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SOMMAIRE

Organisez votre visite Page 3

Liens avec les programmes scolaires Page 5

Informations pratiques Page 9

Pour une visite sereine... Page 9

Découvrez l’exposition Un potager de plâtre Page 10

Quelques questions que vos élèves poseront probablement... Page 14

Le Muséum, c'est aussi… Page 16

Partenaires de l’exposition Page 17

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ORGANISEZ VOTRE VISITEVisite libre de l’exposition : visite en autonomie avec support pédagogique adapté au niveau des élèves.

Visite libre de l’exposition (Petits)

Niveau : Cycle 1 + CP Effectif : 1 classe Durée : 45 min.

Objectifs : • Se familiariser avec l'univers muséal et les spécimens présentés• Développer son sens de l'observation et de la discrimination• Acquérir un vocabulaire spécifique

Déroulement : Cette activité permet de découvrir l'exposition en autonomie à travers des jeux d'observation adaptés aux plus jeunes.Dans chaque salle, les enfants rechercheront un ou plusieurs spécimens ou objets à partir d'une image ou d'un fragment d'image, ils repéreront les anomalies et bien d'autres jeux encore...

Ce jeu est en autonomie dans l'exposition.

Visite libre de l’exposition (Grands)

Niveau : CE + Cycle 3 Effectif : 1 classe Durée : 45 min.

Objectifs : • Se repérer dans l’espace • Développer son sens de l’observation et de la déduction • Découvrir l'exposition de manière approfondie, en autonomie, par le jeu• Devenir acteur de son apprentissage

Déroulement : Cette activité permet de découvrir de manière ludique les différentes salles et thèmes de l’exposition.Pour chaque salle, un jeu original amènera les enfants à s'intéresser au contenu de l'exposition.

Ce jeu est en autonomie dans l'exposition.

Traces pour l'élève : Le carnet de jeu fourni

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Activité pédagogique liée à l’exposition : 2 ateliers encadrés pour approfondir le sujet.

A vos fourneaux !Niveau : Cycles 1, 2 Effectif : 1 classe Durée : 45 min.

Objectifs : • Approfondir sa culture culinaire• Connaître les techniques de base de la cuisine des légumes

Déroulement : Avec en main une recette et un panier, les enfants vont devoir se procurer les légumes et préparer sans se tromper un plat traditionnel.Peut-on utiliser tels quels les produits ? Quelles transformations apporter ? Quels ustensiles utiliser ? Quelles sont les étapes de la fabrication ?Un vrai défi ! Et pour les plus grands : Comment conserver les produits qui n'ont pas été utilisés ? Quels sont les apports diététiques de ces aliments ? Les légumes sont-ils de saison ? D'où proviennent-ils ?Une initiation à la cuisine et une découverte du patrimoine végétal des jardins.

Traces pour la classe :

Les recettes employées

Prolongement possible :

Enquête sur les modes de consommation des légumes à la maison.

A vos pinceaux !Niveau : Cycle 3 Effectif : 1 classe Durée : 45 min.

Objectifs : • Connaître les légumes dans leurs formes et leur diversité• Développer ses compétences artistiques• Approfondir ses connaissances en histoire de l'art

Déroulement : Jouant les artistes peintres, les enfants disposent d'une palette de formes et de couleurs très particulière : des légumes !A la manière d'Arcimboldo, ils vont devoir construire un portrait à l'aide de pochoirs en choisissant le légume le plus judicieux pour chaque zone du visage.L'œuvre peut éventuellement devenir un masque.

Une approche artistique qui permet de développer le sens de l'observation et les connaissances de base sur la diversité des variétés maraîchères.

Traces pour la classe :

Les œuvres réalisées.

Prolongement possible :

En savoir plus sur Archimboldo et le maniérisme.Les légumes dans la peinture (natures mortes...)

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Liens avec les programmes scolairesMATERNELLE

Découvrir le mondeÀ l’école maternelle, l’enfant découvre le monde proche […]. Il devient capable de compter, de classer, d’ordonner et de décrire, grâce au langage et à des formes variées de représentation (dessins, schémas). Il commence à comprendre ce qui distingue le vivant du non-vivant (matière, objets).

Découvrir le vivant • Les différentes manifestations de la vie (élevages et plantations constituent un moyen privilégié de découvrir le cycle que constituent la naissance, la croissance, la reproduction, le vieillissement, la mort) ;• Les parties du corps et les cinq sens (leurs caractéristiques et leurs fonctions) ;• Hygiène et santé, notamment nutrition (les règles élémentaires de l’hygiène du corps) ;• Sensibilisation aux problèmes de l’environnement.

Percevoir, sentir, imaginer, créer • Sensibilisation artistique (activités visuelles et tactiles, auditives et vocales) ;• Familiarisation avec les formes d’expression artistique les plus variées (le dessin et les compositions plastiques (fabrication d’objets) sont les moyens d’expression privilégiés) ;• Expérimentation de divers instruments, supports et procédés du dessin (utilisation et réalisation des images et des objets de natures variées à l'aide de peinture, papiers collés, collage en relief, assemblage, modelage...).

