15 sept 2018 > 24 fév 2019 ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE9-9bis.com/files/2018/10/9-9bis_dp_archeoindus.pdf · culturelle, le Bassin minier Nord - Pas de Calais présente aujourd’hui

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DOSSIER DE PRESSE • ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE, Marcher - Photographier - Collectionner • EXPOSITION

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ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLEMarcher - Photographier - Collectionner

15 sept 2018 > 24 fév 2019

DOSSIER DE PRESSE

Exposition de documents d’archives et de photographies

CONTACT PRESSE

Justine FLAHAUTResponsable de la communication03 21 74 76 [email protected]

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I NTRODUCT ION P 3

# 1 - L’ ARCHÉOLOG I E I NDUST R I E L LE P 4

# 2 - PATR IMO INE ET ARCHÉOLOG I E I NDUST R I E L LE P 5

# 3 - UNE EXPOS IT I ON EN DEUX ÉTAPES P 6

# 4 - PARCOURS DE L’ EXPOS IT I ON P 7

# 5 - L ES COMMISSA IRES DE L’ EXPOS IT I ON P 8

# 6 - L I STE DES SUP PORT S P 9

# 7 - AUTOUR DE L’ E XPOS IT I ON P 2 1

# 8 - I N FORMAT IONS PRAT IQUES P 27


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Le carreau de fosse 9-9bis est un ensemble minier remarquablecomposé de la fosse, du terril 110 et de la cité-jardin De Clercq. Construit dans les années 30 et fermé en 1991, il a été sauvé par son classement au titre des Monument Historiques en 1994 grâce à l’action conjuguée de l’association ACCCUSTO SECI, composée d’anciens mineurs et de passionnés, de l’Etat et des collectivités locales.

Il représente aujourd’hui l’un des cinq grands sites miniers du Bassin minier Nord - Pas de Calais avec le 11/19 à Loos-en-Gohelle, la fosse Delloye à Lewarde, le carreau de fosse de Wallers-Aren-berg et la Cité des Electriciens à Bruay-la-Buissière.Il constitue un site industriel de référence et un symbole important de l’histoire industrielle du Nord - Pas de Calais. Depuis le 30 juin 2012, il est inscrit, avec 353 autres éléments représentatifs du Bassin minier Nord - Pas de Calais, au Patrimoine mondial de l’UNESCO au titre de “Paysage culturel évolutif vivant”.Le 9-9bis est aujourd’hui un lieu culturel s’appuyant sur l’histoire du territoire et axé sur la valorisation du patrimoine minier, la création contemporaine et le développement culturel.

Dans son souci d’amener le public à se pencher sur les traces du patrimoine minier qui l’entoure, le 9-9bis a invité Didier Vivien et Jean-Marie Minot à concevoir une exposition sur l’archéologie indus-trielle : ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE, Marcher - Photographier – Collectionner.

A travers différents types de documents qu’ils collectionnent pour alimenter leur connaissance des sites miniers parcourus au fil des années, l’exposition donne un aperçu de leurs collections et présente l’esprit de leur démarche. Ils proposent de découvrir ce qu’ils appellent l’archéologie industrielle “ invisible ” qui consiste, parallèlement à l’archéologie industrielle institutionnelle, à arpenter les anciens sites miniers, à se préoccuper des installations disparues et à constituer une mémoire industrielle très détaillée.

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INTRODUCTION

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“ Celui pour qui le présent est la seule chose qui soit présente ne sait rien de l’époque dans laquelle il vit ”.

Oscar Wilde, écrivain (1854-1900)

Nous proposons d’appeler l’étude des sites miniers et des archives “ archéologie industrielle invisible ”. Invisible parce qu’elle est très méconnue du grand public et invisible tant elle porte sur des vestiges discrets et des installations disparues.

Erudite, obstinée et rêveuse, cette archéologie vagabonde se fonde essentiellement sur la marche, la photographie et la collection de tout document susceptible d’enrichir la connaissance historique et sensible du territoire. Elle peut aussi se consacrer à la restauration et à la conservation de vestiges moins prestigieux que les édifices protégés par la muséographie institutionnelle et la loi.

Entre histoire et micro-géographie, architecture et mécanique, l’archéologie invisible contribue à l’écriture d’une mémoire détaillée qui donne lieu à des publications, des musées municipaux ou associatifs, des sites Internet, etc.

L’histoire est d’abord dans la tête de ceux qui l’ont vécue. Les livres et les musées constituent ensuite une mémoire collective pour ceux qui ne l’ont pas connue. Cependant, chacun peut vagabonder dans le territoire afin d’appréhender le génie poétique des lieux et se soucier de l’histoire en recherchant les vestiges énigmatiques que “ les turbulences du progrès ” n’ont pas totalement fait disparaître. Nombreux sont “ les marcheurs de terrils ” et les collectionneurs de documents miniers dans la région. Cette contemplation des vestiges et ce soin apporté aux images anciennes relèvent de l’archéologie industrielle.Placée sous le signe de la transmission, cette exposition est l’occasion d’attirer l’attention sur cette mémoire discrète et méditative. Elle présente ainsi une série de documents à la richesse insoupçonnée : cartes postales, photographies, plans, objets, livres, archives manuscrites etc.

Cette exposition est dédiée à Olivier Kourchid (universitaire en sociologie), et Jean-Paul Doué (réalisateur), disparus en 2018, tous deux pionniers de l’archéologie industrielle dans le Bassin minier Nord - Pas - de - Calais.

Commissaires :Jean-Marie MINOT, historien local et président de l’association ACCCUSTO SECI

Didier VIVIEN, photographe et maître de conférences à Lille 3

# 1 - L’ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE

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La notion de patrimoine est apparue dans les premières décennies du XIXe siècle grâce à la clairvoyance de certains intellectuels (écrivains, historiens, artistes, architectes, etc.). Pendant de longs siècles, les édifices abandonnés four-nissaient le matériau des constructions nou-velles. Le souci de l’histoire et la sauvegarde de ces monuments les plus emblématiques appa-raissent avec la modernité et la révolution industrielle. En 1830 est institué le poste d’inspecteur géné-ral des Monuments Historiques qui est confié à Prosper Mérimée en 1834. Quelques mois après la loi relative aux Monuments Historiques du 31 décembre 1913, l’Etat français crée la CaisseNationale des Monuments Historiques et Préhistoriques pour gérer les fonds exigés par l’entretien et la conservation des monuments, actuel Centre des monuments nationaux. Il faudra attendre 1959 sous la présidence de Charles de Gaulle pour que soit institué le Ministère de la Culture confié à André Malraux, écrivain et historien de l’art.

