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Veille sur l’actualité de l’Agriculture Marocaine

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www.inra.org.ma

Au Sommaire Du 19/11/2012 au 25/11/2012 Date de parution

Titre

Source Page

25/11/2012 Le palmier dattier à Figuig Comment sauvegarder ce précieux capital ?

lematin.ma 5

25/11/2015 Autrefois royaume des dattes, le Maroc veut retrouver ce lustre d'antan

aufaitmaroc.com 7

23/11/2012 Aviculture : Dawajine souffle sa 15ème bougie

aujourdhui.ma 9

23/11/2012 La 1ère Foire régionale des produits du terroir du 28 novembre au 2 décembre à Fès

menara.ma 11

23/11/2012 Suite au nouveau décret afférent à la circulation et au contrôle de la salubrité des viandes foraines La filière des viandes rouges entame sa restructuration

lopinion.ma 13

23/11/2012 Maroc vert, une nouvelle impulsion

lobservateurdumaroc.info 15

23/11/2012 Agrumes Production en baisse dans toute la Méditerranée

leconomiste.com 16

23/11/2012 Maroc : SM Mohammed VI soutient le Plan Maroc Vert

biladi.ma 18

23/11/2012 Rapport de la BAD sur la sécurité alimentaire : Dépendance et vulnérabilité du Maroc face aux

libe.ma 19

2

importations de céréales

22/11/2012 Agroalimentaire: Comment exporter aux Etats-Unis

leconomiste.com 21

22/11/2012 "Le Plan Maroc Vert" obéit à une approche globale visant à assurer le développement durable

menara.ma 23

22/11/2012 L'agriculture solidaire, au centre des projets du Plan Maroc Vert réalisés dans la province de Rhamna

menara.ma 25

22/11/2012 La Caravane OCP boucle sa tournée par l’étape de Had Kourt

aujourdhui.ma 27

22/11/2012 Production de dattes : la filière sort progressivement de sa léthargie

lavieeco.com 28

22/11/2012 Le salon "DAWAJINE" du 27 au 29 novembre à Casablanca

aujourdhui.ma 30

22/11/2012 Témoignage La ferme pilote «Jnane Rhamna», un modèle d’utilisation des terres collectives

lematin.ma 31

21/11/2012 Les viandes rouges enfin «libérées»

lesechos.ma 32

21/11/2012 "OCP Céréales 2012 La tournée prend fin

aufaitmaroc.com 33

21/11/2012 Hammou Ouhelli : «Le décret redynamise l’investissement dans la filière»

aujourdhui.ma 34

21/11/2012 Le plan Akhannouch pour restructurer la filière des viandes rouges

aujourdhui.ma 36

21/11/2012 1,62MMDH et 112 projets pour l'agriculture solidaire

lesechos.ma 37

21/11/2012 Viandes : les professionnels voient rouge

lesoir-echos.com 38

20/11/2012 Une foire régionale des produits de terroir à Casablanca

aujourdhui.ma 40

20/11/2012 Le redressement productif est lancé

lesechos.ma 41

20/11/2012 L’optimisme est de mise dans le sud

lesechos.ma 44

20/11/2012 Les américains fans de la clémentine marocaine

lesechos.ma 46

20/11/2012 La Fondation Crédit Agricole du Maroc pour le Développement Durable primé à Genève

lnt.ma 47

3

20/11/2012 Nouveau décret relatif aux viandes rouges, "un tournant décisif"

menara.ma 48

20/11/2012 Projets solidaires en 2013

lobservateurdumaroc.info 49

20/11/2012 La clémentine marocaine prend la vedette dans l'Etat américain de Delaware

menara.ma 50

20/11/2012 Plan Maroc Vert: 112 projets solidaires programmés à partir de 2013

menara.ma 52

20/11/2012 Zoom sur le Salon avicole 2012

lesoir-echos.com 53

20/11/2012 « Nous sommes dans une situation de stress hydrique »

lesoir-echos.com 54

20/11/2012 Réunion du Comité de la sécurité alimentaire : Participation du Maroc aux travaux de la CEA

libe.ma 57

20/11/2012 Commerce équitable : une douzaine d'opérateurs certifiés "bio équitable" au Maroc

lavieeco.com 58

19/11/2012 Les tomates de la colère

lesoir-echos.com 60

PRESSE ELECTRONIQUE EN LANGUE ARABE

هكتار من الرمان وتجهيز األراضي بنظام الري بالرحامنة1000غرس 25/11/2012

bayanealyaoume.press.ma 62

نونبر الجاري بالدار البيضاء29 و27معرض دولي للدواجن ما بين 24/11/2012

ailmaroc.net 64

معرضا الصويرة وأآادير للفالحيين يعالجان إشكاليات التثمين والتطوير 24/11/2012 والتوازن

ailmaroc.net 65

مؤشرات قوية على مردودية جيدة خالل الموسم .. األمطار األخيرة 23/11/2012 الفالحي

bayanealyaoume.press.ma 66

الواقع واآلفاق.. إنتاج التمور بآرفود 23/11/2012

bayanealyaoume.press.ma 68

نونبر الجاري29 و27بالبيضاء بين » دواجن «معرض 23/11/2012

almassae.ma 69

قافلة المجمع الشريف للفوسفاط تنهي جولتها 23/11/2012

almassae.ma 69

تخفيضات مهمة في أسعار اللحوم الحمراء قريبا باألسواق المغربية 22/11/2012

bayanealyaoume.press.ma 70

عنوان بارز للمشاريع الفالحية المنفذة في إطار .. الفالحة التضامنية 22/11/2012 على مستوى إقليم الرحامنة" المغرب األخضر"مخطط

menara.ma 71

لقاء تحسيسي حول مخطط المغرب االخضر وصندوق التنمية الفالحية 22/11/2012 لتشجيع االستثمارات الفالحية بعمالة المضيق الفنيدق

menara.ma 73

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أخنوش والعنصر يعلنان تحرير نقل اللحوم وتحديث المجازر 21/11/2012

assabah.press.ma 74

المؤمنة الزراعية المساحات رقعة ترفع البحري والصيد الفالحة وزارة 20/11/2012 هكتار ألف 500الى

alalam.ma 76

الجراد يجتاح موريطانيا ويهدد المغرب 20/11/2012

attajdid.ma 76

الزعفران بتالوين في بعده الدوليالدورة السادسة لمهرجان 20/11/2012

sahafat-alyawm.net 77

التساقطات المطرية األخيرة في الجهة الشرقية تبشر بانطالق موسم 20/11/2012 )مسؤول(فالحي جيد

menara.ma 78

لتنمية " تحول حاسم"المرسوم الجديد المتعلق باللحوم الحمراء : أخنوش 20/11/2012 السلسة

menara.ma 79

في المائة60نسبة ملء السدود باللكوس بلغت 19/11/2012

almassae.ma 80

قافلة المجمع الشريف للفوسفاط للحبوب تحل بإقليم الخميسات 19/11/2012

almassae.ma 81

موجة تغيير الكتاب العامين للوزارات تتواصل 19/11/2012أخنوش يبعد الكاتبين العامين للفالحة والصيد وبوليف يبحث عن مدير

عام جديد لصندوق المقاصة

assabah.press.ma 82

مشروعا في إطار تنفيذ مخطط المغرب األخضر المتعلق 112إنجاز 19/11/2012 )وزير(ابتداء من السنة المقبلة بالفالحة التضامنية

menara.ma 83

الصويرة بوادر موسم فالحي جيد بإقليم 19/11/2012

ahdath.info 83

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Le Matin, édition électronique du 25/10/2012 Le palmier dattier à Figuig Comment sauvegarder ce précieux capital ? Par Abdel Khiat Chercheur

Il va falloir replanter 240 000 nouveaux palmiers. La prophétie n’est pas le métier du modélisateur ou du prévisionniste. En revanche, les outils mathématiques appropriés, grâce à des modèles parfois hypersophistiqués, fournissent aux décideurs de la visibilité, liée à la qualité des données confectionnées, et souvent entachées de marges d’erreur relatives à la mauvaise spécification, à l’échantillonnage, aux aléas conjoncturels, accidentels, etc. Des intervalles de confiance sont livrés afin que l’information souhaitée soit dotée d’un seuil de tolérance acceptable pour réduire l’écart entre le modèle élaboré et la réalité attendue. Il s’agit bien de l’ébauche d’un projet, encore à l’état embryonnaire, relatant des éléments de diagnostic de l’état la palmeraie, parfois alarmants, mettant l’accent sur les dysfonctionnements, modélisés sous une approche quantitative, mais simple. J’insistais sur l’effet Bayoud (ndlr : maladie du palmier causée par un champignon), mais d’autres aggravent aussi fortement la dépréciation de l’oasis, le but était de sensibiliser les acteurs, avec un modèle sur la régression de la palmeraie et l’autre sur la plantation et le reboisement : comment atteindre 400 000 palmiers (dont 160 000 déjà existant), avec quel rythme dynamique annuel et à quel horizon ? Et écrire une nouvelle page dans cette encyclopédie modeste à géométrie variable. Il va falloir replanter 240 000 nouveaux palmiers : redensifier l’intérieur de la palmeraie, suite à son implosion, puis entamer l’extension à sa périphérie et procéder à l’explosion du verdoyant dans le cadre du développement durable et du Plan Maroc vert, ainsi que dans le cadre des soutiens et des actions menés par l’Europe et la Méditerranée du Sud, en particulier pour certaines zones reculées, mais atypiques. Nos illustrations quantitatives auraient pu être plus personnalisées, par variétés de dattes, par ksar, par interactions multifactorielles, etc., car le bayoud n’est pas «démocrate», il est aveugle ! il attaque plus intensément certaines variétés et il est plus indulgent avec d’autres. Les modèles mathématiques sur le calcul actuariel, pour ramener le futur vers le présent, les modèles liés aux ressources renouvelables et non renouvelables, appliqués dans l’extraction du pétrole et aussi dans la gestion des forêts : les taux optimaux pour le reboisement, la règle

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d’or d’Hotelling, l’optimisation Hamiltonienne reposant sur la maximisation de certaines fonctions «objectives» sous des contraintes non linéaires et de transversalité, exprimées par la demande parfois intense, par la particularité de certains produits ou la structure de certains types de marchés monopolistiques, oligopolistiques ou de concurrence pure et parfaite, régis par les lois de l’offre et de la demande appropriées. L’objectif était de montrer et de démontrer que l’outil numérique peut révéler le danger, vu les symptômes préliminaires, et nous orienter vers une trajectoire de l’excellence pour pouvoir traiter scientifiquement la plantation inscrite dans un processus à étapes séquentielles en amont : pépinière, école de formation, technique in vitro d’Aziza et d’autres variétés locales, le rythme et la quantité à planter, comment rationaliser l’irrigation, sujet phare du développement durable, et, en aval, comment contribuer à créer le bonheur de la population locale en créant l’emploi pour sauver la palmeraie et éviter l’immigration préjudiciable pour l’oasis, produire, industrialiser et exporter pour répondre à un marché au pied de l’Europe, ce qui finira par créer et développer la richesse, la croissance et inscrire la palmeraie dans un cercle vertueux, avec une forte valeur ajoutée de l’industrie agroalimentaire de nos spécifiques dattes. Il s’agit d’une feuille de route, et d’un schéma directeur à développer et à consolider pour passer à l’étape opérationnelle, avec des actions conjuguées entre acteurs potentiels : locaux, associatifs, institutionnels, coopératives, aides européennes, etc., nécessitant des subventions pécuniaires, logistiques, des compétences ad hoc, le suivi, afin de créer de l’emploi (105 postes : 1 cadre, 3 techniciens, 1 secrétaire et 100 agents agriculteurs), avec une enveloppe de 2,7 millions de DH/an pour sauver la palmeraie, qui est pour le moment un jardin répondant à l’autosuffisance, et faire de Figuig une nouvelle école d’expérimentation et de réussite et, particulièrement, un atelier de production et d’exportation dans un horizon proche. Nous avons été touchés par la mobilisation, la serviabilité et la sensibilité de plusieurs de nos hauts cadres et personnalités médiatiques, entre autres, le Pr Machraoui, le Pr Moussaoui, le Pr Harradji, le Pr Khiati et tous les autres, ainsi que par les membres du conseil général de la Seine-Saint-Denis, l’Agence de l’Oriental, la municipalité de Figuig et la Fédération des associations de Figuig en France. Leur sensibilité et leur conscience à l’égard de la palmeraie, ainsi que l’engagement de tous les acteurs à corriger ensemble la physionomie de Figuig, en lui dessinant un destin favorable et durable à la hauteur de nos espoirs. En conclusion, retenons ceci : «gouverner, c’est prévoir, mais au Maroc, c’est pleuvoir, suite à la corrélation du PIB avec les données pluviométriques, en particulier à Figuig : c’est voir (diagnostiquer), concevoir (inventer un nouveau logiciel pour gérer et repenser la palmeraie et ses difficultés) et agir par devoir», ainsi serait étendu, assuré et maintenu l’espace vital de la palmeraie. Source : http://www.lematin.ma/journal/-/174522.html

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Au fait Maroc, édition électronique du 25/11/2012 Autrefois royaume des dattes, le Maroc veut retrouver ce lustre d'antan

Activité économique cruciale pour les régions du sud du Maroc, l'industrie de la datte a longtemps vu sa production décroître, minée par la sécheresse et les maladies, mais les autorités du royaume portent l'ambition de lui rendre une partie de son lustre d'antan.

Autrefois sur le podium des pays producteurs de dattes, le Maroc n'est plus à ce jour que le 8e, loin de l'Egypte, l'Arabie saoudite et l'Irak, avec 110.000 tonnes récoltés lors de la campagne 2011-12.

Les principaux coupables sont connus: la sécheresse et les maladies, qui ont touché des millions de palmiers dattiers selon des experts, faisant passer la superficie des oasis de 85.000 hectares au milieu du XXe siècle à environ 44.000 hectares seulement de nos jours.

Les palmiers dattiers sont présents sur environ un tiers du territoire marocain, selon les derniers chiffres du département de l'Agriculture. Mais, de même source, entre 10 et 15% seulement des dattes produites sont "de bonne qualité".

Des millions de palmiers ont disparu "à cause de la sécheresse et de la maladie des champignons" et "entre 30% et 40% des arbres ne produisent pas de dattes", a expliqué le ministre de l'Agriculture Abdelalziz Akhenouch, lors du Salon annuel international qui a réuni mi-novembre à Erfoud, dans le sud-est marocain, près de 200 exposants de pays arabes et asiatiques.

Durant ces journées, la situation du secteur dans le royaume a été l'objet de toutes les attentions: à Erfoud, les palmiers s'étendent à perte de vue le long des 250 km de l'oued Ziz, principale source de vie de cette région qualifiée de "capitale des dattes".

La principale menace pour les palmiers est le "bayoud", un champignon qui provoque un dépérissement rapide de l'arbre.

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Objectif: 160.000 tonnes en 2020

"Nous nous consacrons depuis des années à ce champignon qui a ravagé des millions d'arbres. Il faut des palmiers capables de résister naturellement à ce fléau", affirme Mohamed Bedraoui, le directeur de l'Institut national de la recherche agronomique.

"Lutter contre le champignon doit se traduire par une amélioration de l'espèce pour avoir, en fin de compte, des palmiers immunisés", a renchéri Saoud Al Bachir, de l'Agence nationale pour la promotion des oasis et de l'arganier, à l'origine de la fameuse huile d'argan.

Si le Maroc n'est plus que le 8e producteur mondial de dattes, les 110.000 tonnes récoltées lors de la dernière campagne marquent toutefois une légère hausse, de 10%, par rapport à la précédente.

Surtout, dans le cadre du Plan "Maroc vert", le programme agricole global initié par le gouvernement, le royaume affiche son ambition à l'horizon 2020: assurer la plantation de plus de trois millions de palmiers-dattiers --dont un million d'ici 2015--, pour atteindre une production de 160.000 tonnes.

L'impact économique n'est pas négligeable dans les régions concernées. A l'heure actuelle, la valeur produite est de 500 millions de dirhams par an (environ 45 millions d'euros) et elle entre pour moitié dans la formation des revenus agricoles pour un million d'habitants, selon des chiffres officiels.

Près de 90% de la production dattière du Maroc provient de la région de Meknès-Tafilalet, où Erfoud est située, et de celle du Souss Massa-Derâa, dans le sud-ouest du royaume.

AFP

Source : http://www.aufaitmaroc.com/economie/agricultures-et-peches/2012/11/25/autrefois-royaume-des-dattes-le-maroc-veut-retrouver-ce-lustre-dantan_199164.html

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 23/11/2012 Aviculture : Dawajine souffle sa 15ème bougie

Dawajine fêtera bientôt ses 15 ans. Le Salon avicole de Casablanca atteint son âge de maturité et s’ouvre sur l’innovation et le savoir-faire aux professionnels de l’Afrique du Nord et de l’Ouest. Dawajine fêtera bientôt ses 15 ans. Le Salon avicole de Casablanca atteint son âge de maturité et s’ouvre sur l’innovation et le savoir-faire aux professionnels de l’Afrique du Nord et de l’Ouest. Prévu du 27 au 29 novembre à Casablanca, Dawajine 2012 devra accueillir plus de 12.000 visiteurs marocains et étrangers et plusieurs délégations de différents pays d’Afrique. Le visiteur viendra découvrir les nouveautés du secteur exposées par près de 350 participants dont 60 % représentent des sociétés européennes , américaines, africaines et asiatiques. Les volets concernés sont principalement la fabrication d’aliments composés, la transformation et sur-transformation de viandes de volailles et des œufs, des fournisseurs de souches et autres. De même, la Fédération interprofessionnelle du secteur avicole (FISA) consacrera en marge de Dawajine 2012 le meilleur ouvrier et meilleur technicien avicoles. Ce concours qui se tient pour la première fois dans l’histoire du salon vient en estime et en reconnaissance des efforts déployés par le personnel des fermes d’élevage dans le développement de l’aviculture au Maroc. Dotée d’une forte stratégie de développement, l’aviculture achèvera dans les mois qui viennent son premier contrat- programme fixé sur la période 2009-2013. Cette feuille de route vise la mise à niveau de la filière et constitue le cadre de référence de l’action conjointe entre le gouvernement et la FISA. Les principaux objectifs requis furent le renforcement de la contribution du secteur, la promotion de l’investissement et l’amélioration de l’efficience des unités de production pour réduire les coûts de production. Ceci est traduit mensuellement par des chiffres élaborés par la FISA reflétant la réalité du secteur. A fin octobre 2012, le prix de vente moyen de production du poulet de chair départ ferme est fixé à 12,89 dirhams le kilo vif. Le prix de revient moyen était de 14,90 dirhams le kilo vif à fin octobre 2012. S’agissant de la dinde, le prix de vente moyen fut de 18,30 dirhams le kilo vif au moment où le prix de revient moyen était de 17,23 au titre du 10ème mois de l’année. Par ailleurs, l’estimation de la production nationale de poussins chair a marqué un repli de 4,3 % comparativement au même mois de l’année précédente, soit un total de 6.600.000 poussins par semaine.

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Même constat pour la production nationale de poussins type ponte qui a régressé de 26,7 % en glissement annuel pour atteindre 206.000 poussins contre 281.000 poussins par semaine en octobre 2011. Par ailleurs le cumul de production et d’importation de la dinde est estimé à 1.036.000 dindonneaux en octobre 2012, soit 909.000 dindonneaux produits au niveau national et 127.000 dindonneaux importés au titre du 10ème mois de l’année en cours. Notons que l’importation de poussins reproducteurs type, chair s’est accrue durant le mois d’octobre pour marquer une hausse de 78,2 % en glissement annuel, soit 262.000 poussins importés durant ce mois. En outre, 4,17 millions de tonnes de dinde ont été traitées au niveau des abattoirs en progression de 62,2 % par rapport au même mois de l’année 2012. Le tonnage de viandes poulet traitées au niveau des abattoirs, est en hausse de 41,2 % atteignant ainsi un volume de 3,45 millions de tonnes en octobre 2012. Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/economie/aviculture-dawajine-souffle-sa-15eme-bougie-99479.html

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Menara.ma, édition électronique du 23/11/2012 La 1ère Foire régionale des produits du terroir du 28 novembre au 2 décembre à Fès MAP Fès, 23 nov. 2012 (MAP) - La première Foire régionale des produits du terroir se tiendra du 28 novembre au 2 décembre à Fès sur le thème "produits du terroir et leur participation au développement de l'économie locale". Destinée à faire connaitre les produits du terroir, cette foire, organisée par la Direction régionale de l'agriculture, réunira une trentaine d'organisations professionnelles agricoles dont 12 régionales et 18 nationales. Les participants vont exposer une panoplie de produits, notamment le miel, les huiles (huiles d'olive, d'argan et des plantes aromatiques et médicinales), les dattes, les produits de la rose, les olives, les figues, les prunes, le cactus et le couscous. Cette foire régionale constitue une opportunité pour les organisations professionnelles agricoles en vue d'échanger leurs expériences et de commercialiser leurs produits, d'une part, et pour les visiteurs, une occasion de découvrir les produits du terroir et promouvoir le commerce équitable, d'autre part. Dans le cadre de la concrétisation au niveau régional de la stratégie nationale de développement et de promotion des produits du terroir, la Direction régionale de l'agriculture Fès-Boulemane avait lancé en 2010 une étude pour l'identification des produits du terroir de la région, dans l'objectif de l'élaboration d'un plan de leur développement. Cette étude a porté en premier lieu sur l'identification, la caractérisation des produits du terroir, la délimitation des terroirs de leur production et la détermination du niveau d'organisation des acteurs du secteur. La deuxième phase a concerné l'analyse des chaînes de valeur des principaux produits du terroir, avant l'élaboration d'un plan régional de développement de ce secteur, assorti d'un plan de mise en œuvre. Les résultats de l'étude ont permis de dégager 22 produits émergeants suivant des différenciations pédoclimatiques, socioculturelles et géographiques de la région, dont 4 produits dans la préfecture de Fès et la province de Moulay Yacoub, 6 produits dans la province de Sefrou et 12 produits dans la province de Boulemane. Il s'agit en autres des câpres de Fès, de la pastèque de Meslagh, des figues chaâri de Fès, du miel de Sefrou-Boulemane, des olives et huiles d'olive de L'mta, de la menthe de Sefrou, des truffes de Missour, des cerises de Sefrou et du safran de Ribat Al Khair. Cette étude présente des offres de projets pour chaque produit du terroir sélectionné, dont 2 projets ont été retenus et validés au titre de l'exercice 2013, dans le cadre des projets pilier 2 du Plan agricole régional Fès-Boulemane.

