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■C^ATMü.. Ssiiiictli 21 IK 'c c i n l i i ’c 51. - 3 2 - .\HiRMKKTt I Rii mois PRIX 0R l/Al pur» p ... u !«..,.»»>->• ( Ü ; "...pi. 5 iioM .. t r m i^ Bp» iPinBIBTIBHrHi ARMIMCES J.UDiniilRKM, 20 r«Al« la li>p>e >NKftNtYS IHVW18ES, A W IV O lV iG BM iW tJIM 0!V M ’ABOXA'I-: I A Sfiilii, an Imrean ilu Journal,plarc de l'ilA* li ldo-Viliei ~ A ParU, chrs M. IIAVAS. rue Jran-Jar()iiM Riintprau, 5 , rt dira Heaaieura l.1FPITK-mj|.I.IKfl rl l^trap . place dt- la Itourtr, H- — rt t-lira Ira l.iloairra du dëparlcmrnt. ' lA rapport de llibiioràblc !H. Troplong sur le siiiiaius* cMMlleROaniiii a ii déHl^rations du Sénal est révèiiemeitt Minique dtt joui*. Lilfualre prÿiddëPl d d ^ iia l dtininnira d’abord, avec line nilleléflrilpl^nie. qjic llià’rtU'iinties cntileiiiieii daiia le pro* jet deiteatt^m A uile nTiildlquéiil poinl qu’nn aoiige ia'é* arw ’deè'mieti dft.la CbüAlilniiun de 1862, Celte Conslilu» lieilrepode^<iri«4;e<iniyàt >:exprèA, a que dea pléblsclies oiÿHdqlMR eri(>.ljli8ni, 'ë l qu’il' bpparllendrait Keiileniciit stfxi»ml6éèililml»ax'dl<'diùdiner. Or. la Con.Aliiiiiiuti de INdne e’iMl^int'engii'g^ k reitdrei ia’liberlé a des coin* bhiabonA et dca formée brixéesi en 1818, « alors que la Fnnrèenttèrbdâclara incoiiijialibleA aTce'une société dé> nacraliqite leAdro^dé.t'éniManls dn parlcmenlarjatne. La Constilniidéde rélKâiice des idées de liberté de 18â^. Eilu veut que le pays ^u’il'peul supporter sans se que lé pouvoir souverain ^pl« qqi pecoulent nécessairement '‘*'ll8u*ôindus-eonsuUe est donc mécanianie de la Cousii» ïambrcs dé l'ere parlemenlatre, el à'iûiennes' .. - .... ........................... hmperfieeetiii’ilty^towir^lnîboune gestion des niraires . de rÊibpird. AbnidrfNipir dahs bos assemblées l’esprit de âjMconra et dé éundmice.- Ia SénulHs ptn.«ulte proposé par ISnpereur ne doit dè«>lers être considéré que comme un iwuvéau moyen de garanties cl de précautions ■ aussi utiles ai gotlvememeiit qn’àJa nation. • - lAppelant les mnliCi de politique, d’ordre public et de IMiiannce Mlbmale» qui «valent provoqué le ^nalus'Cnii* sttltedeJ8S2,'M;>Troplang.préeise l'élendue et montre le fondlpnneraeut dn Sénatus Consulte nouveau. Il esquisse dans un magnHtque'Ungege. le tableau du second Empire : la paix iflnblie an-dedans, nnlm inflneuce relevée au de- b»n avec nos .Tiot«hlM,.rextrèine Asie ouverte par nos ar* mes, lé Bosphore atTiuniebij l'Ilalie délivrée, et au milieu ile ces inspirations de notre politique traditionnelle dans le monde.-la France s’aVahgaiii dans les voies nouvelles du [irogrè^'tidrliipqliUâ^êe de rindusirie ci la liberté du Ira* vall. Voilé les fautes de l'Emnlre. ajoute réloqneni orateur, do neles regrellera pas. tjui voudrait aujourd’hui effacer Sjbaslopol. Magepla et SolferlUo? Ou peut dire qUe lë.rap|Hirl de M. Trnplong é.sl une des coVrrs lés’plits coiiqdélcs qui soient sorties de la plume d'un homme d'Etal: ait sujet du maintien de la distinction 8cs |faiVHtr s e iitré ^ d î<»ù»Viimt« et tvs assemblées délib^ ràntes. It détermine avec clarté le raivactère donné par rEmpervfir et le Scnai & la réfornie qui va changer le mode df velàiioti Un budget au sein du CurjK légtsfulif. » Uir.dptiloiireux événement et lonl-à-fait imprévu vient ile.pliinger la reine de h Grand6*Brt;tagne et PAnglelerre toiit enliérèiUiis une profuiide désolation. Ia prince Aiberl, l'époux de la^reinp. est inort samedi 14 décembre, à onze heures du spir, d’iine inalailie dont il était atteint depuis éuelques jours à peine cl duitt rien ne faisait prévoir la fatalo-issucn . Ia prihrA dihc,rl était âgé de 42 ans et 4 mois. De son marihgê avec la m ue Vicions il a eu neuf enfants. *- La mort du prince AlbcrI ravive et continue, en quel* qiié sorte, le deuil .imposé à l'Empereur el.à j'im|>ératFice par celle du roi de Portugal. Les féic.s de la s«‘Conde quin- UiiiR de décembre sont conlremamiées. L’Empereur a en voyé i Windsor un des grands ofliciers de sa maison, chargé 4t dire A S. M. la mina Victoria |ii part qu’il prend à la deuleurqui fraptie à la fuis la famille royale et l'Auglcterrc. : i ^ Nnns lisons dans rO/iMfON Ha/fonn/e ; (a priuce Albert, né le 90 aoiil 1819, an eh.âtcau de llo* Senau, était' le second llls d’Ernest, duc de Saxe-Cnbonrg et Gotha, et de la princesKe PoroIhéc-lAiilse de Saxe-Gotha. Après avoir reçu.ithelntlrucllun première dcS Mus soignées, il se rendit en 1837 A Bonn, pour y étudier m droit sous les illustres professeurs lAebelL Waltei^, Pertes cl Rncbing. L’année suivante il accompagnait son |)ère & Londres, pour assislerpu çpurphnemcnl delà i;eined'Angleterre. La reiné Victoriu était alors âgée de di2*neufans. Cédant aux reiweils de «on qnclé Léopol.d .autant qu’aux propres iiispi* relions de.son.f:^r/êl|R rassembla le conseil privé le 28 novembre I8$jt, an. palais de Bùçliingham, et déclara pu* pliqucment soM iulcplimi d’Apoiiscy je prince Albert. | a mariage (i^l.eélétiré â t.!qudreS:le 10 février 1840. ujl^uue prince fta,ya|urahsê Anglais et reçut les litres d j|(^<e royale, feld*marééhai, conseiller privé. Il devint ^l£l>i!p.cpjQU£Ldu 1 l'Jtu.ssards« colonel des grenadiers de [a garde, guuvwieqr de Wiiidsor, chevalier de la Jarre* hcrt «r-dif *ttikmi^|if de l’université de 8>mb>ldgè ël^prê^d({hl'.Ué la Soéi^té zoelogique. En 1857. 'AlÛert^a^ôitjo'd^’tni i^sfèr avec iin lac! parfait dans le i^e'xbiibhaâlre'mélnlinipoMttl'opliiion, et jamais il iies’eitt T|^hip4^, Wivtohiâi'eh apparencé, daus les affaires w rElan 11 élah'llès populaire ep'Ansle.terïxf. Qn coumiit "n goât pour ie.s beà'ux-arls, et c’est'a Son iuilialive que i on doit rexposillon universellede I85lr qui, dans le prin cipe, ne devait âÿoir qu’ail caractère exclusivement na* nonal. ' 1-0 prince Albert a en neufcnfantsde la reine< Victoria. fM l^’^tiiler. né le 21 tiovémbré'1840. est la princesse Vlc- ftiâriéc au prince Prédéric-Guiilannic, fils du roi dePrusM ;ethi-dernierviiélé l4 Avril 1857, est la prin c e s Béatrix. prince th? Galles, héritier de la coiirontic d Angleterre, es! né le 9 novembre 1841. t ^O n.écrltde Londres, le 17 décembre, nu MoHîleur •wiimri ; ' • ■ La rapidité avec laquelle le prince Albert a été enlevé |> causé beiticonp du surprise II faut savoir que le prince, depnia deux ans: sonlfrait d’une maladie organique qui ^ail niiiié sa amstilullon. On altribno aussi âi’air de .^'^■dsornnecerlaino Intliiencesiircol incident; le château, placç sur une colline, est sain, il est vrai. mni.s la ville est wuwni ravogée par des Qèvrcs dangereuses qui ne sont PM sans aiiiiiogie avec celle dont le prince Allmrl a été atteint. La mort do son père va imposer au prince royal de non- veaux cl graves dcvoii-s : lii naliotia la éonfiancé que Hié* ritierdu Irène est A la h'mituur délaaHtialion qiiele prince Albert ocGiipail si bien. Màliiivlleménl, le voyage projiosé dans l,! Méditerranée sera retardé et. peut-être momeiitu* nément abandonné. Ln sympathie que l’Empereur et le peuple français nul témoignée à la famille royale, â roccnsion de celte perte, a • touche vivement la nation Anglaise. Le Honileur du 17 contient le rapport suivant : • Sire, . ' , > M. Victor de Lnprade, membre de l’Acnd.'mie française et professenrâ la fapillé des létires de Lyon, vient ü.OjPii- bllerdans le GorroxpoNduAl'pne pièccrd.c véra que jç,mets: sous les yeu.\ de Votre Majqslé. Le pné'le a pcut-èlrè dus privilèges qu'on rcfnscraila.tbut antre écrivain; inuis, si grands qu'ils soient, ils no sauraient ajlèrjusqirâ rihipiinilé d’allnsions Injurieuses envers le souverain issu du suffrage üiiivereèl cl envers la iiAliuii qu’il gouvêrqe gloricusémeut. • Ju regrette, sire, que la violence de.s'par(is Iropve des organes chez.les hommes qui dèvraienl. par respect puùr, cux*mémcs,se défendre de loiil excès; mai>f M.deJaiprM.e semble aimer la çélébrjté qu'on nrj|tiierl par I’inVôcl|vfi^ > iique..^ Je dputqdone que.ee prnE^uV. pulMit fldélilé an GonverneUieiit qu’itlnsiille. _ homme a le malheur de nourrir dans sou cmur fesler publiquement de pareilles haines, il doit. s’il'ès|'âïia* clié an service do rElal, rompre les liens d’iiu serment dont 1.1 violation est ll.igranle et renoncer â dc.i fonvtiijus cl â iiO salaiie qu'il reproche si amèrement â autrui. > M. de Lapradc nyaiit trop oublié ce devoir, je li'hésife pas â lui en rappeler tonte la moralité. C’est pôiirnitoi, Sire, j’ai l’honneur de proposer i Votre Majaslé le décret ci*jiiinl qui révoque M. de l,aprade de scs fondions de pro fesseur a la faculté des lettres 9e Lyon. • Je suis, etc. ’ » hc »niijis/rc do VviSfrjjçtion jnibliqite el des ciiUes, ItoUkASD-' > Suit le décret.qui révoque de ses foiiclions M. Victor de Laprade, profcs-seiir de littérature française à la-faculté des lettres do Lyon. - ^ De.<: lettres de Canton du Sl.nclnbrc.discnl que la si tuation du Japon et collé de la Cochinchitie ne sont pas sa* tisfoUantcs. Los hostilités avalent repris â Saigon. En ro- viinrhe, les rapports des légations étrangères â Vékinsonl Meilleur* A in.,.: \ lAs dernières nouvelles de Syrie asautiopi que Karam a v ^ -, .. , été remis en liberté et se rcnd'èft Prahcc. ' ‘ ” ' i-JJJ^’o-lUuy-ttViul p^Uu4çl ics chaigccs. L éveil lut aussitiil doiiiit' >- Un décret rendu sur la prbposilinn du inini<tro de la guorrr, el qui n’a pas encore reçu de pnlilicllé, applique A toutes les armes, sauf à l'état-major das pl.iccs, les limites d’âge ci-après : Colonels ........................................ : . . . 60 ans. Lfrulenants-cnlonels 58 ans. Chefs de bataillon et d’escadron . . . . 5G ans. Capitaines .......................'. 55 ans. Lieutenants et sniis-liimlciiants .... 52 ans. Gardes d’artillerie et du génie i - l'rincinanx ........................ 60 ans. Vrcmiere classe 58 ans. Deuxième classe . 50 uns. Le. même décret fixe la limite d’âge pour lès oflidcr.s d’élnt-mnjor dès places el des sùlidivisions ndministr.ilives.1 Ou ne suit pas si celle mesure sera étendue aux ülver.se.s armes de lu marine. ~ M. Depéry, évéque de Gap, vient de mourir. Il étaii né â Challex, Jépartemcid de l'Ain, le 16 mar-s 1700. .Sa promotion à l’épUliopat remoiile à 1844. Auparavaid, il remplissait dans le diocèse de Bcllcy les fonclions de vlcaire- gènéral. Pour exIraU cl rédacfioH: E. REGMER. '^ Par arrêt'(iii 17‘déèQmbre 1801, la'Cour de cassation quelle.^ limilcs devait être renfenné le droit du wopriéUiire riverain supérieur dans i'usàgo des eaux céiijFanles. riverain snpérleur d’itn cours d’eau peut, â la vérité, biiTMhsilgû de l’cnù à son passage, sans être tenu d'eU ren* .dlT^Me quantité ég de A celle qu’il a reçue, maisjl doit n’u- sèr m'çctle éau-qü} duns'ccrtaiiie mp.sure, et son droit ne u:ers(iiv,Hit rélendiie de ses besoins, ne Iijîsàali.l aux"rivpi*iil;is inférieurs que ce qui r«.sle après sa- disfaçlion cnilèrc dculits besoins. J.es [iropriélaires infé- riMirà peuvent, s’il no leur c.st transmis qu’une quantité |d%nii trop pou considérable eu égard A I importance du rcçurif d’caii.el aiix besoins auxquels ils ont cn\-mèmrs A iprfut^blr^ «'.idresiAer A ' la jiiSlicc alin de faire déidarer par clic dçp'sqiièlies tinnlesct de quelle manière te riverain sujiérienr pourra user des eaux et en absorber une partie. (Art.'Oll èi 615 du Code Napoléon). La grive, le nnrle, l’alouello, le pinson, la mésange, le rpiigfrgorge, dont des nrrélé.s préfectoraux, depuis 1850, adtQrlsniêiit lA'Rhas.sc exceplionnellçment dii 15 scplcmbre ail jlS’nofembrc, d\iprès des modes et procédé.s spéciaux, cdthnfe^feeaùx de pai^qoc, yleunent, par une réèentc dé- Mdabirtritft'BÜüftrtanrn. d’Air» rangés dans la c'alé*' ' Eu'èimséquehcé. aux termes de l’aiticle 8 de la lui du jS'm’ai 1844, ivlalif aux oi.seanx de passage. 1I.M. les préfets idc déparlcinenl ne pourront dé.mrmais autoriser la cbae.sc -exceptionnelle de ces oiseaux comme oiseaux de passage. BEAUVAIS. — On lit daus le Journal do l'Oise du 19 : La ville a été vivement émue avanl liier soir par la nou velle d’un crime odieux Le courrier de Saiul Gcrmcr, qui arrive A 10 lu-nro.s dn soir, se trouvail un peu en retard loi-sque sa voilure arriva au faidiourg Siiiit-Jnst. Ln lenteur de la marche el le dé faut absolu de direction élunnèivnt les iiahitaiiis qui cru rent le coiiducleiir endormi. On arrêta le cheval, on monta dans la voilure, lù un spectablc horrible .se pré.sonla aux yeux : le malhcui'cux cenductcui' avait été frappé par der rière d’un coup de feu. on croit nu coiqt de fusil. I.e coup avait fait balle, el le projcclilc était ressorti par l'mil. La cervelle avail élé traversée. Le coffre de la voilure était brisé; les lettres que le courrier ap[n»rlait avaient été lacé rées, sans,doute avec i’inlentioii de voir si elles ne conte naient pas des valeurs. La voilure était pleine de sang. On croit qu’une somnie de 49 fr. a été soiialraite. On n'a pas roiiuaissaticc que. le courrier eùl d'autre argcid dans '' ItOOTELlES DËPiRTElEIITiLES. -> Sur 1.1 proposillon de M. le Fréfet de l’Oisè. dc.s se cours viagers ont été aocordé.s.iux anciens militaires du dé- parlement désignés ci-nprès : Delahnyc (IMcrre-tajuis). A Doulancoiirl. . . . 100 fr. Dubert (Ghnrles-Françoi^, A Beaiivais. . . . 100 Greviti (Pierre-Nicotas), ASt-Leu-d’Esserenl. Laliittc (Ijonis], A Bréuil-le-Vvrt. I^eclerc (Jean-Pieri'C-Alexandre], A Ueauvals. I.enuir (Plerrc-1,onis), A Plaiiiville.................. Lesneur (Pierre), â SainI Germer .................. Nnycllo (Llévain-Françnis), A Tillé.................. Pelil (Fnnçttis-Hunoré). A Liaiiraïur ............... Pillon (Jean Baptiste), A St-Jusl-cii-Chatisséc. 100 100 100 100 100 100 <00 100 — Ln deuxième portion du contingent de la clas.se 1850, qui a été exercée dans les dépèls, du 1” janvier au 1'' aVril 1861, est «ppèléc par une circulaire du 12 novembre A vo- iilif ncRomplirxes deux mois d’exercice du dcu_x1àme aunéc. Les Jeunes Kuldars qui la composent dèvionl être rendus dans lus dépèls d’insiruction le 1" janvier nrociiain. Le même jour, les jeunes soldats do la (leusième partie du conlingént de la classe de 1860, appelés A l’inslruriion le l" octobre dernier, seront renvoyés dans 16111*$ foyèrs'. “7 l,e mitiisirc do la guerre vient d’adresser A qui: do droit nue circiiUii’C d'apr&s laquelle tout jeune soldat, apnur- tenant à la réserve^ et qui sera arrivé en retard A son dépôt d’in.straclion par dispense légitime, ou autre, devra être retenu dans son dépôt aprè.s le départ do ses camarades, de façon qu’il y passe tonie la durée du temps légatemenl prcscril. Quant aux liommc.s qui n'auront pas obéi A leur ordre de roule dans les détails légaux sans que leur rclard puisseêirejusiiflé, ils seront décrarés insoudiis et recher chés comme Ifets. Une antre circulaire minislériulle (ixe 1» durée que doi vent avoir les dilférents effets cninorlés par les jeunes sol dats lorsqu'ils retournurunl dans leur.s foyers. Il e.sl prcs cril que i%iix d'ontro eux qui ne rapporteront pas on par fait étal de consorvation les elfcls qui leur seront laissés A leur dépai't le l"jauvier prochain, seront conservés sous les drapeaux pondanl une période d'insirmiion eu sns.- . L'éveil fut aus.sliôl donné A la justice, cl la gendarmerie fut mise sur pied. Ln promptitude des :nvc.stigations p.-iraft avoir en déjà pour ré.sultjt de mettre sui' la trace du cou pable. De graves iudice.s; du moins, .s'élèvent contre un In dividu.' Hier soir, il courait eu ville, â sou sujet, un bruit assez singulier el que nous ne .sommes ru mi'suru ni de cou- nriiipr ni de démculir. O t individu, disait-on, atirail été arrêté et on lui aurait mis les menottes. On le dirigea sur Ueauvais; eommu il arrivait A uii bois assez épais, il passa loul-A-cnup sous le ventre du cheval de l'un dus gendarmes cuire lesquels il mindiail, franchit le fossé en criant, d’une voix do défi : • Maintenant, atlrapcz-mui si vous pouvez >, et il atirail disparu daus le fourré.que la geuilarmerie bat tit aussitôt daus lotis tessons, mais iuulileiiienl. Geité ver sion faisait hier la couveisation de toute la ville, qui a pris un vif iuiérêl A celle malheureuse alT.iire. Si elle est IbuUée, elle ne prouverait qu'une chose : c’e.si (|tie la tenue dus gen darmes dans leur service c-sl trop emb.irrassaiile et propre A pnralystr leur zèle el leur vigilance. Celte évasion, du reste, nous parait peu vraisemblable. Üne autre version beaucoup plu.s vraisemblable porte quo rindivjdu en question a pris la fuite, en elfel, mais avaiit d’être pris. I.a gendarmerie ayant cerné sa inalsoii, il s'est évadé par nue i.<sue que personue ne connaissait, et a profilé, pour s’éloigner, du tcmjis môme que la guadur- incric mettait A sa recherche. I.R courrier as.sasslné, après avoir fait autrefois ce ser vice, ratait cédé, et avait repris depuis peu, son succe.s- scnr étant mort récemment d'apoplexie sur cette roule. 1'. S. A l’heure où nous écrivons, un bruit se ré|iand que riiulividû soupçonné a été arrêté dans la maison de sa sicui*, où il sC'Cucliait. — Nous avions annancé comme peu vraisemblable la vci'sinn de laquelle il résultait que l'assassiu du courrier de Saini-Geriner se .sei'ail échaiipé de.s mains ile.s gend.ir- iiics qui l’avaient arrêté. Celte vei'sion est au contraire par- faitemcut fondée. l.’assassin, qui serait un nommé Dupille, âgé de 27 ans environ, hahitaul do la cominuiie de Villers-Siiint-lbirthé- temy. revenait mardi dernier, avec sa femme, du marché de Goiirnay, où il avait veiidti du beurre et des mufs, lors que les gendarme.s de Saint Aubin, qui iguoraicnl d’ailleurs tjiie leur chefs’était rendu A Villers-Sainl-U.irihéli'my, pour attendre l’assassin à sa rentrée pliez lui, le giieltèrent sur la route et le .saisii-ent nu pa.«sugc. C’est dans le traie! qu'il parvini à s’échapper, ainsi que nous l’avons déjà lait con naître. . _|j'ne baüiip. organiséedans le bhis mi ou- Ic-eroyait ca ché, cul Ijeu lu lendemain moivrodi, au matin, avec l'assis- lance d!mi nombre considérable d’habitants du Vilici's- Salnl-U.H'llu'lemy et des communes unviruunanles, et n'a* mena tnulheûrensement aucun résullat. 10) bruit court auji>urd'liui' qu’il a été a|icrçu' aux envi rons de La Uus.sc. La population bat spuutauémeut les pe- (ils bois du |Kiys on il a pu se cac.h.u-. . Levol était lu mobile du eriiiiu. Dupitic croyait, pense- t-on, que le courrier était chargé d'une somme de 6UU fr. (Ici.homme transportait suuvettl du l'argeiil. VoilA les seuls renseignements connus. Ou sait toutefois que pupille s’éluil procuré du la poudre ta veillé du crime, et qu’il a été trouvé à son domicile des vêtemculs ensan- gtautés el une crosse de fusil. Le cauou de cette arme a été vrniscmhlabicmcut jeté par lui, la veille au soir, dans la mare située eu face lie son ibiiuicilc. Il est imsitif que'sa femmo a déclaré qu’il y av.dt lancé un objet qu'cllo avait entendu tomber dans l’eau. La marc a été vidée. .Sous no connaissons pas encore le résultat des recherches qui v u'nl été Lûtes. Une preuve accablante do la cnlpaliiidé du nupille rcji- sort des déiimvortes faile.s p.ii- l.i gemlarmeric. La bourrfi du fusil tii'uvée sur la route, à l'en Irod du ct ime, :i éié rcca>niiiio pat* H. le juge d’imintclièn pour être imê letIN; adressée lu 1*' de r« mois A Dupille par son père, détenu à la maison reiilrajc de Poissy. Jeudi a été Amené A’ maison d’arrêt de BoauraU' nu individu d’Ons-en Bray qui serait le complice de Dupllfr. G’est lui loulefoisqui a vendu A ce dernier,'le maliii même du jour du crime, le fusil qui à sèrvl A ie peLpélrer.' Dupille, depuis son évasion, auflttt- (ait ddirtrë èet indi vidu des révélatidns graves dans Kùêitiàisoii où ir AbrpiF pris tiii repas A la hâte, et ces révélalions Auraient déler- miné l'arrestation du prétendu comfdke. (’OMPIÈGNE. — La société dé secours mutuels de SainD' Françnis-Xaviur de Complègne v'Knit de recevoir nifc lfnû- velle preuve de l’intérêt que lui porte l’Empereur. S.'»; à daigné lui faire don d’une somm^dc 560 fr. qui a été va* sce dans .sa caisse. — l.a Vénerie Impéiiilc a quitté Complègne mnrdl poar se rendre A Fontainebleau, où elle.pii8.scra l'hiver. LIANCOÜRT. — SI. Dotlin (Ile'nri),-percepteur descon* tribulions directes, vient d'être.promu A la 3* classeVsàii» être obligé A déplacement.' La ville de IJancourt et les nombreux amis de IjUjBoiUiK applaudirent A de 'm.'exédlM4iBm dont l’aplitndu aux alfaires financières a été appréciée7r ' Deativais, alors qu’il y occupait l’un d s premiers emplois de la recette gunérale; il reçoit h juste récompense des bons services qu’il rend juiirnullcmcnt en sa qualité du percepteur. — M. I.ntonr.quc l'on rcconnnit loujoui*s lorsqn’its’agir ' d’honorer la commune qu’il habite, va faire placer A ses frais deux Iiecs du gaz, pour éclairer la statue du vénérable duc de Lu Itochcfuucauld-Liancourt. — Ln individu vient d’être conduit dans les prisons de (:iermont,comineincul|)é de tentative du viol sur iinclèunc nile de huit ans. MELLO. — Un faux monnayeiir originaire do celle conr- munu vient d être arrêté an Havre dans les ciiTchstances- suivantes : . -« Depuis quelques joiii-s. dit le Journof du J7urre du 25 novembre, circulent en ville des pièces de2 franesA réfRgta d« l'Empereur, d'une rsimposllion fnélallique imiluAl assez bien r»rge:il, mais dont le mauvais nloi Ac pouvAil récon* naître facilement par le manque,de sonorité, ainsi que par l’aspect extrômeineni fruste de cette fausse monnaie'. Aussi était-ce principiiicmunt le soir que ces pièces étaient passées dans le» débits. Icsoranibiist le«mareli»n(k de-j«tinfAiir,- ctc. Les plainlc.4 portées A la police permirctil de dresser un sigu.dcmeni exact.de l’indirhlu qui se livrait'â ce chaiigu du inoniiiiio. C’élail nu jeUûc ut beau garcon/'A la mise fiishioniiiible, grand de taille cl porlant uvccaisuncu' unu toilette assez ruchcrchéc. Ihi des ,igents auxquels ce signalemeut avait été com munique. lu brigadier Polün, faisant jeudi sa lournéo rue de la Halle, rencontra un individu dont toute l'apparence répondîiit parraitumciil A la description de l'homme que , I on rochcrrhnil, el, avec uiis adres-se remarquable, ce uri- 1 gadier réussit, sons un prétexte imaginaire, â conduire le qindnm nu pü.-Jtc de sni-eté où. en le fouillant, on trouva .sur lui cinq pièces de deux fiMitcs pareilles A celles qui avaient trompé tant de personnes au Havnv Pendant la roule de la rue do la Halle au pn.ste de sûreté, notre iudi- vid ii qui qui n’était pas san.s avoir quelque .soupçon du .sort qui Iattendait, mai.s qui, somme toute, aimait encore iniuiix avoir l’air d’accejdur le prétexte du brigadier que lie tenter nnu fuite assez diRicilu du rc.sle, cl de faire par cela même un aveu anticipé de Rulpabiltîé, le faux mon- nayeur, dismis-nou.s, tourmentait scs poche.s, cl l'on voyait qu'il olierchait A .se débnrras.scr do quelque chose. Mais comme lus yeux du brigadier ne le quittaient pas, il lui fui impossible de faire disparaître le métal compêomcllaut qu’il avait en sa pusses.sinn. « Ou savail déjA A ta pollrc que rzilul sur qui se portaient SI ju.slcmcnt lus soupçons était Un nommé llonoré Fraftçois Decüignères on Dcfcuigher, âgé de 26 ails, préiiant inen- sonçèrement la qualité de chlrurglen-dentislo, qu’il élail orlgliiaire de SIello (Oise), arrivé au Havre le 5 mivémbri-. venant d’Angleteri-e, etqii’il avait demeuré sacccssiveineiil rue de lu llatlu. 6. ut rue d’Albanir, 57. • üne perquisition f,iitc nussiiôl après son arrestalinu dans le dernier domicile de Drciiigiior, amena'la'décou verte d nue certaine quantité de plAlru fin pour mouler, d une cmllerc A pot eu 1er ballu, coutenani une sortd de ^sm i;, d une petite casserole eu for battu également, pleine ob petits lingots de plomb, d’élnm, do zinc, etc., ciillii du cinq pièces fausses de deux IVanc». » Lunfronté avec ces pièces du conviction, Dccuigncr, â qui l’on dumaudalt où étaient lus moules dont il devait se servir pour ramier sou composé métallique et Inî donner I empreinte d’une monnaie française, répomlit qu’il n’avait |)|iis «le ci’.s moules; qu'apr*» avoir e.ssayé sans réiis.sir, il les avait jetés, et que 1rs pièces trouvées sur lui cl dans son domicile lui avaient été données ru Anglelerre. » Le nombre des pièces fausses recueillies Jusqu’A pré sent est de^dix-liuit. dont dix en la possession de Decuigncr; les aulrés ont été âpporlécs A la police par les marchands qui les ont reçues; il en arriver.» sans doute encore beau coup de ce côté là, car l'émission à'été abondante. » ORUY-LA-VIt.LE. — Par décret en dalo du 2 déccnibro 1861, le sieur Iliché (tamis Anguste-Remi), adjoint au maire de lu communo d'Orry-la-Villu, a été révoqué de scs fonctions. Par arrêté préfectoral du l5 décembre 18àl. M. Morlant (\ mrent-Napoléon), a été nommé adjoint an maire d’Orry- la-VilIc, en remplacement de !d. Riché, révoqué. PLAINVAL. — M. Bonlard (Hcnii), qui a été successive ment notaire et niairp du 11* arrondis.semenl à Paris, nieinbi e du conseil général pour le «antpii de Saint-Just- en-Ghausséc député do l’Oise, et maire <lu Plalnval, est njort cette scmajnc.au cl»âteau ,de Plainval, daus sa 79' année. ^ Dans CCS diverses fonctions, M, Boulaçd fit prouve do.ça- pacitu et do dévouement. Retiré dans ses trrre.s,-il ehçou- ragça l’agriculture cl sjoccnpa. aclivonieu.t des inléfcls de sa colniuuiie qu’il dota'de pliisicun; élablissunieitls. Aussi lu.s regrets dc'lous les h.ibitanis l'accçinp.igiiunl-lfs d.ins l,i' t'iiiiln:. " . ' .

