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m m M jnn' lioi'iiefl vaix tbmi'fi'VnVtJ i '.' i <'|!/S|Î|'„V'''"5' •»aix Dp»i.f«T|çaln»o^fl ; ANNONCRr. JSÎIMGWWWrt' » « “ G |..l ,11 , ,1 iitijunii 'roon |.H Liliint Si:\LIS: iontiQMl un rapport ■A ji r E m Æ ifW r â° P“>jjîq|i“ -V ,' ■* «■aaAIXWé » k'<égi* r» j *A Anml1*lAP •■ et dés’ culléà. C^oncermfni’l^ améllbralions•â apporlef A l’orraiitenUouido-la.bibliolMque impériale. Ap«)s avoir ..nn°t»i/> Ifts imnorlante résuUals obtenussoOs Ilnfluenco les ino< 'brigade général Odïe,îî3l*ët‘,34*.rôgîritqnte;d^ ligne, l« régiment de zouaves; v brlgiado, ^i^ei;al Uumont, 37* et 78* r^imeiits de ligué. 4*» division, général ,^o iFailly. I^brigadb.'giénéral OTarrét, régimënis dé ligne, 15* bataillon de cjiasseurs é pied; 2* brigade, général San* vin, 55^ el 7G* régimonte de ligne. — M. le général de Blonlatiban. condmandanl du corps e.\péditlonnalrc eii Chine, est arrivé à,liong'Kong le 3 mars. croit qu’il serait très-utUpdç f ormer-^ les plus distanls de là.capitale, des biblioluftaues. propra à entretenir el à répandre ^us les . dçgrés le gout de K- tude. Ces bibliothèques se composeraient, en partie, des doubles que ppssède la Dibllolhèque impériale. Moniteur imiversh du 11 contient dans sa Partie ofïl- cielle un rapport à l’Empereur par lé m'misli'e de. l Algérie cl des colonies, concernant rorganisajüon de la comppgnie de sppcurgTminpùrs pt des corapagniesind'ge'içs d ouvfiei-s du g f c prééesâla Marlinlquo. 6 la Gimdelp.upe à la Béunioai par uçr,élés;dç8gouyeriiewre. ^^‘U 8 i vélle Wémé éiWAA creer-au ^i,gii|«pl Jiqi iii ^ — Les généraux frochii étifolàln. ^<(erliazycoininaiide« rqnt des divislôns aii^çaipp dé PJéluiÿ; le «^"éraiiMaiwa* Cic o*tr i.onflt.A Z/TfilonnDnl aVAA en Hlvioîni, itii iiis s’y rendra égàlcmèht avec sa division que remplacera Pau une des divislona rentrant d'Italie. Les'tràvnAjl du camp doivent commencer le 15 moi pour seipridongér jus* qu’au 1*^ oclobre , . La nomination du,générql Lpqim^iciêrc aü commando ent en chef dci^..lr(jppcs pon(iiica)es a paru daus^le. Jour nal de Itomë 'du'7 avril; biqn.réellement avec l’aulp^ risatiUH du goiiverneipét ‘ "“I l ' ? que iftgéuéral açceùl 9 deA^er&, lai Ce voTa eu lien sur la place Saint-Miohol, dans la poche méihc qe la dame Bachelct. . CAEIL. — Mercredi, vers quatre heures un quart du soir, le jeune Alberl lianct, Agé de G ans, nyniil en laimal- hcureuM idée de s'asseoir sur les marches de rcscalicr par lequel pn. va puiser de, l’eau à la rivière, quelques iiièlrcs en àmpni du pont,.voulut..au bout do quelques instants, aller lyiiroiiver les autres enfants qui jouaienl près de lé : en se lytournanl poiir remonter l’escalier, le [)iod lui man qua et„il fui précipité dans la rivière des plus d.mgerou.s<‘s ’en.çeljendroil. Le sieiir Félix-Naroissc.Bouchez, marchand de viiÀ 4 Creil, père bjdé quatre eiiDuils. entendant les cris des cimaràdtôde;él.4fnfunl, snqs calculer rimminencc du dang^, éUrtoimpon'r liii qiii ne sait presque pas nager, sq prébipHé’tdiit^abillé dnns le lourbiilqn occasionné par le .poht. nppréhcndc 'l^cnfaht qui, en clicrchaitl à se tenir à >ini,‘lél paralyse scs mouvements.- Déjit l’enfant et son sau veur àll<ilenl périr, lorsque le sleur.Jules Lnviololte, pilote,' 'htliréti|àr fca cris des 8 pectàleur.s .ctrr.'iyé.s, .sè Jette réspUi- .hfenl jiKiiiS'Ia'riVièrc, cl arrache des hiain.s de Bouchez Iq i^ n e Bnnct. .Grâce à cet homme courageux, ÜoUchoz cL Ueif^Bitoiitsahvés'. ^,A .‘hafpDla)ne.. . . — U hii(tttfiv’.783 du Bulletin des'/Jois èo\\fiiht Un dé cret ï)orlhril'qû’Ü seW fait emploi, en achats dô renbw per pétuelles snr l’Etal, dd la somme de dix millions alfeclée, par les décrets des 22 janvier el 27 mars 1852, à l encou- ragemént des sociétés de secours mutuels. Si l’on on croit une lettre de Paris, il aurait été décidé au ministëro de la guerre que les troupes savoisieiines for- meruicnt, dans l’armée Ifanc-iisc. .«jic brigade de.deux régiineiità, qui porteraient les numéros 103 et 104. On sait que notre armée comprend qeut deux régiments d’infan- teric« et que. les régiments qui ont les numéros itfl et 102 bnl été embarqués pour.Ia Chine. Tout le mdode sera Trappé do la rapidité, avec laquelle 'organisé chez nôus tout cè ,qui lient au service miliiaire. Le Moniteur de rAiTOdcfail remarquer avccjin juste orgueil omb.ien rapport. • 'véqr,.™ — ................ 1 - ------- naire frânçaism a rcqdu à sa desUnàtion avant qiie lo corps anglais tout eitliur ait quitté les ports du Ultoral indien. Cela lient à ùn Vice d’organisation, si seuyjsnt signàté chez nos voisips, qui ne permet nas'à là Grande-Brclâiqno dcj tirer iûUl.U.e‘ parti ;pesfblu.du o a tir ^ ^ d » qu^Oénitoi ses sbltlats. Le pailcment sàrdo yieut dé.se constituer définitivement par la'noinination de son président. Bl. I.anza, candidat ministériel, a été élu â un deuxième tour de scriiliu par 1 ^ voix sur 219 votants. combien l’Angleterre est, inférieure â la France sous;; rapport. A ih^'dit ce jouriial,,iru^|gré là faible dislance relative qui sépare riiiile de ^a iCbme, le corps ex^dilion- àïïralf(né’li^faëë;inrÏÏDecôrrL>gpondai,w ..... sur la demande de M. Ls'moridiôre 'que hnf 'e^lo du gou> vcrnemcnt nontiflc.ul. On aurait pris en conbidér.'itinn, d'ufle part, la iiéce»iilé de réorganiser l’arnié^ romaine, 3ni sera appelée bienidl A reprendre lcHpoSics qu’nccùpcnt, cpuis plus de dix ans!, lés soldats français-A Fonic; d'un antre coté, la nécessilé.-non moins impérieuse, dé pendre désormais la tranquillité des Etats Romains Indépendante du concours prélé par lés deux grandbMatiqps uathoU- qncs, la France et l’AulricHe. W > Mais on prétend que la France, en accédant an dèSir du Saint-Père, n’a pas laissé, échapppr l’qcca^ipn de rappeler A la Cour de Rome qu’elle lié doit, pas borner à' la réorga- nisntiou de l’armée ses efforls eu Vue de la constilidnilon du pouvoir pontificai. Le jgbuvàrno'mènt impérial aurait, dans cette circôrtslanre, renouvelé ' les avis qu’il a si sou vent donnés depuis roccupalion française. Le général Lamoricièrê n’a accepté, dit-on, qn’A In con dition qu’il ne-dépendrait en .«fiiutine iitanièi o de l’admi- nistration, et qu’il réièvcrait unfqiiement Hii Suint-Pèiu L’Angleterre s'esl emparée il y. a plusieurs mois, do l’î- qucl.'Tous les habil.1'nts de ta commune sc sont assocjés à cette heureuse manirè.slalion, témoignant par leur pré sence que la fête des sapeurs-pompiers était celle du vil lage tout entier.' > A trois heures, la musique et les pompiers ont accopi- pngné jusqn’Ala mairie le drapeau et l’adminislràiiop mu nicipale, ensuite une revue a été pasSéé sur la place, eu pnisence d’une grande partie des habitants delà commune, la musique a exécuté avec ensemble plusicui's murçeaq.v, et les pompiers, dont la tenue était fort belle, ont inanceu- vré BOUS la conduite de M. Auguste de. Chaumonl, leur oa- pitainc, avec une précision toute miliiaire. > A quatre heures, un banquet a en lieu sous la prési dence de ît. le maire de ViUers'Sous-S.iiul*Leu; le lie.u du banquet était orné d’un niagnillqnc arc de triomphe sur lequel figurait’ le buste de I empereur; au-dessous ôlaiqnt inscrits ces mots : Vive l'Empereur! vive i'/mprVatWcc.^ vive le.Prince hnpsrial. > L’euleiile et l'union la plu.s cordiale n’ont pas cessé un instant do.régiicr parmi les mcnibres des diverses.com- pagnies. . ? A 6 Hcurè-s oH battait je rapprl. ? ^ '7 heuVC8 '<cbji^qi» dra-qhépj’àvnll réuni Ioniséshom- On nous transmet la proclamation suivante, adressée le 4 avril aux habitants delà province de Ghambéry, parle gouverneur régent, St. Dupusquicr : Concitoyens, en nous faisant loyalement connaître les considérations puissantes qui l'ont amené A sc séparer de us, S. M. |e roi Viclor-Eiiimanuci 11 nous a dit cornbieiv; . sacrifice a été pénible A son cœur. •' Il conserve pour la Savoie, cette torre dont sa.fàmule felliistré le noni, ces sentiments d’estime et d’àlTMttoir Qu’elle a su mériter par huit siècles de tidélilé .ci dé dé- [vouoment. IJnepenséo, toutefois, adoiicR l’anicrlniue de scs regrets : J c ’cst ^ la réunion de notre patrie A la Fi'.nnce assure A ■jamais sou bonheur el sa prospérité, dont il contip lejspih! l à son iiMgnaninie allié, S M. l'Empereur Napoléon lll. I I.C paya, cciiendnnt, doit faire entendre sa voix ; Icadcux ISouverains y tiennent également, et leur fermé volonté, est a uo la'liberté la pius-cntièrusoitiissnréoAlauianifcBlation e ses vœux. En acceptant daas ces circonstances la miæion déficale Iqnl m'a été confiée et qdi, tonte temporaire qu’elle est, est ■ bien au-dessus de mcn forces, je n’ai consulté quo*iilbn>dé- Ivouemcnl A notre chère patrie. I 4e eemple, pour in remplir, sur le loyal concours de lloutes les autorités, et sur le bon esprit de la populatipu, ■de cette province. I ' -Gonoitoyens, recucillons-nbti's en altcndanl le .ittomôul Isolcnncl ou nous devrons exprimer nos vœux, suivant le I mode qui sera uUérieureroenl adopté: et ioi-squc ce Jdiir Iscra venu, tons réunis dans un méine .sentiment d’amour I pour la pairie, nous mareherons avec autant de Calme que |d e résolution vers les nouvelles eL grandes destinées qui (Mtitüteur untvorscl). I ralleiideut. On anuohoe Ja J’orihation prochaine d’une nouvelle I légion de gendarmerie, pour assurer le service dans les I dépariçments qui voot être ajoutés A la France par suite I de l'annêxibn :^e Nice,et de la Savoie. DéiA, assure l-iyi. un I inspecteur général de l'arme aurait clé clmrgé de so l'éôdr t ■ sur les ilciix pour procéder AceUeorganisation. iOtfaJotnc. ■dit le ÇoMfifuft'ouBcL.qho le noyad do ccllo(égion nouvelle Isérail forihé eveeloà'brigades de r.ài[ab1 iiierÀ piémonialscs léjà établies on ce phinti ainslqu’avéc céllbs tie ÿcndaymes/ rancis actuellement détachées, pour le service de la préV *‘é près les dlvirionii;de l’armée d'ilalio.. Ici 111,111 c alll lit vU^C-U ^irW llC, ,u <odl Udigllt. S C9l aglulliliO de plusieurs provint,'.la,France rccpic.aes fi-outièresius^ js. q»’aim Alpes-r’la- RefgiqAe, ‘X' Bbti' totll^ 'itByigfe"3 Sc^nérir dans la Méditerranée iine i)e,,doiU la pp.<isusinon pourra i n^îs), çnnivaléiVr A G'raiidri'cshoy. On cstimo l irols^A Wne Vatburde 65 fr.'La justice croit être snr la ..trace de ràutettr dc ces'iqéfaits. îAlONTATAIRE.’—'iljWéur Fninrnis Gi ison, cnilivatcur, disparu de son don^Hvdcht^ lô 28 janvier dcniici', cl que sa famille a fait rn m ^ n èr- depuis ce lcm|»s, a été re pêché do roiso par dc^NlMrviilieis de balciui, mardi soir, è Champagne, village ^fébAlt^Bcauinonl cl l'IsIc-Adam (Seine-el-Oisc}^— A. i.»‘ ® Mip Vii’ NEUILLY-EN-’^niELLÈ. — Mardi dernier, vci's 7hcui'cs du soir, le nommé DésIèMasiepirVérol. Agi; de 2.5 ans. mi- v rip en suie à Ncuilly-cn-ThclIc, s’cst jeté dans un puits, à Ercuis, et y a Ironvû la mort. Vérel était depuis (juclquivs jours fort soucieux, Acause, du mauvais étal do ses atraires el de la vente par autoriléj de Jnsliro de sa'maison. Il semblait malade, el le médecin' consulté atait ordonné un remède, t.^ronianl do l’absence ’dësii fémmi! qui était allée chercher ce remède, Vérel s'en- fiut.précipilamiueiit de rhpz lui, cl r'esl api’ès avoir coiirn i’éfq>are de 5 kilumèlres A travers les champs labourés qii'Il Afriva AErcnis.'où il sc donnà^la mort rommc:nous venons le dire. On croit qu’il était atteint d'aljénatmu mentale i)e,,donl la pp-ssusinon pour contribuer an déyelppp^mchl.dc8 on commerce. Nous lisons A ce sujet dans lé Préçvfs^w d’Anvers : D'atu’ës une correspondance bruxelloise de VAmsIer’ damsche Courant, le voyage du duc de Drabant en Orient sc. rattaclicrail A des négociations ouvertes, entre la i*urtc el notre gonvcrneinenl pour la vente de l'Ile de ChyiiVe à la Belgique. l>c prix d’achat serait de 40 millions. UéjA l’Anglelerrc, la Franco et l’Antriche, bressentic* Ace snjel,- auraient fait savoir qu’cllcs ne s'opposeraient pas A cette aci|uisitiun. Pour extrait et rcdaclion: E. REGMER. MIIVBLIES D£PiRTËg£{IT&LES. — Le minialro -dcsiaffidres étrangères a fait rfccunnaîtro MA la munieipalité de .Thonçn cn,SayoieqpQ,l’jmentiota.de< ■l’Empereur; d^A‘m A nim M 'bàvsà Majesté'a lA dégniUttun:' rofsicnne, est do snotegarder les intérêts commerciaux idu Fauclgtly, et du Glmblais en iiNabli^vl err fàvcup do .