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Le Plan "Maroc vert" accorde une importance particulière au développement des produits de terroir, lesquels constituent une alternative prometteuse pour un développement local, économique solidaire, viable et durable. Compte tenu des potentialités du Maroc en matière d'écosystèmes propices, de biodiversité variée et de savoir-faire dans ce domaine, conjuguées à une demande croissante de ces produits sur les marchés nationaux et mondiaux, le ministère de l'Agriculture et de la pêche maritime a élaboré une stratégie nationale de développement des produits de terroir depuis 2009, basée sur la valorisation de l'offre "Produits de terroir Maroc", basée notamment sur la diversification et l'intensification de la production ainsi que l'optimisation de la commercialisation, la réglementation, l'organisation et l'encouragement du secteur et la préservation des ressources et leur gestion durable. (MAP). MT---BR. CB MAP Source : http://www.menara.ma/fr/2012/11/23/374888-la-1%C3%A8re-foire-r%C3%A9gionale-des-produits-du-terroir-du-28-novembre-au-2-d%C3%A9cembre-%C3%A0-f%C3%A8s.html

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L’Opinion, édition électronique du 23/11/2012 Suite au nouveau décret afférent à la circulation et au contrôle de la salubrité des viandes foraines La filière des viandes rouges entame sa restructuration

Dans le cadre des orientations du Plan Maroc Vert et en application des dispositions du contrat-programme relatif au développement de la filière viandes rouges, signé entre le Gouvernement et la Fédération Interprofessionnelle des Viandes Rouges (FIVIAR), l’Etat s’est engagé à la mise à niveau et à la modernisation des abattoirs et l’actualisation de la réglementation de la filière par l’élaboration et/ou l’amendement des textes législatifs et réglementaires, notamment le texte relatif à la circulation et au contrôle de la salubrité des viandes foraines, en vue de créer un marché des viandes compétitif et inciter les opérateurs privés à investir dans ce domaine. Un engagement respecté dans la mesure où les dis- positions d’un nouveau décret afférent au contrôle de la salubrité des viandes, adopté en Conseil de gouverne- ment du premier novembre, prévoient la libre circulation, entre communes, des viandes rouges issues d’abattoirs agréés. Aussi, est- il proposé, en vertu de ce décret, une révision de l’arrêté du 10 safar 1375 (28 septembre 1955) relatif au contrôle de la salubrité des viandes foraines. Cette révision porte tant sur les conditions d’introduction et de vente des viandes foraines dans les communes que sur leur provenance d’abattoirs agréés sur le plan sanitaire conformément à la réglementation en vigueur. Elle s’inscrit aussi dans une logique de marché sachant que la libre circulation des viandes entre régions et le développement du réseau de transport frigorifique aboutiraient à la mise en place d’un marché des viandes rouges compétitif. D’autant plus que cette filière compte 1.100.000 éleveurs et près de 25,8 millions de têtes de cheptel producteur de viandes rouges. Et c’est d’ailleurs ce que précise le département de l’Agriculture qui considère que ce nouveau dispositif juridique devrait permettre un approvisionnement amélioré de l’ensemble du territoire national et les textes l’accompagnant et portant les détails des cahiers des charges relatifs à la création et la gestion des abattoirs auront à encourager l’initiative privée et le

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développement du ré- seau de transport frigorifique des viandes en conformité avec la législation et la réglementation en vigueur. Fruit d’une concertation entre les deux départements de l’Agriculture et de l’Intérieur, ce décret aura, sans nul doute, un impact certain, tant en amont de la filière par le développement de la production, qu’en aval par une diversification et régulation de l’offre et une amélioration de la qualité au profit du consommateur. Ce décret, qui permettrait la libéralisation du transport des viandes rouges dans la perspective de la baisse de leurs prix, est l’amorce de la restructuration de ce secteur, qui contribue pour environ 30 % du PIB agricole, crée 1,8 million d’emplois et génère un chiffre d’affaires de 22 milliards de dirhams (MMDH) par an, a précisé lundi dernier, M. Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et des Pêches Maritimes qui co-présidait avec le ministre de l’Intérieur, M. Mohand Laenser, une rencontre avec les professionnels de la filière des viandes rouges. De son coté, M. Laenser a souligné «l’importance de cette nouvelle législation en termes de libéralisation du secteur et de promotion de commercialisation des viandes rouges. A ce titre, il y a lieu de préciser qu’en plus de cette mesure réglementaire, deux cahiers de charges relatifs, respectivement, à l’agrément sanitaire et la gestion déléguée des abattoirs communautaires ont été élaborés par les deux départements ministériels et diffusés auprès des divers communes concernées. Il va sans dire que ce nouveau cadre vient compléter les importantes mesures prises dans le cadre du contrat programme 2009-2014, pour un investissement de 6 MMDH, dont 850 millions de dirhams (MDH) apportés par l’Etat sous forme de primes à l’investissement, de subventions aux éleveurs et de soutien aux organisations professionnelles de la filière. Et ce, parallèlement à la future mise en place, dans le cadre de la gestion déléguée de 12 abattoirs municipaux ainsi que 8 projets intégrés et/ou d’agrégation comprenant des unités d’engraissement, d’abattage et de découpe pour un montant global dépassant les 560 MDH et permettant la création de 1.670 postes d’emploi à temps plein. Ces 20 projets constituent une feuille de route pour les années à venir. Source : http://www.lopinion.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=29117

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L’Observateur du Maroc, édition électronique du 23/11/2012 Maroc vert, une nouvelle impulsion

Le Roi a procédé? jeudi 22 novembre, au lancement du programme 2013 relatif aux projets d’appui du pilier II Plan agricole Maroc Vert dans la province des Rhamnas. Ce programme triennal (2013-2015) prévoit l’intensification et la valorisation du grenadier à travers notamment la plantation de 1.000 ha de grenadier, l’équipement des terres du système d’irrigation « goutte-à-goutte » et la mise en place d’une unité de valorisation. D’un coût global de plus de 101 millions de dirhams (MDH), ce programme porte également sur le développement de la filière des viandes rouges, grâce notamment à l’extension des cultures pastorales (5.000 ha), la construction de 12 points d’eau et l’accompagnement technique des petits agriculteurs. Cinq autres projets ont été déjà lancés dans le cadre du pilier II de ce plan pour une valeur globale de 267,3 MDH. Ces projets bénéficient à 12.715 agriculteurs et portent sur une superficie totale de 52.100 Ha. Il s’agit de projets de développement de la culture du cactus, d’intensification de la culture du cumin, de promotion de l’apiculture, de modernisation et de renforcement de la filière des viandes rouges, outre un projet de développement agricole intégré. Source : http://lobservateurdumaroc.info/2012/11/23/maroc-vert-une-nouvelle-impulsion/

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L’Economiste, édition électronique du 23/11/2012 Agrumes Production en baisse dans toute la Méditerranée

• En cause, les conditions climatiques

• Au 11 novembre, 28.078 tonnes exportées par le Maroc Baisse générale de la production d’agrumes en Méditerranée! Le constat est le même pour tous les producteurs membres du Comité de liaison de l’agrumiculture de la Méditerranée (CLAM), réunis en assemblée générale ordinaire, la semaine dernière, à Madrid. Pour rappel, le Clam est une organisation qui regroupe les pays qui se positionnent sur les mêmes produits, ciblent les mêmes marchés et produisent à la même période que le Maroc. A l’ordre du jour de l’AGO, l’examen du bilan de la dernière campagne, le niveau de production pour la saison 2012-2013 ainsi que les perspectives d’exportation. La production d’agrumes pour la campagne 2012-2013 en Méditerranée est estimée à 18,7 millions de tonnes, en baisse de 16% par rapport à la moyenne des deux dernières années. Cette baisse est essentiellement attribuée au recul de la production dans certains pays, notamment l’Espagne, le Maroc, la Turquie et l’Italie. L’Espagne, principal concurrent du Maroc, produira quelque 5,6 millions de tonnes contre 7,5 millions l’année passée. Soit un recul de 25%. Les producteurs prévoient d’exporter 7,2 millions de tonnes, en baisse de 6% en comparaison avec la campagne précédente. Les expéditions du groupe d’oranges devraient enregistrer une légère hausse de 1%. Quant au groupe des petits fruits, au citron et au pomelo, il connaîtra respectivement des baisses de 10, 16 et 10%. Au Maroc, le ministère de tutelle avait tablé sur la production de 1,5 million de tonnes pour la campagne 2011-2012 contre 1,9 million pour la saison précédente. Soit une baisse de 24%, qui s’explique par les chaleurs anormalement élevées des mois de mai et de juillet derniers. Des conditions climatiques qui ont provoqué des chutes importantes des jeunes fruits récemment noués (fleurs fécondées en fruits). «Ces chutes ont touché à la fois les plantations adultes et les jeunes plantations, relativement plus sensibles aux chaleurs. Elles sont assez importantes dans la plupart des régions», explique Ahmed Derrab, SG de l’Aspam. Les dégâts sont évalués à 50% dans la région du Souss, 30% à Tadla-Beni Mellal-El Haouz et varient entre 25 et 30% dans certaines zones du Gharb. Le Maroc oriental a été relativement épargné. Au niveau des exportations, l’Aspam table sur environ 440.000 tonnes contre 490.000 au cours de la saison précédente. Par groupe de variétés, l’on prévoit d’exporter cette année quelque 297.000 t de petits agrumes (clémentines et autres) contre 344.000 t en 2011-2012. Quant au groupe des oranges, les professionnels estiment à 142.000 t les ventes à l’étranger, contre 140.000 au cours de la campagne précédente. Pour les autres agrumes (citron, pomelo…), les prévisions d’exportations portent sur 5.000 t contre 5.500 t au terme de la saison précédente.

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Concurrence Outre le repli de la production, le fléchissement des exportations s’explique par la concurrence exercée par le marché local qui attire de plus en plus les producteurs, car il offre de meilleures conditions commerciales. En effet, les prix sont de plus en plus intéressants et les paiements sont effectués en cash. Du coup, le marché local accapare actuellement 70% de la production. D’ailleurs, la tendance se vérifie depuis le mois d’octobre dernier, date du démarrage de la campagne d’export. Ainsi, au 11 novembre, à peine 25.078 t d’agrumes ont été exportées contre 51.812 pour la même période de la saison écoulée. Hassan EL ARIF Source : http://www.leconomiste.com/node/900827

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Biladi, édition électronique du 23/11/2012 Maroc : SM Mohammed VI soutient le Plan Maroc Vert

Jeudi 22 novembre, après avoir visité une exposition des produits agricoles du terroir Rhamna, SM Mohammed VI a lancé la brigade mécanisée d’appui aux petits agriculteurs, une des initiatives faisant partie du Plan Maroc Vert (PMV). Lancé en avril 2008, le Plan Maroc Vert (PMV) a pour vocation d’améliorer et de développer l’agriculture marocaine au sens de la modernité et de la rentabilité. Cet ambitieux projet vise à promouvoir le potentiel agricole de l’ensemble du Royaume avec l’objectif avoué d’améliorer les revenus des agriculteurs tout en assurant l’approvisionnement alimentaire du pays. Le PMV repose sur deux axes principaux, le premier consiste à développer une agriculture moderne et rentable capable de s’inscrire dans le marché national et international. Le second, plus délicat, vise à améliorer les conditions des petits agriculteurs en situation de précarité en cherchant une diversification des activités en vue de dégager des revenus substantiellement plus élevés. Pour ce faire, le PMV s’appuie sur des Plans Agricoles Régionaux (PAR), qui reprennent plus précisément les concepts globaux pour les adapter plus précisément aux régions. Cette régionalisation permet aux 16 Directions Régionales de l’Agriculture (DRA) de promouvoir des activités ciblées à l’économie régionale dans un contexte global. Les PAR, élaborés et mis en place par les DRA, visent également à résoudre des problématiques fondamentales comme celles de l’emploi en milieu rural, la lutte contre la pauvreté et l’exode rural. Par sa participation au lancement de la brigade mécanisée d’appui aux petits agriculteurs, SM Mohammed VI a donc affiché son soutien à cet ambitieux projet qu’est le Plan Maroc Vert. Source : http://biladi.ma/1120273-maroc-sm-mohammed-vi-soutient-le-plan-maroc-vert.html

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Libération, édition électronique du 23/11/2012 Rapport de la BAD sur la sécurité alimentaire : Dépendance et vulnérabilité du Maroc face aux importations de céréales Le Maroc est fortement dépendant des importations de céréales. Cependant, sa forte dépendance à l’importation le rend fragile aux chocs quantitatifs tels que les embargos commerciaux ou les interdictions d’exportation des pays exportateurs de produits alimentaires. Ce constat est contenu dans un récent rapport intitulé «L’économie politique de la sécurité alimentaire en Afrique du Nord» publié par la Banque africaine de développement (BAD). D’après ce rapport, les années 2000 ont été marquées par une grave explosion des cours mondiaux des denrées alimentaires. En 2007 et pendant la première moitié de 2008, les prix des produits alimentaires ont flambé. De mars 2007 à mars 2008, les prix du blé ont grimpé de 130% en moyenne partout dans le monde. Les cours du pétrole et des matières premières ont chuté à la fin de 2008 du fait du ralentissement de l'économie mondiale, mais ceux des produits alimentaires ont atteint des niveaux record pendant la première moitié de 2011 et devraient rester élevés dans un avenir prévisible. Ce choc a poussé de nombreux pays à s'intéresser de nouveau à la question de la sécurité alimentaire, l'Afrique du Nord, constituée de l'Egypte, la Libye, la Tunisie, l'Algérie, le Maroc et la Mauritanie, n'était pas en reste. Le Maroc et la Tunisie se retrouvent dans la catégorie des plus vulnérables, car ils sont tous deux extrêmement dépendants des importations de céréales et en proie à des contraintes budgétaires. La BAD compare cette situation à celle de l’Egypte qui est un grand producteur agricole et moins dépendante des importations de céréales, mais malgré cette donne, elle connaît des difficultés budgétaires qui la rendent vulnérable à l’envolée des cours mondiaux. Du côté de la sécurité alimentaire, ce rapport a adopté les données les plus récentes de l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI) sur la sécurité alimentaire dans le monde arabe et a utilisé également des indicateurs de microniveau et de macroniveau. D'après deux indicateurs combinés, à savoir l'indicateur de microniveau qui souligne la prévalence du retard de croissance chez les enfants, et l'indicateur de macroniveau qui mesure le volume des importations de denrées alimentaires par rapport à l'ensemble des exportations et aux envois nets de fonds de l’étranger. Ce rapport a classé le Maroc, avec l’Algérie et l’Egypte, dans une situation grave, tandis qu’il estime que la situation en Mauritanie est alarmante, et ce au moment où elle est modérée en Tunisie et en Libye. Au regard des données de l’IFM au microniveau, l’indice forêt météo, le Maroc est le seul pays où le niveau de la faim est modéré, tandis que la Mauritanie apparaît comme le pays faisant face aux plus graves problèmes de sécurité alimentaire en Afrique du Nord. Cependant, une fois que les indicateurs macroéconomiques (tels que la dépendance aux importations de produits alimentaires et la situation budgétaire) sont pris en compte dans l’analyse, tous les pays d’Afrique du Nord semblent confrontés à des problèmes de sécurité alimentaire.

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S’agissant du rythme d’inflation des prix alimentaires dans les cinq pays d’Afrique du Nord, ledit rapport souligne qu’en Mauritanie, en Algérie et en Egypte, l’augmentation des prix alimentaires était plus importante qu’en Tunisie et au Maroc, une situation qui tient au fait que le secteur agricole de ces deux derniers pays est plus important. Ce rapport montre également que le déficit des échanges agricoles a bondi en Egypte et en Algérie après la flambée des cours mondiaux des produits alimentaires de 2007/2008 et s’est considérablement apprécié en Libye et au Maroc. La BAD estime que le Maroc est un pays à revenu intermédiaire de tranche inférieure, tandis que la Libye, l’Algérie et la Tunisie sont des pays à revenu intermédiaire de tranche supérieure. Ce qui se répercute négativement sur le financement de ses importations de produits alimentaires et le rend particulièrement vulnérable à la flambée des prix des produits alimentaires. En rappelant qu’au Maroc et en Tunisie, plus de 12% des personnes se retrouvent sous le seuil de deux dollars par jour alors que cette proportion atteint 18,5% en Egypte. Ce rapport souligne que la pauvreté est sensible à la moindre augmentation du coût de la vie et même des chocs relativement mineurs sont susceptibles de faire basculer beaucoup de personnes dans la pauvreté. A cet égard, les paysans sans terre, les petits exploitants agricoles et les pauvres des villes constituent les groupes les plus vulnérables. Le fait de posséder d’importantes ressources minérales ne garantit pas cependant la sécurité alimentaire, notamment le cas de l’Algérie, selon la BAD qui estime que «tous les pays d’Afrique du Nord semblent confrontés à des problèmes de sécurité alimentaire». Le rapport souligne, par ailleurs, que la sécurité et la souveraineté alimentaires en Afrique du Nord ne peuvent être abordées d’un point de vue purement économique. «Elles ont également de profondes connotations politiques, comme en attestent le rôle joué par les prix des denrées alimentaires dans la vie politique des pays pendant le Printemps arabe, ainsi que les répercussions politiques du recours à un nombre restreint de fournisseurs de céréales pour l’essentiel des besoins alimentaires de la région». C’est pourquoi les futures approches en matière de sécurité alimentaire devront mettre l’accent sur les voies et moyens permettant aux pays d’Afrique du Nord de mieux se positionner pour tirer parti des marchés alimentaires mondiaux. Par ailleurs, l’intérêt croissant pour la production alimentaire locale montre qu’on est devenu de plus en plus préoccupé par la souveraineté alimentaire. Les importations de vivres continueront de jouer un rôle clé dans la sécurité alimentaire. En fait, il serait risqué de réagir à la récente crise alimentaire mondiale en pensant que la production alimentaire locale et le secteur agricole constituent à eux seuls la panacée pour parvenir à la sécurité alimentaire. Une approche globale et plurielle en matière de sécurité alimentaire constitue la voie à suivre, car elle ne peut être séparée du besoin plus général et plus pressant d’une nouvelle stratégie de développement socioéconomique inclusif, conclut la Banque africaine de développement. Source : http://www.libe.ma/Rapport-de-la-BAD-sur-la-securite-alimentaire-Dependance-et-vulnerabilite-du-Maroc-face-aux-importations-de-cereales_a32516.html?preaction=nl&id=19739540&idnl=125066&

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L’Economiste, édition électronique du 22/11/2012 Agroalimentaire: Comment exporter aux Etats-Unis

• Développer une stratégie axée sur un segment de clientèle

• S’informer sur les opportunités et les procédures d’export

• Le pays de l’Oncle Sam, 3e partenaire commercial du Maroc

A fin septembre, les échanges commerciaux entre le Maroc et les Etats-Unis se sont élevés à environ 21,6 milliards de DH. Le solde est déficitaire en faveur des Etats-Unis, qui sont devenus 3e partenaire commercial du Royaume Pour bon nombre d’opérateurs économiques, le marché américain de l’agroalimentaire est hors de portée. «Je ne suis pas de cet avis», déclare d’emblée Najib Layachi, directeur à l’Etablissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (Eacce), lors de la conférence organisée, mardi 20 novembre, par la Chambre de commerce américaine (Am Cham). Une rencontre axée sur les opportunités d’exportation de produits agroalimentaires sur le marché américain à la faveur de l’accord de libre-échange avec le Maroc. «Il est clair qu’on ne peut pas s’attaquer au marché américain comme on le ferait pour le marché européen. Mais pour exporter aux Etats-Unis, il faut de la préparation et beaucoup de patience», ajoute Layachi. La préparation pour aborder le marché américain commence déjà au Maroc. Concrètement, il s’agit de s’informer sur les opportunités d’exportation, la réglementation et la procédure en vigueur, en prenant attache avec les organismes spécialisés, notamment l’Am Cham, l’Onssa ou encore l’Eacce. Avec plus de 300 millions de consommateurs, le marché américain est très attractif. En effet, la population américaine se caractérise par sa diversité raciale, religieuse, géographique, socioprofessionnelle, ainsi que son pouvoir d’achat assez élevé. Ce qui représente autant de possibilités de segmentation pour les exportateurs nationaux. Un seul Etat tel que la Californie détient le même niveau de PIB que la France. Quant au Texas, il peut sa targuer de détenir presque le même PIB que le Canada. «Si les exportateurs nationaux ciblent seulement le Texas, ils auront décroché le gros lot», explique en substance Rabia El Alama, directrice de l’Am Cham. En fait, il n’existe pas un marché labellisé «US Market», mais plusieurs marchés. Des marchés qui peuvent être approchés chacun selon une démarche différenciée. Le pouvoir d’achat des populations

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blanches, qui sont majoritaires (200 millions de personnes), s’élève en moyenne à 46.300 dollars par an. Celui des Afro-Américains varie autour de 33.600 dollars par an. Quant aux Asiatiques, leurs revenus annuels est évalué à environ 53.600 dollars. Les dépenses alimentaires viennent en troisième position et représentent environ 13,6%. Au total, les importations américaines de produits alimentaires représentent en moyenne 80 milliards de dollars. «L’agrobusiness représente beaucoup d’opportunités d’exportations pour les opérateurs nationaux. Pour cela, il faut adopter une stratégie adéquate et cibler le bon segment. De plus, les exportateurs devraient faire la promotion de leurs produits dans les salons, tels que le Fancy Food Show», affirme El Alama. L’un des segments majeurs pouvant être ciblés en priorité reste le marché ethnique. Pour l’heure, sa taille est estimée à environ 2,2 milliards de dollars. Selon Matthews Nussbaum, consultant auprès du programme Compétitivité économique du Maroc (MEC), «ce marché devrait progresser de 14% au cours des 4 prochaines années». Autre clé pour aborder le marché américain, la création d’un site e-marchand en anglais, mais aussi en espagnol, car la communauté hispanique représente tout de même 45 millions d’habitants. Le commerce aux Etats-Unis est très réglementé. Plusieurs agences sont chargées de procéder à des contrôles stricts à différents niveaux, sans oublier la puissance des associations de protection des consommateurs. Parmi ces structures, la FDA, l’USDA, le CBP, l’EPA, l’APHIS… Les exportateurs nationaux ont déjà souscrit des certifications de qualité et de sécurité. Cela constitue un bon début pour approcher le marché américain, mais ce n’est pas suffisant. De par sa taille, il est difficile d’appliquer un contrôle systématique. A peine entre 5 et 15% des produits importés sont contrôlés. Du coup, les opérateurs devraient procéder à tous les contrôles sanitaires nécessaires avant d’exporter aux Etats-Unis. «Les importateurs américains tiennent à éviter tout risque avant l’entrée des produits en sol américain. En outre, Layachi recommande de dématérialiser toutes les procédures. L’objectif étant de gagner du temps aux niveaux des opérations d’exportation.

2,5 milliards de dollars Depuis l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange (ALE) entre les deux pays, les échanges commerciaux ont augmenté. A fin septembre dernier, ils ont atteint 2,5 milliards de dollars. Ce qui fait des Etats-Unis le troisième client et le troisième fournisseur du Royaume. Les exportations marocaines vers les Etats-Unis se sont montés à 700 millions de dollars. Parmi les produits exportés figurent l’huile d’olive et les olives. Le Maroc exporte également des clémentines, des sardines, du couscous, du chewing-gum, de la tomate en poudre… Hassan EL ARIF Source : http://www.leconomiste.com/node/900779

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Menara.ma, édition électronique du 22/11/2012 "Le Plan Maroc Vert" obéit à une approche globale visant à assurer le développement durable» Rabat, 22 nov. 2012 (MAP) - Le Plan Maroc Vert (PMV), lancé en avril 2008, décline une approche globale et multisectorielle dans le secteur de l'agriculture au Maroc pour en faire un catalyseur du progrès et un vecteur du développement durable, prenant en compte non seulement l'impératif de performance, mais également les dimensions sociale et environnementale. Il s'agit d'une politique ambitieuse qui a pour finalité la mise en valeur de l'ensemble du potentiel agricole national à travers l'amélioration des revenus des agriculteurs, la garantie de la sécurité alimentaire du pays, la protection des ressources naturelles et l'intégration de l'agriculture dans le marché national et international. Le PMV s'articule autour de deux piliers majeurs. Le premier porte sur le développement d'une agriculture moderne et à forte valeur ajoutée répondant aux règles du marché en s'appuyant sur les investissements privés, à travers le financement de 1000 projets tant dans la production que dans les industries agro-alimentaires, pour un montant de 10 à 15 milliards de DH par an. Le second pilier concerne l'accompagnement solidaire de la petite agriculture, à travers l'amélioration des revenus des agriculteurs les plus précaires, notamment dans les zones enclavées. Dans ce cadre, il sera procédé au financement d'une série de projets qui seront inscrits dans le cadre des Plans Agricoles Régionaux (PAR), basés sur 3 axes visant la reconversion ou la diversification des activités des agriculteurs précaires dans des créneaux à haute valeur ajoutée et moins sensibles aux précipitations. Il s'agit aussi, d'encourager les projets de production intensive dans les domaines aussi bien de production animale que végétale, à travers l'encadrement des agriculteurs et leur qualification pour avoir un revenu supplémentaire. Les PAR portent sur l'augmentation des niveaux de productions des différentes filières identifiées, l'amélioration de la qualité et des conditions de commercialisation de la production et l'amélioration des niveaux de valorisation de l'eau d'irrigation. Tout en s'inscrivant dans une vision de mise en valeur des potentialités de chaque région, ces PAR répondent également à des problématiques plus concrètes tels que l'emploi en milieu rural, la lutte contre la pauvreté et l'exode rural. Le Plan Maroc Vert a connu dans sa première phase d'exécution, le lancement d'une série importante de réformes institutionnelles, notamment la réorganisation du ministère de l'agriculture et de la pêche maritime, avec plus de proximité décisionnelle dans les régions et la mise en place de 16 Directions régionales de l'agriculture (DRA) et de 16 Chambres d'agriculture qui ont élaboré 16 PAR, avec la participation des principaux acteurs locaux. C'est dans cette même optique qu'a été créée l'Agence de Développement Agricole (ADA), bras d'exécution du ministère, et dont les principales

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missions sont l'intermédiation et le lancement des projets filières émanant des PAR et la gestion des partenariats avec les investisseurs privés et les organismes internationaux. A cela s'ajoute la création de l'Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA), en charge de la réglementation et du contrôle de la qualité et des normes sanitaires et de l'Agence pour le développement des zones oasiennes et de l'arganier (ANDOZA). En tant que mécanismes voués à la réalisation des objectifs fixés, des partenariats ont été conclus et mis en Œuvre avec les parties prenantes aux différents niveaux. Ils concernent 16 Contrats agricoles régionaux conduits avec les partenaires locaux (collectivités locales, Chambres d'agriculture et départements ministériels concernés). Ils représentent la concrétisation propre à chaque région du Plan Maroc Vert en termes de projets, d'investissement, d'emploi et d'export. En outre, les aides et incitations prévues dans le cadre du Fonds de développement agricole ont été révisées, de sorte à faciliter la réalisation des objectifs escomptés et améliorer l'efficacité du fonds comme instrument d'impulsion et d'incitation à l'investissement. Enfin, des contrats de partenariat ont été conclus entre l'Etat et les grandes banques marocaines pour assurer un accompagnement financier, y compris la création d'une structure spécialisée pour le financement des petits agriculteurs. BZ. HD/NL. MAP Source : http://www.menara.ma/fr/2012/11/22/373191-le-plan-maroc-vert-ob%C3%A9it-%C3%A0-une-approche-globale-visant-%C3%A0-assurer-le-d%C3%A9veloppement-durable.html

