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LA RER CHANGE LA VIE L’éCONOMIE A BESOIN DU RER LE CANTON PEUT FINANCER LE RER LE RER NOUS DONNE DE NOUVELLES CHANCES Pour l’avenir de notre canton, oui au RER neuchâtelois !

2e cahier d'information sur le RER neuchâtelois

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Deuxième document d'information sur le RER neuchâtelois / TransRUN en vue de la votation populaire du 23 septembre

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La RER changE La viEL’économiE a bEsoin du RERLE canton pEut financER LE RERLE RER nous donnE dE nouvELLEs chancEs

pour l’avenir de notre canton, oui au RER neuchâtelois !

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Le RER change la vie

Pourra-t-on emprunter le TransRUN sans changer de train ?Oui, le TransRUN n’est pas un métro, mais une nouvelle ligne ferroviaire. Celle-ci peut être utilisée par tous les types de trains : régionaux, InterRegio, voire InterCity. Pour se rendre du Locle à la Béroche ou au Val-de-Travers, par exemple, aucun changement ne sera nécessaire.

Les trains à deux étages pourront-ils un jour emprunter le TransRUN ?Oui, les gabarits des tunnels ont été prévus pour des rames à deux étages.

Le RER tient-il compte de l’environnement ?Oui, investir dans les transports publics, c’est inciter les voyageurs à prendre le rail et, par conséquent, améliorer à la fois la protection de l’environnement et la qualité de la vie.

Le RER tient-il compte de la route ?Oui, il n’entre pas en concurrence avec la route, mais contribuera au contraire à soulager les tronçons saturés. De plus, il prévoit de nombreux parkings-relais permettant aux voyageurs de passer aisément de leur voiture au train.

vRaiLe RER est un produit de luxe, beaucoup trop sophistiqué pour notre canton !FAuX, il répond à plusieurs nécessités : le réseau actuel est à bout de souffle et la demande en transports publics explose. En fait, le RER a été calibré pour faire face aux besoins réels du canton.

Des variantes meilleure marché n’ont pas été étudiées !FAuX, toutes les variantes possibles ont été étudiées. La solution retenue offre le meilleur rapport entre les performances et les coûts. C’est pour cela que le RER a le soutien des experts des CFF et de la Confédération.

On peut imaginer le même RER sans le TransRUN !FAuX, sans le TransRUN, maillon fort du RER, il est impossible de diminuer de moitié le temps de parcours entre Neuchâtel et La Chaux-de-Fonds avec une cadence au quart d’heure et impossible d’avoir une cadence à la demi-heure sur l’ensemble du réseau.

Le RER ne servira que les habitants du Haut !FAuX, c’est un système global qui profitera à toutes les régions : elles seront mieux reliées entre elles et mieux reliées avec le reste de la Suisse. Pour le Littoral, le RER garantit des connexions rapides avec les centres voisins et l’intégration dans un canton dynamique.

fauX

Le RER changera le quotidien des Neuchâtelois ! Système global de transports, il connecte rail, bus et route de manière optimum sur l’ensemble du territoire. Au total, le RER permettra aux habitants de gagner environ un million d’heures de transports par année.

Le RER offre des gains de temps considérables et des cadences élevées sur un réseau ferroviaire mis à neuf, dont la capacité est augmentée et qui comprend de nouvelles gares.

Le RER supprime le rebroussement de Chambrelien et le goulet de Vauseyon sur la ligne du Pied du Jura, qui empêchent toute amélioration significative de l'offre.

Le RER améliore les fréquences et la rapidité des liaisons avec la région bâloise, le plateau suisse et le bassin lémanique.

Une coopération renforcée des villes du Locle, de La Chaux-de-Fonds et de Neuchâtel permettra une meilleure gestion du territoire et des tâches urbaines. Mais pour se développer, cette agglomération a besoin du RER.

Pour étudier, se former, se loger, se rencontrer, les jeunes ont besoin des transports publics. Le RER est un atout considérable pour la jeunesse neuchâteloise.