Pratiques artistiques et histoire des arts La sensibilité artistique et les capacités d’expression des élèves sont développées par les pratiques artistiques, mais également par des références culturelles liées à l’histoire des arts.Ces activités s’accompagnent de l’usage d’un vocabulaire précis qui permet aux élèves d’exprimer leurs sensations, leurs émotions, leurs préférences et leurs goûts. Un premier contact avec des œuvres les conduit à observer, écouter, décrire et comparer.

Arts visuelsLes arts visuels regroupent les arts plastiques, le cinéma, la photographie, le design, les arts numériques. Leur enseignement s’appuie sur une pratique régulière et diversifiée de l’expression plastique, du dessin et la réalisation d’images fixes ou mobiles. Il mobilise des techniques traditionnelles (peinture, dessin) ou plus contemporaines (photographie numérique, cinéma, vidéo, infographie) et propose des procédures simples mais combinées (recouvrement, tracés, collage/montage). Ces pratiques s’exercent autant en surface qu’en volume à partir d’instruments, de gestes techniques, de médiums et de supports variés. Les élèves sont conduits à exprimer ce

qu’ils perçoivent, à imaginer et évoquer leurs projets et leurs réalisations en utilisant un vocabulaire approprié.

Pour en savoir plus : http://cache.media.eduscol.education.fr/file/ HDA/8 3/3/College_Ressources_HDA_128833.pdf

CYCLE DES APPRENTISSAGES FONDAMENTAUX (cycle 2)

Découverte du monde

Se repérer dans l'espace et le temps : "évolution des modes de vie"• Comparer les objets de la vie quotidienne à l’époque

de ses grands-parents et aujourd’hui (CP) ;• Comparer l’évolution de l’habitat, des métiers et de la

vie des écoliers depuis le début du 20° siècle (CE1).

Découvrir le monde du vivant, de la matière et des objetsDécouvrir le monde du vivant : Les caractéristiques du vivant• Découvrir ce qui caractérise le vivant (naître, se

nourrir, grandir, se reproduire, mourir) ;• Identifier et classer différentes relations alimentaires

(un végétal mangé par un animal, un animal mangé par un autre animal) ;

• Prendre conscience des besoins vitaux de quelques végétaux ;

• Prendre conscience que les animaux dépendent des plantes pour se nourrir ;

• Observer le développement de quelques végétaux, de la graine au fruit à travers la pratique de plantations ;

• Interactions entre les êtres vivants et leur environnement ;

• À partir d’un milieu proche (cour de l’école, jardin, forêt, mare...) : identifier quelques êtres vivants qui le peuplent ;

• Observer quelques relations alimentaires entre êtres vivants ;

• Respect de l’environnement ; • Savoir que respecter les êtres vivants passe par le

respect de l’environnement dans lequel ils vivent.

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CYCLE DES APPROFONDISSEMENTS (cycle 3)

Sciences expérimentales et technologie L’unité et la diversité du vivant• Recherche de différences entre espèces vivantes ;• Recherche de points communs entre espèces vivantes ;• Interprétation de ressemblances et différences en termes de parenté.

Le fonctionnement du vivant• Stades du développement d’un être vivant (végétal ou animal) ;• Conditions de développement des végétaux et des animaux ;• Modes de reproduction des êtres vivants.

Le fonctionnement du corps humain et la santé• Approche des fonctions de nutrition : digestion, respiration et circulation sanguine ;• Hygiène et santé : actions bénéfiques ou nocives de nos comportements, notamment dans le domaine du sport, de l'alimentation, du sommeil.

Les êtres vivants dans leur environnement• Adaptation des êtres vivants aux conditions du milieu ;• L’évolution d’un environnement géré par l’Homme : la forêt ; importance de la biodiversité.

Culture humanisteLa culture humaniste des élèves dans ses dimensions historiques, géographiques, artistiques et civiques se nourrit aussi des premiers éléments d’une initiation à l’histoire des arts. La culture humaniste ouvre l’esprit des élèves à la diversité et à l’évolution des civilisations, des sociétés, des territoires, des faits religieux et des arts ; elle leur permet d’acquérir des repères temporels, spatiaux, culturels et civiques. Avec la fréquentation des œuvres littéraires, elle contribue donc à la formation de la personne et du citoyen.[…]Les pratiques artistiques individuelles ou collectives développent le sens esthétique, elles favorisent l’expression, la création réfléchie, la maîtrise du geste et l’acquisition de méthodes de travail et de techniques. Elles sont éclairées, dans le cadre de l’histoire des arts, par une rencontre sensible et raisonnée avec des œuvres considérées dans un cadre chronologique.