C’est dans le nord de l’Angleterre, berceau de l’industrie manufacturière et de l’économie capitaliste, que les premiers défenseurs des constructions industrielles obsolètes apparaissent à l’aube des années 1950. A la protection des édifices sont associées l’histoire des techniques et des machines, l’étude des luttes sociales et des crises économiques, et la constitution d’une mémoire ouvrière. L’ensemble de ces préoccupations qui prend appui sur les mutations de l’architecture et du territoire constitue le champ pluridisciplinaire de l’archéologie industrielle. Qu’un édifice voué à la production et au travail puisse être considéré comme un bâtiment patrimonial au même titre qu’un château ou une église était une idée d’avant-garde à l’époque.

L’archéologie industrielle est plus tardive en France. C’est dans les années 1970, tandis que la désindustrialisation bat son plein, dans le nord de la France comme dans d’autres régions industrielles, que sont prises les premières mesures de protection. Cependant, dans le contexte traumatique des luttes sociales, de la montée du chômage et du déclin économique qui engendre honte et désarroi, l’archéologie industrielle demeure un combat de tous les instants devant l’empressement de Charbonnages de France à faire table rase du passé. L’inertie des pouvoirs publics et la rareté des subventions nécessaires à la sauvegarde des installations dont la logique utilitariste n’a que faire, obligent à faire avec les moyens du bord.

Bon an, mal an, grâce à la ténacité de certains élus locaux et à la vigilance du Ministère de la Culture, la passion des associations d’archéologues amateurs et le développement des institutions à vocation culturelle, le Bassin minier Nord - Pas de Calais présente aujourd’hui plusieurs sites remarquables dont plus personne ne doute qu’il était juste de les sauver de la démolition. Dans les années 30, on dénombrait quelque 150 chevalets, 21 ont survécu à l’exploitation.

En 2012, l’inscription au Patrimoine mondial de l’UNESCO du Bassin minier est venue donner crédit à des années de ténacité pour convaincre de la valeur historique, culturelle et esthétique des installations industrielles.

# 2 - PATRIMOINE ET ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE

Gare de Toulon, 1861 © Eugène Baldus

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Journées européennes du patrimoine 2017 : une première exposition sur la modernisation industrielle à travers l’exemple du Groupe de Oignies

A l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2017, le 9-9bis a souhaité s’associer à Didier Vivien, photographe et maître de conférences à Lille 3. Auteur de l’ouvrage La vie sur terre, Archéologie de la mine (Editions Loco, 2017), Didier Vivien a arpenté le Bassin minier pour le photographier et l’histoire du territoire est devenue pour lui un terrain passionnant de recherches. C’est au cours de ses recherches qu’il a fait la rencontre de Jean-Marie Minot, passionné lui aussi par l’histoire de la mine et président de l’association ACCCUSTO SECI.

Le 9-9bis a invité Didier Vivien et Jean-Marie Minot à proposer une première exposition portant sur le territoire de Oignies et ses environs pour amener le public à se pencher sur les traces du patrimoine minier qui l’entourent. Cette exposition a été visible au 9-9bis dans la salle des douches entre le 16 septembre et le 05 novembre 2017. Elle présentait à la fois un historique du Groupe de Oignies - regroupant après la Nationalisation de 1946 les compagnies minières de Oignies, Libercourt, Ostricourt, Carvin, Dourges et Courrières - et un état des lieux du patrimoine industriel sur la Communauté d’Agglomération Hénin-Carvin à travers cartes postales anciennes et photographies contemporaines.

Cette exposition constituait une première étape du travail mené avec Didier Vivien pour aboutir à une seconde exposition d’envergure sur l’archéologie industrielle dans le Bassin minier.

Journées européennes du patrimoine 2018 : une seconde exposition d’envergure sur l’archéologie industrielle

Soutenue par une scénographie adaptée, ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE, Marcher - Photographier - Collectionner vise à sensibiliser tous les publics à l’histoire du Bassin Minier Nord - Pas de Calais.Conçues par Jean-Marie Minot et Didier Vivien avec la collaboration de l’équipe de 9-9bis, l’exposition propose de préciser ce qu’est “archéologie industrielle”. Si la formule est désormais courante, il nous a semblé nécessaire de demander à deux archéolo-gues expérimentés de présenter les différents aspects de cette activité plus répandue que l’on ne le pense dans la région. A partir de la notion de patrimoine qui se précise au XIXe siècle, les documents, réunis par les deux commissaires, montrent comment l’archéologie industrielle s’est constituée en un champ de recherches transdisciplinaires.

# 3 - UNE EXPOSITION EN DEUX ÉTAPES

Oignies, 2015 Fosse 2 © DV

Hénin-Beaumont - Rouvroy, 2018 Terril 101 © DV

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Qu’est-ce que l’archéologie industrielle ?

Le but de l’exposition est de chercher à répondre à cette question et d’expliquer au public la démarche d’un archéologue industriel pour l’inviter ensuite à poser le regard sur le territoire qui l’entoure.

L’exposition s’organise de la façon suivante :Elle débute avec une introduction à l’archéologie industrielle et avec un préambule sur la notion de patrimoine. En faisant la distinction entre « archéologie institutionnelle » fondée sur la conservation des sites les plus emblématiques, l’action culturelle et le développement économique et touristique des territoires et « archéologie invisible » menée par des amateurs solitaires ou des associations d’his-toire locale, les deux commissaires d’exposition ont fait le choix de mettre l’accent sur cette dernière.

A travers différents types de documents qu’ils collectionnent pour alimenter leur connaissance des sites miniers parcourus au fil des années, l’exposition donne un aperçu de leurs collections et présente l’esprit de leur démarche. L’un et l’autre ont commencé leurs arpentages archéologiques dès l’adolescence. On retrouvera dans leurs publications les textes qu’ils ont rédigés ainsi que les images d’archives qu’ils ont associées à leurs propres photographies.

Une grande partie de l’exposition est dédiée à une présentation des différentes typologies de documents rassemblés par les collectionneurs.Cartes postales anciennes viennent se mêler aux photographie industrielles telles qu’elles pouvaient être commandées par les Houillères ou encore aux photographies à but documentaire et photogra-phies aériennes.

L’exposition met en valeur également les documents d’archives que représentent manuscrits ou imprimés, plans, dessins industriels ou encore cartes produites par l’activité industrielle sans oublier les magazines des Houillères qui constituent une source d’information inépuisable.

Elle présente également, à l’aide de photographies contemporaines, des vestiges de surface encore visibles aujourd’hui ainsi qu’un étude de site en prenant pour exemple l’ancienne fosse de concentra-tion N°10 de Oignies située autrefois à proximité de la fosse 9-9bis.

Enfin, elle ne met pas de côté les connaissances diffusées et mises à la portée du plus grand nombre sur le net en proposant au public des exemples concrets.

Les commissaires d’exposition se sont aussi attachés à décrire de façon très didactique, par le biais de photographies d’archives, le dispositif minier pour que chacun puisse rassembler les différents éléments constitutifs du paysage minier tels que puits, terrils, infrastructures ferroviaires, cokeries, centrales thermiques et rivages.