Pour se développer, les entreprises ont besoin d’un réseau de transports efficace. Le RER donne de nouvelles chances à la création d’emplois.

« Le réseau ferroviaire n’a quasiment pas évolué

depuis 150 ans. A cette époque, les villes se

sont développées autour des gares.

Aujourd’hui, ce sont des régions entières qui

se développent autour de leur RER. »

Andreas Meyer, directeur général des CFF

« Les aînés sont conscients que le monde

ne disparaîtra pas en même temps qu’eux.

C’est pourquoi l’AVIVO est solidaire des

générations futures et soutient le RER. »

Rémy Cosandey, président cantonal de l’AVIVO

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L’économie a besoin du RER

Le RER sera-t-il rentable ?Oui, le retour sur investissement du RER a été estimé par le Professeur Jeanrenaud de l’Université de Neuchâtel à 1,25 CHF par franc engagé.

Peut-on affirmer que les limites du réseau ferroviaire actuel jouent un rôle dans le manque d’attrait du canton ?Oui, une étude du Crédit suisse met clairement en évidence la faiblesse du canton de Neuchâtel en matière d’accessibilité.

Est-on sûr que les RER favorisent le développement des zones qu’ils desservent ?Oui, parce qu’ils irriguent le territoire de manière fine et avec des cadences élevées, les RER stimulent l’activité économique et sociale. Zurich et Bâle, mais aussi Vaud, Genève et Fribourg en sont la preuve.

Si nous renonçons au RER, serons-nous marginalisés ?Oui, c’est un risque qu’il faut prendre très au sérieux. Le RER nous connecte mieux avec la Suisse et nous permet de rester dans la compétition avec les régions voisines.

vRaiC’est la fiscalité qui prime pour la localisation des entreprises !FAuX, c’est un ensemble de facteurs. La fiscalité joue un rôle, certes. Mais d’autres conditions-cadres, telles que les voies de communication et la formation jouent un rôle central.

Les entreprises ont besoin de routes, pas de train !FAuX, les entreprises ont besoin des deux. Pour avoir facilement accès à un bassin de main d’œuvre et de sous-traitants, ainsi qu’aux centres de recherche et aux écoles, elles ont besoin de transports publics efficaces.

Pour les entreprises, l’essentiel c’est que l’Etat diminue ses dépenses. FAuX, l’économie a aussi besoin que l’Etat garantisse des prestations, développe des infrastructures, investisse dans l’amélioration de leurs conditions de production.

Les milieux économiques neuchâtelois sont contre le RER !FAuX, la Chambre neuchâteloise du commerce et de l’industrie (CNCI) a pris clairement position en faveur du projet. Des chefs d’entreprise s’engagent d’ailleurs en faveur du oui.

fauX

Le RER contribuera à dynamiser l’économie du canton. La qualité du réseau de transports est un facteur clé pour la localisation des emplois. Le RER est donc un bon investissement, qui favorisera la création de nouvelles richesses.

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Pour se développer, l’économie a besoin de bonnes infrastructures, notamment d’un réseau de transports publics performants.

L’investissement dans les voies de communication n’est jamais perdu. A terme, il crée de la croissance dont bénéficient à la fois les habitants et les entreprises.

Le RER diminue fortement les temps de parcours et permet ainsi de rapprocher les employés des entreprises, les étudiants des écoles, les habitants de leur logement.

Pour rester attractifs et vivants, les villes et villages neuchâtelois doivent absolument être mieux reliés. Les habitants et les acteurs économiques quittent les régions où la mobilité ne suit pas le développement des régions voisines.

Le canton de Neuchâtel a l’ambition d’exporter des produits de haute technologie dans le monde entier. Peut-il se contenter ici d’un train cahotant sur un tracé du 19e siècle ?

Aucune région de Suisse ou d’Europe ne s’est développée sans un RER. Pourquoi devrions-nous rester à l’écart ?