Pratiques artistiques et histoire des artsPratiques artistiques La sensibilité artistique et les capacités d’expression des élèves sont développées par les pratiques artistiques, mais également par la rencontre et l’étude d’œuvres diversifiées relevant des différentes composantes esthétiques, temporelles et géographiques de l’histoire des arts. Un enseignement obligatoire à l'école, au collège et au lycée

L'enseignement de l'histoire des arts est obligatoire pour tous les élèves de l'école primaire, du collège et du lycée (voies générale, technologique et professionnelle). C'est un enseignement fondé sur une approche pluridisciplinaire des œuvres d'art qui permet aux élèves de maîtriser les repères historiques et culturels indispensables pour comprendre les œuvres et enrichir leur pratique artistique.

ObjectifsCet enseignement a pour objectif d'offrir à tous les élèves :• Des occasions de découvrir directement et personnellement des œuvres de référence relevant de différents domaines artistiques, de différentes époques et civilisations ; • La capacité de poser sur ces œuvres, grâce à la familiarité acquise avec elles, un regard plus averti et plus sensible ; • La possibilité d'acquérir ainsi une culture personnelle à valeur universelle ; • Les moyens de s'informer sur les métiers liés aux domaines des arts et de la culture.

Cet enseignement, qui concerne toutes les disciplines, sollicite plus particulièrement les enseignements artistiques et l'histoire. Il s'appuie sur les périodes historiques étudiées en cours d'histoire à chacun des niveaux du cursus scolaire.Les œuvres étudiées appartiennent à six grands domaines artistiques : • Arts de l'espace : architecture, arts des jardins ; • Arts du langage : littérature (récit, poésie) ; • Arts du quotidien : design, objets d'art ; • Arts du son : musique (instrumentale, vocale) ; • Arts du spectacle vivant : théâtre, danse, cirque, marionnettes ; • Arts du visuel : arts plastiques, cinéma, photographie. Il s'agit d'œuvres d'art patrimoniales et contemporaines, savantes et populaires, nationales et internationales. Elles sont choisies à partir d'une liste de référence pour l'école primaire et de listes de thématiques pour le collège et le lycée.

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PROGRAMMES DU COLLEGE

Classe de 6ème Les caractéristiques de l'environnement proche

Le peuplement des milieux• L'occupation des milieux au cours des saisons (les alternances de formes des êtres vivants) ;• Les formes de dispersion des végétaux.

L'origine de la matière des êtres vivants• Tous les organismes vivants sont des producteurs (producteurs primaires et secondaires) ;• Les besoins nutritifs des végétaux.

Des pratiques au service de l'alimentation humaine• L'Homme élève des animaux et cultive des végétaux pour se procurer des aliments ;• Des améliorations quantitatives et/ou qualitatives de la production sont obtenues en agissant sur la reproduction, les conditions d'élevage ou de culture, les apports nutritifs.

La production alimentaire par une transformation biologique• Certains aliments proviennent d'une transformation contrôlée par l'Homme ;• Les aliments produits sont issus de la transformation d'une matière première animale ou végétale.

Diversité, parentés et unité des êtres vivants

Classe de 5ème

Respiration et occupation des milieux de vie• Chez les végétaux comme chez les animaux, la respiration consiste à absorber du dioxygène et à rejeter du dioxyde de carbone ;• Rôle des végétaux chlorophylliens dans l'oxygénation des milieux.

Fonctionnement de l'organisme et besoin en énergie• Les apports énergétiques des aliments.

Classe de 4ème

Reproduction sexuée et maintien des espèces dans les milieux• Les caractéristiques de la reproduction sexuée chez les espèces animales et végétales ;• La reproduction sexuée permet aux espèces de se maintenir dans un milieu.

Classe de 3ème

Responsabilité humaine en matière de santé et d'environnement• La biodiversité ;• Les maladies nutritionnelles et cancers.

PROGRAMMES DU Lycée généralPlusieurs matières peuvent être concernées par le sujet de l’exposition : SVT, Sciences humaines et ECJS.

SVTPour les classes de seconde, première S et terminale S, les notions sont structurées en 3 thèmes étudiés sur l’année scolaire, thèmes que l’on retrouve chaque année :Thème 1 : la Terre dans l’univers, la vie et l’évolution du vivant ;Thème 2 : enjeux planétaires contemporains ;Thème 3 : corps humain et santé.

Cette exposition permettra de développer les trois thèmes : • La vie et l’évolution du vivant et l’étude de la biodiversité des légumes ;• Les enjeux planétaires contemporains et la culture des légumes ;• La santé avec l’apport des légumes dans l’alimentation équilibrée.Un chapitre est particulièrement adapté à l’exposition : « La plante domestiquée » en terminales S permet de suivre l’évolution des végétaux dans l’histoire et de découvrir les techniques permettant de les obtenir (sélection, génie génétique).