0!V M’ABOXA'I-: I A W IV O lV iG B M iW tJIMbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_12_21_MRC.pdffatalo-issucn. Ia prihrA dihc,rl était âgé de 42 ans et 4 mois. De son

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>NKftNtYS IHVW18ES,A W I V O l V i G B M i W t J I M

0!V M’ABOXA'I-: I

A S fii lii , an Im rean ilu Jo u rn a l ,p la rc d e l'ilA* li ld o -V ilie i ~ A ParU , c h rs M. IIAVAS. rue J ran-Jar()iiM Riintprau, 5 , r t d i r a H eaaieura l.1FPITK -m j|.I.IK fl r l l^ trap . p lace dt- la I to u r tr , H- — r t t-lira Ira l.ilo a irra du d ë p arlcm rn t.

' lA rapport de llib iioràb lc !H. Troplong s u r le siiiiaius* cMMlleROaniiii a i i déH l^rations du S énal est révèiiemeitt Minique dtt joui*. ■ ‘

Lilfualre prÿiddëPl d d ^ i i a l dtininnira d ’ab o rd , avec line nilleléflrilpl^nie. qjic llià’rtU'iinties cntileiiiieii daiia le pro* jet d e i te a t t^ m A u i le nTiildlquéiil poinl q u ’nn aoiige ia 'é * a r w ’deè'm ieti dft.la CbüAlilniiun d e 1862, Celte Conslilu» lieilrepode^<iri«4;e<iniyàt >:exprèA, a q u e dea pléblsclies oiÿHdqlMR eri(>.ljli8ni, 'ë l qu’il' bpparllendra it Keiileniciit stfxi»m l6éèililm l»ax 'dl< 'diùdiner. O r. la Con.Aliiiiiiuti de IN dne e’iM l^ in t 'e n g ii 'g ^ k r e i td r e i ia’liberlé a des coin* bhiabonA e t dca formée brixéesi en 1818, « alors que la F n n rèe n ttè rb d âc la ra incoiiijialibleA aTce'une société dé> nacraliqite leA dro^dé.t'én iM an ls dn parlcm enlarja tne . La Constilniidéde rélK âiice d es idées d e liberté de

18â^. Eilu veut que le pays ^ u ’il'peul supporter sans se

que lé pouvoir souverain ^pl« qqi pecoulent nécessairem ent '‘*'ll8u*ôindus-eonsuUe est donc

mécanianie de la Cousii»

ïam brcs d é l'ere parlem enlatre , elà 'iûiennes' .. - .... ...........................h m p erfieee tiii’ilty ^ to w ir^ ln îb o u n e gestion des niraires

. de rÊibpird. AbnidrfNipir dah s bos assem blées l’esprit de âjMconra e t d é éundmice.- Ia SénulHs ptn.«ulte proposé p a r IS n p ereu r ne doit dè«>lers ê tre considéré que comme un iwuvéau moyen de garanties c l de précautions ■ aussi utiles a i gotlvememeiit qn’à J a nation. • -

lAppelant les mnliCi d e politique, d ’o rd re public e t de IMiiannce M lbmale» qui «valent provoqué le ^nalu s 'C n ii* sttltedeJ8S2,'M ;>Troplang.préeise l'é lendue et m ontre le fondlpnneraeut dn Sénatus Consulte nouveau. Il esquisse dans un m agnHtque'Ungege. le tableau d u second Em pire : la paix if ln b lie an-dedans, nn lm inflneuce relevée au de- b»n avec n o s .Tiot«hlM ,.rextrèine Asie ouverte p a r nos ar* mes, lé Bosphore atTiuniebij l'Ila lie délivrée, et au milieu ile ces inspirations de no tre politique trad itionnelle dans le monde.-la France s’aVahgaiii dans les voies nouvelles du [irogrè^'tidrliipqliUâ^êe de r in d u sirie ci la liberté du Ira* vall. Voilé les fautes de l'Em nlre. ajoute ré loqneni o ra te u r, do n e le s reg re llera pas. tju i voudrait au jo u rd ’hui effacer Sjbaslopol. Magepla et SolferlUo?

Ou peut d ire qUe lë.rap|H irl de M. Trnplong é.sl une des coVrrs lés’plits coiiqdélcs qui soient so rties de la plum e d'un homme d 'E ta l: ait su jet du m aintien de la distinction 8cs |faiVHtr s e i i t r é ^ d î<»ù»Viimt« e t tvs assemblées d é lib ^ ràntes. I t déterm ine avec c la rté le raivactère donné p ar rEmpervfir et le Scnai & la réforn ie qui va changer le mode df velàiioti Un budget au sein du CurjK légtsfulif.

» Uir.dptiloiireux événement et lonl-à-fait im prévu vient ile.pliinger la reine de h Grand6*Brt;tagne et PAnglelerre toiit en liérè iU iis une profuiide désolation. Ia p rince Aiberl, l'époux de la^reinp. est inort sam edi 14 décem bre, à onze heures du sp ir , d ’iine inalailie dont il é ta it a ttein t depuis éuelques jo u rs à peine cl duitt rien ne faisait prévoir la fatalo-issucn. I a prihrA dihc,rl était âgé de 42 ans et 4 mois. De son marihgê avec la m u e V icions il a eu neu f enfants.

* - La m ort du prince AlbcrI ravive e t continue, en quel* qiié sorte , le deuil .imposé à l'E m pereur e l.à j'im|>ératFice par celle du roi de Portugal. Les féic.s de la s«‘Conde quin- UiiiR de décem bre sont conlrem am iées. L’E m pereur a e n ­voyé i W indsor un des grands ofliciers de sa m aison, chargé 4 t d ire A S. M. la m ina Victoria |ii part qu ’il prend à la deuleu rqu i fraptie à la fuis la famille royale et l'Auglcterrc.

: i ^ Nnns lisons dan s rO/iMfON Ha/fonn/e ;(a p riuce Albert, né le 90 aoiil 1819, an eh.âtcau de llo*

Senau, était' le second llls d ’E rnest, duc d e Saxe-Cnbonrg et Gotha, et de la princesKe PoroIhéc-lAiilse de Saxe-Gotha. Après avoir reçu.ithelntlrucllun prem ière dcS M us soignées, il se rendit en 1837 A Bonn, pour y é tu d ie r m dro it sous les illustres professeurs lAebelL Waltei^, Pertes c l Rncbing.

L’année suivante il accom pagnait son |)ère & Londres, pour assislerpu çpurphnem cnl d e là i;eined'A ngleterre. La reiné Victoriu é ta it alors âgée d e d i2*neufans. Cédant aux reiweils de «on qnclé Léopol.d .autant qu ’aux propres iiispi* relions d e .s o n .f :^ r /ê l |R rassem bla le conseil privé le 28 novembre I8$jt, an. palais d e Bùçliingham, et déclara pu* pliqucment soM iulcplimi d ’Apoiiscy je prince Albert.

| a mariage (i^l.eélétiré â t.!qudreS:le 10 février 1840.u jl^uue prince f ta ,y a |u ra h sê Anglais e t reçut les litres

d j|(^<e royale, feld*marééhai, conseiller privé. Il devint ^l£l>i!p.cpjQU£Ldu 1 l'J tu.ssards« colonel des grenadiers de [a garde, g u u v w ieq r de W iiidsor, chevalier de la Jarre* hcrt «r-dif *ttikmi^|if d e l’université de8>mb>ldgè ël^prê^d({hl'.Ué la Soéi^té zoelogique. E n 1857.