« Le RER changera également l’image du canton :

si le oui l’emporte lors de la votation populaire,

le canton de Neuchâtel, à partir du 24 septembre,

regardera vers l’avenir. »

Frédéric Geissbuhler, président de la CNCI

« Si on investit trop, on risque de mourir,

si on investit plus c’est qu’on est déjà mort,

même si on ne le sait pas. »

Raymond Stauffer, industriel

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Dans la vie de chaque être humaintoute société

parce qu’il transforme un réseau dépassé,

cadences élevées,

et de

crée des liaisons rapides,

il existe des

permet des

tournants décisifs

connecte le rail avec les bus,

le RER-transRun

qu’il ne faut pas manquer.

rapproche toutes les régions neuchâteloises de la suisse,

tourne notre canton versen lui permettant de

valoriser son potentiel,ses atouts, ses entreprises, ses écoles, sa culture, sa jeunesse.

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chaque être humaintoute société

parce qu’il transforme un réseau dépassé,

cadences élevées,crée des liaisons rapides,

tournants décisifs

connecte le rail avec les bus,

le RER-transRun

qu’il ne faut pas manquer.

rapproche toutes les régions neuchâteloises de la suisse,

tourne notre canton vers l’avenir,valoriser son potentiel,

ses atouts, ses entreprises, ses écoles, sa culture, sa jeunesse.

Si nous refusons le RER, les 352 millions provenant des CFF et de la Confédération seront-ils perdus ?Oui, nous ne pourrons pas récupérer cette aide plus tard ou d’une autre manière. Une partie de ces millions ira financer d’autres projets dans d’autres cantons, et l'autre servira à assainir la ligne existante, sans en améliorer les performances.

Le coût du projet a-t-il été sérieusement calculé ?Oui, les meilleurs experts ont travaillé sur ce projet. C’est pour cela que les CFF et la Confédération l’ont validé. Quant au Grand Conseil, il l’a soutenu à une très forte majorité.

Le canton veillera-t-il à contenir ses dépenses pour éviter l’explosion du budget ?Oui, en cas d’acceptation du RER, une norme constitutionnelle obligera le canton à équilibrer son budget durant la phase de remboursement de la dette spécifique au RER.

Le canton va-t-il repenser son organisation et ses structures pour fonctionner de manière plus efficiente ?Oui, le canton est engagé dans une phase de mutation. Des pas décisifs ont déjà été accomplis (fiscalité, diminution du nombre de communes, centralisation de la justice, etc.) mais des réformes sont encore à réaliser. Le RER dynamisera ce processus et permettra l’émergence de nouvelles solutions.

vRaiLe canton a été complaisant, les CFF auraient dû payer plus !FAuX, les négociations ont été longues et dures : elles ont commencé à 100 millions. Les 241 millions obtenussont une chance unique et correspondent à des standardstrès élevés pour la ligne Neuchâtel – La Chaux-de-Fonds.

Pour payer le RER, les impôts vont augmenter !FAuX, le projet ne comprend aucune hausse d’impôts. Au contraire, la fiscalité des entreprises et des familles vient d’être abaissée, pour rendre le canton plus juste et plus attractif.

Pour payer le RER, le prix des billets va augmenter !FAuX, il n’existe pas de lien automatique entre la création du RER et le prix des billets. L’organisation actuelle des zones tarifaires sera maintenue.

La formation ou la culture vont faire les frais du RER !FAuX, 1% seulement des budgets publics sera réservé au RER. Cet effort ne met pas en danger les prestations de l’Etat. A l’inverse, le RER contribuera à créer les richesses qui permettent de financer le social, la formation, la culture.

fauX

Le canton peut financer le RER

Le canton bénéficie d’une opportunité unique de financer le RER : les CFF et la Confédération prennent en charge plus du tiers de son coût. Quant à la part neuchâteloise, elle est tout à fait supportable. Pour autant, le canton s’engage à équilibrer ses budgets durant la période de remboursement.