Classe de 2NDE

Thème 1 : de nombreux végétaux servent de base aux chapitres, ainsi que leur obtention récente par génie génétique (OGM...) ;Thème 2 : le mode d’obtention des végétaux (premiers maillons des chaînes alimentaires pour nourrir la planète) est développé avec des notions d’agriculture (préservation de l’eau, du sol…) ;Thème 3 : les exercices physiques sont conditionnés à une alimentation équilibrée.

Classe de 1ERE SThème 2 : production agricole végétale et animale et impacts des pratiques alimentaires collectives.

Classes de 1ERE L et ES :Thème 2 : nourrir l’humanité : vers une agriculture durable au niveau de la planète. TPEListe des sujets de TPE en 2013Certains thèmes pouvant être abordés à travers l’exposition :

Série ES Série S Série L

Éthique et responsabilité

Santé et bien-être

La consommation Environnement et progrès

Avancées scientifiques et réalisations techniques

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Classe de Terminale, enseignement spécifique Thème 1 : la vie fixée chez les plantes : résultat de l’évolution ;Thème 2 : la plante domestiquée.

Classe de Terminale, enseignement de spécialité Thème 1 : énergie et cellule vivante : la photosynthèse.

SCIENCES HUMAINES ET ECJS

Classe de 2NDE

Histoire : La place des populations de l’Europe dans le peuplement de la Terre - Sociétés et cultures rurales.Géographie, Thème 2 : Gérer les ressources terrestres : Nourrir les hommes

Classe de 1ERE (même thème pour tous)Géographie, Thème 2 : Aménager et développer le territoire français : Valoriser et ménager les milieux (EDD)

Classes de Terminale L et ESLa mondialisation en fonctionnement : Un produit mondialisé.

OPTION ARTS PLASTIQUES

Classe de 2NDE

Thème : Culture artistique et histoire des artsLa culture et la pratique ne sont pas à dissocier ni à considérer successivement. Elles sont constamment articulées. Il s’agit d’offrir des sources dans lesquelles puiser et de transmettre des connaissances qui vont nourrir l’imaginaire de l’élève. Il s’agit aussi de lui faire connaître des œuvres du passé, ressentir des affinités, emprunter et revisiter des données formelles, techniques, symboliques et sémantiques. L’histoire des arts offre à cet égard des possibilités d’études transversales :• Capacité à aiguiser son sens de l’observation et son désir de connaître et de comprendre ce qui lui est étranger ou inhabituel ;• Développer son sens de l’expérimentation et de la découverte. En classe de seconde, il convient de mettre en place une méthode d’analyse d’œuvre. L’élève doit apprendre à décrire l’œuvre étudiée avec un vocabulaire approprié et spécifique, il doit organiser sa réflexion autour d’axes d’études qui sont autant de notions plastiques fondamentales (sujet, couleur, composition, spatialité, etc.) .On peut donc venir dessiner les légumes en plâtre et les comparer aux aquarelles exposées dans l’exposition.

Classe de 1ERE et Terminale : Thème : culture artistique et histoire des arts

Repérer les références historiques dans les œuvres ou les récits d'artistes et les étudier est un exercice fécond. Au-delà de l'inspiration produite par les œuvres, l'élève

doit être capable de défendre un point de vue critique. De ce fait, il doit aiguiser son sens de l'observation, son désir de connaître et de comprendre ce qui lui est étranger ou inhabituel. En cycle terminal, il convient de consolider une méthode d'analyse d'œuvre. Il doit apprendre à questionner le traitement de ces notions pour en faire apparaître le sens. Il doit enfin pouvoir progressivement situer cette œuvre dans l'espace et le temps, pour la mettre en relation avec d'autres œuvres ou mouvements qu'il connaît.

PROGRAMMES DU LYCÉE TECHNOLOGIQUE

Classe de 1ERE

Histoire du quotidien : Vivre et mourir en Europe du milieu du 19° siècle aux années 1960 (Modes de vie)L’histoire du quotidien croise histoire vécue des anonymes et processus historique global. On s’interroge surtout sur les évolutions démographiques. On le fait en rapport avec les transformations des modes de vie et des pratiques culturelles, dans un contexte de mutations des structures de production et de changement de systèmes techniques (Vilmorin-Andrieux et les Expositions universelles).

PROGRAMMES DU LYCÉE PROFESSIONNEL

Classe de 2NDE

Histoire, Voyages et découvertes, Les Européens et le monde (16° – 18 °siècles).Le programme insiste sur un certain nombre de grands changements culturels, économiques, politiques à l’époque moderne et leurs effets sur les sociétés en Europe et dans le monde. Voyages et découvertes, 16° – 18 °siècles (l’origine de certains légumes, introduction et acclimatation).

Géographie, sociétés et développement durable Nourrir les hommesLe programme met l’accent sur quelques enjeux fondamentaux pour les sociétés. Il convient de les étudier dans le contexte de la croissance démographique et dans la perspective du développement durable, c’est-à-dire répondant aux besoins des générations présentes sans compromettre la satisfaction de ceux des générations futures.

