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BRGMCommune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG (Oise)
Evacuation des eaux de ruissellement
. par M. CAUDRONet S. BAILLY
septembre 1989
89 SGN 650 PIC
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géoioqique Réqional PicarcJie
BRGMCommune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG (Oise)
Evacuation des eaux de ruissellement
. par M. CAUDRONet S. BAILLY
septembre 1989
89 SGN 650 PIC
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géoioqique Réqional PicarcJie
Commune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG (Oise)
Eracuation des eaux de ruissellement
RESUME
A la demande de la Direction Départementale de 1 'Agriculture et
de la Forêt du Département de l'Oise, le Service Géologigue Régional
PICARDIE a réalisé une prospection hydrogéologique sur la commune de
VILLERS-SAINT-FRAMBOURG en vue d'examiner les possibilités d'évacuation, en
profondeur, des eaux de ruissellement gui s'accumulent occasionnellement
dans le village.
En l'absence d'exutoire superficiel réalisable, il est proposé
de créer des bassins de stockage et de décantation reliés à des puits
d'infiltration sur le secteur amont et un simple bassin mais surdimensionné
dans le secteur aval.
89 SGN 650 PIC
Commune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG (Oise)
Eracuation des eaux de ruissellement
RESUME
A la demande de la Direction Départementale de 1 'Agriculture et
de la Forêt du Département de l'Oise, le Service Géologigue Régional
PICARDIE a réalisé une prospection hydrogéologique sur la commune de
VILLERS-SAINT-FRAMBOURG en vue d'examiner les possibilités d'évacuation, en
profondeur, des eaux de ruissellement gui s'accumulent occasionnellement
dans le village.
En l'absence d'exutoire superficiel réalisable, il est proposé
de créer des bassins de stockage et de décantation reliés à des puits
d'infiltration sur le secteur amont et un simple bassin mais surdimensionné
dans le secteur aval.
89 SGN 650 PIC
SOMMAIRE
RESUME
INTRODUCTION
1 - TRAVAUX REALISES
1.1. - Résultats géologiques
2 - ESSAIS DE PERMEABILITE IN-SITU
Pages
1.1.1. - Contexte régional 2
1.1.2. - Coupes géologiques des sondages 4
2.1. - Méthode utilisée 6
2.2. - Résultats 7
2.3. - Interprétations 10
3 - INVENTAIRE DES POINTS D'EAU 12
3.1. - Captages exploités 12
3.2. - Caractéristiques de la nappe 13
3.3* - Qualité des eaux de la nappe 13
CONCLUSIONS
SOMMAIRE
RESUME
INTRODUCTION
1 - TRAVAUX REALISES
1.1. - Résultats géologiques
2 - ESSAIS DE PERMEABILITE IN-SITU
Pages
1.1.1. - Contexte régional 2
1.1.2. - Coupes géologiques des sondages 4
2.1. - Méthode utilisée 6
2.2. - Résultats 7
2.3. - Interprétations 10
3 - INVENTAIRE DES POINTS D'EAU 12
3.1. - Captages exploités 12
3.2. - Caractéristiques de la nappe 13
3.3* - Qualité des eaux de la nappe 13
CONCLUSIONS
LISTE DES FIGURES
Fig. 1 : Plan de situation topographique et orographique
Fig. 2 : Coupe technique du captage de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG
Fig. 3 : Analyse chimique de l'eau du réseau
Fig. 4 : Analyse chimique de la Source du Miroir
ANNEXE 1
Parcelle A : sondages A^ à An
Parcelle B : sondages B. à B^
Parcelle C : Sondages C. à C_
Parcelle D : D. à D_
LISTE DES FIGURES
Fig. 1 : Plan de situation topographique et orographique
Fig. 2 : Coupe technique du captage de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG
Fig. 3 : Analyse chimique de l'eau du réseau
Fig. 4 : Analyse chimique de la Source du Miroir
ANNEXE 1
Parcelle A : sondages A^ à An
Parcelle B : sondages B. à B^
Parcelle C : Sondages C. à C_
Parcelle D : D. à D_
Commune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG (Oise)
Evacuation des eaux de ruissellement
INTRODUCTION
La Commune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG, qui s'étend en bordure
méridionale de la Forêt d'Halatte, est confrontée à un problème d'évacua¬
tion des eaux de ruissellement qui dévalent des terres cultivées et
transitent par le village. Un fossé a été aménagé dans sa traversée et en
aval de l'agglomération pour faciliter l'écoulement vers l'aval et la
Vallée de l'Aunette.
Mais, à 1 km au sud, s'étend le Domaine du Château d' OGNON et,
plus précisément, un plan d'eau (Le Miroir), site classé, qui occupe la
partie basse de la vallée et est donc menacé par les épanchements du fossé
dans une zone marécageuse, en amont hydraulique. Afin de résorber ces
risques, la Direction Départementale de l'Agriculture et de la Forêt et la
Commune envisagent la réinfiltration de ces eaux dans le sous-sol de la
commune à des emplacements favorables, tant du point de vue de la
perméabilité du milieu récepteur que de la protection des eaux souter¬
raines.
Compte-tenu de la configuration topographique et des écoule¬
ments préférentiels sur le territoire de la commune, quatre emplacements
ont été retenus pour recueillir les eaux, deux en amont du village et deux
en aval (Cf. Figure 1).
Commune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG (Oise)
Evacuation des eaux de ruissellement
INTRODUCTION
La Commune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG, qui s'étend en bordure
méridionale de la Forêt d'Halatte, est confrontée à un problème d'évacua¬
tion des eaux de ruissellement qui dévalent des terres cultivées et
transitent par le village. Un fossé a été aménagé dans sa traversée et en
aval de l'agglomération pour faciliter l'écoulement vers l'aval et la
Vallée de l'Aunette.
Mais, à 1 km au sud, s'étend le Domaine du Château d' OGNON et,
plus précisément, un plan d'eau (Le Miroir), site classé, qui occupe la
partie basse de la vallée et est donc menacé par les épanchements du fossé
dans une zone marécageuse, en amont hydraulique. Afin de résorber ces
risques, la Direction Départementale de l'Agriculture et de la Forêt et la
Commune envisagent la réinfiltration de ces eaux dans le sous-sol de la
commune à des emplacements favorables, tant du point de vue de la
perméabilité du milieu récepteur que de la protection des eaux souter¬
raines.
Compte-tenu de la configuration topographique et des écoule¬
ments préférentiels sur le territoire de la commune, quatre emplacements
ont été retenus pour recueillir les eaux, deux en amont du village et deux
en aval (Cf. Figure 1).
Queue de Brasseuse
BTâ
Jouît \yfi7
2.
L'objectif de l'étude est de reconnaître la nature des terrains
géologiques en place sous la couverture végétale et de déterminer les
capacités d'absorption. Le sous-sol est représenté par des calcaires
marneux recouverts de sables argileux. Un second volet de l'étude traitera
de l'impact sur les eaux souterraines et les ressources exploitées de la
nappe phréatique contenue dans les Calcaires du Lutétien.
1 - TRAVAUX REALISES
La prospection sur le terrain a consisté en une campagne de
sondages géologiques à la tarière mécanique sur les parcelles retenues et à
des essais de perméabilité in-situ (deux par parcelles).
L'occupation du sol de 2 parcelles par des cultures céréalières
a entraîné un retard d'un mois dans la réalisation de la prospection
géologique, alors que les essais ont pu être accomplis début juillet, sans
dommage .
1.1. - Résultats géologiques
1.1.1. - Contexte régional
Le village de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG est implanté sur le
plateau calcaire du Valois, au pied de deux collines : Le Mont Pagnotte, au
nord et la butte de Saint-Christophe, à l'ouest. Ces eminences sont
constituées d'une série hétérogène de terrains sédimentaires meubles,
recouverts de forêts ou de cultures.
2.
L'objectif de l'étude est de reconnaître la nature des terrains
géologiques en place sous la couverture végétale et de déterminer les
capacités d'absorption. Le sous-sol est représenté par des calcaires
marneux recouverts de sables argileux. Un second volet de l'étude traitera
de l'impact sur les eaux souterraines et les ressources exploitées de la
nappe phréatique contenue dans les Calcaires du Lutétien.
1 - TRAVAUX REALISES
La prospection sur le terrain a consisté en une campagne de
sondages géologiques à la tarière mécanique sur les parcelles retenues et à
des essais de perméabilité in-situ (deux par parcelles).
L'occupation du sol de 2 parcelles par des cultures céréalières
a entraîné un retard d'un mois dans la réalisation de la prospection
géologique, alors que les essais ont pu être accomplis début juillet, sans
dommage .
1.1. - Résultats géologiques
1.1.1. - Contexte régional
Le village de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG est implanté sur le
plateau calcaire du Valois, au pied de deux collines : Le Mont Pagnotte, au
nord et la butte de Saint-Christophe, à l'ouest. Ces eminences sont
constituées d'une série hétérogène de terrains sédimentaires meubles,
recouverts de forêts ou de cultures.