Enfin l’exposition met à l’honneur les machines d’extraction qui constituent pour Oignies des éléments symboliques avec la machine à vapeur de la fosse 2 et le treuil cylindro-conique du puits 9 de Oignies qui pourra bientôt de nouveau tourner.

# 4 - PARCOURS DE L’EXPOSITION

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Jean-Marie MINOT est né à Douai en 1943. Sans être fils de mineur, il a posé, dès son plus jeune âge, un regard attentif sur ce qui l’entourait.Il se passionne pour le chemin de fer et pour la mine. Muni de son appareil photographique, il arpente le territoire pour garder trace. Il est l’auteur, avec Guy Dubois, de Histoire des mines du Nord et du Pas de Calais. Aujourd’hui, il partage ses connaissances et sa passion pour LA machine et LES techniques.

Depuis 2016, il est également président de l’associaton ACCCUSTO SECI (Association pour la création du centre de culture scientifique et technique de Oignies sur les sécurités industrielles), fondée en 1992 et qui est à l’origine de la sauvegarde du 9-9bis. En effet, après la fermeture du site en 1990, l’association définit, en étroite collaboration avec l’équipe de M. Kourchid, Directeur de Recherches au CNRS, un projet pour la valorisation du 9-9bis centré sur la thématique des sécurités industrielles.Depuis, ACCCUSTO SECI valorise le carreau de fosse 9-9bis en veillant à sa sauvegarde et en accueillant, avec le Pôle Patrimoine du 9-9bis, les visiteurs de plus en plus nombreux.L’association se réunit tous les lundis sur le site et œuvre à la restauration des machines qui constituent un atout majeur du site : compresseurs, treuils bicylindroconiques, convertisseurs, ponts roulants, indicateur de profondeur…

Didier VIVIEN est né à Saint Denis en 1960. Il arrive dans la région à l’âge de huit ans et com-mence à photographier le Bassin minier. Il devient enseignant et passe ensuite une thèse de doctorat pour être maître de conférences à l’université de Lille 3 où il enseigne l’histoire et la philosophie de l’art. En 2017, il publie une somme sur le Bassin minier : 35 années de photographie et deux essais regroupés dans un seul ouvrage : La vie sur Terre / Archéologie de la mine (éditions Loco, 620 pages, 920 reproductions). Son travail associe photographie documentaire et réflexions philosophiques et esthétiques sur le devenir des sociétés industrielles. En 2015, sa rencontre avec Jean-Marie Minot l’oriente plus encore vers l’archéologie industrielle. L’exposition présentée et produite le 9-9bis est le fruit de leurs destins croisés. L’histoire des sites miniers pour Jean-Marie Minot et l’histoire de la photographie pour Didier Vivien.

L’un et l’autre ont commencé leurs arpentages archéologiques dès l’adolescence. Ils se sont rencon-trés à la fosse 9-9bis et partagent depuis une passion commune pour l’histoire minière et ferroviaire, l’architecture et les paysages industriels.

# 5 - LES COMMISSAIRES DE L’EXPOSITION

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# ENTRÉE > PRÉSENTATION

L’exposition débute par une introduction sur la notion de pa-trimoine qui apparaît au début du XIXème siècle mais qui intègre les édifices industriels plus tardivement, à partir des années 50. Les deux commissaires de l’exposition précisent leur intention : présenter la démarche d’un archéologue industriel qui marche, photographie et collectionne pour rassembler la connaissance sur les sites miniers.

Eugène Baldus, Gare de Toulon, 1861 Photographie extraite d’un album sur la ligne de chemin de fer Paris-Lyon-Méditérannée.

Wallers-Arenberg, 2016 Puits 3 & 4 © DV

Avion, 2008 Terril de la fosse 7 des Mines de Liévin © DV

Condé-sur-Escaut, 2015 Fosse Ledoux des Mines d’Anzin © DV

Loos-en-Gohelle, 2009 Fosse 11/19 des Mines de Lens © DV

Drocourt, 1985 Cokerie © JMM

Nœux-les-Mines, 1952 Fosse 1-1 bis des Mines de Béthune © DV & Ch.Cuvelier

Nœux-les-Mines, vers 1940 Carte postale © DR

Hénin-Beaumont, Rouvroy, 2008 Terril T 101 © DV

Waziers, 2014 Site de la fosse Gayant des Mines d’Aniche © DV

Hénin-Beaumont, Rouvroy, vers 1950 Terril T 101 © L. Farriaux

# MUR LES PENDUS : PLAQUES DE MINES

Les deux commissaires de l’exposition partagent avec nous une partie de leur collections de plaques qu’ils ont rassemblé lors de leur travaux de terrain : consignes de sécurité, code de signaux, indications chiffrées, pancartes mettent en évidence la part importante de l’écrit face à la dangerosité du travail.

Consigne pour la circulation du personnel par les cages Groupe de Valenciennes - Collection Jean-Marie Minot

Code des signaux - Groupe de Lens - Collection Jean-Marie Minot

Code des signaux des puits - Puits n°8 d’Evin-Malmaison Compagnie des Mines de Dourges - Collection Jean-Marie Minot

Consigne de ventilateur - Fosse Notre-Dame de Waziers Collection Jean-Marie Minot

Consigne de circulation dans les puits par les câbles Fosse 6 du Groupe de Bruay - Collection Jean-Marie Minot

Consigne - Groupe de Valenciennes - Fosse Ledoux Collection Jean-Marie Minot

# 6 - LISTE DES SUPPORTS

Drocourt, 1985 Cokerie © JMM

Plaques des Mines Collection Jean Marie Minot et Didier Vivien © DV

Nœeux-les-Mines, 1952, fosse 1-1 bis des Mines de Béthune © DV

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Consigne (cabine de machiniste) – Fosse Gayant Collection Jean-Marie Minot

Code des signaux – Fosse Sabatier Collection Jean-Marie Minot

Consigne de descente - Collection Didier Vivien

Consigne - Collection Didier Vivien

Consigne de chemin de fer – Groupe de Douai - Collection Jean-Marie Minot

Consigne de sécurité et de manœuvres – Groupe de Douai Collection Jean-Marie Minot

Pancarte – Centrale de Violaines 4BIS Collection Jean-Marie Minot

Plaque de puits – Compartiment 1 – Puits 18 de Lens Collection Jean-Marie Minot

Plaque de puits – Compartiment 2 – Puits 18 de Lens Collection Jean-Marie Minot

Consigne (clichage) - Collection Didier Vivien

Consigne de circulation (cité) – Groupe de Lens Collection Jean-Marie Minot

Consigne en polonais – Groupe de Douai Collection Jean-Marie Minot

Signalétique – Bully les Mines Collection Jean-Marie Minot

Pancarte lampisterie - Collection Jean-Marie Minot

Pancarte – 3/15 de Méricourt Compagnie des Mines de Courrières Collection Jean-Marie Minot

Code des signaux Collection Jean-Marie Minot

Consigne - Collection Jean-Marie Minot

Plaques – Lavoir 18 de Lens- Groupe de Lens Collection Jean-Marie Minot

Consigne - Collection Didier Vivien

Consigne de chemin de fer – Aniche Groupe de Douai Collection Jean-Marie Minot

Consigne – Notre Dame de Waziers Collection Jean-Marie Minot

Code des signaux – Fosse 4 de Liévin Collection Jean-Marie Minot

Consigne – Aniche – Groupe de Douai Collection Jean-Marie Minot

Pancarte horaires d’ouverture de la lampisterie Collection Didier Vivien

Consigne - Collection Jean-Marie Minot

LISTE DES SUPPORTS

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# MUR DOUCHES

Au moment où la machine d’extraction n°9 s’apprête à être remise en route, l’exposition consacre un volet à un des vestiges de l’activité minière, les machines d’extraction avec un focus sur les fosses 2, 9-9bis et 10 de Oignies.