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Menara.ma, édition électronique du 22/11/2012 L'agriculture solidaire, au centre des projets du Plan Maroc Vert réalisés dans la province de Rhamna Commune de Jbilate (Province de Rhamna), 22 nov. 2012 (MAP) - Les projets ambitieux programmés dans le cadre du Plan Maroc Vert (PMV) au niveau de la province de Rhamna, notamment ceux du Pilier II de ce plan basé sur l'agriculture solidaire, connaissent une forte dynamique, comme en témoignent les résultats encourageants atteints en termes de hausse de la production et d'amélioration de sa qualité. Ces résultats ont pu être atteints grâce aux potentialités importantes de la province surtout dans les domaines de l'élevage et des céréales, ainsi qu'aux grands efforts déployés par le ministère de l'Agriculture et de la pêche maritime, les agriculteurs et les autres partenaires. Ces projets, dont certains se trouvent dans une phase de réalisation avancée, prennent en considération les spécificités agricoles de la province de Rhmna connue par ses grandes surfaces de terres arables et ses pâturages, tout en alliant la valorisation des potentialités locales aux méthodes modernes de production basées sur l'utilisation des machines et de plants et semences sélectionnés, des engrais et des pesticides, l'amélioration des caractéristiques génétiques du cheptel et le suivi vétérinaire. Dans le cadre de la mise en œuvre des projets d'appui au Pilier II du PMV dans la province de Rhamna, qui visent notamment l'amélioration de la productivité et la valorisation de la production à travers des opérations d'encadrement et d'orientation agricoles et d'appui à la reconversion vers des secteurs porteurs, quatre projets agricoles sont en cours de réalisation portant sur la valorisation de la production du cactus, du cumin, des viandes rouges, du miel, outre un projet agricole intégré réalisé au niveau de 18 communes rurales de cette province sur une superficie totale de 52.100 Ha. Les quatre projets, qui bénéficient à un total de 12.715 agriculteurs, portent concrètement sur la plantation de 30.000 cactus et la construction de 7 unités de valorisation de cette plante, la construction et l'équipement de 18 points d'eau, l'achat et la distribution de 1.500 têtes de bétail destiné à la reproduction et la construction d'un abattoir moderne, l'intensification de la culture du cumin sur une superficie de 850 Ha et la construction d'une unité de valorisation de ce produit, ainsi que sur l'achat et la distribution de 2.400 ruches et la construction d'une unité de valorisation du miel. Concernant le projet intégré, il porte notamment sur la construction de quatre digues pour l'emmagasinement des eaux de surface, la distribution de 18.000 plants d'olivier, l'achat et la distribution d'outils de production et de machines agricoles, l'achat et la distribution d'équipements pour l'élevage de lapins et de volailles et de production d'aliments pour bétail, ainsi que sur la formation et l'encadrement technique au profit des bénéficiaires. L'ensemble de ces projets, dont le coût globale s'élève à 267,3 millions de DH, reflètent la vision intégrée sur laquelle se base leur mise en Œuvre. Dans le même contexte, le programme 2013 d'appui au Pilier II du PMV dans la province de

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Rhamna, qui porte sur deux projets relatifs à la valorisation des filières de la grenade et des viandes rouges, sera exécuté sur une superficie de 6.000 Ha répartis sur 18 communes rurales relevant de la province. Il devra mobiliser des investissements de l'ordre de 101,1 millions de DH et bénéficier à 600 agriculteurs et 3.000 éleveurs. Dans le cadre du projet de valorisation de la grenadine, cet arbre fruitier sera planté sur une superficie de 1.000 Ha équipés du système d'irrigation goute à goute, alors qu'une unité de valorisation sera construite et équipée. L'encadrement et le soutien techniques nécessaires sera assuré aux bénéficiaires du projet de valorisation de la filière des viandes rouges qui porte également sur la plantation de 5.000 Ha de plantes fourragères et la construction et l'équipement de 12 points d'eau. Par ailleurs, le ministère de l'agriculture et de la pêche maritime a organisé une série de campagnes de sensibilisation et d'ateliers d'encadrement technique, dans le but d'encourager les agriculteurs à contribuer activement à la concrétisation des objectifs du PMV au niveau de la province de Rhamna. Les différents projets agricoles intégrés mis en place dans le cadre du Pilier II du PMV vont, de toute évidence, renforcer la contribution de la province de Rhamna et de la région de Marrakech-Tensift-Al Haouz au développement du secteur agricole national et par conséquence renforcer la place de ce secteur en tant que levier fondamental du progrès économique.(MAP). TE---Couv. RM. MAP Source : http://www.menara.ma/fr/2012/11/22/373195-lagriculture-solidaire-au-centre-des-projets-du-plan-maroc-vert-r%C3%A9alis%C3%A9s-dans-la-province-de-rhamna.html

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 22/11/2012 La Caravane OCP boucle sa tournée par l’étape de Had Kourt

DR Des professeurs-chercheurs à l’ENA de Meknès ont exposé les avantages de la technique du semis direct. La Caravane OCP céréales 2012 a bouclé, mardi, sa tournée dans douze zones céréalières les plus importantes du Maroc par l’étape de Had Kourt (province de Sidi Kacem), pour sensibiliser les petits et moyens agriculteurs de la région du Gharb-Chrarda-Beni-Hssen à une utilisation rationnelle des fertilisants et aux techniques d’optimiser leurs productions. Près de 500 agriculteurs de la région sont venus assister aux exposés techniques sur les spécificités de leur région et la nature de leurs sols agricoles et sur les techniques de semis susceptibles de donner un meilleur rendement à moindre frais. Des professeurs-chercheurs à l’Ecole nationale d’agriculture (ENA) de Meknès ont notamment exposé les avantages de la technique du semis direct, qui consiste à semer des céréales dans un sol qui n’est pas travaillé et réalisant ainsi une grande économie du temps et d’argent et une amélioration progressive de la fertilisation du sol qui lui permet de stocker plus d’eau. Les experts de l’ENA ont aussi tenté d’expliquer les avantages de l’analyse des sols, subventionnée à 50% par l’Etat, de l’utilisation des engrais et des éléments nutritifs, et l’importance de la lutte contre les mauvaises herbes et les maladies des plantes, qui permet de récupérer 20 à 25% de la production. Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/24-heures/la-caravane-ocp-boucle-sa-tournee-par-l-etape-de-had-kourt-99444.html

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La Vie-éco, édition électronique du 22/11/2012 Production de dattes : la filière sort progressivement de sa léthargie Douze pays invités, 200 exposants et 40 000 m2 pour l'exposition lors de la troisième édition du Salon international des dattes d'Erfoud. Plusieurs projets de développement solidaire ont été lancés. La production de dattes a augmenté de 10% en 2011.

La troisième édition du Salon international des dattes du Maroc, organisée du 8 au 11 novembre à Erfoud, confirme le renouveau de phœniciculture. Le nombre de pays invités qui était de quatre lors de la deuxième édition a été porté à 12 (Tunisie, Algérie, Egypte, Irak, Jordanie, Arabie Saoudite, UAE, Sultanat d’Oman, Koweit, Mauritanie, Qatar et Bahreïn). L’espace d’exposition a aussi été porté à 40 000 m2, dont 11 000 m2 en stands, car le nombre d’exposants est monté de 183 à 200. Mais pour le Dr Bachir Saoud, DG de l’Agence nationale de développement des zones oasiennes et de l’arganerie (ANDZOA), les nouveautés sont dans le fond. Il souligne à cet égard le lancement des projets de développement solidaire par plus de 22 groupements d’intérêt économique (GIE) et la qualité du programme scientifique et d’animation. En effet, le salon est un événement certes, mais doit être mis au service de la filière des dattes qui constitue, selon la région, entre 20 et 60% des revenus des agriculteurs des zones où se concentre cette culture. Ouarzazate abrite 41% du patrimoine phœnicicole, le Tafilalt 28% et la région de Tata 20%. Le Maroc, 7e producteur mondial Le ministre de l’agriculture et des pêches maritimes, Aziz Akhannouch, explique par ailleurs qu’il n’y a pas lieu de comparer le SIAM avec le SID mais il est du devoir du pays de chercher à encourager cette filière vitale pour ce Maroc profond constitué par l’ensemble des filières. Il y a lieu de signaler que dans le sillage du contrat programme 2010-2020 portant sur un montant totalisant plus de 7 milliards de DH, il est prévu de travailler dans plusieurs directions, entre autres la reconstitution des palmeraies existantes dont nombre d’entre elles sont improductives pour cause de surpopulation de mâles (il en faut juste 5% à l’hectare).

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L’ensemble des 48 000 ha correspondant à 4,8 millions de palmiers (100 pieds à l’hectare) est programmé, en plus de 17 000 ha au titre des nouvelles plantations. Il y a aussi des actions au niveau de l’emmagasinement et des frigos, de la sensibilisation pour le choix de plants résistants au bayoud comme najda, une création de l’Institut national de recherches agronomiques (INRA). Le contrat programme prévoit également le reforcement des disponibilités nationales de vitroplants en portant la capacité annuelle moyenne de production à 300 000 plans entre 2010 et 2020 contre 60 000 entre 2005 et 2009. La production de la campagne passée, en augmentation de 10% par rapport à la précédente, à 110 000 tonnes, place le Maroc au 7e rang mondial. Or, avec l’ensemble des mesures prises, le Maroc table sur une production de 160 000 tonnes d’ici 2020. Mais encore faut-il s’attaquer à plusieurs problématiques, une meilleure valorisation (produits et sous-produits, comme la confiture ou la pâte à base de datte) et une meilleure qualité des produits. Il faut savoir, en effet, que sur les 453 variétés qui existent, la part des variétés nobles (Mejhoul, jihel, bouffegouss…) est assez faible. Elle ne représente que 35% du patrimoine national. Mohamed El Maâroufi. Source : http://www.lavieeco.com/news/economie/production-de-dattes-la-filiere-sort-progressivement-de-sa-lethargie-23859.html

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 22/11/2012 Le salon "DAWAJINE" du 27 au 29 novembre à Casablanca

La Fédération interprofessionnelle du secteur avicole (FISA) organise, du 27 au 29 novembre à Casablanca, la 15ème édition du salon avicole de Casablanca ''DAWAJINE 2012". La Fédération interprofessionnelle du secteur avicole (FISA) organise, du 27 au 29 novembre à Casablanca, la 15ème édition du salon avicole de Casablanca ''DAWAJINE 2012". Ce rendez-vous est une occasion unique pour exposer les dernières technologies, les innovations et le savoir-faire aux professionnels de l'Afrique du Nord et de l'Ouest, une région à fort potentiel de développement avicole, selon un communiqué de la FISA. ''DAWAJINE 2012'' rassemblera près de 350 exposants et marques, dont 60 pc de sociétés étrangères en provenance d'Europe, d'Amérique, d'Afrique et d'Asie, opérant dans différents secteurs en relation avec l'aviculture (fabricants d'aliments composés, fournisseurs de matériel et biens d'équipements, abattoirs avicoles, transformation et sur-transformation de viandes de volailles et des Œufs, fournisseurs de souches, laboratoires de recherches et d'analyses, fournisseurs d'emballages et entreprises spécialisées dans la construction de bâtiments d'élevage). Cette manifestation professionnelle et sectorielle devra accueillir plus de 12.000 visiteurs marocains et étrangers et plusieurs délégations de différents pays d'Afrique, selon les organisateurs. En marge de ce Salon, il sera procédé à la remise des prix des concours du meilleur ouvrier avicole (MOA) et du meilleur technicien avicole (MTA), organisés pour la première fois par la FISA, en signe d'estime et de reconnaissance des efforts déployés par le personnel des fermes d'élevage dans le développement de l'aviculture au Maroc. Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/actualite/le-salon-dawajine-du-27-au-29-novembre-a-casablanca-99435.html

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Le Matin, édition électronique du 22/10/2012 Témoignage La ferme pilote «Jnane Rhamna», un modèle d’utilisation des terres collectives La ferme pilote «Jnane Rhamna», visitée par S.M. le Roi Mohammed VI, jeudi dans la province de Rhamna, constitue un modèle d’utilisation des terres collectives, a souligné le directeur général de l’Agence pour le développement agricole (ADA), Ahmed Hajjaji.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI a visité, une exposition des produits agricoles du terroir Rhamna, avant de procéder au lancemnt de la brigade mécanisée d'appui aux petits agriculteurs. Cette opération, qui augure d’un avenir prospère pour les terres collectives, représente un modèle d’utilisation de ces terres, dans la mesure où elle s’effectue avec l’adhésion également des ayants droit, a-t-il expliqué dans une déclaration à la MAP. Il s’agit, a poursuivi M. Hajjaji, d’une «opération exemplaire de la meilleure utilisation des terres collectives dans le cadre d’un partenariat entre un opérateur privé et la communauté ethnique propriétaire de ces terres». Le terrain de l’exploitation agricole, qui a fait l’objet de la visite du Souverain, a été loué par la communauté ethnique propriétaire des terres à l’opérateur privé, a-t-il précisé, soulignant qu’il s’agit d’une opération qui entre dans le cadre de la mobilisation du foncier public ou privé au profit du Plan Maroc vert (PMV). Il a précisé que cette exploitation est d’une superficie totale de 624 ha, dont la moitié est dédiée aux agrumes, 200 ha à l’olivier en super intensif, une cinquantaine d’hectares au melon, alors que le reste de la superficie est consacré à d’autres cultures, notamment le grenadier, qui a de grandes perspectives au Maroc. Cette ferme est dotée des dernières technologies en matière d’irrigation et d’économie d’eau (gestion informatisée de l’irrigation et de la fertilisation, bassins d’irrigation, station de pompage). D’un investissement global de 122,2 MDH, «Jnane Rhamna» table sur la production, à l’horizon 2017, de 13 000 tonnes d’agrumes et de 2 200 tonnes d’olives, outre la création de plus de 240 emplois stables. Source : http://www.lematin.ma/journal/-/174441.html

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Les échos ; édition électronique du 21/11/2012 Les viandes rouges enfin «libérées» Par Oumar Baldé «L’objectif principal de ce décret, réside dans la baisse des prix des viandes rouges». C’est ainsi que le ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch résume la portée du décret relatif au contrôle de la salubrité des viandes foraines, adopté le 1er novembre en Conseil de gouvernement. Ce décret «structurant», à en croire Aziz Akhannouch, devrait «libéraliser» la circulation des viandes entre les différentes régions du royaume, chose impossible depuis 1955, puisqu’un «arrêté viziriel» interdisait le transport des viandes rouges d’une région à une autre. Un grand pas en avant vient donc d’être effectué, estiment les professionnels du secteur, venus lundi soir fêter cet évènement aux côtés du ministre de l’Agriculture et de son collègue de l’Intérieur Mohand Laenser. Ce 19 novembre au ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime, une rencontre de présentation de ce décret a réuni les présidents des Chambres de commerce du royaume, les professionnels de la filière des viandes et les différents acteurs concernés par la nouvelle mesure. Une nouvelle législation du marché des viandes rouges qui, selon Laenser, permettrait de «promouvoir la commercialisation» de ces viandes rouges. «Aujourd’hui, il y a des bassins de production où les producteurs font de l’engraissement, de l’élevage, mais n’arrivent pas à s’intégrer. Grâce à cette libéralisation du transport, ils auront la possibilité de transporter leurs produits dans d'autres régions et de marchés en marchés. Ceci est fondamental pour capter plus de valeur ajoutée», renchérit Akhannouch. Ce nouveau décret devrait entraîner de nombreux changements et ouvrir des perspectives à la filière des viandes rouges. À commencer par la mise à niveau des abattoirs pour attirer davantage d’investisseurs privés. Ces derniers sont notamment attendus en ce qui concerne la prise de gestion déléguée des 12 abattoirs communautaires. Les projets intégrés de production des viandes rouges vont également connaître un coup d’accélérateur. Cinq sites attendaient justement la publication de ce décret pour être lancés, après ceux de Meknès, de Tadla (en cours d’achèvement) et de Taroudant, dont l’ouverture est prévue en 2013. In fine, d’ici quelques mois, ou au plus tard dans les prochaines années, on assistera à l’augmentation de la production, à la régulation de l’offre et à l’amélioration du rapport qualité / prix au profit du consommateur. Les professionnels s’attendent non seulement à satisfaire la demande intérieure, mais à se lancer à la conquête des marchés étrangers demandeurs. Pour Akhannouch, ce décret ne constitue que «l’amorce» d’une restructuration de la filière des viandes rouges. Celle-ci, avec ses 22 MMDH de chiffre d’affaires annuel, contribue à hauteur de 30% au PIB agricole et crée un 1,8 million d’emplois. En 2011, la production de viandes rouges s’est établie à 439.000 tonnes, confirmant la dynamique en cours depuis plusieurs années et annonçant la très forte probabilité d’atteindre l’objectif de production fixé dans le cadre du plan Maroc Vert, à savoir 500.000 T à l’horizon 2020. Du côté du ministre de l’Agriculture, on fait savoir également que deux cahiers des charges relatifs à l’agrément sanitaire et à la gestion déléguée des abattoirs communautaires ont été élaborés en collaboration avec le ministère de l’Intérieur et diffusés auprès des communes concernées. Ce nouvel arsenal juridique vient renforcer les mesures déjà prises dans le cadre du contrat-programme 2009-2014. À ce niveau, le montant global des investissements se porte à 6 MMDH, dont 850 MDH apportés par l'État, sous forme de primes à l'investissement, de subventions aux éleveurs et de soutien aux organisations professionnelles de la filière. Source : http://www.lesechos.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=27417%3Ales-viandes-rouges-enfin-llibereesr-&catid=6%3Aeconomie&Itemid=4

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Au fait Maroc, édition électronique du 21/11/2012 "OCP Céréales 2012 La tournée prend fin

La caravane OCP s'arrête mais des suivis seront effectués par des agronomes tout au long de l'année. /DR

La caravane “OCP céréales 2012” a bouclé, mardi, sa tournée dans les douze zones céréalières les plus importantes du Maroc par l'étape de Had Kourt (province de Sidi Kacem). Cette caravane visait à sensibiliser les petits et moyens agriculteurs de la région du Gharb-Chrada-Beni-Hssen à une utilisation rationnelle des fertilisants et aux techniques d'optimisation de leurs productions.

Près de 500 agriculteurs de la région sont venus assister aux exposés techniques sur les spécificités de leur région et la nature de leurs sols agricoles ainsi que sur les techniques de semis susceptibles de donner un meilleur rendement à moindre frais.

Pour donner un contenu concret aux exposés techniques et convaincre les agriculteurs du bien-fondé de l'utilisation des procédés modernes pour optimiser leurs récoltes, le groupe OCP s'est engagé, comme il l'a fait dans les autres zones visitées par la caravane, à prendre en charge totalement quatre parcelles jusqu'à la récolte. Les propriétaires de ces parcelles seront suivis, tout au long de la campagne agricole par des agronomes.

Source : http://www.aufaitmaroc.com/actualites/economie/2012/11/21/la-tournee-prend-fin_198906.html?utm_source=daily_newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=aufait_newsletter

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 21/11/2012 Hammou Ouhelli : «Le décret redynamise l’investissement dans la filière»

Hammou Ouhelli Président de la Fédération interprofessionnelle des viandes rouges (FIVIAR) (PHOTO ALM/CHAFIK ARICH) Cette feuille de route est une première dans l’histoire de la filière. C’est pour la première fois que nous organisons le secteur en amont et en aval. ALM : Un nouveau dispositif législatif a vu le jour concernant le contrôle des viandes foraines. Quelles sont vos impressions dans ce sens ? Hammou Ouhelli : Nous sommes satisfaits de ce pas. Il faut dire que ce décret marque une importante évolution de la filière. D’ailleurs, nous attendions ce dispositif depuis bien longtemps. Cette réforme est courageuse. Ceci se traduit par l’engagement de deux départements ministériels, à savoir le ministère de l’agriculture et de la pêche maritime et le ministère de l’intérieur. Cette synergie est perçue par l’ensemble des professionnels du secteur comme un message fort, une volonté claire de promouvoir la filière. Quelle lecture faites-vous des principales nouveautés apportées par ce décret ? Il est utile de signaler que le décret nous permet d’atteindre l’un des objectifs prioritaires formulés par le contrat-programme 2009-2014. Il s’agit dans ce sens de promouvoir l’investissement à travers la mise en œuvre d’abattoirs modernes garantissant ainsi au consommateur une viande de qualité. Au moment où nous accusions un retard sur ce point, le décret vient redynamiser ce volet, permettant à 8 abattoirs privés de voir le jour et la mise à niveau de 10 autres municipaux. Parmi les nouveautés à mettre en relief : la possibilité de vendre la viande rouge dans les différentes communes à condition qu’elle provienne des abattoirs agréés répondant à toutes les normes de qualité. Le contrat-programme de la filière arrivera à terme dans deux ans. Quelles ont été les réalisations à ce jour ? Nous avons atteint presque tous les objectifs fixés à l’horizon 2014. Nous sommes dans ce sens à 97% de la productivité globale déterminée par le contrat-programme. Cette feuille de route est une première dans l’histoire de la filière. C’est pour la première fois que nous organisons le secteur en amont et en aval. Cela nous a permis de cerner tous les problèmes et

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de les discuter avec l’ensemble des professionnels. Sur le plan législatif, une loi sur l’interprofession verra le jour et concernera, outre la filière de la viande rouge, l’ensemble des filières agricoles. Parmi les principales réalisations comprises par le contrat programme, l’encouragement étatique de l’amélioration génétique, la mise en place d’un cadre de formation dans le métier de viande. Car la modernisation du secteur nécessite avant tout une main-d’œuvre qualifiée, chose qui va être bientôt assurée par le Zoopôle de Casablanca visant à former dans les viandes rouges, aviculture et la filière laitière. Qu’est-ce qui manque à la filière ? La filière évolue à pas sûrs. Il ne nous manque qu’une réelle prise de conscience du consommateur. Les Marocains doivent être exigeants quant à ce qu’ils consomment et percevoir les efforts consentis en termes d’investissement et de modernisation de la filière. Nous devons être réconfortés par l’ensemble des associations du consommateur pour éviter les erreurs du passé et pallier tous les problèmes favorisant la consommation de viande insalubre. Kawtar Tali Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/focus/hammou-ouhelli-le-decret-redynamise-l-investissement-dans-la-filiere--99411.html

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 21/11/2012 Le plan Akhannouch pour restructurer la filière des viandes rouges

PHOTO ALM/CHAFIK ARICH L’ambition est de générer plus de bénéfices pour les professionnels, des prix moindres sur le marché et permettre au Maroc d’exporter à moyen terme Mémorable selon le ministre de l’agriculture et de la pêche maritime, décisive selon le ministre de l’intérieur, prometteuse selon les opérateurs de la filière, la rencontre organisée lundi à Rabat sur «les nouveautés apportées par le décret relatif au contrôle des viandes foraines… et sur l’état d’avancement du contrat-programme 2009-2014» passé entre le ministère et les professionnels de la filière, a également été une occasion de dire les enjeux de la restructuration du secteur et de la placer dans son cadre naturel. Tous ont en effet déclaré qu’elle se situe en plein dans le déroulé du Plan Maroc Vert (PMV) et qu’elle en constitue un maillon essentiel. Les ministres et les présidents des organisations professionnelles ont donc affirmé leur conviction commune que le décret sur la salubrité des viandes rouges et la libéralisation de leur commerce est susceptible d’effet positif non seulement au plan sanitaire, mais encore économique et social. Aziz Akhannouch a résumé le sentiment de l’assistance en déclarant que l’adoption du nouveau décret relatif au contrôle de la salubrité des viandes rouges marque un tournant décisif dans le développement de la filière, qu’il contribuera à créer un marché compétitif et qu’il incitera à l’investissement. En fait, ce nouveau texte est de nature à renforcer les retombées économiques et sociales de l’activité de production et d’échange des viandes rouges. Des retombées substantielles puisque 1.100.000 exploitants -soit 74% de l’effectif pratiquant des activités agricoles-, s’adonnent à l’élevage. En sorte que le secteur génère environ 22 milliards de dirhams de chiffre d’affaires par an pour une production de 439.000 tonnes en 2011 - 436.000 une année auparavant. Grâce à ce volume d’affaires, il entre pour 40% dans le PIB agricole. Cependant ces perspectives sont susceptibles d’être élargies suivant les projections du Plan Maroc Vert qui fixe à la production au seuil de 450.000 tonnes en 2014 et de 500.000 tonnes en 2020. A la clé, un objectif majeur à l’heure des incertitudes que font peser les fluctuations sur les marchés internationaux : celui de la sécurité alimentaire. De surcroît, le secteur fait vivre 1,8 million de personnes et, si les perspectives tracées par le PMV se réalisent en totalité, ce sont 100.000 de plus qui vivront de la production des viandes rouges. Parce qu’elle a grande importance au plan de la sécurité alimentaire ainsi qu’au niveau économique et social, la filière a bénéficié de mesures d’amélioration qui ont été prises au moyen, notamment, «de l’identification et de la traçabilité, la labellisation des produits, la mise à niveau de la réglementation, la circulation des produits, la recherche appliquée et la

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modernisation des abattoirs». Modernisation qui a débuté par la mise en place de 8 projets privés intégrés comprenant des unités d’engraissement, d’abattage et de découpe ainsi que par la mise à niveau de 12 abattoirs municipaux. Mais surtout, et les interventions des professionnels à la réunion en ont dit l’importance, la commercialisation est centrale. Car «si des efforts importants ont été déployés pour le développement de l’amont de la filière à travers des mesures d’incitation à la production depuis le PMV, le principal goulot d’étranglement réside au niveau de la gestion des abattoirs et de la commercialisation des viandes régies par des textes réglementaires datant de plus de 60 ans». D’où le décret comme un signal fort en direction des investisseurs privés. Appuyé par des abattoirs modernes privés, il devrait même permettre d’exporter à moyen terme. Le ministre de l’intérieur a semblé avoir été sensible à cet argument et a promis de voir comment concilier entre les droits des communes sur les abattoirs installés sur leur territoire et les impératifs de la gestion privée. «Mais rassurez-vous, a dit Mohand Laenser à l’adresse des professionnels, je suis tout acquis à votre cause, car au final, c’est celle du consommateur». En fait, a-t-il ajouté, «c’est la cause de 34 millions de consommateurs marocains!». Le ministre a en effet affirmé sa conviction que la libéralisation du secteur des viandes rouges et la modernisation de la logistique de son transport auront le meilleur impact sur la qualité et sur les prix du produit final. Ahmed Salaheddine Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/focus/le-plan-akhannouch-pour-restructurer-la-filiere-des-viandes-rouges-99412.html

Les échos ; édition électronique du 21/11/2012 1,62MMDH et 112 projets pour l'agriculture solidaire

1,62 MMDH est le montant consacré au financement de 112 projets de l'agriculture solidaire, lesquels seront lancés à partir de 2013. Programmés dans le cadre du Plan Maroc vert, ces projets seront mis en œuvre dans toutes les régions du royaume et vont concerner différentes filières de production animale et végétale, sur une superficie de 66.000 ha. Dans ce sillage, force est de noter que 58% des projets programmés à l'horizon 2020 ont été

lancés, soit 319 projets. Source : http://www.lesechos.ma/index.php?option=com_content&view=article&print=1&id=27409

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Le Soir-échos, édition électronique du 21/11//2012 Viandes : les professionnels voient rouge Mohamed Mounjid Le monopole étatique sur les viandes rouges trace sa voie vers une libéralisation progressive. Le nouveau décret régissant le contrôle de la salubrité des viandes foraines verse dans ce sens. Superpositions de prérogatives, pression fiscale… des contraintes qui subsistent encore.