Cûhi-^iuNE DE VILLERS Si FKAMbUurt'J
PUITS FILTRANT REALISEFig. 2
COUPE DES TERRAINSRENCONTRES _____
IJmOn AriCLEUX
l:mON sableux
mah'.e orasse
SA'OLÏMA«m£ B'uANCHEKÎ.I-NÏ MARftONCAlXAmS TENDRE
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CAICAISE JAUiATRE DUR
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CALCAIRE TENDRE
CALCAIRE fissure'1900 "T
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\__Ii2''jf.'".?.!^P d'ancracie et d' isolemt^nt
fers de SLJspension des pompes. plancher de travail et échelle
IV5
cuvelage monolithique en béton arméde forme extérieure tronçonique(système breveté) descendu par havage
trousse coupante
sable de rivière
'm-zone boulante revêtue d'une maçonne¬rie .de béton xioulée en placeisolement à I 'argile
-fouille à paroi nue--NIVEAU STATIQUE
-massif filtrant
NIVEAU DYNAMIQUE à 65 M^/H filtre anti-sable CUAU'
3.
Si les premières retiennent en partie les eaux de pluie, les
secondes, plantées sur de grandes surfaces, souvent dans le sens de la
pente, facilitent au contraire le ruissellement. Du point le plus haut
jusqu'au village de VILLERS, les terrains suivants affleurent successi¬
vement :
Les sables fins, dits de FONTAINEBLEAU (STAMPIEN), 30 à 35 md'épaisseur.
L'Argile verte de Saint-Christophe (SANNOISIEN), 3 à 4 m
d'épaisseur.
Les Marnes blanches de PANTIN, les Marnes bleues d'ARGENTEUIL
et les marnes supragypseuses (LUDIEN), 13 m d'épaisseur.
Le Calcaire de SAINT-OUEN (MARINESIEN), 4 à 8 m d'épaisseur.
. Les Sables et Grès de BEAUCHAMP et d'AUVERS séparés par
l'Argile de VILLENEUVE-SUR-VERBERIE (AUVERSIEN), 25 à 40 m
d'épaisseur.'
. Les Marnes et Caillasses (LUTETIEN), 9 à 10 m d'épaisseur.
Les champs de la commune sont développés sur ces deux dernières
formations : série sablo-gréseuse et série marno-calcaire.
Au-delà du village, vers le sud-est, la série des calcaires du
LUTETIEN vient à l'affleurement sous la couverture détritique colluviale.
3.
Si les premières retiennent en partie les eaux de pluie, les
secondes, plantées sur de grandes surfaces, souvent dans le sens de la
pente, facilitent au contraire le ruissellement. Du point le plus haut
jusqu'au village de VILLERS, les terrains suivants affleurent successi¬
vement :
Les sables fins, dits de FONTAINEBLEAU (STAMPIEN), 30 à 35 md'épaisseur.
L'Argile verte de Saint-Christophe (SANNOISIEN), 3 à 4 m
d'épaisseur.
Les Marnes blanches de PANTIN, les Marnes bleues d'ARGENTEUIL
et les marnes supragypseuses (LUDIEN), 13 m d'épaisseur.
Le Calcaire de SAINT-OUEN (MARINESIEN), 4 à 8 m d'épaisseur.
. Les Sables et Grès de BEAUCHAMP et d'AUVERS séparés par
l'Argile de VILLENEUVE-SUR-VERBERIE (AUVERSIEN), 25 à 40 m
d'épaisseur.'
. Les Marnes et Caillasses (LUTETIEN), 9 à 10 m d'épaisseur.
Les champs de la commune sont développés sur ces deux dernières
formations : série sablo-gréseuse et série marno-calcaire.
Au-delà du village, vers le sud-est, la série des calcaires du
LUTETIEN vient à l'affleurement sous la couverture détritique colluviale.
4.
1.1.2. - Coupes géologiques des sondages
Les coupes géologiques relevées lors de la prospection sont
récapitulées en annexe 1.
Les profondeurs au-delà de 1 m sont données à 50 cm près, en
raison de la technique de forage à la tarière par élément de 1,5 m.
Parcelle A : A^ à Ao - 46,5 m forés
Les terrains traversés montrent la présence des Sables de
Beauchamp sous le limon colluvial de plus en plus argileux avec la
profondeur et moins épais en remontant la parcelle de blé. Dans la pièce de
maïs, le limon dépasse toujours les 3 mètres.
Les sondages sont secs mais, près du chemin, certains niveaux
sont assez humides. Ils laissent supposer la présence de l'Argile de
VILLENEUVE-SUR-VERBERIE qui bloque les infiltrations des eaux.
Les horizons sableux francs sont très ferrugineux et glauco
nieux.
. Parcelle B : B^ à B^_ - 53 n» forés
Sous le limon colluvial argilo sableux apparaissent les Marnes
et Caillasses du LUTETIEN. La profondeur où elles sont rencontrées croît
vers le sud-ouest (B.. - B.») où s'intercale, entr' elles et le limonsuperficiel^ un niveau sableux résiduel (le long de la route de PONT). Lelimon est moins épais dans le centre de* la parcelle B-, Bo à B.».
4.
1.1.2. - Coupes géologiques des sondages
Les coupes géologiques relevées lors de la prospection sont
récapitulées en annexe 1.
Les profondeurs au-delà de 1 m sont données à 50 cm près, en
raison de la technique de forage à la tarière par élément de 1,5 m.
Parcelle A : A^ à Ao - 46,5 m forés
Les terrains traversés montrent la présence des Sables de
Beauchamp sous le limon colluvial de plus en plus argileux avec la
profondeur et moins épais en remontant la parcelle de blé. Dans la pièce de
maïs, le limon dépasse toujours les 3 mètres.
Les sondages sont secs mais, près du chemin, certains niveaux
sont assez humides. Ils laissent supposer la présence de l'Argile de
VILLENEUVE-SUR-VERBERIE qui bloque les infiltrations des eaux.
Les horizons sableux francs sont très ferrugineux et glauco
nieux.
. Parcelle B : B^ à B^_ - 53 n» forés
Sous le limon colluvial argilo sableux apparaissent les Marnes
et Caillasses du LUTETIEN. La profondeur où elles sont rencontrées croît
vers le sud-ouest (B.. - B.») où s'intercale, entr' elles et le limonsuperficiel^ un niveau sableux résiduel (le long de la route de PONT). Lelimon est moins épais dans le centre de* la parcelle B-, Bo à B.».
5.
Des terrains plus humides sont rencontrés dans la zone
empruntée par le chenal d'évacuation des eaux d'inondation (axe nord-sud).
. Parcelle C : C^ à C_ - 25 m forés
Deux zones distinctes apparaissent dans les sondages
Le flanc nord du vallon avec des terrains calcaires à faible
profondeur (subaffleurants).
Le creux du vallon avec des terrains meubles limoneux et du
sable calcaire à la base.
Nous sommes dans la série hétérogène du LUTETIEN mais qui a
subi des érosions profondes. Le vallon correspond à une zone d'accumulation
des terrains détritiques remaniés (limons, sables calcaires, cailloutissiliceux), limitée sur les versants par des terrains plus résistants
(calcaires siliceux et marneux ou grésifiés) qui forment relief.
. Parcelle D : D. à D_ - 32,5 m forés
On retrouve les mêmes terrains que sous la parcelle C : zone
d'accumulation de formations détritiques limono-sableuses gorgée d'eau
au-delà de 4 à 6 m. Sur la bordure sud, les terrains calcaro-marneux
affleurent à nouveau et sont la continuité des affleurements situés de
l'autre côté de la route, à l'orée du bois.
5.
Des terrains plus humides sont rencontrés dans la zone
empruntée par le chenal d'évacuation des eaux d'inondation (axe nord-sud).
. Parcelle C : C^ à C_ - 25 m forés
Deux zones distinctes apparaissent dans les sondages
Le flanc nord du vallon avec des terrains calcaires à faible
profondeur (subaffleurants).
Le creux du vallon avec des terrains meubles limoneux et du
sable calcaire à la base.
Nous sommes dans la série hétérogène du LUTETIEN mais qui a
subi des érosions profondes. Le vallon correspond à une zone d'accumulation
des terrains détritiques remaniés (limons, sables calcaires, cailloutissiliceux), limitée sur les versants par des terrains plus résistants
(calcaires siliceux et marneux ou grésifiés) qui forment relief.
. Parcelle D : D. à D_ - 32,5 m forés
On retrouve les mêmes terrains que sous la parcelle C : zone
d'accumulation de formations détritiques limono-sableuses gorgée d'eau
au-delà de 4 à 6 m. Sur la bordure sud, les terrains calcaro-marneux
affleurent à nouveau et sont la continuité des affleurements situés de
l'autre côté de la route, à l'orée du bois.
6.
2 - ESSAIS DE PERMEABILITE IN-SITU
Parallèlement aux sondages, des essais d'infiltration ont été
tentés sur les formations géologiques superficielles à raison de deux
essais par parcelle.
2.1. - Méthode utilisée
La mesure de la perméabilité in-situ est toujours délicate
compte-tenu de l'hétérogénéité des terrains et des phénomènes parasites qui
interviennent dans les écoulements. Aussi, de nombreuses formules existent,
déduites d'expériences empiriques. Nous avons retenu celle mise au point
par NASBERG TERLETSKATA en RUSSIE qui a l'avantage d'être simple de mise en
oeuvre. Il s'agit, dans un trou creusé à la tarière à main, à une
profondeur entre 1 et 2 m, à faible diamètre, d'injecter de l'eau à niveau
constant pendant un certain temps et de calculer le débit moyen obtenu. La
mesure f effectue après un temps de saturation { 7^ 1 heure en général). Laperméabilité se déduit de la formule simplifiée :
K = 0,423 Q log £_h.2
. h : hauteur d'eau dans la zone crépinée ou lanternée en m
. Q : débit en m /s
. d : diamètre du trou crépine en m.