'AlÛert^a^ôitjo'd^’tni i^ sfè r avec iin lac! parfait dans le i^e 'x b iib h aâlre 'm éln lin ip o M ttl'o p liiio n , et jam ais il iies’eitt T|^hip4^, Wivtohiâi'eh apparencé, daus les affaires w r E la n 11 é la h 'llè s populaire ep'Ansle.terïxf. Qn coumiit " n goât p o u r ie.s beà'ux-arls, e t c’es t'a Son iuilialive que i on doit rexposillon universe llede I 8 5 l r q u i, dans le prin­cipe, ne devait âÿoir qu’ail carac tère exclusivement na* nonal.' 1-0 prince Albert a en n e u fc n fa n tsd e la reine< Victoria. fM l ’ tiiler. né le 21 tiovém bré'1840. es t la princesse Vlc-

ftiâriéc au prince Prédéric-G uiilannic, fils du roi d e P ru sM ;e th i-d e rn ie rv iié lé l4 Avril 1857, est la p rin ­c e s B éatrix . p rince th? Galles, h é r itie r de la coiirontic d Angleterre, es! né le 9 novem bre 1841.

t ^ O n .é c r l t d e Londres, le 17 décem bre, nu MoHîleur •w iim ri ;' • ■ La ra p id ité avec laquelle le prince Albert a été enlevé |> causé beiticonp du su rp rise II faut savoir que le prince, depnia deux an s : sonlfrait d ’une m aladie organique qui ^ a i l n iiiié sa a m stilu llo n . On altribno aussi âi’a ir de

.^ '^■ dsornnecerlaino Intliiencesiircol incident; le château, placç su r une colline, est sain , il est v ra i. mni.s la ville est w uw ni ravogée par des Qèvrcs dangereuses qui ne sont PM sans aiiiiiogie avec celle dont le prince Allmrl a été atteint.

La m ort do son père va im poser au prince royal de non-

veaux cl graves dcvoii-s : lii n a lio tia la éonfiancé que Hié* r i t ie rd u Irène est A la h'mituur dé laaH tialion q iie le prince Albert ocGiipail si bien. M àliiivllem énl, le voyage projiosé dans l,! M éditerranée sera re ta rd é et. peut-ê tre momeiitu* ném ent abandonné.

Ln sym pathie que l’E m pereu r et le peuple français nul témoignée à la famille royale, â roccnsion de celte p e r te , a • touche vivem ent la nation Anglaise.

Le H onileur du 17 contient le rapport suivant :• S ire, ’ . ' ,

> M. Victor de Lnprade, m em bre de l’Acnd.'mie française et p ro fessen râ la fa p illé des létires de Lyon, vient ü.OjPii- b lle rd a n s le GorroxpoNduAl'pne pièccrd.c véra que jç,m ets: sous les yeu.\ d e V otre Majqslé. Le pné'le a pcut-è lrè dus privilèges qu 'on rc fn sc ra ila .tb u t a n tre écrivain; inuis, si g rands qu 'ils soient, ils no sau ra ien t ajlè r ju sq irâ rihipiinilé d ’allnsions Injurieuses envers le souverain issu du suffrage üiiivereèl cl envers la iiAliuii qu ’il gouvêrqe gloricusémeut.

• Ju reg re tte , sire , que la violence de.s'par(is Iropve des organes chez.les hom m es qu i dèvraien l. p a r respect puùr, cux*mémcs,se défendre de loiil excès; mai>f M .deJaiprM .e semble a im er la çé lébrjté qu 'on nrj|tiie rl p a r I’in V ô c l|v f i^ >

iique.. J e d p u tq d o n e que.ee p rn E ^ u V . pulM it

fldélilé an GonverneUieiit qu ’itln s iille . _ homme a le m alheur d e n o u rr ir dans sou cm ur fesler publiquem ent de pareilles haines, il doit. s ’il'ès|'âïia* clié an service do rE la l, ro m p re les liens d ’iiu serm ent dont 1.1 violation est ll.igranle et renoncer â dc.i fonvtiijus cl â iiO salaiie qu 'il reproche si am èrem en t â au tru i.

> M. de Lapradc nyaiit trop oublié ce devoir, je li'hésife pas â lui en rappeler ton te la m oralité. C’est pôiirnitoi, S ire, j ’ai l’honneur de proposer i Votre Majaslé le décret ci*jiiinl qui révoque M. d e l,ap rade de scs fond ions de p ro ­fesseur a la faculté des lettres 9e Lyon.

• Je su is , etc.’ » h c »niijis/rc do VviSfrjjçtion

jnibliqite el des ciiUes,• ItoUkASD-' >

Suit le décret.qu i révoque de ses foiiclions M. Victor de L aprade, profcs-seiir de litté ra tu re française à la-facu lté des lettres do Lyon. - ‘

^ De.<: lettres de Canton du S l.nc lnbrc.d iscn l que la s i­tuation du Japon et collé de la Cochinchitie ne sont pas sa* tisfoUantcs. Los hostilités avalent re p ris â Saigon. En ro- viinrhe, les rapports des légations é trangères â V ékinsonl M eilleur*A in . , . :\ lAs dern ières nouvelles de Syrie asautiopi que Karam a v ^ -, .. , •été rem is en liberté e t se rc n d 'è ft P rahcc. ' ‘ ” ' i - J J J ^ ’o-lU uy-ttV iul p ^ U u 4 ç l ics chaigccs.

L éveil lut aussitiil doiiiit'>- Un décret rendu s u r la prbposilinn du inini<tro de

la g u o rrr, el qui n’a pas encore reçu de pnlilicllé, applique A toutes les arm es, sau f à l'état-m ajor das pl.iccs, les limites d ’âge ci-après :

C o lo n e ls ........................................ : . . . 60 ans.Lfrulenants-cnlonels 58 ans.Chefs de bataillon et d ’escadron . . . . 5G ans.C a p ita in e s .......................' . 55 ans.L ieutenants et sniis-liim lciiants . . . . 52 ans.

Gardes d ’artille r ie e t du génie i - ■ l 'r in c in a n x ........................ 60 ans.

Vrcmiere c l a s s e 58 ans.Deuxième classe . 50 uns.

Le. m êm e décret fixe la lim ite d ’âge pour lès oflidcr.s d ’élnt-m njor dès places el des sùlidivisions ndministr.ilives.1

Ou ne suit pas si celle m esure sera étendue aux ülver.se.s arm es de lu m arine.

~ M. Depéry, évéque de G ap, vient de m ourir. Il étaii né â Challex, Jépartem cid d e l'Ain, le 16 mar-s 1700. .Sa prom otion à l’épUliopat rem oiile à 1844. A uparavaid, il rem plissait dans le diocèse de Bcllcy les fonclions de vlcaire- gènéral.

Pour exIraU c l rédacfioH: E. REGMER.

' ^ Par arrê t'(iii 17‘déèQmbre 1801, la 'C our de cassation quelle.^ lim ilcs devait ê tre ren fenné le droit

du w opriéU iire riverain su p érieu r dans i'usàgo des eaux céiijFanles.

riverain sn p érleu r d ’itn cours d ’eau peut, â la vérité, biiTMhsilgû de l’cnù à son passage, sans être tenu d'eU ren*

.dlT^M e quantité ég de A celle qu ’il a reçue, m a is jl doit n’u- sè r m 'ç c tle éau-qü} duns'ccrtaiiie mp.sure, et son d ro it ne

u:ers(iiv,Hit ré lend iie de ses besoins, ne Iijîsàali.l aux"rivpi*iil;is inférieurs que ce qui r«.sle après sa-

disfaçlion cnilèrc dcu lits besoins. J.es [iropriélaires infé- riMirà peuvent, s’il no leu r c.st transm is qu ’une quantité

|d%nii trop pou considérable eu égard A I im portance du rcçurif d ’caii.el aiix besoins auxquels ils ont cn \-m è m rs A iprfut^blr^ «'.idresiAer A' la jiiSlicc alin de faire déidarer par clic dçp'sqiièlies tin n le sc t de quelle m anière te riverain su jié rien r pourra user des eaux et en ab so rb er une p artie . (A rt.'O ll èi 615 du Code Napoléon).

La grive, le n n rle , l’alouello, le pinson, la m ésange, le rpiigfrgorge, don t des nrrélé.s préfectoraux, depuis 1850, adtQrlsniêiit lA'Rhas.sc exceplionnellçment dii 15 scplcm bre ail jlS ’nofem brc, d \ip rès des modes et procédé.s spéciaux, cd thnfe^feeaùx d e pai^qoc, yleunent, par une réèentc dé-

Mdabirtritft'BÜüftrtanrn. d ’Air» rangés d an s la c'alé*'

' E u 'èim séquehcé. aux term es de l’aiticle 8 de la lui du jS'm’ai 1844, iv la lif aux oi.seanx de passage. 1I.M. les préfets idc déparlcinenl ne pourront dé.m rm ais au to rise r la cbae.sc -exceptionnelle de ces oiseaux comme oiseaux de passage.

BEAUVAIS. — On lit daus le Journal do l'Oise du 19 :La ville a été vivement émue avanl liie r so ir p a r la nou­

velle d ’un crim e odieux Le courrier de Saiul G crm cr, qui arrive A 10 lu-nro.s dn

soir, se trouvail un peu en re ta rd loi-sque sa voilure arriva au faidiourg S iiiit-Jnst. Ln len teur de la m arche el le dé­faut absolu de direction élunnèivnt les iiahitaiiis qui c ru ­rent le coiiducleiir endorm i. On arrê ta le cheval, on monta dans la voilure, lù un spectablc ho rrib le .se pré.sonla aux yeux : le malhcui'cux cenductcui' avait été frappé par der­rière d ’un coup de feu. on croit nu coiqt de fusil. I.e coup avait fait balle, el le projcclilc était ressorti p ar l'm il. La cervelle avail élé traversée. Le coffre de la voilure était brisé; les lettres que le co u rrier ap[n»rlait avaient été lacé­rées, sans,doute avec i’inlentioii de voir si elles ne conte­naient pas des valeurs. La voilure était pleine de sang. On croit qu’une som nie de 49 fr. a été soiialraite. On n 'a pas roiiuaissaticc que. le courrier eù l d 'au tre argcid dans ' '

I tO O T E L lE S D Ë P i R T E l E I I T i L E S .

-> S u r 1.1 proposillon de M. le Fréfet de l’Oisè. dc.s se ­cours viagers ont été aocordé.s.iux anciens m ilitaires du dé- parlem ent désignés ci-nprès :

Delahnyc (IMcrre-tajuis). A Doulancoiirl. . . . 100 fr. Dubert (G hnrles-Françoi^, A Beaiivais. . . . 100 Greviti (Pierre-Nicotas), A St-Leu-d’Esserenl.Laliittc (Ijonis], A Bréuil-le-Vvrt.I^eclerc (Jean-Pieri'C-Alexandre], A Ueauvals.I.enuir (Plerrc-1,onis), A Plaiiiville..................L esneur (P ierre), â SainI G erm er..................Nnycllo (Llévain-Françnis), A Tillé..................Pelil (Fnnçttis-H unoré). A L iaiira ïu r...............Pillon (Jean Baptiste), A St-Jusl-cii-Chatisséc.

100100100100100100<00100

— Ln deuxième portion du contingent de la clas.se 1850, qui a été exercée dans les dépè ls, du 1” janv ier au 1'' aVril 1861, est «ppèléc p a r une c ircu laire du 12 novembre A vo- iilif ncRomplirxes deux m ois d ’exercice du dcu_x1àme aunéc.

Les Jeunes Kuldars qui la composent dèvionl ê tre rendus dans lus dépèls d ’insiruction le 1" janv ier nrociiain.

Le m ême jo u r , les jeunes soldats do la (leusième partie du conlingént de la classe de 1860, appelés A l’inslruriion le l " octobre de rn ie r, seron t renvoyés dans 16111*$ foyèrs'.

“7 l,e m itiisirc do la guerre v ien t d ’ad resser A qui: do d ro it nue circiiU ii’C d'apr&s laquelle tout jeune soldat, apnur- tenant à la réserve^ et qu i sera a rriv é en re ta rd A son dépôt d ’in.straclion p a r dispense légitime, ou a u tre , devra être retenu dans son dépôt aprè.s le d ép a rt do ses cam arades, de façon qu ’il y passe ton ie la d u rée du tem ps légatemenl prcscril. Q uant aux liommc.s qu i n 'au ron t pas obéi A leur o rd re d e rou le dans les déta ils légaux sans que leu r rclard pu isseêire ju siiflé , ils sero n t décrarés insoudiis et recher­chés comme Ifets.

Une an tre circulaire m inislériulle (ixe 1» d u ré e que doi­vent avoir les d ilférents effets cninorlés p a r les jeunes sol­dats lorsqu 'ils retournurunl dans leur.s foyers. Il e.sl prcs­cril que i%iix d 'ontro eux qu i ne rapporteront pas on p ar­fait é ta l de consorvation les elfcls qu i leu r seront laissés A leur dépai't le l" ja u v ie r prochain , seront conservés sous les drapeaux pondanl une période d 'in s irm iio n eu sns.-

. L'éveil fut aus.sliôl donné A la justice, cl la gendarm erie fut mise su r pied. Ln prom ptitude des :nvc.stigations p.-iraft avoir en déjà pour ré.sultjt de m ettre sui' la trace du cou­pable. De graves iudice.s; du m oins, .s'élèvent contre un In­dividu.' Hier soir, il courait eu ville, â sou sujet, un b ru it assez singulier el que nous ne .sommes r u mi'suru ni d e cou- nriiipr ni de dém culir. O t individu, disait-on, atirail été a r rê té et on lui au ra it m is les m enottes. On le dirigea s u r Ueauvais; eommu il a rriva it A uii bois assez épais, il passa loul-A-cnup sous le ventre du cheval de l'un dus gendarm es cu ire lesquels il m in d ia il, franchit le fossé en crian t, d ’une voix do défi : • M aintenant, atlrapcz-m ui si vous pouvez >, et il atira il d isparu daus le fou rré.que la geuilarm erie b a t­tit aussitôt daus lotis tessons, m ais iuulileiiienl. Geité v er­sion faisait h ie r la couveisation de toute la ville, qui a pris un vif iuiérêl A celle m alheureuse alT.iire. Si elle est IbuUée, elle ne prouverait qu 'une chose : c’e.si (|tie la tenue dus gen­darm es dans leu r service c-sl trop em b.irrassaiile et propre A p n ra ly s tr leu r zèle el leu r vigilance. Celte évasion, du reste , nous para it peu vraisem blable.

Üne au tre version beaucoup plu.s vraisem blable porte quo rind iv jdu en question a pris la fuite, en elfel, mais avaiit d ’être pris. I.a gendarm erie ayant cerné sa inalsoii, il s 'est évadé p a r nue i.<sue que personue ne connaissait, et a profilé, pour s’éloigner, du tcmjis môme que la guadur- incric mettait A sa recherche.

I .R courrier as.sasslné, après avoir fait autrefois ce ser­vice, r a ta i t cédé, et avait repris depuis peu, son succe.s- scnr étant m ort récem m ent d 'apoplexie su r cette roule.

1'. S. A l’h e u re o ù n o u s éc r iv o n s , u n b ru i t s e r é |ia n d q u e r iiu liv id û so u p ç o n n é a é té a r r ê t é d a n s la m a iso n d e sa sicui*, o ù il sC 'C uclia it.

— Nous avions annancé comme peu vraisem blable la vci'sinn de laquelle il résultait que l'assassiu du courrier de Saini-G eriner se .sei'ail échaiipé de.s m ains ile.s gend.ir- iiics qui l’avaient a r rê té . Celte vei'sion est au con tra ire par- faitemcut fondée.

l.’assassin, qui sera it un nommé Dupille, âgé de 27 ans environ, hah itau l do la cominuiie de Villers-Siiint-lbirthé- temy. revenait m ard i d ern ie r, avec sa femme, du m arché de Goiirnay, où il avait veiidti du beurre et des mufs, lo rs­que les gendarme.s de Saint Aubin, qui iguoraicnl d ’ailleurs tjiie leur ch efs’é ta it rendu A Villers-Sainl-U.irihéli'my, pour attendre l’assassin à sa ren trée pliez lui, le g iieltèrent su r la route et le .saisii-ent nu pa.«sugc. C’est dans le traie! qu'il parvini à s’échapper, ainsi que nous l’avons déjà lait con­naître.. _|j'ne baüiip . o rg an iséed an s le bhis mi ou- Ic-eroyait ca­ché, cu l Ijeu lu lendem ain m oivrodi, au m atin, avec l'assis- lance d!mi nom bre considérable d ’habitan ts du Vilici's- Salnl-U.H'llu'lemy et des com m unes unviruunanles, et n'a* mena tnulheûrensem ent aucun résu lla t.

10) b ru it court auji>urd'liui' qu ’il a été a|icrçu ' aux envi­rons d e La Uus.sc. La population bat spuutauém eut les pe- (ils bois d u |Kiys on il a pu se cac.h.u-.. L evol était lu mobile du eriiiiu. Dupitic croyait, pense- t-on, que le courrier é ta it chargé d 'une somme de 6UU fr. (Ici.homme tran sp o rta it suuvettl du l'argeiil.

VoilA les seuls renseignem ents connus. Ou sait toutefois que pupille s’éluil p rocuré du la poudre ta veillé du crim e, et q u ’il a été trouvé à son domicile des vêtemculs ensan- gtautés el une crosse de fusil. Le cauou de cette arm e a été vrniscm hlabicm cut je té p a r lui, la veille au soir, dans la m are située e u face lie son ibiiuicilc. Il est imsitif q u e 's a femmo a déclaré qu ’il y av.dt lancé un objet qu'cllo avait entendu tom ber dans l’eau. La m arc a été vidée. .Sous no connaissons pas encore le résu lta t des recherches qui v u'nl été Lûtes.

Une preuve accablante do la cnlpaliiidé du nupille rcji- sort des déiim vortes faile.s p.ii- l.i gem larm eric. La bourrfi du fusil tii'uvée su r la route, à l'en Irod du ct ime, :i éié

rcca>niiiio pat* H . le juge d ’im in tc lièn p o u r ê tre im ê letIN; adressée lu 1*' de r« mois A Dupille p a r son père, détenu à la m aison re iilra jc de Poissy.

Jeud i a été Amené A’ m aison d ’a r rê t d e BoauraU' nu individu d’Ons-en Bray qui se ra it le complice de Dupllfr. G’est lui lou lefo isqui a vendu A ce d e rn ie r,'le maliii m êm e d u jo u r du crim e, le fusil qui à sèrvl A ie peLpélrer.'

Dupille, depuis son évasion, auflttt- (a it ddirtrë èe t in d i­vidu des révélatidns graves d an s Kùêitiàisoii où i r AbrpiF p ris tiii repas A la hâte, et ces révélalions Auraient d é le r-m in é l 'a r r e s ta t io n d u p ré te n d u c o m fd k e .

(’OMPIÈGNE. — La société dé secours m utuels d e SainD ' Françnis-Xaviur de Complègne v'Knit de recevoir nifc lfnû- velle preuve de l’intérêt que lui porte l’Em pereur. S . '» ; à daigné lui faire don d ’une som m ^dc 560 fr . qu i a é té va* sce dans .sa caisse.

— l.a Vénerie Im péiiilc a qu itté Complègne m nrdl po ar se rendre A Fontainebleau, où elle.pii8.scra l'hiver.

LIANCOÜRT. — SI. Dotlin (Ile 'nri),-percepteur descon* tribu lions directes, vient d 'ê tre .p ro m u A la 3* classeVsàii» ê tre obligé A déplacem ent.'

La ville de IJancourt et les nom breux am is de IjUjBoiUiK app laud iren t A d e 'm . 'e x é d l M 4 i B mdont l’aplitndu aux alfaires financières a été appréciée7r ' Deativais, alors qu ’il y occupait l’un d s prem iers em plois de la recette gunérale; il reçoit h ju s te récom pense des bons services qu’il rend juiirnullcmcnt en sa qualité du percepteur.