Les abattoirs privés de Tadla et Taroudant seront lancés en 2013 a assuré Aziz Akhanouch le ministre de l’Agriculture. « Le monopole étatique devra être enlevé». Mohand Laenser, ministre de l’Intérieur lance un message fort à l’occasion d’une conférence tenue lundi dernier au siège du ministère de l’Agriculture à Rabat. Est-ce à dire que son département compte enlever sa mainmise sur un secteur aussi vital que celui des viandes rouges ? En tout cas la mise à niveau du cadre juridique (décret numéro 2-12-612 modifiant et complétant l’arrêté viziriel du 28 septembre 1955) régissant le contrôle de la salubrité des viandes foraines verse dans ce sens. Pour rappel, il est prévu au titre des nouvelles dispositions apportées par le décret de permettre la libre-circulation entre régions des viandes provenant d’abattoirs agréés et le développement d’un réseau de transport frigorifique conforme à la législation et réglementation en vigueur. «Cette réforme législative permet ainsi aux professionnels de rompre avec une situation dans laquelle ils se trouvent doublement taxés et doublement contrôlés », affirme Hammou Ouhali président de la Fédération interprofessionnelle des viandes rouges (Fivar). L’esprit du texte juridique va également dans le sens de dissoudre les conflits d’intérêts et de diluer les superpositions de prérogatives entre les deux départements que sont l’Intérieur et l’Agriculture. Des superpositions qui entravent la mise à niveau réelle du secteur comme l’a souligné M’hamed Karimine, président de l’Association nationale des producteurs de viandes rouges. Autre point de discorde et pas des moindres à savoir la pression fiscale. «Le système de taxation actuel ne suit aucune logique. De l’anarchie tout simplement…», se désole ce professionnel. «Nous réclamons la réglementation de ces taxes locales et de rendre une partie de leur recettes aux Souks », revendique-t-il. Une autre façon de dire qu’il est temps de réorganiser la filière et d’améliorer sa gestion. Pour d’autres, la réforme fiscale ne relève pas

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des priorités. «Mettant d’abord sur les rails la réforme sanitaire et hygiénique et passer ensuite au volet fiscal», commente ce professionnel. Le nouveau cadre juridique plaide en faveur donc de la libéralisation du secteur et partant encourager l’investissement privé. Au vu des conditions draconiennes dans lesquelles s’opèrent les opérations d’abattage et de commercialisation de la viande rouge on pourrait dire qu’il s’agit là d’un «tournant historique» pour reprendre les propres termes du ministre de l’Agriculture , Aziz Akhannouch. Ainsi deux cahiers de charges relatifs respectivement à l’agrément sanitaire et la gestion déléguée des abattoirs communaux ont été élaborés par les deux départements en charge de ce secteur. Le contrat-programme (2009-2014) prévoit ainsi de mettre à niveau 12 des 179 abattoirs municipaux que compte le pays, c’est à dire déléguer leur gestion aux opérateurs privés. Figure également sur la liste des objectifs, la création de 8 projets intégrés comprenant tous les processus de la chaîne (engraissement, abattage, découpe et commercialisation). Le premier projet du genre, celui de Meknès, est déjà opérationnel (voir encadré). Akhannouch assure qu’un deuxième (celui de Tadla) est en cours d’achèvement (réalisation de 70 % des travaux). «Un autre sera lancé début 2013 à Taroudant et cinq autres attendent la publication du texte sur la circulation des viandes», ajoute-t-il.

Premier abattoir privé Hammou Ouhali , DG de la société Abattoir OB appartenant au groupe Finance.com soutient que l’expérience du premier abattoir privé de viandes rouges au Maroc a eu un succès. L’unité traite plus de 500 tonnes et compte une trentaine d’employés. La totalité de la production est écoulée sur le marché national, ajoute-t-il. De l’avis du DG, la société se conforme aux normes européennes aussi bien en termes d’hygiène que de process de gestion. D’où son appel adressé aux consommateurs d’exiger un produit de qualité. Viandes rouges en chiffres 1,8 millions de journées de travail, soit 40 % de l’emploi total agricole 200 000 tonnes de viandes contrôlées par an, soit 52 % du total 439 000 de viandes produites en 2011 contre 376 000 en 2007 Chiffre d’affaires : 22 milliards de dirhams 12,3 kg de viandes consommées par habitant et par an.

Source : http://www.lesoir-echos.com/viandes%E2%80%89%E2%80%89les-professionnels-voient-rouge/entreprise/61344/

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Aujourd’hui le Maroc, édition électronique du 20/11/2012 Une foire régionale des produits de terroir à Casablanca

L’initiative, financée par l’AECID avec un million d’euros, envisage plusieurs activités, parmi lesquelles la réorganisation de la carte judiciaire. Rendre le système judiciaire marocain plus efficace. Tel est le but du protocole de coopération du projet «Renforcement de la justice de proximité ADL 2ème phase» qui sera signé entre le Maroc et l’Espagne demain, mercredi 21 novembre. La partie marocaine sera représentée par le ministre de la justice et des libertés, Mustafa Ramid, et le ministre de l’économie et des finances, Nizar Baraka. Quant à la partie espagnole, elle sera représentée par le directeur de coopération pour l’Afrique et pour l’Asie de l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID), Alberto Virella. Le secrétaire général du ministère de la justice, Abdelmajid Rhomija, l’ambassadeur d’Espagne, Alberto Navarro, et la coordinatrice générale de l’AECID au Maroc, Cristina Gutiérrez, prendront également part à l’acte de signature. Cet accord représente, selon un communiqué de presse, la continuation du partenariat entre les deux pays dans ce domaine. L’initiative, financée par l’AECID avec un million d’euros, envisage plusieurs activités, parmi lesquelles la réorganisation de la carte judiciaire et l’amélioration des bureaux d’orientation juridique dans les Cours d’appel et les tribunaux de première instance. Source : http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/24-heures/une-foire-regionale-des-produits-de-terroir-a-casablanca-99386.html

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Les échos ; édition électronique du 20/11/2012 Le redressement productif est lancé Par Safall FALL

Ça sent le grand rattrapage. Les dernières précipitations intervenues sur la majeure partie des régions agricoles du royaume confirment le bon démarrage de la campagne agricole 2012-2013 et maintiennent le moral des agriculteurs et des institutionnels par rapport à l’état de ce secteur. En plus d’un effet de rétablissement d’optimisme conjoncturel sur les équilibres macro-économiques prévisionnels du pays, il faut savoir que le niveau de pluviométrie en ce début de campagne revient de très loin. Elle est en variation de plus de 400% en comparaison à celle absorbée à la

même période en 2011. Le cumul pluviométrique a, de fait, progressé de 6 à 31 millimètres (mm) à fin septembre dernier, selon les dernières actualisations disponibles auprès du ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime. Mais si, pour la majorité des professionnels, «il est encore bien prématuré de se fixer sur l’état prévisionnel de la campagne en cours», les institutionnels affichent pour leur part un enthousiasme beaucoup moins contenu. Les dernières statistiques de la pluviométrie ont été reprises en fin de semaine dernière par Bank Al-Maghrib, afin d’illustrer une certaine reprise conjoncturelle de l’économie nationale en prévision du dernier trimestre de l’année et du début de la prochaine. «Les derniers indicateurs disponibles font état d’une évolution favorable au niveau du secteur primaire», apprécie-t-on auprès des équipes de veille économique de la Banque centrale. Sur un point de vue sectoriel, les céréales, les agrumes et les primeurs, devraient être les principales cultures à profiter le plus de cette situation, même si aucune actualisation détaillée n’est pour le moment disponible. Les filières agrumicoles, en l’occurrence, semblent bien parties pour relever leurs performances à la production et à l’export. Sur ce dernier créneau, les exportations s’inscrivaient très sensiblement en baisse (-56%) à fin septembre dernier, par rapport à la même période de la dernière campagne agricole, avec un cumul en volumes exportés de 10.000 contre 24.000 tonnes. Providence VS... Au-delà de cette faveur providentielle constituée par la bonne pluviométrie, il est certain que l’État mise gros sur cette campagne. Dans le projet de loi de finances actuellement en débat au Parlement, le gouvernement Benkirane mise effectivement sur un taux de croissance global de l’économie marocaine en 2013, de 4,5%. Cette évolution prévisionnelle est principalement fondée sur un niveau de «rendement moyen» attendu de la campagne agricole en 2013, et qui devrait être en amélioration significative en comparaison avec les récoltes 2011/2012. Ces prévisions se font d’autre part à travers une conjoncture profondément impactée par la «poursuite de la contraction de la production agricole au troisième trimestre 2012», comme le décrit le Haut commissariat au plan (HCP) dans sa dernière note de veille. «Elle aurait reculé de 8,6% en variation annuelle : les récoltes des trois principales céréales et des légumineuses

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ayant connu des baisses respectives de 39 et 46%, conséquence du déficit pluviométrique ayant marqué le milieu de la campagne précédente», poursuit-on au niveau de la structure publique. La même source indique cependant que l’activité d’élevage aurait été relativement favorable, malgré le renchérissement des prix des aliments de bétail, notamment ceux de l’orge et de la paille. «C’est ainsi qu’à fin août 2012, la production de viande rouge ovine se serait accrue de 7% en comparaison avec la même période une année plus tôt», selon les actualisations fournies par la tutelle. Le constat est également globalement le même au niveau des prévisions de la Direction des études et prévisions financières du ministère des Finances. ...Mesures de soutien Dans ses efforts de redressement productif du secteur primaire, l’État a annoncé plusieurs mesures de soutien à la production du secteur ainsi qu’aux investissements. Ces actions concernent d’abord la mobilisation de 1,5 million de quintaux de semences céréalières subventionnées, pour un coût budgétaire estimé à quelque 250 MDH. Le marché local sera également largement approvisionné en engrais, avec une quantité de près d'1 million de tonnes, dont 480.000 tonnes d’engrais de fond. À cela s’ajoutent d’autres actions transversales, portant sur la poursuite du programme national d'économie d'eau relatif à la reconversion collective des systèmes d'irrigation. Il s’agit de produire plus... mais aussi de protéger cette production. Le programme d’assurance multirisque agricole sera poursuivi sur une superficie de 500.000 hectares pour la campagne actuelle, contre environ 330.000 hectares au titre de la campagne précédente. «Ces mesures ont porté, également, sur la poursuite des aides accordées au secteur agricole dans le cadre du Fonds de développement agricole et de leur extension aux plantations de nouvelles espèces fruitières», selon la DEPF. Un montant de 3 MDH est ainsi programmé pour alimenter ce fonds en 2013, ce qui va induire un investissement global de 9 MMDH. Les graines sont semées...

L’Oriental mise sur la valorisation «Le taux de réalisation des projets programmés dans le cadre du Plan Maroc Vert à l’horizon 2020, au niveau de la région de l’Oriental, a atteint 40 %», explique Abderrahmane Nailli, directeur régional de l’agriculture (DRA). Les projets qui ont donné une nouvelle dynamique à la modernisation du secteur portent notamment sur l’agriculture solidaire. L’Offre régionale comprend 77 projets agricoles dont 41 projets en Pilier I, 19 projets Pilier II et 17 projets transversaux. Le coût global pour la réalisation du plan agricole de la région est estimé à plus de 9 MMDH au titre de la période 2012/2020. Ces projets ont été choisis en fonction des potentialités de la région, qui visent la consolidation et la valorisation de la production ainsi que l’étude des marchés au niveau local et la promotion de l’exportation. «Le bilan des

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réalisations est plus que satisfaisant en termes de nombre de projets et en termes d’investissements générés», précise le directeur de la DRA. La première action a connu le lancement de 4 projets Pilier I, qui ont été lancés pour un investissement global de 929 MDH et 7 projets pilier II pour un investissement de 435,7 MDH. Dans le cadre des projets Pilier I, trois projets d’agrégation des agrumes au niveau de la province de Berkane, avec un investissement privé de 806 MDH. Un autre projet d’agrégation a été initié pour le développement de la filière laitière, dont l’étendue spatiale couvre 6 provinces. Le montage de ce projet entre la COLAIMO, en tant qu’agrégateur et 58 coopératives laitières représentent plus de 3.600 éleveurs et un cheptel de 21.000 têtes. Les projets Pilier II concernent d’une part, un projet d’adduction d’eau d’irrigation à partir du barrage Sfeissif et le développement de l’Oasis de Figuig avec un investissement public de 200 MDH. Pour la filière oléicole, 4 projets de reconversion des céréales en olivier ont été lancés avec un investissement global de 133,7 MDH. Parmi eux figure un projet de reconversion de 2.500 ha et d’un autre de 2.600 ha, respectivement dans les communes rurales de Tafersit et d’Azlaf dans la province de Driouch. Source : http://www.lesechos.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=27375%3Ale-redressement-productif-est-lance-&catid=3%3Aevenements&Itemid=2

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Les échos ; édition électronique du 20/11/2012 L’optimisme est de mise dans le sud Par Yassine SABER

La campagne agricole se prépare. Le pari sera-t-il gagné ? «Les conditions sont réunies pour que cette campagne agricole soit juteuse, notamment avec la pluviométrie enregistrée et les différentes actions entreprises», précise Lahcen Jaby de la Direction régionale de l’Agriculture Souss-Massa-Drâa. Une série de mesures a été mise en place en vue de réussir cette campagne agricole 2012-2013. L’accent a été mis en particulier sur les subventions dédiées aux prix des semences sélectionnées et des engrais. À ce propos, les taux de subvention unitaires appliqués

sont de 170 DH par quintal pour le blé tendre, de 180 DH/ql pour le blé dur et de 160 DH/ql pour l’orge. La quantité disponible des trois variantes est égale à 19.418 qx tandis que celle distribuée est arrivée à 15.936 qx. S’agissant des fertilisants, la capacité commercialisée a atteint cette année 13.000 qx contre 4.000 durant la campagne écoulée. Respectivement, les prix maximums de vente des semences pour les espèces précitées sont fixés à 345 DH, 390 DH et 365 DH. Un réseau de 34 points de vente regroupant les Centres de mise en valeur et les Directions provinciales de l’agriculture a été mis à la disposition de la SONACOS pour assurer l’approvisionnement des agriculteurs en matière de semences et d’engrais. Concernant l’assurance multirisque climatique, l’objectif cette année est de couvrir une superficie égale à 500 ha au lieu de 300 ha lors de la campagne écoulée, en plus de l’élargissement du produit pour couvrir les arbres fruitiers. Dans le même sens, l’approvisionnement des régions touchées l’année dernière se poursuivra à travers la distribution de 80.000 qx de blé et de 30.000 tonnes de denrées alimentaires pour bétail subventionnées. Rappelons que l’année précédente, 69 communes ont été déclarées sinistrées au niveau de la région du Souss-Massa-Drâa à cause de la vague de gel et de chaleur qui a malmené les récoltes, surtout d’agrumes. De surcroît, il a été procédé également au subventionnement de 50% du budget global des analyses agricoles en matière de terre, d'eau et de plantes tout en poursuivant l’encadrement technique et sanitaire du bétail via le programme de vaccination et la numérotation des vaches. En outre, un appui est accordé au titre de l'utilisation des tracteurs agricoles. Il correspond à 40% du prix de location pour un agriculteur agrégé et à 30% pour le mono-agriculteur. La pluviométrie enregistrée récemment a entraîné un remplissage des barrages. De ce fait, l’allocation des dotations est assurée en vue de réaliser une année normale en matière d’irrigation. Parmi les actions entreprises, notons la poursuite du Programme national en matière d’économie d’eau et d’ajustement des crédits relatifs aux retards de paiement des eaux d’irrigation. Cette année encore, les agriculteurs seront équipés de systèmes d’irrigation dans le cadre de l’appui du Fonds de développement agricole. L’objectif est d'atteindre 7.400 ha au titre de l’année 2013. La production animale et végétale n’est pas exclue, à cet égard des

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allègements en termes d’impôts et de TVA ont été accordés sur l’importation des bovins. Toutefois, la vaccination du bétail se poursuivra, ainsi que la lutte contre les maladies affectant les récoltes. Source : http://www.lesechos.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=27376%3Aloptimisme-est-de-mise-dans-le-sud&catid=3%3Aevenements&Itemid=2

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Les échos ; édition électronique du 20/11/2012 Les américains fans de la clémentine marocaine Par Mehdi LAHDIDI

Les exportations marocaines de clémentines vers les Etats-Unis ont grimpées de 114% au cours de la dernière saison. Cette hausse considérable a été le sujet d’une réunion, lundi au port de Wilmington, entre les autorités portuaires et locales de l’Etat du Delaware (la côte Est américaine, où se situe le port) et l’ambassadeur du Maroc à Washington, Rachad Bouhlal ainsi que des responsables du groupe d’exportation «Fresh Fruit Maroc». Le

gouverneur de l’État de Delaware, Jack Markell a ainsi indiqué que «les revenus annuels de ces exportations sont estimés à 5,6 millions de dollars et contribuent à la création et au maintien de 100 postes d’emploi au sein de l’établissement portuaire». Et d'ajouter que «durant la période allant d’octobre 2011 à janvier 2012, le port de Wilmington a connu le transit de près de 23.000 tonnes de clémentines marocaines». Markell a également exprimé la volonté de son Etat d’élargir les exportations marocaines, afin d’englober d’autres produits comme les légumineuses et les fruits de mer, réitérant sa volonté de faire de ce port le point central de transit des exportations marocaines vers les États-Unis, liés depuis 2006 par un accord de libre échange (ALE) avec le Maroc. Source : http://www.lesechos.ma/index.php?option=com_content&view=article&print=1&id=27392

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La Nouvelle tribune, édition électronique du 20/11/2012 La Fondation Crédit Agricole du Maroc pour le Développement Durable primé à Genève

La Fondation Crédit Agricole du Maroc pour le Développement Durable s’est vue décerner le Prix d’Excellence de la Fondation Suisse Maroc pour le Développement Durable en marge du 5 ème Symposium Economique Euro-Méditerranée tenu le 2 novembre 2012 au palais des Nations Unies à Genève. Avec cette distinction, le jury a distingué le programme innovant d’Optimisation de la Performance Energétique dans les Exploitations Agricoles, conduit en partenariat avec l’Agence Nationale pour le Développement des Energies renouvelables et de l’Efficacité Energétique. Selon la Fondation, «la démarche pilote d’audit énergétique dans des grandes exploitations agricoles a permis de démontrer un potentiel de réduction d’environ 20 % de la facture énergétique annuelle par exploitation et de recommander une dizaine de mesures d’économie d’énergie». Et suite à cette expérience pionnière, la Fondation a édité un guide pratique, accessible sur le portail d’informations agricoles du Crédit Agricole du Maroc (www.fellah-trade.com), sur la réduction de la facture énergétique. De même, le Groupe prépare actuellement le lancement d’un produit de financement dédié aux actions d’efficacité énergétique, «Ecotaqa». Source : http://www.lnt.ma/finance/la-fondation-credit-agricole-du-maroc-pour-le-developpement-durable-prime-a-geneve-58574.html

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Menara.ma, édition électronique du 20/11/2012 Nouveau décret relatif aux viandes rouges, "un tournant décisif" MAP / .