6.
2 - ESSAIS DE PERMEABILITE IN-SITU
Parallèlement aux sondages, des essais d'infiltration ont été
tentés sur les formations géologiques superficielles à raison de deux
essais par parcelle.
2.1. - Méthode utilisée
La mesure de la perméabilité in-situ est toujours délicate
compte-tenu de l'hétérogénéité des terrains et des phénomènes parasites qui
interviennent dans les écoulements. Aussi, de nombreuses formules existent,
déduites d'expériences empiriques. Nous avons retenu celle mise au point
par NASBERG TERLETSKATA en RUSSIE qui a l'avantage d'être simple de mise en
oeuvre. Il s'agit, dans un trou creusé à la tarière à main, à une
profondeur entre 1 et 2 m, à faible diamètre, d'injecter de l'eau à niveau
constant pendant un certain temps et de calculer le débit moyen obtenu. La
mesure f effectue après un temps de saturation { 7^ 1 heure en général). Laperméabilité se déduit de la formule simplifiée :
K = 0,423 Q log £_h.2
. h : hauteur d'eau dans la zone crépinée ou lanternée en m
. Q : débit en m /s
. d : diamètre du trou crépine en m.
7.
2.2. - Résultats
- Parcelle A
. Champ de Monsieur DARRAS entre le chemin et la pointe du
bosquet.
- 0,00 - 0,50 m : Limon sableux grossier brun beige
- 0,50 - 1,20 m : Sable peu argileux jaune beige
- 1,20 - 1,75 m : Sable plus argileux fin beige clair.
-7[j = 4,2 X 10"' m/s
avec h = 0,825 m Q = 4,2 x lO"'' m^s d = 0,08 m
. Champ de Monsieur ROUX dans la pointe de maïs
- 0,00 - 0,30 m : Sable grossier gris brun
- 0,30 - 0,60 m : Sable fin jaune beige peu argileux- 0,60 - 1,20 m : Sable fin beige argileux
Blocage sur grès à 1,20 m
K = 2,7 X 10"7 m/s
avec h = 1,072 m Q = 4,2 x 10"^ m^s d = 0,08 m
7.
2.2. - Résultats
- Parcelle A
. Champ de Monsieur DARRAS entre le chemin et la pointe du
bosquet.
- 0,00 - 0,50 m : Limon sableux grossier brun beige
- 0,50 - 1,20 m : Sable peu argileux jaune beige
- 1,20 - 1,75 m : Sable plus argileux fin beige clair.
-7[j = 4,2 X 10"' m/s
avec h = 0,825 m Q = 4,2 x lO"'' m^s d = 0,08 m
. Champ de Monsieur ROUX dans la pointe de maïs
- 0,00 - 0,30 m : Sable grossier gris brun
- 0,30 - 0,60 m : Sable fin jaune beige peu argileux- 0,60 - 1,20 m : Sable fin beige argileux
Blocage sur grès à 1,20 m
K = 2,7 X 10"7 m/s
avec h = 1,072 m Q = 4,2 x 10"^ m^s d = 0,08 m
- Parcelle B
. Champ de Monsieur DARRAS, angle nord-ouest de la parcelle
0,00 - 0,30 m : Limon sableux brun beige
0,30 - 1,50 m : Sable plus fin peu argileux beige jaune
K = 8,9 X 10"^ m/s
avec h = 0,63 m Q = 5,6 x 10"' raVs d = 0,08 m
. Champ de Monsieur DARRAS, angle nord-est
0,00 - 0,70 m : Sable limoneux moyen brun beige
0,70 - 2,40 m : Sable fin beige jaune peu argileux
à 2,4 m bloc de calcaire
K. = 1,3 X 10 m/s4
avec h = 0,6l2 m Q = 7,7 x 10 '^ m^s d = 0,08 m
- Parcelle C
Champ de maïs de Monsieur MENEZ, partie basse
- Parcelle B
. Champ de Monsieur DARRAS, angle nord-ouest de la parcelle
0,00 - 0,30 m : Limon sableux brun beige
0,30 - 1,50 m : Sable plus fin peu argileux beige jaune
K = 8,9 X 10"^ m/s
avec h = 0,63 m Q = 5,6 x 10"' raVs d = 0,08 m
. Champ de Monsieur DARRAS, angle nord-est
0,00 - 0,70 m : Sable limoneux moyen brun beige
0,70 - 2,40 m : Sable fin beige jaune peu argileux
à 2,4 m bloc de calcaire
K. = 1,3 X 10 m/s4
avec h = 0,6l2 m Q = 7,7 x 10 '^ m^s d = 0,08 m
- Parcelle C
Champ de maïs de Monsieur MENEZ, partie basse
0,00 - 0,25 m : Limon sableux moyen brun beige
0,25 - 0,75 m : Sable fin beige
0,75 - 1,50 m : Sable fin argileux beige et grès calcaire
K- = 6 X 10"' m/s
avec h = 0,55in Q = 3x lO"' mVs d = 0,08 m
. Champ de maïs de Monsieur MENEZ, partie haute
0,00 - 0,40 m : Argile sableuse marron beige
0,40 - 1,50 m : Argile sableuse marron beige plus claire vers
la base et enrobant des morceaux de grès
calcaires.
K, = 2,6 X 10 ' m/s
avec h=l,062m Q = 4x 10"' mVs d = 0,08 ra
- Parcelle D
Champ de blé de Monsieur MENEZ, côte route
0,00 - 0,45 m Sable limoneux grossier brun beige
0,45 - 1,20 m : Sable peu argileux fin jaune beige
Eboulement
K = 1,6 X 10-5 j,/s
0,00 - 0,25 m : Limon sableux moyen brun beige
0,25 - 0,75 m : Sable fin beige
0,75 - 1,50 m : Sable fin argileux beige et grès calcaire
K- = 6 X 10"' m/s
avec h = 0,55in Q = 3x lO"' mVs d = 0,08 m
. Champ de maïs de Monsieur MENEZ, partie haute
0,00 - 0,40 m : Argile sableuse marron beige
0,40 - 1,50 m : Argile sableuse marron beige plus claire vers
la base et enrobant des morceaux de grès
calcaires.
K, = 2,6 X 10 ' m/s
avec h=l,062m Q = 4x 10"' mVs d = 0,08 ra
- Parcelle D
Champ de blé de Monsieur MENEZ, côte route
0,00 - 0,45 m Sable limoneux grossier brun beige
0,45 - 1,20 m : Sable peu argileux fin jaune beige
Eboulement
K = 1,6 X 10-5 j,/s
10.
Le trou n'étant pas stable (eboulement), les conditionsd'application de la formule ne sont pas réunies. On utilise une autre
formule dite de LEFRANC qui traduit une injection à niveau variable.
K = Q
Tid-Ah
avec Q = débit = 1,2 x 10~' mVsd = diamètre du tube = 0,056 m
Ah = variation de niveau = 0,042 m
. Champ de blé de Monsieur MENEZ, côté digue
- 0,00 - 0,75 m ! Sable limoneux grossier marron beige
- 0,75 - 1,10 m : Sable peu argileux fin jaune beige
Kg = 1,1 X 10 ^ m/s
avec h = 0,532 m Q = 5,4 x 10 '^ m^s d = 0,08 m
2.3. - Interprétations
' L'ensemble des mesures montre des perméabilités des terrains
assez faibles, que ce soit dans les sables du haut du bassin hydrographique
(parcelle A), que dans ceux de la zone de confluence (parcelle B) ou du bas
du bassin (parcelles C et D). C'est dans cette dernière que les résultatsse révèlent les meilleures : entre 10 et 10 m/s. Traduites en débitd'infiltration, les perméabilités donnent les valeurs suivantes, par mètre
carré de surface concernée :
10.
Le trou n'étant pas stable (eboulement), les conditionsd'application de la formule ne sont pas réunies. On utilise une autre
formule dite de LEFRANC qui traduit une injection à niveau variable.
K = Q
Tid-Ah
avec Q = débit = 1,2 x 10~' mVsd = diamètre du tube = 0,056 m
Ah = variation de niveau = 0,042 m
. Champ de blé de Monsieur MENEZ, côté digue
- 0,00 - 0,75 m ! Sable limoneux grossier marron beige
- 0,75 - 1,10 m : Sable peu argileux fin jaune beige
Kg = 1,1 X 10 ^ m/s
avec h = 0,532 m Q = 5,4 x 10 '^ m^s d = 0,08 m
2.3. - Interprétations
' L'ensemble des mesures montre des perméabilités des terrains
assez faibles, que ce soit dans les sables du haut du bassin hydrographique
(parcelle A), que dans ceux de la zone de confluence (parcelle B) ou du bas
du bassin (parcelles C et D). C'est dans cette dernière que les résultatsse révèlent les meilleures : entre 10 et 10 m/s. Traduites en débitd'infiltration, les perméabilités donnent les valeurs suivantes, par mètre
carré de surface concernée :
11.