— M. I.n ton r.quc l'on rcconnnit loujoui*s lorsqn’i t s ’a g ir ' d ’honorer la commune qu ’il habite, va faire placer A ses frais deux Iiecs du gaz, pour éc lairer la statue du vénérable duc de Lu Itochcfuucauld-Liancourt.

— Ln individu vient d ’ê tre conduit dans les prisons d e (:ierm ont,com ineincul|)é d e tentative du viol s u r iinc lèunc nile de huit ans.

MELLO. — Un faux monnayeiir originaire do ce lle conr- m unu vient d ê tre arrê té an Havre dans les ciiTchstances- suivantes : .

-« Depuis quelques joiii-s. d it le Journof d u J7urre du 25 novem bre, circulent en ville des pièces d e 2 franesA réfRgta d« l'E m pereur, d 'une rsimposllion fnélallique imiluAl assez bien r» rge:il, m ais dont le m auvais nloi Ac pouvAil récon* naître facilement p a r le m anque,de sonorité, ainsi q u e p a r l’aspect extrôm eineni fruste de ce tte fausse monnaie'. Aussi était-ce principiiicmunt le so ir que ces pièces éta ien t passées dans le» débits. Icsoranibiist le«m areli»n (k de-j«tinfAiir,- ctc. Les plainlc.4 portées A la police perm irctil d e d resser un sigu.dcmeni e x a c t.d e l’ind irh lu qui s e l iv ra it 'â ce chaiigu du inoniiiiio. C’é la il nu jeUûc ut beau garcon/'A la mise fiishioniiiible, grand de taille cl po rlan t uvccaisuncu ' unu toilette assez ruchcrchéc.

— Ihi des ,igents auxquels ce signalem eut avait été com ­m unique. lu b rigadier Polün, faisant jeudi sa lournéo rue de la Halle, rencontra un individu dont toute l'apparence répondîiit parraitum ciil A la description de l'hom m e que

, I on rochcrrhnil, e l, avec uiis adres-se rem arquable, ce uri- 1 gadier réussit, sons un prétexte im aginaire, â conduire le

qindnm nu pü.-Jtc de sni-eté où . en le fouillant, on trouva .sur lui cinq pièces de deux fiMitcs pareilles A celles qui avaient trom pé tan t de personnes au Havnv Pendant la roule de la ru e do la Halle au pn.ste de sû re té , no tre iudi- vid ii qui qui n ’était pas san.s avoir quelque .soupçon du .sort qui Ia tte n d a it , mai.s q u i, som me tou te, aim ait encore iniuiix avoir l’a ir d ’accejdur le prétexte du b rig ad ie r que lie ten ter nnu fuite assez diRicilu du rc.sle, c l de faire par cela même un aveu anticipé de Rulpabiltîé, le faux mon- nayeur, dismis-nou.s, tourm entait scs poche.s, cl l'on voyait qu 'il olierchait A .se débnrras.scr do quelque chose. Mais comme lus yeux du b rigadier ne le quittaient pas, il lui fui impossible de faire d ispara ître le métal compêomcllaut qu ’il avait en sa pusses.sinn.

« Ou savail déjA A ta pollrc que rzilul su r qui se portaien t SI ju.slcmcnt lus soupçons était Un nommé llonoré Fraftçois Decüignères on Dcfcuigher, âgé de 26 ails, préiiant inen- sonçèrem ent la qualité de chlrurglen-dentislo, qu’il é la il orlgliiaire de SIello (Oise), arrivé au Havre le 5 mivémbri-. venant d ’Angleteri-e, e tq ii’il avait dem euré sacccssiveineiil ru e de lu llatlu . 6. ut ru e d ’Albanir, 57.

• ü n e perquisition f,iitc nussiiôl après son arrestalinu dans le d e rn ie r domicile de Drciiigiior, am ena 'la 'décou­verte d nue certaine quantité de plAlru fin p o u r m ouler, d une cm llerc A pot eu 1er b a llu , coutenani une sortd de ^ s m i; , d une petite casserole eu for battu égalem ent, pleine ob petits lingots de plomb, d ’élnm , do zinc, etc ., ciillii du cinq pièces fausses de deux IVanc».

» Lunfronté avec ces pièces du conviction, Dccuigncr, â qui l’on dum audalt où étaient lus moules dont il devait se serv ir pour ramier sou composé métallique e t Inî donner I em prein te d ’une m onnaie française, répomlit qu’il n ’avait |)|iis «le ci’.s m oules; qu'apr*» avoir e.ssayé sans réiis.sir, il les avait jetés, et que 1rs pièces trouvées su r lui cl dans son domicile lui avaient été données ru Anglelerre.

» Le nom bre des pièces fausses recueillies Jusqu’A p ré ­sent est de^dix-liuit. dont d ix en la possession d e Decuigncr; les au lrés ont été âpporlécs A la police p a r les m archands qui les ont reçues; il en arriver.» sans doute encore b eau­coup de ce côté là, ca r l'émission à 'é té abondante. »

ORUY-LA-VIt.LE. — P ar décret en dalo du 2 déccnibro 1861, le sieu r Iliché (tam is Anguste-Remi), adjoint au m aire de lu communo d'Orry-la-Villu, a été révoqué de scs fonctions.

P ar arrê té préfectoral du l5 décem bre 1 8 à l. M. Morlant ( \ mrent-Napoléon), a été nommé adjoint an m aire d ’Orry- la-VilIc, en remplacem ent de !d. Riché, révoqué.

PLAINVAL. — M. Bonlard (H cnii), qui a été successive­m ent notaire et niairp du 11* arrondis.semenl à P aris, nieinbi e du conseil général pour le «antpii de Saint-Just- en-Ghausséc député do l’Oise, et m aire <lu Plalnval, est njort cette s c m a jn c .a u cl»âteau ,d e P lainval, daus sa 79' année. ^

Dans CCS diverses fonctions, M, Boulaçd fit prouve do.ça- pacitu et do dévouem ent. Retiré dans ses trrre.s,-il ehçou- ragça l’ag ricu lture cl sjoccnpa. aclivonieu.t des inléfcls de sa colniuuiie q u ’il do ta 'd e pliisicun; élablissunieitls. Aussi lu.s regrets dc 'lous les h.ibitanis l'accçinp.igiiunl-lfs d.ins l,i' t'iiiiln:. " . ' .

Page 2: 0!V M’ABOXA'I-: I A W IV O lV iG B M iW tJIMbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_12_21_MRC.pdffatalo-issucn. Ia prihrA dihc,rl était âgé de 42 ans et 4 mois. De son

M. lioiilitni, iioiimiiM'ii tti'25 (IqmlV* tic riirruiiiVicstMiu'iit liu Cloi'iii«>iit, ;ilut's «|h'ü û lail muirts tlii 11* iii'i'uiulisstMiiciii muiDcipni do PurU» fui d ln à i i l ic ni:iJoi11«J d o 'î 'i . 't voix i:oiiii'o tH i siilTi'nacts obliHHis pur lu cauiliiiul libùi'ul,

..N. TruiiVlioii. Il «bsliitu» cii tmvuiDbvo 1S27, lorsi ilii runnii’ Tdlciiiunl liiUVi'ul,''il;iiis eu culU'gu. 4|iii cUoisil M. Icuotiilc Uûi'urtl, liciiluiintil niiuifu dûpultr du lu Suliic, un*quel il d o im u 'il l vuix cl seiiluineiil l*iUi\ M lliitilurd. Mul^ 00 licmiei'» alurs iiiuiro du Plabivnl, fui «îlii à lu iiièiiiu t po* que, pui* lu cttllèi^u dépui'lciumiiul. p ir 131 siitl'iM U!4 su r *259 viituids. Il ruiiipluouil M. Ihtpillu du llurilcliêrus, t|i»ui* m«icii I8'25, ut fui rutiiplucé à suii lu u r. Iu3 jiiillu ( 1850, pur M. lu cuiDtu Aluxniiilru de l.u Uuclieruiicauld.

RANTIGNY. — Suiii'edi «luruier. le corps iiiunitnù du iiimimù lloqnurl (Clovls), ilgê J e 18 nus, uiicicii iiiurrliuiid m ercier, nulif ilo Hululro. cautuii «tu Ui*yo (Sonimul, «lomcu- ruiit à llutdiguy, a êlii lrouv«s par lu sieur l>.'«-.inguiùres, o u rd c r i Ars, s u r lu chemiii du inoyuuiiu coumuiinvalimi du Rnidigny ù Ars.

M. le cnmmiss:iirc cuuloiinal, M. le inuirc d«; Runligity, M. lu mar«>rlinl dos logis u l «in goiidunnu do tu brigudu do l.tuncoiirl ayant élil itif«iriiiûs (lu cet «Ivètiemeiil, sc sont Iraiispoiiés aiissil«lt .sur les liens, cl A i'inspeutioii du eu* •lavri?. ils ont rcuoiiiui que lu m o rt du C«iqiiurt (Mait le r«i< sullut d 'u n , excès du Ihjiieui's fortes ut tout porto à

- eroii'o que cet homme avait m is vuiunlairement fin û scs jours. Un billet tixmvû dans nno d«5s poches «lu sua gilet uuiiliriiiu l'clto stipposilioii. (lu billet Otait ainsi uoinat écrit de la maiii du Uo(|nurl :

■ Supplie ci ivgrui du m ourir dans eu trislu lieu, amis priez,IhuM. pour euini qui a tan t ctruibaitu coiitru lu triste so rt. Adiru. Rigpgnc cl coiiipagniu «lu ruiuillu, adieu clellu, que Ûiuii vuus protège dans votro commerce, adion, mes chers pnreids, priez Dicn. > Depuis loi>glemp.s la vu était à ch a ire à eu mulhcuix'ux «pii ne possi^duit anuiiii moyen d'exision«x‘,u t avait nianire.slo plusieurs fuis la pensce «lu iptiçide.

SAl.NT-AmUN-SOrS EROUERY. - M. Dumonl. du Sainte- t ’.roix, proprivUiiiu à Ei'«piery. si c«>nnn p a rsa o liir ilé p o iir lus pauvres ut pour l'êglisu ilù cette paroisse, vient de don* ae r une n«>uvollu preiivu «le sa bicnfaisanco en envoyant aux incunditis «lu Saint Aubin une'soinniu do '200 IV. avec dus seiauir.s en nature.

Parm i les petsomics bienfalsiuilusqui sonfoiu^ore vennos nu secours «lu ces m alheureux, nùnscilerons M. Uimianger, t i t i Pout*du-Pi>‘i'ru, qui a envoyé une somme du 05 fr.j et M. Devambez, à lllancfossû, «pii n envoyé 100 fr.

SILI.Y*I.K*1.0N(<. — Pans la unit du 5 an I di’;ccmbru, nn vol «le iienf lapins n été commis an (iirjudieu et an do* mirilu iln sieur Prteiix, m annnvrier. Anluur iiieuntiii.

uolqii ugue

«PtfViirr l i e

PnKSmKM’.R DK 51. V.VTIX.

.t«n/ô’«ce dti incnTi'ili 18 P.v<’wi/o’e IJUII.

Pêsir(;* l.o iils*r.asim ir C h .im pagne , âg é d e '2<î an s , .nvail succéd é cum m u p a tis s ie r - l r a i le u r e u s iu n r . lla r lin , denien* ra id à C rcii, e t eu ]Cim«' h o m m e, d a n s ce t é ta ld isse in eo l, n 'a fa it «pie p a r .i i tru e t d i s p a ra i i r e ; i|ne!<ines m ois on t stil'ii p o u r le m e ltru h o rs d 'é ta l d e co n lm iie r sus all’:iire.s. l'n u ru in e u iissi p ro m p te a s u rp r is hu au cu u p d e m o n d e , e t tih am p ag u e r a l l r ib a u A «livurscs c.insos «pi'ii d éc lin e A sa faço n : m a is u n a l lc n d u n t . il u s t é v id e n t, e t il n e p eu t lu n ie r , q«iu la fa illite (m u r iaq iiu llu il e s t p o u .isu iv ia pu«ir t 'uuso s a nég ligence A su r e n d re co m p lu du sa s itu a tio n a u m oyen «le re g is tre s rég u liu i's . lu m a n q u e d 'o rd re «-I d e sur* vc illau ce ; c a r tU m m pagnu, il 'a p rù s lu i-m ùn ic, n 'é tu i t pas se c o n d é eo iiv u n ab lu n ieu t; u t p u is , dus tro u s c rcusi-s anté* r icu ru iu e iil A s a p r ise d u pus»essi«m o n t «lii ù t rc com blés aveu It» p m i i ic r s bénéfices. T o u s c i's m otifs g ran p ifs m it iiu c rs^ iircm iu it c u lra în é lu iirévunii «lans l 'a lu n ie «u'iil s«i tro u v e ta n ju u rd ’b u l p fongé. l.u I r ilm n a l u o n d am n e Uharii- p a g n u o u 15 jo u r s d u p riso n e t a u x fra is .

— R.iptistu-Kloi Viberl. âgé du *2U ,ins, rli.irrc licr, dc- mcnraul A R.ar«jii, su plaint «lu eu «pic s.i runimc n 'a pas soin de lui. • JaniaÎK, dit-il, le m anger prêt à lumps, jiiniais elle nu rc s ic à .sa m aison; p.is du raugi-nirnl, |ias d 'orilrc , pas du propreté. • Le 0 du eu mois, Viberl n’ayant pas li-duvé sa femme chez ellu an moment où il ven.iit prundru son repas, m urm ura forliuiiunl, ul sc.s plainles augiuentûruiit «|uaud 6 s«)u arrivée la sinipe n'était pas dis* posée. Une disvnssion s'engag«M, pendant lauu«‘liu lu p ré­venu mangeait sou p.iin; il prétend «lue.sa femme lui ayant porté un coup de lû è d , Il vouliit l'éloigner «lu lui en ta ru* ponssaul, m ais sou coulenu su trouvant la pointe un avant, lu feiuiim fut afleinlu ut blessée, h'-gèremcnl il < st vrai, sous te sein d ro ii; toujouis est*il qu'ullu lu t altuinlu et prétend «Hrc bien m altraitée depuis d ix-huit mois. Lu tribunal «mndnmne Vihort un nn mois de prison et aux dtipens.

— rierru-*S.iinl-Prime Desforges de Uliafeatibnin, âgé de 45 ans, né A Cn/lon, sans prufessbin ni domicile, prévenu «le vagalunnJagi^, a été condam né en 15 jours de prts«)n ut aux frais. t'a:l Inunmu, aveu une éducation i(ui para ît ,tv«>ir été cultivée avecttuin, est un uinnontano («enétré de l'iiféu «|ue les m em bres «le s» r,iniitlu s'a ttachent à lui nu ire cl A fu i 'b irc perd re ses em plois, «m'ila perdus par st*s prw étlés « t m I<hi lid mitolèr A caiisA du jiursérJtliuiis de sou invun* llnn. Potir év iter .«es déboirc-s, d a décidé du im plus rien (Âiro d'otHc i ta s«»ciélé et à hii*iuému.

— V ic to r.B ap tisIc D au ier, Agé «lu Su a n s , c r ts s o iin ic r . d e n ic a ra u t à B o re si, a ch an g é la n a tu re d e son é ta t n o r ­m a l ; 1*!vre.sse p a ra i t d e v o ir ê t r e b ie n tô t son é l.it n a tu re l. H alliio le In m b le e t lu .scandale r l n e se p n v u p as . ip ian d il è s i iv re , d e s’ad o n n e r à s a passion d e fa ire d e s so lllso s; un s b i to q u u le 9 d é c u m b iv , sc (r«)uvnnl «fans n u e ru e du M on llognon. il sn tro u v .t p r is d 'in i g ro s e t é n u rm u be.soin f«»r«^mt k s d ig u es , e t . m a fui, il n e tro u v a liu n du m ieux i|im d 'y s a tis fa iiv , ta o ù il su tro u v a it . Ce p ro c é d é én iu l Ui su sc e p tib ilité d u g a rd u -c h a m p é lré , q u i Ironva en ce lle c ir- conSlaiiCé ro ccas io n «ht fa ire cnm paguu u t do fa ire p a sse r ü ii hiohi.s n n llle t d e j o u r d a n s ro lt.scu rilé q u i l 'cn fu tire h a b ilu c lle m e n l. A près a v o ir v o rlu m en t ré |ir in iiin d é Uar.ier. q u i n 'é t a i t p a s p lu s un é la t d e , l 'en lu m iru <|ue d ispose A obl« ;m périT A se s in jo n c tio n s, il U l-u n ru p jm rt «létaillé e t c irc o lls là n e ié û ta g e i id a n u c r ic . q u i d re s sa |U 'ucè.s-vcrbul. D aticr^ d e v a n t le Irib u iiiit, ne c h e rc h e p o in t A so disculpei^, i l se c o n le n tc d 'a l lé g u e r q u e la néccs.silé a , ce jour-IA , c o n ­t r a in t h lu i. i*c t r ib u n a l le co n d am n e on Iti f r . d 'um em lu e t a u x d ép en s .

— lton«>ré-l-ouls G ro n y .â g é d u 31 .'ins,jar«U niur, d em cn - , ra ii l A « lhan lilly , a vo u lu mung«.>r d u fa isan , m e ts q u 'i l n 'a - ' v a it jan iu is d é g u s té ; Il s 'e s t a ssoc ié i.o iiis-K tiennc L a rp cn -

t ie r . Agé d e 31 a n s , m .m o u v ric r n C han tilly , ip ii, com m e lilL 'n 'a v a i t ja m a is g o û té A p a re il m orceau e t n 'c ta il pas fâch é d*«ii lû te r u n e fuis; (l es t Cr«my q u i n et«f.mlé l'ldé«', e t C larpuntier a co n sen ti A fa ire lo gtict p e n d an t q u e le p re ­m ie r su fo u r r e r a i t d ,in s la vo lière b ien p«Mipli>c d 'u n e d am e

3ni élevait quantité du ces nourrissons, mais II a eu le soin e rciomibantD’r A Grony «lu bien chuMir et de p rendre te

nlnâ ^ o s , lA) coup fa it, Grony n emporté le fais«m {«oiis sa blouw . m ais il é ta it ivre aussi bien que son cam arade, et, iM pins A faire cuire leur faisiin, ils prétendentl'avoir perdu en re tou rnan t chez eux. Pourtant Carpcntier wiUpÇotiiio bien Grony d 'avo ir fait part A Ini seul et d'avoir shwR m angé, du moins bu fa bélc, e t il s'en serait assuré, si là Â nilA rm erie lUi éii avait donné le temps, ou plutôt s 'il vTavàU pas eu l'hnphidetiec de sc venger trop tôt en o U a n l déil«m«»r te fait AUX gdtdarnieH et faisant assum er te tout A Grony. qui a alors déciué de n'en prendre que sa

part, l .u tribunal condaniue Grony. <‘U ég.trd A s«>s aiilécé-; dents, en troi.s mois du prison, «:l Garpeutiur, i |u i «tsl u n ' peu moins gangixoié, on uii mois de la môme peine; toits' «leux sont condam nés solitLiiremcnt aux dépens.