HISTOIRE1. WALLERS-ARENBERG, 1991 © DV Inscription

2. LA HOUILLÈRE, XVIIIe siècle Machine d’extraction primitive. Gravure de Léonard Defrance.

3. NŒUX-LES-MINES, vers 1890 © DR Fosse 3 des Mines de Nœux. Machine d’extraction à énergie vapeur.

4. BRUAY-EN-ARTOIS, vers 1920 © DR Fosse 6 des Mines de Bruay. Machine d’extraction à câble plat à énergie vapeur.

TECHNIQUE1. BRUAY-EN-ARTOIS, vers 1920 © DR Fosse 3 des Mines de Bruay. Machine d’extraction électrique à câble plat.

2. HARNES - 1952 © L. Farriaux Fosse 9 & 17 des Mines de Courrières. Machine d’extraction électrique à tambour bicylindro-conique.

3 & 4. JEUMONT, vers 1900 © DR Construction en usine d’un tambour bicylindro-conique.

5 & 6 SAINS-EN-GOHELLE, vers 1950 © Ch. Cuvelier Fosse 13 de Nœux du Groupe de Béthune. Machine d’extraction à poulie Koëpe.

FOSSE 2 et 10 OIGNIES

1. OIGNIES - vers 1950 © DR Fosse 2 des Mines d’Ostricourt, Groupe d’Oignies.

2. OIGNIES - 1961 © DR Fosse 10 du Groupe d’Oignies

3. OIGNIES - vers 1960 © DR Fosse 2 du Groupe d’Oignies.

4. OIGNIES - 1961 © DR Fosse 10 du Groupe d’Oignies.

FOSSE 9-9bis OIGNIES

1. 2 . 3. 5. OIGNIES - 2014 © DV Fosse 9 & 9 bis des Mines de Dourges, Groupe d’Oignies.

4. OIGNIES - 2014 © DV Puits 9 bis des Mines de Dourges, Groupe d’Oignies.

LISTE DES SUPPORTS

La Houillère, XVIIe s Machine d’extraction primitive © Gravure de Léonard Defrance

Wallers-Arenberg, 1991 © DV

Oignies, Fosse9-9bis 2014 Machine d’extraction © DV

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# MUR DOUCHES 2

Cette partie de l’exposition détaille les éléments constitutifs du dispositif minier à partir de photographies et cartes postales. Au-delà du carreau de fosse, terrain d’étude à part entière pour un archéologue industriel, les terrils, les infrastructures ferroviaires, les cokeries, les centrales ther-miques et les rivages sont autant de vestiges liés à l’histoire minière.

PUITS 1. BRUAY-EN-ARTOIS, 1991 © DV Mémorial.

2. BÉTHUNE, 1991 © DV Panneau autoroutier, A 26.

3. HÉNIN-LIÉTARD, vers 1930 © R. Durandaud Site de la fosse 2 & 2 bis des Mines de Dourges, Groupe d’Hénin-Liétard après 1946.

TERRIL1. LOOS-EN-GOHELLE, vers 1950 © Ch. Cuvelier Puits 11 & 19, terrils de Mazingarbe, Bully et Grenay

2. NOYELLES-GODAULT, 1993 © DV Terril en cours de recyclage, fosse 4 & 4 bis des Mines de Dourges.

3. MAZINGARGE, vers 1960 © Ch. Cuvelier Extension du terril du lavoir central de Mazingarbe, Groupe de Béthune.

CHEMINS DE FER1. SALLAUMINES, 1958 © DR Fosse 5 & 12 des Mines de Courrières, Groupe d’Hénin-Liétard. Locomotive à vapeur de type 144 Fives-Lille.

2. LEWARDE, 1958 © DR Fosse Delloye des Mines d’Aniche, Groupe de Douai.

3. ANICHE, 1958 © DR Dépôt de St Hyacinthe, Groupe de Douai.

4. DROCOURT, 2001 © JMM Cokerie et voie ferrée.

COKERIES ET CARBOCHIMIE1. DROCOURT, vers 1950 © L. Farriaux Panoramique sur la cokerie par juxtaposition de quatre prises de vue.

2. DROCOURT, 2000 © JMM Cokerie

3. DROCOURT, 1984 © DV Cokerie vue depuis la rue des frères Leterme, entrée du Parc des îles actuellement.

4. DROCOURT, 2000 © JMM Cokerie, convoyeur à bande devant le gazomètre et tour de stockage.

CENTRALES ELECTRIQUES1. COURRIÈRES, 2017 © DV

2. HORNAING, vers 1970 © Lambert

3 & 4. BEUVRY, vers 1950 © DR

5. HARNES, vers 1950 © DR

LISTE DES SUPPORTS

Hénin-Lietard vers 1930 © R.Durardaud

Sallaumines, 1958 © DR

Drocourt, 1984 © DV

Harnes vers 1950 © DR

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RIVAGES1. NOYELLES-GODAULT, vers 1930 © DR Rivage des Mines de Dourges.

2. DOUAI-DORIGNIES, vers 1950 © DR

3. NOYELLES-GODAULT, 2001 © JMM Rivage des Mines de Dourges.

4. DOUAI-DORIGNIES, vers 1950 © DR Rivage Gayant des Mines d’Aniche, Groupe de Douai.

# TABLES

La première table d’exposition présente une partie des collections de cartes postales de Jean-Marie Minot et de Didier Vivien qui montrent l’importance de ce moyen de communication dès les années 1870.

Les cartes postales rassemblées ici montrent à la fois la variété des scènes représentées (portraits, carreaux de fosse, paysages miniers…) et l’évolution du support entre l’avant-guerre et après 1945 en passant par l’Entre-deux-guerres.

La Belle Epoque. 1879-19141. SALLAUMINES, fosse 4 & 11 des Mines de Courrières.