Parcelle A = entre 0,5 m /j à 0,9 mVJ
Parcelle B = entre 1,8 mVJ à 2,7 mVJ
Parcelle C = entre 0,5 mVJ à 1,25 mVJ
Parcelle D = entre 2,3 mVJ à 33 m /j
Avec une granulométrie plus grossière, les terrains sableux de
la parcelle D offrent l'infiltration la moins mauvaise. Mais, la zone non
saturée est moins épaisse qu'ailleurs : la nappe phréatique siège à moins
de 5 m de profondeur. Par contre, il faut remarquer que les tests de
perméabilité ont été réalisés à faible profondeur et qu'au vu des terrains
remontés par les sondages à la tarière, la lithologie des terrains est de
plus en plus grossière et raoins argileuse vers le bas. La perraéabilité
intrinsèque doit s'améliorer avec la profondeur pour atteindre des valeurs
supérieures à 10 ra/s.
Il en va de même pour les autres sites. Les Sables d' Anvers de
la parcelle A, en-dessous du niveau d'Argile de VILLENEUVE, sont plus
propres que ceux supérieurs, pollués par les colluvions argileuses superfi¬
cielles. On peut espérer gagner une puissance de 10, voir deux, dans la
perraéabilité. La parcelle B est plus hétérogène. Les tests réalisés n'ont
pas intéressé les couches des Marnes et Caillasses plus profondes. Là
aussi, à cette profondeur, la perméabilité moyenne se révèle plus forte sur
une couche de terrains de plusieurs mètres (référence à d'autres essais
effectués dans la région).
La parcelle C paraît la moins favorable. Outre les essais peu
encourageants, l'épaisseur des terrains argileux semble trop forte pour
espérer une amélioration en profondeur.
11.
Parcelle A = entre 0,5 m /j à 0,9 mVJ
Parcelle B = entre 1,8 mVJ à 2,7 mVJ
Parcelle C = entre 0,5 mVJ à 1,25 mVJ
Parcelle D = entre 2,3 mVJ à 33 m /j
Avec une granulométrie plus grossière, les terrains sableux de
la parcelle D offrent l'infiltration la moins mauvaise. Mais, la zone non
saturée est moins épaisse qu'ailleurs : la nappe phréatique siège à moins
de 5 m de profondeur. Par contre, il faut remarquer que les tests de
perméabilité ont été réalisés à faible profondeur et qu'au vu des terrains
remontés par les sondages à la tarière, la lithologie des terrains est de
plus en plus grossière et raoins argileuse vers le bas. La perraéabilité
intrinsèque doit s'améliorer avec la profondeur pour atteindre des valeurs
supérieures à 10 ra/s.
Il en va de même pour les autres sites. Les Sables d' Anvers de
la parcelle A, en-dessous du niveau d'Argile de VILLENEUVE, sont plus
propres que ceux supérieurs, pollués par les colluvions argileuses superfi¬
cielles. On peut espérer gagner une puissance de 10, voir deux, dans la
perraéabilité. La parcelle B est plus hétérogène. Les tests réalisés n'ont
pas intéressé les couches des Marnes et Caillasses plus profondes. Là
aussi, à cette profondeur, la perméabilité moyenne se révèle plus forte sur
une couche de terrains de plusieurs mètres (référence à d'autres essais
effectués dans la région).
La parcelle C paraît la moins favorable. Outre les essais peu
encourageants, l'épaisseur des terrains argileux semble trop forte pour
espérer une amélioration en profondeur.
12.
3 - INVENTAIRE DES POINTS D'EAU
3.1. - Captages exploités
La Commune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG est alimentée, depuis
1980, par un captage situé au nord du village, en bordure du chemin de
Chatillon (indice 128-2-161). L'ancien puits (128-2-41) a été abandonné
pour insuffisance.
Il capte les eaux de la base des Calcaires du Lutétien et les
Sables du Cuisien dans leur partie supérieure (Fig. 2). Le niveau de la
nappe a été rencontré vers 39 m de profondeur, soit à la cote -f- 75*
La Commune d' OGNON est desservie par un captage communal situé
au village (sortie sud-ouest), à l'écart de la vallée de l'Aunette. Il
reste dans les Calcaires du Lutétien sur 33 ni avec un niveau vers 18 m
(+ 67).
Les captages de BRASSEUSE (est) et de CHAMANT (sud-ouest) sont
beaucoup plus éloignés et en-dehors du bassin du ru de VILLERS.
A notre connaissance, il n'existe pas d'autres captages publics
ou privés dans les deux communes concernées. Signalons toutefois la source
qui se déverse dans le miroir du château d' OGNON (1 28-2-87 ) Elle estrepérable sur le versant est du vallon et alimentait autrefois le domaine
du château.
Les anciens puits du village sont abandonnés.
12.
3 - INVENTAIRE DES POINTS D'EAU
3.1. - Captages exploités
La Commune de VILLERS-SAINT-FRAMBOURG est alimentée, depuis
1980, par un captage situé au nord du village, en bordure du chemin de
Chatillon (indice 128-2-161). L'ancien puits (128-2-41) a été abandonné
pour insuffisance.
Il capte les eaux de la base des Calcaires du Lutétien et les
Sables du Cuisien dans leur partie supérieure (Fig. 2). Le niveau de la
nappe a été rencontré vers 39 m de profondeur, soit à la cote -f- 75*
La Commune d' OGNON est desservie par un captage communal situé
au village (sortie sud-ouest), à l'écart de la vallée de l'Aunette. Il
reste dans les Calcaires du Lutétien sur 33 ni avec un niveau vers 18 m
(+ 67).
Les captages de BRASSEUSE (est) et de CHAMANT (sud-ouest) sont
beaucoup plus éloignés et en-dehors du bassin du ru de VILLERS.
A notre connaissance, il n'existe pas d'autres captages publics
ou privés dans les deux communes concernées. Signalons toutefois la source
qui se déverse dans le miroir du château d' OGNON (1 28-2-87 ) Elle estrepérable sur le versant est du vallon et alimentait autrefois le domaine
du château.
Les anciens puits du village sont abandonnés.
13.
3-2. - Caractéristiques de la nappe
La nappe captée est celle de l'Eocène inférieur qui siège dans
les Sables de Cuise en totalité et à la base des Calcaires du Lutétien.
Autrement dit, toutes les formations supérieures jusqu'au Calcaire de
SAINT-OUEN sont dénoyées.
La surface piézométrique évolue entre -i- 75 (captage de lacommune) à -t- 65 à la vallée de l'Aunette qui draine les eaux du réservoir.L'écoulement de la nappe épouse donc l'orientation de la vallée du ru de
VILLERS selon une direction nord - sud.
Le gradient hydraulique moyen est assez faible : 1,5 °/oo- ^1s'atténue encore vers OGNON avant le débouché sur la vallée de l'Aunette
qui forme un peu barrage à l'écoulement et maintient de ce fait une surface
piézoraétrique quasi plane.
Ce phénoraène s'accentue en période de pluies efficaces qui
réalimentent le réservoir aquifère (gonflement de la nappe).
3'3' - Qualité des eaux de la nappe (Fig. 3)
L'eau de la nappe de l'Eocène inférieur est bicarbonatée calci¬
que, légèreraent sulfatée. Les eaux superficielles apportent des nitrates et
du fer en période de réalimentation.
La figure 3 donne un état de la qualité au captage de VILLERS-
SAINT-FRAMBOURG.
13.
3-2. - Caractéristiques de la nappe
La nappe captée est celle de l'Eocène inférieur qui siège dans
les Sables de Cuise en totalité et à la base des Calcaires du Lutétien.
Autrement dit, toutes les formations supérieures jusqu'au Calcaire de
SAINT-OUEN sont dénoyées.
La surface piézométrique évolue entre -i- 75 (captage de lacommune) à -t- 65 à la vallée de l'Aunette qui draine les eaux du réservoir.L'écoulement de la nappe épouse donc l'orientation de la vallée du ru de
VILLERS selon une direction nord - sud.
Le gradient hydraulique moyen est assez faible : 1,5 °/oo- ^1s'atténue encore vers OGNON avant le débouché sur la vallée de l'Aunette
qui forme un peu barrage à l'écoulement et maintient de ce fait une surface
piézoraétrique quasi plane.
Ce phénoraène s'accentue en période de pluies efficaces qui
réalimentent le réservoir aquifère (gonflement de la nappe).
3'3' - Qualité des eaux de la nappe (Fig. 3)
L'eau de la nappe de l'Eocène inférieur est bicarbonatée calci¬
que, légèreraent sulfatée. Les eaux superficielles apportent des nitrates et
du fer en période de réalimentation.
La figure 3 donne un état de la qualité au captage de VILLERS-
SAINT-FRAMBOURG.
DIRECTION DEPARTEMENTALE DES AFFAIRES SANITAIRES ET SOCIALES DE L'OISr^ig- 3Service du Génie Sanitaire
Avenue'de l'Europe - 60022 BEAUVAIS CEDEX - 44.48.48.05
Echantillon prélevé le : 09/08/onAgent préleveur : Mme VAour.z -B40-
ANALYSE D'EAU
oi Type 2 [.: Type 3
RENSEIGNEMENTS GENERAUX
^ Adduction d'eau publique ['i BaignadeCressonnière G Eaux embouteillées
Commune VILLERS ST framdqurg Hameau
Li Puits privén .Fontaine
STATIOriLieu de prélèvement Traitement de l'eau prélevée 'yi néant
A facturer à. COMMUNE
G physico chimique D désinfection
.LABORATOIRE DEPARTEMENTAL, agréé pour le contrôle sanitaire des eaux.14, rue A. et A. Desjardins - B.P. 241 60009 Beauvaix Cedex - 44.48.48.20 poste 3970
RESULTATS DE L'ANALYSE N°__§266
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
1 - Dénombrement total des bactéries sur gélose nutritive1-1 Nombre de colonies après 24 heures à 37'C 1-2 Nombre de colonies après 72 heures à 20°C
2 - Colimétrie2-1 Coliformes totaux : membranes filtrantes à 37*0 2-2 Coliformes fécaux : membranes filtrantes à 44''C 2-3 Escherichia coli : test de Schubert
; Dénombrement des streptocoques fécaux : membranes filtrantes
51par
par
1 ml1 ml
par 100 mlpar 100 mlpar 100 mlpar 100 mlpar 100 ml
^ompérature "dice de diffusion .:.H
P'ésistivité à 20" ...
s
14.
