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groupe 361 Brand Asset Management DIGINEWS#18 L’ACTU DU DIGITAL POUR LES ENTREPRISES PAR GROUPE 361 DOSSIER DU MOIS 2016 : L’ANNÉE POUR DEVENIR MOBILE-FIRST ? Après le bilan sur l’année Internet, la 13e édition du Baromètre Trimestriel du Marketing Mobile réalisée par Médiamétrie dévoile les chiffres clés du mobile en France. Décryptage. UNE ANNÉE CHARNIÈRE En 2015, le mobile s’est définitivement installé au coeur de la vie connectée d’une majorité de Français. 20 millions de smartphones ont été vendus en 2015 en France, c’est 2 millions de plus que l’année précédente. Aujourd’hui, 61,4 % des Français sont des mobinautes. Plus de 2 mobinautes sur 3 sont des utilisateurs réguliers d’Internet, 84 % d’entre eux s’en servent quasi quotidiennement. L’accès au haut début mobile est le moteur de l’ancrage de ces nouveaux modes de consommation. Désormais, 43 % des mobinautes sont équipés de téléphones 4G. Cela représente 18 millions de personnes et tout autant de consommateurs. L’IMPACT SUR L’E-COMMERCE La démocratisation du shopping sur les terminaux mobiles poursuit sa croissance. Le commerce digital connaît un bon de 26 % en 2015. Parmi les acheteurs en ligne, 37 % ont réalisé au moins un achat sur mobile en 2015. La barre symbolique de 50 % des ouvertures d’e-mail sur mobile a été franchie en décembre 2015. Un chiffre qui conduit naturellement à une augmentation du nombre de visites de sites, de paniers d’achats en ligne et de commandes. LES TABLETTES À LA TRAÎNE Les ventes de tablettes se sont tassées en 2015, contrairement aux montres connectées qui se sont écoulées à plus de 800 000 unités, notamment grâce au lancement de l’Apple Watch au mois d’avril. Les tablettes, de leur côté, affichent une baisse de 19% de la part de trafic et 10 % de chute des commandes en ligne. L’augmentation de la taille des écrans de smartphones a de fait limité la pertinence et l’utilité des tablettes. QUELLES PERSPECTIVES POUR 2016 ? D’après les auteurs de l’étude : “Le mobile va littéralement transformer nos modes de vie en 2016 avec une consommation de la plupart des contenus et services exclusivement en mobilité, la gestion via mobile d’un nombre d’objets communicants et de nouvelles habitudes d’achats véritablement mobile-first.” Pour les marques, l’adoption d’une stratégie mobile n’est plus une option, elle est devenue indispensable. Les efforts de personnalisation et d’amélioration de l’expérience client doivent donc se poursuivre voire s’accélérer pour rester dans la course. À retenir : • 61,4 % des Français sont des mobinautes. Parmi eux, 2 sur 3 utilisent leur smartphone pour accéder à Internet. • Plus d’un e-mail sur 2 est désormais ouvert sur mobile, l’impact sur l’e-commerce est réel. • Parmi les acheteurs en ligne, 37 % ont réalisé au moins un achat sur mobile en 2015. • Face à l’arrivée sur le marché des montres connectées, les ventes de tablettes ont chuté. Source : http://blog.groupe361.com/20160325-2016-mobile-chiffres/#!prettyPhoto

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DOSSIER DU MOIS

2016 : L’ANNÉE POUR DEVENIRMOBILE-FIRST ?

Après le bilan sur l’année Internet, la 13e édition du Baromètre Trimestriel du Marketing Mobile réalisée par Médiamétrie dévoile les chiffres clés du mobile en France. Décryptage.

UNE ANNÉE CHARNIÈRE

En 2015, le mobile s’est définitivement installé au coeur de la vie connectée d’une majorité de Français.

20 millions de smartphones ont été vendus en 2015 en France, c’est 2 millions de plus que l’année précédente. Aujourd’hui, 61,4 % des Français sont des mobinautes.

Plus de 2 mobinautes sur 3 sont des utilisateurs réguliers d’Internet, 84 % d’entre eux s’en servent quasi quotidiennement. L’accès au haut début mobile est le moteur de l’ancrage de ces nouveaux modes de consommation. Désormais, 43 % des mobinautes sont équipés de téléphones 4G. Cela représente 18 millions de personnes et tout autant de consommateurs.