Classe de terminaleEducation civique - Citoyenneté et environnement : Les organismes génétiquement modifiés (OGM).

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Informations pratiqueshoraires

Accueil grand publicDu lundi au vendredi de 13h30 à 17h30 et les dimanches de 14h00 à 17h30. Fermé les samedis et jours fériés.

Accueil des groupesDu lundi au vendredi de 8h à 12h et de 13h30 à 17h30.Les groupes sont accueillis sur rendez-vous : réservation indispensable au 03 86 72 96 40.

TarifsLa visite du Muséum et les ateliers dans le Muséum sont gratuits.

PratiqueOrganisationVestiaire non surveillé pour les groupes.Possibilité de pique-niquer dans le parc avec votre classe, sur réservation (pas d’abri).

Venir au Muséum5, bd Vauban89000 Auxerre

Pour en savoir plus www.auxerre.com

Rubrique : Se divertir, découvrirSous-rubrique : Culture et loisirsChapitre : MuséesPages : Muséum - Maison de l'eau

Service des Publics

Visite pédagogique de l'exposition Mercredi 18 septembre à 14h30 pour les enseignants qui souhaitent en savoir plus

Contactez les médiateurs03 86 72 96 40 Fax : 03 86 72 96 49museum.mairie@auxerre.com

Enseignantes détachéesLe Service des Publics du Muséum est assisté par deux enseignantes détachées, Mmes Danièle Louis et Évelyne Fontaine, présentes les vendredis.Vous pouvez les contacter pour un simple renseignement ou pour construire un projet pédagogique autour de l’exposition temporaire ou de tout autre thème que vous souhaitez aborder.

Retrouvez également le Webzine publié chaque année en juin (site de l’Académie).

POUR UNE VISITE SEREINE...

En cas de retardEn cas d’annulation ou de retard, merci de nous prévenir le plus rapidement possible.En cas de retard, la visite ne pourra pas se prolonger au-delà de l’horaire prévu.

Encadrement du groupeLes enfants restent sous la responsabilité et l’autorité du responsable du groupe.Les accompagnateurs doivent s’assurer que les enfants respectent les règles de conduite ; à défaut, le personnel du Muséum est autorisé à intervenir pour assurer la discipline et demander le départ immédiat du groupe si nécessaire.

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L'EXPOSITION un potager de plâtreParmi ses trésors, le Muséum conserve une drôle de collection : près d’une centaine de légumes en plâtre !

Ils font partie des milliers de modèles fabriqués au 19° siècle par l’entreprise Vilmorin-Andrieux pour présenter ses variétés potagères. Le Muséum les expose et se tranforme en potager !Après une présentation de la collection et de son histoire, les légumes de plâtre sont prétexte à parler des légumes de notre quotidien : origine des espèces, histoire de la domestication, obtention des variétés que nous connaissons, sélection, conservation de la diversité...

Se repérer dans l’expositionDans chaque salle, un légume est mis en vedette : aubergine, tomate, haricot et carotte. Couleur de la salle et image en grand format du légume permettent de se repérer facilement.

SALLE de l’aubergineLa collection de plâtres du MuséumEntre 1850 et 1880, la société Vilmorin-Andrieux, soucieuse de présenter les variétés potagères qu’elle commercialisait, fit réaliser de nombreux dessins mais aussi une série de moulages à vocation publicitaire. Ces étonnants légumes de plâtre reproduisaient avec exactitude la forme, la couleur et le poids des produits frais. Le Muséumd’Auxerre conserve 98 moulages issus de cette fabrication.

Pièces présentées dans cette section :- modèles Vilmorin-Andrieux en plâtre : pâtissons jaune et orange, coloquintes poire blanche, plate rayée et bicolore, courge à la moëlle, melon cantaloup sucrin, tomate, navets Border Imperial et jaune de Finlande, échalote ;- 5 reproductions de planches botaniques de l’Album Vilmorin (19°s.) ;- catalogues et ouvrages évoquant l’entreprise Vilmorin-Andrieux.

Le siècle des modèlesAu 19° siècle, les modèles en trois dimensions furent très utilisés pour repoduire objets et œuvres d’art. Certains modèles étaient de véritables sculptures, mais la technique la plus répandue restait le moulage et la fabrication de copies en plâtre. Musées, universités,

écoles des Beaux-Arts en conservent encore aujourd’hui. Présentation de quelques exemples réalisés au 19° siècle.

Pièces présentées dans cette section : - modèles Blaschka en verre : 2 radiolaires et 1 nudibranche ;- modèles Brendel en papier mâché (19° s.) : concombre Cucumis sativus ;- planche botanique Peter (19° s.) : courgette Cucurbita pepo ;- modèles d’embryologie en cire ;- modèles de cerveaux d’animaux ;- modèles de vaches en feutre.