çe^ pa)B InalièrceMiae-ionb •wmiifèroifilAAémhlablc A celle qiii i^A existe à Gcx. (Al^nitcur.) â I ,r- Ln.niajehre partie dés troupes doipolro ^rméc d'Ila- : dptl cDcctuer sp rentrée ou Frmicç par Gènes ou une jortion Sera embarquée. I Nous savons do soiiroe certaine, dit le Constitutionnel, corps.ci-aprèf doivent marclicrpar étapes, en pas- l{U P3f Nice : I : , 12* divifdnii, général .GIrich. La l't bi'igado, seulement. Itiéral Grandchiunp, 48* ef 28* réglinputs do ligne; 14^ ba^ ^llon do chasseurs Apied. — 3* division, général üaznine. ■ÉlHcticllom Ae»vlènilto de PArinr. Nous, Préfet du département de l'Oise, chevalier do la Léglon-d’llunneiir, yule.déorel du 2410101-8 1851, porlant r^lcm rnt dos écoles normales primaires; Vu la circulaire, ministérielle du 24 avril, qui l’ac- xompagne; Vu la circuiaii*e minisiériollo du 2 février 1855 Arrëlonâ ce qui suit.; Article 1**. I.es jeunes gens qui désirent copcourlr pour être ndmU au cours nomiat primaire d’élèvcsmialtrcsi éta- liii A Reauvais, devront se faire Inscrire du 2 avril au 2j<mi 18TI0. dans les btmatix de rinspecllun académiqué, rue do la Préfecture, 87, A Beaiivals, où un registre est ouvert A .oel effbL ' ^ Ar<ick-,2'; ‘tout coudldaf devra déposer, ait momoiit de son inscription . 1* Snn hcte de naissance légalisé an grclfe du tiibnnal civil, constatant qu’au 1” septembre 18G0, il aura atleluL 18 ans an moins, el 22 ans au plus; 2* Un cerlifloat do médecin, constalanl qn’il a élé’yatciné ou qu’il a eu la pelite-vérole, cl qu’il n’é.st atteint d’hifèUne inilrmité ou d’aiicnn vice do constilution qui lo rende ini- : pix>pre A- l’cnBcigneménG - 3* L’engagcmchU. légalisé, de servir pendant dix nn.s dans l’Instruélion primaire publique. S'iil est mineur, lo candidat pruduira, on qulro, iiiio dé claratioii de.'son pèrerOR de son tuteur, l’uulorisunt A cou- trAifte»'cenhaneri»®»*} { ^ • ' üér deih ^ahmières pièces dçlfout cire sur papier timbre, vtlé{iâliiékèijpé\lo>itairddelaConunune. i' Uneuotéjignéè de Ini, indiquant Ip lieu; ou les lietlx qihl aihabllÿs'dop.u'ts l'âge de qtiinzp ans; '■ 5* pes, eeriiUçals de'moralité délivrés par les ph'cfs des éOpl^ auïqUellès^ il aura appartenu,soit comme él^e.'soit- comme'soiTs^maîlro, et pur clmcuno des auldrilés locales prépo.sées Ala suryoi|l(mr.eet A la dii'oc|iun'mo:rulo do l'en sclgnoment^ font'ctHididat A'qnl aura été aocôrdéè iiuo bditrso ou une portion do bourse, ou sa'.famUlc, s’il est. nilhcur, devra 'oottlraélor l’engqgemlmt-dü réiqbourscr lo prix do sa peu slon.piOiir le cas où il ne heslerail'pas dix ans dans l’En sciguenuml, ot pour le -oos encore où, pur snii fait, il sor lirait dc.Féoulo'avant la ibmps proscrit. Fait A ucuuva|s. le 29.m{irs'4860. Foùr copie conforino : Le Préfet do l'Oise, L'ingpeetiur dh VhMdi'Me^ Li' Goubt, Léoa CiiKVRExu. RKAUVAIS, — Saniedi, vei-s une heuro do.l’après-niidi, un vul'dhiit porlq-monnaie contenant 15 francs, a été com mis au pi-èjudiro de la dame Dachèlci, cullivatrlce, dcmcn rant A La Chausséo-du-üolH d’Ecu. \ blassés do Sulfcrlno, PRÉGV. — Le sieur Uccaux s’aperccvani que le nombre do scs lapins diminuait rapidement, résuiul do foire le guet pour surprendre le voleur. Il y a quelques jours, il vil son iropi-e chat, tenant un lapin à la gueule, sorlir'dn clapier; 1 s'élance aussitôt snr le ravisseur (lui. loin do s’enfuir, Quitté sa proie et sc jette sur.le bras de son riinilro. puis sur la main qu’il ne làrhé pas malgré les cris du .soulTrant. Le nommé Tçliicr, attiré pur les cris de douleur, prend le chat par la qûcuc afin de lui faire làrher prise, mais le fé roce animal, tlupi la (|iieiic.s'e.st dépmiiltéc dans les mains de 'l’çllior. tient toujours bon. Tcllier s’empare alors d’une cnignéü de ébarron, qui se Irouvail en cet eiidruil, cl tranche lu tôle du citai, qui, qiiott(uc sé|iaréc du corps, reste altariiée A la main du patient, üccaux ne sc ressent presque plus de sa btessure. — A. L. SAtNlirilÎMIN. •— La nopimée Iténéc-Perrinc Leblay, du4e Noftmain, âgée do 78 aiis, deinein-anl AVinoiiil, dé pendance de la commune de Saint-Firmin, était atteinte l'épilepsie et vivait V%.u|c, ne pouvant garder aucmie do- muslique A son servicd^Bimanche dernier, ses voisins ne l’ayant pas vue depuis deux joiu-s, pénélrèi-eiit vliez elle; { tai'venus dans la salle A manger, il.s virent que celle tnal- icureuse femme était tombée dans sa cheminée. Ils la re- Icv^ent. mais ce n’était pin.s qu’nn cadavre alVrcuscmenl' mutilé : la liguro, le haut de la poitrine et le bras droit étaienl cnmnlètcmenl carbonisés. On pense iiuo dans une attaque d’épilepsle la pauvre femme sera tombée dans sun foyer el y aura trouvé la mort. SEM.I8. — Lundi dernier a eu heu la ravalradc que pous avions annoncée dans un [irécédenl numéro; mais. aVèiions-lo avec-regret, cllo n’a pas Icnn ce qu'elle avait promis, et les personnes venues ce jour dans notre ville ont dû être un peu dé-<appoinlécs. il ne nous appai tient pas do discuter les motifs qui ont empêché la réussite do cuite féte, néanmoins nous savons gré aux organisateurs du but louable ipii les a fait agir Nous remercions les musiciens du Muntataire de leur con cours iniciligenl. Nous avons admiré avec tout le monde la oharmaiite quélcuso qui, A ohatiue halte, venait iiuéter pour les pauvres. Mninlcnant. si une féte semblable veut réussir, il faudra s’y prendre d’une autre manière. La Société d'AgrieuUnro tiendra sa .séance trimes-, trieilc le mardi 17 avril procliain. VERNEUIL. — Samedi 7, nn rnl’ant. Agé de 2f mois, le nommé Jules-Joseph Bei-signery, s'est laissé tomber dans URatinc.lle, cuntcnunl do la lessive. On s’empressa de l'cn rol)r^r,.iuais déjà ij était mort. ■'VllLtfelSEUVE Sim-VEHEEI11E. — I.n 4 nvril priisciil .ihois;*ia bommée A|cxnndrino Bescnlis', femme Dottin, ina- nouvrièrci; demeurant A Villeneuve, a élé trouvée pbnduo Anu ârbh) datis la forêt d’Itailnttc, Adeux kilumèlros de Villonewvc, sur le territoire de Robcrval. Getto femme était partio'la vOitIo de chez elle en disant Ason mari qu’elle allait Riii-e un fagot dans la forêt. Depuis quelque toinps elle tombait fréquemment dans des accè.s de mélancolie, on attribua sa mort A un suicide. VILLERS-SOUS-SAINT-LEU. — On écrit Ala dalo du 10 avril : LA'journée du Iniulidc PAqnos a été pour In eommnnu de Villei'^uus-Sainl-Len. un véritxible jour de féte. > lÂi'.ottiupagnics de sapeurs-pomni(M-.s de la ch-rons- criplioit Gouvicnx, Trécy, Sniul-.Hlaximin, Villers et . Bliuaeurt. ot le corps de musique de S.diU l.cn, dirigé par ' M. Barbier, SOI) chef, qui a bien voulu so joindre à nous, se sont réunis dans ocllo commune pour a.ssistoi- Aun ban- 1/5 barreau de Paris, déjA si cruellomont éprouvé par la mort de .\l. Bt-tlnnonl, vienl.de foire une perte uuuvetle el bl<'n donliiiirense. .M . Lionvilh', ancien bàtonnicr. a suc combé aux suites d'uûc moladie qui. depuis plus d’un an^ le tenait éloigné du l’olois. La nouvelle de celle mort, bien que prévue, causera une pénible el profonde imj»rcssion. M. Liouvillc, par son tà- lenl, par son carHClère, avait su se concilier l'estime et la sympathie générales. (Je n’est pas le moment de raconter celle existence vouée tout entière an travail. Disons seule ment que lo zèle et le dévuuamrnt infaligablcsque M. Lion- ville mettait au scrvig5 tdeiS0s clieni.s. que l’activité, l’éner- . gie qu'il «lé|>loyait civ ile jour dans le hfborieux exercice de sa profession, 0(}t été pour beiiur.oup dans lc.s causes du -mal qui, après de lœigueset cruelles suulTrimces, Viontau jourd'hui de i'einpurler. ' — I.C général Dieu un de.s gloricii; est mort de.s suilrs de se.s blessures. — On vient de commencer dans la grande nef du Pjila'w de l’Industrie'dos Champs-ElysécslesprépàralîfsfioufPëx- posiliun du printemps de la société impévialed'horticuUüre. — On sait que les deux grandc-« ox|jo.sitions pennanentc.s dés riches prnduils des colonies françaises ét de l'Algérie vont être réunie.® dans la galerie supérieure du midi, du palais de l’Industrie. Tous les améiiagcliicns sont faits; on classe ( t on place en ce moment les produit.s. L'ouverture de celle double cxpusition va avnii- lien en même temps (jue l’exposition générale agricole, au mois dcjuin pvéchain. — Un r.iil d'une grandi' iniimi lance, et qui a déjà été nionlioimé dans les coiuples rendus de l’Ac-idémie des' scicncc.s, vient de recevo r eiicoiv une éclatante conlirma- tiou. Les jours derniers a eu li> u la séance annueUc du comité consultatif, compns.; de dm lrurs en méilocine ciiar- gés d'examiner les mafadc.s li’aités el guéris de la phtliisic pulmonaire par le doeteur de Lamarre, de Paris. A l’aide de l'hélicino. sulislance »|u'il a p:’é.-‘cnlée A r.tcadéuiio et dont il a indiqué la préparation. 11a été nnanimemenl recmiim que lo succès do celte métliode «le Irailemcnl dos maladies de poilrinc, cl parti- autiircmcnt de pliiliisii', a élécomidct. Nous l'élicltnns han- (èmenl-l'auteur de celte dée.ouv('i'le; c'est un des plus beaux pr«>gi'cs de la science médicale. (Journal (le Seine ri-Oii«*.J — Un événement tragique, qui a m’s en émoi, samedi, la ville du Laon, est annoncé par le Journal de l'Aisne. Une fernmo Dclorme, mariée en troisièmc.s noces à un sieur Mennocliot, tisserand à Laon, demeurant nu (ihanip- S.iint-Marliu, a été trouvée lundi matin morte A sui\domi cile. Elle avait le cou lumpé. Le sieur .Menncchet, qui avait aussi plusieurs blessures, ti pu se transporter à l'Hôtel- Dieu. La mort de la femme Delorme a été causée par un coup . de rasoir qui pénètre jusqu’A l’épine dorsale.-Ses bras sont aussi hachés de coups de rasoir, (jnant Asr)u mari, si l’on en croit les premiers rcnseimumients, il aciîusorait sa femme avec laquelle il avait des «juerelles fréiiuentcs el dont la ctmdnilo était très-mauvaise, d'avoir voulu l’assas siner, et il prétend qu’ensuite elle s’est snicitléo. Mcnnechcl, que l’on soigne Aribtlel-Dieu, est sous la main de la justice. — Il vient lie mourir A l'ibilol «les Invalides nn vicu.x' Süblat de l'Empire dont rexislence fut assez singulière. Fait prisonnier en Angleterre, il appiùt «jtto ftiii renvoyail dans leur pays les prisonniers invalides el moiirables. Tour menté par 1«! désir d-5 rentrer en France, il résolîit dose, rendre aveugle, ot pour ariùver Ason but. Il sc jetait des pincées de tabac A priser dans les yeux. Malgré loule sa bonne volonté de s'aveugler;, il n’obtint qu’imo^^éz birlo opiitalmio; 'mais il fingnit de ne plus voir et persista dans celte culreprise pendant tr*ois ans, trompant les gaiHÏîbns çl mémo scs compatriotes prisonniers comme lui. , 0®^ lué- dodus l'examinèi eut et le d«':rlarùienl aveugle. Un jour, on lui annonce «pie lo comlpissuiro du gouver nement vient d’arrivor avr«5 la liste des prlsimtiiei's q'ni allaieiii être renvoyés eu France Lo cmnmiàsnire sc pré sente en ciïet, et lit les noms des pi'is«>nnlci's libérés. Jugez (le la stupeur de notre prisonnier i^n n'enitnulant pas pro- noiicor lu sien! La liste avait été placée snr niic (alil«5 , le faux aveugle y jette léi; yeux et npi'i çoit sou nom mAl écrit. Aus.silôl il perd la télc èt fait r emarquer lé fait au commis- saiic. — Tu n’es donc pas avc.ngle commetu lé prétendsMrri dit celui-ci... * Le malheui’eux, pris strr le fait, avoué son sti’ata'gèmr!. — Il y a li’ois ans, dit-il, «pie Je ^mie l'avengle |»our i-c- voir mou pays. \ i.c commissaire fut loircln^ de rompassliîn. — IMiisque Ion nom esl écr it, dit-il, j(« ne relfacetMl pas; pai’s, tu as acln't»'! par ass«5 z de soull'rauec.s li? droit de reu- • trer dans ta patrie