2. AUCHEL, corons de la fosse 3 des Mines de Marles.

3. GRENAY, fosse 11 des Mines de Béthune.

4. DENAIN, hauts-fourneaux et canal de l’Escaut.

5. LENS, groupe de mineurs, fosse 2 des Mines de Lens.

6. FOUQUIÈRES-LES-LENS, fosse 6 des Mines de Courrières.

7. OIGNIES, fosse 2 des Mines d’Ostricourt.

8. VIEUX-CONDÉ, fosse Lavaleresse des Mines d’Anzin.

9. RIMBERT-LEZ-AUCHEL, usine à gaz et fosse 4 des Mines de Marles

10. WALLERS, fosse Arenberg, groupe de trieuses et de galibots.

11. RIMBERT-LEZ-AUCHEL, lampisterie, fosse 4 des Mines de Marles.

12. LENS, groupe de galibots.

13. LENS, mineurs, fosse 1 Sainte-Elisabeth des Mines de Lens.

14. DENAIN, cafus à briquettes, rivage des Mines d’Anzin.

15. Estaminet, mineurs après la remonte.

L’Entre-deux guerres. 1918-19451. SALLAUMINES, fosse 5 & 12 des Mines de Courrières.

2. WAZIERS, cité de la Solitude des Mines d’Aniche.

3. PECQUENCOURT, cité de la fosse Sainte-Marie.

4. MÉRICOURT, gare et fosse 4 &5 des Mines de Drocourt.

5. AUCHEL, terril de la fosse 3 des Mines de Marles.

6. DENAIN, pont et fosse Lenclos des Mines d’Anzin.

7. NŒUX-LES-MINES, transbordeur de la fosse 3 des Mines de Nœux.

8. LOURCHES, fosse Schneider des Mines de Douchy.

LISTE DES SUPPORTS

Hénin-Lietard vers 1930 © R.Durardaud

Sallaumines, 1958 © DR

Drocourt, 1984 © DV

Harnes vers 1950 © DR

Noyelles Godault 2001 © JMM

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9. HARNES, lampisterie, fosse 21 & 22 des Mines de Courrières.

10. ANZIN, fosse de la Bleuze Borne des Mines d’Anzin.

11. HÉNIN-LIÉTARD, centrales thermiques de la fosse 2 & 2bis.

12. HOUDAIN, fosse 7 des Mines de Bruay.

Les années 1950-1970

1. HARNES, canal de la Deûle et terril du lavoir de Fouquières.

2. PECQUENCOURT, fosse Barrois des Mines d’Aniche.

3. AUBY, canal de La Deûle et crassier de la Compagnie Royale Asturienne.

4. LOOS-EN-GOHELLE, fosse 11 & 19 des Mines de Lens.

5. VIOLAINES, centrale thermique du Groupe de Béthune.

6. AVION, fosse 7 & 7 bis des Mines de Liévin.

7. FENAIN, fosse Agache des Mines d’Anzin.

8. MAZINGARBE, entrée des usines.

9. HÉNIN-LIÉTARD, fosse 2 & 2 bis Sainte-Henriette des Mines de Dourges.

10. DENAIN, Usinor sur les bords du canal de l’Escaut.

11. LABOURSE, terril de la fosse 6 & 6 bis des Mines de Nœux.

12. DECHY, centrale thermique du Groupe de Douai.

PHOTOGRAPHIE INDUSTRIELLE

Les commissaires de l’exposition ont rassemblé des photographies réalisées par les Houillères dont l’objectif était principalement de décrire et d’inventorier les installations industrielles tout en permettant la constitution de visuels de grande qualité esthétique. Les principaux photographes mobilisés par les Houillères ont été L. Farriaux et Ch. Cuvelier.

ESCAUDAIN, vers 1950 © Lapie Hauts-fourneaux, Forges de Denain-Anzin, devenu Usinor.

FIVES-LILLE, vers 1950 © DR Service photographique Fives-Cail-Babcock Coll.

Archives Nationales du Monde du Travail,Roubaix

DROCOURT, vers 1950 © L. Farriaux Gazomètre, cokerie.

BEUVRY, vers 1950 © DR

MAZINGARBE, 1952 © Ch. Cuvelier Lavoir central du Groupe de Béthune.

FOUQUIÈRES-LES-LENS, 1952 © L. Farriaux Test de charge sur le pont Cocorico qui relie les puits 3 & 15 au lavoir de Fouquières, Groupe d’Hénin-Liétard

MAZINGARBE, 1951 © Ch. Cuvelier

BULLY-LES-MINES, 1952 © DR Centrale électrique de Bully

DROCOURT, 1956 © L. Farriaux Vue générale du site de la cokerie et de l’usine Norbenzol.

BARLIN, 1954 © Ch. Cuvelier Salle des bains-douches de la fosse 7 &7 bis des Mines de Nœux, Groupe de Béthune.

LISTE DES SUPPORTS

Hénin-Lietard Centrale Thermiques de la fosse2 &2bis © DR

Loos-en-Gohelle, Fosse du 11/19 des Mines de Lens © DR

Drocourt 1956 © L Farriaux

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MAZINGARBE, 1951 © Ch. Cuvelier Lavoir, installation de la passerelle des charbons bruts, Fosse 6 & 6 bis du Groupe de Béthune.

MAZINGARBE, 1954 © Ch. Cuvelier Cokerie, station de surpression des gaz, Groupe de Béthune.

BARLIN, 1954 © Ch. Cuvelier Salle des bains-douches de la fosse 7 & 7 bis des Mines de Nœux, Groupe de Béthune.

BEUVRY, 1954 © Ch. Cuvelier Centrale électrique moderne du Groupe de Béthune, réfrigérants (premier plan), chaufferie et cheminée (à gauche).

MAZINGARBE, 1954 © Ch. Cuvelier Cokerie, station d’épuration des gaz, Groupe de Béthune.

HÉNIN-LIÉTARD, vers 1950 © L. Farriaux Cité des Bouviers

HÉNIN-LIÉTARD, vers 1950 © L. Farriaux Cité des Bouviers. En cours de construction.

HARNES, vers 1950 © L. Farriaux Fosse 21 & 22 des Mines de Courrières.

HARNES, vers 1950 © L. Farriaux Lavoir de la fosse 21 & 22 des Mines de Courrières

HARNES, 1949 © L. Farriaux Fosse 9 & 17 des Mines de Courrières (Groupe d’Hénin-Liétard).

HARNES, 1955 © L. Farriaux Fosse 9 & 17 des Mines de Courrières. Chaufferie.

HARNES, vers 1950 © L. Farriaux Fosse 21 & 22 des Mines de Courrières (Groupe d’Hénin-Liétard).

HARNES, 1952 © L. Farriaux Fosse 9 & 17 des Mines de Courrières (Groupe d’Hénin-Liétard).

Non Localisé, vers 1950 © L. Farriaux Chaufferie.

MÉRICOURT, 1955 © L. Farriaux Fosse 4 & 5 des Mines de Drocourt (Groupe d’Hénin-Liétard).