La figure 4 est une analyse de l'eau de la Source du Miroir du
château d' OGNON. Elle montre une teneur plus élevée en nitrates avec traces
d'ammoniaque. La nappe recueille en totalité les eaux infiltrées en amont
du bassin.
14.
La figure 4 est une analyse de l'eau de la Source du Miroir du
château d' OGNON. Elle montre une teneur plus élevée en nitrates avec traces
d'ammoniaque. La nappe recueille en totalité les eaux infiltrées en amont
du bassin.
LABORATOIRE DEPARTEMENTAL
DE LA SOMME
Laboratoire agréé pour l'analyse des eaux
JS, rut Ftmtl Amient
TéL : 22.91.39.67B.P. 2719 -80027 Amient Cedex
Demandeur : DOKSSCX Particulier BRGM
Observations de l'agent préleveur :
Fig. 4ANALYSE D'EAU D'ALIMENTATION
Point de prélèvement :
Date de prélèvement : ,
Source du Miroir
3.08.89
Echantillon n- 3382COMMUNE DE ; OGNON (OISE)Unité de distribution : Eau non traitée - traitée : chloration, .
Apporté le 17/8/89
/
2
3
6-1
7-1
8
9
CouleurTurbidité.Odeur
ANALYSE PHYSICO-CHIMIQUE
/13,4
7,00pHà20-C Conductivité à 20- C_£S1.Chlorures Cl~_5a^Sulfates SO 7A.9
.mg/l Pt/Co
NTU
_ u S cm ' ' mg/l mg/l
16-1 Dureté (en degré français) (TH) 47,0 -f16-2 Titre alcalimétrique complet (TAC) "^ ? . 1 -f20
21
Nitrates
Nitrites
NO
NO
5Qrl20.057
22 Ammoniaque NH ^ Q.m ^24 Matières organiques (en Q2)/_0,l
33
milieu acide
Fer Fe ^ +__^aJL41-1 Chlore libre (sur place) .
mg/l
.mg/l
.mg/l
.mg/l
mg/l
.mg/l
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
Dénombrement des : S7 Bactéries coliformes
58 Escherichia coli : Technique :
membranes filtrantes 59 Streptocoques fécaux
60 Clostridium sulfito-réducteurs
Dénombrement total des bactéries ; 6i-i après 72 heures à 20-22' : ,sur gélose nutritive
61-2 après 24 heures à 37' :.
CONCLUSIONS : Teneur en nitrates supérieure à la concentration maxinaleadmissible. Eau ne devant pas être consommée par les femmesenceintes et les nourrissons.
Amiens, le 23.08.89Le Directeur,
Destinataire D D.D.A.S.S.
Q Particulier
D Commune
D Syndicat
D Exploitant
LABORATOIRE DEPARTEMENTAL
DE LA SOMME
Laboratoire agréé pour l'analyse des eaux
JS, rut Ftmtl Amient
TéL : 22.91.39.67B.P. 2719 -80027 Amient Cedex
Demandeur : DOKSSCX Particulier BRGM
Observations de l'agent préleveur :
Fig. 4ANALYSE D'EAU D'ALIMENTATION
Point de prélèvement :
Date de prélèvement : ,
Source du Miroir
3.08.89
Echantillon n- 3382COMMUNE DE ; OGNON (OISE)Unité de distribution : Eau non traitée - traitée : chloration, .
Apporté le 17/8/89
/
2
3
6-1
7-1
8
9
CouleurTurbidité.Odeur
ANALYSE PHYSICO-CHIMIQUE
/13,4
7,00pHà20-C Conductivité à 20- C_£S1.Chlorures Cl~_5a^Sulfates SO 7A.9
.mg/l Pt/Co
NTU
_ u S cm ' ' mg/l mg/l
16-1 Dureté (en degré français) (TH) 47,0 -f16-2 Titre alcalimétrique complet (TAC) "^ ? . 1 -f20
21
Nitrates
Nitrites
NO
NO
5Qrl20.057
22 Ammoniaque NH ^ Q.m ^24 Matières organiques (en Q2)/_0,l
33
milieu acide
Fer Fe ^ +__^aJL41-1 Chlore libre (sur place) .
mg/l
.mg/l
.mg/l
.mg/l
mg/l
.mg/l
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
Dénombrement des : S7 Bactéries coliformes
58 Escherichia coli : Technique :
membranes filtrantes 59 Streptocoques fécaux
60 Clostridium sulfito-réducteurs
Dénombrement total des bactéries ; 6i-i après 72 heures à 20-22' : ,sur gélose nutritive
61-2 après 24 heures à 37' :.
CONCLUSIONS : Teneur en nitrates supérieure à la concentration maxinaleadmissible. Eau ne devant pas être consommée par les femmesenceintes et les nourrissons.
Amiens, le 23.08.89Le Directeur,
Destinataire D D.D.A.S.S.
Q Particulier
D Commune
D Syndicat
D Exploitant
CONCLUSIONS
La prospection géologigue menée sur la commune de VILLERS-
SAINT-FRAMBOURG en vue de trouver une solution à 1 'élimination des eaux de
ruissellement, causes de dégradations aux chemins et aux habitations, a
porté sur trois secteurs :
-le premier au nord-est (A)
-le second au nord-ouest (B)
- le troisième au sud sur la commune d' OGNON (C et D) .
Les sondages à la tarière ont révélé des terrains très sableux
remaniés ou limons argileux colluviaux sur la parcelle A, des terrains
marno-calcaires recouverts de limons sableux sur la parcelle B, des
terrains détritigues limono- sableux au creux du vallon des parcelles C et
D, Sur les deux premiers sites, la nappe est profonde ("^20 m). Sur les
deux derniers, la surface piézométrigue est assez proche du sol (4 à 6m).
Chagüe parcelle a été soumise à deux essais de perméabilité sur
les deux premiers mètres. Sur la parcelle la plus à l'amont du bassin (A),
la valeur mesurée est de l'ordre de 3 x 10 m/s. Sur la parcelle près du
cimetière (B) , elle tourne autour de 1 x 10 m/s. Sur la parcelle sud (C)
la perméabilité reste faible : 2 à 6 x 10 m/s. Enfin, sur la parcelle la
plus méridionale (D) elle dépasse 1 x 10 et même 1 x 10 m/s.
Il ressort de ces mesures gue les premiers mètres offrent un
espoir d' infiltration efficace. Mais, la perméabilité augmente avec la
profondeur où les terrains en place sont moins argileux. Mais, si sur la
parcelle D, on peut envisager un bassin de 4 m de profondeur au-dessous de
la surface piézométrigue, sur les parcelles A et B, les bassins creusés
devront être reliés par des puits d' infiltration gui recueilleront le trop
plein des eaux après décantation.
CONCLUSIONS
La prospection géologigue menée sur la commune de VILLERS-
SAINT-FRAMBOURG en vue de trouver une solution à 1 'élimination des eaux de
ruissellement, causes de dégradations aux chemins et aux habitations, a
porté sur trois secteurs :
-le premier au nord-est (A)
-le second au nord-ouest (B)
- le troisième au sud sur la commune d' OGNON (C et D) .
Les sondages à la tarière ont révélé des terrains très sableux
remaniés ou limons argileux colluviaux sur la parcelle A, des terrains
marno-calcaires recouverts de limons sableux sur la parcelle B, des
terrains détritigues limono- sableux au creux du vallon des parcelles C et
D, Sur les deux premiers sites, la nappe est profonde ("^20 m). Sur les
deux derniers, la surface piézométrigue est assez proche du sol (4 à 6m).
Chagüe parcelle a été soumise à deux essais de perméabilité sur
les deux premiers mètres. Sur la parcelle la plus à l'amont du bassin (A),
la valeur mesurée est de l'ordre de 3 x 10 m/s. Sur la parcelle près du
cimetière (B) , elle tourne autour de 1 x 10 m/s. Sur la parcelle sud (C)
la perméabilité reste faible : 2 à 6 x 10 m/s. Enfin, sur la parcelle la
plus méridionale (D) elle dépasse 1 x 10 et même 1 x 10 m/s.
Il ressort de ces mesures gue les premiers mètres offrent un
espoir d' infiltration efficace. Mais, la perméabilité augmente avec la
profondeur où les terrains en place sont moins argileux. Mais, si sur la
parcelle D, on peut envisager un bassin de 4 m de profondeur au-dessous de
la surface piézométrigue, sur les parcelles A et B, les bassins creusés
devront être reliés par des puits d' infiltration gui recueilleront le trop
plein des eaux après décantation.
Leur profondeur ne dépassera pas 20 m. La parcelle C est trop
défavorable. Le bassin le plus aval (D) occupera la plus grande surface
possible de la parcelle guitte à rehausser en digues la périphérie. Il vaut
mieux gagner du volume de stockage latéralement gu'en profondeur.