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iontiQMl un rapport ■A jir E m Æ i f W r â° P“>jjîq|i“- V , ' ■* «■aaAIXWé»k'<égi*r»j * A Anml1*lAP •■et dés’ culléà. C^oncermfni’l ^ améllbralions• â apporlef A l’orraiitenUouido-la.bibliolMque impériale. Ap«)s avoir ..nn°t»i/> Ifts imnorlante résuUals obtenussoOs Ilnfluenco

les ino<

'b rig ad e général Odïe,îî3l*ët‘,34*.rôgîritqnte;d^ ligne, l« régiment de zouaves; v brlgiado, ^i^ei;al Uumont, 37* et 78* r^im eiits de ligué. 4*» division, général ,^o iFailly. I^brigadb.'giénéral OTarrét, régimënis dé ligne,15* bataillon de cjiasseurs é pied; 2* brigade, général San* vin, 55 el 7G* régimonte de ligne.

— M. le général de Blonlatiban. condmandanl du corps e.\péditlonnalrc eii Chine, est arrivé à,liong'Kong le 3 mars.

croit qu’il serait très-utUpdç f o r m e r - ^ les plus distanls de là.capitale, des biblioluftaues. p ro p ra à entretenir el à répandre ^ u s les . dçgrés le gout de K - tude. Ces bibliothèques se composeraient, en partie, des doubles que ppssède la Dibllolhèque impériale.

Iæ Moniteur imiversh du 11 contient dans sa Partie ofïl- cielle un rapport à l’Empereur par lé m'misli'e de. l Algérie cl des colonies, concernant rorganisajüon de la comppgnie de sppcurgTminpùrs pt des corapagniesind'ge'içs d ouvfiei-s du g f c p rééesâla Marlinlquo. 6 la Gimdelp.upe à laBéunioai par uçr,élés;dç8 gouyeriiewre. ^‘U8ivélle Wémé éiWAA creer-au ^ i,g ii|« p lJiq i iii ^

— Les généraux frochii étifolàln. ^<(erliazycoininaiide« rqnt des divislôns aii^çaipp dé PJéluiÿ; le «^"éraiiMaiwa*Cic o*tr i.onflt.A Z/TfilonnDnl aVAA en Hlvioîni, itiiiiis s’y rendra égàlcmèht avec sa division que remplacera Pau une des divislona rentrant d'Italie. Les'tràvnAjl du camp doivent commencer le 15 moi pour seipridongér jus* qu’au 1* oclobre , .

La nomination du,générql Lpqim^iciêrc aü commando ent en chef dci^..lr(jppcs pon(iiica)es a paru daus^le. Jour­

nal de Itomë 'du '7 avril; biqn.réellement avec l’aulp^risatiUH du goiiverneipét

‘ "“I l '? que iftgéuéral açceùl

9 deA^er&, lai

Ce voTa eu lien sur la place Saint-Miohol, dans la poche méihc qe la dame Bachelct.

. CAEIL. — Mercredi, vers quatre heures un quart du soir, le jeune Alberl lianct, Agé de G ans, nyniil en laimal- hcureuM idée de s'asseoir sur les marches de rcscalicr par lequel pn. va puiser de, l’eau à la rivière, quelques iiièlrcs en àmpni du pont,.voulut..au bout do quelques instants, aller lyiiroiiver les autres enfants qui jouaienl près de lé : en se lytournanl poiir remonter l’escalier, le [)iod lui man­qua et„il fui précipité dans la rivière des plus d.mgerou.s<‘s

’en.çeljendroil. Le sieiir Félix-Naroissc.Bouchez, marchand de viiÀ 4 Creil, père bjdé quatre eiiDuils. entendant les cris des cimaràdtôde;él.4fnfunl, snqs calculer rimminencc du d an g ^ , éUrtoimpon'r liii qiii ne sait presque pas nager, sq prébipHé’td iit^ab illé dnns le lourbiilqn occasionné par le

.poht. nppréhcndc 'l^cnfaht qui, en clicrchaitl à se tenir à >ini,‘lél paralyse scs mouvements.- Déjit l’enfant et son sau­veur àll<ilenl périr, lorsque le sleur.Jules Lnviololte, pilote,'

'htliréti|àr fca cris des 8pectàleur.s .ctrr.'iyé.s, .sè Jette réspUi- .hfenl jiKiiiS'Ia'riVièrc, cl arrache des hiain.s de Bouchez Iq i ^ n e Bnnct. .Grâce à cet homme courageux, ÜoUchoz cL Ueif^Bitoiitsahvés'. ^ ,A .‘hafpDla)ne.. . .

— U hii(tttfiv’.783 d u Bulletin des'/Jois èo\\fiiht Un dé­cret ï)orlhril'qû’Ü seW fait emploi, en achats dô renbw per­pétuelles snr l’Etal, dd la somme de dix millions alfeclée, par les décrets des 22 janvier el 27 mars 1852, à l encou- ragemént des sociétés de secours mutuels.

Si l’on on croit une lettre de Paris, il aurait été décidé au ministëro de la guerre que les troupes savoisieiines for- meruicnt, dans l’armée Ifanc-iisc. .«jic brigade de.deux régiineiità, qui porteraient les numéros 103 et 104. On sait que notre armée comprend qeut deux régiments d’infan- teric« et que. les régiments qui ont les numéros itfl et 102 bnl été embarqués pour.Ia Chine.