Qu’y a-t-il dans un légume en plâtre ?Explication du mode de fabrication des légumes exposés, avec radiographie d’une pièce ; présentation de modèles représentatifs de la finesse de réalisation et du souci du détail.

Pièces présentées dans cette section : - betterave rouge de Dewing, échalote, courge brodée du Siam, navets ;- pomme de plâtre de la collection du Muséum de Montbéliard.

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Légumes en plâtreCollection Vilmorin-Andrieux du Muséum d’Auxerre

Photo Josette Laliaux, Ville d’Auxerre

Modèle en verre BlaschkaRadiolaire

Musée zoologique de Strasbourg

Radiographie de moulages en plâtre

Pourquoi des modèles en plâtre ?Les moulages commandés par l’entreprise Vilmorin-Andrieux répondaient à un besoin : présenter ses produits afin de commercialiser ses graines et semences. Ces modèles servirent tant à la publicité qu’à des présentations de prestige dans les Expositions universelles. Certains modèles furent également vendus ou distribués à des musées.

Pièces présentées dans cette section : aubergine monstrueuse de New-York et planche Vilmorin.

Légume-vedette : aubergine monstrueuse de New YorkCe modèle, réputé représenter fidèlement le poids des fruits réellement produits, pèse 3,65 kg ! Une exagération certaine quand on sait que les fruits de cette variété atteignent plutôt 1 à 2 kg. Cette différence s’explique par l’usage promotionnel des moulages : choisir de représenter une aubergine exceptionnelle plutôt qu’un fruit moyen, un artifice bien compréhensible pour un objet de promotion !

SALLE de la tomateLégumes, grands voyageursDans une deuxième salle, les moulages de légumes permettent de rappeler que les variétés consommées aujourd’hui n’ont pas toujours été présentes dans nos régions : venus de Chine (aubergine), d’Afghanistan (carotte) ou du Mexique (haricot), les légumes ont bien des histoires à raconter !

Pièces présentées dans cette section :- carte du monde grand format présentant la zone de domestication des légumes présents dans l’exposition ;- Amériques : tomate, pommes de terre, piment carré jaune hâtif, haricot, pâtisson, coloquinte bicolore ;

- Europe/Méditerranée : fève longue de Séville, céleri-rave, navet-rave ;- Asie : concombre, carotte, ail, oignon, betterave ;- Afrique : melon et melon sucrin à chair blanche.

Légume-vedette : tomate rouge grosse.Domestiquée dans les Andes, la tomate a été importée en Europe après la découverte de l’Amérique par Colomb. Arrivée au début du 16° s. en Espagne, elle fut rapidement adoptée par les Italiens alors que les Français la cantonaient aux jardins d’ornement et la suspectaient d’être empoisonnée. La tomate a également conquis l’Asie dès le 16° s. et l’Afrique dès le 17° s., s’incorporant dans les cuisines locales. C’est aujourd’hui l’un des légumes les plus consommés dans le monde, telle quelle ou sous forme de produits dérivés (sauces, pizzas...).

SALLE des haricotsSélectionLes moulages du Muséum présentent aussi un autre aspect de l’histoire des légumes, celui de la domestication et de la sélection. Des techniques empiriques des premiers agriculteurs aux actuels laboratoires de génomique végétale, de nombreuses modifications ont fait de nos légumes actuels des plantes bien éloignées de leurs cousins sauvages.Cette salle permet de comparer quelques formes sauvages et modernes (carotte, tomate) et d’expliquer quelles caractéristiques ont été favorisées par l’Homme (taille, goût, adaptation aux sols...).

Pièces présentées dans cette section : - sélection menant à une hypertrophie de la partie consommée : oignon blanc gros d’Italie, tomate rouge grosse ;- variétés des formes et des couleurs, hypertrophie de la racine : les navets, navets de Norfolk blanc, précoce de Croissy, noir long, jaune de Finlande, rave du Limousin ;- sélection de variétés faciles à arracher, peu dures et évolution de la couleur : la carotte, carotte, rouge pâle de Flandre ;- perte de l’amertume pour consommation de la chair : les courges, courges du Hokkaïdo et sucrière du Brésil ;- acclimatation à un climat différent de celui de la région d’origine : les pommes de terre.

Légume-vedette : haricots à rame phénomène et haricots beurreComme les pois, les haricots sont de bons exemples de sélection en plusieurs temps : depuis leur domestication il y a 7000 ans, les formes initiales de haricots (des lianes rampantes dont les gousses explosent à maturité, dispersant les graines) ont laissé place à des plantes à port dressé et à

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Les moulages furent présentés dans le Musée d’économie botanique de Vilmorin-Andrieux.