Du point de vue de l'hydrauligue souterraine, les réinfiltra¬
tions accélérées provogueront des petites crues de nappe gui se propageront
vers l'aval et gonfleront le débit des sources momentanément. Du point de
vue gualitatif, les apports ponctuels dans le réservoir aguifère ne
'modifieront pas son chimisme. Tout au plus, peut-on voir apparaître une
diminution de la minéralisation.
Les captages exploités du secteur ne sont pas concernés. Seule
la Source du Miroir subira guelgues altérations. Mais, elle est déjà
contaminée par les apports azotés des cultures.
Le seul risgue de pollution est un déversement accidentel dans
les bassins gu' il faudra donc protéger du côté des voies de circulation.
AMIENS, le 14 septembre 1989
M. CAUDRON
Ingénieur Environnement au B,R.G.M,
Leur profondeur ne dépassera pas 20 m. La parcelle C est trop
défavorable. Le bassin le plus aval (D) occupera la plus grande surface
possible de la parcelle guitte à rehausser en digues la périphérie. Il vaut
mieux gagner du volume de stockage latéralement gu'en profondeur.
Du point de vue de l'hydrauligue souterraine, les réinfiltra¬
tions accélérées provogueront des petites crues de nappe gui se propageront
vers l'aval et gonfleront le débit des sources momentanément. Du point de
vue gualitatif, les apports ponctuels dans le réservoir aguifère ne
'modifieront pas son chimisme. Tout au plus, peut-on voir apparaître une
diminution de la minéralisation.
Les captages exploités du secteur ne sont pas concernés. Seule
la Source du Miroir subira guelgues altérations. Mais, elle est déjà
contaminée par les apports azotés des cultures.
Le seul risgue de pollution est un déversement accidentel dans
les bassins gu' il faudra donc protéger du côté des voies de circulation.
AMIENS, le 14 septembre 1989
M. CAUDRON
Ingénieur Environnement au B,R.G.M,
Annexe 1.1
COUPES GEOLOGIQUES DES SONDAGES
Parcelle A (Fontaine MATHIEUX)
A. à A. : parcelles de blé de Monsieur DARRAS
A., : entre le chemin et la pointe du bosquet
. 0,00 - 1,00 m : Limon sableux brun homogène, plus argileux vers 0,4 m
. 1,00 - 1,50 m : Limon sableux brun argileux
. 1,50 - 2,00 m : Limon sableux brun argileux, plus fin
. 2,00 - 3,00 m : Limon sableux brun argileux, humide mais non collant
. 3,00 - 4,50 m : Sable jaune vert argileux, fin sec
. 4,50 - 4,80 m : Passée gréseuse plus dure
. 4,80 - 6,00 m : Sable fin et débris gréseux plus jaune
. 6,00 - 7,50 m : Sable fin, jaune ocre, avec quelques cailloutis gréseux
. 7,50 m - 9,00 m : Sable fin jaune
A : à 50 m au nord du A. et 10 ra du cherain
. 0,00 - 0,50 ra : Limon sableux brun horaogène sec, plus argileux à la base
. 0,50 - 1,50 m : Sable ocre jaune fin homogène, sec
. 1,50 - 3,00 m : Sable argileux jaune verdâtre, fin, doux au toucher
. 3,00 - 4,50 ra : id° peu argileux et cailloutis gréseux
Annexe 1.1
COUPES GEOLOGIQUES DES SONDAGES
Parcelle A (Fontaine MATHIEUX)
A. à A. : parcelles de blé de Monsieur DARRAS
A., : entre le chemin et la pointe du bosquet
. 0,00 - 1,00 m : Limon sableux brun homogène, plus argileux vers 0,4 m
. 1,00 - 1,50 m : Limon sableux brun argileux
. 1,50 - 2,00 m : Limon sableux brun argileux, plus fin
. 2,00 - 3,00 m : Limon sableux brun argileux, humide mais non collant
. 3,00 - 4,50 m : Sable jaune vert argileux, fin sec
. 4,50 - 4,80 m : Passée gréseuse plus dure
. 4,80 - 6,00 m : Sable fin et débris gréseux plus jaune
. 6,00 - 7,50 m : Sable fin, jaune ocre, avec quelques cailloutis gréseux
. 7,50 m - 9,00 m : Sable fin jaune
A : à 50 m au nord du A. et 10 ra du cherain
. 0,00 - 0,50 ra : Limon sableux brun horaogène sec, plus argileux à la base
. 0,50 - 1,50 m : Sable ocre jaune fin homogène, sec
. 1,50 - 3,00 m : Sable argileux jaune verdâtre, fin, doux au toucher
. 3,00 - 4,50 ra : id° peu argileux et cailloutis gréseux
Annexe 1.1.1
A- : à 50 m au nord du A» à la pointe du bois
. 0,00 - 0,30 m : Limon argilo-sableux brun
. 0,30 - 1,50 m : Sable vert et ocre argileux compact, légèrement humide
. 1,50 - 2,50 m : Sable vert argileux homogène (pâteux)
. 2,50 - 3,00 ra : Sable très fin vert bronze argileux collant
. 3,00 - 3,50 m : Sable roux ferrugineux argileux
3,50 - 4,50 m : Sable fauve meuble argileux
A. : à 60 m au nord du A- et 5 ni de la haie entre bois et maïs4 3
. 0,00 - 0,20 ra : Terre végétale
. 0,20 - 0,50 m : Sable plus ou raoins fin horaogène
. 0,50 - 3,00 ra : Sable plus clair, fin raeuble
. 3,00 - 4,50 m : Sable fin verdâtre meuble peu argileux
Annexe 1.1.1
A- : à 50 m au nord du A» à la pointe du bois
. 0,00 - 0,30 m : Limon argilo-sableux brun
. 0,30 - 1,50 m : Sable vert et ocre argileux compact, légèrement humide
. 1,50 - 2,50 m : Sable vert argileux homogène (pâteux)
. 2,50 - 3,00 ra : Sable très fin vert bronze argileux collant
. 3,00 - 3,50 m : Sable roux ferrugineux argileux
3,50 - 4,50 m : Sable fauve meuble argileux
A. : à 60 m au nord du A- et 5 ni de la haie entre bois et maïs4 3
. 0,00 - 0,20 ra : Terre végétale
. 0,20 - 0,50 m : Sable plus ou raoins fin horaogène
. 0,50 - 3,00 ra : Sable plus clair, fin raeuble
. 3,00 - 4,50 m : Sable fin verdâtre meuble peu argileux
Annexe 1.2
A^ à An : parcelle de maïs de Monsieur ROUX P.
A_ : à 4 m du chemin et 10 m de la pointe du champ
0,00 - 1,50 m : Limon argileux brun, peu humide
1,50 - 3,00 ra : id° plus argileux, brun chocolat, huraide
3,00 - 4,50 m : Limon argileux plus clair pâteux
4,50 - 6,00 m : Sable argileux ocre vert meuble
6,00 - 7,50 m : id° plus roux orange et granules gréseuses
A/- : à 60 m au nord, au droit de la pointe de bois
à 15 m à l'ouest de A»
0,00 - 0,30 m : Limon brun
0,30 - 0,50 m : Sable limoneux brun roux meuble
0,50 - 2,00 m : Limon. sablo-argileux brun, collant
2,00 - 2,50 m : Sable fin argileux café au lait
2,50 - 3,50 m : Argile sableuse verte et rousse
3,50 - 4,50 m : Sable fin ocre jaune meuble peu argileux
A_ : à 50 ra au nord de A,
. 0,00 - 0,50 ra : Limon sableux brun meuble
. 0,50 - 1,-50 m : Limon sableux plus argileux brun
1,50 - 3,00 m : Limon plus sableux puis sable argileux meuble ocre jaune
. 3,00 - 4,50 ra : Sable fin argileux ocre, horaogène assez huraide -
Annexe 1.2
A^ à An : parcelle de maïs de Monsieur ROUX P.