Tout le mdode sera Trappé do la rapidité, avec laquelle 'organisé chez nôus tout cè ,qui lient au service miliiaire. Le Moniteur de rAiTOdcfail remarquer avccjin juste orgueilomb.ien —

rapport.• 'v é q r , .™ — ................ 1- -------naire frânça ism a rcqdu à sa desUnàtion avant qiie lo corps

anglais tout eitliur ait quitté les ports du Ultoral indien. Cela lient à ùn Vice d’organisation, si seuyjsnt signàté chez nos voisips, qui ne permet nas'à là Grande-Brclâiqno dcj tirer iûUl.U.e‘ parti ;pesfblu.du o a t i r ^ ^ d » qu^Oénitoi ses sbltlats.

Le pailcment sàrdo yieut dé.se constituer définitivement par la'noinination de son président. Bl. I.anza, candidat ministériel, a été élu â un deuxième tour de scriiliu par 1 voix sur 219 votants.

combien l’Angleterre e s t , inférieure â la France sous;; rapport. A ih ^ 'd it ce jouriial,,iru^|gré là faible dislance relative qui sépare riiiile de ^a iCbme, le corps ex^dilion-

àïïralf(né’l i ^ f a ë ë ; i n r Ï Ï D e c ô r r L > g p o n d a i ,w ..... sur la demande de M. Ls'moridiôre 'que hnf 'e^lo du gou> vcrnemcnt nontiflc.ul. On aurait pris en conbidér.'itinn, d'ufle part, la iiéce»iilé de réorganiser l ’arnié^ romaine,3ni sera appelée bienidl A reprendre lcHpoSics qu’nccùpcnt,

cpuis plus de dix ans!, lés soldats français-A Fonic; d'un antre coté, la nécessilé.-non moins impérieuse, dé pendre désormais la tranquillité des Etats Romains Indépendante du concours prélé p a r lés deux grandbM atiqps uathoU- qncs, la France et l’AulricHe. W >•

Mais on prétend que la France, en accédant an dèSir du Saint-Père, n’a pas laissé, échapppr l’qcca^ipn de rappeler A la Cour de Rome qu’elle lié doit, pas borner à' la réorga- nisntiou de l’armée ses efforls eu Vue de la constilidnilon du pouvoir pontificai. Le jgbuvàrno'mènt impérial aurait, dans cette circôrtslanre, renouvelé ' les avis qu’il a si sou­vent donnés depuis roccupalion française.

Le général Lamoricièrê n’a accepté, dit-on, qn’A In con­dition qu’il ne-dépendrait en .«fiiutine iitanièi o de l’admi- nistration, et qu’il réièvcrait unfqiiement Hii Suint-Pèiu

L’Angleterre s'esl emparée il y. a plusieurs mois, do l’î-

qucl.'Tous les habil.1'nts de ta commune sc sont assocjés à cette heureuse manirè.slalion, témoignant par leur pré­sence que la fête des sapeurs-pompiers était celle du vil­lage tout entier.'

> A trois heures, la musique et les pompiers ont accopi- pngné jusqn’A la mairie le drapeau et l’adminislràiiop mu­nicipale, ensuite une revue a été pasSéé sur la place, eu pnisence d ’une grande partie des habitants delà commune, la musique a exécuté avec ensemble plusicui's murçeaq.v, et les pompiers, dont la tenue était fort belle, ont inanceu- vré BOUS la conduite de M. Auguste de. Chaumonl, leur oa- pitainc, avec une précision toute miliiaire.

> A quatre heures, un banquet a en lieu sous la prési­dence de ît. le maire de ViUers'Sous-S.iiul*Leu; le lie.u du banquet était orné d’un niagnillqnc arc de triomphe sur lequel figurait’ le buste de I empereur; au-dessous ôlaiqnt inscrits ces mots : Vive l'Empereur! vive i'/mprVatWcc.^ vive le.Prince hnpsrial.

> L’euleiile et l'union la plu.s cordiale n’ont pas cessé un instant do.régiicr parmi les mcnibres des diverses.com- pagnies. . •

■ ? A 6 Hcurè-s oH battait je rapprl.? ^ '7 heuVC8'< cbji^qi» dra-qhépj’àvnll réuni Ioniséshom-

On nous transmet la proclamation suivante, adressée le 4 avril aux habitants d e là province de Ghambéry, parle gouverneur régent, St. Dupusquicr :

Concitoyens, en nous faisant loyalement connaître les considérations puissantes qui l'ont amené A sc séparer de

us, S. M. |e roi Viclor-Eiiimanuci 11 nous a dit cornbieiv; . sacrifice a été pénible A son cœur. •'Il conserve pour la Savoie, cette torre dont sa.fàmule

felliistré le noni, ces sentiments d’estime et d’àlTMttoir Q u’elle a su mériter par huit siècles de tidélilé .ci dé dé- [vouoment.

IJnepenséo, toutefois, adoiicR l’anicrlniue de scs regrets : J c ’cst ^ la réunion de notre patrie A la Fi'.nnce assure A ■jamais sou bonheur el sa prospérité, dont il contip lejspih! l à son iiMgnaninie allié, S M. l'Empereur Napoléon l l l .I I.C paya, cciiendnnt, doit faire entendre sa voix ; Icadcux ISouverains y tiennent également, et leur fermé volonté, est

auo la'liberté la pius-cntièrusoitiissnréoAlauianifcBlation e ses vœux.En acceptant daas ces circonstances la miæion déficale

Iqn l m'a été confiée et qdi, tonte temporaire qu’elle est, est ■ bien au-dessus de mcn forces, je n’ai consulté quo*iilbn>dé- Ivouemcnl A notre chère patrie.I 4e eemple, pour in remplir, su r le loyal concours de llou tes les autorités, et sur le bon esprit de la populatipu, ■de cette province.I ' -Gonoitoyens, recucillons-nbti's en altcndanl le .ittomôul Isolcnncl ou nous devrons exprimer nos vœux, suivant le I mode qui sera uUérieureroenl adopté: et ioi-squc ce Jdiir Isc ra venu, tons réunis dans un méine .sentiment d’amour I pour la pairie, nous mareherons avec autant de Calme que |d e résolution vers les nouvelles eL grandes destinées qui

(Mtitüteur untvorscl).I ralleiideut.

On anuohoe Ja J ’orihation prochaine d ’une nouvelle I légion de gendarmerie, pour assurer le service dans les I dépariçments qui voot être ajoutés A la France par suite I de l'annêxibn :^e Nice,et de la Savoie. DéiA, assure l-iyi. un I inspecteur général de l'arme aurait clé clmrgé de so l'éôdr t ■ sur les ilciix pour procéder AceUeorganisation. iOtfaJotnc. ■dit le ÇoMfifuft'ouBcL.qho le noyad do ccllo(égion nouvelle Isérail forihé eveeloà'brigades de r.ài[ab1iiierÀ piémonialscs

léjà établies on ce phinti ainslqu’avéc céllbs tie ÿcndaymes/ rancis actuellement détachées, pour le service de la préV *‘é près les dlvirionii;de l’armée d'ilalio..

Ici 111,111 c a lll lit vU^C-U irW llC , ,u <odl Udigllt. S C9l ag lulliliOde plusieurs p rov in t,'.la ,F rance rccpic.aes fi-outièresius^ j s . q»’aim Alpes-r’la- RefgiqAe, ‘X' Bbti' totll^ 'itByigfe"3 Sc^nérir dans la Méditerranée iine i)e,,doiU la pp.<isusinon pourra i

n^îs), çnnivaléiVr A G'raiidri'cshoy. On cstimo l irols A Wne Vatburde 65 fr.'La justice croit être snr la

..trace de ràutettr dc ces'iqéfaits.

■ îAlONTATAIRE.’—'iljW éur Fninrnis Gi ison, cnilivatcur, disparu de son d o n ^ H v d c h t^ lô 28 janvier dcniici', cl que sa famille a fait rn m ^ n è r - depuis ce lcm|»s, a été re­pêché do roiso par dc^NlMrviilieis de balciui, mardi soir, è Champagne, village ^fébA lt^B cauinonl cl l'IsIc-Adam (Seine-el-Oisc}^— A. i.»‘ ®

Mip Vii’NEUILLY-EN-’ niELLÈ. — Mardi dernier, vci's 7hcui'cs

du soir, le nommé DésIèMasiepirVérol. Agi; de 2.5 ans. mi- v r ip en suie à Ncuilly-cn-ThclIc, s’cst jeté dans un puits, à Ercuis, et y a Ironvû la mort.

Vérel était depuis (juclquivs jours fort soucieux, A cause, du mauvais étal do ses atraires el de la vente par autoriléj de Jnsliro de sa'maison. Il semblait malade, el le médecin' consulté atait ordonné un remède, t.^ronianl do l’absence ’dësii fémmi! qui était allée chercher ce remède, Vérel s'en- fiut.précipilamiueiit de rhpz lui, cl r'esl api’ès avoir coiirn i’éfq>are de 5 kilumèlres A travers les champs labourés qii'Il Afriva A Ercnis.'où il sc donnà^la mort rommc:nous venons

le dire. On croit qu’il était atteint d'aljénatmu mentale

i)e,,donl la pp-ssusinon pour contribuer an déyelppp^mchl.dc8on commerce. Nous lisons A ce sujet dans lé Préçvfs^w d’Anvers :

D'atu’ës une correspondance bruxelloise de VAmsIer’ damsche Courant, le voyage du duc de Drabant en Orient s c . rattaclicrail A des négociations ouvertes, entre la i*urtc el notre gonvcrneinenl pour la vente de l'Ile de ChyiiVe à la Belgique. l>c prix d’achat serait de 40 millions. UéjA l’Anglelerrc, la Franco et l’Antriche, bressentic* A ce snjel,- auraient fait savoir qu’cllcs ne s'opposeraient pas A cette aci|uisitiun.

Pour extrait et rcdaclion: E. REGMER.

M IIV B L IE S D £ P iR T Ë g £ { IT & L E S .

— Le minialro -dcsiaffidres étrangères a fait rfccunnaîtro MA la munieipalité de .Thonçn cn,SayoieqpQ,l’jmentiota.de< ■l’Empereur; d^A‘m A nim M 'bàvsà Majesté'a lA dégniUttun:'

rofsicnne, est do snotegarder les intérêts commerciaux idu Fauclgtly, e t du Glmblais en iiN abli^vl err fàvcup do .çe^ pa)B InalièrceMiae-ionb •wmiifèroifilAAémhlablc A celle qiii

i A existe à Gcx. (Al^nitcur.)

âI ,r- Ln.niajehre partie dés troupes doipolro ^rméc d'Ila- :

dptl cDcctuer sp rentrée ou Frmicç par Gènes ou une jortion Sera embarquée.I Nous savons do soiiroe certaine, dit le Constitutionnel,

corps.ci-aprèf doivent m arclicrpar étapes, en pas- l{U P3f Nice : I : ,12* divifdnii, général .GIrich. La l 't bi'igado, seulement. Itiéral Grandchiunp, 48* ef 28* réglinputs do ligne; 14^ ba ^llon do chasseurs A pied. — 3* division, général üaznine.

■ÉlHcticllom Ae»vlènilto de PArinr.