— Rose-Virginie l lé rin , dom estique A de 17 .MIS setilenient, a le d rtù l d'uij 'Ile s'un est régalée d 'une qunr

dépens de U cave d 'n n cultivateur^. m uue.A iijôurd'Iiui c 'é ta it du Borduiui . un a u lru jo u r du Sloulin-A-Vunt. et. de ccl piHivait au 'nm ins se fixer pour le tem ps où ellu ain cave A elte. Mais cette fille a été vue par une' dom estique, qui a dénoncé lu fait A Lt m aîtresse d e la niaisntv, lai Aile llé rin , sans perdre un instant son aplom b, a dénoncé celttf bonne comme lui ayant nininles fols fuit boire du bon vin qu'elle croyait acheté chez le cubaretier du jiuys. Eiinu, un petit bonhomme de 1-1 ans vient donner un dém enti A h prévenue; ca r souvent, ire.s*souvenl, douze fois nu nmins, ta ItUu llé rin est venu t'éveiller A onze heures, A in iuuili p our Ini faire goûter du vin cha(|ue juur.roejllenr «{ue celui do la veille. Au su rp lus, lu prévenue avoue avoir volé dans culte nialsim des pots de conflturus qu 'on a r e tr o u v ^ dans son lit. I.c tribunal condam ne virginip H érin «m (rois mois de prison, pour lui fairu {«ordre lu goût du via A tràp bon m arché.

— Aiiiie-l-'ugénic Clément, Agée «ie 18 ans, ouvrière en boutons, dum eiirant A la Chapullc-en*Serval. a déjA été soupi;.onn«;e plusieurs f«»ls du ce rtains petits vols don t on n'a pii ou voulu, A cause de son Age, l.i convaincre enlici’é- m enl; m ais cette l'itis, elle n'a pu se soustra ire , c a r un porte-m onnaie garn i d 'uuo somme assez rondele tte a d is ­paru du f.i chem inée d'une voLsinu. e t la litlo Clém ent est seule unlrée dans la maison pendant rab.sence du la inaî- Irussu; elle est venue causer aveu la fille de la lu.iison, s'est appuyée su r la chem inée, a mémo picoté avuc la pointe d 'un confuuu au to u r du porte-monnaie, q u i, eu cé moiuout m êm e, s'i^st «'tclipsé. La conduilo liabituelle de la prévenue laisse iiieii A dé.sirur, aussi s.i défunse so trouvuH-elle en partie paralysée par lu développement d 'an técédents plus (fiie lotu'hes. Le lribun.il' conilamnc ce tte liilo en 20 jou is (lu prison ut aux dépens.

— Mai-guerile Curolinc MonpcrI, Agée de 49 ans, feinioc d u nom m é Rngliur, pein tre un bAtlmunts. dem eurant A S.vinl-b'irmiii, c.st garilu-inalade, mids. appelée p a r des ma- telles e t (les femme en cuuche, elle fait I oRlce du docteur (iti de la sage-fenimu quand eus durnicrs^ prévenuo Irop^ la rd ou non auerlls , nu sont pas A tem ps su r les lieux. La ' femme Iluglier avoue même avoir .souvunt var^ciné ot p ré - - li'iiii y avoir été aiilurisée pur «les médecins, qui n’on t pas plus lu «fi'oit «lu donner celle anlorisatiiin que celle d 'excu­ser l 'art (les .-«ccuucliuments. f.a femme Iluglier avoue tous l't'S faits cl dit i|u'ellu n 'a p.is du diplôme. Le tribunal la «Mtidamuu (Ul 10 fr. d ’umende ul aux frais.

— Fram;.uis Drivai. Agé «lu 58 ans, aubergiste et pitofc, (Icmuiirant A S arrun . est poli comme un ch a rre tie r du ba- loaii ; ce (li(dmi passé en proverbe pourrait même s 'étendre à luulc l-i profession. Delval. un peu animé p a r la bi)i$a«nn, commaiiiLiii su r la rivière du fausses m am cnvres «pii, n 'ayant point échappé au chef du poni, avaient mollVÀ (le I.) iKirl du ce (iernier «les observations i|ui furent ac- cueÜlii^s p a r d ts injures. Qué|(|iii;s instants ap rès, l'aide du m ême pu:il, l’a / lm '^ o du chef, s 'étaiil m élé du ce lle althire e t ayant dirigé fa manoenvre plus convunablem cnl i|uu Üeival, ce dern ier Ini adm inistra une corrc«di«m m a- nncllu aussi solide propiirtionncllumcnl que celle verbale A l'adresse du chef du pont. Delval ne com parait pas p o u r su justifie r, ut t(*.s tém oins sont trifemeni positifs dans teûra dépositions, «lu'mi ces.se de s'étonner de ne pas voir le pré­venu. Le tiibm ial condam ne Delval en 15 jo u rs de prison.

~ Au mois d ’août dern ie r, l.i gcndarm urlc d'Acy fais.tit uiin perquisition A domicilu chez dlvcis habilnnts de Boiir- sonne. A reffcl de découvrir ra u te n r d ’un vol assez im por­tant commis dans ce lte commune. Les rechoi'châà avaient été in fructueuses, m ais bxs gendarm es ont découvert dans plusieurs dom iciles des engins du chasse pruhtbé.s qu'ils «ml saisis, rlu'Z : I " Juan*llaplislc Monthoile, Agé de G5 ans, marchaiKl boulanger; 2 ' Augnsle D.nllon. Agé de 41 ans, m anoiivrier; 3 ' (Ihristophe .tloncelet, âgé de (il ans, char- re lie r ; V Jeaii-Lonis Dufiesiiu, Agé du 59 ans, bùvhm'oti; 5'' Louis Alphonse lloulrel. Ag«'; du 38 ans, berger. Ces cimi [«révuiins, trad u its en |Hd;c>: correctionuellc , on t prétendu •pie brs gendarm es, dans la circonstance, n 'avaien t pas ijualilé li'-gale pour fair.! colle saisie. Lu tribunal de Senlis .lyaiit décidé «pie les gend.irmes avalent fait leu r devoir et que la saisie était régulièru, b's prévenus ont fait appel de ce jiigom cnl, cl la cour im périale ayant confirmé lu ju- gemciii «lu tribunal de Senlis, l'alfaire relalivc A la délen- lion (r«mgius prohibés ruv«maif à l'andioncu de cojonrd'hui. Les prévenus, au moyen do l'ajqiel inferjuté, avaient perdu foutu voie d(! dénégation ; d ’.iilfcni's, ils avaient tous l'excuse p iéparée ; l’un a trouvé eus collets dans l,i p laine, en tra- vaill.inl : un second doit l'attcideiU A sa fenitnc. qu i, en re­venant du travail, a ram assé les objufs s u r sa l’ou ïe: un troisièm e n été autrefois garde, il n do lumps A au tm saisi de.s coliet.s qu 'il a depuis nom bre d'anm tes laissés chez lifi. sans s'en occuper; nn quatrièm e nvalt p réparé ' eu collet pour prundru nn chi«*n inabiib* «lout'il voulait sc défaire , et le cimpilcmc, qu i, comme l'oflicier du convoi do Mulbo- rougli. n e n nu po rta, u ’avnif rien A «tire ni alléguer. I.c Iribuiiaf condam ne lesdifs prévenus un chacun 59 f i \ d ’u- iiieudi*. en ajonl.int cependant 29 fr. en sus au nom m é Dnfrusnc, en sa «pialité (l'ancien employé «l'adminTstriitimi comme g ard e ; tous ont été cundamné.s solidnirem cnl aux dépens.

c o n a B * A S S IS E S d e l ’o i s e .Piésidencu «L* .M. lir/i:(jreT ub ItoQirKMo.xr, coiLseiller A la

4^ »tmrt;ul A terre un m ouchoir un fil ci colon, A petite Ciiri'caux fond blanc* 11 ne dulita pas dés-lurs qu 'on ne so RU iàliXKlUU duiis son Jard in pour iu voler, o t reconnutbientôt que su vigne .ivait été ontièrôm unt déva.stée. L njar din é te n l clos do miip.s e t lu porto ferm ée A elef, Cin.lrodnc (ion devait avuU' eu lieu «\V uido.d'escalade* P r ^ do la

iiii servira i dans lésdéjA été cotidam né

Luur iiiqnh'iale d'Amiens..\tfiUiincc dit lundi 9 dâccmhvc 18GI.

A I T u i r e X e m i r c .Voli qualifléê.

Dans le courant du mois du ju ille t 18GI, le s icu r PAïquin. qui «x’onpu ul fuit valoir A Liaiiconrt plusieni's ja rd in s dé- pundunt du la propriété .de. U . .du-Larnchuroitcanli, fut nvevfi p a r s;i dotnesli«|nu'qn'uu individu avait péné tré daii.s une se rre située au milieu du ces ja rd ins. 1.esjar(tiiisitont «dos de ton tes parts , te.s pnrlus un étaient ferm ées aiii-si quu cfltc de la serre. 1a> m alfaiteur avait donc eu iiécussniru- m enl recours A l'escalàdu pour s 'y in irodnire. Lo ‘sieitr (*ra«|uin so rend it aussitôt dans la serre accom pagné du siu n r Ootaplnce. appariteu r do police A Linmmiirt, e t ils irouvèrenl l'accusé l;em ire (Joseph-Junn-nuplUfc), Agé de 43 ans, m anouvrier, dcnu iiran t A (jaulfry. étendu A terre dans l'n itiiudc d ’un homme nndornii. Ayant ensuite c.xa- m iné de.s tuunoaiix de cidre placés dmi.s nn cellier voisin de la serre, ils s'nperipireiil (|iie t'nii d 'eux laissait échap |i(M- une certaine qii.intité de cid re : lu vol n'élaR pas don- leux; le cidre répandu A terre indiquait quo le fouiicnu avait élé ouvert o t m al rebonché Lumlre. Infcrpellé, r e ­fusa de répondre, et p ro lifad 'nnnio tnetil où lussiuurs l*ra- quiti et Dclaptecc sc trouvaient dans te cellier pour prondru ta fuite. Quoique su rp ris un Ragrant délit, Lem irc perslslo A so u ten ir qu 'il n 'n pas bu lu cid re du sieu r P raquiu , et

firélend «(ne s'il est en tré dans la se rre u 'cfalt dans l'intun- ion de s 'y reposer. — L'inrurmatlon a relevé dcilx au tres

faits A te chargo de l'accusé, la: 8 septumbro ISfÎ!, lu siour F ére t, cuntre*m aitre de fabrique A Lianconrf, so ren d an t A sou ja rd in vers 8 hcnrrts du m atin, roinarqna avec surprise quu te p e rte d 'en trée qui, la veille an suîr, avait élé furinéo A

' c lu i'parsa femme, sc trouvait ouverte; ayant fait qnciqiies

porto d 'uutréo, e.i efful, le m u r é lâ ll d ég rad é: des pierres tombées A (e rre e t dos ceiM do viguu b r i s ^ révé^nwnt te passage du m alfaUeur. I,es s u iip ^ u s se {«orlôrenl aussitôt su r Lem irc, e t sa ciiInablUtô iiu tu rda pas A èlru^éfuliUo.Le m uùchoir trouvé «luns le Jard in dit sieur- PéruI tu t ra- connu p a r la femme Leniiru, m ôro du l'nccnsé. Lu 18 noûl, cette femm e, qui hnblln Guiilfry, nvmt recouvert avec «:e mouolipir-uii m urcuùu de viaiidu d i^ 's é d a m ts a c u v u : huit ou «piliiù Jours après, ayant eitteiHlu «U'rô «ino sou fils était venu  CuulR'y et qu 'un le soiipçbniialt de p lusieurs vuls, cllo avait eu I idée d 'a lle r A sa cavo afin du s 'a ssu re r s 'il ne lui avait rien dérubé. Elle avait alors conslnlé que lu mou­choir avail-dlsparu. Malgré celte c h a ire uccubteule. Lemire soutien t qu 'il lie s'usl pas liitrodm t dans le ja rd in du siour Pére t, e t q u 'il n 'est pus l'au teu r du vol commis A son pré-

.Jiidiec. — Dans te cutiranl du môme tnow de septem bre; la gendarm erie , informée que lonnire cherchait A vendre du linge au siour W altier, m archand do cliifbms û Lojgiie- viflo, soupçonna que ce linge devait provenir de vol, e t se m it iinm edialem ent à la poursuite d e l'accusé. Qn te trouva nanti-dluii pan ier contenant q u a tre dra p s de toile m arqués P. 0 . e t une chemise de femme portan t, tes initiales C. P* l«eiuire fut obligé de reconnaitre qu 'il avait volé (q u .s ces objets au.dom icile du sieu r P çtil, auberg iste A L iancourl,' chez lequel il avait travaillé comme Ja id iu te r peu do tem psj auparavan t 11 déclara que te n u it, vers (rois heures, il avait pénétré dans la cour des époux Petil p a r te po rte co- chùro qu 'il avait trouvée nnverle, ut qu'à, l'ah le d 'une étdiellu il é ta it monté an g renier où te liiigo ' é ta it déposé, (tes aveux, arrachés p ar la iiéccs.-iité du hi situa tion , n'ont pas m èine le inérile d 'é tro couqdet.^. ' Lcinli'ie ne d it .pas. v ra i lo rsqu 'il prétend avoir trouvé là pmàu «Mtchèri) mi- vCrle : la nuit môme «lu vol, vers d n u h ô û n :, lu. b iètir Délit s 'es t assuré qu 'elle étiiit ferin'éé.'’ t . i coiif e t lu |ard.lU a tte ­n ant A l'habitation sont cnfièrém cnl clu.<«. e t pour parvenir jus(iu 'au gren ier sitini dans te cour, il a fallii que Lnndrq .cscatedAt te m u r de clôture du ja rd in c l m ie {pilissad(> qui séparé le Jard in de la cour. 11 est d 'au ta n t pluif certain qu 'il a pris cette voie, que dans lu tem ps oi| il é ta it Ai -du â ien r itetit, il lui (»( arriv é de iV i|lrcr ainsi bAliùieuts pendant te n u ll. l/accu sé a déjA été c

.A l’cm prisounem ent pour vol;M. UârlhdliMi, Substitut du p ro cu reu r im périal, soutient

l'acciisation.4P Runaud-Uosu, avocat, nom m é d'ofilcc, p réscntç la d é ­

fense.I.U ju ry rapporte de te cham bre «te s('s délibérations un

verdict «le culpabilité su r les (l'ois ch«Ts.d'iiL*ciisa(iQn, avçc circunstunces aggravantes sû r tes deux dern ie rs . Il aiim èt «tes circonstances a tténuantes en cü qu i con'çcri|u lè^ «leux prem iers chefs.

En conséquence, l.v Cour coi|damnu Lém irc cii cinq an ­nées «lu travaux forcés, e t d it que l.i peine d«i dedx années ireiiiprisonneineiit précédcmiiiuiit prononcéecontru Lcniirc, par te tribunal correci'mnnel de Clermont', se 'c o n fu n d r avec celle «{iii est prau'ineéu p ar la Cour.

Atidicneo du 10 dccembic.I.c nommé Vuu Ucighem, Agé de 57 ans. iiianonvrier

M ontatairc. esl incnlpé d'alt.eiitats A Iq piiiluur, aveu et sans violence, s u r dus unfunts de m oins du 11 ans.

M. Nez, substitu t, occupe le siège du m inistère public.M* il'Espériùs, avocat, présente la défense.L'accusié, recutinn coupable, toutefois sans «nrconstancc

aggravante ut avuc circoustanees alléau an lcs ,est condam né à tro is ans du prison.

— Lévnsseur (Jenn-Lonis), reconnu coupable, p a r le jury, d 'alteiitals A I» pudeur, n ùt«( condanitié A cinq nos de p ri­son. 11 a été d(-l'endu p a r M' Rose, ot l'accusation a élé sou- (enuu par M. .Nez,'snbslitul.

Andiciice du 11 ddccmlnx’.Dans ce tte andium’c, Gnidoiix (Alfred) et R inand (Ferdi­

nand), ayant polir défensuni's ; l'un , M' de'Sain(-Ttioiua.s, e t lu second, M' Manrrl f.erpnx, uni élé égaloniunt rcconnn.s c«Mipnbics d 'altunlids A la pudeur, et ('ondamués,.Guid«)tix,A cini| ans de récitision, cl Rinand, A cini| aiis du prison. — Lu siège du m inistère |>ublic a été occnpéjdanscus deux iiffuiix's p a r M. Rarlhubm.

And/erice(/li m crrredi i l d(/ee»iôre I8GI.A f i n i r e C a n e l i o i » ( « I n t n - C l a i k r l e t i ) -

Vuh qunUliès.Dans 1.1 nuit du 31 in.irs au 1'' avril t8G I, un nlàlf.titoiir

«énélra d.ins la cour de l.i in.ii.son habitée A Cattvigny par 0 s ieu r GnillemonI (Ferdinand) rn uscatedaiK lu m u r d en­

cein te «te celte cour, et déroba, dans «lus m ontres qui s'y trouvuiunf placéc.s, q u atre gro.s.sos et ttemi«) de br«>ssu.s. I.es charges lu.s pins graves nu tardè ren t pas A s'élever contre Gniicliois (Jean-Charles), Agé de 43 uns, tab letier, demen* ra n t A Paris. Dans te nuit mèiite du vol. vui-s iino heure, deux témoins, tes sieu rs Décànips cl Dcsjanliiis, runcon trère iit nn imJivIdn snrtunt de Laitvigny cl sc di'rig«Mnt vcis Noailles; il é ta it de moyenne taille, vôlii d 'nue blonse. coiffé d 'u n e casquette e t po rlnnl un sau s u r l'épiiiilu. I t e ^ p o s - trop lièren tsuns pouvoir ob ten ir «te i ép«inse. C o n fro f t^ plin la rd m’eu (Tàùchuis, ils n ’Itesilènm t |tas A décterer-qne l'ac­cusé ressem bldit quant A (A la ||te . A la touriiuro% | au cos­tum e, A rindlviduoiii'lte avalent réiicotilré. Quelques heures ajtrès, vers six huuruset dem ie du mnlin, lafum m u IVevufé anerrevait A la gurc d e llu rm es l'acciisé G anrhois; il é ta it velu d 'une bluuse e t «milTé d 'une casquette, fai runraïulru de cet hom m e lut causa une vive surprise . Gaiichols, en ctfel «ini, A la suite d 'unu condnniHntion pour vid. é ta it un iVisi (len«’.e obligée dan.-; la com m une d é (.aboisslèrc, «(u'habilc la Rniiine Prévôté, .avait d isnan i depuis plusieur.s n;ois: ' femme Prcvoté lui. adres.sa 1» parole, m ais CaOchois t«înri._ le dos sans répondre. La pnVsence du Onncliois su r le lion du cr im e , dans la nuif du 31 mui-s au 1" avril, oonsliliie A son ég ard une charge accablante A tenucllu il churche.cn vuiù a se sonsJraire en hivoqii'niit Un alibi* 11 p ré tend^vo ir »a.';sè h P aris, dans soif dnm icite, tnpic là jou rnée et toUle la s«di'ée du 31 m arsV m ajs II résu lte dçs lén te lg n àg ^ re- cuuitlb; A ce sujet qu 'il n'.i élé vii.chezilii que jn ^ n 'A cinq h eures du so li, ut grâce A te rap id ité des moyens de cnm- m unicatinn, Gauchols pouvait facilement so trouver dans lu nuit su r lo (teii du crim e. — Quelque^ mois p lus ta rd , d an s te iiuU du 28 au 29 août I8G1, (teùçhois com ipetlail nn nouveau vol du bros.sus, A Ibulcuc-Lévéqnc, au- préju­d ice du sieu r Lirisfrulsenr. Cps(»bjuts é ta ien t déposés dans une cour dépendant de la m aison d 'hiibitallnn de ce d e r­n ie r . Su rp ris cette fois p a r te gendarm erie , encore nanji d e s iH arrhandises volés, iJ a fait d an s i'h islrùctiop ràvcu

F A I V 6 D I V E R S .