HARNES, vers 1948 © L. Farriaux Fosse 9 & 17 des Mines de Courrières (Groupe d’Hénin-Liétard).

BILLY-MONTIGNY, 1955 © L. Farriaux Ateliers centraux des Mines de Courrières, Groupe d’Hénin-Liétard.

STYLE DOCUMENTAIRE

Ce troisième volet de l’exposition s’attache à montrer les réper-cussions des premières missions photographiques d’inventaire du patrimoine sur la constitution d’un style photographique à part entière dont l’américain Walker Evans et le couple allemand des Becher sont particulièrement représentatifs.

Eugène Atget, 1925 Rue de Pigalle, Paris.

Walker Evans - Bethlehem, Pennsylvanie, USA, 1935. Farm Security Administration, Bibliothèque du Congres.

Bernd & Hilla Becher, vers 1970 Fosse 13 de Nœux, Sains-en-Gohelle, Groupe de Béthune.

Bernd & Hilla Becher, vers 1970 Fosse 1, Bully-les-Mines, Groupe de Béthune.

LISTE DES SUPPORTS

BARLIN, 1954 © Ch. Cuvelier Salle des bains-douches de la fosse 7 &7 bis des Mines de Nœux, Groupe de Béthune.

BEUVRY, vers 1950 © DR

DROCOURT, vers 1950 © L. Farriaux

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PHOTOGRAPHIE AÉRIENNE

Parmi les supports présentés dans l’exposition, la photographie aérienne constitue l’un de ceux qui donnent le plus la mesure des installations industrielles. Apparue pendant la Première Guerre mondiale, elle devient un outil incontournable pour les Houillères qui valorisent ainsi leur outil de travail. C’est le photographue Robert Durandaux qui a largement contribué à la constitution de ce fond documentaire.

MAZINGARBE, vers 1950 © R. Durandaud Ensemble carbochimique et fosse 6 & 6 bis du Groupe de Béthune.

LOURCHES, centrale électrique EDF, 1958 © Lapie

ANGRES, fosse 6 & 6 bis des Mines de Liévin, 1959 © Lapie

MANUSCRITS & IMPRIMÉS

Face à la complexité et à la dangerosité du travail, l’exploitation minière a été marquée par la production de nombreux documents manuscrits ou imprimés : rapports, consignes de sécurité, notices…

RAPPORT rédigé par Michel Poilevé, dernier homme au fond de la mine du Bassin Nord-Pas-de-Calais.

ESTEVELLES, fosse 24 & 25 des Mines de Courrières

RAPPORT de l’accident survenu le 20 avril 1935 sur le rivage Gayant

ESTEVELLES, 3 septembre 1991 © DV

OIGNIES, fosse 2 du Groupe d’Oignies.

ESTEVELLES, fosse 24 & 25 des Mines de Courrières.


OIGNIES, fosse 9 & 9 bis des Mines de Dourges.


WALLERS, siège Arenberg des Mines d’Anzin.


LOOS-EN-GOHELLE, fosse 11 & 19 des Mines de Lens.



WALLERS, siège Arenberg des Mines d’Anzin.

OIGNIES, fosse 9 & 9 bis des Mines de Dourges.

Série Extraction, Archéologie de la mine, 1991-1994 © Didier VIVIEN

PLANS & DESSINS INDUSTRIELS

Pour faire face à l’entretien et à la fabrication de pièces nécessaires au bon fonctionnement de l’outil de travail, les compagnies possé-daient des ateliers de fabrication sur place. La collaboration avec des dessinateurs industriels était primordiale pour concevoir ou réparer les pièces manquantes.

SAINS-EN-GOHELLE Fosse 10 & 10 bis des Mines de Béthune

MARLES-LES-MINES, Fosse 2 bis & 2 ter des Mines de Marles

OIGNIES, Fosse 9 & 9 bis des Mines de Dourges

LISTE DES SUPPORTS

MARLES-LES-MINES, Fosse 2 bis & 2 ter des Mines de Marles

Courrières vers 1960 © R.Duandaud

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MAGAZINES DES HBNPC

Les magazines des Houillères constituent un fonds documen-taire extrêmement riche. Ils apportent à la fois des informations d’ordre technique lorsque la compagnie cherche à mettre en valeur ses réalisations auprès des lecteurs et des éléments relatifs à la vie quotidienne des mineurs quand il s’agit de proposer aux ouvriers des informations sur le logement ou encore des activités de loisirs.

LA LAMPE AU CHAPEAU N°99 – Mai 1960

LUMIERES SUR LA MINE Journal du Groupe d’Hénin-Liétard Oct 1960 N°114

COUPS DE PIC/COUPS DE PLUMES Journal du Groupe de Valenciennes - Juillet 1955 N°21

NOTRE MINE NUIT ET JOUR N° 136 - Novembre 1964 N°134

NOTRE MINE NUIT ET JOUR - Oct 1962 N°111

NOTRE MINE NUIT ET JOUR - Mai 1964 N°129

BRUITS ET LUIMIERES – Octobre 1967 N°68

BRUITS ET LUMIERES – Mai 1966 N°53

ETIQUETTES – Octobre 1951 - Numéro Spécial

CARTOGRAPHIE

L’exploitation a également nécessité la production de cartes per-mettant de photographier l’état des concessions tant en surface qu’en profondeur. La carte présentée dans l’exposition montre l’étendue du Bassin minier Nord-Pas de Calais qui représente un territoire de 120 km de long de Fresnes-sur-Escaut jusqu’à Estrée-Blanche.

Carte topographique des Houillères du Bassin du Nord et du Pas-de-Calais

VESTIGES DE SURFACE

Didier Vivien nous livre ici ses travaux de recherche sur le terrain à travers les photographies prises des anciens puits de mine à travers l’ensemble du Bassin minier.