Photo Archives départementales de l’Essonne

Modèles Vilmorin-Andrieux : haricots à rame phénomène

Photo Muséum d’Auxerre

Plants de piments à BaliCette plante originaire d’Amérique est aujourd’hui cultivée

sur la plupart des continents.Photo IRD/Indigo

gousses non explosives, ce qui facilite la récolte des graines. Plus récemment, à la Renaissance, la mode de manger des haricots immatures avec leur gousse très tendre a conduit à la création de variétés « beurre » ou « mangetout » qui peuvent être entièrement consommées.

Qu’est-ce qu’un légume ?Un coin-jeu compare la notion de légume dans la vie quotidienne et en botanique, permettant aux enfants de tester leurs connaissances : légume (botanique) ou pas légume ? Et que consomme-t-on quand on mange des « légumes » : fruit (tomate), racine (carotte), feuilles (épinard), tige (asperges), graine (haricot), fleur (artichaut)... ?

SALLE de la carotteVariétés anciennes« Monstrueuse de New York », « Rond des Vertus », « Rouge de Covent Garden »... autant de variétés anciennes aux noms poétiques. Certaines sont encore couramment cultivées, d’autres ne sont connues que des jardiniers passionnés. Pourtant, les variétés anciennes ont une utilité pour la conservation de la biodiversité et la recherche agronomique.

Pièces présentées dans cette section : - variété ancienne : betterave rouge de Covent Garden, attestée dès 1837 ;- variétés et terroirs : exemples de variétés liées à des zones de maraîchage au 19° siècle : oignon rouge pâle de Niort, navet ronddes Vertus, oignon jaune des Vertus, melon blanc d’Antibes ;- variétés délaissées : navet jaune long, rutabaga ;- richesse et biodiversité : exemple des pommes de terre.

Légume-vedette : carotte longue de Saint-ValéryCertaines sources lient cette variété à Saint-Valéry-en-Caux, mais elle vient plus probablement de Saint-Valéry-sur-Somme. Exemple de variété ancienne très cultivée localement jusqu’au 19° siècle, qui a ensuite connu une faveur grandissante hors de sa région d’origine avant d’être supplantée chez les maraîchers par la carotte nantaise.

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Seul légume au sens botanique : la gousse des Fabacées (Légumineuses), comme ce petit pois.

Photo MNHN/L. Bessol

PLAN DE L’EXPOSITION

Salle des

fossiles

1er étage

Rez de chaussée

Salle de

l’aubergine

Atelier

Jardin d’hiver

Sallede la

carotteAccueil

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Salle de la

tomate

Salle des

haricots

Salle PaulBert

Quelques questions que vos élèves poseront probablement...D’où viennent les animaux ? Sont-ils morts? Qui les a tués?Les animaux du Muséum ont parfois été tués par des chasseurs, des collectionneurs et même des zoologistes (jusqu’au début du 20° siècle).Ces pratiques n’ont plus court par respect pour la faune.Aujourd’hui, les animaux qui entrent au musée sont morts de mort naturelle ou de maladie, dans la nature, dans un centre de soins ou dans un parc zoologique. Leur dépouille a été récupérée de manière légale, en respectant les réglementations nationale et internationale sur la faune, pour être naturalisée.

Pourquoi n’a-t-on pas le droit de toucher les animaux ?

• Pour protéger ces objets fragiles : un toucher répété, même doux, représente des risques de cassure des parties fragiles (oreilles, queue…) et d’usure ;

• Pour protéger les visiteurs ! Les animaux ont été traités avec des produits toxiques et même, pour les plus anciens, à l’arsenic (produit de tannage aux 18° et 19° siècles). Autant éviter d’y poser les doigts…

Sont-ils «vrais» ?Les étapes de naturalisation d’un animal sont les suivantes :• Prélèvement de la peau sur la dépouille et tannage ;• Fabrication d’un mannequin (armature métallique +

matériel de rembourrage ou mannequin de polystyrène) aux dimensions de l’animal mort, auquel le taxidermiste donne une position naturelle ;

• Habillage du mannequin avec la peau qui est alors recousue.

Les éléments ne se décomposant pas (dents, défenses, cornes, sabots, griffes, bec…) sont conservés.Les éléments putrescibles (yeux, langue…) sont remplacés : yeux de verre, langue de résine.L’animal naturalisé est donc en partie vrai. Sa taille et son aspect extérieur sont véridiques.

Une vitrine placée sur le palier du 1er étage montre les étapes de naturalisation.

Etapes de naturalisation d’une martre Martes martes

Zoom sur le matériau de remplissage de la martre naturalisée qui lui donne son volume

Zoom sur la tête de la martre : sous la peau, le crâne et le matériau de remplissage qui lui donnent son volume.

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Pourquoi fait-il si sombre dans le musée ?Les objets de musée sont fragiles.La lumière, naturelle ou artificielle, est particulièrement redoutable. Elle peut décolorer et endommager le papier, les peintures mais aussi la fourrure, les plumes et même certains minéraux.C’est pourquoi nous contrôlons le niveau de lumière à l’intérieur du musée et notamment de lumière arrivant directement sur les spécimens. Il ne doit pas dépasser 50 lux*.C’est aussi pour cela que les photos avec flash sont interdites.