A_ : à 4 m du chemin et 10 m de la pointe du champ
0,00 - 1,50 m : Limon argileux brun, peu humide
1,50 - 3,00 ra : id° plus argileux, brun chocolat, huraide
3,00 - 4,50 m : Limon argileux plus clair pâteux
4,50 - 6,00 m : Sable argileux ocre vert meuble
6,00 - 7,50 m : id° plus roux orange et granules gréseuses
A/- : à 60 m au nord, au droit de la pointe de bois
à 15 m à l'ouest de A»
0,00 - 0,30 m : Limon brun
0,30 - 0,50 m : Sable limoneux brun roux meuble
0,50 - 2,00 m : Limon. sablo-argileux brun, collant
2,00 - 2,50 m : Sable fin argileux café au lait
2,50 - 3,50 m : Argile sableuse verte et rousse
3,50 - 4,50 m : Sable fin ocre jaune meuble peu argileux
A_ : à 50 ra au nord de A,
. 0,00 - 0,50 ra : Limon sableux brun meuble
. 0,50 - 1,-50 m : Limon sableux plus argileux brun
1,50 - 3,00 m : Limon plus sableux puis sable argileux meuble ocre jaune
. 3,00 - 4,50 ra : Sable fin argileux ocre, horaogène assez huraide -
Annexe 1.2.1
An : à 50 ra perpendiculairement à A_
à 18 m du chemin et 20 m du bois
. 0,00 - 1,50 m : Limon argileux marron
. 1,50 - 3,00 m : Limon argileux marron légèrement huraide, peu sableux
. 3,00 - 4,50 ra : Sable vert argileux pâteux
4,50 - 7,50 ra : Sable vert argileux pâteux
. 7,50 - 9,00 m : Sable roux ocre, argileux fin
Annexe 1.2.1
An : à 50 ra perpendiculairement à A_
à 18 m du chemin et 20 m du bois
. 0,00 - 1,50 m : Limon argileux marron
. 1,50 - 3,00 m : Limon argileux marron légèrement huraide, peu sableux
. 3,00 - 4,50 ra : Sable vert argileux pâteux
4,50 - 7,50 ra : Sable vert argileux pâteux
. 7,50 - 9,00 m : Sable roux ocre, argileux fin
Annexe 1.3
Parcelle B (sous le cimetière)
B. à. B.- : parcelle de maïs de Monsieiu* DARRAS
B. : à 125 m de la route de PONT
à 20 m de la route du cimetière
. 0,00 - 0,50 m : Limon argileux marron avec quelques granules calcaires
. 0,50 - 1,00 m : Marne broyée crème à beige plus débris de calcaire
marneux
. 1,00 - 2,00 m : Mélange de calcaire marneux, gréseux et marne argileuse
. 2,00 - 2,30 ra : Marne blanche, calcaire marneux dur, résistant
Arrêt sur refus (dalle calcaire)
B_ : à 50 m au sud-est de B.
. 0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux brun et débris calcaires
. 0,50 - 1,00 m : Limon plus argileux brun avec débris calcaires marneux à
siliceux
. 1,00 - 2,80 m : Cailloutis calcaires siliceux
Calcaire siliceux gréseux rose beige
Résistance à 2 et 2,50 ra
Quelques passes de calcaires marneux plus tendres
Refus à 2,80 m
Annexe 1.3
Parcelle B (sous le cimetière)
B. à. B.- : parcelle de maïs de Monsieiu* DARRAS
B. : à 125 m de la route de PONT
à 20 m de la route du cimetière
. 0,00 - 0,50 m : Limon argileux marron avec quelques granules calcaires
. 0,50 - 1,00 m : Marne broyée crème à beige plus débris de calcaire
marneux
. 1,00 - 2,00 m : Mélange de calcaire marneux, gréseux et marne argileuse
. 2,00 - 2,30 ra : Marne blanche, calcaire marneux dur, résistant
Arrêt sur refus (dalle calcaire)
B_ : à 50 m au sud-est de B.
. 0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux brun et débris calcaires
. 0,50 - 1,00 m : Limon plus argileux brun avec débris calcaires marneux à
siliceux
. 1,00 - 2,80 m : Cailloutis calcaires siliceux
Calcaire siliceux gréseux rose beige
Résistance à 2 et 2,50 ra
Quelques passes de calcaires marneux plus tendres
Refus à 2,80 m
Annexe 1.3.1
B_ : à 50 m au sud-est de B-
0,00 - 2,00 m : Limon argileux brun un peu humide
Passée dure à 2,00 m
2,00 - 3,00 ra : Limon brun clair à débris calcaires
Marne argileuse crème à la base
3,00 - 3,80 ra : Calcaire siliceux gréseux très dur
Refus à 3,80 m
B. : à 50 ra au sud-est du B-4 J
0,00 - 1,50 m : Limon argileux brun
1,50 - 3,00 m : Limon argilo sableux brun légèrement humide, plus sableux
vers la base
3,00 - 4,50 m : Limon sableux brun avec cailloutis siliceux plus marne
argileuse brune
4,50 - 5,50 m : Niveau plus dur
Marne calcaro-sableuse beige crèrae avec rognons calcaires
Refus à 5,50 m
Annexe 1.3.1
B_ : à 50 m au sud-est de B-
0,00 - 2,00 m : Limon argileux brun un peu humide
Passée dure à 2,00 m
2,00 - 3,00 ra : Limon brun clair à débris calcaires
Marne argileuse crème à la base
3,00 - 3,80 ra : Calcaire siliceux gréseux très dur
Refus à 3,80 m
B. : à 50 ra au sud-est du B-4 J
0,00 - 1,50 m : Limon argileux brun
1,50 - 3,00 m : Limon argilo sableux brun légèrement humide, plus sableux
vers la base
3,00 - 4,50 m : Limon sableux brun avec cailloutis siliceux plus marne
argileuse brune
4,50 - 5,50 m : Niveau plus dur
Marne calcaro-sableuse beige crèrae avec rognons calcaires
Refus à 5,50 m
Annexe 1.3.2
B- : à 50 ra au sud-est de B.
0,00 - 0,50 ra : Liraon brun argileux raeuble
0,50 - 2,00 ra : Limon brun argileux meuble plus calcaire
2,00 - 4,50 m : Marne ocre beige collante avec cailloutis calcaires
compacte et humide
4,50 - 4,70 m : Marne calcaire beige crème
Calcaire marneux crème
Refus sur plaquette mameuse à 4^70 m
Bi, : à 42 ra au sud-est de B_, près de la clôture
. 0,00 - 3,00 m : Limon brun sablonneux plus argileux et plus roux à la
base
. 3,00 - 4,50 m : Limon sableux brun homogène
Argile sableuse calcaire
. 4,50 - 5,70 m : Marne crème granuleuse et cailloutis calcaires entre 5>2
et 5,7 m
Refus à 5,70 m
Annexe 1.3.2
B- : à 50 ra au sud-est de B.
0,00 - 0,50 ra : Liraon brun argileux raeuble
0,50 - 2,00 ra : Limon brun argileux meuble plus calcaire
2,00 - 4,50 m : Marne ocre beige collante avec cailloutis calcaires
compacte et humide
4,50 - 4,70 m : Marne calcaire beige crème
Calcaire marneux crème
Refus sur plaquette mameuse à 4^70 m
Bi, : à 42 ra au sud-est de B_, près de la clôture
. 0,00 - 3,00 m : Limon brun sablonneux plus argileux et plus roux à la
base
. 3,00 - 4,50 m : Limon sableux brun homogène
Argile sableuse calcaire
. 4,50 - 5,70 m : Marne crème granuleuse et cailloutis calcaires entre 5>2
et 5,7 m
Refus à 5,70 m
Annexe 1.3»3
B_ : à 10 m du carrefour (cote 100,4)profil perpendiculaire à B. à Bz
. 0,00 - 0,50 ra : Limon sablonneux brun noir, quelques cailloutis
. 0,50 - 1,00 ra : Sable limoneux brun
. 1,00 - 3,00 ra : id° puis marne sableuse brune avec cailloutis calcaires
. 3,00 - 4,00 m : Marne brune calcaire coriace
Arrêt volontaire
Bn : à 70 ra au sud-ouest de B_ (au droit des peupliers)
0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux brun meuble
0,50 - 1,00 ra : Limon plus argileux brun collant
1,00 - 3,00 ra : Marne argileuse brune, plus dure vers 2,70 ra
Marne beige crèrae et calcaire siliceux gris
Refus à 3,00 m
Bq : à 50 m au sud-ouest de B_ (près de B-)
0,00 - 0,50 ra : Limon sablonneux brun
0,50 - 1,50 ra : Limon plus argileux dur à 1,50 m (cailloutis)1,50 - 2,50 m : Limon argileux plus collant et cailloutis calcaires
2,50 - 3,00 m : Marne brune à débris calcaires
3,00 - 4,00 m : Marne brune avec calcaire granuleux
Refus à 4,00 m
Annexe 1.3»3
B_ : à 10 m du carrefour (cote 100,4)profil perpendiculaire à B. à Bz
. 0,00 - 0,50 ra : Limon sablonneux brun noir, quelques cailloutis
. 0,50 - 1,00 ra : Sable limoneux brun
. 1,00 - 3,00 ra : id° puis marne sableuse brune avec cailloutis calcaires
. 3,00 - 4,00 m : Marne brune calcaire coriace
Arrêt volontaire
Bn : à 70 ra au sud-ouest de B_ (au droit des peupliers)
0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux brun meuble
0,50 - 1,00 ra : Limon plus argileux brun collant
1,00 - 3,00 ra : Marne argileuse brune, plus dure vers 2,70 ra
Marne beige crèrae et calcaire siliceux gris
Refus à 3,00 m
Bq : à 50 m au sud-ouest de B_ (près de B-)
0,00 - 0,50 ra : Limon sablonneux brun
0,50 - 1,50 ra : Limon plus argileux dur à 1,50 m (cailloutis)1,50 - 2,50 m : Limon argileux plus collant et cailloutis calcaires
2,50 - 3,00 m : Marne brune à débris calcaires
3,00 - 4,00 m : Marne brune avec calcaire granuleux
Refus à 4,00 m
Annexe 1.3*4
B.^ : à 50 m au sud-ouest de B^
à 45 ni de la route
0,00 - 0,50 m : Limon sableux brun
0,50 - 1,50 ra : Limon sableux plus argileux et calcaire
1,50 - 3,00 m : Marne argileuse brune
3,00 - 3,70 m : id° plus calcaire siliceuse
Refus à 3,70 m
B.j : à 35 ni au sud-ouest de B.»