RAISMES, 2016 © DV Puits 2, fosse Sabatier des Mines d’Anzin

FOUQUIÈRES-LES-BÉTHUNE, 2016 © DV Puits 11 des Mines de Nœux

EVIN-MALMAISON, 2015 © DV Puits 8, fosse 8 & 8 bis des Mines de Dourges

SIN-LE-NOBLE, 2014 © DV Puits 2, fosse Déjardin des Mines d’Aniche

MÉRICOURT, 2016 © DV Puits 4, fosse 4 & 5 des Mines de Drocourt

FOUQUIÈRES-LES-LENS, 2016 © DV Puits 7, fosse 7 & 19 des Mines de Courrières

HOUDAIN, 2016 © DV Puits 7 bis, fosse 7 & 7 bis des Mines de Bruay-en-Artois

COURRIÈRES, 2017 © DV Fosse 1, dite Poussière, des Mines de Courrières

LIGNY, 2003 © DV Puits 2 , fosse 2 & 2 bis du Transvaal des Mines de Ligny

LISTE DES SUPPORTS

NOTRE MINE NUIT ET JOUR Oct 1962 N°111

Evin-Malmaison, 2015 ©DV

Estevelles, 2009 ©DV

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DECHY, 2016 © DV Puits 2, fosse Dechy des Mines d’Aniche

ESTEVELLES, 2009 © DV Puits 24, fosse 24 & 25 des Mines de Courrières

AUBERCHICOURT, 2012 © DV Puits 2, fosse Sainte-Marie des Mines d’Aniche

HAILLICOURT, 2016 © DV Puits 6, fosse 6, 6 bis, 6 ter des Mines de Bruay-en-Artois

NŒUX-LES-MINES, 2017 © DV Sondage de décompression, fosse 1 & 1 bis des Mines de Nœux

CONDÉ-SUR-ESCAUT, 2015 © DV Puits 1, fosse Ledouxdes Mines d’Anzin

ÉTUDE DE SITE

L’exemple de la fosse 10 de Oignies permet ici aux deux commissaires de l’exposition d’expliciter encore davantage la démarche d’un archéologue industriel sur le terrain et dans les centres pour documenter un site minier qu’il soit encore debout ou disparu.

1. Tour d’extraction, 1961 © DR

2. Lavoir, fosse 10, 1986 © JMM

3. Article La Voix du Nord, 1960

4. Vue aérienne, 1973 © Phot’R

5. Article La Voix du Nord, 1992

6. Matérialisation du puits, 1993 © DV

7. Plan du carreau, document © HBNPC

8. Documentation pédagogique © DR

9 à 13. Étude de site, 2015-17 © DV

14. Vue satellite 2017 © Google Earth

ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE SUR LE NET & SUR LE TERRITOIRE

L’exposition se termine par un état des lieux non exhaustif des res-sources disponibles sur Internet. Qu’elles soient le fruit du travail d’institutions ou de celui d’associations, elles constituent un puits de connaissances pour l’archéologue industriel.

Captures d’écran des site Internet de :Association pour la Pérennisation du Patrimoine Historique et Industriel Minier

CPIE - La Chaîne des terrils

Bassin Minier Nord-Pas-de-Calais Patrimoine Mondial de l’UNESCO

Fresque INA / Mémoires de mines

Wikipédia

Base Mérimée

LISTE DES SUPPORTS

Estevelles, 2009 ©DV

Article de la VDN, 1992

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LISTE DES SUPPORTS

PRESENTATION D’OUVRAGES POUR ALLER PLUS LOIN…Histoire des mines du Nord et du Pas de Calais Guy Dubois et Jean-Marie Minot - tome 1 et 2

Les chevalements des Houillères françaises Pierre-Christian Guiollard

Mines et cités minières du Nord et du Pas de Calais : photographies aériennes de 1920 à nos jours – Olivier Kourchid

La vie sur terre – Archéologie de la Mine - Didier Vivien

Denain : un crime signé Usinor - R.Guienne et A. Pierrad

Mines – les travailleurs de l’ombre - Pierre Miquel

Le peuple de la nuit - Diana Cooper-Richet

Mineur de fond - Augustin Viseux

La foi des charbonniers : les mineurs dans la bataille du charbon (1945-1947) – Evelyne Desbois, Yves Jeanneau, Bruno Mattei

Ma vie à Liévin - Jules Grare

Fin d’un monde ouvrier - Marion Fontaine

Parole d’ouvrier - André Théret

Article de la VDN, 1992

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M U R S D O U C H E S

M U R L E S P E N D U S

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7 - AUTOUR DE L’EXPOSITION

Jusqu’au 24 février, le 9-9bis propose d’explorer le territoire, tel un archéologue industriel à travers visites de l’exposition (le dimanche tous les 15 jours à 15h), rencontres autour d’un objet de l’exposition (à 16h30), randonnées avec le regard d’un archéologue industriel, circuits et ateliers pour initier les plus jeunes.L’archéologie industrielle devient le fil conducteur du programme de sensibilisation au patrimoine sur toute la période.

Commissaires : Jean-Marie MINOT,historien de la mine et président de l’association ACCCUSTO SECI

Didier VIVIEN, photographe et maître de conférences à Lille 3

Conception du mobilier :Lycée professionnel Joliot-Curie de OigniesESAT d’Hersin-Coupigny

Cette exposition est produite par le 9-9bis.

LES PENDUS

JUSQU’AU DIMANCHE 24 FÉVRIER 2019

• Les mercredis de 14h30 à 17h30 (sauf vacances de Noël) • Les dimanches tous les 15 jours de 14h30 à 17h30 (sauf en décembre) :30 sept / 14 & 28 oct / 11 & 25 nov / 13 & 27 jan / 10 & 24 fév

• À l’occasion des Fugues sonores #6 , les 07 & 08 décembre


Le Bassin minier regorge de tracesliées à l’activité minière, autant de vestiges plus ou moins visibles maisbien souvent cachés voire disparus que l’archéologue industriel, tel un explorateur, s’attèle à dénicher au cours de ses pérégrinations sur les sites.À travers une sélection de documents à la richesse insoupçonnée (cartes postales, photographies, plans, objets, livres, archives manuscrites), l’exposition propose de suivre les pas d’un archéologue industriel. Plongez dans cet univers captivant pour découvrir la passion partagée par de nombreux acteurs qui contribuent à enrichir la connaissance historique et sensible du territoire.


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AUTOUR DE L’EXPOSITION

o n e s t t o u s d e s e m p r [ e i ] u n t e u r s

Par Catherine ZGORECKIExposition d’empreintes métalliques

Plongez dans l’histoire et la mémoire collective du Bassin minier Nord-Pas de Calais au travers d’une série d’empreintes métalliques réalisées sur des sites majeurs de la région : coron d’Auchel, terrils du 11/19 à Loos-en-Gohelle, 9-9bis à Oignies etc.

LES LAVABOS

DU 15 SEPTEMBRE AU 31 OCTOBRE 2018

• Les mercredis de 14h30 à 17h30 • Les dimanches tous les 15 jours de 14h30 à 17h30 : 30 sept / 14 & 28 oct

PAY S A G E ( S ) Par Constantin DUBOIS CHOULIKExposition de photographies

Photographe originaire de la région, diplômé du Fresnoy, Studio National des Arts Contemporains, Constantin Dubois Choulik porte un intérêt tout particulier aux territoires en transformation. Sa pratique s’inscrit dans la durée ; il arpente les lieux jusqu’à créer une familiarité avec l’espace.À la demande du 9-9bis, c’est sur le territoire du Bassin minier qu’il a posé sa chambre photographique en 2014. Ainsi, à travers une exploration des terrils 110 de Oignies et 205 d’Hénin-Beaumont, il nous invite à poser un autre regard sur l’héritage minier.