Nous, Préfet du département de l'Oise, chevalier do la Léglon-d’llunneiir,

yu le .d éo re l du 2410101-8 1851, porlant r^ lc m rn t dos écoles normales primaires;

Vu la circulaire, ministérielle du 24 avril, qui l’ac- xompagne;

Vu la circuiaii*e minisiériollo du 2 février 1855 Arrëlonâ ce qui suit.;

Article 1**. I.es jeunes gens qui désirent copcourlr pour être ndmU au cours nomiat primaire d ’élèvcsmialtrcsi éta- liii A Reauvais, devront se faire Inscrire du 2 avril au 2j<mi 18TI0. dans les btm atix de rinspecllun académiqué, rue do la Préfecture, 87, A Beaiivals, où un registre est ouvert A .oel effbL ' ■ ^

Ar<ick-,2'; ‘tou t coudldaf devra déposer, ait momoiit de son inscription. 1* Snn hcte de naissance légalisé an grclfe du tiibnnal

civil, constatant qu’au 1” septembre 18G0, il aura atleluL 18 ans an moins, el 22 ans au plus;

2* Un cerlifloat do médecin, constalanl qn’il a élé’yatciné ou qu’il a eu la pelite-vérole, cl qu’il n’é.st atteint d’hifèUne inilrmité ou d’aiicnn vice do constilution qui lo rende ini-

: pix>pre A- l’cnBcigneménG -3* L’engagcmchU. légalisé, de servir pendant dix nn.s

dans l’Instruélion primaire publique.S'iil est mineur, lo candidat pruduira, on qulro, iiiio dé

claratioii de.'son pèrerOR de son tuteur, l’uulorisunt A cou-trAifte»'cenhaneri»®»*} { ^• ' üér deih ^ahmières pièces dçlfout cire sur papier timbre, vtlé{iâliiékèijpé\lo>itairddelaConunune.

i ' Uneuotéjignéè de Ini, indiquant Ip lieu; ou les lietlx q ih l aihabllÿs'dop.u'ts l'âge de qtiinzp ans; '■

5* pes, eeriiUçals de'm oralité délivrés p a r les ph'cfs des éOpl^ auïqUellès^ il aura appartenu,soit comme él^e.'soit- comme'soiTs^maîlro, et pur clmcuno des auldrilés locales prépo.sées A la suryoi|l(mr.eet A la dii'oc|iun'mo:rulo do l'en sclgnoment^

font'ctH ididat A'qnl aura été aocôrdéè iiuo bditrso ou une portion do bourse, ou sa'.famUlc, s’il est. nilhcur, devra 'oottlraélor l’engqgemlmt-dü réiqbourscr lo prix do sa peu slon.piOiir le cas où il ne heslerail'pas dix ans dans l’En sciguenuml, ot pour le -oos encore où, pur snii fait, il sor lirait dc.Féoulo'avant la ibmps proscrit.

Fait A ucuuva|s. le 29.m{irs'4860.Foùr copie conforino : Le Préfet do l'Oise,

L'ingpeetiur dh VhMdi'Me^ Li'Goubt,

Léoa CiiKVRExu.

RKAUVAIS, — Saniedi, vei-s une heuro do.l’après-niidi, un vul'dhiit porlq-monnaie contenant 15 francs, a été com­mis au pi-èjudiro de la dame Dachèlci, cullivatrlce, dcmcn rant A La Chausséo-du-üolH d’Ecu. \

blassés do Sulfcrlno,

PRÉGV. — Le sieur Uccaux s’aperccvani que le nombre do scs lapins diminuait rapidement, résuiul do foire le guet pour surprendre le voleur. Il y a quelques jours, il vil son iropi-e chat, tenant un lapin à la gueule, sorlir'dn clapier;1 s'élance aussitôt sn r le ravisseur (lui. loin do s’enfuir, Quitté sa proie et sc jette sur.le bras de son riinilro. puis sur la main qu’il ne làrhé pas malgré les cris du .soulTrant.Le nommé Tçliicr, attiré pur les cris de douleur, prend le chat par la qûcuc afin de lui faire làrher prise, mais le fé­roce animal, tlupi la (|iieiic.s'e.st dépmiiltéc dans les mains de 'l’çllior. tient toujours bon. Tcllier s’empare alors d ’une cnignéü de ébarron, qui se Irouvail en cet eiidruil, cl tranche lu tôle du citai, qui, qiiott(uc sé|iaréc du corps, reste altariiée A la main du patient, üccaux ne sc ressent presque plus de sa btessure. — A. L.

SAtNlirilÎM IN. •— La nopimée Iténéc-Perrinc Leblay, du4e Noftmain, âgée do 78 aiis, deinein-anl A Vinoiiil, dé­pendance de la commune de Saint-Firmin, était atteinte l'épilepsie et vivait V%.u|c, ne pouvant garder aucmie do-

muslique A son servicd^Bimanche dernier, ses voisins ne l’ayant pas vue depuis deux joiu-s, pénélrèi-eiit vliez elle;{tai'venus dans la salle A manger, il.s virent que celle tnal- icureuse femme était tombée dans sa cheminée. Ils la re-

Icv^ent. mais ce n’était pin.s qu’nn cadavre alVrcuscmenl' mutilé : la liguro, le haut de la poitrine et le bras droit étaienl cnmnlètcmenl carbonisés. On pense iiuo dans une attaque d’épilepsle la pauvre femme sera tombée dans sun foyer el y aura trouvé la mort.

SEM.I8. — Lundi dernier a eu heu la ravalradc que pous avions annoncée dans un [irécédenl numéro; mais. aVèiions-lo avec-regret, cllo n’a pas Icnn ce qu'elle avait promis, et les personnes venues ce jour dans notre ville ont dû être un peu dé-<appoinlécs.

il ne nous appai tient pas do discuter les motifs qui ont empêché la réussite do cuite féte, néanmoins nous savons gré aux organisateurs du but louable ipii les a fait agir Nous remercions les musiciens du Muntataire de leur con­cours iniciligenl. Nous avons admiré avec tout le monde la oharmaiite quélcuso qui, A ohatiue halte, venait iiuéter pour les pauvres.

Mninlcnant. si une féte semblable veut réussir, il faudra s’y prendre d’une autre manière.

La Société d'AgrieuUnro tiendra sa .séance trimes-, trieilc le mardi 17 avril procliain.

VERNEUIL. — Samedi 7, nn rnl’ant. Agé de 2f mois, le nommé Jules-Joseph Bei-signery, s'est laissé tomber dans URatinc.lle, cuntcnunl do la lessive. On s ’empressa de l'cn rol)r^r,.iuais déjà ij était mort.

■'VllLtfelSEUVE Sim-VEHEEI11E. — I.n 4 nvril priisciil .ihois;*ia bommée A|cxnndrino Bescnlis', femme Dottin, ina- nouvrièrci; demeurant A Villeneuve, a élé trouvée pbnduo A nu ârbh) datis la forêt d’Itailnttc, A deux kilumèlros de Villonewvc, su r le territoire de Robcrval. Getto femme était partio'la vOitIo de chez elle en disant A son mari qu’elle allait Riii-e un fagot dans la forêt. Depuis quelque toinps elle tombait fréquemment dans des accè.s de mélancolie, on attribua sa mort A un suicide.

VILLERS-SOUS-SAINT-LEU. — On écrit A la dalo du 10 avril :

■ LA'journée du Iniulidc PAqnos a été pour In eommnnu de Villei'^uus-Sainl-Len. un véritxible jour de féte.

> lÂi'.ottiupagnics de sapeurs-pomni(M-.s de la ch-rons- criplioit Gouvicnx, Trécy, Sniul-.Hlaximin, Villers et

. Bliuaeurt. ot le corps de musique de S.diU l.cn, dirigé par ' M. Barbier, SOI) chef, qui a bien voulu so joindre à nous,

se sont réunis dans ocllo commune pour a.ssistoi- A un ban-

— 1/5 barreau de Paris, déjA si cruellomont éprouvé par la mort de .\l. Bt-tlnnonl, vienl.de foire une perte uuuvetle el bl<'n donliiiirense. .M. Lionvilh', ancien bàtonnicr. a suc­combé aux suites d'uûc moladie qui. depuis plus d’un an^ le tenait éloigné du l’olois.

La nouvelle de celle mort, bien que prévue, causera une pénible el profonde imj»rcssion. M. Liouvillc, par son tà- lenl, par son carHClère, avait su se concilier l'estime et la sympathie générales. (Je n’est pas le moment de raconter celle existence vouée tout entière an travail. Disons seule­ment que lo zèle et le dévuuamrnt infaligablcsque M. Lion- ville mettait au scrvig5tdeiS0s clieni.s. que l’activité, l’éner-

. gie qu'il «lé|>loyait c iv i le jour dans le hfborieux exercice de sa profession, 0(}t été pour beiiur.oup dans lc.s causes du

-mal qui, après de lœigueset cruelles suulTrimces, Viontau­jourd 'hui de i'einpurler.' — I.C général Dieu un de.s gloricii; est mort de.s suilrs de se.s blessures.

— On vient de commencer dans la grande nef du Pjila'w de l’Industrie'dos Champs-ElysécslesprépàralîfsfioufPëx- posiliun du printemps de la société impévialed'horticuUüre.

— On sait que les deux grandc-« ox|jo.sitions pennanentc.s dés riches prnduils des colonies françaises ét de l'Algérie vont être réunie.® dans la galerie supérieure du midi, du palais de l’Industrie. Tous les améiiagcliicns sont faits; on classe ( t on place en ce moment les produit.s. L'ouverture de celle double cxpusition va avnii- lien en même temps (jue l’exposition générale agricole, au mois dcjuin pvéchain.

— Un r.iil d'une grandi' iniimi lance, et qui a déjà été nionlioimé dans les coiuples rendus de l’Ac-idémie des' scicncc.s, vient de recevo r eiicoiv une éclatante conlirma- tiou. Les jours derniers a eu li> u la séance annueUc du comité consultatif, compns.; de dm lrurs en méilocine ciiar- gés d'examiner les mafadc.s li’aités el guéris de la phtliisic pulmonaire par le doeteur de Lamarre, de Paris. A l’aide de l'hélicino. sulislance »|u'il a p:’é.-‘cnlée A r.tcadéuiio et dont il a indiqué la préparation.

11 a été nnanimemenl recmiim que lo succès do celte métliode «le Irailemcnl dos maladies de poilrinc, cl parti- autiircmcnt de pliiliisii', a élécomidct. Nous l'élicltnns han- (èmenl-l'auteur de celte dée.ouv('i'le; c'est un des plus beaux pr«>gi'cs de la science médicale.

(Journal (le Seine ri-Oii«*.J

— Un événement tragique, qui a m’s en émoi, samedi, la ville du Laon, est annoncé par le Journal de l'Aisne.

Une fernmo Dclorme, mariée en troisièmc.s noces à un sieur Mennocliot, tisserand à Laon, demeurant nu (ihanip- S.iint-Marliu, a été trouvée lundi matin morte A sui\domi­cile. Elle avait le cou lumpé. Le sieur .Menncchet, qui avait aussi plusieurs blessures, ti pu se transporter à l'Hôtel- Dieu.

La mort de la femme Delorme a été causée par un coup . de rasoir qui pénètre jusqu’A l’épine dorsale.-Ses bras sont aussi hachés de coups de rasoir, (jnant A sr)u mari, si l’on en croit les premiers rcnseimumients, il aciîusorait sa femme avec laquelle il avait des «juerelles fréiiuentcs el dont la ctmdnilo était très-mauvaise, d'avoir voulu l’assas­siner, et il prétend qu’ensuite elle s’est snicitléo. Mcnnechcl, que l’on soigne A ribtlel-Dieu, est sous la main de la justice.

— Il vient lie mourir A l'ibilol «les Invalides nn vicu.x' Süblat de l'Empire dont rexislence fut assez singulière. Fait prisonnier en Angleterre, il appiùt «jtto ftiii renvoyail dans leur pays les prisonniers invalides el moiirables. Tour­menté par 1«! désir d-5 rentrer en France, il résolîit dose, rendre aveugle, ot pour ariùver A son but. Il sc jetait des pincées de tabac A priser dans les yeux. Malgré loule sa bonne volonté de s'aveugler;, il n’obtint qu’im o^^éz birlo opiitalmio; 'mais il fingnit de ne plus voir et persista dans celte culreprise pendant tr*ois ans, trompant les gaiHÏîbns çl mémo scs compatriotes prisonniers comme lui. ,0® lué- dodus l'examinèi eut et le d«':rlarùienl aveugle.