à 10 m de la route de PONT
. 0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux brun homogène meuble
. 0,50 - 3,00 ra : id°, sable limoneux à la base, beige foncé
. 3,00 - 4,50 m : Sable argileux brun avec morceaux de grès en plaquettes
4,50 - 6,00 ra : Sable argileux à argile sableuse bruneCailloutis calcaires et siliceux mélangés à de la marne
argileuse
Arrêt volontaire
Annexe 1.3*4
B.^ : à 50 m au sud-ouest de B^
à 45 ni de la route
0,00 - 0,50 m : Limon sableux brun
0,50 - 1,50 ra : Limon sableux plus argileux et calcaire
1,50 - 3,00 m : Marne argileuse brune
3,00 - 3,70 m : id° plus calcaire siliceuse
Refus à 3,70 m
B.j : à 35 ni au sud-ouest de B.»
à 10 m de la route de PONT
. 0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux brun homogène meuble
. 0,50 - 3,00 ra : id°, sable limoneux à la base, beige foncé
. 3,00 - 4,50 m : Sable argileux brun avec morceaux de grès en plaquettes
4,50 - 6,00 ra : Sable argileux à argile sableuse bruneCailloutis calcaires et siliceux mélangés à de la marne
argileuse
Arrêt volontaire
Annexe 1.3.5
Bj_ : à 60 ra de l'angle sud-ouest de la parcelle
(déchets végétaux) en face du panneau VILLERS
. 0,00 - 0,50 ra : Limon sablonneux brun meuble
. 0,50 - 1,00 m : Limon plus argileux brun
. 1,00 - 3,00 ra : id° de plus en plus sableux, fin et huraide
. 3,00 - 4,50 ra : Sable argileux huraide et raorceaux de grès
. 4,50 - 6,00 ra : Argile sableuse avec caillasses
Sable argileux roux à argile sableuse rousse compacte
. 6,00 - 6,50 m : Argile sableuse compacte
. 6,50 - 7,50 m : Marne crème beige à café au lait et granules de calcaire
Arrêt volontaire
Annexe 1.3.5
Bj_ : à 60 ra de l'angle sud-ouest de la parcelle
(déchets végétaux) en face du panneau VILLERS
. 0,00 - 0,50 ra : Limon sablonneux brun meuble
. 0,50 - 1,00 m : Limon plus argileux brun
. 1,00 - 3,00 ra : id° de plus en plus sableux, fin et huraide
. 3,00 - 4,50 ra : Sable argileux huraide et raorceaux de grès
. 4,50 - 6,00 ra : Argile sableuse avec caillasses
Sable argileux roux à argile sableuse rousse compacte
. 6,00 - 6,50 m : Argile sableuse compacte
. 6,50 - 7,50 m : Marne crème beige à café au lait et granules de calcaire
Arrêt volontaire
Annexe 1.4
Parcelle C (La Queue d' OGNON)
C. à C- : parcelle de maïs de Monsieur MENEZ
C. : à 10 m de la route près du pont du fossé
0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux raeuble brun plus argileux à la base
0,50 - 7,50 m : Liraon de plus en plus argileux brun, horaogène, humide
7,50 - 10,50 m : id° gorgé d'eau (dans la nappe phréatique)10,50 - 11,50 m : Sable gris verdâtre compact
Arrêt volontaire
C_ : à 100 m à l'ouest du C.
0,00 - 0,30 m : Limon calcaire
0,30 - 1,00 m : Calcaire beige sableux gruneleux
1,00 - 3,00 ra : Sable calcaire meuble beige
Arrêt volontaire
C_ : à 100 ra à l'ouest du C^
0,00 - 0,30 m : Terre végétale limoneuse
0,30 - 0,50 m : Calcaire crème beige tendre
0,50 - 1,00 m : Limon argileux
1,00 - 1,50 m : Sable calcaije sec avec cailloutis siliceux
Refus à 1,50 m
Annexe 1.4
Parcelle C (La Queue d' OGNON)
C. à C- : parcelle de maïs de Monsieur MENEZ
C. : à 10 m de la route près du pont du fossé
0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux raeuble brun plus argileux à la base
0,50 - 7,50 m : Liraon de plus en plus argileux brun, horaogène, humide
7,50 - 10,50 m : id° gorgé d'eau (dans la nappe phréatique)10,50 - 11,50 m : Sable gris verdâtre compact
Arrêt volontaire
C_ : à 100 m à l'ouest du C.
0,00 - 0,30 m : Limon calcaire
0,30 - 1,00 m : Calcaire beige sableux gruneleux
1,00 - 3,00 ra : Sable calcaire meuble beige
Arrêt volontaire
C_ : à 100 ra à l'ouest du C^
0,00 - 0,30 m : Terre végétale limoneuse
0,30 - 0,50 m : Calcaire crème beige tendre
0,50 - 1,00 m : Limon argileux
1,00 - 1,50 m : Sable calcaije sec avec cailloutis siliceux
Refus à 1,50 m
Annexe 1.4.1
C. : au droit du C- à 50 m au sud4 3
0,00 - 0,50 m : Liraon sablonneux brun meuble
0,50 - 3,50 ra : Limon argileux brun compact un peu humide
3,50 - 6,00 m : Sable calcaire très fin gorgé d'eau
Eau à 4 m - Arrêt volontaire
C- : à 100 m à l'est du C.5 4
à 75 ni de la route
0,00 - 0,50 ra : Limon sablonneux, brun raeuble
0,50 - 3,00 ra : Liraon argileux brun légèreraent humide
Arrêt volontaire
Annexe 1.4.1
C. : au droit du C- à 50 m au sud4 3
0,00 - 0,50 m : Liraon sablonneux brun meuble
0,50 - 3,50 ra : Limon argileux brun compact un peu humide
3,50 - 6,00 m : Sable calcaire très fin gorgé d'eau
Eau à 4 m - Arrêt volontaire
C- : à 100 m à l'est du C.5 4
à 75 ni de la route
0,00 - 0,50 ra : Limon sablonneux, brun raeuble
0,50 - 3,00 ra : Liraon argileux brun légèreraent humide
Arrêt volontaire
Annexe 1.5
Parcelle D (derrière le Parc)
D. à D- : parcelle de blé de Monsieur MENEZ
D. : Bord de la route à 65 m au sud-ouest du ru
0,00 - 0,50 ra : Limon sableux fin beige café au lait meuble
0,50 - 1,50 m : Sable fin limoneux meuble
1,50 - 3,00 m : id° plus argileux à la base
3,00 - 6,00 m : Sable fin limoneux humide beige
Arrêt volontaire
D_ : à 50 m au sud du D.
0,00 - 0,50 m : Liraon sablonneux ocre roux meuble
0,50 - 2,00 ra : Limon sableux meuble brun
2,00 - 4,50 m : Limon sableux argileux brun humide
Arrêt volontaire
Annexe 1.5
Parcelle D (derrière le Parc)
D. à D- : parcelle de blé de Monsieur MENEZ
D. : Bord de la route à 65 m au sud-ouest du ru
0,00 - 0,50 ra : Limon sableux fin beige café au lait meuble
0,50 - 1,50 m : Sable fin limoneux meuble
1,50 - 3,00 m : id° plus argileux à la base
3,00 - 6,00 m : Sable fin limoneux humide beige
Arrêt volontaire
D_ : à 50 m au sud du D.
0,00 - 0,50 m : Liraon sablonneux ocre roux meuble
0,50 - 2,00 ra : Limon sableux meuble brun
2,00 - 4,50 m : Limon sableux argileux brun humide
Arrêt volontaire
Annexe 1.5.1
D. : à 90 m du D-, près de la digue
0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux raeuble
0,50 - 3,00 m : id° plus argileux brun, humide compact
. 3,00 - 7,50 ra : Sable argileux horaogène beige à brun humide
Eau à 6 m
. 7,50 - 11,50 m : Sable argileux jaunâtre grossier par endroits
Arrêt volontaire
D. : à 32 m à l'ouest du D_4 ^
à 5 ra de la route
0,00 - 0,50 m : Limon calcaire beige
0,50 - 1,50 m : Calcaire marneux poudreux altéré sec
1,50 - 3,00 m : Calcaire marneux beige
Arrêt volontaire
D_ : à 45 m à l'est du D» (près du fossé)
0,00 - 0,50 m : Liraon sablonneux brun meuble
0,50 - 3,00 ra : Limon de plus en plus argileux brun
Eau vers 4 m
3,00 - 7,50 ra : Liraon argileux gorgé d'eau
Sable beige grossier calcaire
Arrêt volontaire
Annexe 1.5.1
D. : à 90 m du D-, près de la digue
0,00 - 0,50 m : Limon sablonneux raeuble
0,50 - 3,00 m : id° plus argileux brun, humide compact
. 3,00 - 7,50 ra : Sable argileux horaogène beige à brun humide
Eau à 6 m
. 7,50 - 11,50 m : Sable argileux jaunâtre grossier par endroits
Arrêt volontaire
D. : à 32 m à l'ouest du D_4 ^
à 5 ra de la route
0,00 - 0,50 m : Limon calcaire beige
0,50 - 1,50 m : Calcaire marneux poudreux altéré sec
1,50 - 3,00 m : Calcaire marneux beige
Arrêt volontaire
D_ : à 45 m à l'est du D» (près du fossé)
0,00 - 0,50 m : Liraon sablonneux brun meuble
0,50 - 3,00 ra : Limon de plus en plus argileux brun
Eau vers 4 m
3,00 - 7,50 ra : Liraon argileux gorgé d'eau
Sable beige grossier calcaire
Arrêt volontaire