Une installation sera également à décourir du 11 novembre au 21 décembre 2018

LES LAVABOS

DU 13 JANVIER AU 24 FÉVRIER 2019

• Les mercredis de 14h30 à 17h30 • Les dimanches tous les 15 jours de 14h30 à 17h30 : 13 & 27 jan / 10 & 24 fév

Pendant toute la durée de l’exposition, le 9-9bis confie les Lavabos à des artistes qui nous apportent un autre regard sur l’archéologie industrielle.

L E S E M P R E I N T É S

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P a r i c i l a v i s i t e !Visite commentée

Tout, tout, tout, vous saurez tout sur l’exposition et les richesses qui se cachent derrière l’archéologie industrielle, au cours d’une visite commentée en compagnie d’un médiateur du patrimoine.

Chaque dimanche d’ouverture à 15h :30 sept / 14 & 28 oct / 11 & 25 nov / 13 & 27 jan / 10 & 24 fév

45 min

Rendez-vous Salle des Douches

F o c u s !Rencontre

Chaque dimanche d’ouverture, venez découvrir, autour d’un café, un objet symbolique del’exposition.

30 sept > La fosse 10 de Oignies

14 oct > Les revues des Houillères

28 oct > Les cartes postales du Bassin minier

11 nov > Les plaques de mine

25 nov > Les affiches de sécurité

13 jan > Le rapport du dernier homme au fond

27 jan > La fresque INA Mémoires de Mines

10 fév > La photographie industrielle

24 fév > La photographie aérienne

16h30

15 min

Rendez-vous Salle des Douches

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AUTOUR DE L’EXPOSITION C

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À l a r e c h e r c h e d e s v e s t i g e s p e r d u sCircuit bus

De l’intense activité minière des siècles derniers, il ne reste aujourd’hui que peu d’illustrations ; parfois un bâ-timent, vestige solitaire de cette activité passée, parfois moins que cela. Partez sur ces infimes traces du passé minier du territoire, de la fosse 14 de Carvin à la fosse 1 de Drocourt, et explorez la richesse de ce Bassin minier caché…

DIMANCHE 10 FÉVRIER 2019 10h30

2h30

Départ du 9-9bis

Inscription sur 9-9bis.com ou au 03 21 08 08 00

A r c h é o R a n d oCircuit pédestre

Amateurs de grands espaces, amoureux des vestiges miniers, grands marcheurs…, prenez votre appareil pho-to, vos bonnes chaussures et votre sac à dos pour par-tir à la découverte de la face cachée du Bassin minier.

DIMANCHE 14 OCTOBRELe rivage de Dourges avec Jean-Marie MINOT, historien de la mine

DIMANCHE 13 JANVIERLe site de la fosse 8 d’Evin-Malmaison avec Constantin DUBOIS CHOULIK, photographe

10h30

2h


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AUTOUR DE L’EXPOSITION AUTOUR DE L’EXPOSITION

A r c h é o l o g u e i n d u s t r i e l e n h e r b eÀ partir de 8 ans

De la découverte de l’exposition ARCHÉOLOGIE I NDUSTRIELLE, Marcher - Photographier - Collectionner à la fabrication d’un carnet de voyage, en passant par une sortie sur le terrain, tel un archéologue industriel, tu maîtriseras toutes les ficelles pour devenir un véritable archéologue industriel !

DU MARDI 12 AU JEUDI 14 FÉVRIER De 14h30 à 16h30


R a d i o g r a p h i e d u p a y s a g eAtelier 3/6 ans

À l’aide de petits objets issus du monde industriel, d’éléments naturels prélevés sur place et de quelques bombes de peinture, viens créer une empreinte du pay-sage minier d’aujourd’hui.

MERCREDI 20 FÉVRIER 10h30 Inscription sur 9-9bis.com ou au 03 21 08 08 00

Jeu

ne p

ublic

A p p r e n t i c a r t o g r a p h eAtelier 6/12 ans

Observons le 9-9bis… vu d’en haut ! Regardons ensemble différentes cartes de notre territoire minier puis réalise ta propre carte grâce à la technique du frottage…

MERCREDI 20 FÉVRIER 15hInscription sur 9-9bis.com ou au 03 21 08 08 00

O n a p e r d u n o s m i n e s !Jeu de piste itinérant

Appareil photo, bonnes chaussures, carte, vous êtes parés pour partir à la recherche des vestiges du patrimoine industriel sur le territoire. Munis de votre carnet de bord, vous découvrirez le territoire et de véritables trésors cachés !

Jeu de piste disponible au 9-9bis ou téléchargeable sur 9-9bis.com

S TA G E

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W e e k - e n d d e c l ô t u r eL’exposition ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE, Marcher - Photographier - Collectionner

est visible jusqu’au 24 février.

À cette occasion, le 9-9bis vous concocte, pendant tout le week-end de clôture, un programme où petits et grands trouveront leur bonheur : rencontre avec les acteurs du territoire, théâtre d’objets documentaire, atelier col-lectif d’installation papier etc.24 FÉVRIER 2019

GRATUIT

Programme à suivre sur 9-9bis.com

S AV E T H E D AT E !


Présentée du 15 septembre 2018 au 24 février 2019Salle des Douches

Conception & réalisationJean-Marie Minot & Didier Vivien

Sous la direction d’Olivier Galan, directeur du 9-9bis

Avec la participation du Pôle Patrimoine du 9-9bis

Installation de l’exposition par le Pôle Technique du 9-9bis

Conception graphique : Didier Vivien et le Pôle Communication du 9-9bis

Fabrication du matériel d’exposition : LEP d’Oignies et ESAT d’Hersin-Coupigny

Production : 9-9bis

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HORAIRES D’OUVERTURE

SA M E D I 1 5 S E P T E M B R E de 14h à 20h

D I M A N C H E 1 6 S E P T E M B R E 2 0 1 8 de 10h30 à 19h

Et jusqu’au dimanche 24 février 2019

> Les mercredis de14h30 à 17h30 (sauf vacances de Noël)

> Les dimanches tous les 15 jours de 14h30 à 17h30 (sauf en décembre)

30 septembre / 14 & 28 octobre / 11 & 25 novembre / 13 & 27 janvier / 10 & 24 février

G R AT U I T

ACCÈS AU 9-9BIS

# 8 - INFORMATIONS PRATIQUES

ACCÈS AUTOROUTE A1

ACCÈS CENTRE VILLE

OIGNIES

LE MÉTAPHONE

ENTRÉE

LES DOUCHESLES LAVABOS

DELTA 3

À 20 MN DE LENS - ARRAS - LILLE

Autoroute A1 Lille-Paris sortie 17.1

“Plate-forme multimodale

Delta 3“

Documents

15 sept 2018 > 24 fév 2019 ARCHÉOLOGIE INDUSTRIELLE9-9bis.com/files/2018/10/9-9bis_dp_archeoindus.pdf · culturelle, le Bassin minier Nord - Pas de Calais présente aujourd’hui