L’IMPACT SUR L’E-COMMERCE

La démocratisation du shopping sur les terminaux mobiles poursuit sa croissance. Le commerce digital connaît un bon de 26 % en 2015. Parmi les acheteurs en ligne, 37 % ont réalisé au moins un achat sur mobile en 2015.

La barre symbolique de 50 % des ouvertures

d’e-mail sur mobile a été franchie en décembre 2015. Un chiffre qui conduit naturellement à une augmentation du nombre de visites de sites, de paniers d’achats en ligne et de commandes.

LES TABLETTES À LA TRAÎNE

Les ventes de tablettes se sont tassées en 2015, contrairement aux montres connectées qui se sont écoulées à plus de 800 000 unités, notamment grâce au lancement de l’Apple Watch au mois d’avril.

Les tablettes, de leur côté, affichent une baisse de 19% de la part de trafic et 10 % de chute des commandes en ligne. L’augmentation de la taille des écrans de smartphones a de fait limité la pertinence et l’utilité des tablettes.

QUELLES PERSPECTIVES POUR 2016 ?

D’après les auteurs de l’étude : “Le mobile va littéralement transformer nos modes de vie en 2016 avec une consommation de la plupart des contenus et services exclusivement en mobilité, la gestion via mobile d’un nombre d’objets communicants et de nouvelles habitudes d’achats véritablement mobile-first.”

Pour les marques, l’adoption d’une stratégie mobile n’est plus une option, elle est devenue indispensable. Les efforts de personnalisation et d’amélioration de l’expérience client doivent donc se poursuivre voire s’accélérer pour rester dans la course.

À retenir :

• 61,4 % des Français sont des mobinautes. Parmi eux, 2 sur 3 utilisent leur smartphone pour accéder à Internet.

• Plus d’un e-mail sur 2 est désormais ouvert sur mobile, l’impact sur l’e-commerce est réel.

• Parmi les acheteurs en ligne, 37 % ont réalisé au moins un achat sur mobile en 2015.

• Face à l’arrivée sur le marché des montres connectées, les ventes de tablettes ont chuté.

Source : http://blog.groupe361.com/20160325-2016-mobile-chiffres/#!prettyPhoto

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AILLEURS SUR LE WEB

LE MARKETING EST MORT. VIVE LE DATA-DRIVEN MARKETING !

Ce flux continu de datas est aujourd’hui le fuel du marketing et alimente au jour le jour les banques de données des nouveaux marketeurs. Cela remet en cause le traditionnel marketing au profit du très prometteur «data-driven marketing» : le marketing piloté par les données. La Harvard Business Revue titrait d’ailleurs en juin 2015 : « Oubliez tout ce que vous avez appris sur le marketing !»

Car les consommateurs, de plus en plus connectés, laissent de nombreuses traces sur les réseaux sociaux, sur le web ou via les objets connectés. Chaque requête effectuée sur Google représente l’opportunité de se rapprocher au plus près des attentes de son émetteur, voire de faire dans le prédictif. Par exemple, en exploitant les termes de recherche des datas Google, on est désormais capable de détecter la propagation de la grippe plus vite et avec plus de fiabilité que les sources officielles.

Le fameux «Big data» – qui tend à devenir un «no data» tellement le flux de données émises est colossal – est délaissé au profit du «Smart data» consistant à ne retenir que les données intelligentes, qualitatives et exploitables. L’objectif est de donner une dimension humaine aux analyses afin de créer de la valeur ajoutée à partir des données récoltées. Les études traditionnelles sont donc devenues obsolètes : trop figées, pas assez agiles, peu représentatives…

Elles sont désormais remplacées par l’étude en temps réel de l’ensemble des datas. Chaque requête, chaque comportement sont pris en compte. On est ainsi passé en peu de temps de l’exploitation de données déclaratives de petits échantillons à des données comportementales issues de milliers de consommateurs . L’analyse et l’exploitation de ces datas pertinentes permettraient aux entreprises d’accroitre leurs ventes jusqu’à 20 % (**).

Concrètement, en quoi consiste le data-driven marketing ?

Le data-driven marketing consiste à exploiter les données utiles (smart data) créées par les consommateurs afin d’élaborer des stratégies marketing sur-mesure. Conversations, avis et recommandations, clics et historiques de navigation d’un internaute, temps passé sur une page web, nombre de secondes visionnées sur une vidéo, requêtes dans les moteurs de recherche… mais aussi tout ce qui est aujourd’hui capté grâce aux objets connectés (2 milliards de ventes prévues en France entre 2015 et 2020 [***]).

