshkade Inga Korjnera • Russie • 2007Khavroshka, la petite orpheline, estconsidérée comme une domestiquepar la marâtre et ses trois filles.Heureusement, son amie la vacheveille sur elle.

Gare aux loups !de Natalia Berezovaya• Russie • 2005Un bélier et une chèvre fuient leurpropriétaire à la recherche d’une viemeilleure… Ils se cachent dans un boiset se réchauffent auprès d’un feu decamp à l’ambiance un peu particulière...

Ernestet Célestinefilm d’animation deBenjamin Renner, Vincent Pataret Stéphane Aubier• France/Belgique/Luxembourg• décembre 2012 • couleur • 1h19• à voir en famille à partir de 5 ans• Mention spéciale SACD Quinzainedes Réalisateurs Cannes 2012Prix du Meilleur Film - Jury jeuneFestival du Film de Sarlat 2012Prix du public - Mon premier FestivalParis 2012

Dans le monde conventionnel des ours,il est mal vu de se lier d’amitié avec unesouris. Et pourtant, Ernest, gros oursmarginal, clown et musicien, va accueillirchez lui la petite Célestine, une orphelinequi a fui le monde souterrain des ron-geurs. Ces deux solitaires vont se souteniret se réconforter, et bousculer ainsil’ordre établi. D’après les livres pourenfants de Gabrielle Vincent.

« (…) une belle histoire sur la tendresseet la différence, avec des messages àla fois pour les enfants et leurs parents,bénéficiant d’une animation somptueuse».Renaud Baronian – Le Parisien

« Un enchantement total, graphique,poétique et… politique ! Ernest etCélestine est un film d’animation quia tout pour lui ».Danièle Heymann – Marianne

du 20 au 26 févrierdu 27 février au 5 mars

du 27 février au 5 mars

cinémômes cinémômes

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Gangsof Wasseypur(part 1)thriller de Anurag Kashyap• Inde • juillet 2012 • couleur• 2h40 • VOSTFavec Manoj Bajpai, TigmanshuDhulia, Piyush Mishra…

Wasseypur, Inde. La ville voit s’affrontertrois générations de gangsters, héritiersde deux clans. Celui de Shahid Khan,qui le premier se lança dans le pillagede trains britanniques, contre celui deRamadhir Singh, au pouvoir sans partagesur la région. Devenu paria, Shahid Khanest contraint de travailler dans la minede son pire ennemi. Sardar Khan, filsde Shahid et coureur de jupon invétéré,a juré de rétablir l’honneur de son pèreen devenant l’homme le plus redoutéde Wasseypur.

«Ce conte épique, à la fois spectaculaire,drôle et volubile, captive de bout enbout ». Marjolaine Gout – Écran Large

« On fonce dans le tas, on mélange toutet on obtient l’une des œuvres les plusvivantes, lyriques, cruelles et imagéesde la catégorie. (…) Dickens, Scorsese

et Zola pour le même prix, avec un zestede Bollywood. Que demander de plus ?»Vincent Ostria – Les Inrockuptibles

« Gangs of Wasseypur propose une voienouvelle au cinéma populaire indien, uncinéma plus libre et moins codifié, quine rejette pourtant jamais un héritagequi le hante ».Amandine d'Azevedo – Cahiers du Cinéma

Gangsof Wasseypur(part 2)thriller de Anurag Kashyap• Inde • décembre 2012 • couleur• 2h40 • VOST • Interdit aux moinsde 12 ansavec Nawazuddin Siddiqui,Huma Qureshi, Vineet Singh…

Les clans de Shahid Khan et RamadirSingh continuent de s’affronter dansla région de Wasseypur. Et c’est main-tenant au petit fils de Shahid, Faizal dereprendre la tête du clan Khan. Fumeurde drogue depuis son plus jeune âgeet timide, personne, surtout sa mère,ne croit en son potentiel de chef degang. Mais bientôt Faizal va marquer les

esprits par son intelligence et son in-croyable soif de vengeance qui ne semblepas trouver de fin. Aidé de ses frères etinspiré des héros de Bollywood, il vaétendre le pouvoir du clan Khancomme jamais, combattre Ramadirsans relâche et enfin peut-êtreconnaitre le repos du vainqueur ?