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Sur un coût total de 919 millions, 352 millions peuvent être financés par les CFF (241 millions) et la Confédération (111 millions). Plus du tiers du coût du RER est donc déjà couvert.

La part fédérale disponible pour le RER est la plus importante de toute l’histoire neuchâteloise pour un projet cantonal.

L’effort consenti par le canton et les communes pour financer le RER ne représentera en moyenne que le 1% des charges totales des collectivités publiques neuchâteloises.

Le RER est un investissement rentable. Pour chaque franc engagé, le retour a été estimé à 1,25 CHF par une étude de l’Université de Neuchâtel.

Le RER n’est pas une dépense inconsidérée, mais un bon investissement, qui contribuera à créer les richesses dont le canton a besoin pour financer ses prestations.

Un non au RER n’apportera pas un franc dans les caisses de l’Etat. Pire, en cas de refus, les chances pour le canton de faire partie des régions qui gagnent auront disparu.

« Le Canton de Neuchâtel doit investir s’il veut continuer d’exister. Une infrastructure comme le RER a

une espérance de vie qui dépasse largement celle de la majorité de ceux qui vont prendre la décision en

septembre prochain. C’est ce qu’on appelle une décision pour le long terme. Il serait donc regrettable de

limiter notre réflexion en se référant à des arguments financiers immédiats et des querelles politiques qui

peuvent ébranler momentanément la confiance dans les Autorités. »

Chambre neuchâteloise du commerce et de l’industrie

« Nous avons les moyens de nous payer cette infrastructure. »

Jean Studer, président du Conseil de banque de la Banque Nationale Suisse, ancien Conseiller d’Etat

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Le RER nous donne de nouvelles chances

Un oui au RER mettra en danger le financement de la H20 !FAuX, les deux financements sont disjoints. L’évitement routier des villes de La Chaux-de-Fonds et du Locle dépend des routes nationales. Le programme dont dépend la H20 a d’ailleurs été approuvé en juin 2012 par le Conseil national, grâce à un lobbying intensif des élus neuchâtelois.

Si le RER est refusé, les CFF étudieront un nouveau projet.FAuX, la ligne Neuchâtel – La Chaux-de-Fonds sera assainie avec le tracé actuel. Prenant acte du refus du peuple neuchâtelois, les CFF investiront dans des projets d’autres cantons, réclamés et soutenus par les habitants.

Si le RER est refusé, le canton sera débarrassé de soucis supplémentaires !FAuX, aucun franc ne tombera dans les caisses de l’Etat. Aucun problème de transports ne sera résolu. Aucune perspective positive ne sera dessinée pour l’avenir du canton.

Si le RER est refusé, le courage des Neuchâtelois sera salué !FAuX, l’incompréhension sera grande dans toutes les régions de Suisse qui se battent pour améliorer leurs transports publics et obtenir des soutiens fédéraux. Le crédit du canton sera au plus bas : il sera considéré comme une zone qui choisit délibérément de rester périphérique.

fauX

Investir ou végéter ? Le RER est un choix de société qui nous interroge sur notre vision de l’avenir. Pour le Conseil d’Etat et le Grand Conseil, il est temps de se tourner avec courage et confiance vers le 21e siècle.

Si le RER est refusé, faudra-t-il tout de même dépenser pour améliorer les transports publics ?Oui, des millions seront nécessaires pour améliorer ce qui peut l’être et tenter de faire face à l’augmentation de la demande. A la place d’une transformation visionnaire du réseau, les Neuchâtelois devront se contenter de coûteux bricolages.

Un non au RER affaiblira-t-il la cohésion du canton ?Oui, au lieu de bénéficier d’un nouvel élan collectif, le canton devra affronter la frustration et les règlements de compte. Les tensions entre le Haut et le Bas seront exacerbées et le découragement, politique et citoyen, risque d’être général.