La «smart home» (thermostats, ampoules connectées, systèmes de surveillance, etc.), les wearables (montres et bracelets d’activité) ou encore les domaines très prometteurs de la santé ou de l’automobile représentent un vivier titanesque de datas dont les annonceurs ne devraient pouvoir se passer. Une fois ces données collectées, il s’agit de les interpréter pour comprendre les comportements, les usages et les attentes des consommateurs.

Le lancement d’une stratégie marketing n’est donc plus exclusivement basé sur l’intuition et les connaissances «classiques» des marchés, mais bel et bien sur l’étude en temps réel des conversations et des comportements : ce que disent les consommateurs sur les réseaux sociaux, ce qui se dit sur la marque ou sur un sujet donné, ce que recherchent les internautes.Et ça tombe bien, car les consommateurs laissent une quantité innombrable de données sur le web. Les marchés sont ainsi devenus des conversations, et il suffit de tendre l’oreille et d’aller écouter à la bonne porte pour savoir ce qu’ils attendent. Ces informations sont précieuses pour faire émerger des tendances, définir une cible ou choisir un ton : à qui s’adresse-t-on ? De quelle manière ? Pour leur raconter quoi ?

Comment mettre en place une stratégie marketing pilotée par la data ?

Un storytelling performant trouvera toujours son origine dans l’étude des conversations en temps réel. Pour cela, il est important de réaliser tout un travail en amont d’écoute, de veille, d’interprétation et d’analyse de ce qui se dit sur un sujet donné, en fonction des problématiques de la marque. La stratégie qui en découlera n’en sera que plus juste.

À titre d’exemple, un laboratoire pharmaceutique a récemment souhaité communiquer sur la pilule contraceptive. Afin de savoir à qui s’adresser, sur quel support et avec quel discours, une étude approfondie des conversations a été menée, permettant de mettre en lumière des éléments essentiels pour la mise en œuvre du dispositif digital.L’un d’entre eux, et non des moindres, a permis de révéler une réelle tendance : entre les blogs, les forums ou les réseaux sociaux, les idées reçues sur la pilule et sur la contraception sont légion. De ce constat en a découlé une opération marketing digitale répondant aux nombreux verbatims commençant par : «Il paraît que la pilule…».Cette campagne a permis de répondre aux attentes des internautes en leur fournissant des informations sur la pilule et en mettant fin aux nombreuses idées reçues qui avaient été recensées sur le web. C’est en ça que le data-driven marketing est intéressant : il permet de s’appuyer sur les données existantes pour élaborer une stratégie marketing, qui elle-même finira par se transformer en datas pour les campagnes suivantes, et ainsi de suite.

C’est un réel cercle vertueux, auquel les décideurs souscrivent à en croire les résultats d’une étude Capgemini/EMC : en effet, 61 % des entreprises reconnaissent que la data est devenue un moteur de croissance à part entière, et 54 % prévoient d’investir dans la data dans les 3 prochaines années.

Le data-driven transforme notre façon d’appréhender la pensée stratégique et marketing. Mais le plus impressionnant reste à venir. Avec le développement de solutions toujours plus performantes d’intelligence artificielle, le data-driven marketing va entrer dans une nouvelle ère encore plus extraordinaire : celle du marketing prédictif qui permettra, dans un avenir proche, d’anticiper des phénomènes de consommation et sociétaux jusqu’alors inimaginables avec un niveau de fiabilité sans précédent.

(*) C’est ce qu’estimait Stephen Gold d’IBM lors d’une présentation au Webcom de Montréal en 2012. (**) Donnée IBM (***) Institut Français GfK

Philippe MauchampPrésident Groupe 361

Source : http://bit.ly/25AP2md

« 90 % de l’ensemble des données du monde ont été créés ces deux dernières années (*) ».Un chiffre impressionnant qui représente une opportunité sans précédent pour les entreprises.

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ACTUALITÉ

La tendance des avis clients bouleverse les habitudes de consommation des Français dans de nombreux domaines : achats en ligne, organisation des vacances, choix d’un film à aller voir… Ces évaluations, publiées par et pour les internautes, n’épargnent pas la santé et ses professionnels. En effet, les plateformes telles que NoteTonDoc regorgent de ces avis patients, qui influencent tous l’e-réputation des dentistes, kinésithérapeutes et autres gynécologues.