Le nouveau décret relatif au contrôle de la salubrité des viandes foraines, adopté le 1er novembre 2012 en Conseil de gouvernement, marque "un tournant décisif" dans le développement de la filière. Ce qu'a indiqué, lundi à Rabat, le ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, Aziz Akhannouch. "Ce décret est l'amorce d'une restructuration de ce secteur, qui contribue pour environ 30 pc du PIB agricole, crée 1,8 million d'emplois et génère un chiffre d'affaires de 22 milliards de dirhams (MMDH) par an", a fait marquer M. Akhannouch, qui co-présidait avec le ministre de l'intérieur, Mohand Laenser, une rencontre avec les professionnels de la filière des viandes rouges. "Ledit décret permet la libéralisation du transport des viandes rouges avec comme objectif primordial, la baisse des prix de ces viandes ", a-t-il précisé. Pour sa part, M. Laenser a souligné "l'importance de cette nouvelle législation du marché des viandes rouges qui permet de libéraliser ce secteur et promouvoir leur commercialisation". Le décret adopté permet de créer un marché des viandes compétitif et inciter les opérateurs privés à investir dans le domaine. Il prévoit, au titre des nouvelles dispositions, la libre circulation entre régions des viandes provenant d'abattoirs agréés et le développement d'un réseau de transport frigorifique conforme à la législation et réglementation en vigueur. En plus de cette mesure réglementaire, deux cahiers de charges relatifs, respectivement, à l'agrément sanitaire et la gestion déléguée des abattoirs communautaires ont été élaborés par les deux départements ministériels (intérieur et agriculture) et diffusés auprès des communes concernées. Ce nouveau cadre vient compléter les importantes mesures prises dans le cadre du contrat programme 2009-2014, pour un investissement de 6 MMDH, dont 850 millions de dirhams

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(MDH) apportés par l'Etat sous forme de primes à l'investissement, de subventions aux éleveurs et de soutien aux organisations professionnelles de la filière. Pour améliorer les conditions cadre de la filière, 12 abattoirs municipaux seront mis en place dans le cadre de la gestion déléguée, ainsi que 8 projets intégrés et/ou d'agrégation comprenant des unités d'engraissement, d'abattage et de découpe pour un montant global dépassant les 560 MDH et permettant la création de 1.670 postes d'emploi à temps plein. Ces 20 projets constituent une feuille de route pour les années à venir. Le Plan Maroc vert accorde une importance particulière à la filière des viandes rouges et vise une production de 500.000 tonnes de viandes à l'horizon 2020. Des efforts importants ont été déployés pour le développement de la filière à travers notamment, l'augmentation de la productivité et l'intensification de la production d'une part, et l'amélioration des conditions de commercialisation du cheptel et des viandes d'autre part. Source : http://www.menara.ma/fr/2012/11/19/368489-le-nouveau-d%C3%A9cret-relatif-aux-viandes-rouges-un-tournant-d%C3%A9cisif-pour-le-d%C3%A9veloppement-de-la-fili%C3%A8re-ministre.html

L’Observateur, édition électronique du 20/11/2012 Projets solidaires en 2013

Selon le ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch, cent-douze projets de l’agriculture solidaire seront lancés à partir de 2013 dans le cadre du Plan Maroc Vert. Le budget prévu est de 1,62 milliard de dirhams. 29.650 personnes en bénéficieront. Le ministre a précisé, en réponse à une question orale au parlement lundi 19 novembre que ces projets seront mis en œuvre dans toutes les régions et concerneront différentes filières de production animale et végétale, sur une superficie de 66.000 ha. Source : http://lobservateurdumaroc.info/2012/11/20/projets-solidaires-en-2013/

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Menara.ma, édition électronique du 20/11/2012 La clémentine marocaine prend la vedette dans l'Etat américain de Delaware MAP -DNES : Naoufal Enhari. Wilmington (Delaware), 20 nov. 2012 (MAP) - Les exportations marocaines de clémentines vers les Etats-Unis, marquées par une hausse de 114 pc au cours de la saison écoulée, ont été au centre d'une réunion, lundi au port de Wilmington (Delaware), entre les autorités portuaires et locales de cet Etat de la côte Est américaine et l'ambassadeur du Maroc à Washington, Rachad Bouhlal ainsi que des responsables du groupe d'exportation "Fresh Fruit Maroc". Le port de Wilmington, qui représente le premier port des Etats-Unis pour l'importation de fruits et la plus grande plate-forme de stockage frigorifique en Amérique du Nord, est en effet la principale porte d'entrée des exportations de clémentines marocaines vers la région et un centre de distribution majeur desservant quelque 200 millions de consommateurs. Intervenant à cette occasion, le gouverneur de l'Etat de Delaware, Jack Markell, s'est félicité de la qualité et de l'importance des exportations marocaines de clémentines via le port de Wilmington, où elles génèrent des revenus annuels estimés à 5,6 millions de dollars et contribuent à la création et au maintien d'une centaine de postes d'emploi au sein de cette installation portuaire. M. Markell a relevé, à cet égard, que durant la période allant d'octobre 2011 à janvier 2012, le port de Wilmington a connu le transit de près de 23.000 tonnes de clémentines marocaines, tout en formulant l'espoir que ces exportations marqueront une performance encore meilleure durant la saison actuelle. Le gouverneur de Delaware a également exprimé la volonté de son Etat d'élargir le champ des exportations marocaines transitant par le port de Wilmington afin d'englober d'autres produits comme les légumineuses et les fruits de mer, réitérant sa volonté de faire de ce port le point central de transit des exportations marocaines vers les Etats-Unis, liés depuis 2006 par un Accord de libre échange (ALE) avec le Royaume. Pour sa part, le Sénateur de l'Etat de Delaware, Chris Coons, a salué le niveau des échanges commerciaux entre le Maroc et les Etats-Unis, soulignant que les exportations marocaines contribuent à la croissance économique et à la création d'emploi dans son Etat. "Les exportations marocaines transitant par le port de Wilmington génèrent annuellement plusieurs millions de dollars de revenus aux Etats-Unis et soutiennent l'emploi au Delaware", a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse à cette occasion. Rappelant, par ailleurs, que le Maroc fut la première nation à reconnaitre l'indépendance de la jeune république américaine en 1777, le Sénateur Coons a souligné la volonté de son pays d'élargir et de renforcer le champ des échanges et de coopération avec le Royaume en vue de les porter au niveau de l'excellence des relations politiques et séculaires liant Rabat et

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Washington. De son côté, M. Bouhlal, s'est également félicité du niveau et de la qualité des exportations de clémentines marocaines vers les Etats-Unis, soulignant qu'elles reflètent l'excellence et le "grand potentiel" des relations économiques maroco-américaines. Il a relevé, à cet égard, que les exportations marocaines contribuent au développement économique et à la création d'emploi aussi bien au Maroc qu'aux Etats-Unis, tout en rappelant la tenue début décembre prochain à Washington d'une importante conférence sur l'investissement qui fait suite à la tenue en septembre dernier de la première session du Dialogue stratégique entre le Maroc et les Etats-Unis. La délégation marocaine, qui a visité à cette occasion certaines composantes du port de Wilmington, s'est également enquise des conditions de stockage des clémentines marocaines, dont la dernière cargaison en date est arrivée vendredi dernier pour coïncider avec la célébration aux Etats-Unis de la fête de Thanksgiving, au cours de laquelle ce type d'agrumes est très sollicité par le consommateur américain. Dans une déclaration à la MAP, le directeur général de "Fresh Fruit Maroc", Abdel-Krim Ouguellit, a expliqué que l'objectif de son groupe est de réaliser d'ici fin janvier prochain un export de clémentines d'au moins mille tonnes vers le marché américain, notant que le port de Wilmington reste la principale porte d'entrée de la clémentine marocaine au marché nord-américain. Depuis 2000, date du lancement de ces exportations vers le port de Wilmington, le groupe "Fresh Fruit Maroc" a exporté plus de 242.000 palettes de clémentines d'une valeur marchande de plus de 345 millions de dollars. (MAP). FI----BI. AK. Source : http://www.menara.ma/fr/2012/11/20/369408-la-cl%C3%A9mentine-marocaine-prend-la-vedette-dans-letat-am%C3%A9ricain-de-delaware.html

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Menara.ma, édition électronique du 20/11/2012 Plan Maroc Vert: 112 projets solidaires programmés à partir de 2013 Agence / MAP

112 projets de l'agriculture solidaire seront lancés à partir de 2013 dans le cadre du Plan Maroc Vert, pour un investissement de près de 1,62 milliard de dhs, devant bénéficier à 29.650 personnes. C'est ce qu'a annoncé lundi le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch. Répondant à une question orale à la Chambre des représentants, le ministre a précisé que ces projets seront mis en œuvre dans toutes les régions du Royaume et vont concerner différentes filières de production animale et végétale, sur une superficie de 66.000 ha. Au volet des réalisations, M. Akhannouch a fait savoir que 319 projets ont déjà été lancés, soit 58 pc des projets programmés à l'horizon 2020. La mise en œuvre de ces projets, qui profitent à 417.000 bénéficiaires, sur une superficie de 611.000 ha, nécessiteront un montant de 10,3 milliards de DH, soit 52 pc de l'investissement total prévu jusqu'en 2020. Source : http://www.menara.ma/fr/2012/11/19/368264-plan-maroc-vert-112-projets-solidaires-programm%C3%A9s-%C3%A0-partir-de-2013.html

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Le Soir-échos, édition électronique du 20/11//2012 Elimane Sembene Zoom sur le Salon avicole 2012 La Fédération interprofessionnelle du secteur avicole (FISA) organise du 27 au 29 novembre, la 15e édition du Salon avicole de Casablanca «Dawajine 2012». 356 exposants et marques y sont attendus.

L’édition 2012 de Dawajine accueillera 356 exposants et marques exerçant dans des domaines en relation avec l’aviculture. Du 27 au 29 novembre prochain, le parc des expositions de l’Office des Changes de Casablanca sera le carrefour des spécialistes de l’aviculture. « Le Salon Dawajine 2012 constitue aujourd’hui une occasion incontournable pour les professionnels de découvrir les nouvelles technologies et innovations dans le domaine de l’aviculture et joue un rôle primordial dans la modernisation des outils de production et la mise à niveau de l’aviculture marocaine» lit-on dans le communiqué. 15 000 visiteurs marocains et étrangers pourront s’enquérir des dernières technologies et innovations réalisées dans le secteur, ou encore découvrir les potentialités de l’ Afrique du Nord et de l’Ouest. Les organisateurs annoncent la présence de 356 exposants et marques exerçant dans des domaines en relation avec l’aviculture : fournisseurs de souches, fabricants d’aliments composés, abattoirs avicoles, laboratoires de produits pharmaceutiques, entreprises spécialisées dans la construction de bâtiments d’élevage, la transformation ou la sur-transformation de viandes de volailles et des œufs, etc. 60 % d’entre eux proviendront d’Europe, des États-Unis, d’Afrique et d’Asie. L’aviculture alimente l’économie marocaine. En 2010, elle a réalisé un chiffre d’affaires de 23,20 milliards de dirhams pour un investissement estimé à 9,40 milliards de dirhams, d’après la fédération interprofessionnelle du secteur avicole. 510 000 tonnes de viandes de volailles et 3,7 milliards d’œufs ont été produits durant la même période. L’aviculture représente 10 % des besoins en volailles et 52 % de la consommation de toutes les viandes confondues. Elle a favorisé la création de 110 000 emplois directs et près de 250 000 emplois indirects dans le commerce et la distribution. Source : http://www.lesoir-echos.com/zoom-sur-le-salon-avicole-2012/environnement/61308/

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Le Soir-échos, édition électronique du 20/11//2012 « Nous sommes dans une situation de stress hydrique » Le Haut Commissaire aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la désertification, Abdeladim Lhafi a récemment présenté un rapport qui alerte sur une éventuelle pénurie d’eau au Maroc. Le Soir échos l’a rencontré pour connaître les raisons de cette menace et les mécanismes pour y remédier.

« L’eau est une denrée collective et ceux qui l’utilisent doivent en assumer le coût » estime Abdeladim Lhafi.

Le rapport élaboré par le Haut Commissariat des Eaux et Forêts et à la désertification prévoit une pénurie d’eau au Maroc à l’horizon 2020 avec notamment une réduction de 49 % de la consommation en eau de chaque citoyen. Y a t-il péril en la demeure ?

Le rapport n’est pas alarmiste. La question de l’eau est centrale. On part d’un certain nombre d’éléments techniques, factuels et scientifiques qui nous montrent que le volume d’eau disponible au Maroc est assez limité avec 17 milliards de m3. Les simulations de la Direction de la météorologie nationale prévoient des changements importants dus au phénomènes climatiques – en partant des conclusions du Groupe d’experts intergouvernementaux sur l’évolution du climat- (GIEC) – qui vont notamment se traduire par une diminution des précipitations variables selon les régions du Maroc, l’apparition de phénomènes extrêmes comme les inondations et la sécheresse, un décalage dans le rythme des saisons -ce qui risque de poser un véritable problème au niveau des itinéraires de production agricole, et l’augmentation des températures. La conjugaison de ces différents éléments montre que le volume d’eau pour chaque habitant diminue progressivement. Nous sommes passés d’une situation d’abondance à une situation de stress hydrique, pour baigner actuellement dans une situation de pénurie.

Abdeladim Lhafi

Il n’y a pas de fumée sans feu. Quelles sont les raisons de cette pénurie ?

Elle est due au changement des modes de développement. Les plans sectoriels ne sont plus de mise. Il faut essayer de voir les modes de développement compatibles à chaque territoire, en

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se référant aux conditions climatiques comme le sol et l’eau. Et à partir de là, concevoir des modèles de développement qui permettraient de faire des arbitrages entre les secteurs de l’agriculture, de l’eau potable, du tourisme, de l’industrie, etc. Le rapport indique aussi qu’il ne suffit pas de proposer des solutions intérimaires ou provisoires qui peuvent donner l’illusion d’avoir résolu ces problèmes. Il évoque la situation dans le Souss où il existe un déficit hydrique énorme, qui engendre le recours à la nappe phréatique, réserve stratégique à laquelle on ne doit recourir que dans les situations d’extrême urgence…

Qui dit eau, dit forcément agriculture. Cette situation ne risque-t-elle pas de plomber les efforts déployés par l’État, notamment dans le cadre du Plan Maroc Vert ?

L’agriculture utilise plus de 85 % de l’eau. Mais il existe des moyens pour pratiquer des agricultures économes en eau, à haute valeur ajoutée et respectueuse de l’environnement. L’État a fait d’énormes efforts en terme de transformation de toute l’irrigation de terre en irrigation goutte à goutte. Il a également octroyé des subventions. Il importe de réviser les tarifs en eau comme le prévoit la loi. L’eau est une denrée collective et ceux qui l’utilisent doivent en assumer le coût. En apportant de nouvelles technologies, l’État peut éviter au secteur agricole les répercutions de la pénurie d’eau. Nous préconisons ce modèle de développement pour épargner ce risque à notre agriculture et aux générations futures. Et cela passe par la mise en place d’un équilibre écologique.

Le rapport évoque aussi des pertes en eau au niveau des différents barrages. Que proposez-vous pour lutter contre ce fléau?

Avec les changements climatiques et les situations extrêmes citées tantôt, il y a une érosion hydrique importante des barrages. Elle se traduit par une perte en sol, qui fait que ces terres se retrouvent dans les barrages. Le Maroc perd annuellement l’équivalent de 75 millions de mètres cubes. Autrement dit, la capacité de retenue de ces barrages, diminue chaque année. Le rapport souligne aussi que depuis 1950, le royaume a perdu 1,5 milliards de mètres cubes. Il faudrait déployer plus d’efforts pour le traitement de ces bassins versants afin de capitaliser, mais il faut également prévoir une reforestation, en vue de retenir l’eau dans les barrages. Aujourd’hui, 1 million d’hectares doivent être traité urgemment. Le Haut Commissariat des Eaux et Forêts n’en a traité pour le moment que 750 000. Il faut augmenter cette cadence à travers un financement de 400 à 700 millions de dirhams, car les techniques et les méthodes sont disponibles. Des études ont été effectuées en ce sens.

À vous entendre, le risque semble évident. Existe-t-il des solutions pour y remédier ?

Premièrement, une prise de conscience par rapport à cette situation . Le développement intégré n’est pas une somme de plans sectoriels mais un programme qui se conçoit globalement. Deuxièmement, la nécessité de concevoir un développement régionalisé. Au niveau du Haut Commissariat, nous avons beaucoup travaillé sur le concept des éco-régions, c’est à dire en essayant de voir les homogénéités territoriales et étudier leurs disponibilités en eau, leur fragilité et les modes de développement possibles. Ces données peuvent servir à élaborer des plans de développement tenant compte de toutes ces spécificités. Troisièmement, la prise en compte des changements climatiques dans le cadre du développement durable, une notion qui est souvent mal comprise au niveau de la pratique. Le développement durable résulte de trois conditions : la croissance économique, les équilibres écologiques et environnementaux et l’accès aux biens et aux services. Il revient aux gestionnaires des

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territoires de mettre en commun ces trois éléments de la manière la plus rationnelle possible, en s’appuyant notamment sur les nouvelles technologies.

Chiffres clés du rapport

720 m3 d’eau pour chaque citoyen contre 1010 m3 en 2000 et 2500 m3 en 1980. Réduction de 49% de la part d’eau consommée par chaque marocain à l’horizon 2020. Perte annuelle de 75 millions de m3. Perte de 1,5 milliards de m3 depuis 1950 à cause de l’érosion hydrique. Régression de la nappe phréatique de 60 mètres durant les 24 dernières années. Déficit annuel de 900 millions de m3 de la nappe phréatique.

Source: http://www.lesoir-echos.com/%E2%80%89nous-sommes-dans-une-situation-de-stress-hydrique%E2%80%89/environnement/61312/

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Libération, édition électronique du 20/11/2012 Réunion du Comité de la sécurité alimentaire : Participation du Maroc aux travaux de la CEA Les travaux de la IIXème session du Comité de la sécurité alimentaire et du développement durable, relevant de la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (CEA), se sont ouverts hier à Addis-Abeba, avec la participation du Maroc. Initiée jusqu'au 21 novembre, cette session vise à évaluer les progrès accomplis dans l'exécution du programme de la sécurité alimentaire et du développement durable pour la période 2012-2013, et à donner des orientations complémentaires concernant les activités à mener en 2013. Selon les organisateurs, la réunion adoptera à l'issue des travaux un document final en tant que contribution de l'Afrique à la 20è session de la Commission du développement durable de l'ONU, qui examinera les conclusions de la Conférence de Rio+20. Le Comité de la sécurité alimentaire et du développement durable est une structure technique composée d'experts de haut niveau représentant les gouvernements, les milieux universitaires, les instituts de recherche, le secteur privé et la société civile des Etats membres de la CEA. Il se réunit une fois tous les deux ans et sert d'instance de promotion de la coopération et d'échange d'informations entre les pays africains dans les domaines liés à la sécurité alimentaire, l'agriculture, l'environnement, les questions foncières, les changements climatiques et le développement durable. Le Comité sert en outre de cadre d'évaluation de la suite donnée en Afrique aux textes issus des grandes conférences et sommets en rapport avec le développement durable des pays du continent. La première session du Comité a été organisée en 1999 sous le thème «Assurer la sécurité alimentaire et le développement durable en Afrique: le lien entre la population, l'agriculture et l'environnement». MAP Source : http://www.libe.ma/Reunion-du-Comite-de-la-securite-alimentaire-Participation-du-Maroc-aux-travaux-de-la-CEA_a32429.html

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La Vie-éco, édition électronique du 20/11/2012 Commerce équitable : une douzaine d'opérateurs certifiés "bio équitable" au Maroc La loi relative au commerce équitable tarde à voir le jour, le secteur souffre d'un manque de contrôle. La majorité des certifications concernent l'huile d'argan dans les régions de Taroudant, d'Agadir ou encore de Sidi Ifni.

Cela fait plus d’un an, depuis le 4 novembre 2011 pour être précis, que l’avant-projet de loi relatif au commerce équitable a été mis en ligne sur le site web du Secrétariat général du gouvernement (SGG) pour commentaires. Elaboré par le ministère délégué auprès du chef du gouvernement chargé des affaires générales et de la gouvernance, chapeauté par Najib Boulif, ce texte aura donc connu comme tout avant-projet une période de 30 jours pendant laquelle tout un chacun pouvait le commenter. Ce laps de temps est bien entendu depuis longtemps arrivé à terme. Aujourd’hui, l’on ne sait toujours pas si le Secrétaire général du gouvernement, Driss Dahak, a pris en compte les commentaires et les réponses du ministère des affaires générales pour élaborer la version finale de l’avant-projet de loi à présenter au conseil de gouvernement. D’après le cabinet du ministre Najib Boulif, le texte serait encore en circulation pour recueillir les avis des différents interlocuteurs. Rappelons que cet avant-projet de loi intègre notamment la définition du commerce équitable et de ses enjeux, et doit veiller à la création d’une Plateforme nationale du commerce équitable (PNCE) et d’un Label national du commerce équitable (LNCE). Une certification «bio équitable» coûte entre 10 000 et 25 000 DH En attendant, le secteur, si petit soit-il, du commerce équitable progresse donc en aveugle, sans texte de loi et donc sans contrôle. «Tant qu’il n’y a pas de loi, il n’y a pas de fraudes et donc chacun peut écrire ce qu’il veut sur l’étiquette des produits», nous explique ainsi Mounya El Aouni, DG d’Ecocert Maroc. Pas étonnant donc que des initiatives individuelles fassent paraître un logo «bio» ou «commerce équitable» sans réelle valeur à l’échelle internationale. Ecocert Maroc, filiale 100% marocaine du français Ecocert, qui accapare aujourd’hui 80% du marché de la certification des produits biologiques au Maroc, est par ailleurs le seul à proposer une labellisation «bio équitable», à travers son référentiel Equitable solidaire responsable (ESR) qui «s’adresse aux opérateurs souhaitant valoriser leur implication dans des projets alliant agriculture biologique et commerce équitable». Comme nous le rappelle Mounya El Aouni, la certification bio équitable est donc un «cran au-dessus

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de la labellisation bio» et coûte un peu plus cher. Se mesurant en jour/ homme, le prix d’une labellisation équitable se situe ainsi entre 10 000 et 25 000 DH. «Qui dit négociation dit non équitabilité. Il est donc hors de question de négocier le tarif en fonction des projets. L’Union européenne nous fixe donc un tarif unique», poursuit Mme El Aouni. Pour l’heure, et en comparaison avec les 300 opérateurs certifiés «bio», le Maroc ne compte qu’une douzaine certifiés ESR. «La grande majorité de ces certifications concernent l’huile d’argan dans les régions de Taroudant, d’Agadir ou encore de Sidi Ifni. Et la quasi-totalité de ces projets sont à l’initiative de bailleurs de fonds et de donneurs d’ordre étrangers», commente Mounya El Aouni. Dans la certification équitable, comme pour le biologique, l’ensemble de la chaîne est labellisé. Une multinationale qui fabriquerait un produit dont un des composants est marocain et équitable doit donc obligatoirement passer par Ecocert Maroc pour certifier le fournisseur du composant en question. Vu l’engouement en Europe et ailleurs pour les produits bio et équitables, la totalité des produits marocains certifiés selon ces normes est destinée à l’export. «L’équitable et le bio ne sont qu’une niche au Maroc. Très peu de points de vente les commercialise», poursuit Mme El Aouni. Néanmoins, les initiatives locales commencent à se développer à l’image d’Arômes du Maroc, marque des Domaines agricoles, qui, déjà certifiée bio, s’apprête à être labellisée «bio équitable» pour sa gamme de produits cosmétiques à base de rose de Kelâat M’gouna. La marque deviendra alors l’unique projet maroco-marocain certifié «bio équitable». Un avant-projet de loi qui a déjà ses limites Une fois adoptée, il est évident que la future loi relative au commerce équitable permettra une prise de conscience du consommateur, mais dans quelle mesure ? «La loi reste délimitée au périmètre marocain et il faudra du temps pour que le référentiel soit reconnu à l’international», précise Mounya El Aouni. Dans son article 5, l’avant-projet de loi précise que «seuls les organismes de commerce équitable reconnus administrativement par la PNCE sont habilités à publier la mention «Reconnu par l’Etat marocain comme organisation de commerce équitable ainsi qu’à apposer leur propre label, ou le label national du commerce équitable (LNCE) pour les organismes de commerce équitable marocains». Anne-Sophie Martin. La Vie éco Source : http://www.lavieeco.com/news/economie/commerce-equitable-une-douzaine-d-operateurs-certifies-bio-equitable-au-maroc-23839.html

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Le Soir-échos, édition électronique du 19/11/2012 Les tomates de la colère Mohamed Amine HAFIDI Touchés par la crise, les producteurs espagnols accusent les exportateurs marocains de tomates de dumping. Ces exportations ne représentent que 5% de la demande globale européenne, mais elles ont bénéficié d’un quota supplémentaire de 32 000 tonnes sur 5 ans. Chose qui n’a pas plu de l’autre côté de la Méditerranée.