Un jour, on lui annonce «pie lo comlpissuiro du gouver­nement vient d’arrivor avr«5 la liste des prlsimtiiei's q'ni allaieiii être renvoyés eu France Lo cmnmiàsnire sc pré­sente en ciïet, et lit les noms des pi'is«>nnlci's libérés. Jugez (le la stupeur de notre prisonnier i n n'enitnulant pas pro- noiicor lu sien! La liste avait été placée snr niic (alil«5, le faux aveugle y jette léi; yeux et npi'i çoit sou nom mAl écrit. Aus.silôl il perd la télc èt fait r emarquer lé fait au commis- saiic.

— Tu n’es donc pas avc.ngle commetu lé prétendsMrri dit celui-ci... *

Le malheui’eux, pris strr le fait, avoué son sti’ata'gèmr!.— Il y a li’ois ans, dit-il, «pie Je ^mie l'avengle |»our i-c-

voir mou pays. \i.c commissaire fut loircln de rompassliîn.— IMiisque Ion nom esl écr it, dit-il, j(« ne relfacetMl pas;

pai’s, tu as acln't»'! par ass«5z de soull'rauec.s li? droit de reu- • trer dans ta patrie

Page 2: tanwriptiM  •m»«* - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1860_04_14_MRC.pdf · nal de Itomë 'du'7 avril; ... snqs calculer rimminencc du dang^, ... par

CHEMIN DE l-KR

/ S É V I l t E - X é l l È ^ ' ^ A D I X .

tanwriptiM <> •m»«* *>

u r m l n i n n c s c \ i i n i s .

Le principe de garanlie réfemmeiil inauguré nar les Ton* Jaleurs de la ligue ferrée de Saragosse à Rampeliine ouvre A i’associalion des capilaux-une voie nouvelle, ou doivent

chemin de Séville-Xérès«Ca<Ux peul donc compl un IraOc focal sans exemple en Espagne et assez rar les pays les plus riclies de l’Europe. On peul s'en fhii Idée par le pnnluU du pelff chemin de3 tk ilom èlr rtinclioiine aujourd'hui de xérèsA INierlo*Réal. se

à la seciton du SévIlle^Xérès, et, d ’autre-h directiori de Xérès. Puerlo^Real et Cadix. Ce prototype réduit dp la grande-ligne de Sévillc<Xér lient, au point de vue des produlU, la téle des ligne^fs gnoles. '

«nli»r tous ceux qui, promoteurs d’une entreprise ne i’oiïreut A la souscription publique qu'après en avoir scitipuleusemenl étudié les ressoniTCs et l’avenir.

Les fondaleurs'dii i-hëmin Séville>Xérès>Cadix, se trou* vant dans ce* conditions, ont i*ésolu de faire une nouvelle application de ce principe, aujourd'hui consacré paf I®. succte. Ils n’opt^iémo pas craiul de le compléter et de l é* largireacère, p a r suite de Uette eonsldéralion î uue treprise qu’ils proposent a traversé la période d’achèvement pour entrer dans celle du produit. . . ■ . ..

Ij i société du chemin de fer de Séville-Xérès-Cadix n cté fondée par la Compagnie générale de Crédit en Espagne. La construction de cette ligne a été menée à bonne Qn sans l'aide d'aucune souscription publique.

Elle est depuis le 1" mare dernier en exploitation sur la plus grande partie de son parcours.

Les travaux étant à peu près achevés, on sait déjà d une façon'certaine ce qu’elle aura coûté; son exploiialiun étant buvorte, ou peut, dès à présent, déterminer, d'après des données précises, ce qu’elle rapportera ., .

C’est donc entourés et lortiliés par l«m.s ces éléments de ronviction po.sillvc que les fondateure du chemin de Séville* Xérès-Cadix niellent aujourd'hui à la dUpnsilion du public 20,000 actions de cette ligne, en garantissant à la fois, pen­dant cinq ans et six mois, le capital qu’elles représeuicnl et un mi«iiiiMiH de revenu de 7.45 0/0 en moyenne.

Ces actions sont la propriété de la Couipagpie générale de Crédit en Espagne; elles sont émises pour son compte par la maison les fils de Guilhou jeune, scs banquiers A Paris.

Socirlé liu Clieniiia 4e #évllle-Xér^s-€zWllSi

BASK LÉGALR. — Lcs slatuts dc !□ Soclété ont été approu­vés, et sa constitutiou eu Société anonyme autorisée par décret de la reine d'Espagne, en date dn 4 mar* 1857.

CAMTAL SOCIAL. — Actious. 23,750,000 fr.Obligations, 11,875,000 ^

| j e C?keMln.IRDICATIOIIS SOmiAlHES.

LOXGDBUR. — 138 kilomètres, dont 101 sont, dès A pré­sent, exploités; les 34 kilomètres restant seront ouverts au mois de juillet prochain.

rniNciPAvx cERTKBS DESSERVIS. — Sévillc, 120,000 Amcs Xérès, 65,000; San Fernando, 25.000; Cadix, 70,000.

PAECOURS ET VOISIXACE IMMÉDIAT. — 000,000 Ami'S.BASSIN DE RATONNEMBNT. — 2,200,000 AmCS.Tout le monde sait que, en Franrâ, les chemins de fer

les plus produrlifs sont ceux qui ronslitiienl la grande ligne dont le point de départ est A Lille et le terme A Marseille ; chemin du Nord, chemin de Paris à Lyon, chemin de Lyon A la Méditerranée.

Sous l’influence d&t mêmes causes, la ligne analogue de l’Espagne part dc Bayonnc, aboutit à Cadix.

Cadix est le gwnd port de mer de l'Espagne, il a la même importance que Triestc pour l’Autriche et Marseille pour la France. Il résulte, en effet, des documents ofUciels que les droits d’importation perçus aux ports dc Cadix cl de Avilie représentent le quart des recettes des douanes espa­gnoles.

U fbemin de Séville à Cadix dessert cette belle province d ’Andalousie si reuummée par la richesse de son sol et la variété de ses produits.

Il proüte de tout le trafic accumulé dans le parcours des section* qui le p rÀ ^ en t.

Enûn, il est appelé A recevoir une grande partie du trafic

aui viendra de l'important embranchement de Cordoue à renade etàM alaga.cl la tolaLfé de celui que doit donner rembranrhement hieii plus important encore de Séville à

Nérida, à travers l'E-<lrainadure.

1 8 ^ , qu’il a donné 40.910 fr., c'est-à-dire le moyenne deà chemins de fer espagnols

Si l’on considère, -en outre de ces -

Il résulte, en effet, de la dernière slalistique l " •• ■ nmô 40.910 f r . , .................... *

- - rccs deloc^d, le* grands éléments'de trafic général qu'asso chemin de Séville A Cadix sa position de grand abouti de toute l'Espagne sur l’Océan, oiine s étonnera p toute» les études faites jusqu'ici sur le trafic do cetlj

sanca dea liircs. ' , • . ^ . .1La répartition aura lieu, au promla des detnandes, dàns

le* dix jour* qui suivront là çloture de Ip.xouscription. .Tnule demande non acèompagnée du premier versement

de 200 fr. sera considérée tomme non avenue.La sofiwription sera oiltoHe du 12 au 25 avril.Ou souMrit A Pftri*. chei HM. les fils de Guilhou jeune.

banquiers. 50, rue de Provence; A M adrid ,! "au siège de la Compagnie générale de Crédit

^ " ^ n s ^sVilles où la Banque de France a des succursales,, vei-ser au crédit de MU. les fils de Guilhou jeune.

a cco rd en t A eu attendre un revenu de 13 A 14 ‘ <fi- cl de 20 A 2m m iùrtu-pnnéw _

es années suivantes.D*MMe smrsifitle.

La Co m pa g n ie g é n é r a l e d e C r é d it e n E s p a g n e , au capital de 35 millions de francs, agissant en sa qualité de société anonyiue et dans les termes de ses statuts, — d’une part;

Et MM. LES FILS DE Guiuiou JEUNE, banquiore A Paris, — d 'autre part;

Garantis.sent aux souscripteurs do* action* proposées :1“ Un minimum d’inlérôt et dividende ; •

D'somcst. de 1860, do fr. 15, soit 6 0/0 l'an.Pour raunée 1861, de 35, — 7 0/0

_ 1862, de1865, de

— 1864, dc_ 1865, de

Les actionnaires auront donc

— 7 0/0 —— 8 0/0 — — ‘8 0/0 — — 8 0/0 —

louché le 1" janvier 1866, fr. 205 raoy. 7.45 0/0;2'' Le remboursement au pair de 500 fr. l’une, en jan ­

vier 1866, du moulant des actions garanties, dans le cas où la totalité des bénéfices réalisés par la Compagnie du chemin de fer ii’aur.’iil pas couvert les dividendes ci-dessus énoncés. . • ,

l.e droit du porteur devra, sous peine de déchéance, s'exercer dans les trois premiers mois de 1866, terme de

* ' 11 résulte de celte disposition qu'A celte époque, le sous­cripteur, en outre de 203 fr. qu’il aura touchés, au mum, se trouvera dans cette allernalivè, ou denntreMfanii^; le capital qu’il aura fourni ou de rester déflniliTfiliièni pourvu d’un titre de premier ordre. ' '

Les revenus ci-dessus sont garantis comme minimiim, sans préjudice des excédans, lesquels appartiendront en entier aux poricure de litres.

Dans le cas où une fusion avec d 'autres Compagnies de rhomins de fer serait contractée|par la Compagnie de Sévilic-Xérè.s-Cadix,Ics porlèUred’aètions qui renonceraient à jouir des avantages de cette fuMun auraient également la faculté de réclamer des parties garantes le remboursement au pair de leurs actions; ce droit devra s’exercer dans les trois mois, terme de rigueur, qui suivront ta fusiou deve­nue définitive.

RéoM mé.!• Intérêt A 7.45 0.0 l’an, en moyenne, garanti jusqu’au

1" janvier 1866;^ Remboursement du capital garanti;3" Probabilité d’un revenu de 20 A 25 0/0:4° La situation du chemin de Séville-Xérè.s-fZadix est

exceptionnelle; il est appelé A devenir le Lyim-Méditerranée de l’Espagne :

5* En exploitation depuis le 1” mars, il a traversé la pé­riode critique de la construction; sou avenir repose sur des faits acquis et non sur des évaluations discutables,

4 e 1 » M M i i e r t |» M « n * .

Les actions seront payables, savoir :200 fr. en souscrivant ;1 50fr. le 1 5 mai;150 fr. le 15 juin. . . 1'Sous déduction, au profit du porteur, de l’inlérél A 6

des versemenis etfcclué*, depuis la date dcsdils verseraefils jusqu'au 1" juillet prochain, époque où commence là jouis-

PAR un PASSANT.

Sulitl ! hpurcute Miivrraiue|)u plus bi'*.u.de* déu*rlciueDl^, ,

qii'honorcnt éôiKiné une reine es eraiids booimes, les menninenls ;

Qu'

ce sol faérolqne.Ce laldeau moderne et gothique

Que lo cité présente à l’oeil owervatenr,Lire de ton livre une page,T ’rsplorrr, et t’offrir l’hommnge !D passant dans les murs le doit le voyageur.Quelques Gaulois, sons Belldvèir, .Fnteiil les premiers babilanls;Tu fus bonne, lu fus mauvaise,Selon les bouiiiics et les temps.Le Tbéraiu, qui meut les usines,

. Purle ses ondes argeuliues Sur des bords, en dc* murs qu’il anime en loul lieu,

El par un commerce îiieessant,Le wagon, pour luoî Irop pressant,

De Paris vote & toi sur des ailes de feu.