— On s 'a ttend A voir p a ra îtiv , d 'u n Jour A l'uu ire, une 'circulaire do M. te m inistre do la ju s tic e , s u r te inntiièru. dont il f;indra cuniprundru désorm ais te légistelteii concer­nant te foriualitü des ilgu atu res-d au s lesquiirnaux.

~ On évalua A 60,000 hommas-le nom bre d e s seldats qui i vo iilhen tru r ott ê tre Jixé.s*daiw li^iirs fuiuilti» en vertu clé congés «lu fin d'anné«% applicables ûux m ilR airt» libérables' du cunlingunl de 1855. -

— On achève d 'é r ig c r en ce m om ent d an s te Jolie vilU de Villers*Luiturôf8Ùiiid fuiîttÜlië (iiohAlûenldlëdbnt tout le - m onde s'accorde A louer lo bon goû t «C l'étégmice* (te nio* linm ent a été constru it d 'uprès les d«H lns •do ’'H . 'Nicolas agont-voyer du i'urrundis.sümuiit du Suissuns ■*

La fontaine, cotkdruite tou t cn iière en p ierre de lalve^ sine, tirée dus ca rriè res dé M. Paul-f-ouki, i-st siirmontéé <1 d 'une statue du Diaiie ch«issurcsse duu û M. J . .J .^ n c e l : U choix du sujet edt ïâsitrém érit hS ùredhr^f'égh l'< rîiA 'Â !t^ (ion topographique du pays.

— On écrit A l.v d a te Üu 10 décem bre :H ier lundi, un individu sc, ppésepte rchuz < l|bpnor«bte

M .'X ..., perceplçdf A V |l lu r^ (te r« ^ te , f l i J u i déiuande hr, passeport. S iir te «iemandu d e deux francs n u tlf iié s iT a iie , une cuntestulion s'éjcvo enlrete.&qjBtiqpq;thit.cl,Vbeiitme! Oii cominéiiçait pourten t.A q‘c!(uBqiter,f|uand,t^)(^A-<i«(up' |a.v«>c une adresse .cl une,rap id ite .i;y ir^ -j’jhdJyJdi|.q^ cqrdon ji^ssé pp coup de .M.* X; „ c^y ,a |i( «âits tmulOjqM'uie iiiontru éti|it au bout «|u cu^duji: fd9D t,lieur«9x4q s<uiM. baiue , no tre ,votefii' sa jam b es, jum s élre-luürsuivi. ut cùiirt eMpurei.Mdluineqt PM MflU d 'u n e JU<ra-rç il sc.lrouyail R«isf«îsj^tir. 4M“ wrguoq,.qMi iluL servira

puu(*cte<^ A mie.ux vpir itpejt(|lpB> fuis.. YellA iune iRMifellei inàiiiJr^, rte , «il WlWrii;; «W »W » qm!4'i«rtW rtii n iiietiqilall MS t)U lw < |K ia» i(» l« le,

l x 'e e r i ^ « n 'o i l t ' ‘ quclrtuii lüiilpértiiiié les terelrtrte 'C Ù im ilii cerVàiû no'n(brè'dc'ci?q à liin iau t s r i ' qtii fuill lisière où^ hrithuAbOte, (iMi’'d(Itrs balles d ^ cliiK-hnii'ii* P éniten t Û 'd r ' i l ‘y a qdéiqites Jditi^; àtiX m v (tDo'is, quebjnos rétiarUs ùt éix'MiVgliiM «lus gros de c«.*s di ' ’ ’ ahnaùx; m 'H t tlIL, à été tué p a r M.'P|>rth, l i i^ O É flilu e ra 'l^ h . ''

~ Un curieux procès vient d e ae d è ro a le r devant te t i i ' b ü iia jco ire c tiu im cld e N iort, d l stegiMah: m .Craiidee lal m nlièru éteuturale, d e difliiiiMliaii e t d 'on treg is- A e n té­m oin,,de v((itetlou d u sec re t dos te ltre s io t ' «l'alleiilalA lh pudeur. : . ; - ' , .r, .1

M. Ptaieiiart |>èrc, inédecin. niaireT d p Coullonges^'coD-^ suiller général élu p a r te,<umtj>»(c'ostaU'mvet d e c4dteéU& tinn (ju'usL survenu Je pm càs). a éié içundann iô û dmix aa» du pris«m cl'c inq aais.d‘in(erdtelion.4titi dnHtsùnvl«tue.H.

P lass ia rl (ils, A 100 fr. d teineude. .‘Ueàu, gorde-champôtrek^û dix jo u rs «te prisun.Ifenars, tambour, de .Onullongât, Û un niois de'prieou; M'.'* Itevan. dirucirice-des pni4cs,.àlri»iB m ois d e prison. El ta femme llély A nn an de p riso n ..

' — La lin de 1861 sçrà h ia i^ iiée p a r deux éclipses, écljpses du K ineét «te Soleil, un i se lùicijeijéroiil A qùelqiies jouis d ’intcrvalte. La nrum iurç h 'eii lieu te.l7>.êi Iq tiéii te 31 décètiibru; (je d e ru te r .phénoiliènu. n e se rcprur du ir.i pas avant hu it an's'd'iirL .

Apru.< Ini, nous n 'aiiruns idns, Jusqu'A la (lu du XlY*4u' lie, «{lie q u atre ou tres ( x l i p ^ (o lp lcs : h r prem ière, le â2

décem bre 1879; la seconde, lè 19 auRt 188'7; (a troisième, lu O auût 1896; uiilln lu «iiiàlljj^ipe, le 28 ’iqai I9U0. Cette dernièru sera du beuticqiip lu,.plus curieuse dû l«inlé.<<, è(./e vous sonhaile bien sliicùrem enl do poiivpir échangiir an» cllo vutruC arle du visife, Quaiii A.inoi, j 'ÿ ^ n o n c u , çljwur.

Voici une nouvéllc im portan te pour Us gbiih ite tf qui voudront visitur l'exposition in teh iaiionale d e Iteddl-ià

La .grande qncsim u du teiftet e t 'd e s nù«làurâ!éiirsO(( enfin vidée, ll y a doux àd jiid icattens, l'Urte A MM. Morrh ut Gnuders, pm ir Faite d it oôlô du lévtmf;' b t l'au tre & MM. V eifliirdot M atliii podP l^ iite 'du iteuéliUiit. -M. MorfU est frè.«*c«mnii A Liverpoul, où il a le m ôtiopole 'du lôuiâi les fétus. A l.Sauders :i é té d e '^ r a u t dii p tù s g b 'n d hôlél de Lundr«s «1 l'éc«inume d es prem ie rs ciùbit du LWfidrès.

M. Vclilard est cunnn dans iu cum nierco e t t'uxporlalion des com estibles fiW içais. e t M. M àrliû n,'alj-teU. ém chef- an café de P aris, s u r le boiilev.xrd des. Ilaltelis. .Oit àssilte quu lu prixd(« l'udjndiciilioii a étô d e 760,01)0 f f . ' ’

Ue combten faiidra-ldl sftrfalre le'VoAstbèiVpuùr couvrir ce léger prix d ’adjudicaiioii?

— Un tm np iu r qnelconqiiQ A souscrgcu lq Sai.'gfHtypom' ruricz-vùns mu d ire coaim enL(|u‘on fabrique nu eaiiuiif

LK .SERGRXT.— Ginuineut, im hâilte ! Vous (ic savez pas cumniuid «{u'uu h ib riq u f iin,ç.inou?

— Mais non^ saryoul! Q u o s i |ç ip savais, jii nc,voits t'au* i'a.is pasdojnaiidu , .

— .B hbiin tl cruc.hqn, voici in chose,«temuiuitl qu'on tp» fabri«|uc, les,)sauoii^.., Oif,prfsd/u^.fr0q<:,qii)M eldubronze au to u r... E t voitA lu «:auqu rqh'riqué!

'*->-()n auimncb lu mise eu vunle du l i 'dbriilèro éditipq d e l'/f(Vtetre dtf Fnince (Ihivtntette UH; Bbrdterél.€har^(H.i| C'est te s'culu h is to irèd e iio trè p iiy sd à fitle iih ra v a m ré p n ^ sunteni avec lld é tité jtf^ iiéd a iû ite .'ù iô iltd V èd é ta il toift.iiil qui m érite d 'ô tre cu iim i.T l'ji Rdhf dd blhii lodgpès rel2lé^ chu-spour aftc indre ue -bn'l iWh«r;'‘M. ^Cltenbli àVait «léj: donné dus ex«ntiptes uotàUI(»'dè èb dowcwtklehx'Bystètnl d 'ilidslrafiou dabâ'te4y«tfuiiÿeûtv'(uteteiis:4ffVnotferji^eldaiis te Muijasiii pitloresmie, dont là '{rnbHéiàièii üq pouryàit io plus g rand siircfo. ' ’■ ^--------

d e s» cuinabilité. Cauchois n de détuStablc.s'nnléüédi‘nfs: a déjA été condam né qunlre fuis pour vois, faux, abus i connanrc e t n ip liire du bail.

En conséqiKMiuc, ledit Cauchois <»t accusé 1" d 'avoir, un 1861, A Laiivigny, là iiufl. A l'idde d 'cscaladr, soti.sfrail frau- diiteiisem cnl des objets iiiubilici's dans une cour dépendant do la ninison habiléo par lo sieu r Guilteinmit ut A son pré- Jiidlco, crim e prévii p a r les a r tic lc s )3 8 1 ,§ 4 c t3 8 id n Code pénal; 2* d ’avoir, eu 1801,â Il«)iidcc-la^vé(|iiu, la miit.sons* (ra il fi nndnicuseineni des ohjels mobiliers dans une ciiiir dépendaiit «te la malson habitée p a r te s te u r L lnsliu iseu ru l A son p n jiid ic e , crim e prévu p a r l'article 380 du Code pénal. .

M. U arlhchin ,'snhslitiit, soutien t l'accusalion.M* du Saiiit-I'iiom as, avocat, com m is d'oniru. présuntu

ta défunso. Il dem ande dus circonstances allciiiiantus en faveur de l'accusé.

Gnuchuis, déclaré coupabiu des deux vols qui lui sont r e ­prochés, esl c m daiiiaé à sc()l années de t n v jn x rn 'e-'s.'

d .a mnis«iti.du » . GIIUVUL'Senlis/déjA biùii coitiiiio m Fgcn’ru.<iiu rècqqiniabae .mm (ten r ta litedicTfé «te'iteirilfl qu 'il y a Jimit. t^te que lès^n è)ia(ûp,;.iés jilû$SiiÇQ(^, pjpp,Hl br«i!lsés,'naltc.s iud te iM ^ é t pw Ln, „-^,p,Trr-gi.v .

Il y n aqssi m rgi'àiid ché ixflajp iijte « i l ^ PQUf moublCL cs«tehei-s e t iip'pai’lefitenl^, d a ù i, toutou jM .qiw qndoiu i, i«ûl s impuj'm.éabU'ii p'mr, IRV d u /h ^ |.« a ( ^ e t deitfonM» étoftez ciiqiMçhouç; tabUgiii, la |te ia s g ^ i i i ^ .u t ^ e u t «te qi»| so fa il en è’aoiitéhnuu;

M : lubl.fitteriu. oiii-u iino graiidQ,vi^ri^«opi«üû9(«;«iliIc> e t ugl’éa'bles. Mivd.<p.ic (L$i^s,|çài9Mti « fe -^ .^ lL

^ T ,’*TTcoiitteut «JqiM sou riiiméro.dii 14 décçfvbre:

Revue politique du ta sumnino* l2» II. P< ÜHtefdtHvo-— L dun ter de Piteis. —* Modon d 'h iver. Gazette du pa* lais. — ,\ntiquit«'s am éricaines. — Chrouiquo ü ttéra irc . - C am rrièr d«« l'E tranger. 'C liiunique mhsfeiile. ^ ttnilelin biblingraphiquu. — Emile P rudent.

Grttviire» : loi IL P. l.acordnil'e^ »* l.e lieutenant d u S » Jaeinio, a b<ird du Tronl. ex ig tan t qu'on'>lui livre les «!!■ vnyèsdn Sud. Modes d 'h iv e r.'— Aiiliquilés sméricaiitei (neuf gravni-u>). — Luk MeAdiants do Paris; p a r BcrtalH («lUrtlit gravures).—M aniifacliire degteucih.>*-UotSMnlp(és-— Eiiiilu PruibnU. nanqnut oflbrt A ln3*balturiodel'al'- (ilteliü A cheval ite .la gar«lo im périutet A J'occHsiuù do U S a ii i tc - lk ir b e .R é b u s ; '

1.0 Cii'iml n-nininsablo, E rx r s t IICGNIER

Page 3: 0!V M’ABOXA'I-: I A W IV O lV iG B M iW tJIMbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_12_21_MRC.pdffatalo-issucn. Ia prihrA dihc,rl était âgé de 42 ans et 4 mois. De son

A iV n o i* « '« s J # < î i i ; i a î r c s .

îireffr T r ib M w e ^ e âruMi», (fltoe)* .tikhX 'yvunifl% t ;

D'i» a» TriliiinaHili!.|irt!.lLi&iiiiiwu»»-**'»*'*- " ...... __ .1A a|*AalK«m Al a

; finM ilt:

ÿing(.^is novenibro

' : J o b u i ial .

^enire le sieu r Alexaiidre-K lise K iiiitz , fa- I üriOflt . • ' î f W ' i a . l ftaiiljlly .iliiflH , c l ses , d rn n e im ,lü ai{-'KR|jlnu>u 1ÛGI.; en con- t séiiDenco déclare Icsdi'.s créaiicier-i en c la l

B N o n ^ ^ i . ; | ^ > b l ^ ^ ^ ^ J ^ W m i s s a l r o , (leU faWfltrc éii r e m |i ^ c e i u « i l^ ^ I . Hillel,

appelé II un aiiire s i ÿ g ^ tF o u r e x lG ü i t i ^ ja r i i f l ù .

U ’I&UNfi/, iL%llKll.

S 'iU É -C tf lfe lO IiË S U iim D lI .d'H * bO U C H Ë Ï.'iia la tV c ù Sentis,

A C à é lH ü K - \ la ’A M lA D L ia ,F é tlr cause dffteseoiion-iie eommtrce,

B H t n S l W M^ ë r e « v ! » , 'C ré iiin ,

C lp n te r ie , V e r re r ie , 'ViUrfaiUmèut a cS ^ d n d é et avaulaijeusenwH

eonnii:S 'ailressor à M. COCU, ru e du Hainel. Ii

laiaiiceiirt (Oise).

IIT.

jIhç Cfééicietf^reconnus^de ila rieur

iChautitlj/.a • ■ ■

^oas Içs C réancicrâ (liiiUL#iÿ.v.r H u ^ y ^ ééciarÀ en éla l d ’union p a r jugetipHit (lu. T i ^ boiai de preuilèfu >i u s l a n o o i t s ^ l & Sciiüs (Oi(c), faisanl fo nd ions d e fr il i i in a l d e co m -

en d a te du nenFjüillét 1801; «tarédis- iréèlconOrmé p a r a r rê t de là t t A r im périale (j'Aniens e n . daip. d l / H A ^ t - i ^ â 'iibverobre

com ^i^ irP .dé ,4à ,:là ilU te .,lu quatre Jà è itr proeluau, .heure .de reteeée, en lai.._ L .. .1 ;i ,|y r'ÇrilMMid ^ e S enlis, au

Ifte 4 m e , ^ i i r êl

\ V e M D R E A L ’ A M I A R L E ,

V N S F E B M SD E 1 5 0 D ECT ARES

D ans u n très-liqu pays d e cu lture du Valois, iteueiM . tuscepttbh d ‘au(/m«nfofion. JO,SOO fr .

S’adresser si M .'F É X O T , a iicie irgcom clre à Crépy (Oise).

I l I I « « l a r e s 5 7 A r c s 9 0 C e n l .

D E T E B E EAux terro irs de Ilôm oiil, Fcigueux c i Russy, A V E ! i! V D i tE Ï | m r A d j u i l i e n l i o i i ,

t.e D im ancliuâO Décem bre 1801. à n iid i;'.P arle utiiiixlère île iM'UhNoidT, notaire à S mUs.

A Crépy, en l’u n e d es salles de lu uiatriu, S'adresser audit M* KeàoisT, uolairo.

4 l l c e l a r m 9 0 A r c s 9 7 C c n i l ,

l u æ s i n i a i sAux terro irs d ’A iigcr-Saiut-V inceiil

e t Cbsivcrsy, 'A V E i W D t t l S p « r A « y i a d i e a l l o n ,

L e Uimanclie S Jan v ie r h'm iili.Par le miiiislère de M* B e n o is t, Hotalrè a SènUs, A A ugcr-Sainl-V iiiCent, en la m aison d 'école.

S'adresser audit M* Ü bxo ist, ROlairo.

l ie ld d lê % i l e , ^ i i r ê tre coh- satiés siir l’u tilité du m ain iicu ou du rempla cemetU du syndic déün ilif de rnnion,-on-(>xé->' (»lioii de l 'a rii ‘ et donner le A pour parvenlu ilasiriel prevci

ScAlis^e Mj

de çoniinerce, r in A jlM iln lfe iire s b p rendre iP v ^ tm iffiifiM u lîmicriel in - iit d e J ’u s tn e d u failli.t f ^ r M S i ;

L c iire ffic r du Tribuaal,

Enregistré b Senlis, le 2 0 décem bre 1861 ; reçu un fraRaah%OMi|Hni%sv#(iùme com pris.

F J i l r l U M g n é J iÛRÊGOlilK.P o u r Insertion :

\ \ '1 Q !Rry-fl-ynA uï./â .j,,»-. passé devant .V'Suivant ac te passé devant Xp Maitre-

^ ^ U p p jy o i j1i ( f5h,C!i'.sjn!jlyf SfrtujSiguc, avec assistance de tém oins, le. quatorze déceinlire mil bail cen t suixum e b l'd tfV purlan t cette iiieniioii :1 « E tireg islré kù 61iàmlrfr. ;^le idix-buit dé >1 jc c m l J lS ^ I fo M eases 7 e ti solVames; ëifof Hmtfcr*,* ib'cime ciii

Miitlame Aderaide-EUHitiont Loe<|ue, veuve lie M. C erniaiii-A lexandrc Fopilois, p ro p rié­taire. dem eurant  Cliambly ;

« Ayant agi com m e seule bériliêre h réserve lU. k ou is-

. . niarcbaiid (âiam bly, le

vingt-liniL*t>ovem brcJ8(il, àiiisi qu’il est

» A lo x a m ^ ; Ü p p l ^ l > tu ilie r-b n q n o ticr, (Tecedé

Ont cunseiili la cinitinuation en tre eux , I partir du décèàAldlRt^ltotHï-AMilamlru Foui l q i£ ju ^ a ’iW .l: ;jik u :à i8 1 iâ a liU à .S o c ié ié en ja«yu cuiteclil établie 01111*0 ' led it feu sieur |Fonllû1s e t'M ;in !n i!trc st, poor; la fabrication :c^lo c.onimçrjçp d ii^^ riq u e s , tu ile s , carreaux ]et d iau x , soiis la raison IJ^Vm^ois et iJjm nrM t. ju r a e te p a ^ é d e ^ n t l^ ilM * }|alire4)évatIon, Icq ^qu au e fi)vrièr . ..,C eûe coniiiùiÿUuu 9 . c lé conseiiiie- aux

'mémos condilimiS^quc (ÿsiléè ctàblies eu l’ac te ;« soéiéle^su^'^iiOMcé, le|s .modifications u ita b ie A .' ' ' " ’

1* L:i ^ c û U e écVa (fontîiiuéç sous la raison

’ ^ L(g associes adiq in làtreront la Société ^ au ^n n IHIIS*^déflt I F S^DlTttre sociale , Bsamuoins Us^no pourront isouscrire aucun Higagement, b ille t, tra ite , d e quelque som m e fMulie l^ i l , | i Ç g p » ^ c i t f t t^ d :a t excédant

^ s j t c o A u w ^ la y S j^ tq r e

kru/ 0' ^ 1 ' lSi^|lf 'MAiTne-DÊVAtt.QN.

la tid c du M'MAITRE-OEVALLON, uoluire à Cliiimbly (Oise).