Ahmed Ouayach : « Les Espagnoles veulent nuire aux exportations de tomates marocaines qui ne représentent que 5% de la demande globale européenne ». La FEPEX (Fédération espagnole des producteurs exportateurs de fruits et légumes) vient de sortir un communiqué fracassant, où elle tire à boulets rouges sur ses partenaires marocains. Selon elle, les exportations marocaines de tomates constituent une grande menace pour les agriculteurs espagnols et l’activité agricole européenne en général. Après avoir soulevé l’argument quantitatif et celui des normes phytosanitaire, voilà que la FEPEX s’attaque à un autre volet touchant à l’accord agricole récemment signé entre le Maroc et l’UE: Le prix. « Les exportateurs marocains ne respectent pas le prix d’entrée minimum pour les tomates. Celui-ci a été établi dans le nouvel accord d’association sur les échanges agricoles entre les pays d’Afrique du Nord et de l’Union européenne, entré en vigueur le 1er Octobre. Le prix en question représente 46,10 euros pour 100 kilos, mais si le prix à l’importation se situe au-dessous de ce niveau, les importateurs doivent payer un droit de douane de 29,80 euros par 100 kilos, afin d’éviter les importations à bas prix qui inondent le marché » explique la Fédération. Toujours selon la même source, la valeur des importations depuis le 1er novembre est inférieure à 42,40 euros pour 100 kilos avec un minimum historique de 36 euros pour le même poids, ce qui devrait déclencher un paiement de droits de douane. Et par ricochet, entraîner l’Espagne dans une crise sans précédent. Des accusations sans fondement Mais qu’en est-il réellement ? « Nous sommes habitués à ce genre de sorties médiatiques de la FEPEX, lorsque les producteurs sont impactés par les difficultés du marché. Ils s’en prennent à notre activité pour nuire à notre image. Nous déplorons amèrement ce genre de manœuvres. Nous avons toujours tendu la main aux espagnols, mais apparemment ce n’est pas réciproque » s’insurge de son côté Ahmed Ouayach, Président de la Comader (Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural). Selon lui, les arguments lancés par les Espagnols sont infondés. « Il faut rappeler que cette fédération a déjà

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agi de la sorte en remettant en cause la qualité de nos tomates. Ils nous ont accusés de ne pas respecter les normes phytosanitaires. La commission européenne a entamé des contrôles sur les produits des deux pays et il s’est avéré que les tomates espagnoles présentaient plusieurs dysfonctionnements contrairement aux nôtres » ironise sur un ton amer Ouayach. D’ailleurs, ce n’est pas à la FEPEX de juger ou d’accuser une partie, mais à l’Union Européenne. Et cette dernière, rappelons-le, a signé l’accord agricole avec le Maroc récemment. « Nous avons cru qu’une fois l’accord de libre échange signé avec les Européens, les Espagnols arrêteraient ce genre de sorties et entameraient une politique basée sur la transparence et la coopération. Malheureusement, ce n’est pas le cas » regrette le Président de la Comader. Pourquoi vouloir accélérer l’accord de pêche dans ce cas ? Du côté de la FEPEX, tous les moyens sont bons pour nuire à l’image du Maroc. « Je ne vois pas pourquoi ils cherchent à tout prix à casser notre image et les relations qui ont toujours été bonnes entre les 2 pays voisins. Nous sommes dans des échanges à deux axes. Les Européens exportent beaucoup de produits chez nous, comme les céréales. Ce que nous exportons ne représente qu’une partie infime de la demande européenne » poursuit Ouayach. De plus, les Espagnols n’exercent un lobbying que dans des questions qui les arrangent et défendent leurs intérêts sans se soucier de la politique de voisinage ou des règles de transparence et de coopération. Une contradiction a d’ailleurs été observée, lors des dernières sorties médiatiques des associations professionnelles espagnoles pour l’accélération de l’accord de pêche avec le Maroc, parce qu’ils y trouveront leur compte, mais en parallèle, ils veulent nuire aux exportations de tomates marocaines qui ne représentent que 5% de la demande globale européenne… La Fepex brandit la carte du chômage… La FEPEX appelle la Commission Européenne à exiger un contrôle douanier plus draconien sur les prix d’entrée. « Le volume élevé des importations et des prix bas ont conduit à un effondrement du marché, menaçant la viabilité de la production de tomates » s’indigne la fédération espagnole qui s’alarme du taux de chômage de 35% frappant la région productrice de tomate. Un taux qui, selon elle, pourrait continuer de grimper si la Commission Européenne ne fait rien pour stopper «le dumping marocain». Source : http://www.lesoir-echos.com/les-tomates-de-la-colere/economie/61183/

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2012/11/25 النسخة االلكترونية, بيان اليوم

هكتار من الرمان وتجهيز األراضي بنظام الري بالرحامنة1000غرس

المتعلق 2013جاللة الملك يشرف على انطالق برنامج بمشاريع الدعامة الثانية للمخطط األخضر

من خالل المشاريع ، مرة أخرى، لتأهيل قطاع الفالحة،ة التي يوليها جاللة الملك محمد السادستجسدت العناية الخاص

والهادفة الى تحقيق تنمية متوازنة ومستدامة ، على مستوى إقليم الرحامنة، أول أمس الخميس،الفالحية التي أطلقها جاللته . بالمنطقة

المتعلق 2013ضر بالجهة بإشراف جاللته على انطالق برنامج أعطى جاللة الملك دفعة قوية لمخطط المغرب األخ

.بمشاريع الدعامة الثانية لهذا المخطط على مستوى اإلقليم

السيما، عبر غرس ،تكثيف وتثمين زراعة الرمان) 2015 - 2013( ويروم هذا البرنامج الذي يمتد على ثالث سنوات .ظام الري بالتنقيط وبناء وتجهيز وحدة للتثمين هكتار من هذه الفاآهة وتجهيز األراضي بن1000

، آذلك على تنمية سلسلة اللحوم الحمراء، مليون درهم101 الذي بلغت آلفته االجمالية أزيد من ،ويرتكز هذا البرنامج

والمصاحبة التقنية لصغار، نقطة ماء12وبناء وتجهيز ) هكتار5000( السيما من خالل توسيع الزراعات الرعوية .الفالحين

الذي برزت نتائجه بشكل ملموس ،»المغرب األخضر«ويندرج هذا البرنامج في سياق الجهود المبذولة لتنفيذ أمثل لمخطط

، والنهوض بأوضاعهم المعيشية، بالنظر إلى مساهمته في تحسين دخل آالف الفالحين،منذ إطالقه على مستوى اإلقليم . وآذا تقوية الفالحة التضامنية، السوقوتطوير فالحة فعالة تتكيف مع قواعد

بقيمة إجمالية » المغرب األخضر« فقد تم بالفعل إطالق خمسة مشاريع في إطار الدعامة الثانية من مخطط ،من جهة أخرى

. مليون درهم3،267تصل الى

مساحة إجمالية قدرها وتغطي ، فالحا12715 التي بلغت نسبة إنجازها مرحلة جد متقدمة ،ويستفيد من هذه المشاريع . هكتار52100

وتطوير تربية النحل وتحديث وتقوية سلسلة اللحوم ،ويتعلق األمر بمشاريع تنمية زراعة الصبار وتكثيف زراعة الكمون

. فضال عن مشروع للتنمية الفالحية المندمجة ،الحمراء

قليم الرحامنة إنجاز ثالثة مشاريع بغالف مالي فقد سجل إ،»المغرب األخضر«وفي ما يتعلق بالدعامة األولى من مخطط

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لي آونفان ذو « تثمين الصبار لشرآة ، مجمع900 التي استفاد منها نحو ،وتهم هذه المشاريع. مليون درهم385يفوق بيض « ومشروع إنتاج بيض االستهالك لشرآة ،»رحامنة بيو« ومشروع التجميع إلنتاج األجبان لشرآة ،»ماروك .»الرحامنة

انطالقة دعم ، قبل أن يعطي جاللته،وبهذه المناسبة قام جاللة الملك بزيارة معرض للمنتجات الزراعية المحلية للرحامنة .صغار الفالحين بالعالم القروي بالتجهيزات والمعدات الفالحية

10لكين ألقل من مساعدة صغار الفالحين الما، آلة وعتاد فالحي168 الذي يشتمل على أزيد من ،ويهم هذا الدعم

. وتنفيذ أمثل لعملية الحرث وخدمة األرض،هكتارات

ألف هكتار سنويا لفائدة 20 من استغالل ، مليون درهم2،14 التي رصدت لها استثمارات في حدود ،وستمكن هذه المبادرة . فالح2000

وتمتد على ،جماعة القروية نزالة العظم التي تتواجد بال،»جنان الرحامنة« و قام جاللة الملك بزيارة لمزرعة نموذجية

. هكتار624مساحة

بأحدث التقنيات ،) والرمان ،الحوامض( التي تضم باألساس أشجار الزيتون واألشجار المثمرة ،وقد جهزت هذه المزرعة ). محطة للضخ، أحواض للري ،تدبير معلوماتي للري والتسميد(في مجال الري واقتصاد المياه

ألف طن من 13 إنتاج مليون درهم2،122 الذي تطلب استثمارا إجماليا قيمته ،»جنان الرحامنة« ع ويراهن مشرو . منصب شغل قار240 عالوة على إحداث أزيد من ،2017 طن من الزيتون في أفق سنة 2200الحوامض و

: المصدر

http://www.bayanealyaoume.press.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=34433:-1000--------&catid=85:2010-04-19-12-39-31&Itemid=152

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2012/11/24 النسخة االلكترونية,االتحاد االشتراآي

نونبر الجاري بالدار البيضاء29 و27معرض دولي للدواجن ما بين

الذي » 2012دواجن « لمعرض الدواجن للدار البيضاء 15نونبر الجاري، الدورة ال29و27تحتضن الدار البيضاء، ما بين .اجنتنظمه الفيدرالية البيمهينة لقطاع الدو

وأوضح بالغ للفيدرالية أن هذا المعرض يشكل مناسبة لعرض آخر التقنيات والمبتكرات التكنولوجية والمعرفية على

وأضاف المصدر .المهنيين بإفريقيا الشمالية والغربية، هذه المنطقة التي تتوفر على مؤهالت من أجل تطوير قطاع الدواجن في المائة منها شرآات أجنبية تمثل آال من 60عارضا وعالمة تجارية، 350 ، ستعرف مشارآة2012ذاته أن دورة

.وتنشط هذه المقاوالت في مختلف ميادين التي لها عالقة بتربية الدواجن. أوربا وأمريكا وإفريقيا وآسيا

لحم وبيض وتتعلق هذه الميادين أساسا بصناعة األغذية المرآبة، والمزودين باألجهزة والبضائع والمعدات، وتحويل .الدواجن ومختبرات البحث والتحليل والتعليب، والمقاوالت المتخصصة في بناء البنايات المخصصة لتربية الدواجن

-http://www.ailmaroc.net/def.asp?codelangue=29&date_ar=2010-01 : المصدر

01&id_info=162138

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2012/11/24 النسخة االلكترونية,االتحاد االشتراآي

معرضا الصويرة وأآادير للفالحيين يعالجان إشكاليات التثمين والتطوير والتوازن

عبد القادر الحيمر

ة سيعرف القطاع الفالحي حدثين لهما ارتباط وطيد بتطوير نمط اإلنتاج، وتسخيره في خدمة التنمية االقتصادية واالجتماعي

.المحلية والوطنية

حيث يرتقب أن يساهم معرض الماعز 2012 دجنبر 2 نونبر و 29الحدث األول تحتضنه مدينة الصويرة ما بين والمنتجات المحلية، الذي تنظمه المديرية اإلقليمية للفالحة بتعاون مع المديرية الجهوية والغرفة الجهوية لمراآش تانسيفت

لتربية الماعز وتثمين منتجاته بما ينعكس إيجابيا على المربين وخاصة منهم المتعاونات الالتي الحوز، في إعطاء دفعة قويةفبعد أن تأآدت مزايا منتجات الماعز . وجدن في هذا النشاط موردا للعيش، ومصدرا لتحقيق االستقرار في الوسط القروي

ذ من إدماج هذه المنتجات في وجباتها وسيلة من لحوم حمراء وأجبان، وبعد أن صارت بعض المؤسسات السياحية تتخلكسب المزيد من الزبناء، يراهن المنظمون على أن تساهم عروض مختلف الخبراء في تأمين ديمومة تربية الماعز، وتكثيف هذا النشاط بموازاة مع مواصلة الجهود الرامية إلى توسيع المساحات المزروعة باألرآان وحماية هذا المنتوج،

عب دورا حيويا في تطوير العمل التعاوني بالمنطقة وساهم بشكل آبير في جلب السياح، والتقليص من المخاطر التي الذي لتتضاعف في فترات الجفاف ، فالمعرض الذي سيستقطب خبراء من مختلف أنحاء المغرب ومن فرنسا وبولونيا، وسيتميز

الممتدة من وادي أم الربيع إلى وادي الذهب بالصحراء، سيكون بحضور الكسابين وممثلي الجمعيات المتواجدة في المنطقةفرصة لمعالجة إشكالية تحقيق التوازن بين تطوير تربية الماعز وبين حماية شجرة األرآان وتثمين مختلف المنتجات

اشرة للمعرض حيث يرتقب أن تحقق الدورة الع2012 دجنبر 9 و 6الحدث الثاني تحتضنه مدينة أآادير ما بين . المحليةالدولي لقطاع الخضر والفواآه تطورا نوعيا تتجاوز آثاره جهة سوس ماسة درعة لتنعكس على جميع الفاعلين الذين صنفوا هذا الملتقى في خانة الملتقيات الدولية المتميزة بنجاعتها في مجال تبادل الخبرات والعالقات بين مهنيي القطاع والقطاعات

.لدول المغاربية والدول األوربيةالمرتبطة به في آافة ا

وجمعية المنتجين والمنتجين المصدرين للفواآه والخضر إلى الرهان على I.E.Cإن مكانة الحدث دفعت بالوآالة المنظمة عارض 300فالسمعة التي اآتسبها المعرض جعلته يستقطب في دورته العاشرة . ألفا من الزوار والوفود األجنبية45جذب

. دولة15يمثلون

فسواء تعلق األمر بالحدث األول أو بالثاني، فإن األمطار التي تهاطلت بمستويات أمنت انطالق الموسم الفالحي الحالي في ظروف مريحة، تساعد على خلق المناخ المالئم لمعالجة مختلف المشاآل المطروحة من منطلقات موضوعية وتساهم في

لتوازن في االستفادة من إمكانيات وزارة الفالحة بين المشاريع المبرمجة في الدعامة البحث بهدوء عن أنجع الصيغ لتحقيق ااألولى من مخطط المغرب األخضر المخصصة لكبار المنتجين والمجمعين، وبين المشاريع المبرمجة في الدعامة الثانية

ة، فإنه من األصعب االستغناء عن صغار فكما أنه من الصعب االستغناء عن الفالحة التصديري. التي تشمل صغار المنتجين .المنتجين

-http://www.ailmaroc.net/def.asp?codelangue=29&date_ar=2010-01 : المصدر

01&id_info=162132

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2012/11/23 نسخة االلكترونيةال, بيان اليوم

مؤشرات قوية على مردودية جيدة خالل الموسم الفالحي.. األمطار األخيرة

حميد رزقي من األقاليم

النظر في جدولة الديون فالحون يدعون إلى إعادة وآخرون يجهلون ما تروج له حمالت التحسيس التي تقوم بها المراآز الفالحية

األمطار األخيرة إذن، وعلى عكس ما آان متوقعا، ساهمت بشكل آبير في إعادة الثقة إلى الساآنة بشكل عام، والفالح بشكل

تراب اإلقليم بروح عالية، ونظرة متفائلة، بالرغم من أن فوري، عملية الحرث على امتداد خاص، الذي باشر، وبشكلوغيرها من النقط الفالحية، قد تضررت ..بعض االمتدادات الجغرافية، آأوالد ارميش وأوالد رحو وأوالد أيلول والرواجح

وما، يمكن القول وعم. من التساقطات الرعدية األخيرة بحيث تم إتالف بعض المنتجات التسويقية، بها آالزيتون والحوامضإن التساقطات المطرية األخيرة آانت في غاية األهمية،ألنها أوال، جاءت في وقت مناسب لعملية الحرث،وثانيا ألنها

يقول فالح بمنطقة أوالد ارميش . باألمطار العادية التي لم تتسبب في آوارث طبيعية ولم تترك أضرارا جسيمة » ُوصفت« األمطار في أواخر شهر أآتوبر وبداية نونبر، أمر عادي وال يمكن اعتباره تأخيرا للموسم إن سقوط» بجماعة حد بوموسى،

الفالحي، الن حرارة المنطقة تسعف الفالحة في النمو بشكل طبيعي وسريع، وألننا آفالحين تعودنا على هذا التأخير في .»شتا في الوقت، ومازال اللي بغا يحرث يحرثجات ال« الذي ميز السنوات الفارطة، فالمهم يقول إنها نزول األمطار

أما احد الكسابة بدوار سيدي عيسى، فقد أشار من جهته إلى أن المطر عموما، يشكل رمزا للعطاء وفأال حسنا يدل على

نقطة ،مشيرا، بذلك إلى »هاذ الشتاء إلى ما نفعت الحّراثة تنفع الكسَّابة»الخير حتى وإن لم يأت في موعده، وقال بالحرفأساسية عرفها اإلقليم في السنوات الماضية، وهي عزوف السكان عن الفالحة، وهجرتهم نحو تربية المواشي واألبقار

.والدواجن، والى اعتماد الفالحات التسويقية باألساس

في تصريحاتهم وهو آّساب له دراية بسوق الماشية واألبقار، ليتنافى مع ما ذهب إليه نظراؤه) ر.حسن(ولم يكن ما ارتآه ال فرق في هذه الجهة باإلقليم بين الكّساب والفالح، على اعتبار أنه ال يوجد فالح بدون «لبيان اليوم، حين أشار إلى أن

آسيبة، وألن مدخول الفالحة قد تدهور مقارنة بما تدره تربية الماشية، هذا باإلضافة إلى أن الفالح أصبح بسبب السياسة الدولة عموما في حاجة ماسة إلى مدخول موسمي لتسديد ديون ماء السقي، وإال تعرضت فالحته برمتها االمائية التي نهجته

.«إلى آساد

، هؤالء دعوا »بيان اليوم» لـ هذه النقطة بالذات تشغل بال الفالحين بالمنطقة، آما يظهر ذلك من خالل إفادات الكثيرمنهمى ضرورة إعادة النظر في جدولة الديون، وأخذ بعين االعتبار الفترات التي تتسم المسؤولين بمرآز االستثمار الفالحي، إل

بشح األمطار، والتي آثيرا ما يكون قطع مياه السقي خاللها عن الفالح بدعوى تأخره في أداء مستحقات المرآز، سببا . في إتالف المنتوجات بالكامل حقيقيا

لفالحي، والمديرية الجهوية للفالحة، والجمعيات الفالحية، ودور هذه وبخصوص النشاط المرتبط بمرآز االستثمار ا

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األجهزة المعنية بالزراعة في اإلرشاد والتحسيس والتنوير في المجال الفالحي، فقد أشار احد الفالحين في المنطقة، انه ال ، هو ضرورة أخد الزريعة واألسمدة، يدرك ّما تتحدث عنه هذه األجهزة، وان ما يعيه ويفهمه من حمالتها الموجهة للفالحين

.وضرورة الحرث في الوقت المناسب مع األداء في الوقت المحدد لفاتورة السقي

وهو األمر الذي يثير االستغراب، السيما، وأن أغلبية الفالحين الصغار ال يعلمون شيئا عن اللقاءات التحسيسية لهذه بات الفالحة العصرية وبآلياتها الفالحية والصيغ اإلنتاجية وطرق التسميد المراآز المذآورة، والتي تتغيى التعريف بمتطل

وعلى عكس هذه األهداف، فقد عبر عدد من الفالحين عن تضررهم .ومعالجة األمراض التي تنخر جسم الزراعة بالمنطقةون وازع قانوني على غلة د» الشُّراة» بشكل اآبر مما أسموه بالمنافسة غير الشريفة للفالحين الكبار، ومن سطوة بعض

باتت جد معروفة، بحيث أنها ال تترك خيارا أفضل الزيتون والمنتجات التسويقية عبر السيطرة على أثمنة السوق بطرق . الفالح الصغير أمام

ارة، ببؤس المرافق االجتماعية، خاصة المدارس التعليمية، وُبعد اإلد وليس هذا فقط، بل أشاروا أيضا إلى ما وصفوهوغياب فضاءات الترفيه، نتيجة العزلة التي تعاني منها المنطقة بفعل السياسات الترقيعية، التي طالت العديد من الطرق وتحولت بحكم وضعها الهش إلى مسالك وعرة، وفضاءات تحتضن أالف الحفر، وال أدل على ذلك مختلف الطرق

أو ) دوار أوالد رحو ،أوالد ارميش نموذجا( حد بوموسى ةالمستحدثة أو التي عرفت إصالحات جديدة بكل من جماعبمرآز دار ولد زيدوح أو بجماعة سيدي عيسى، والتي آانت محط نقاشات واسعة خالل دورة أآتوبر العادية،مما طرح عدة

تحيل معها في تسويق بضاعتهم بسبب الحالة الكارثية لهذه الطرق التي يس مشاآل لهؤالء الفالحين الذين وجدوا صعوبةولوج شاحنات النقل إلى قلب هذه الدواوير، خصوصا في الفترة الحالية حيث بدأت عملية تسويق منتوج الزيتون الذي يشكل

.بحق رافدا أساسيا لالقتصاد المحلي ولمدخول الفالحين بالجهة آكل

دون إعادة النظر في سياسة الطرق بالعالم إن تطوير أداء الفالح وتطوير منتجاته الفالحية باإلقليم، لن يتأتى، من جهة،القروي، فهي بإختالالتها اآلنية، أمست مطلبا إلزاميا يقتضي تضافر قوى آل الجهات المعنية محليا ووطنيا، في أفق إعادة

تحقيق االعتبار ليس فقط لإلنسان القروي، إنما أيضا للفالحة القروية بهذه الجهة التي تسعى رغم آل هذه االآراهات إلى ومن جهة ثانية ال يمكن االرتقاء بالقطاع الفالحي، دون مراقبة .رقم مشرف في المعادلة االقتصادية على الصعيد الوطني

فعالة لكافة الصفقات، التي تهم هذه المشاريع اإلصالحية التي تحولت إلى بوابة لالغتناء الالشرعي، و حفزت رؤساء أغلبية وأوالد بورحمون ياسة الترقيع هاته، والنموذج هنا بجماعة حد بوموسى وسيدي عيسىالجماعات المحلية إلى نهج س

وقالوا علنيا، أن انتفض بعض مستشاريها ضد ما شاب هذه اإلصالحات من خروقات، وغيرها من جماعات اإلقليم التي .. هنا وهناك يكونوا متورطين في خروقات من المحتمل أن رؤوسا عدة قد يكشف أي تحقيق نزيه

: المصدر

http://www.bayanealyaoume.press.ma/index.php?view=article&tmpl=component&id=34414

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2012/11/23 النسخة االلكترونية, بيان اليوم

الواقع واآلفاق.. إنتاج التمور بآرفود

بنشقرون من األقاليم .ج

تتخصص منطقة تافياللت في إنتاج تمور متميزة وجيدة بالنظر إلى من المساحة المخصصة لنخيل التمور على %29 حيث يشغل إقليم الرشيدية وحده غرافي،خصائص الوسط الطبيعي والجمن اإلنتاج الوطني للتمور، إذ تشكل أشجار النخيل أعرق نوع مثمر بالمنطقة وذلك %27الصعيد الوطني، و يساهم بـ

آد عليه المعرض الدولي للتمور في هذا ما أ. ألف طن26 ألف نخلة ومتوسط إنتاج يصل إلى أزيد من 399بحوالي مليون و، حيت افتتح أشغالها عزيز أخنوش 2012 نونبر 11 إلى 8دورته الثالثة الذي نظمت تحت رعاية جاللة بمدينة أرفود بين

وزير الفالحة و الصيد البحري، هذا المعرض الذي قدم صورة عن أساليب إنتاج التمور وتطوير المجال الزراعي في هذا إلى إنعاش زراعة الواحات يهدف المعرض المنظم بشراآة مع جمعية المعرض الدولي للتمور بالمغربالمجال، حيث

- والمساهمة في بعث دينامية سوسيو ، وتطوير القطاعات المرتبطة بالمحيط البيئي للواحات ،وتثمين زراعة النخيل المثمر .اقتصادية جديدة بالجهة

يلة آان الفالح يعاني في ظل غياب إستراتجية فالحية واضحة، وآان القطاع غير مؤهل والواقع يؤآد على أنه ولسنوات طو

بالشكل الجيد نظرا لالآراهات العديدة، إلى أن جاء مشروع المخطط األخطر وتم إعطاء انطالقة غرس مليون نخلة، مع يد لنسبة آبيرة من ساآنة تافياللت، ويعد العمل على توفير اإلمكانيات الالزمة لتأهيل القطاع، الذي يعد مصدر العيش الوح

مهمة لسد الحاجيات األخرى والمتعددة لساآنة المورد االقتصادي السنوي إلى جانب إنتاج الزيتون في تحصيل مداخيل .تعيس تحت وقع ظروف طبيعية صعبة لمنطقة نائية

عد توزيع الشتائل الجيدة على الفالحين يقول عبد إن مجال إنتاج التمور بمنطقة تافياللت بات يتطور يوما بعد يوم خاصة ب

الرزاق مومني احد أبناء المنطقة المختصين بمجال إنتاج التمور، معبرا، عن المشاآل التي تعيق اإلنتاج واالستثمار فيه من اول الجميع قبيل مشكل التخزين والتبريد في ظل غياب عمليات تصدير المنتوج المحلي، مضيفا، أن تمور المنطقة في متن

من ناحية الثمن المناسب رغم وجود ظاهرة السماسرة المساهمين في ارتفاع األثمان أحيانا، إال أن الجودة تظل هي المعيار األساسي الستهالك تمور المنطقة التي تتعدد أنواعها، إال أن أشهرها هو المجهول وبوفقوس والخلط بجميع أنواعه

الفالح مازال يعاني من ناحية الرفع من المردودية، حيت البد من رفع نسبة التأطير وتارزوى وبوزآري، مؤآدا على أن .الفالحي وتقديم الدعم التقني في مجال السقي واألدوية للحفاظ على النخيل وجودته

: المصدر

http://www.bayanealyaoume.press.ma/index.php?view=article&tmpl=component&id=34423

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2012/11/23 النسخة االلكترونية,المساء

نونبر الجاري 29 و27بالبيضاء بين » دواجن«معرض

في نسخته الخامسة عشرة من » 2012دواجن «معرض الدار البيضاء » الفيزا«تنظم الفيدرالية البيمهنية لقطاع الدواجن

.الصرف بدار البيضاء بالمرآز الدولي للمؤتمرات والمعارض لمكتب 2012 نونبر 29 إلى 27

وحسب بالغ للفيدرالية، يشكل هذا المعرض حدثا بارزا بالمغرب لعرض أحدث التكنولوجيات واالبتكارات والخبرات على .مهنيي منطقة تزخر بإمكانيات تنموية هامة في قطاع الدواجن

تمثل شرآات أجنبية من أوربا في المائة منها60 عارضا وعالمة تجارية، 350وستعرف هذه الدورة مشارآة حوالي

وإفريقيا وآسيا تنشط في مجاالت مختلفة لها عالقة بقطاع الدواجن، خاصة تصنيع األعالف المرآبة، األدوية البيطرية، معدات وتجهيزات الدواجن، مجازر الدواجن، تحويل لحوم الدواجن وتحويل البيض، سالالت الدواجن، مختبرات األبحاث