M ais dans le* m ars , A ville an liq iie)Ge que j’ai le p lus adm iré .C’est celle église m agnifique OA Ion prélat est vénéré ;G’rs l ilaus son iurpoxanle im age ^Celle rcinnie «loni le eourage

Autrefois le sAuva d'iip terrible ennemi ;C’est dans sa studieuse vie.Celle feutinB d’un beau génie (l) ^

Qui par ses ehanis, sdn cœur, fait la gloire aujonrd hni.QuVtle est M ie, la caihédrele.Que d e tn a je s lé , d e s p le n d e u r , b l c e lle p o m p e q u ’e liti é la le P o u r fé lt-r le C h r is t r é d e iu p tc i i r (3) ! î! ’r v u ic i, J e l ’a im e , j ’y p r i e ;Mais j’entends le wngon qui crie.

C'est t'henre, il vient, il Inme,' H siffle, ü va partir c Adieu, cher Beauvais, je te quitte ;Je rv lourue su lieu q ue j ’habite,

"Et de itoi pnurloiiglcmpA‘J*et*|«rt« lin sonveulr.

Bcanvsis, 8 a v ril 1860.Vicioa OPFUÔY, de Daniniarliu,

lli M adame Des V orgncs.

(2) Le jo u r d e P iq u es .

CRÉDIT DÉPIDTËHËNTAL. GLIIIDON ËT CM(CRKDIT DE l/DIÙE f«at4 é en tSM)«

L’Oise parcourant ta province,Purie à U Seine ses bateaux ;D.1US tou cercle, le duc, le prince Ont de grands parcs et des châteaux. Noyon, Sentis, Gompiègne,Clermonl sur te rooiit qui l’enseigne.

Saluent Ion diadème orné de lenra fleurons ; Céiès fertilise les plaines,Ç o^né enrichit tes domaines,

jiU les grands'nc

J ’ai vu ion palais de justice.Où des évéqucs autrefois,g ueleur roaiu ebatie ou tiénisse,

luient puissants romntv des rois;De tes pauvres j’ai vu l’asib*.Tes places, tou bétel dc ville,: le froulou domine nîi immenDont le froulou domine nîi immense parvis ; J ’ai V41 les maisons de pl.>i ance

liWtelicrs de souffrance.Qui sont comme un enfer auprès d’un paradis.

A partir du I" janvier 1860, le Crédit déinirlemenlal re-1 çoit de* dépôts aux eonditions stiivanles : ■

Dépôts avec retrait A volonté 3 '/••Pour le* déjiôl* de trois mois 4 7..Four tes dépôts de six mois Pour les dépôts d’un au 6 7 -

S ’a d r w j c r , à Senlis, à M. T o u b n b iib , direcleur.

L’///u9rra/ioii tonlioni dans son numéro du 7 avril ; llisinire dé lu semaine. — Correspundançe de l’iHwfro

Hoh. — Courrier de Parl*.-^ Lo nouveau royaume d Italie.— Histoire du Consulat cl de l'Empire, par M. Thiere. — La liberté en France, par M. Jule* de Lasleyno.—Chronique musicale. — Savoie : Vallto de Chajnouni, CharabérŸ. An­necy. u - Le Siébot ‘dff Pefgolèse (mùiwllô ’WsIotmw)» — Descente de Croix, par Daniel de Volltrro.—Les chanleurs de Pàqoe* dans le Vorariberç (Tyrol).---Bibllmiraphie : femmes chasseresses, par M. le comte d Houdetol.—Publi calions nouvelles.— Courrier de l’élranger.-pl'raiicc nillo- resque : Procession de la Passion à Billom (Puy-de-Dôme).— Expédition du Maroc : Le général Gasscl. — Bethoionl, ancien bâtonnier de lH>rdr*‘ <'»-« avnrais.

- J’ai vu la forteresse ancienne filonirani sa ruine h l'écarl,Tes Gobelins, Io n Saiot--Elirnne Où brillent des chefs-d’œuvre d’art, Saiul-Lucieu d’anlique mémoire.Qui daus sou splendide oratoire

Vit grandir'Alatarin, Bussuct, Richelieu,Celle chapcilr au dessin rare (l),Ce iiionl des Anges, Saint-Luzare.

Où vécut Angndrème, où tout parle de Dieu.J'ai VII te* fabriques, tr* rues.Tes bazars au riche appareil,.Tes faulmurgs, tes maisons pointues •Qui n’ont qu’un pignon at; svlril| - -

•'»— ’-*S'ton*mu»«eaimédusagr, \Et cr* arbres au doux ombrage

Dont trs longs boulevards soul si bien décorés,Et CCS vallons dont la verdnre Forme au piintrrop* celte cefninre

Qui nous montre de fleurs tes remparts entourés.Le Propriélaire-Cérant, REGNIER

(I) La nouvelle chapelle d u Sacré-C œ ur.

Elude d

Fon

des avocats.Sunnl/?me»( : Mélancolie.— Gazelle du Palais.— Steeple, l

chaae de la Marche.— I.a femino arlisic.— Une cscnrsnni à I Téloiiati.—PclMtm^ musulmapcs.— Ly*ts (reiiuin).—Allé-1 gorio dc la guerre d ’Italie. — Nécrologie : Sauvageol, cou-1 scrvaleur honoraire des Musée* Impériaux. — Echecs. Correspontlance. — Annonces et avis divers.

Gravures : Entrée des troupe* françaises à’ Chambéry. — I Débarquement des Iroupe* piéraonlaise* A Ltvourne. — I Entrée du prince de Savole-Carignan A Flori*nce.—Leclure | de la réponse de l’Empereur A la dépulallon savoisienne, I dans un café de Chambéry.— La vallée de Chamoum.—La 1 ville de Chambéry. — U ville d'Annecy. — RéçepUon des I troupes françaises dans la gare de Chambéry. — Descente I de Croix, d'après le tableau de Daniel de Vollerre. ■— l.es Iuv \,i uia, u uifion iw <•». ................. '"'rr V» • Ichanteurs de Pâques dans le Vorariberg (Tvrol). — P r o ^ - 1 sion de la Passion A Billom ^Puy-de-Dôme^ ■ Le général |Gasset. — U..Betbmont. .

SuppUmenl : Mélancolie. — Télonan : Vne g ÿ é ra le dt I TélouM. —Vue du camp espagnol. — La poudnèto de Te-1 touan.— La casbah de Tôlouan.— Feinitires musulmanes : I Un marché d’esclave*; une cérémonie funèbre. — Allégorie I de la guerre d ’Italie. — a ta rle s Sauvageol. — Echecs. — I Rébus.

l'îxploi

S’adi A Ermï maison

Expêdilion franc de port jusqu 'à destination.

T a o v a s K A i / x

L A Y E T T E S .

C A C H E M IR E S F R A N Ç A IS

U ne (lu llac. S."», ut ili ie dc l’L’niversitè. Ma, F.'tiilipurg Saint ncrm u iii, à Paris.

l> f» P rn n rié tn iio « tie oitt é tnblisH m icni no ti» priniM i lo -ra n K lo r n o s lecloum q n il» o u i c ré é iiiM B rvice 8|iéc ia j p o u r la p ro o in o e . lU c n v o ic n l Z ou, U» « c lu m lillo p s FR A N C O c l lo iile e i^ i lU ic n au -dessus d e a s FRA N CS E S T A F F R A N C H IE p o u r T O U T E S LE S L O C A LITE S D E L A FR A N C E . L es p rix inaritiiés e n cliilTres c o n n u s , so n t 1rs m êm es p o u r l a r i s el la I ro v iu ce . C elle innw on n n d e

............... . . . . . le siilidaiiié avec CCS iinliislriels aiitholaiil* qui font des tléballage* dan* diverse* contrées 80118 le nom do P l \ 1 1 l ~ S A I N l~R i i c c t i r s i i l e n i d e rep ié sen la iits d an s au c tin e v ille de F ran ce ; e lle r e p l ie d o n c fou le so lid a iiié t . ------------------- ---, --------- . « , - i 1 1 .T H O M A S i elle les signale A la défiance cl au mépris public. — Un catalogue tlélaillé tics marchandises qui se trouvent tians ses m agasins, est adresse aux personnes qui le dem andent.

TACHES ET BOUTONS „ VISAGE1 e I jA IT A K T É P n É IilQ lJR , selon qu’il est mélangé avec plus ou moins d’eau, détruit ou préviunl loiile nlleliile accidentelle A l’éélat

ou à la pureté du leitil, éphélides (lachr* de rouiweur, *oti, Icniille*, masque de grossesse), hâle, rougeurs, effiorejeances, boutons, rugosités — préserve de* piqûres d’iusecte* ou en neulralise le venin, — donne el coiiierve au visage un teint pur, clair el uni.

Flacon ; 5 fr. — Pari*, CANDES et C*, boulevard Sainl-Denls, 26. — A Senlis, H . PHILIBERT, coitTcur.

A iiiioiirrs tludiciaircs.A r t . i " .

Etude de AI* J ules TIIEMRY, avoué ’a Senlis, rue du Châtel, n- 21.

VENTE SUR LICITATIONe n t m m a je u r e e t m in e u r s .vnmz mMmm

B épmmémweeietSise h Brêct, canlon de Beix;

sa ntCES DE TERBESises an terroir dudit BnÉcv;

En la maison commune de Brégy,El par le ministère de M* G raux, notaire

A ùcy, coiiimi» à cet effet. mm amwT m t * qui pourront être réunis

soit parlieUetneut soit en totalité. L*AdjndicalioD aura lieu le Dimanehe t ix Mai

Î 8G0 . henre de midi.

S ’adresser pour, atoir des renùignemenu :A N* J u le s THEURY, auoitè, demeu­

rant à Senlis, rue du Chàleî, 21, pour­suivant la veille;

2* A M* CIlALMIN, ODoué co-Z/riffluf, d-?- meurant audit Sentis, rue Saint-llilaire, n® 40;

S* Et â M* GRAUX, nofaiV« à Acy, dépo­sitaire des titres et du cahier des charges;

A r t . a .Suivant acle sous signatures privées, fait

triple A ParTs, le trois avril mil huit cent soixante, porhinl cette inenlion : enregistré A P ans, le r n j v A t m r P 128, ^ 6 A 8 , reçu 7 francs 70 centimes, décime compris, signé Bracliet, entre M. Ernest-Frédéric-Jean Cau- th a rd , négociant, demeurant A Paris-Bali- gnolles, rue Bénard, n* 8 , et deux comman> ditaires dénommés audit acle, il a été formé une ^ i é l é pour la fabrication de l’huile de colza, son épuration et *a vente. Il a été dit : que-cette Société serait en nom collectif A l'é­gard dc M. Cauchard, et en commandite h r ^ a r d des autres associés; que b raison et b signature sociales seraient Cauchard et C*; que M. Cauchard ne pourrait faire usa^e de la signature sociale que pour les besoins el affaires de la ^ i é t é ; que M. Cauchard ne pourrait souscrire aucun billot, reconnaissance

ni aucun engagement A term e; que la durée dc I» Sociéle serait de huit ans el trois mois qui ont commencé le premier avril mil huitccul soixante, et finiront le premier juillet mil

litV mais que si lahuit cent soixante-huit; mais aue si la durée du bail de l’usine où doit se faire la fabrica­tion venait Aétie prolongée d’un com;nun ac­cord entre les p-irties, ladite Société existerait de plein droit pemjàut tout ^e temps que sub­sisterait celte prolongation de bail; gue le s i^ e de la SociétÉMUmit A Rariq, quartier des Balignolles, ruô ^ a r d , n* 8 ; qu’il yauraituÂë s u c e n ^ ie afl9^ftlifl *du Roi, toninnioe

IV

A n n o n c e s D i v e r s e s .