Comment se forment ces avis patients ? Quelles sont les spécialités les mieux notées ? Quels sont les ingrédients pour un bon avis patient ? Grâce à notre outil de veille Opinion Tracker, nous avons cherché les réponses à ces questions, et vous les proposons aujourd’hui dans l’infographie ci-dessous !Pour plus de détails, n’hésitez pas à consulter notre article dédié : « E-réputation des professionnels de santé : quand les avis clients deviennent des avis patients ».

Source :

http://opinion-tracker.fr/20160301-infographie-avis-patients/

INFOGRAPHIE : DES AVIS CLIENTS AUX AVIS PATIENTS

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ACTUALITÉ

GOOGLE MY BUSINESS : STRATÉGIE GLOBALE, GESTION LOCALE

STRATÉGIE GLOBALE, GESTION LOCALE

97 % des internautes utilisent la recherche en ligne pour trouver des établissements à proximité. Pour une chaîne de magasins ou un réseau d’agences qui disposent de plusieurs établissements, la gestion des différentes entités peut être un véritable casse-tête. À moins d’adopter une stratégie basée sur Google My Business.

Julien Monzilli, Traffic manager chez Groupe 361 indique : “Google My Business est très intéressant pour le secteur du retail. Il s’agit d’une bonne stratégie pour une gestion de l’image de marque unifiée en local. L’impact sur le trafic online et offline peut également être très intéressant.”

Lors d’une recherche, la page locale sera mise en avant sur la droite avec l’ensemble des informations utiles.

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ACTUALITÉ

COMBINER LES SERVICES DU GÉANT GOOGLE

En effet, Google My Business permet d’ajouter et de gérer plusieurs adresses d’établissements étant rattachées à une seule et même organisation.

Avec des techniques de référencement, il est possible d’optimiser les fiches de commerces locaux pour être trouvé plus facilement. Ce service peut également être utile pour déléguer localement la gestion de la page, afin d’ajouter des opérations spéciales ou répondre aux avis clients par exemple.

En effet, 83 % des consommateurs dans le monde déclarent faire confiance aux médias viraux tels

que le bouche-à-oreille, les recommandations de la famille ou des amis, plus qu’à toute autre forme de communication.

L’objectif : combiner les avantages de Google Maps, Google et Google + pour donner aux internautes un maximum d’informations pratiques et utiles pour le commerce proche de chez eux : adresse avec Google Maps, coordonnées de contacts, horaires d’ouverture, lien vers le site web, moyens de paiements ou encore photos du lieu.

Source :http://blog.groupe361.com/20160218-google-my-business/

ACTUALITÉ

JAMAIS SANS SON SMARTPHONE

À moins de ne pas avoir d’accès à Internet par manque de couverture ou de data, aucune raison de ne pas consulter son fil d’actualité !

Facebook n’enregistre aucune baisse de connexions l’été. 61 % des utilisateurs qui se connectent à Facebook pendant la période estivale le font à partir d’un mobile. Pour cause, 17 millions d’utilisateurs mobiles en France utilisent directement l’application Facebook sur leur smartphone.

Les twittos français sont encore plus exigeants quant à la présence d’Internet sur leur lieu de vacances. Comparé à la moyenne des internautes français, les utilisateurs de Twitter se connectent bien plus à Internet pendant leurs vacances. Ils sont 74 % à estimer que la présence d’Internet est importante sur leur lieu de vacances et 41 % s’y connectent plusieurs fois par jour (contre respectivement 53 % et 24 % pour

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ACTUALITÉ

À moins de ne pas avoir d’accès à Internet par manque de couverture ou de data, aucune raison de ne pas consulter son fil d’actualité !

Facebook n’enregistre aucune baisse de connexions l’été. 61 % des utilisateurs qui se connectent à Facebook pendant la période estivale le font à partir d’un mobile. Pour cause, 17 millions d’utilisateurs mobiles en France utilisent directement l’application Facebook sur leur smartphone.

Les twittos français sont encore plus exigeants quant à la présence d’Internet sur leur lieu de vacances. Comparé à la moyenne des internautes français, les utilisateurs de Twitter se connectent bien plus à Internet pendant leurs vacances. Ils sont 74 % à estimer que la présence d’Internet est importante sur leur lieu de vacances et 41 % s’y connectent plu-sieurs fois par jour (contre respectivement 53 % et 24 % pour la moyenne des internautes français).