Si nous renonçons au RER, serons-nous marginalisés ?Oui, c’est un risque qu’il faut prendre très au sérieux. Le RER nous connecte mieux avec la Suisse et nous permet de rester dans la compétition avec les régions voisines.

Le RER nous donnera-t-il de nouvelles chances ?Oui, il stimulera les réformes et donnera l’image d’un canton attractif, dynamique, qui a confiance dans l’avenir, ses atouts et sa jeunesse. Mais surtout, le canton pourra affronter les défis socio-économiques à venir avec des infrastructures de transports dignes du 21e siècle.

vRai

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Le canton de Neuchâtel est à la croisée des chemins. La votation sur le RER constitue pour lui une chance unique d’entrer dans une dynamique positive qui valorise ses atouts.

Jamais une société n’a regretté d’avoir investi dans l’amélioration de ses voies de communication, spécialement quand les travaux entrepris répondaient à des besoins.

Partout, les réseaux de transports du type RER ont amélioré la qualité de vie des habitants au quotidien et créé des richesses : il suffit de regarder les réalisations de nos voisins pour en avoir la preuve.

Après être sorti de « l’enfer fiscal », le canton de Neuchâtel doit améliorer drastiquement son accessibilité et ses transports publics pour devenir une région dynamique et attractive.

Dans leur histoire, les Neuchâtelois ont toujours fait le pari de l’audace et de l’innovation. Pour obtenir les succès technologiques et commerciaux que la Suisse entière leur reconnaît, ils ont toujours su agir avec détermination et se tourner vers l’avenir.

Au-delà des transports, la votation du 23 septembre demande au peuple neuchâtelois s’il entend se recroqueviller en se contentant d’infrastructures du 19e siècle ou s’il croit à son avenir.

« Voulons-nous peser sur la carte de la Suisse

ou devenir une réserve d’Indiens ? »

Pascal Sandoz, député PLR, Neuchâtel

« La votation de la population neuchâteloise

sera un signal fort adressé à Berne ».

Eveline Widmer-Schlumpf, Présidente de la Confédération

Ne nous trompons pas !

Le RER soumis au peuple neuchâtelois est le seul projet sérieux, validé par les experts des CFF et de la Confédération. S’il est refusé, la ligne entre Neuchâtel et La Chaux-de-Fonds sera assainie avec ses limites actuelles et nous devrons oublier les performances du RER.

De même, un non ne mettra pas un franc supplémentaire dans les caisses de l’Etat. Par contre, il le privera d’un investissement rentable, permettant de créer de nouvelles richesses.

Voulons-nous relever les défis du 21e siècle, avec courage et lucidité,en investissant dans un réseau de transports performant, de meil-leures liaisons avec les régions voisines et un cadre de vie attractif ?

Ou bien préférons-nous devenir un canton de seconde zone, marginalisé, qui renonce au soutien financier de la Confédération et considère que des infrastructures du 19e siècle lui suffisent ?

Voilà le choix historique du 23 septembre. Notre réponse déterminerapour très longtemps notre canton. Ne votons pas à la légère, notre avenir est en jeu !

Le Conseil d’Etat

L'avenir du canton est en jeu !

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En plus des débats du Conseil d’Etat dans les districts, les événements suivants sont annoncés :> Vendredi 31 août, 19 h 30 - 21 h 00 : débat public mais sur inscription (places limitées) organisé à Corcelles par

la commune de Corcelles-Cormondrèche> Samedi 1er septembre, 9 h 15 - 13 h 00 : forum citoyen à l’Aula des Jeunes-Rives de l’Université de Neuchâtel> Mercredi 5 septembre, 19 h 00- 21 h 00 : débat public organisé par le Parlement des jeunes de la Ville

de Neuchâtel à l’Aula des Jeunes-Rives de l’Université de Neuchâtel> Jeudi 13 septembre, 14 h 00 - 16 h 00 : débat public à la salle de la Riveraine à Neuchâtel organisé par

le Centre professionnel du Littoral neuchâtelois

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