.يف، وبناء محالت تربية الدواجنوالتحاليل، التلف ألف زائر مغربي وأجنبي، وآذا عدة وفود من مختلف 12ومن المنتظر أن تستقطب هذه التظاهرة المهنية ما يزيد عن

.الدول اإلفريقية

يمثل آما أنه . القطاع مناسبة للحوار وتبادل الخبرات والمعلومات بين العارضين والفاعلين في» دواجن«ويعتبر معرض .أداة مهمة في مساندة ومواآبة المهنيين في تأهيل وتنمية نشاطاتهم

و م ع

http://almassae.ma/node/57758 : المصدر

2012/11/23 نسخة االلكترونية ال,المساء

قافلة المجمع الشريف للفوسفاط تنهي جولتها

ذات اإلنتاجية العالية من الحبوب 12أنهت قافلة المجمع الشريف للفوسفاط، يوم الثالثاء األخير، جولتها في المناطق الـ

دة الفالحين الصغار والمتوسطين بجهة ، حيث نظمت حملة تحسيسية لفائ)إقليم سيدي قاسم(بالمملكة بمرحلة حد آورت واستفاد حوالي . الغرب شراردة بني احسن من أجل إطالعهم على أفضل األساليب لتحسين مردودية زراعاتهم من الحبوب

فالح بالجهة من دورات تقنية أشرف عليها أساتذة باحثون بالمدرسة الوطنية للفالحة بمكناس، همت خصوصيات 500آما رآز خبراء المدرسة الوطنية للفالحة على االستعمال المعقلن .ساليب لتحسين مردودية زراعاتهمالمنطقة وأفضل األ

والرشيد لألسمدة الذي من شأنه الرفع من مستوى اإلنتاج بالمنطقة، آما نبهوا إلى الخسائر التي يتكبدها الفالحون خالل .أو التدبير التقني للعمليةعملية الحصاد نتيجة الحالة الميكانيكية السيئة للمحرآات

و م ع

http://almassae.ma/node/57850 المصدر

:

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2012/11/22 النسخة االلكترونية, بيان اليوم

تخفيضات مهمة في أسعار اللحوم الحمراء قريبا باألسواق المغربية

م الجديد المتعلق بمراقبة وجودة قال وزير الفالحة والصيد البحري عزيز أخنوش، أول أمس االثنين بالرباط، إن المرسووأبرز . لتنمية السلسلة» تحول حاسم»اللحوم الحمراء الذي صادق عليه مجلس الحكومة في فاتح نونبر الجاري، يرمز لـ

هذا «أخنوش، الذي ترأس بشكل مشترك مع وزير الداخلية امحند العنصر لقاء مع مهنيي سلسلة اللحوم الحمراء، أن في المائة من الناتج الداخلي الفالحي الخام، ويمكن 30 إلعادة هيكلة هذا القطاع، الذي يساهم بنحو المرسوم يشكل مدخال

هذا المرسوم سيمكن «وقال إن . » مليار درهم سنويا22 مليون منصب عمل وتحقيق رقم معامالت يناهز 1.8من إحداث .»من تحرير نقل اللحوم الحمراء آهدف رئيسي، وخفض أسعار اللحوم

أهمية هذا النص التشريعي الجديد الخاص بسوق اللحوم الحمراء والذي سيمكن من تحرير «من جهته، أآد العنصر على

.»هذا القطاع وتعزيز فرص التسويق

ومن شأن المصادقة على المرسوم الجديد خلق سوق لحوم تنافسية وتشجيع الفاعلين الخواص على االستثمار في القطاع، قتضيات الجيدة للمرسوم حرية تنقل اللحوم المنتجة بالمجازر المرخص لها بين الجهات وتنمية شبكة للنقل آما ستمكن الم

.بالتبريد يساير التشريع والقوانين الجاري بها العمل

زر وباإلضافة إلى هذا اإلجراء التنظيمي، تم إعداد دفاتر تحمالت تهم على التوالي الرخص الصحية والتدبير المفوض للمجا . البلدية من طرف القطاعين الوزاريين وتم إرسالها إلى الجماعات المعنية

مليون 850 ماليير درهم، منها 6وقد جاء هذا اإلطار مكمال للتدابير الهامة المتخذة في إطار العقد البرنامج باستثمار يناهز

.يمات المهنية بالسلسلةدرهم تقدمها الدولة على شكل منح لالستثمار ودعم لمربي الماشية وللتنظ

مشاريع مندمجة تشمل 8 مجزرة بلدية باإلضافة إلى 12ولتحسين الظروف المؤطرة لهذه السلسلة، سيتم تفويض تدبير وتشكل . منصب شغل قار1670 مليون درهم وسيمكن من خلق 560وحدات للتسمين وللذبح وللتقطيع بتكلفة إجمالية تفوق

.الل السنوات المقبلةهذه المشاريع خارطة طريق خ

: المصدرhttp://www.bayanealyaoume.press.ma/index.php?view=article&tmpl=component&id=3

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20/12/11/22 النسخة االلكترونية,منارة

على مستوى إقليم " المغرب األخضر"عنوان بارز للمشاريع الفالحية المنفذة في إطار مخطط .. الفالحة التضامنية

رحامنةال ع .م.و

بإقليم " المغرب األخضر"عرف إنجاز المشاريع الطموحة المبرمجة في إطار مخطط / ومع/ 2012 نونبر 22/ الرحامنة دينامية حقيقية تشهد عليها النتائج المشجعة ،)الفالحة التضامنية( السيما تلك المندرجة في إطار الدعامة الثانية ،الرحامنة

، وذلك بفضل المؤهالت الهامة التي يزخر بها اإلقليم،اع المردودية وتحسن جودة المنتوجاتالمسجلة على مستوى ارتف وآذا نتيجة للجهود الحثيثة المبذولة من طرف الوزارة الوصية بمعية ،خاصة في قطاعي تربية المواشي وإنتاج الحبوب

. الفالحين وباقي الشرآاء

اليوم ، على إعطاء انطالقة البعض منها، نصره اهللا ،لة الملك محمد السادس التي أشرف صاحب الجال،وتأخذ هذه المشاريع الخصوصيات الفالحية لإلقليم الذي يزخر بمساحات زراعية وأخرى رعوية ، بعين االعتبار،الخميس بإقليم الرحامنة

ننة واستعمال الشتالت والبذور آما تزاوج بين اإلمكانيات المحلية وأساليب اإلنتاج الحديثة التي تعتمد على المك،شاسعة وتحسين الصفات الجينية للقطيع واالهتمام بالرعاية البيطرية ،المختارة واألسمدة والمبيدات في مجال اإلنتاج النباتي

.واعتماد أساليب االستغالل العصري في مجال اإلنتاج الحيواني

، والتي تروم على الخصوص،بإقليم الرحامنة" األخضرالمغرب" وفي إطار تنفيذ مشاريع الدعامة الثانية لمخطط ،وهكذا ، ودعم التحويل نحو القطاعات الواعدة،)التكوين واإلرشاد الفالحي(تحسين اإلنتاجية وتثمين المنتوج عبر عمليات التأطير

حد الساعة تم إلى، وآذا تطوير آليات التجميع االجتماعي،وتفويض تدبير عمليات التنشيط وتأطير الفالحين الصغار سالسل الصبار والكمون واللحوم الحمراء والعسل فضال عن ، تهم على التوالي،الشروع في تنفيذ خمسة مشاريع فالحية

. هكتار100 ألف و52 جماعة قروية وعلى مساحة إجمالية تبلغ 18 وذلك ب ،إنجاز مشروع فالحي مندمج

وحدات 7 ألف هكتار من الصبار وبناء 30 غرس ، فالح715لف و أ12وتهم هذه المشاريع التي يستفيد منها ما مجموعه وآذا تكثيف زراعة ، فحل مختار وبناء مجزرة عصرية1500 نقطة ماء واقتناء وتوزيع 18 وإحداث وتجهيز ،لتثمينه

وحدة خلية نحل وبناء2400 إلى جانب اقتناء وتوزيع ، هكتار وبناء وحدة لتثمين هذا المنتوج850الكمون على مساحة .لتثمين العسل

267ر3وبخصوص المشروع المندمج الذي تطلب إلى جانب المشاريع األربعة األخرى تكلفة مالية إجمالية تصل إلى

ألف شتلة زيتون واقتناء وتوزيع عوامل اإلنتاج 18 وتوزيع ، حواجز لتخزين المياه السطحية4 فيهم إنجاز ،مليون درهم فضال عن اقتناء وتوزيع معدات لتربية األرانب والدواجن ومواد علفية ،ن لعصر الزيتونومعدات فالحية واقتناء وحدتي

بما يعكس المقاربة المندمجة التي ينبني عليها تنفيذ هذه ، إلى جانب توفير التكوين والتأطير التقني للمستفيدين،مرآبة . المشاريع الفالحية الطموحة

والذي يهم مشروعين اثنين يتعلقان بسلسلتي الرمان واللحوم ،انية بإقليم الرحامنة لمشاريع الدعامة الث2013أما برنامج

آما سيتطلب استثمارات بقيمة ، جماعة تابعة لإلقليم18 هكتار ب 6000 فسيشمل مساحة تبلغ ،)2015- 2013(الحمراء . آساب3000 فالح و600 حيث يستهدف المشروعان في المجموع ، مليون درهم101ر1

وآذا بناء ، هكتار من الرمان وتجهيزها بنظام الري بالتنقيط1000 سيتم غرس ،ي إطار مشروع تنمية سلسلة الرمانوف

إلى جانب توفير الدعم ،) طن1000يوم ووحدة للتبريد بسعة / طن100محطة للتلفيف بسعة (وتجهيز وحدة لتثمين المنتوج هكتار بالقطف األسترالي 5000مشروع سلسلة اللحوم الحمراء غرس بينما سيتم في إطار ،والتأطير التقني الالزمين

. فضال عن توفير الدعم والمواآبة التقنية للفالحين المستفيدين، نقطة ماء12وبناء وتجهيز ) نبات علفي(

في تحقيق وسعيا منها إلى تحفيز الفالحين على المساهمة الفاعلة، أن وزارة الفالحة والصيد البحري،والجدير بالذآر انخرطت في القيام بسلسلة من الحمالت التحسيسية وورشات ،على مستوى اإلقليم" المغرب األخضر"أهداف مخطط التي تروم إرشاد الفالحين وإطالعهم على مختلف األساليب والتقنيات المعتمدة في مجالي اإلنتاج النباتي ،التأطير التقني

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إلى جانب التقنيات الكفيلة ،السل اللحوم الحمراء وإنتاج الحليب والحبوب والزيتون وذلك من قبيل سبل تنمية س،والحيواني السيما من خالل معالجة التربة وتزويدها باألسمدة المناسبة والحرث المبكر ومحاربة ،بالرفع من حجم وجودة المحاصيل

.األعشاب الضارة ومكافحة الطفيليات والقوارض

تتوخى ،"المغرب األخضر"ريع الفالحية النوعية المندرجة في إطار الدعامة الثانية لمخطط والواضح أن مختلف هذه المشا ومن ثم جعل هذا ، مساهما حقيقيا في اإلنتاج الفالحي الوطني، الحوز آكل- تانسيفت-جعل إقليم الرحامنة وجهة مراآش

. القطاع الحيوي رافعة حقيقية للتنمية على مختلف األصعدة ع أ/ إ ج/ ر

http://www.menara.ma/ar/2012/11/22/373163-.html : المصدر

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20/12/11/22 النسخة االلكترونية,منارة

لقاء تحسيسي حول مخطط المغرب االخضر وصندوق التنمية الفالحية لتشجيع االستثمارات الفالحية بعمالة المضيق

الفنيدق ع .م.و

طط المغرب االخضر احتضنت مدينة المضيق اليوم الخميس لقاء تحسيسيا حول مخ/ ومع/2012 نونبر 22تطوان

وصندوق التنمية الفالحية بغية تشجيع االستثمارات الفالحية بعمالة المضيق الفنيدق وتنظيم المجال الفالحي بالمنطقة والرفع .من مردوديته

الحي تنسيق الجهود بين الفاعلين في القطاع الف، الذي نظمته المديرية الجهوية للفالحة،ويروم تنظيم هذا اللقاء التحسيسي ، لالستفادة بشكل افضل من الدعم الحكومي المقدم، الخواص منهم والجمعويين والمؤسساتييين،على المستوى االقليمي والظروف اللوجيستيكية والطبيعية المالئمة والمتوفرة للرفع من مردودية الفالحة وجعل القطاع ،خاصة للفالحين الصغار

.ماعيةقاطرة حقيقة للتنمية االقتصادية واالجتوأآد عامل عمالة المضيق الفنيدق السيد محمد المرابط بالمناسبة ان تنظيم اللقاء بالمضيق يهدف باألساس الى دعم المجهود االستثماري باالقليم النعاش السالسل الفالحية الواعدة وتأطير المواآبة التضامنية للفالحة الجبلية وتطوير المنتجات الفالحية

وآذا الحفاظ على الموارد الطبيعية من خالل ترشيد استعمال مياه الري ..) والعسل ومنتوجات المعزالزيتون (الجبلية .ومحاربة انجراف التربة

وأضاف أن االستفادة المثلى من صندوق التنمية الفالحية سيتيح االستغالل االمثل للطاقات الفالحية بعمالة المضيق والفنيدق

والرفع من حجم االستثمار وتحسين دخل الفالحين وتنويع االنتاج بما يالئم ،لف فالح أ26التي ينشط بها ازيد من ، .المؤهالت الطبيعية للمنطقة

وقدم المدير االقليمي لوزارة الفالحة والصيد البحري منتصر نبيل بمناسبة انعقاد اللقاء التحسيسي الخطوط العريضة من ،لقطاع الفالحي المحرك الحقيقي للتنمية االقتصادية واالجتماعية الذي يتوخى عامة جعل ا،" المغرب األخضر"لمخطط

، ترتبطين بتطوير فالحة عصرية ذات قيمة مضافة عالية تستجيب لقواعد السوق،خالل االعتماد على دعامتين أساسيتين ،صيات الترابية للمنطقةتأخذ بعين االعتبار الخصو،ومواآبة تضامنية للفالحة الصغرى على مستوى اقليم المضيق الفنيدق

والتضاريس الجبلية الوعرة وطغيان االستغالالت المعاشية الصغيرة التي ازداد معظمها هشاشة بفعل ممارسة الزراعة غير . المنظمة

وابرز ذات المصدر ان المخطط اإلقليمي للفالحة يهدف على الخصوص الى الرفع من المنتوج الفالحي القابل للتصدير

اضافة الى ضمان المواآبة ،هود االستثماري إلنعاش السالسل الواعدة مالءمة للظروف الطبيعية لالقليمودعم المج .التضامنية للفالحة الجبلية وتنويع دخل الفالحين المعنيينال يقتضي الحفاظ على الموارد الطبيعية وترشيد استعم،آما وآيفا،واعتبر المصدر ان ضمان انتاج فالحي واعد بالمنطقة

مياه الري ومحاربة انجراف التربة وتنفيذ صيغة جديدة لنظام الدعم الفالحي تقوم على تقديم مساعدات جديدة تنسجم وعطاء .الفالحين مع تحفيز مشاريع التجميع

وأشار المصدر الى ان من بين االآراهات التي تحول دون تطوير االنتاج على مستوى اقليم المضيق الفنيدق ضعف ر والتمويل ونسيج الصناعة الفالحية والتنظيم المهني وآذا التجزيئ المفرط للعقار وضعف نسبة المكننة والتدبير االستثما

التقليدي لالستغالليات الفالحية وعدم االستغالل العقالني للمياه على الرغم مما تعرفه المنطقة من تساقطات مطرية سنوية . مهمة

سعى إلى لعب دور المحرك االساسي للرفع من مردودية الفالحة بالمنطقة بدعم قد يصل وأآد المصدر أن وزارة الفالحة ت

. بالمائة بالنسبة للفالحين الصغار مع تطوير منهجية العمل في القطاع وتثمين االنتاج االصلي بالمنطقة 100الى حي/ج / س ه /

http://www.menara.ma/ar/2012/11/22/372952-.html : المصدر

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2012/11/21 االلكترونيةالنسخة ,الصباح

أخنوش والعنصر يعلنان تحرير نقل اللحوم وتحديث المجازر

ء الحمراء سيمكن الخواص من جلب المزيد من االستثمار وتحسين جودة اللحوموزير الفالحة قال إن اإلجرا

أآد آل من عزيز أخنوش، وزير الفالحة والصيد البحري، وامحند العنصر، وزير الداخلية، خالل لقاء جمعهما مساء أول

على دفتري تحمالت لتحديد بمهنيي سلسلة اللحوم الحمراء بالرباط، أن تحرير نقل اللحوم والمصادقة) االثنين(أمس ذي األهمية "الشروط الصحية العتماد المجازر والتدبير المفوض للمجازر الجماعية، بداية في مسلسل إصالح القطاع

من جهته، شدد . ، الذي يتوخى فضال عن تحسين حلقات اإلنتاج ورفع االستهالك، خفض األثمان"البالغة على عدة أصعدةحة والصيد البحري على أن الحكومة والمهنيين منخرطون جميعا في تطبيق توجهات المخطط عزيز أخنوش، وزير الفال

، منبها إلى أهمية قطاع اللحوم الحمراء آقطاع إستراتيجي من حيث وزنه في 2008األخضر، الذي انطلق في أبريل في المائة من الناتج 30يساهم بحوالي "االقتصاد الوطني، ومساهمته بالتشغيل في الوسط القروي وتعزيز األمن الغذائي، إذ

". في المائة من اليد العاملة40الداخلي الخام الفالحي، ويوفر

اعتبارا للمؤهالت التي يتوفر عليها القطاع، آوجود مساحات رعوية "وأضاف الوزير، خالل مداخلته في لقاء أمس، أنه وم الحمراء في قلب توجهات مخطط المغرب األخضر، إذ تم إبرام شاسعة واألعداد الهامة للماشية بكل أصنافها، آانت اللح

، مضيفا أنه منذ دخول هذا "، حدد األهداف العامة واإلجراءات المواآبة الهادفة إلى تحسين المناخ2009عقد برنامج سنة ساهمة وانخراط المهنيين في العقد حيز التنيفذ، وبالتنسيق الجيد مع شرآائنا، خاصة وزارتي الداخلية واالقتصاد والمالية وم

مختلف حلقات سلسلة اللحوم الحمراء، تم إنتاج عدة برامج همت في البداية حلقات اإلنتاج، أهمها برنامج التلقيح ".2012 و2010 ألفا بين 250االصطناعي واستعمال السالالت الالحمة، إذ بلغ عدد اللقاحات

أشار أخنوش إلى أنه آان من الضروري تحديث القوانين المتعلقة بالقطاع، ولخلق الظروف المواتية إلنجاز هذه المشاريع،

-12-612، المتعلق بنقل اللحوم المحضرة بالمجازر المعتمدة بمرسوم رقم 1955إذ تمت مراجعة القرار الصادر في شتنبر ذه اللحوم التي تستوفي آافة الذي سيمكن من تحرير نقل اللحوم وخلق سوق تنافسية للحوم الحمراء وتنمية شبكة نقل ه2

الشروط والضمانات الصحية للمستهلك، معتبرا أن هذا اإلجراء يمثل نقلة نوعية ستمكن من إعطاء رؤية واضحة للفاعلين .الخواص لجلب المزيد من االستثمار وتحسين جودة اللحوم ورفع القيمة المضافة للسلسلة

ألهمية الكبرى لقطاع اللحوم الحمراء بكافة حلقاته، مذآرا بأن موضوع تحديث ومن جانبه، دعا وزير الداخلية، إلى إيالء ا

رغم تحفظ الجماعات الترابية التي تعتبر هذا القطاع "المجازر وتحرير نقل اللحوم آان هاجس الوزارة منذ مدة، ذلك أنه وللمصالح المعنية بالجماعات المحلية، موردا من موارد جباياتها الذي خلق ترددا للحسم في هذا الشق في السابق، تبين لي

".أنه آن األوان للتفكير في طريقة تدبير جديدة

مليون مستهلك، أن يظل حبيس قوانين تعود إلى 34 مليار درهم، ويهم 22وأآد الوزير، بهذا الصدد، أنه ال يعقل لقطاع يدر ، منوها "طوة، وهذه مزايا مخطط المغرب األخضرلكن االحتياط هو أن نمشي خطوة خ" سنة، قبل أن يستدرك 60أآثر من

ال يوجد ما يمنع هذا القطاع من بلوغ المستوى العالمي في هذا المجال، "بتحرير نقل اللحوم وتحديث المجازر الذي يفيد أنه ".ويكون من أهم انعكاساته انخفاض أسعار اللحوم

سوم ودفاتر التحمالت ما هي إال البداية، لكن ال بد من صحيح القوانين التي نشرع في تحضيرها، أي المر"وأضاف أن

آيفما آان الحال، إذا منعنا "، مخاطبا المهنيين، أنه "مراعاة مصلحة الجميع، بمن فيهم الجماعات المحلية، وهو أمر طبيعيال قيد الدراسة ، قبل أن يوضح أن هذا اإلطار ماز"الرسوم عن الجماعات المحلية ستدفعون المقدار ذاته من جهة أخرى

والنقاش المفتوح على آافة األطراف للمصلحة العامة وتحديث القطاع وتحسين صورة المغرب، مؤآدا، في المقابل، فالسوق مفتوح للجميع والمنافسة تقوم "ضرورة إنهاء االحتكار مقابل تعزيز التنافس بين الجماعات وخلق وحدات جديدة،

".ثمانعلى الجودة والضمانات الصحية واأل

من جهتهم، دعا الفاعلون المهنيون إلى تعميم اإلصالح على جميع حلقات سلسلة اللحوم الحمراء، وليس النقل وحده،

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مطالبين بتخفيض الرسوم الجمرآية والضرائب، خصوصا في المواسم الصعبة وتقنين األسواق وتوحيد السعر بها ومنع .البيع إال داخلها

ألف 800ة عن وزارة الفالحة والصيد البحري، يوفر قطاع اللحوم الحمراء حوالي مليون وواستنادا إلى وثيقة صادر

مليار درهم في السنة 22 في المائة من التشغيل اإلجمالي بالقطاع الفالحي برقم معامالت بلغ 40منصب شغل قار، أي 439، إلى 2007 ألف طن سنة 376ع من الماضية، علما أن اإلنتاج عرف ارتفاعا خالل الخمس سنوات الماضية، إذ ارتف

، ذلك أن اإلنتاج ينتشر في جميع جهات المملكة، علما أن بعض الجهات تتميز بطاقات عالية لإلنتاج 2011ألف طن سنة نتيجة وجود مساحات رعوية شاسعة وأعداد مهمة من الماشية وسالالت ذات آفاءات عالية في اإلنتاج آجهة الشرق

.باإلضافة إلى الدوائر السقوية والسهول الكبرىومكناس تافياللت

63 مجزرة قروية و674 مجزرة بلدية ومجزرة واحدة خاصة، باإلضافة إلى 179وأوضحت الوزارة أن البالد تتوفر على ألف طن من اللحوم الحمراء بالمجازر، أي ما 200 وحدة للتحويل، إذ تمت مراقبة 43 منها للتقطيع و20وحدة تثمين،

.2011 في المائة من مجموع اإلنتاج سنة 52اهز ين

وعرفت سلسلة اللحوم الحمراء تنظيما على المستوى المهني، هم بالخصوص حلقة اإلنتاج، وبعده تسويق اللحوم وتحويلها، ي ، الذي ينسجم مع توجهات مخطط المغرب األخضر الذ2008ما مكن من إنشاء الفدرالية البيمهنية للحوم الحمراء سنة

.جعل من المنظمات المهنية شريكا أساسيا لتطوير سالسل اإلنتاج

500 و2014 ألف طن سنة 450ويهدف المخطط األخضر في هذا الشق إلى تحسين عرض اللحوم آما وآيفا لتحقيق إنتاج للفرد سنة آيلوغرام13,4 آليوغراما للفرد سنويا إلى 11,7، ورفع االستهالك الفردي من 2020ألف طن في أفق سنة

عبر محورين، يكمن األول في رفع إنتاج القطيع وتكثيف اإلنتاج عن طريق دعم االستثمار الخاص إلنشاء مشاريع 2014مندمجة ومجمعة مكونة من وحدة للتسمين ومجزرة ووحدة للتقطيع فضال عن دعم برامج التحسين الوراثي للقطيع عبر

واسطة السالالت الالحمة باعتماد تقنية التلقيح االصطناعي مع الدعم المالي إنتاج العجول عن طريق التهجين الصناعي ب درهم لكل عجل مهجن وتكثيف برامج تحسين سالالت األغنام والماعز بمناطق انتشارها، 4000للدولة، المحدد في منحة

شاريع الدعامة الثانية باإلضافة إلى دعم واستيراد عجول التسمين عبر خفض الضرائب والرسوم الجمرآية وإنجاز م . بالمناطق ذات المؤهالت إلنتاج اللحوم