M A I S O NSituée ù Chambly,

l l e e i a r c d l 9 A r e s 0 5 C c i i l .

D Ë T E t t R ËS is au te rro ir de CbambIy,

A v r m u r e : 'l’a r ad judica tion vulontiiii*c.

En Vé:udo et ftar te ministère de M' M.vitrk D evallox, notaire d Cliambtij,

f:e D im anclicSO Décem bre 1861, à midi. S'adresser aiuHt M* M aitiie-Dkvallux, uofaire

« Â is o n .

..1 Miirienvtd en ta tnaiton il'écifle,1.0 leudeui lin -d é N oël. 2 6 Ü .'cjm brc 1861,

' b u n e beuro d e fi levée.Par le iniuislère de M* üaisbx, notaire à llélltisy-

Sàiùf-Plcrre,

V i I I M . i J A M& 2 F I tC E S DE T ^R D E

Sis b M orionval,-kif‘'G randes facilités p o u r'j^y er .

S 'a é esser audit AP Gaisox notahv. ,, • ••} ■ I ■Etude de SI* RiVlfeR È ,Jio b d re A Greil (Oise)

5 H e e i m r e s 0 5 , - A t ^ 0 9 C o n i*D E l E R D i :E u quatre p'.èces situées lerro ir do Creil.

. I>AK ÀDJUOIC.VridA VOLü.XTAllVK,Par le ministère do SI* H iv ière , notaire à Creil,

et en son étude.Le Dimanche 12 Janv ier 1 8 6 1 , U deux heures.

E ntrée «u jouissauce dé stiirc. S ’rtdi'cwt’/raudrt M* ItiviAus» notaire

Mêm e élttdé . -

iH M S O A IT B ï V a B S , F B B 3 B ? Ë ô i O

Situés com m une e t te rro ir de M ontataiiv,

A V E A B U f l .P u r i u l i « ( « i t c a l Ù * u . « o j i M n ^ r e ,

Eu la s a l lé d e la Slairie (Ic'N ontaiairc,P ur le ministère de M* ItiviÈRH. nolaii v a Creil^

I.C hyndemaiii do^Noël 2 d -D écé if ib re1 8 6 1 ,b tro is h.eures de.jrelevée, '

Ou e n tre ra cii joiils.sahcé' d c suite . ..'Fucililé^ p o u r le patientent.

S'adresser audit M* ItiviÈuE, n o ta ire ..

A v i ü A i i D n i ' : :• TAB AUJUOICATIQX VULU.XTAIIie,

Le Jeudi 2 6 Décembre 1801, lendem ain de Noël,

En rêlude et par le miaislère do 51* (îBACX, uolairo à Acy,

S'adresser audit M* GracX, notaire. ■

.E tude de .Vp TOUItN EUlt, nota ire à V crberic.

a "v S 5 r e 'TAIt AlUUniCAtlO.N YÜLONTAink,

Le Dimanche 20 Décem bre 1801, b m idi. En l'étude et par le n ii«w /érede M’ T ourxeüii,

notaire à Vertterio,

DcPis, arroiidim>i'ineni.ild Compiêgue.^ 9 t i s a a s a « a s i a a

Tenant au J a rd in de ladite t,^K>no-Ko cas de non vente, il sera procédé séance

M^ubiite h la lociatio'ii, cl Icii.éo de vvniç et si ou le demande l'amoiitéincut de ladite forme. Cl! tout ou en partjt,.§erqcpdé,hdii:e (l'ç.\perls.

Imiq.édialemcHt après la Vente .ou la loca­tion des immeubles ci-dessus. M* Tüuun&uu procédera; aussi par adjiKiicalion vofonfairéet etvïou étude, on gros ou par lots, ù la cession pour énirer en jouissance de suite de 6 liec- turos 1)3 arcs22 centiarcs. eii 2 pièce», appur- lenant ai x hospiçes dvil.-; ,d(^tuinpiègne, et iaisaM partie dud’eipioitaiiOiiAle la lér.iie ci.- dessus.

S'adresser audit .\l* TouOiXeub, notaire.

S itués com m tinc et te rro ir do Moranglcs,A V E N D R E ? A R A D J U D I C A T I O N

PtW lo miaislère do M' M aitrk -ükva llux , notaire ù Chumitly,

l iO jo u r d e Noül, 2 5 Décem bre 1801, ù une heu re d e relevée,

l in la salle Je la nutlrie Je Morangles, Jouissauce de suite.

S'iulrcssèr ù M* Maiti’c-DcvaUon, notaire.

s a r i E G n p b t e b b eSitués au (erroitv^dorldoàlâÿqyrSic-Fjélicitc,

A V R l I É b R Er a r «|da«UcailaM valaO«|i!re.

E n la salle d e .ia M airie dq^lontagny, t'a r lo m inistcredo M'Ifo.xTAiXE, notairéa Sentis',

Eu présence de blVltiviiBS. uotairîfJi Crcll, Le Diniauche 5 Jan v ier 1B02, deux h e u re s ..

Facilités pour le paieineut. S ’adresser auxdils M *vFo5t.vixë e t R ivièrua

Ë tudede 31* DE M.\Y^nolnf re à Ponl-Ste-MuxciuH?

9 0 I l e e l a r c s 7 9 A r e » 5 0 C c u l .

DETËRltËSLAÉlIltMËS£PBËSitués au le rr iio ire do ‘Vcrnonil-siir-Oisc,

À .\’E^U U E-|>AR ADJUOirjkTIOX VoLOXTAinE ,

E n la salle do ta mairie de Fcrunu'/.I.e D iinauche 21) Décembre 1801, ù m idi,

F«ir/cnii/iiWt7%dcM* ÔE May^ notiiiio.àpiml, S ûreté pour acquérii*. Facililé.s pour pilyer.

S'adresser audit 31' de,31av. notaire.-

Mêm e é tu de.

COUP£ DE BOIS TMLLISfS u i* O H e e 1 a i * c â

T e rro ir de Jouy-le-Com ie, au bois d it de là C dtc du Jouy,

A V R ü î D R l B e n u n s e u l l o i .F u r ad jud ica tion volontaire.

E n Cétade et p a r te ministère dud it M* MAiruE-DevALLON, notaire^

Im Dimanche 5 Jan v ier i8 6 2 , b une heure. S 'adi^sser audit SI* S Iaitre-D evallox

1 , 5 0 0 f c H Ê N E SH tTBES, BOgiBAOX ET AUIBES ABBBES,

S itués au bois d e S a ih t-I.a d rts com m une do U elle-l'^ lisc,

A A Ë M R R E s u r p i e d ,1>AU ADJUDIC.VTtON VOLONTAIRE,

Ba déisll «I pMr — Sur lea liciiXiPar le ministère'de SI* SIaitre-D cvallon, notaire

nC ham bly,Le D im anche 12 Jan v ier 1862, b onze hcurc.s

du m alin , et le Dim anche lü 'dii m ême mois, b la inêinc heu re , s ’il y a Heu.S'adresser audit M* S1aiyre*I)evallo.x, notaire.

A w M Q n c c S ' ^ î ÿ c r s c s .

''A ^ C È p R iÈ tti ■■

d e 2 0 0 H e e t a r c s i > p H re> O fS S !O N S l'

S 'àdrësser b SI* SIilk t . n o ta ire b la F erté- Hlilon.

E tude dcjll* C lllS O N nq|airc& «élh îsyS*-Fierro

‘A pJÜ r A d J n d l c a U o » ,A Eliaeourt; iôm m m te'dé M orienval^ enVusine

de SI. I..ICRQIX, l.e Diinaucho 2 9 Décem bre Î 8 0 I , b miili.

P ar le miHistèrodo 91* Goisox, notaire à Bdthisij,

A v E M i i n i î ^

1“ U N E C A L È C H E1*rg8qne nen vr, ‘légère et b patentes»;

2 ” U N P I I A É T O NA quali e places, aussi b paten tes e t avec

Oirapouliu su r le devant;

TOUT LEC'«M#(M»nt la Scforlé e t l a Véoulerle

de SIL fcpvwelx.Cette vènto consiste : dans les objets garnis­

san t ta féculerie e t lu faisant m ouvoir, tels que arb res tou rnan ts, ino icnrs, ag ilà te u is . laveur, fuyàux, chaudières, e tc ., le to u t en fer, fonlo et plom b, 3 grandes cuves cerclées en for.

D ans la scierie, d ’u n â scip b g rum e montée, e t tous scs accessoires.

E t géni)ralotpcnt tous (os objefs composant, le m atcrict de la scierie et do la féculerie.

S'adresser audit 91' Gnisox, iiphu'/'c..

A V R IV R R I*:Pur ndjMUtruIlRn «olonlntrt-,

'Mêiii'c étddcr

BOIS Ë l M e tO lT A MCouvert d ’une grande quantité de Chênes, Bou­

leaux , Grisards et Charines,- S itué au te rro ir de Vcrnojiilt-sur-VerncùiL

A 'V G iV o l t t îE ^L e D im anche 2 0 Oécein^çe. 1861 , b midi.

Par le ministère de M' de H àv. uotatrô ti Pont, En là salle de la m airie d e Verucuil,

Sûreté pour acquérir, l-'acllùés pour paiem ent. S 'a d rm c r audit M* oc May, notairv.

r s riE fiES DE TEBBEî a ' a p s s »ï : ^ i ^

Siluüt's aux territo ires .le Surroii e t ilrs .\îjcux A V E N p à E

E h l'étude et par lo ininislèro do .M' hk M.w, notaire (V/*ÔH/-Srtî«yé-.lf<w’eHCt*,

L e lendem ain du Noël, 2 6 p é c e m b ré 1861;^'tolidi. ' - t -

S ‘a d m . w diW /f M* de M.xy, notaire:

A I . O U R UP a r adjudicaiion volotilalre,

Pour 9 années com m ençààtpar lu récolte ■ de ISG i.

Bu n*** ao L«tH,En rétude cl /xir le ministère (i(idO<H*'Toi'.axEUt Le Dimauchu 2 9 D éceufbre, 1861 b 1 heure, 1 7 H e c t a r e s 5 7 A r e » 0 9 C e n t *

D E T E R R E.. éiu onze pièces, ..

S ises au terro ir du. .Uoisrd’A geux,.com m une de Lonlpièli-^Sainlc-.Marie,

S'adresser audit .U* Touusijcn, notaire.

Situés su r icJ lerrituires du Séry-.Magucval c l ’ G la ig n rs ,,

Uoiileunul 1 Iteclnre 89 «rea 4 cent.E T . ^ S A I S O N

Sise b Glaigqqs, avec cour e t jardin. Joui)u|ance fout d e süite.

Ou pourra liailci''i.vaJil faaiuclu'uli«fii, #*il eH fait ‘ di>* ulTrus tfiifn>aiik‘s.

F ucililéspour le paiem ent.S adrcsserpoiir tous rensdijucmensà Î I 'ï .v s s a r t . •

Essence d 'ôrm 'S , pcqpliért, 'p3aplîërs suisses, ÿr/srirds et nleriiiefx.

S itués su r Iq tcl*rit^^b de Glaigues, p rè tfdè la monlagiii}duditJUpli,bU(HhtAyrSaid:-9|ar|in.' e t presque. ieus^pnO:o.çetfo. .u(OQiagnc, )a Gondellu e t je bois de üerle llo , . ,A V EN D RE P A R A D JU D IC A T IO N .

Ko €iroM-«4‘ctfB é la il* —.......--S u r les liouxi '

Le Jeudi icndem ain.deN oël2 ül)éc(>inbrol8 6 I , b n u e h e u ru d e re levée .

Par le ministère de i l ” T.KS6Aar, potairaàC iiipy, S'adresser qm/<<LÜLTAssABT..uofohc.. ..........

Même étude.

il^ M- i|.^)/ o i w i ÿ i ; r l ; j rc | U lp i6 ï|7 .

a s

D B T B P t R B ' * • ' 'E n S l 'Picfié.8,, _ , ,

S ises aux te rro irs’ dç N oipy, Culguièrc^>,ct . K rq u n iv fllm , , , ,

A V R A O R Ë à F am ittb lo ,’ ;PartemiHislèrAd^ik>EHUiîViVtnotaireàCdiqHtüly,

Elude de H* BKLI.ü,NGL»,ïïti|j^ | c f » tfèu 'tb jse)

- A ' V R K R B Î b ' 'Pav .«4Jn<lenEion «•loiiM itvr. '

P our cause d e dessBtioo d e a r ro is i. il il f^ î la P G a D ra n tv 'rO a rc q ; O ise»

A u domicile d*A i, LfviinsivN. eotVurâr,Le Diniapclio 2 9 U écém bruiil8Ü 9,jà u id i ,

S G H E V iD X E N T IE R Sl i jê s d e l là iO m u . a w c o it éam 'Ie itn 'A àrnaû ,

riiüiâ .ül « l i i> iE j

A V E A U n E ; 'P u r ad judica tion volcnlairo.

Le Dimanche 12 Jan v ier 1862, b I heure. Èa l'étudo cl par le minislère do 91-' Tüi’«.xkcu,

notaire « Vcrbcrie,

. ET ,-Sis b -Verberfe,

E t2 P IÊ C E S D E T E R B E E T P R ÉSises te rro irs dq,V erberle et S aiu i-V aasl-do-

Lbuginont, p rès Vcrbcrie.Jouissance de suite .

Facilités po u r le paiem ent. S'adresser audit 91' Touu.xei!Ii, notaire

< Même étude.

P bnr cause de décès.Le D iû ib n ch eu Jan v ier 1802, b m idi,

A A 'erlieP lp ,En la m aison dcM . ItoKNr.rnv, sise rue

du Marché.Parle ministère d e '\rX iW ü ^^ ,n o ta ire à Verbciio

Les objets b vendre cousistctit e n ; vaisselle, batterie de cui^iuu. po terie cl verrerie , g a rn i­tures de foyers, m i'ub les, literie, pemiule, garn itu res de chem inée, g ravures, bois I» brû­ler, bouteilles vide.'», lérraiiles et une iuliuilé d’au tres objets.

.4uz; Cojiddtons ’oi dinair

Etude d e M 'BORNIGllE, notaire Gtopy.

L’un, situ é te rro ir de Démont, com m une de Rusfiy, et l’au tre , te rro ir de Lévignen,

' . ' . ( I . ' . 'V E M D R R^ P a r n iU a d le a / lo n v o la u tn i r r .

Le Efimanche 12 J jp v ic r 1862, b uffc heu re . Par /c'Nijn/jrjà’O do 91' Bormciie. uofoncù Crépy

et CH son étude.G randes facilités po lir bi paiem ent dq prix . S'adresser m idtt ^onxicuE, qofeÿxY •

E l t^ q d e ]d ' jlBAÜ X, nofo |rcÙ Acj^

A « iM an lIii riraLe D iioanch6'29 Décem bre 1 86I , b m idi. Cette vente .'consiste en : 3 bons chevaux,

IRQ éoqs, p o n l^ c l canardi|, voitiq’c . tom be­reaux . c ln r r u f s , ,herscs,,<.'hûvibis, ÎKW sacs, tilhurv, cnbliofct, c i ustensiles de basse-cour.

A k x ee e a n to e w o H lF ie le e * .

A L iO U E R « .raiuki|»le«

L E H Q U LIN DES ECAVELLESCummuhè do Jllareud-sur-O urcq, canton de

Beto;Ce m oulin es t monté b l’anglaise, tro is na i-

ros de m eules, le m écanism e est iiuuf. lion p b y id o b ifllu re . , '

Jo tiis sn u co d o su l té .S'adresser pour lraitcr,_aMlii >1* Gjm>x.

O RiiEs ET r E n r i ü FAu terroir de llouillaûcv,

9 0 ilc c t» p c» 3 1 Ai*c» 3 5 €>8xi

DE TEBBE tU IQ O ia ilL E

rouleau .to

‘d t 7 pi. S ilpées ^iif les le rru irs de M oulataire, '

Saint-liCU et Tbivcrnv,A V E N D R E '

PAR .\tUUm«:.VTION VOUIXTAIRR,Kti la salle de la m airie do M oniaiairé.

Par le ministère de SI' ItiviiaiK, n«/ii«*e ù Creil, I.e lendem ain de Noël. 2 6 Décem bre 1861,

Il une heu re de relevée.G randes niidlilés pour le paiem eul. >

•.>8 *(uh-eMei- awdi<Al' itm Ù K . «e/uûe.

. . . . v r s a î X E ■) -AVX BfCRlïfthfcJ rtjêlbjofes,

Eu vcùlii d 'uiiu ùrduiiiiimcu reuduo p a r ^1. le Ju® ;, ’commissab-e »tlo ihr laillite d u s ieu r Guofim-.:-^Btîrttrt:1a n B S a M Ï » f i[ f 'i .B i^ ^ Siiiiit>Pie|rre. ,r ....

LiiiROiTt>Ei.L«:. iP â d llfeU iisp .I L e , Diinancbu. 22 Déçt'mbru : 4861ù • jv .midi j

P ar le HiiHwtêre do ÀI' Piq.çox, huiesicr, 1

DE SCIERIE n É C |||0 _ ^C unslsiabi hoiam m cut en ^ f ^ f t l c b i q c *

.il g rum e, m ontures de scies l^ 'lqp ius; ^ ç $ h ^ruban e t circu laire., je tpu t a c c i ^ i r e s i forge portative c l outils . 1

A«S'rtd»’« # w pour tous renselynements, audit

91* P1UF.0X, linissicr-veiideur:E l a Sentis, a 91. Mêlaxu, syndic (Uifinitif de

la faillite. . .

E tude de 91* IRIDlN , nutairo a Précy-sur-Oise'.

B É A U M O B I L I E RA V lîJ A ’P R E M i x « u « | i p ( '» p , ■

P a r suite de dèrrs, • ■•A V üleis-so iis-Sain t-L eu , en la «lemourc «le

m adam e veuve FtiAiCCKAKUT,Par le m in istère.de .ll' .Uuni.x, notaire a-Prêei/,

Lu Dimanelte 2 2 Déeembi*e 4 8 6 1 . b midi;

- i* '? iV * f ^ $ î i8 î2 S .-Ce Àlobinét'^coustslanlj.en ; batterie de cui­

s in e , fourneaux. garmU tfè^ d e fo Y 'r, foy!aine. vaisselle, porcelaine., cristaux; In ig e ,'g a rd c - robc ,m eubles e iiaëajou cl bols ilcrusc, literie, r id ea u x ,..fauteuils-Voltaire^ b ergères .;^accs, tlam beaux,:,vases.dc cbem inéo..pendules, cai'- lels, gravures variées; T o iip cau t vides, envier, bain do s i ^ ; bois h b rû ler et charbon, vins CM bouteilles, bouiètlIcS vide^. 'é i cidre cti toHiicad, et hcMueoup (l’à u tre s obi»!ts. ’'

.Xm <‘« m p (a n (. Pt-iiU Ar4ikbite<*.