A C É D E R A L 'AM IABLE, Par suite de décis^

Pour entrer en jouissance do suite,EXPLOITATION AÜRIIIOIËde Senlis (OitolVifaA H. Cauchard appor­tait dans la Sfwété : prem ièrement, le droit au bail d'une’ usine sise audit lieu do mouliu du Roi; detfiflèmement, et une somme de cinq mille fràilcs en argent; et que les deux commanditaifes apportaient dans la So­ciété. l’on une somme de cinq mille francs en argent, et l'autre une somme do dix mille francs aussi eh argent; que le c.ipital social pourrait élre aogmenté après le premier in­ventaire, ainsi qu'il a été stipulé audit acte ; que M. ^ u ch a rd gérerait cl administrerait la Société comme il a été dit ci-dessus.

P o u r r t lra l t :Signé : CnitEST CAVciiAnn.

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Maignelû^ (Oi»e).

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i 'a h r iq tw .V Ituiieo^ riin d e t’Hù|»ilat, 4o. — D ép M j ilana tuulLM te» ville» d e f « l i i « 5 — A Ue.vMvi.iv,H. t.d ta g le t, r«ie Saiiil-S ibvV iir; — n » .M. PiitllS«r(, c o iÿeu r-par/un ieuT , riHue d e la t la lle , |

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P»r l'cniidui du ce cIu i Ikhi luut .(.é id, luvi)a ewn*tii»lion disuar-lt ul'Ci lu» pursonnes Btl. iiilis de dics ncrxciiscs do l usloiiucct dus iidc.-tii '

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l i e r , m enm „neul, 1rs Jeux anires lier» iiavaliles en » • «m m m .i.'» , .h S t n m c tn r n ix têb è t.- - - - • -•* deeienitmient gratuitemeiil prnpriâtairee. — (.es terres

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T A j f t L E A t J D E S O F F R E Sg ft i im é e i e n e o m fm m llé i te V^êt^ U » a d e t a iM t d » 3 3 ta< t i * t .

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OFFRES.

C o n ù n o n e d e Ç oyc.

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E d w ^ H ô ^ r ib a o U el’sir i Edmiia<rABUub(»>l»aroa- 1

SJbis^ ôet, A jl^ d re s .. lLes mêmes, la-commune de

Coyeet Tardif (iea& ^radf çois). ■ " \

Edward. Marjoribaoks ef sir Edmood ÂDlrobos, baron* Del, banqaiers b Londres.

Les.nçémes, Caœe (Claade>. Fruçois*'Nicola& e t Jac-' qâé$y,'à Coye,' ta commune de C ^ e .

-

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! . .Edwsffd Uaijbribanks e t]

d r Edmond Antrobus. / baronnet, banquiers : Londres.

25242526 27

.28 295051 ‘

H l'A st(>M <N !a3>«âqBiers & L o sm T *

(Les mêmes et Andryane j (G a n g n lp b e -P b ilip p e - V-Alcxandre), k Paris.

Edw a^'Uarjoribanks et sir ‘ Edmond Antrobns, baron­

net, b a n q u i^ k Londres.L'es mêmes.

.591 -Forêt de Coye., Rois.h . a. c .

99 61h . « .

9 55b . t. c.

1 09 16td. id. Route. 0 16 1 38 . 1 5441 id. • “ Bois. » D 7 50 . -7 50

id. LaCroixduLude. ■ 'id . 0 57 6 01 6 58

id. id. Route. i 40 * 4 00 5 40id. id. Bois. 1 68 5 33 7 0!id. id. id. 17 59 5 37 22 96

40 ,5 9 ,4 5 id. Route. 1 SI » s 1 81

id. id. Bois. 1 54 51 s u 1 54 51id. id. Roule. 1 65 )> 0 1 65id. id. Bols. 98 90 n » 98 90id. id. - Route. 2 81 » u 2 813 Forêt de Coye. jlB o is . 57 11 1 34 58 45

id. id. ■ Roule. 2 26 B B 2 26id. id. B<ms.

^fCbate.12 44 a a ^14 44

id. id. 0 56- » » G 56id. iii. Bots. 5 55 0 19 5 74id. id. Route. 0 95 0 14 1 07id. id. Bois. 13 62 1 09 14 71id. id. Route. 1 26 .0 14 1 40id. id. Bois. 14 40 1 46 15 92id. id. id. 2 89 u a 2 89

154,155, 156. 158, La Troublerie. Pré, 4 29 l 59 5 88

159id. id. id. 1 79 » B 1 79id. id. id. 4 91 U B 4 91id. id. id. 15 02 » U 15 02

153 Côte de la Trou- Bois. 2 18 B B 2 18id. blerie. Roule. 0 58 » B 0 58id. id. Bois. 3 01 2 04 .5 05id. id. Route. 0 74 B B 0 74id. j id. Bois. 51 39 7 43 38 82id. 1 id. Roule. 4 01 B B 4 01

«'.oiuitftune de Lam orlaye.

'Edward Marjoribanks et sir Edmond Antrobos, baron- net, banquiers k Londres*

19iid.id.id.id.id.id.id.id.id.

Foréi de Cliaolilly Bois Sainl-Denis.

id. id. iil. id. id. id. id. id.

C oiaoiunc de (.haiitilly

I Edward Marjoribanks et sir Edmond Antrobus.'baron- net, banquiers k Londres.

1 0 I1112 15 U .

Les I

Forêt de Cbaniilly id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. id.

Bois. 1 05 „ 8 1 03id . 1 29 » U 1 29id . 1 25 B B 1 25i d . 11 65 » J, 11 65i d . 35 84 » B 53 84i d . - 1 97 B B 1 97i d . 1 52 58 B B 1 52 58

Route. 5 17 n a 5 17Bois. 1 08 67 » » 1 08 67

Route. 1 51 u 1 51

f - -Bois. 40 32 » 40 32

Route. 1 20 B » 1 20Bois. 49 51 B B 49 51

Roule. 23 90 B B 25 90Bois. 1 45 54 B B 1 45 54

Route. 1 17 B B 1 17Bois. 77 17 B 77 17

Roule. 1 23 U 1 23Bois. 56 14 4 81 60 93

Route. 6 36 5 89 10 25Bois. 1 52 87 6 24 1 59 11

Roule. 1 07 B » 1 07Bois. 12 17 B a 12 17

Route. 2 39 8 B 2 59

a Cî |* ^ s

HOMS' D E S PR O PR IÉT A IRES

TeU qu’ils sont inscrils aux I ,éels.râles.

^61718 19 20- 21 22 25242526 27

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Edw ard^arjoribanks c l sir Edmnnd Antrobus. baron­net, banquiers à Londres.

Les mêmes.

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1 C ici..

B Forêt deCbantiUy iiL

Bois.Rouie.

1 « a 5 5 : s s f e ?S 02 i S »

■-1 i

id. Bois. » 88 » 9V . 55^29' 4iiL Roule. 0 83 > , 0 85 i

1 id. a id. Bois. ^ # ; .3 s i 45 35 1id. Roule. ;,-i 07 f 1 07 1id. Biois, ts œ i > 53 05 1

1 id id. Route. a- 91 à . 1 e t . 4l id. j5 id. Bois. S7 14 > » 6T-14 1

id. Boute. 1 20 > » . 1. 20 .id. Bois. BTl . > 53 '71 iid. Roule. <8 85 > i. 6 iS 5 tid. ^ i a . 8A 89 > • 24 4 » %

1 id. Canal. *1 91 » » JI.-; 1 . 9 f ■ 1 ■

Eilward Marjoribanks et sir 1 Ëdmuntl Antrobus, baro ii-1 net, banquiers k Londres. I

Les mêmes.et Tesson (Jean- Nicolas), k Gouvieux.

Edward ïjarjoribanks et sir Edmund Antrobus, baronnet, banquiers k Londres.

"CooMiiuRC d e G o iiv icu x .

] Edward Marjoribanks et s ir] ( Edmund Antrobus, baron-I ( net, banquiers k Londres, I

I Edward Marjoribanks et sir '/ Edmund Antrobus, barou- ; net, banquiers k Londres.

Les mêmes.

92

j j Edward .Marjoribanks et sir I ' Edmund .Antrobus, baron­

net, banquiers k Londres. ‘

52 \Ü5- ^ w e f d Marjoribanks-ot-sir54 > Edmund Antrobus. baron-

1 net, banquiers â Londres.55 ;

46474849505152535657 (58 I Edward Marjoribanks et sir59 \ Edmnnd Antrobus. baron-60 / net, banquiers k Londres.

60b' '61 62

62b'*|656 46566 67

a Proche les Bois Bourilloo.

Bois. 2 8 ^ 1 97 3 (r8 4

625, 666, 668, 667,

665

La Ferme des Aigles.

id. 62 97 ■ » B 82 97

665 Proche les Bois Bnnrillon,

id. 1 e i 53 B .B 1 01 55

660, 659, 658, 657, 648, 649, 650, 651,

652

id. . id. 2 07 72 » '» ’ 2 07 72

624 lafermedesÂigles id r 85 03 » ^ 0 3B Proche M.ChaIoL ' ïd. 8; 7 5 » rS 75646 id. '. i d . 9 01 ■ % » -9 01

2157 La Canardière. Canal avec franc bord. *

"1 0 1 * • B 1 0 1

2136 id. id. ‘4 00 *B B 4 OO2135 id. id. 4 09. B B - 4 09

2129, 2154 id. Pré, canal. ■ 9 15 B » 9 15

1189 Carré Carpentier. Rois, route. ». >1188, 1190 id. Bots. . 4 3 2 c i »

1182 id. ' id. SI 58 » B 21 581180 id. id. 15 75 • • • B' » 15 75

1174. 1172, 1170

id. et la Fosse aux Bouleaux.

id. 53 17 B » 53 17

Les mêmes. "1 .27, 28 I Le Bosquet TAnge

id. lBois.

id.31 75 44 05

51 75 44 05

Com m une de La Chapelle-en-SerFal.[ F 1 Forêt de Coye. Bois. 2 19 94 » B 2 19 94\ id. id. id. id. 58 00 B B 58 00

Les mêmes. < id. id. La Queue de la Route. 1 98 » B 1 98^1 Chapelle.V id. id. W. Bois. 36 61 B B 56 61

C om m une d’Orry-la-ViUe.

Les tnémc.s.

A 5 b'orél de Coye.1 id." id. Le Petit Bois.' id. id. id.

id. id. id.'id. id. id.id. id. id..id. id. id.id. id. id.id. 4 .5 Xe Débat.id. id. id.id. id. id.‘

/ id. id. id.\ id. id. id.] id. id. Le Petit Bois.1 id. id. Bois de la Régale.1 id. id. id.i id. id. La Loge Tiliy.1 id. id. Bois de la Régale.1 id. id. id.I id. id. ' id.

id. id. id.id. id. La Petite Borne.

1 id. id. Le Gros Cor­' id. id. nouiller. -

Pour extrait certifié conforme :

Bois. 20 57 » B 20 57Roule. 0 81 B B 0 81 .Bois. 2 2 85 '» » 22 85

Roule. 0 23 B B 0 23 'Bois, 0 6 6 B .B D 66

id. 21 10 B » 21 10Roule. 2 5 4 B » 2 54Bois. 1 53 37 B » 1 55 5?

Route. 2 61 B » 2 61Bois. 33 8i 5 95 37 76

Route. 1 05 1 09 . 2 12Bois, 9^99 4 23 14 22

id. 0 09 2 76 2 85id. B B ü 22 0 22

Route. 1 57 B B 1 57Bois. 45 70 41 71 55 41

id. B » 0 29 0 29td. 3 9 5 69 B B 3 95 69

Roule. 5 54 0 a 5 54Bois. 3^14 27 B B 3 14 27

Route. 4 19 B B 4 19Bois. 2 1 2 83 B » 2 12 83

id. S 79 6 6 B B 2 79 66-Route, 2 33 B B 2 33

Signé : F R È n » .Avoué, M(md<Aoir» do la'Con^agnie, \