هجر المغلي

: المصدرhttp://www.assabah.press.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=34579:

2012-11-21-11-04-34&catid=108:2010-10-11-17-29-19&Itemid=792

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10/2012/ 31ة النسخة االلكتروني, ,العلم

هكتار ألف 500الى المؤمنة الزراعية المساحات رقعة ترفع البحري والصيد الفالحة وزارة

منجزات وآذا 2013 بسنة الخاصة وزارته ميزانية تقديمه خالل اخنوش عزيز السيد البحري والصيد الفالحة وزير أآد

المعيقات من مبالرغ االيجابية المعطيات من العديد ،على النواب مجلس بمقر الثالثاء أمس الجارية السنة خالل الوزارة 2013 لسنة الفالحي التامين برنامج تضمن فقد المهددة المخاطر ولمواجهة الماضية، الفالحية السنة ميزت التي المناخية 326 بدل هكتار الف500 إلى المستهدفة المساحة من الرفع وآذا والقطاني بالحبوب خاص المناخية المخاطر متعدد تأمينا يخص المناخية المخاطر متعدد للتامين جديد منتوج إطالق و ، 2012 - 2011 الفالحي الموسم خالل تأمينها تم التي ألف مناخي مؤشر على يستند تامين وهو الباراميتري التامين إرساء و والورديات، والحوامض آالزيتون المثمرة األشجار المؤمنة الشرآة مع عليه المتفق المرجعي للمؤشر باللجوء الحاالت هذه في الفالح تعويض ويتم المطرية التساقطات آنسبة آتجربة تافياللت ومكناس ورديغة الشاوية منطقتي في الجفاف ضد الحبوب تغطيةل التأميني النظام هذا وسيستخدم ، 2014 من ابتداء الوطني التراب آافة على تدريجيا التامين هذا تعميم وسيتم 2013 - 2012 الفالحي الموسم خالل نموذجية

.. مليون 734 مبلغ تخصيص تم حيث % 41 بلغ ارتفاعا الفالحية التنمية صندوق مصاريف سجلت فقد الجارية للسنة وبالنسبة

قطاعا وماللح قطاع اخنوش عزيز السيد واعتبر الفالحي، التامين لفائدة درهم مليون 215و الماشية إغاثة لبرنامج درهم القطاع هذا لتطوير الالزمة القانونية اآلليات وضع إلى الوزارة دفع ما وهو ، عامل ألف 800و مليون من أزيد يشغل حيويا مليون320 بلغت مالية اعتمادات لوزارةا رصدت فقد 2013 لسنة الغذائية للمواد الصحية السالمة برنامج وبخصوص ، .. 2012 مع مقارنة % 8 بزيادة أي درهم

الحرار نعيمة : الرباط

http://www.alalam.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=49915 : المصدر

2012/11/20 لكترونيةاالالنسخة ,التجديد

الجراد يجتاح موريطانيا ويهدد المغرب

حذر المدير العام للمرآز الوطني لمكافحة الجراد الصحرواي في موريطانيا محمد عبد اهللا ولد باباه الدول المجاورة لبلده

فحة الجراد أول أمس األحد أن من اآتساح الجراد الصحراوي لها، وأبرز ولد باباه خالل اجتماع للجنة تنسيق عمليات مكاوبهذا يصبح المغرب مهددا بالجراد الصحراوي، بعدما اجتاح موريطانيا خصوصا وأن . الوضع في ببالده أصبح مقلقا

المغرب من هجوم محتمل » فاو«ظروف تكاثره مواتية، وسبق وأن حذرت منظمة األمم المتحدة لألغذية والزراعة اوي، يمكن أن تأتي على مساحات واسعة من المزروعات وتتسبب في خسائر فادحة، واذا ألسراب آبيرة من الجراد الصحر

سقط المزيد من األمطار فان الفرصة ستكون حسبها سانحة آي تنضج الحشرات الكاملة جنسيا وتقوم بالثكاتر خصوصا في .الصحراء المغربية

http://www.attajdid.info/?info=2563 : المصدر

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2012/11/20 النسخة االلكترونية صحافة اليوم

الدورة السادسة لمهرجان الزعفران بتالوين في بعده الدولي

الزعفران منتوج

، تنظم جمعية منتجي الزعفران بتالوين بتعاون مع عمالة إقليم تارودانت، مهرجان "نحو بعد دولي للزعفران"عار تحت ش .2012 دجنبر من سنة 2 نونبر إلى 29الزعفران في دورته السادسة خالل الفترة الممتدة من

وجعل تالوين تضاهي مدن عالمية شهيرة ، ساهم إلى حد آبير في النهوض بهذا القطاع، 2007المهرجان الذي انطلق سنة .آما استمر بتسجيل معدالن نمو سنويا في حجم اإلنفاق والزوار، موزعة على السفر والضيافة. بإنتاج وتسويق هذه المادة

هذا ويسهم قطاع الزعفران بتالوين بنسبة جد مهمة في الناتج المحلي اإلجمالي، حسب تقرير أعدته مصالح عمالة إقليم

ودانت، الذي أشار إلى أن القطاع يحقق معدالت نمو الفتة سنويًا، بالتزامن مع النمو في الواردات وإعادة التصدير، ما تار" دار الزعفران"يرسخ مكانة تالوين باعتبارها إحدى الوجهات الرائدة لتسويق الزعفران في العالم، خصوصا بعد تشييد

.نتوج على المستوى العالميالذي يعد من بين أهم مراآز تسويق هذا الم صحافة اليوم-تارودانت

http://www.sahafat-alyawm.net/detail.php?id=3250 : المصدر

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2012/11/20 النسخة االلكترونية,منارة

)مسؤول(التساقطات المطرية األخيرة في الجهة الشرقية تبشر بانطالق موسم فالحي جيد

ع .م.و ) الحسين لعوان (

اشم موالي الصديق رئيس قسم تنمية السالسل الفالحية بالمديرية الجهوية للفالحة أآد السيد ه/ ومع/2012 نونبر 20/وجدة . للجهة الشرقية أن التساقطات المطرية الهامة التي عرفتها مؤخرا المنطقة تبشر بانطالق موسم فالحي جيد

لى الخصوص المزروعات التي ستستفيد منها ع،واعتبر في تصريح لوآالة المغرب العربي لألنباء أن هذه التساقطات

سيكون لها أيضا وقع إيجابي على المراعي التي تساهم بنسبة آبيرة في تغذية ،الخريفية واألشجار المثمرة آالزيتون واللوز 700 و ما يقارب ، مليون رأس من األغنام2ر3(قطيع الماشية الذي يشكل أحد أهم رآائز اإلنتاج الفالحي بالجهة الشرقية

). ألف من األبقار84 و ،ألف من الماعز

وأضاف أن أمطار الخير التي تزامنت هذه السنة مع بداية الموسم الفالحي ستساهم في التسريع من وتيرة عملية الحرث التي واآبها اإلقبال الكبير للفالحين على شراء البذور وخاصة المختارة التي تعمل المديرية على توفير وتسويق آمية منها

. ألف قنطار بأثمنة مدعمة على غرار السنة الماضية70 إلى 65ن تتراوح ما بي

وقد ساهمت هذه التساقطات المطرية أيضا في تزويد الفرشة المائية بالحوض المائي لملوية والرفع من حقينة السدود وسد مشرع ،ئة في الما80الرئيسية التي تزود الجهة منها على الخصوص سد محمد الخامس الذي بلغت فيه نسبة الملء

. في المائة100 وسد على واد زا بنسبة ، في المائة83ر6حمادي بنسبة

من شهر نونبر الجاري خاصة في عمالة وجدة أنكاد 12 و11وسجلت هذه التساقطات التي تهاطلت على المنطقة يومي في المائة مقارنة 44لك زيادة قدرها ملم حيث سجلت بذ220 بينما بلغت منذ انطالق الموسم الفالحي الحالي نحو ، ملم115

.مع الفترة ذاتها من السنة الماضية

ألف 416وتقدر المديرية الجهوية للفالحة المساحة المزمع زرعها من الحبوب خالل هذا الموسم الفالحي الجديد بحوالي وهذه المساحة . بالنسبة للقمح الصلب في المائة 14 في المائة لكل منهما و43هكتار يمثل فيها القمح الطري والشعير نسبة

. ألف هكتار389 أي ما يمثل ، في المائة94المرتقب زرعها من الحبوب تهم بالخصوص المناطق البورية بنسبة

778 ألف و 76 ألف هكتار يمثل فيها قطاع الزيتون ما يناهز 112وتبلغ المساحة المخصصة لألشجار المثمرة أآثر من في حين تبلغ مساحة المراعي على مستوى ،)من المساحة االجمالية المخصصة لألشجار المثمرة 68أي نسبة (هكتار . هكتار والتي تتواجد فيها مجموعة من النباتات العلفية أهمها الحلفاء682 ألف و877 ماليين و4الجهة

للفالحة على تقريب البذور من وفي إطار التدابير المتخذة إلنجاح الموسم الفالحي الحالي تعمل المديرية الجهوية

المستعملين والتنسيق مع الفاعلين لضمان تزويد السوق باألسمدة الكافية وتشجيع الفالحين على القيام بالتحاليل المخبرية . في المائة50عبر مواصلة دعم الدولة لهذه العملية بنسبة ) التربة والماء والنبات(الفالحية

على ، ملم300 تتميز بمناخ شبه جاف وتساقطات مطرية ضعيفة ال يتجاوز معدلها السنوي التي،وتتوفر الجهة الشرقية

في المائة 9 تمثل فيها األراضي الصالحة للزراعة نسبة ، ألف هكتار282 ماليين و 8مساحة إجمالية فالحية تقدر ب باإلضافة إلى مليوني ،) في المائة2( هكتار بالنسبة لغير المزروعة 974 ألف و 178 و ، هكتار744 ألف و 730بحوالي

في 59( هكتار من المراعي 682 ألف و 877 ماليين و4 و ،) في المائة30( هكتار من الغابات 600 ألف و 494و ح ل/ج). المائة

/ س ه / http://www.menara.ma/ar/2012/11/20/369348-.html :المصدر

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20/12/11/20 النسخة االلكترونية,منارة

لتنمية السلسة " تحول حاسم"راء المرسوم الجديد المتعلق باللحوم الحم: أخنوش

ع .م.و

الوزيران أخنوش و العنصر خالل اجتماعهما مع مهنيي قطاع اللحوم الحمراء

إن المرسوم الجديد المتعلق بمراقبة وجودة اللحوم ، االثنين بالرباط ،زير الفالحة والصيد البحري عزيز أخنوشقال و .لتنمية السلسلة" تحول حاسم" يرمز ل، نونبر الجاري1الحمراء الذي صادق عليه مجلس الحكومة في

أن ،العنصر لقاء مع مهنيي سلسلة اللحوم الحمراء الذي ترأس بشكل مشترك مع وزير الداخلية السيد امحند ،وأبرز أخنوش

، في المائة من الناتج الداخلي الفالحي الخام30 الذي يساهم بنحو ،هذا المرسوم يشكل مدخال إلعادة هيكلة هذا القطاع"وم هذا المرس"وقال إن ". مليار درهم سنويا22 مليون منصب عمل وتحقيق رقم معامالت يناهز 1ر8ويمكن من إحداث

". وخفض أسعار اللحوم،سيمكن من تحرير نقل اللحوم الحمراء آهدف رئيسي

أهمية هذا النص التشريعي الجديد الخاص بسوق اللحوم الحمراء والذي سيمكن من تحرير " أآد السيد العنصر ،من جهته ".هذا القطاع وتعزيز فرص التسويق

، تنافسية وتشجيع الفاعلين الخواص على االستثمار في القطاعومن شأن المصادقة على المرسوم الجديد خلق سوق لحوم

آما ستمكن المقتضيات الجيدة للمرسوم حرية تنقل اللحوم المنتجة بالمجازر المرخص لها بين الجهات وتنمية شبكة للنقل .بالتبريد يساير التشريع والقوانين الجاري بها العمل

إعداد دفاتر تحمالت تهم على التوالي الرخص الصحية والتدبير المفوض للمجازر تم،وباإلضافة إلى هذا اإلجراء التنظيمي

.البلدية من طرف القطاعين الوزاريين وتم إرسالها إلى الجماعات المعنية

ون ملي850 منها ، ماليير درهم6وقد جاء هذا اإلطار مكمال للتدابير الهامة المتخذة في إطار العقد البرنامج باستثمار يناهز .درهم تقدمها الدولة على شكل منح لالستثمار ودعم لمربي الماشية وللتنظيمات المهنية بالسلسلة

مشاريع مندمجة تشمل 8 مجزرة بلدية باإلضافة إلى 12 سيتم تفويض تدبير ،ولتحسين الظروف المؤطرة لهذه السلسلة

وتشكل . منصب شغل قار1670درهم وسيمكن من خلق مليون 560وحدات للتسمين وللذبح وللتقطيع بتكلفة إجمالية تفوق .هذه المشاريع خارطة طريق خالل السنوات المقبلة

ألف طن من 500يذآر أن مخطط المغرب األخضر أولى أهمية خاصة لسلسلة اللحوم الحمراء بهدف بلوغ إنتاج حوالي

، عبر الرفع من اإلنتاجية وتكثيف اإلنتاج من جهةوقد بذلت مجهودات هامة لتنمية هذه السلسلة. 2020اللحوم في أفق سنة .وتحسين ظروف تسويق القطيع واللحوم من جهة أخرى

http://www.menara.ma/ar/2012/11/19/368610-.html :المصدر

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2012/11/19 النسخة االلكترونية,المساء

في المائة 60 ملء السدود باللكوس بلغت نسبة

بالمائة بعد التساقطات 60أفادت وآالة الحوض المائي اللوآوس بأن نسبة الملء بسدود المنطقة الشمالية بلغت أزيد من

.المهمة التي عرفتها المنطقة خالل الساعات األخيرة

ء حقينة السدود التسعة بالجهة الشمالية التابعة لنفوذها وأوضحت الوآالة، في تقرير للصحافة اليوم السبت، أن معدل مل بالمائة بفضل التساقطات المطرية األخيرة، مشيرة إلى أن سد النخلة، الواقع بإقليم تطوان، والذي يعد 60الترابي تجاوزت

.كميات مهمة بالمائة بفضل األمطار التي هطلت ب100أحد السدود المهمة بالمنطقة، ارتفعت به نسبة الملء إلى

وأبرز المصدر ذاته أن المستوى المهم لحقينة السدود بالمنطقة الشمالية سيمكن من الرفع من مردودية القطاع الفالحي للموسم الجاري، وتأمين عملية التزود بالماء الشروب بهذه المنطقة، وتحسين مستوى السقي والرفع من مساحة األراضي

.الفالحية المسقية

ع أن تتواصل نسبة الملء بالسدود التسعة للجهة الشمالية من المملكة بشكل إيجابي، حسب المصدر ذاته، خاصة ومن المتوقأن موسم األمطار ال يزال في بدايته بعد أن آان شح األمطار أثر، بشكل سلبي، على نسب الملء بحقينة السدود بالجهة

.السنة المنصرمة

http://almassae.ma/node/57518 : المصدر

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2012/11/19 النسخة االلكترونية,المساء

قافلة المجمع الشريف للفوسفاط للحبوب تحل بإقليم الخميسات

المساء

قافلة المجمع الشريف للفوسفاط للحبوب «، )إقليم الخميسات(حلت، أول أمس السبت بجماعة حد البراشوة بدائرة الرماني ، التي أطلقها المجمع، بتنسيق مع وزارة الفالحة والصيد البحري وبعض الموزعين المحليين لألسمدة،»2012

. محطة12جماعة البراشوة المحطة ما قبل األخيرة لها في إطار جولة تشمل والتي تشكل

، إلى مساعدة الفالحين )المخطط األخضر(وتهدف هذه القافلة، التي أطلقها المجمع الشريف للفوسفاط، في إطار دعم ية زراعاتهم من الحبوب الصغار على استيعاب نوعية تربة أراضيهم الفالحية، وتلقينهم أفضل األساليب لتحسين مردود

عبر االستعمال المعقلن لألسمدة في الضيعات الزراعية، وتمكينهم من االستفادة من الخبرات والمهارات التي تتعلق بالصيغ .الجديدة لألسمدة وتناسبها مع السوق المحلية، وآذا من المعطيات الخاصة بخريطة خصوبة التربة واستعمالها

، الذي أعطى انطالقته الملك محمد السادس 2013-2012ي تم إطالقها بتزامن مع الموسم الفالحي وشكلت هذه القافلة، الت

فالحا قدموا من مختلف الجماعات التابعة للمجال الترابي لجهة الرباط 250بمدينة مكناس، والتي عرفت مشارآة حوالي لتحليل التربة ونظام معلوماتي مجهز بقاعدة سال زمور زعير، فرصة لفالحي الجهة لالستفادة من خدمات مختبر متنقل

.بيانات ومعطيات خاصة بخريطة خصوبة التربة وضع رهن إشارتهم تحت إشراف أطر متخصصة

وأوضح مدير المبيعات بالمجمع الشريف للفوسفاط، الحسين الكورنو، في آلمة بالمناسبة، أن الغاية من هذه القافلة هي ار على االستعمال المعقلن لألسمدة من أجل تحسين مردودية أراضيهم الفالحية، مضيفا أن مساعدة وتشجيع الفالحين الصغ

هذه القافلة تشكل أيضا مناسبة للتعريف بأهمية األسمدة والعناصر الغذائية والصيغ الجديدة لألسمدة ومشروع خريطة .خصوبة التربة

ر زعير، احميدة هرهوري، أهمية هذه المبادرة التي تتوخى من جهته، أآد المدير الجهوي للفالحة بجهة الرباط سال زمو

التحسيس بأهمية استعمال األسمدة وترشيدها من خالل تحاليل التربة وخريطة خصوبة التربة بغية تحسين مردودية .األراضي الفالحية

أطلقتها الوزارة الوصية، واستعرض المدير الجهوي الخطوط العريضة الستراتيجية اإلرشاد واالستشارة الفالحية، التي

والتي ترتكز على ثالثة محاور تتمثل في تفعيل دور الدولة من خالل إعادة هيكلة مراآز اإلرشاد الفالحي، وتطوير وتنمية .االستشارة الفالحية الخاصة، وإشراك الفالح من خالل تفعيل دور الغرف الفالحية والمنظمات البيمهنية

http://almassae.ma/node/57516 : المصدر

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2012/11/19 االلكترونيةالنسخة ,الصباح

موجة تغيير الكتاب العامين للوزارات تتواصل

لصيد وبوليف يبحث عن مدير عام جديد لصندوق المقاصةأخنوش يبعد الكاتبين العامين للفالحة وا

شرع وزراء حكومة بنكيران في اإلعالن عن مباريات الترشح للمناصب العليا، خاصة على مستوى الكتاب العامين إجراء سبع مباريات، خصصت إحداها الختيار آاتب عام جديد خلفا لالستقاللي للوزارات، فبعد إعالن وزارة الصحة عن

حال مكاوي، أعلن وزير الفالحة والصيد البحري، عن تنظيم مباراتين لتعيين آاتب عام جديد في قطاع الفالحة وآخر رلقطاع الصيد البحري، فضال عن مباراة أخرى لتعيين مدير عام المكتب الوطني للسالمة الصحية للمنتجات الغذائية، آما

لى تغيير الكاتب العام للوزارة ومدير صندوق المقاصة خلفا لنجيب بنعمور، بادر الوزير المكلف بالشؤون العامة والحكامة إ .ومدير تنمية مكتب التعاون

وينتظر أن يعلن وزراء آخرون عن الترشح لمناصب عليا داخل وزاراتهم في األيام القليلة المقبلة، وستهم جميعها الكتاب

عن ملء المناصب الشاغرة بعد إحالة عدد من األطر العليا على العامين للوزارات وعددا من المديرين المرآزيين، فضال .التقاعد، خاصة في وزارة التعليم العالي والبحث العلمي التي يديرها لحسن الداودي

من جهة أخرى، عبر وزراء في حكومة بنكيران عن استيائهم من طول مسطرة اإلعالن عن الترشيح وتشكيل لجنة االنتقاء

لنتيجة، والتي قد تستغرق أزيد من شهر، ويطمح وزراء بنكيران إلى تثبيت عناصر مقربة منهم في هذه واإلعالن عن االمناصب، من خالل الدفع بترجيح آفة مقربين من أحزابهم في الترشيحات المقدمة، وهو ما دفع عددا من آبار المسؤولين

.استقاالتهم من مناصبهمفي وزارات بعينها إلى استباق قرارات إقالتهم من خالل تقديم

يوليوز 17 صادر في1.12.20 من الدستور والظهير رقم 92 و49ويستند قرار التعيين في المناصب العليا إلى الفصلين 2.14.412 المتعلق بالتعيين في المناصب العليا، فضال عن مرسوم رقم 02.12، بتنفيذ القانون التنظيمي رقم 2012

في ما يتعلق بمسطرة التعيين في المناصب العليا التي يتم التداول في شأن التعيين فيها في 2012 أآتوبر 24الصادر في . مجلس الحكومة

من جهة أخرى، أفادت مصادر مقربة من رئيس الحكومة، أن األخير يسعى جاهدا إلى تكريس مضامين مرسوم التعيين في

ار األشخاص التي يتم انتقاؤهم من لدن لجان الترشيح، على رأس المناصب العليا، ومعايير الشفافية والكفاءة في اختيالمناصب العليا، وعدم الخضوع لضغط بعض الوزراء الذين يسعون جاهدين إلى تعيين مقربين منهم في هذه المناصب

.بعيدا عن معايير الكفاءة واالستحقاق التي جاء بها الدستور الجديد وقانون التعيين في المناصب العليا

رشيد باحة

:المصدرhttp://www.assabah.press.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=34394:

2012-11-19-10-56-28&catid=67:cat-nationale&Itemid=600

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2012/11/19 النسخة االلكترونية,منارة

)وزير(ابتداء من السنة المقبلة ي إطار تنفيذ مخطط المغرب األخضر المتعلق بالفالحة التضامنية مشروعا ف112إنجاز

ع.م.و

إنه سيتم ابتداء من، اليوم اإلثنين،قال وزير الفالحة والصيد البحري السيد عزيز أخنوش/ ومع/ 2012 نونبر 19الرباط

في إطار تنفيذ مخطط المغرب األخضر المتعلق بالفالحة التضامنية مشروعا112السنة المقبلة إعطاء االنطالقة النجاز . مليار درهم1ر62باستثمار إجمالي يناهز

تنفيذ دعامة مخطط المغرب األخضر المتعلقة بالفالحة " في معرض رده على سؤال شفوي حول ،وأوضح السيد أخنوش

ألف 29 ألف هكتار ولفائدة 66ع ستقام على مساحة قدرها أن هذه المشاري،للفريق االشتراآي بمجلس النواب" التضامنية . وستهم جميع جهات المملكة وآافة سالسل اإلنتاج النباتية والحيوانية، مستفيدا650و

بالمئة 58 مشروعا أي ما يعادل 319وعلى مستوى اإلنجازات الميدانية أشار السيد أخنوش إلى أنه تم الشروع في إنجاز

ألف 611 ألف مستفيدا على مساحة 471 التي تهم ، مبرزا أنه إلنجاز هذه المشاريع،2020رمجة في أفق من المشاريع المب . 2020 بالمئة من مجموع االستثمارات المراقبة في أفق 52 مليار درهم أي 10ر3 ستتم تعبئة حوالي ،هكتار

http://www.menara.ma/ar/2012/11/19/368191-.html :المصدر

2012/11/19 النسخة االلكترونية,األحداث المغربية

الصويرة بوادر موسم فالحي جيد بإقليم

180الموسم الفالحي الحالي تقدر بحوالي أن المساحة المبرمجة للحرث خالل,أآدت المديرية االقليمية للفالحة بالصويرة , مم آانت آافية ومشجعة للحرث100تساقطت على االقليم والتي وصلت الى التي, وأن األمطار األخيرة , ألف هكتار

والوصول الى , مم 300تواصل التساقطات الى حوالي في المائة من األراضي المحروثة في أفق30حيث تقدر بحوالي المتوخاة تقدر بحوالي فاألهداف, أما بخصوص الحبوب المختارة . خالل هذا الموسم في المائة من األراضي المحروثة90

2000المديرية الى توزيع واألسمدة تهدف, وهي نسبة جد مهمة ومثمرة, قنطار 5000تم توزيع الى االن , قنطار 6000المهمة بتظافر جهود آل المتدخلين وخاصة مجهودات وقد تم تحقيق هذه المعدالت, قنطار 1000وزعت منها , قنطار

التهيئ آما أن المديرية بصدد, ) سميمو ( وتمنار ) حد درا (تالمست , ) سميمو ( لحنشان : لثالثةمراآز األشغال الفالحية ا التأمين الفالحي وآخر حول,لتنظيم أياما تحسيسية بمناسبة انطالق الموسم الفالحي الحالي

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