« (…) un irrésistible crescendo dont lesenjeux sont les retournements de situationpermanents et la violence pure ».Vincent Ostria – Les Inrockuptibles

« Un polar essoufflant, d’une générositéet d’une truculence rares ».Vincent Ostria – L'Humanité

« Gangs of Wasseypur est un modèlede mise en scène. Anurag Kashyapsculpte chaque minute des cinq heuresvingt dont il dispose. Aucune séquencene semble superflue ».Adrien Gombeaud – Positif

Soirée indiennesamedi 2 marsLes deux films + une assiette indiennepréparée par le restaurantLe Maharadjah entre les deux parties.Déroulé de la soirée :17h45 : Gangs of Wasseypur 1re partie20h30 : pause repas21h15 : Gangs of Wasseypur 2e partiecollation : 9 €réservation impérative avant le 28 févrierau 02 40 53 69 63

du 28 février au 5 mars

événement

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Comme un liondrame de Samuel Collardey• France • janvier 2013• couleur • 1h42 • à voir enfamille à partir de 10/12 ansavec Marc Barbé, Mytri Attal,Anne Coesens…

Mitri a 15 ans et vit dans un village auSénégal. Comme tous les jeunes deson âge, il joue au foot en rêvant duBarça et de Chelsea. Lorsqu’un agentrecruteur le repère, Mitri croit en sachance. Mais pour partir à l’assaut desgrands clubs européens, il faut payer.La famille se cotise et s’endette pourl’aider. Une fois à Paris, tout s’écroule :Mitri se retrouve abandonné sans un souen poche, et ne peut imaginer affronterla honte du retour au village. Une odysséefaite de débrouilles commence alors.Mais son rêve de foot le rattrapera aucoin d’une rencontre.

« Finement renseignée et jamais loindu registre documentaire, cette fictionréaliste captive en s’appropriant unehistoire véridique ».Alexis Campion – Le Journal du Dimanche

« Entre fiction et documentaire, SamuelCollardey filme, avec une grandejustesse, une success story réalisteet intelligente ».Sandrine Marques – Le Monde

«Le jeune cinéaste demeure à l’écoutedes personnages et de leur histoire, samodestie autant que son talent donnentà espérer beaucoup de ses films à venir».Pascal Mérigeau – Le Nouvel Observateur

du 27 février au 5 mars

du 18 au 21 février

CollectifBerlinTHÉÂTRE FILMIQUEen coréalisation avec le LiFE/ Ville de Saint-Nazaire

• du 18 au 21 février de 14h à 19hau LiFE / entrée libreIqaluit / EXPLORATIONS URBAINES• lundi 18 février à 20h30et mardi 19 février à 19h30 au LiFEJerusalem / EXPLORATIONS URBAINES

• mercredi 20 février à 21het jeudi 21 février à 19h30 au LiFEBonanza / EXPLORATIONS URBAINES• mardi 19 février et jeudi 21 février à 21h,mercredi 20 février à 19h30 au ThéâtreTagfish / THÉÂTRE DOCUMENTAIRE

renseignements – réservations 02 40 22 91 36www.letheatre-saintnazaire.fr

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à voiren mars• L’assassin d’Elio Petri(avec SCALA)

• Công Binh, la longue nuitindochinoise de Lam Lê

• Foxfire, confessionsd’un gang de fillesde Laurent Cantet(avec le GRIF)

• Du côté d'Orouëtde Jacques Rozier(Leçon de cinéma avec VO)

• Ponyo sur la falaisede Hayao Miyazaki

• La ruée vers l’orde Charlie Chaplin

• Soirée Monde ouvrierau cinéma (avec le CCP)

• • •

À partir de janvier,le cinéma,salle Jacques Tati,c’est 1 jourde plus !programmationdu jeudiau dimanche !

La programmation cinéma de lascène nationale c’est :salle Jacques Tati,33, bd Victor Hugoà Saint-Nazaire

la salle Jacques Tati estdésormais équipée pour laprojection numérique maisconserve son projecteur35 mm pour la diffusion decertains films.

cet équipement a bénéficié del’aide du CNC, du Conseil Régional,du Conseil Général et de la Villede Saint-Nazaire

• plein 6 €• réduit* 5 €• carte 6 entrées 24 €• cinémômes** 3,50 €*abonné le théâtre, jeune de - 25 ans,demandeur d’emploi, adhérent CCP,La Couronnée, Version Originale,adhérent des cinémas Pax au Pouliguenet Atlantic à La Turballe, bénéficiaire dela Charte Culture et Solidarité**par enfant et par accompagnateur

attention, la séancecommence par le film !l’accueil cinéma est ouvert1/2 heure avant les séances

informationspratiquescinéma

tarifs

salle classée Art et Essai,

labellisée Recherche et Découverte,

labellisée Patrimoine

Nouveau numéro de téléphoneet répondeur programme :

02 40 53 69 63

www.letheatre-saintnazaire.fr

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les projections ont lieu salle Jacques Tati33, bd Victor Hugo – 44 603 Saint-Nazairetéléphone 02 40 53 69 63 – www.letheatre-saintnazaire.fr conceptio

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