*Pour comparaison : appartement 100 à 200 lux, grand magasin 500 à 700 lux.

Pourquoi faut-il toujours fermer les portes et les fenêtres ?Nous maintenons les portes et fenêtres fermées pour éviter l’arrivée d’insectes qui pourraient s’installer dans le musée et s’attaquer aux collections.Car certains insectes mangent la peau, les poils, les plumes…

Qu’est-ce que c’est ?

Cet appareil est un thermohygrographe. Il enregistre les variations de la température ambiante et de l’humidité de l’air.Ces informations sont précieuses pour nous. En effet, les variations brusques de température ou d’humidité peuvent endommager les objets. L’enregistrement nous permet de surveiller le climat des salles d’exposition et des réserves.

Zoom sur le dos d’un jeune blaireauOn voit la différence très nette entre la couleur d’origine (en haut de l’image) et le flanc droit, complètement décoloré par la lumière du jour.

Photo : Muséum d’Auxerre

Aile de pigeon infestée par des dermestes, insectes redoutés des musées et des bibliothèques.Les plumes ont été dévorées.

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Le Muséum, c'est aussi…Deux salles d’exposition permanente

Salle des fossiles de l’YonneAutour d’une carte géologique du département, cette salle présente une sélection de fossiles trouvés dans l’Yonne :

• Fossiles marins : oursins, poissons, étoile de mer, coraux de Mailly-le-Château…

• Ichtyosaures (reptiles marins contemporains des dinosaures) de Vassy et de Coulangeron. Ce dernier est un spécimen très précieux scientifiquement car c’est le premier fossile de cette espèce jamais découvert.

• Ours des cavernes d’Arcy-sur-Cure.

• Une vitrine explique le processus de fossilisation.

Salle Paul Bert

Paul Bert (1833-1886) fut à la fois chercheur en physiologie et homme politique.Ses travaux scientifiques portèrent notamment sur la respiration et sur les effets des changements de pression atmosphérique (en profondeur ou en altitude) sur les organismes vivants. Il décrivit l’effet Paul Bert (toxicité de l’oxygène pur) et, le premier, préconisa l’emploi de l’oxygène en altitude (par les alpinistes et surtout les aérostiers). Ses travaux servent encore aujourd’hui en médecine.Il fut aussi membre de sociétés savantes locales et conservateur de la collection de zoologie du Musée d’histoire naturelle d’Auxerre. Les archives de Paul Bert sont aujourd’hui réparties entre les Archives municipales, la Bibliothèque municipale et le Muséum (fonds scientifique).Cette salle présente la vie et l’œuvre de Paul Bert.

Des ressources pédagogiques

Un catalogue d'animations permanentes Quelle que soit l’exposition en cours, il est possible de bénéficier d’une animation pédagogique sur des thèmes permanents : énergies, développement durable, environnement, biodiversité, classification du vivant...

Expositions itinérantes et malles pédagogiques

Ces expositions et malles sont disponibles sur réservation et sur présentation d’une attestation d’assurance. Le transport est à effectuer par vos soins.

Le catalogue des expositions itinérantes et malles pédagogiques est disponible au Muséum et sur Internet :• sur le site de l’Académie de Dijon, SVT, rubriques

ressources régionales :www.webpublic.acdijon.fr/pedago/svt/dyn

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Oursin fossilePygorhynchus cylindricus

Poisson fossilePriscacara liops

Partenaires de l’exposition

L’exposition « Un potager de plâtre » a été imaginée et réalisée par l’équipe du Muséum d’Auxerre.

Scénographie et montage : Muséum d’Auxerre avec l’aide du service Logistique-culture, Pôle Arts et Patrimoine.

Prêteurs :– Musée zoologique, Strasbourg ;––AMUSS Association de Culture et

Muséographie scientifique, Strasbourg ;– Muséum Cuvier, Montbéliard ;– Université de Bourgogne ;- Musées d’Art et d’Histoire, Auxerre.

Photographies :- Photothèque Indigo, Institut de Recherche

pour le Développement ;– Médiathèque du Muséum national d’Histoire

naturelle ;– CNRS ;- Roger Prat, site Biologie et Multimedia SNV

Jussieu ;– Josette Laliaux, Ville d’Auxerre ;– Archives départementales de l’Essonne ;– Bibliothèque nationale de France.

Vidéos :- GNIS www.semencemag.fr

Stagiaires : Thomas Albertelli et Alexia Launay.

Remerciements pour l’aide documentaire sur la collection Vilmorin : Adrien Mattata/MNHN, Archives municipales d’Auxerre,.

L’exposition est présentée avec le soutien de la Région Bourgogne.

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