M G O m DE FEBIBE.Situé à C reil. »iuai de l’Ois»',

flO l lo e lu i^ 4 91> “ ' —

3>IS s ;-E u «IIIJ/I piCCM

Siluée.s lerro ira de C itü H M ontataiiv,A V R A R R R

PA» A»J(lun:.\T10N VOLO.XT.UlUt,En l'étude cl par te ministère de .M* lliviêin;,'

noUtire-à Creit;E n pM vciioc de M* ur M'.w , notniVe û A jh/.

Lu Dimanche 29 Décem bre 1861. à nue heure Il se ra accordé des facilités pour payer.

~ E lude de »!■ 'fASSAt(Y, iiott l i e i\ Gré(>y.

A V E i s n m - :P n r üdJuatcntioM « a lo a ta trf ,

A Glaignes, on la salle d ’école, - Par le ministère do 91* T a m a rt , «ohiiiv! ô Crépy,

1.0 Dimanche 12 Jan v ier 1862 h midi,

D E U X M A I S O N SBan* une de rnmiinitiie nv«c Jurilln

e t d r i i e n d a i i e c H ,Sises I) Magnoval, com m une de- Sérv,

i î i P l t e D E r a i L P R É i i l O i S

l'.ludu de M* DKPLAIGNK, huissier à Senli.s.

' 'vYÆJSaÜS,'’ •Lu DiinlfticHoMS DéamiflirnÂdbtVîi Onze liAiro,

Couslsi.anl principalcinenl on>: 1 làeubles, garn itu resde l'eu, horloge, brouettes, bouteilles vides et tonneaux, et une gr.vndoqnaiiiitc d 'au ­tres ob je ts; nstpiisilcs de gren ier, voitures, blievaux, objets d ivers, buis ilo chauffage; lu 'uvèrcs. fonaircs d ’a.voiuc c l mcnuc-pailiu d ’avoine e id e blé, e tc ., etc.

..XH A « « ■ d l l l o a w H r J t n i t l f — . '

A E l P R l Ê i T i

2 8 , 0 0 0 F i t A k C SP ar portions »le I ,00 rt à lOlOÔO francs, do

2 l;2 à 5 pour */., tl’in ié iê ts , pour 25 années an pins.

On donnera pour garantie une propriété d ’uuc valeur de. il) à 5Ü.CÜU francs, avec in ­scription en prem ière ligue.

L es personnes qui désireront prê ter la som m e dem andée, u 'àurout (pi’à iléposer leur ' adre sso au burc.'ni du Journal.

Page 4: 0!V M’ABOXA'I-: I A W IV O lV iG B M iW tJIMbmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_12_21_MRC.pdffatalo-issucn. Ia prihrA dihc,rl était âgé de 42 ans et 4 mois. De son

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Ad»w'ulii4r4i<t4>u «te l’l-lnrr»iMlrn«t»ii . r i ilei* D«m«ilnrM.

C H E V A L ‘ i t r O M t .Oit rail savoir que le Manli 2 i Décoiiiltru

18G I. !i q u a tre heures de relevée, le Itca>veur «les Doinalni's procédera li Scniis, su r la place du M arché , à la venle aux enchères d ’une JiiiHCiii de sep t ans . placée chez nu cuhivuieur de ra rn ind issen ien l.

Aa O w p la n t.K# ù fa ç /w r je d e O c .p f lr / î \ |n /i /> h c f li /e i 'i t iu :/ iw r.

O u ( I c i i i a i K i en Gw cnwimP a u r l« e « » H m n n e «le Menléplll*}'»

S 'ad resser à la .Mairie, ou h Seidis, chez M. PiiEUO^iT, place de Creü.

Le sieu r E ugène-P rédérie IIouhsi» . iiia- noüvrier à R onncuil-en-V alois. prévieiu le public qu’il n e paiera'pas les dettes que pourra faire .\ribém ise sa reniine.

D E L L 4 - M 0 1 Ur o K i . m n - i i ' V M i s T K : ,

A MK.VlilH, m e M a ln t - l l l ln l r e » n<* t 9 ,PiTS hi Halle,

A riin n n eu rd c vous donner avis qu'il a fut dé à Sen lis.où il est connu depuis tro is ans coinine Ihiii ouvrier, un élaliiissenicnt ayant poiir ob- je l la cousiruelion des çalorifères cunicnaiti de,H appareils très-économ iques, de toutes sortes de dim ensions, et il cunsiruit les four­neaux en Ions genres.

Il fait égalem ent les travaux et les .répnM - lious nécessaires pour em pêcher rin troduclion «le la fum ée dans les appartem ents.

Il fait aussi la vente de toitit's les fourni iu res nécessaires {tour les consiritctions n.;u- ve.s. et celles exigées {tour les ré|i:iraiiim s.

, M lien t les marlirt'S de chem inées,' châssis à rideàux et finence (tour ticvaiitures du c h e­m inées de toities dim ensions.. . t o u t à de» p r i x tr è s - m o d é r é s .

PATE PEC

R EGNAU L■ w Cw w w ile, « s , * e

€>«M i m MX cm uanC l’ («B ircirM nnn.i

. Ci l-mr.ITATIM MT%ta inMu* rmrMIâ ç*auun^nmfmr»r>»»‘ •‘tathftHtLmtoMu**.

• tm UM renTu u s Mwia rasMactn

P I L U L E S rURMTIVCS DE C A Ü V I N« « l i ü e M i i i i s n Ht L'Éwii SI fÉiiniE be mms.

Place (te l'Aro-<ti‘-Trtoinplie, iO, à r a r i i .(cone i a ' Tifii ](k-< i‘iL u i.i :s »o(i( n in iu sT iv M sTOXtQt'K-. c l UKI'LItATIVKS; | u r tcui* cilîcacitc c l r a r le u r ciii* ||I<>> faL-ilc aii({U(-| cUi-« ic p rc- Iciil, elles soHl le n irillc itr l ' t J l « i.iTIF |Kiiir l'onilMitrc la CUXS* Tii'ATIUN.<lciniirclcsHi;M Ki:KS

l'A C ht-n i: DU SA M i r i t><>»rlU'iiLT ..... les ruiic-

(laïcs. ( uiA|K>srcs itu .SfllSTAXCA-S VKtiK- TAI.IvS.-c'Ies o n t la p ru p rirlé ilc doittuT tiil Inn ans inicM ins, <lr p u rg e r sans ra iigner l 'o to u ia e ni aRHi- Id ir Hii. un o rgane .

Ces I'U.ÜLI'^b nV sIgenl ni rcgiiiie (ii IhiIsmiii spi*- jUI> ; sous ro rap|>url, elles c im illliien l le p lus «u n e m iM lee tle i.1n t cineace d e . rU R C A IlV C S co i.in iss aussi aan |.c1li-s ordonnées avi-c aneers dan» les mol i- lU rsa ig n cse t rh ron iq iies , tiASTIttTIvS, V:M ;(ll«iK. MKNT.S, ASTilMr:S CATallHHI-^i. IHIUI.FURS, Ml- t;nAIXK.S, SCKUClII'LKâ, c ic.

Le m crile de ces PlI.Ui.IvS |icu t te ré .iim rr en ec« m ois s ItKTARI.IIt ou KXTUKTKXIR la s.m le. l’RIX m : I.A IlOiTK : FRA.XCS a»ru notice en eiioilangues.

IWiml dans les r iia rm acirs liicn nssoriics de cli.’i'inc ille . 'à SËNT.IS, cln-a N . C h M « « ia I f , pliarm aeien.

SIB O P LA DBOCËRASIQnEPréitaré fxir CIIEVUlER.pItarmacicn à Sciilis.

Vx s in tn , d ’uuH saveur fort agréable, jo u it iii* coiil4s!aLlement de la [trupriélé de ca lm er la fou x u u | accom pagne,d'itncm anicrcsiconstniilü e t si (utiganle, tonies les m aladies de [toitrine. i l sc donne à lu dose de deux ctiillièn 's à café «{uatrc ou cinq fois p a r jo u r pour les adultes, et A celle d 'une sem blable cuillerée m alin et so ir {tour les en fa n ts .-^ Ou le prend p iiro u étendudans une itetite tasse d ’eau chaude en hiver, ou â la Iciiiperaliirc de l’atm osphère en été.

FAIX DU FLACON : 1 FR. 5 0 C.

ü l l iO P DE L i D i E D - E E l l l S ECbVSip o .si:.

Prêjiari'’ /tar (.'llASTAH'iG, iiliiiriiiacieH <i Sciilis.O sirop est 1111 pectoral parfa it, il calme les

rhum es les plus vndeul», e t est cmitloyé avec avantage dans toiilcs le.s alfections de poitrine

enix nu f l a c o n : I n i. ^ c.

p o ü d b e I o ô b ï sP our faire coiijier les rasoirs et les insirn-

nients de ch iru rg ie ; jiour lu strer ra rgeu ie rie , polir la cornit, l’ivoire, {'écaille, le métal an­glais, le cu ivre , l’acii-r li'enijiê e t les pierres iines. i fr. le llacon.

COLLE BLANCHE LIQUIDE.Cette colle s’em ploie» froid. E lle rem place,

avec avaniage, U colle de (tâte, la colle forte, la colle à huuche. Ou peut s ’en serv ir (tour

liap.er. ca rton , .{loiceladi ' . v c iro . m arbre liois, cu ir, liège, etc ., etc. fiO r . le flacon.

A Scniis, chez ïtegiuer, iinpriiiu 'u t-iih ra ire

ETAT C IV IL i>E SE.M AS.NaissaïuTs.

Ih learl (Virjor). l 'eric lle (Louis).

Décès.Pouparl (Cliarlu.sdleiiri), 75 ans et 9 mois. Mdlbcc vjuaniiu*Léuiiie}, IC jou rs.

p M ib lie iitls iiH «le ü ln rln iK es.Entre M. liegué.(Arihiir-Clovls). m arrliam l

de noiiveaiilés â Lh.nimi's, et M"' Nazc (Virgi- gliiie'A luxandrine). dciuoiselle de inagas ii é Seiilis.• ' Entre M. Fotiqnd (Auguste), ouvrier au’ rlie- niin de ter de Çeiiiis, et M**' David (l.ouise-licn- rictte), 00111111*101*0 â Senlis.

« R M M l D ' t l I J m P61 i H t SE T J O U E T S T O U S E N F A N T S

M a i s o n G l i t A l I L T , e n f a c e d e l ’ I l O l e l - d c - y i l I c ,

______________________________ A S E N M S . _________________________

A U A O U V E A U J U I F - E R R A N T .

l Æ A H S B A l T S B D B I T O T T T S A i r T B S B T ' . O O I T F B C r F I O l T ,J tM ^ « fr M** 4 , À SKI¥JD M ft,

A riio iinonr de jirévcnir les d.im cs qu ’elle a jo in t li son commerce I^A F A B R IC A T IO N 't»KH ------- ■d’une mécaniiiuc:outtires, de|Mii.s â fr. ju s ip ra 0 fr. SU c.

f o n t etH j j f w c J»s»t«

t\ I iioiinonr ne jirevcnirics mimes qu eue a jo im a son commerce ■«a f a o r i f a t i o n C'ORRKTt» iHiiM r o u l u r e » t Corsels algériens. Corsets brassières h rim pér.iirice.

l 'une solidité garnniie , à p a r tir do 12 fr. h 15 fr. ; Corsets i le n d -^ ü s li, cou |iés an procédé nécaniiiuc à (I el K fr .; C iirsets cousus,.'.dppnis 5. fr, jiisqn’à>' 15 II*. ; C orsets enfants, sans

F S 7 B S A i r S B D B O B 3 3 A T I O I T S B O O I Æ I Æ B B S B .

M . T A N T O Tx i J : J . ^ o : A c e ï 3 : £ » à X '» i : : r 5 - L >

A riio n n en r de jirévonir lec personnes qui voudront riionoro r de leur confiance qu 'il vendra 5 prix réduit toutes les imvrchnndises qu ’il a dans scs m agasins.

A N C I E N N E M A I S O N L A M A D O N _ | | , - r i i c «le lte» u v aÎM , _________________

L A C O D R E S U C C E S S E U R ,

A riiDiiiienr ilo prévenir Messieurs les Voyageurs el CiiUivaleiirs tpi’il a joini r n eoinineree de l*niiN»«‘i*ie un I B e s la u ra i i t h> l a ca ri |p ; qu'il tient lül«>uric> U«<>mSNe« que l’on trouvera chez lui tout lo conforlaulc liccessairc.} n é c e s s a i r e

fo«if «« p » * i j p M O i t é s ^ é f i ,

1 I Y ( ; 1 E I \ E D E L A T O I L E T T E .

V IN A IG BE A N G LA IS, ABOHATIQDE E T BALSAMIQUE,Adopui el rct‘«mmuHi/(i /w r le Conseil de salabrilé de Lomh'cs,

liii|»oiiation préparée et perreclioiinéc par € I I A I j ! n i . \ ' , parfum eur.I.r « IN tlURK <m.'

il lilnii. ImC « t l.i »•>, lui <i..iu>.- ccr .l.i.

V le . I iitc» <■( U-. . .t.-Mi<'|ilii(ic|iic. re i{iii te rrn il iii<ti»|i tuil» les viiiiroilk im'i fo u r» |> irr <ii< )>rf.( r»» tir l'OïKrr le iiiiiiliilii a i i .^ ic ie d.' Lciolr.-*.

P r it cil Fr.iricc : 1 fr. r.'t c , 5 fr. c l ,'i fr. le ItaL-on. t 4l.ri.|ue a RiiM. li, n ie de f l l . i | . i u l , ÜH, 40, 41. ,4". c l 4.*i. — Maiion i ParU . n i

i; d e f a i

ivp, Il c l tniii<|iu', r.irraîchi»i.-i(i( cl 1(VRirnii|iic, vcliMilc C l'celle rr.-iicitviir (lUc lo u ln no i ilnincs c iiv lc iii; fait dJ.*l ili»»i|ic te tcu iMU.c |Kir tu r.isiilr f ii l iu , il c . t .x i i t -. |ii'r»i>i>iic» (|i>i rreqiicnleiil Ici I»!», Ici l l i c à lm , c lc ., ru un m ie . l> l lc deriiiccc |im |iric(c. ijnc |in .icde le Vinnignr a ii- ln i, d c ir i c l lie» ».nM.nr», f a faii nJo]>ier c l reefm im atider | mc le Conseil

I (l'fliieltien, -il.

Rc Inm vc â Suiili.s chez M. l ’IIILlBEIlT, cuUI'ciir-iiarfumuiir. placé de la ll.illc, 3 5 -c l chez tous les principaux Colireur.<*i'drfumcur.s i*l Merciers de Framw^cl de rC l;ungcr.

É T H Ë R O L É I N E D E G H À L M I NP O U R D É T A U l l E R .

AU sH t» n t 'K jrg M sa tlto n W H ire#*»e#fe.C m ic iin iiic ltc |>rc|>arslioii .liim icpic ju rm c t d 'ciilexcr »oi-mcnie inslaninneiiii n i Ion» les <>orp« i r« N .

l a e k c . J e p e l a i v r e , . i t i r . h u t t e , h e u r r e . e n tu b u n li* . v « r |M rÿ d lM C M S .a o n d r o n . l iu u K ie . c i r e Ac a e h e l e r . r ^ l u e , v c ra lN , lu r loulc» e»|.cee» de ii»»ii». ici» que vcluur», Miieries. laiua-c». e a u u do nc.ni. »ai.».-itlcrcr le* . ..u lcur» , mcniC t c j i lu » dcliirale», su r le , ijravures c l |iaiiicr» p re .itu * Ce Muuvcati n iu d u il c»( s u i ic n ru r a lots» te» liq u u ir . a dclnelicr.

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€hocolalrlbledeatuB MTotÂouQni

A NMdlAMUPd(FM'épCthtl)

4 } n V B B V T B n O P l i Bm t s i s t d i t O U d s M M H

P R È S L ’H O T E L - D E V I L L E

vnm ATAiinnià 'B e B e e e r le k

BXTBAIT DO DiPPOM M JO tT fiC I a H r I m b I B I Æ D e s « « l a w i l M i

p » « r f a b r i q u e r b a u ' a f A I Le C h a c a l a t - lM e d u vend c ti» tel prinelptnz C MRBpMuo..

E n v e n t e à l a L i l i r a i r i e d e M ” ' v ' R E G N l E Ç ,

A G E N D A F R A N Ç A I SOU ü lo u ie n io J o i in ia l ie r p o lir

A G E N D A D E P O C H E .

ALMANACHS pogrU K I .T l.l . tW T R .tT IO IV . . . . Prixn i-M h . t i . o x ; s .......................................IL L irA T R .tT IO N N ü lo d e r n e x . . . . ■ l .l .t 'K T R lh (IcM D e u v N IondcM . . . i> u s o i . o i R i : » y % T io y . t i . i : N . . . D U n u R i f :» n u N F . t n i i . i . u s . . .D U n i I N D R l l . l . r f t T R i t ........................D E I .X N IV K R N l l , I . I K in i f : . . . .D U v » i .R i ; R l u i . u s T R i f : ........................D U F K ii .lR O .....................................D U p i n o R F K Q i ' i : . . .D U C - n .tR IV .% B 1 ........................D E F R A N C E ......................................................r o n i Q U E . F i((o re « f« |u e c l D r o l a t i i j n e P R O r n ^ l Q U E Cl u n i e . . • . . LA l l t h R E CilGOCiXÎE, Alm. de* ICiifaiil»

DES DAMEN cl é e m D ew E w R e» , .DU JARDIK IBB ( ......................DU « T E T iV A n U R e< du Vl|picflw «,rOIIR R IR E ...........................i n r Ê R i A i ......................DE IVAPOltOM .................................D R EA ROURABR EI.iDIEUX, RlrcDM* caiholiqnr». . .NUMCAI.............................................................. ,CHAItiTAXiV, chois d e Chiiuont . . , . ANTROLOOIfUE . . . . . . . .DE lA RDKXfi CUIMNIR. .KE J E U X . .................................D E A JE U !K .D B SO C rtjlft.‘ . . . .DE BËRtKOKR ..........................................'îlLIlèCEOIS, véridique Noitradaiau*, Uoircrsci,

- i.depui» 10 ccuitmlr» ju»qu*À 35

G R A ! X I > C H O I X D ’ A L M A i X A C H S F I C A RU ep u i, 10 G. ju u iu 'a 50 c.

ETRfiNRES 1862e u » « I X [ i w i i x s M w u x m u j u i i n

VovaR:(‘s . IliD^oirri!»» C’oiifoD, A lp h a l i r l s illuD Arés «A l i v r e r d * l m a ^ l l* a p o lo r i« s l^ o r le -V is ite R * *

LIV R ES DE P IË T Ë E T PA RO ISSIEN S B O IA IN S_____________________ Holiés PU tous gpnrc». . : _______

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