PARTAGER SON EXPÉRIENCE

S’il y a bien une période de l’année où on a envie de partager ses aventures, c’est durant les vacances. 4,4 milliards de contenus sont publiés dans le monde sur Facebook pendant l’été, c’est-à-dire 361 millions

de publications par jour. 59 % du contenu posté sur Facebook pendant l’été l’est à partir d’un mobile. Sur Twitter, 78 % des utilisateurs se connectent pour rester en contact avec leurs proches, amis et famille.

L’été est la saison où l’on poste le plus sur Face-book : 1,2 fois plus qu’au printemps, en automne ou en hiver. 1,7 fois plus de publications de photos que de mises à jour de statuts pendant l’été. Le paysage, le barbecue ou la plage : soyons visuels !

À retenir :

• Grâce aux appareils mobiles, la fréquentation sur les réseaux sociaux, Facebook, Twitter & Instagram, ne chute pas durant la période estivale.

• Les utilisateurs partagent plus de contenus que le reste de l’année.

• Pour les marques, le rythme de publication doit rester soutenu afin de saisir cette opportunité.

Source : http://bit.ly/1RzFsdg

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FOCUS

E-LEARNING : LE FUTUR DE LA FORMATION EN ENTREPRISE ?

Où en sont les entreprises concernant le e-learning ? Le Benchmark européen du digital learning mené auprès de 114 responsables formation donne un éclairage sur cette nouvelle façon d’apprendre.

UN VÉRITABLE ENGOUEMENT

Au sein des entreprises, les dispositifs de digital learning sont devenus essentiels pour s’adapter aux évolutions du marché et à son environnement. Pour 63 % des entreprises, le digital learning est un support majeur pour la performance de ses collaborateurs et ce au quotidien. Les bénéfices sont reconnus :

� Agilité des collaborateurs pour faire face au changement (68%)v� Amélioration du support à la performance opérationnelle (46%)� Aide à la performance digitale de l’entreprise (46%)

Le digital learning constitue également une réponse rapide aux évolutions auxquelles les entreprises doivent se soumettre. Il est en effet plus aisé de former un grand nombre de salariés par le biais de dispositifs digitaux

adaptés. De plus, le e-learning répond à des objectifs de rationalisation et d’optimisation des coûts associés.

Régis Guillermin, spécialiste e-learning chez Groupe 361 ajoute : « Le digital learning (notamment dans sa forme hyper-gamifiée qu’est le serious game) permet un changement comportemental dans le rapport à la formation : de passif je deviens actif. L’apprenant expérimente, lutte avec lui-même, se trompe et fini par dépasser les challenges qui lui sont proposés, comme dans un jeu, avec à la clé, le bonus d’avoir appris, progressé…

Dans la forme (aspect visuel, ludification) et dans le fond( volume et qualité du contenu diffusé,flexibilité et individualisation du temps de formation), le e-learning est la réponse à la fois à la crise de motivation des apprenants et à la problématique d’organisation des services de formation. »

ENTRE AMBITION ET

CONCRÉTISATION

À l’horizon 2017, 66 % des entreprises auront proposé à leurs salariés des formations en e-learning. Cette part ne cesse de croître. Pour rappel, en 2011, seuls 37 % des entreprises prévoyaient de former plus de la moitié de leurs effectifs via un dispositif de e-learning à l’horizon 2013. Entre les ambitions et la concrétisation, l’écart se creuse puisqu’en 2014 seuls 36 % déclaraient l’avoir fait.

PUBLICS DIFFÉRENTS, FORMAT

E-LEARNING SIMILAIRE

Formation métier, conformité r é g l e me nt a i r e ou e nco re leadership, aujourd’hui, tous les publics sont concernés par les offres de formations en e-learning.

La force de vente est le public qui reçoit le plus de formations via le e-learning. Celui-ci répond particulièrement aux besoins de cette population de l’entreprise en alliant rapidité de déploiement et formation de tous les vendeurs sur des sites différents en parallèle. Le deuxième public le plus visé par la formation est constitué des nouveaux arrivés. Les managers arrivent en 3e position.

Le e-learning a un bel avenir devant lui ! Le Benchmark souligne que 8 entreprises sur 10 sont engagées dans une stratégie de digital learning et comptent aller toujours plus loin dans la recherche d’agilité et de réponses proactives aux besoins de formation et d’accompagnement des collaborateurs : affaire à suivre !

Pour en savoir plus, retrouvez l’article de Philippe Mauchamp sur le Cercle :

Présentiel, blended learning, serious games… Où en sont les entreprises dans la formation de leurs salariés ?

Source :

ht tp: //b log.groupe361.com/20160225e-learning-benchmark/#!prettyPhoto